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Histoire des Musulmans d'Espagne, t. 2/4: jusqu'a la conquête de l'Andalouisie par les Almoravides (711-110)

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NOTES:

[1] Salvien, De Gubernatione Dei, L. IV, p. 60 (éd. de Brême, 1688).

[2] Voyez les passages de Sidoine Apollinaire cités par Fauriel, Hist. de la Gaule méridionale sous la domination des conquérants germains, t. I, p. 387 et suiv. Nous ne possédons point de renseignements sur la manière de vivre des riches seigneurs espagnols de cette époque, mais tout porte à croire qu’elle ressemblait fort à celle des seigneurs de la province avoisinante.

[3] Voyez les travaux de MM. Savigny, Giraud, etc.

[4] Voyez Giraud, Essai sur l’histoire du droit français au moyen âge, t. I, p. 147 et suiv., et les travaux allemands et français qu’il cite.

[5] Voyez Pignori, de Servis (dans la préface), dans Polenus, Utriusque Thesauri antiquitatum nova supplementa, t. III.

[6] Ammien Marcellin, XXVIII, 4, 16.

[7] Salvien, L. IV, p. 58.

[8] Salvien, L. V, p. 91, 92; Querolus, Act. I, Sc. 2, vs. 194-208 (p. 55 éd. Klinkhamer).

[9] Voyez les textes rapportés dans le tome Ier des Script. rer. francic. de D. Bouquet, p. 565, 572, 597, 609. Il est vrai que nous n’avons pas sur l’existence des Bagaudes en Espagne, des témoignages antérieurs à l’invasion des barbares; néanmoins je suis porté à croire que ces bandes y existaient déjà avant cette époque, car Idace, qui écrivait au Ve siècle et qui en parle le premier, ne semble nullement considérer leur existence en Espagne comme une nouveauté.

[10] Isidore, Hist. Goth., p. 493.

[11] Servulos tantum suos ex propriis prædiis colligentes ae vernaculis alentes sumtibus. Orose, VII, 40.

[12] Orose, VII, 40.

[13] Voyez Salvien, L. VI, p. 121—123. On peut fort bien appliquer aux Espagnols ce que cet auteur dit des Gaulois, car il assure qu’en Espagne la corruption des mœurs était encore plus grande que dans les Gaules. Voyez L. VII, p. 137.

[14] Idatii Chron., ad ann. 409 et 410.

[15] Ibid. ad ann. 425.

[16] Voyez Idatii Chronicon, passim.

[17] Orose, VII, 41.

[18] Salvien, L. V, p. 95.

[19] Epist. VII, 14.

[20] VII, 41.

[21] Voyez Orose, dans la dédicace; Salvien, L. VII, p. 130 etc.

[22] Voyez Claudien Mamert, de Statu animæ, II, 8.

[23] L. VI, p. 115; L. VII, p. 142.

[24] Salvien, L. IV, p. 74.

[25] Salvien, L. V, p. 86.

[26] Salvien, L. VII, p. 140, 142.

[27] Salvien, L. VII, p. 140.

[28] Voyez Braulionis Epistolæ, 38—41, dans l’Esp. sagr., t. XXX, p. 374—377.

[29] VIIIe concile de Tolède, dans le Forum Judicum, p. IV, col. 1.

[30] Voyez Concil. Tolet. IV.

[31] Voyez le même concile.

[32] Licet flagitiosus, tamen bene monitus, dit Isidore de Béja (c. 15) en parlant de Rékeswinth.

[33] Paulus Emeritensis, De vita P. P. Emeritensium, dans l’Esp. sagr., t. XIII, p. 359, 360, 382.

[34] Voyez les preuves chez Neander, Denkwürdigkeiten aus der Geschichte des Christenthums, t. II, p. 236-240, et chez Ozanam, La civilisation au cinquième siècle, t. II, p. 50—57.

[35] Sentent., L. III, c. 47: Aequus Deus ideo discrevit hominibus vītam, alios serves constituens, alios dominos, ut licentia male agendi servorum potestate dominantium restringatur.

[36] Voyez Muñoz, Fueros, p. 123-125.

[37] Voyez Muñoz, Del Estado de las personas en los reinos de Asturias y Leon.

[38] For. Jud., V, 4, 19: De non alienandis privatorum et curialium rebus.

[39] Voyez Concil. Tolet. VIII.

[40] Voyez le 8e article des actes du XVIIe concile de Tolède.

[41] Voyez les actes du XVIIe concile de Tolède; (apud Mansi, t. XII, p. 94 et suiv.)

[42] Forum Judicum, L. IX, Tit. II, 9.

[43] C’est ainsi qu’on lit dans deux manuscrits latins du Forum Judicum et dans la traduction espagnole de ce code.

[44] Voyez la note A, à la fin de ce volume.

[45] C’était le septième aïeul du célèbre Almanzor.

[46] Ibn-al-Contîa, fol. 4 r.; Ibn-Adhârî, t. II, p. 11, 273.

[47] Cette petite rivière porte aujourd’hui le nom de Salado; elle se jette dans la mer non loin du cap Trafalgar, entre Vejer de la Frontera et Conil. Voyez mes Recherches, t. I, p. 314-316.

[48] Forum Judicum, Lib. V, t. I, l. 2.

[49] Voyez mes Etudes sur la conquête de l’Espagne par les Arabes, dans le 1er volume de mes Recherches.

[50] Comparez Maccarî, t. II, p. 1.

[51] Le traité que Théodemir conclut avec Abdalazîz, le fils de Mousâ, se trouve dans Dhabbî. Casiri (t. II, p. 106) en a publié le texte.

[52] En évaluant le dirham à 12 sous de notre monnaie, ce tarif serait: fr. 28,80,—14,40,—7,20; mais comme au VIIIe siècle le pouvoir de l’argent était à sa force actuelle comme 11 est à 1 (voir Leber, Essai sur l’appréciation de la fortune privée au moyen âge), le tarif était en réalité: fr. 316,80,—158,40,—79,20.

[53] Leovigild, De Habitu Clericorum (Esp. sagr., t. XI, p. 523).

[54] Comparez plus haut, L. I, chap. 10.

[55]

Urbs erat interea Francorum inhospita turmis,
Maurorum votis adsociata magis,

dit Ermold Nigel (I, 67) en parlant de Barcelone.—M. Amari est aussi d’opinion que la condition des Siciliens sous les musulmans était meilleure que celle des peuples italiens qui vivaient sous la domination des Lombards ou des Francs (Storia dei Musulmani di Sicilia, t. I, p. 483).

[56] Maccari, t. II, p. 17.

[57] Voyez le 2e article des actes du XVIe concile de Tolède, tenu en 693.—Vers la fin du VIe siècle, Masone, évêque de Mérida, convertit beaucoup de païens. Paulus Emeritensis, De vita P. P. Emeritensium, p. 358.

[58] Un auteur espagnol qui écrivait au XVIIe siècle, sous le règne de Philippe IV, s’exprime à ce sujet en ces termes: «Il n’est pas étonnant que les habitants des Alpuxarres aient abandonné si facilement leur ancienne foi. Ceux qui demeurent à présent dans ces montagnes sont des Christianos viejos (vieux chrétiens), ils n’ont pas dans leurs veines une goutte de sang impur, ils sont sujets d’un roi catholique, et cependant, faute de docteurs et par suite des oppressions auxquelles ils sont en butte, ils sont si ignorants de ce qu’ils devraient savoir pour obtenir le salut éternel, qu’il leur reste à peine quelques vestiges de la religion chrétienne. Croit-on que si aujourd’hui, ce qu’à Dieu ne plaise, les infidèles se rendaient maîtres de leur pays, ces gens-là tarderaient longtemps à abandonner leur foi et à embrasser les croyances des vainqueurs?» Pedraça, Historia eclesiastica de Granada, fol. 95 v.

[59] Voyez le 6e article des actes du XIIe concile de Tolède.

[60] Voyez Vita Johannis Gorziensis, c. 120.

[61] Marina, Ensayo. t. II, p. 5 et suiv.

[62] Samson, Apolog., L. II, c. 8.

[63] Voyez Alvaro, Epist. XIII, c. 3; Samson, Apolog., L. II, c. 2, 4.

[64] Samson, L. II, c. 2.

[65] Dans l’année 747, les chrétiens avaient encore la cathédrale; l’auteur de l’Akhbâr madjmoua l’atteste formellement, fol. 74 v.

[66] Voyez Ibn-Batouta, t. I, p. 198.

[67] Voyez Içtakhrî, p. 33.

[68] Un million de francs; au pouvoir actuel de l’argent, onze millions.

[69] Râzî, apud Maccarî, t. I, p. 368. Ibn-Adbârî (t. II, p. 244, 245) cite aussi ce passage, mais en l’abrégeant un peu. Comparez Maccarî, t. 1, p. 359, I. 2.

[70] Ibn-al-Coutîa, fol. 15 v.

[71] Journ. asiat., IVe série, t. XVIII, p. 515.

[72] Une fois, les chrétiens de Cordoue furent imposés extraordinairement à cent mille dinars, onze millions de francs au pouvoir actuel de l’argent.

[73] Abou-Ismâîl al-Baçrî, Fotouh as-Chûm, p. 124.

[74] Christiani occulti. Euloge, Memor. Sanct., L. II.

[75] Samson, Apolog., L. II, c. 5.

[76] Idem, ibid., L. II, c. 3.

[77] De Tocqueville.

[78] Voyez les vers que cite Ibn-Adhârî, t. II, p. 114, ceux qui se trouvent chez Ibn-Haiyân, fol. 64 v., et ceux que j’ai publiés dans mes Notices sur quelques manuscrits arabes, p. 258, 259. Il est remarquable que les Arabes n’appliquent jamais aux chrétiens cette épithète infamante.

[79] On nous permettra de donner ce nom tant aux renégats proprement dits, qu’à leurs descendants.

[80] Voyez le Cartâs, p. 23, l. 1.

[81] Anciennement Secunda. Voyez Maccarî, t. I, p. 899, dernière ligne.

[82] Voyez Akhbâr madjmoua, fol. 99 v.—100 v., Ibn-Adhârî, t. II, p. 68-70.

[83] Voyez Ibn-al-Khatib, man. P., fol. 213 v.—214 v., Ibn-al-Coutîa, fol. 15 r.

[84] Ibn-al-Coutîa, fol. 17 v.

[85] Abd-al-wâhid, p. 12; Ibn-al-Coutîa, etc.

[86] Akhbâr madjmoua, fol. 99 r.

[87] Voyez Ibn-al-Coutîa, fol. 18 v.

[88] Voyez Ibn-Khallicân, t. I, p. 615, éd. de Slane, et cf. Weil, t. II, p. 42, 43.

[89] Voyez Ibn-al-Coutîa, fol. 18 r., Maccarî, t. II, p. 154.

[90] Yahyâ, de la tribu berbère de Maçmouda, était client de la tribu arabe des Beni-’l-Laith.

[91] Voir Ibn-Khallicân, Fasc. X, p. 19-21, éd. Wüstenfeld.

[92] Maccarî, t. I, p. 491, nº 12.

[93] Voyez Akhbâr madjmoua, fol. 102 v.

[94] Voyez ibid., fol. 101 r. et v., Ibn-Adhârî, t. II, p. 80.

[95] Abd-al-wâhid, p. 13

[96] La date, d’après Ibn-Adhârî, est 189 de l’Hégire. Nowairî donne par erreur 187.

[97] Chez Ibn-al-Contîa on lit Brnt, sans voyelles, et dans l’Akhbâr-madjmoua, Bznt; mais chez Ibn-al-Abbâr on trouve Yaznt. En ajoutant toutes les voyelles, c’est Yazinto, Jacinto en espagnol. On sait que les Arabes, de même que les Romains, aimaient à donner à leurs esclaves le nom de quelque pierre précieuse (cf. Fraehn, Ibn-Foszlan’s Berichte über die Russen älterer Zeit, p. XXXIX).

[98] Ibn-al-Coutîa, fol. 21 r.; cf. Nowairî, p. 450, et voyez aussi les articles sur Yahyâ, dans Ibn-Khallicân et dans Maccarî.

[99] Ibn-Adhârî, t. II, p. 74; Nowairî, p. 452.

[100] Voyez Isidore de Béja, c. 49, 62, 69, 77.

[101] Urbs regia, Isidore, c. 49; médîna al-molouc, Cazwînî, t. II, p. 366.

[102] Ibn-al-Coutîa, fol. 19 r.

[103] Voyez Annal. Berlin., ad ann. 809 et 810.

[104] Ibn-Adhârî.

[105] Nowairî, Ibn-al-Coutîa.

[106] Ibn-al-Coutîa, fol. 19 r.—20 v.; Nowairî, p. 450—452; Ibn-Khaldoun, fol. 6 v., 7 r.; Ibn-Adhârî, t. II, p. 72. La date que donne ce dernier auteur est erronée.—Dans l’année 611, un roi de Perse avait employé, pour punir les Témîmites, un stratagème de même genre. Voyez Caussin, t. II, p. 576—578.

[107] Voyez sur ces muets, Akhbâr madjmoua, fol. 103 r. (cf. 94 r.); Ibn-Adhârî, t. II, p. 81; Nowairî, p. 456; Ibn-Khaldoun, fol. 7 r.

[108] Voyez la note B, à la fin de ce volume.

[109] Nowairî, p. 453, 454.

[110] Ibn-al-Abbâr, p. 40; Akhbâr madjmoua, fol. 103 v.

[111] Ibn-al-Coutîa, fol. 23 r. et v.

[112] Ibn-Adhârî, t. II, p. 78; Nowairî, p. 454.

[113] Quatremère, Mémoires sur l’Egypte, t. I; Ibn-Khaldoun, t. III, fol. 44 r. et v.; t. IV, fol. 6 v.; Ibn-al-Abbâr, p. 40.

[114] Cartás, p. 21-23, 25, 70, 71; Becrî, dans les Notices et Extraits, t. XII, p. 574577.

[115] Khochanî, p. 250.

[116] Ibn-Adhârî, t. II, p. 79.

[117] Nowairî, p. 454.

[118] Abd-al-wâhid, p. 14; cf. Ibn-al-Coutîa, fol. 22 r.

[119] Ibn-al-Coutîa, fol. 22 r.-23 r. Dans une tradition rapportée par Maccarî (t. I, p. 900), le caractère de Tâlout se présente sous un jour plus favorable; mais j’ai cru devoir reproduire le récit beaucoup plus circonstancié d’Ibn-al-Coutîa.

[120] Voyez Ibn-al-Coutîa, fol. 23 r., Ibn-Adhârî, t. II, p. 82.

[121] Voyez Ibn-al-Abbâr, p. 41, Akhbâr madjmoua, fol. 104 v., Ibn-al-Coutîa, fol. 23 v., 24 r.

[122] Apud Ibn-Adhârî, t. II, p. 73, 74. Dans le premier vers il faut lire raäbto (au lieu de raäito) et râkï’â (au lieu de râkiman); ces deux leçons, les seules véritables, se trouvent dans Maccarî, t. I, p. 220.

[123] Ibn-Adhârî, t. II, p. 93; Maccarî, t. I, p. 223; Euloge, Memor. Sanct., L. II, c. 1.

[124] Voyez Ibn-Adhârî, t. II, p. 94.

[125] Maccarî, t. I, p. 223.

[126] Voyez Ibn-Khallicân, Fasc. X, p. 20 éd. Wüstenfeld.

[127] Voyez Khochanî, p. 257.

[128] Voyez Khochanî, p. 265-6.

[129] Cf. Ibn-Khallicân, Fasc. X, p. 20.

[130] Voyez Khochanî, p. 265-6.

[131] Ibn-Adhârî, t. II, p. 83.

[132] Voyez la biographie de Ziryâb dans Maccarî, t. II, p. 83 et suiv.

[133] Voyez Khochanî, p. 207.

[134] Voyez Maccarî, t. I, p. 225.

[135] Voyez Maccarî, t. I, p. 224-5; Ibn-Adhârî, t. II, p. 94-5.

[136] Voyez Khochanî, p. 277.

[137] Voyez la lettre de Louis-le-Débonnaire aux chrétiens de Mérida, dans l’Esp. sagr., t. XIII, p. 416.

[138] Ibn-Adhârî, t. II, p. 76, 85; Nowairî, p. 459.

[139] Nowairî, p. 458; Ibn-Adhârî, t. II, p. 85, 86; Ibn-Khaldoun, fol. 7 v.

[140] Ibn-Adhârî, t. II, p. 86, 87; Nowairî, p. 458-9; Ibn-Khaldoun, fol. 7 v., 8 r.

[141] Euloge, Memoriale Sanctorum, p. 248; Alvaro, Indic. lumin., p. 225.

[142] Euloge, Mem. Sanct., L. II, c. 2, 3; L. III, c. 1; Alvaro, Indic. lumin., p. 225, 273.

[143] Samson, Apolog., L. II, c. 6.

[144] Le même, ibid., L. II, c. 2, 6.

[145] Le manuscrit d’Alvaro (p. 273 de l’édition de Florez) porte: «Et dum eorum versibus et fabellis mile suis delectamus.» Au lieu de mile, Florez lit mille, sans remarquer que, dans ce cas, l’auteur aurait écrit eorum, et non pas suis. Il faut lire Milesiis.

[146] Alvaro, Indic. lumin., p. 274, 275.

[147] Pour les Cordouans, l’Enéide de Virgile et les Satires d’Horace et de Juvénal, qu’Euloge leur apporta de Navarre, dans l’année 848, furent des nouveautés. Voyez Alvaro, Vita Eulogii, c. 9.

[148] Alvaro, Vita Eulogii, c. 4.

[149] Alvaro, Vita Eulogii, c. 2. Comparez Sharon Turner, History of the Anglo-Saxons, t. III, p. 655.

[150] Isidore de Béja, c. 36; Euloge, Memor. Sanct., L. II, c. 1; Apolog. martyrum, p. 314.

[151] Euloge, Epistola ad Wiliesindum, p. 330.

[152] Alvaro, Indic. lumin., p. 273; Samson, Apolog., L. II, c. 4.

[153] Vice angelicâ canes ingressi.

[154] Apolog. martyrum, p. 312, 313.

[155] Alvaro, Indic. lumin., p. 252, 253.

[156] Indic. lumin., p. 270.

[157] P. 271.

[158] Voyez Ibn-Khallicân, Fasc. X, p. 20 éd. Wüstenfeld.

[159] Euloge, Apolog. martyrum, p. 311.

[160] Euloge et Alvaro, passim.

[161] Euloge, Memor. Sanct., p. 247; Alvaro, Indic. lumin., p. 229, 230.

[162] Euloge, Memor. Sanct., p. 250 in fine.

[163] Euloge, Memor. Sanct., p. 247.

[164] Leovigild, de Habitu Clericorum (Esp. sagr., t. XI, p. 523).

[165] Leovigild, loco laudato.

[166] Euloge, Memor. Sanct., p. 240.

[167] Euloge, p. 249.

[168] Euloge, ibid.

[169] Euloge, Apolog. martyr., p. 313.

[170] Voyez Euloge, Epist. ad Wiliesindum.

[171] Alvaro, Vita Eulogii, c. 2.

[172] Euloge cite un fragment de ce livre dans son Memor. Sanct., p. 241, 242.

[173] Euloge, Memor. Sanct., p. 267.

[174] Alvaro, Vita Eulogii, c. 2.

[175] Alvaro, Vita Eulogii, c. 3.

[176] Euloge, Memor. Sanct., p. 265, 266.

[177] Specie decoris et venustate corporis nimium florens. Le même, ibid.

[178] Docum. mart., p. 325.

[179] Voir Lane, Modern Egyptians, t. II, p. 266-269; Mission historial de Marruecos, p. 46; Lyon, Travels in northern Africa, p. 108, 109; Euloge, Memor. Sanct., L. II, c. 1.

[180] Euloge, Memor. Sanct., L. II, c. 1; Alvaro, Indic. lumin., p. 225-227.

[181] Voyez l’article sur Harrânî dans Ibn-abî-Oçaibia.

[182] Ibn-al-Coutîa, fol. 31 v., 32 r.

[183] Euloge, Memor. Sanct., L. II, c. 1.

[184] Alvaro, Indic. lumin., p. 227, 228; Euloge, Memor. Sanct., p. 242, 243, 269.

[185] Euloge, Memor. Sanct., p. 237, 238; ibid., L. II, c. 2; Alvaro, Indic. lumin., p. 237, 238; Martyrologe d’Usuard (Esp. sagr., t. X, p. 379).

[186] Euloge, Memor. Sanct., L. II, c. 3.

[187] Euloge, Memor. Sanct., L. II, c. 4.

[188] Euloge, Memor. Sanct., L. II, c. 5, 6.

[189] Euloge, Memor. Sanct., p. 243, 245, 247, 248, 249.

[190] Plerique fidelium et (heu proh dolor! etiam sacerdotum. Euloge, Memor. Sanct., p. 245.

[191] Page 239.

[192] Euloge et Alvaro donnent constamment aux martyrs le titre de «soldats de Dieu, allant combattre contre l’ennemi impie.»

[193] Euloge, Memor. Sanct., L. II, c. 15; Alvaro, Indic. lumin., p. 243, 244.

[194] Ibn-al-Coutîa, fol. 34 r. et v.; Khochanî, p. 291.

[195] Euloge, Memor. Sanct., L. III, c. 2; Ibn-al-Coutîa, fol. 34 r.; Khochanî, p. 292.

[196] Voyez sur lui, Ibn-al-Abbâr, p. 94.

[197] Euloge, Memor. Sanct., L. II, c. 15; cf. c. 14.

[198] Alvaro, Epist. XIII, c. 3.

[199] Euloge, Memor. Sanct., L. II, c. 15.

[200] Euloge, Memor. Sanct., L. II, c. 14, 15; Epist. IV.

[201] Alvaro, Vita Eulogii, c. 4.

[202] Euloge, Epist. IV.

[203] Voyez Euloge, Docum. martyr., p. 321.

[204] Luctum non amitto quotidianum, écrit-il à Alvaro. Epist. I.

[205] Ce traité porte le titre de Documentum martyriale.

[206] C’est-à-dire, le premier livre et les six premiers chapitres du second.

[207] Voyez Isidore de Séville, Sentent., L. III, c. 13.

[208] Alvaro, Vita Eulogii, c. 9.

[209] Voyez Euloge, Memor. Sanct., p. 266-271; Epist. I, III; Alvaro, Vita Eulogii, c. 4.

[210] Memor. Sanct., p. 268; Alvaro, Vita Eulogii, c. 4.

[211] Euloge, Memor. Sanct., L. II, c. 9, 10, 11, 12.

[212] Memor. Sanct., L. II, c. 13.

[213] Ibn-al-Coutîa, fol. 32 r.

[214] Memor. Sanct., L. II, c. 16.

[215] Ibn-al-Coutîa, fol. 32 r.—33 v.

[216] Ibn-Adhârî, t. II, p. 114.

[217] Euloge, Memor. Sanct., L. III, c. 5.

[218] Ibn-al-Coutîa, fol. 29 r.

[219] Ibn-Adhârî, t. II, p. 109.

[220] Euloge, Memor. Sanct., L. III, c. 5.

[221] Euloge, Memor. Sanct., L. III, c. 1, 2.

[222] Euloge, Memor. Sanct., L. II, c. 16; L. III, c. 1, 3; Alvaro, Vita Eulogii, c. 12.

[223] D’après Euloge (Memor. Sanct., L. III, c. 2), Gomez aurait apostasié pour rentrer en possession de son emploi, que le sultan lui avait ôté; mais j’ai cru devoir suivre Ibn-al-Coutîa (fol. 34 r.).

[224] Euloge, loco laud.; Khochanî, p. 293.—Gomez semble avoir conservé son nom chrétien, mais son fils, qui était aussi employé dans la chancellerie et qui mourut en 911, portait celui d’Omar. Arîb, t. II, p. 153 (Omar ibn-Gomez al-câtib).

[225] Euloge, Epist., p. 330.

[226] C’est ainsi que je crois devoir prononcer le nom qu’Ibn-Adhârî (t. II, p. 97) écrit, sans ajouter les voyelles, Chndlh (Chindolah). Le ch des Arabes répond à l’s des Latins, et le nom propre Sindola se trouve, par exemple, dans un document latin de l’année 908 (apud Villanueva, Viage literario á las iglesias de España, t. XIII, p. 238). C’est probablement le même mot que Suintila (nom que portait un roi visigoth) ou Chintila, comme on trouve dans une charte de 912 (Esp. sagr., t. XXXVII, p. 316).

[227] D’après Ibn-Adhârî, ce Gaton aurait été le frère d’Ordoño Ier. Aucun document latin ne vient à l’appui de cette assertion; mais il est certain que celui qui était alors comte du Bierzo s’appelait Gaton; voyez Florez, Reynas, t. I, p. 79 et Esp. sagr., t. XVI, p. 31, 119.—D’après Ibn-Khaldoun, le roi de Navarre aurait aussi envoyé des troupes au secours de Tolède.

[228] C’était sans doute le nom d’un chef chrétien, tandis que Mousâ était celui d’un chef de renégats.

[229] Ibn-Adhârî, t. II, p. 96—98, 114, 115; Nowairî, p. 463; Ibn-Khaldoun, fol. 9 r.

[230] Euloge, Memor. Sanct., L. III, c. 10.

[231] Euloge, Memor. Sanct., L. III, c. 5.

[232] Voyez le IIIe Livre du Memor. Sanct. et l’Apologia Martyrum.

[233] Alvaro, Vita Eulogii, c. 10.

[234] Ce cloître était bâti sur une montagne où il y avait des ruches. De là son nom, qui signifie rocher de miel. Voyez Euloge, Memor. Sanct., L. III, c. 11.

[235] Aimoin, De translatione SS. Martyrum (dans l’Esp. sagr., t. X, p. 534—565).

[236] Ibn-Adhârî, t. II, p. 98, 99. Cf. Nowairî, p. 463; Ibn-Khaldoun, fol. 9 r.

[237] Vers d’Abbâs ibn-Firnâs, apud Maccarî, t. I, p. 101.

[238] Alvaro, Vita Eulogii, c. 13—16.

[239] Voyez Samso, L. II, c. 9.

[240] Voyez divers Voyages, et surtout Rochfort Scott, Excursions in the mountains of Ronda and Granada; de Custine, l’Espagne sous Ferdinand VII, lettre 50 et 51; Cook, Sketches of Spain, ch. 1 et 15; Ford, Gatherings from Spain, ch. 16; Mérimée, Lettres adressées d’Espagne etc., nº III, et l’ouvrage de M. de Rocca que je cite plus loin.

[241] De Rocca, Mémoires sur la guerre des Français en Espagne, p. 174-259.

[242] Voyez mes Recherches, t. I, p. 320-323.

[243] Sébastien, c. 26.

[244] Nowairî, ad ann. 259; Ibn-Adhârî, t. II, p. 103, 104.

[245] Voyez, pour plus de détails, mes Recherches, t. 1, p. 222-226.

[246] Abdérame ibn-Merwân ibn-Younos.

[247] Cette alliance valut à Ibn-Merwân le surnom de Galicien, que les Arabes lui donnent ordinairement. Ibn-Khaldoun, fol. 10 r.

[248] Caracuel se trouve entre Ciudad-Real et Almodovar del Campo. D’après le Marâcid, les Arabes en prononçaient le nom Caraquei, et c’est ainsi qu’écrit Pélage d’Oviédo (c. 11); voyez aussi Cartâs, p. 107. Cependant on trouve également Caraquer (Ibn-Adhârî, t. II, p. 105). Caraqueri, dans Edrisi, t. II, p. 29, est une faute; il faut lire Caraquei avec le man. B.

[249] Ibn-al-Coutîa, fol. 37 r. et v.; Ibn-Adhârî, t. II, p. 102, 103, 104, 105; Ibn-Haiyân, fol. 11 r. et v.; Chron. Albeld., c. 62.

[250] Ibn-Adhârî, t. II, p. 106.

[251] Ibn-Khaldoun (fol. 10 v.), Ibn-Adhârî (t. II, p. 108) et Ibn-al-Khatîb (article sur Omar ibn-Hafçoun) donnent la généalogie complète de Hafç jusqu’à Alphonse, auquel Ibn-Khaldoun donne le titre de comte, sur l’autorité d’Ibn-Haiyân. Les noms du fils, du petit-fils et de l’arrière-petit-fils d’Alphonse sont goths ou latins; mais malheureusement ils semblent plus ou moins altérés dans les manuscrits. Le père de Hafç s’appelait Omar, et son grand-père Djafar al-islâmî (le renégat).

[252] Voyez mon édition d’Ibn-Adhârî, t. II, p. 48 des notes, et la note de M. de Slane, Histoire des Berbers, t. I, p. XXXVII.

[253] Ibn-al-Khatîb, man. E., article sur Omar ibn-Hafçoun.

[254] Cf. Ibn-Adhârî, t. II, p. 111, l. 5.

[255] Ibn-al-Coutîa, fol. 37 v.-38 v.

[256] Voyez sur Bobastro, qui se trouvait à un quart de lieue du Guadaljorce et à une lieue O. d’Antequera, mes Recherches, t. I, p. 323-327.

[257] Ibn-Adhârî, t. II, p. 106, 107; Nowairî, p. 464; Ibn-Khaldoun, fol. 9 v.

[258] Ibn-Adhârî, t. II, p. 106-108; Nowairî, p. 464; Ibn-Khaldoun, fol. 9 v.

[259] Mohammed ibn-Walîd ibn-Ghânim.

[260] Ibn-al-Coutîa, fol. 38 v., 39 r.

[261] Ibn-Adhârî, t. II, p. 117, 118.

[262] Ibn-Adhârî, t. II, p. 109.

[263] Ibn-Adhârî, t. II, p. 117.

[264] Ibn-Adhârî, t. II, p. 123; cf. p. 117, l. 3.

[265] Ibn-Adhârî, t. II, p. 118.

[266] Ibn-Adhârî, t. II, p. 117-120.

[267] Ibn-Adhârî, t. II, p. 121; Nowairî, p. 465. Ce dernier auteur a eu la singulière idée de faire assiéger Ibn-Hafçoun dans Tolède, ville dans laquelle il n’a jamais mis le pied.

[268] Voyez mon édition d’Ibn-Adhârî, Introduction, p. 44-46.

[269] Ibn-Haiyân, fol. 2 r.-4 r.

[270] Ibn-al-Coutîa, fol. 37 v.

[271] Ibn-Haiyân, fol. 37 v., 38 r.

[272] Voyez l’office des sept apostoliques dans l’Esp. sagr., t. III, p. 361-377. Cet office a été composé à Acci (Guadix el Viejo) dans les premiers temps de l’Eglise. Comparez aussi le Lectionarium Complutense, ibid., p. 380-384.

[273] La ville d’Elvira était située au nord-ouest de Grenade, à peu près à l’endroit où se trouve aujourd’hui Pinos Puente.

[274] Ibn-al-Khatîb, man. G., fol. 5 r.

[275] Voyez mes Recherches, t. I, p. 334-336.

[276] Samson, Apolog., L. II, c. 4.

[277] Ibn-al-Khatîb, man. G., fol. 5 r.

[278] Voyez le même, ibid.

[279] Nous ne possédons aucun détail sur cette guerre, dont parle le poète espagnol Ablî, dans un vers que nous citerons plus loin.

[280] Il s’appelait Abdérame ibn-Ahmed. On le nommait Ablî, parce qu’il était originaire d’Abla, près de Guadix.

[281] Honaida, le quatrième aïeul de Sauwâr et le chef des Caisites, s’était établi a Maracena, dans le district d’Albolote, au nord de Grenade. Ses descendants y habitaient encore.

[282] Paroles que Mahomet adresse, dans le Coran, aux chrétiens et aux juifs.

[283] Quand nous sortirons de l’Alhambra.

[284] Voyez le Coran, sour. 22, vs. 59.

[285] Dans le siècle où nous sommes, ces Andalouses ont trouvé des filles dignes d’elles dans ces femmes qui, du temps de Napoléon Ier, se précipitaient avec d’horribles hurlements sur les blessés français, qu’elles se disputaient pour les faire mourir dans les tourments les plus cruels, et auxquels elles plantaient des couteaux et des ciseaux dans les yeux.—Voir de Rocca, p. 209.

[286] Voyez Ibn-al-Abbâr, p. 83.

[287] On dirait presque que ce dernier vers est d’un troubadour provençal, tant on y retrouve la délicatesse du chevalier chrétien et l’espèce de culte qu’il rendait à la dame de ses pensées.

[288] Ibn-Haiyân, fol. 22 r.-23 v.; 40 v.-49 r.; 92 v.-94 v.; Ibn-al-Abbâr, p. 80-87; Ibn-al-Khatîb, articles sur Sauwâr (man. E.) et sur Saîd ibn-Djoudî (dans mes Notices, p. 258). Je dois avertir que le manuscrit d’Ibn-Haiyân m’a souvent mis à même de corriger les vers que j’ai publiés, d’après d’autres manuscrits, dans mes Notices.

[289] Ibn-Haiyân, fol. 49 v.-56 v.; 63 r.-65 r.

[290] Akhbâr madjmoua, fol. 56 v.; Maccarî, t. I, p. 89. Sous les Romains, Séville avait été la ville principale de l’Espagne, témoin ces vers d’Ausone:

Iure mihi post bas memorabere nomen Hiberum
Hispalis, æquoreus quam præterlabitur amnis,
Submittit cui tota suos Hispania fasces.

Quelques éditions portent ici Emerita au lieu de Hispalis; mais l’expression æquoreus amnis, qui convient fort bien au Guadalquivir près de Séville, puisque la marée s’y fait ressentir, ne convient pas au Guadiana près de Mérida.

[291] Traduction espagnole de Râzî, p. 56.

[292] Ibn-al-Coutîa, fol. 26 r.

[293] On trouve souvent ce nom dans les chartes du nord de l’Espagne. Voyez, par exemple, Esp. sagr., t. XXXIV, p. 469.

[294] Traduction espagnole de Râzî, p. 56.

[295] Voyez Ibn-al-Coutîa, fol. 3 r.

[296] Le château des Beni-Khaldoun portait encore au XIIIe siècle le nom de ses anciens seigneurs, car dans les chartes d’Alphonse X il est souvent question du Borg Aben-Haldon ou de la Torre Aben-Haldon. Voyez Espinosa, Historia de Sevilla, t. II, fol. 4, col. 1; fol. 16, col. 2; fol. 17, col. 1; cette dernière charte se trouve aussi dans le Memorial histórico español, t. I, p. 14.

[297] A une demi-lieue O. de Séville; voyez mes Recherches, t. I, p. 317 et suiv.

[298] Mohammed ibn-Omar ibn-Khattâb ibn-Angolino.

[299] On appelait ainsi la contrée qui s’étend entre Séville et Niébla.

[300] Voyez Ibn-Haiyân, fol. 59 v.

[301] Voyez Ibn-Haiyân, fol. 63 r. La date qui se trouve fol. 55 v. est inexacte.

[302] C’était un peuple impie, qui ne voulait pas croire à un prophète que Dieu lui avait envoyé.

[303] Ibn-Haiyân, fol. 56 v.-59 v.

[304] Voyez Ibn-Haiyân, fol. 17 r. et v., 99 r., 100 r.

[305] Ibn-Khaldoun, fol. 10 r. et v.

[306] Voyez sur cette église, Cazwînî, t. II, p. 364.

[307] L’église du Corbeau se trouvait sur le promontoire qui porte aujourd’hui le nom de cap Saint-Vincent. Voyez Edrisi, t. II, p. 22, et comparez Esp. sagr., t. VIII, p. 187 et suiv.

[308] Voyez Ibn-Haiyân, fol. 33 v.

[309] Ibn-al-Coutîa, fol. 45 r.

[310] Ibn-Haiyân, fol. 7 r.-23 v.

[311] Tarîkh Ibn-Halîb, p. 158.

[312] Ibn-Haiyân, fol. 39 v.-40 v.

[313] Ibn-Haiyân, fol. 68 r.-69 v.

[314] Samson, Apologet., c. 5, 9.

[315] Voyez mes Recherches, t. I, p. 316.

[316] Ibn-Haiyân, fol. 70 r., 77 v.

[317] Ibn-Haiyân, fol. 69 v.

[318] Ibn-Haiyân, fol. 71 r.

[319] Ibn-Haiyân, fol. 71 r.

[320] Ibn-Haiyân, fol. 78 r.

[321] Ibn-Haiyân, fol. 70 r. et v., 77 v.

[322] Ibn-Haiyân, fol. 70 r., 71 r., 77 v.

[323] Akhbâr madjmoua, fol. 111 v.

[324] Tarîkh Ibn-Habîb, p. 157. Ce livre a été composé à cette époque par un disciple d’Ibn-Habîb, nommé Ibn-abî-’r-ricâ. Voyez mes Recherches, t. I, p. 32, 33.

[325] Ibn-Haiyân, fol. 77 v.

[326] Akhbôr madjmoua, fol. 111 v.; cf. Nowairî, p. 466.

[327] Tarîkh Ibn-Habîb.

[328] Voyez Ibn-Adhârî, t. II, p. 117.

[329] On sait que les musulmans appellent ainsi les chrétiens.

[330] Tarîkh Ibn-Habîb, p. 158.

[331] Tarîkh Ibn-Habîb, p. 159, 160. Les dernières paroles signifient évidemment que les chrétiens d’Ibn-Hafçoun respecteraient trop l’endroit où se trouvait autrefois leur église pour oser y commettre des meurtres.

[332] Ibn-Haiyân, fol. 70 r.

[333] Akhbâr madjmoua, fol. 111 v.

[334] Voyez sur le respect qu’Abdallâh avait pour les ermites, Khochanî, p. 322.

[335] Ibn-Adhârî, t. II, p. 160.

[336] Ibn-Haiyân, fol. 18 v., 70 v.

[337] Ibn-Haiyân, fol. 70 v., 71 r.

[338] Ibn-Haiyân, fol. 71 v.

[339] Ibn-Haiyân, fol. 71 v.-80 r.

[340] Voyez la note C, à la fin de ce volume.

[341] Texte du Coran, Sour. III, vs. 154.

[342] Ibn-Haiyân, fol. 77 v.

[343] Nowairî, p. 466; Ibn-Khaldoun, fol. 11 r.

[344] Ibn-Haiyân, fol. 82 r. et v.

[345] Ibn-Haiyân, fol. 80 v.-82 r.

[346] Maccarî, t. II, p. 361.

[347] Ibn-Haiyân, fol. 83 r., 22 r. et v., 23 r., 47 v., 48 r., 92 v.; Ibn-al-Khatîb, dans mes Notices, p. 259.

[348] Voyez les vers d’Ibn-Colzom (c’est ainsi que Khochanî, p. 308, prononce ce nom) chez Ibn-Adhârî, t. II, p. 143.

[349] On a vu plus haut que ce seigneur avait été l’allié des renégats de Séville.

[350] Monteagudo se trouvait près de Xerez. Voyez Maldonado, Illustraciones de la Casa de Niebla (dans le Mémorial histórico, t. IX), p. 96.

[351] Ibn-Haiyân, fol. 59 v.—62 r.; 84 r.—87 r.

[352] Ibn-Haiyân, fol. 62 r. et v.

[353] Ibn-Adhârî, t. II, p. 128.

[354] Ibn-Adhârî, t. II, p. 128, 129; Ibn-Haiyân, fol. 62 v.

[355] Ibn-Haiyân, fol. 90 v.

[356] Voyez Ibn-Haiyân, fol. 82 v.

[357] Vita Beatae Virginis Argenteae, c. 2.

[358] Le khabîth, comme disaient les Arabes. Ibn-Haiyân, fol. 95 r. et v.

[359] Ibn-Adhârî, t. I, p. 241.

[360] Ibn-Haiyân, fol. 94 v., 95 r.

[361] Ibn-Khaldoun, fol. 11 v.

[362] Ibn-al-Coutîa, fol. 45 v.; Ibn-Haiyân, fol. 62 v., 63 r.; Ibn-Adhârî, t. II, p. 129.

[363] Ibn-Haiyân, fol. 98 v., 102 v. Ce chroniqueur veut faire croire que les premières propositions vinrent du côté d’Ibn-Hafçoun; mais la situation dans laquelle se trouvaient les deux partis prouve suffisamment que les premières démarches ont été faites par le sultan.

[364] Voyez Ibn-Haiyân, fol. 102 v.

[365] Voyez Ibn-Adhârî, t. II, p. 129.

[366] Aucun sultan n’avait eu tant de vizirs à la fois. Quelquefois il en avait treize. Ibn-Haiyân, fol. 5 r.

[367] Ibn-al-Coutîa, fol. 45 v.—47 r. Ibn-Haiyân (fol. 96 et suiv.) a copié ce récit, mais d’après une rédaction un peu différente, et au lieu de le placer sous l’année 289 de l’Hégire, il l’a placé par erreur sous l’année 287.

[368] Ibn-al-Coutîa, fol. 47 r.

[369] Sâlimî (apud Maccarî, t. II, p. 97) cite une pièce de vers qu’il attribue à Camar, et d’où l’on pourrait conclure qu’elle avait le mal du pays; mais ces vers sont évidemment d’un homme, et non pas d’une femme.

[370] Ibn-Haiyân, fol. 8 v.-11 r., 97 v.-98; Ibn-Adhârî, t. II, p. 130-132; Maccarî, t. II, p. 97.

[371] Ibn-al-Coutîa, fol. 47 r.

[372] Ibn-al-Coutîa, fol. 47 r.; Ibn-Haiyân, fol. 4 r., 9 v.

[373] Ibn-Haiyân, fol. 102 v., 104 r. et v., 105 r., 106 v., 107 v.

[374] Ibn-Haiyân, fol. 94 v., 95 r.; cf. 12 v., 13 r.; Ibn-al-Coutîa, fol. 47 v.; Ibn-Adhârî, t. II, p. 143; Manuscrit de Meyá.

[375] Ibn-Haiyân, fol. 13 r., 89 v., 94 v.; Arîb, t. II, p. 145, 146, 147.

[376] Arîb, t. II, p. 147, 152, 153.

[377] Voyez les vers qui se trouvent chez Ibn-Haiyân, fol. 105 r.

[378] Voyez mon Introduction à la Chronique d’Ibn-Adhârî, p. 47-50.

[379] Ibn-Adhârî, t. II, p. 162.

[380] Il était né le 14 janvier 891.

[381] Ibn-Adhârî, t. II, p. 162; Arîb, t. II, p. 163; comparez les deux vers que cite Maccarî, t. II, p. 508.

[382] En 910 ou dans l’année suivante; voyez Arîb, t. II, p. 153 (cf. p. 150), Ibn-al-Abbâr, p. 97. La date qui se trouve chez Ibn-Adhârî, t. II, p. 132, est erronée.

[383] Voyez Ibn-Haiyân, fol. 91 v.

[384] Voyez note D, à la fin de ce volume.

[385] Ibn-Haiyân, passim.

[386] Ibn-Khaldoun, fol. 11 r.

[387] Voyez les vers qui se trouvent chez Ibn-Haiyân, fol. 105 r. et v.

[388] Vita Beat. Virg. Argenteae, c. 2, 3.

[389] Ibn-Adhârî, t. II, p. 143.

[390] Voyez Ibn-Adhârî, Introduction, p. 44—62.

[391] Ibn-Adhârî, t. II, p. 161.

[392] Ibn-Khaldoun, fol. 12 v.

[393] Voyez Arîb, t. II, p. 163 et 164.

[394] Ibn-Haiyân, fol. 81 r.

[395] Arîb se trompe quand il pense que déjà à cette époque Malaga était la capitale de la province de Regio. Voyez mes Recherches, t. I, p. 322, 323.

[396] Arîb, t. II, p. 166-169.

[397] Ibn-Adhârî, t. II, p. 133, 134; Arîb, t. II, p. 169.

[398] Ibn-Adhârî, t. II, p. 134, 135.

[399] Khochanî, p. 333, 334.

[400] Khochanî, p. 336.

[401] Arîb, t. II, p. 171.

[402] Akhbâr madjmoua, fol. 116 r. et v.

[403] Arîb, t. II, p. 171.

[404] Ibn-Adhârî, t. II, p. 135; Arîb, t. II, p. 171, 172.

[405] Arîb, t. II, p. 173-175.

[406] Arîb, t. II, p. 176, 177.

[407] Arîb, t. II, p. 178.

[408] Arîb, t. II, p. 178; Ibn-Khaldoun, fol. 13 v.

[409] Arîb, t. II, p. 182, 183.

[410] Arîb, t. II, p. 181, 182.

[411] Arîb, t. II, p. 181.

[412] Ibn-Khaldoun, fol. 13 v., 11 r.; Arîb, t. II, p. 189.

[413] Arîb, t. II, p. 194.

[414] Arîb, t. II, p. 104.

[415] Arîb, t. II, p. 206-208; Vita Beat. Virg. Argenteae, c. 4 jusqu’à la fin.

[416] Arîb, t. II, p. 209, 210.

[417] Arîb, t. II, p. 191.

[418] Arîb, t. II, p. 192, 204.

[419] Arîb, t. II, p. 196.

[420] Ibn-al-Coutîa, fol. 47 v.

[421] Ibn-al-Coutîa, loco laud.; Arîb, t. II, p. 175, 176, 187, 193.

[422] Arîb, t. II, p. 204.

[423] Ibn-Haiyân, fol. 16 v., 17 r.; Arîb, t. II, p. 210, 211.

[424] Arîb, t. II, p. 211.

[425] Arîb, t. II, p. 214, 215.

[426] Arîb, t. II, p. 215.

[427] Arîb, t. II, p. 214, 216, 217.

[428] Dans le livre suivant, nous donnerons des détails sur cette expédition de Ramire II.

[429] Arîb, t. II, p. 217-224.

[430] Arîb, t. II, p. 210, l. 13.


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