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Quelques dames du XVIe siècle et leurs peintres

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Cette situation de maîtresse avouée, que le roi conduisait aux camps, montrait à la cour, faisait de Gabrielle une véritable reine. Les peintres amoureux de l’astre qui se lève cherchaient à lui plaire par mille moyens. C’est Benjamin Foulon, employé par Henri IV aux armées, qui dessine César de Vendôme et signe même son travail afin que nul n’en ignore[49]. C’est François Quesnel, l’artiste en titre d’office dont les portraits du roi ont été gravés par Thomas de Leu, qui prend divers croquis de la jeune femme[50]. On s’accorde à la trouver ravissante, bien que le profil fût plus agaçant que fin. Guillaume du Sable chante en vers ses cheveux noirs

Qui ornent chaque temple,
Son beau et large front, ses sourcils ébenins,
Son beau né décorant et l’une et l’autre joue
Sur lesquelles amour à toute heure se joue,
Et ses doux brillants yeux deux beaux astres bénins.

Ces cheveux noirs sont blonds, dans les portraitures, le front est large, mais le nez descend un peu bas. Et si nous jugions la belle Gabrielle d’après les portraits gravés nous serions sévères. Foulon et Quesnel ne l’ont point épargnée non plus dans leurs crayons de la Bibliothèque nationale; ils lui donnent je ne sais quelle apparence de pulcinella qui pouvait être la beauté au temps de Henri IV, mais qui nous laisse plus froids à cette heure. Tous les copistes, les graveurs, les éditeurs ont redit à l’envi cette frimousse pointue et peu agréable. Mais au milieu de ce fatras un grand crayonneur inconnu nous a conservé la Gabrielle d’Estrées de la fin, celle qui avait cessé de plaire et qui se lamentait dans son particulier sur la frivolité des choses. Les traits sont beaux, mais l’œil s’est fatigué dans les pleurs. C’est celle que nous montrons ici, c’est la plus vraie, et assurément la plus belle en dépit des chagrins rongeurs; or c’est la seule portraiture que personne ne connaisse. Le nom si populaire de cette belle dame lui a d’ailleurs été funeste sur ce fait. Il n’y a pas de musée qui se respecte où l’on ne trouve couramment une femme décolletée, affublée de coiffures étranges, baptisée la belle Gabrielle. C’est aussi le cas de Diane de Poitiers et de Marguerite de Valois. Au fond il n’y a pas en France plus de dix portraits sérieux de la maîtresse de Henri IV, et la Bibliothèque nationale en conserve au moins sept pour sa part. Reste la médaille charmante ciselée par Guillaume Dupré, quand elle fut créée duchesse de Beaufort, qui nous découvre un profil allongé et fin comme celui d’une dame du XVIIIe siècle[51].

Quand Zamet l’eut empoisonnée, dans un repas donné en son honneur, elle fut transportée dans la maison du doyen de Saint-Germain l’Auxerrois, où elle recevait le roi d’ordinaire. Sauval, qui écrivait au milieu du XVIIe siècle, avait connu des vieillards qui la virent exposée sur un lit de parade dans la grande salle, revêtue d’un manteau de satin blanc. Son pauvre visage, bouleversé par les philtres subtils de l’Italien, était resté noir après la crise horrible qui l’avait terrassée. On la porta à l’abbaye de Montreuil-sous-Laon, où on lui éleva un mausolée. Elle est représentée, sur le bas-relief de marbre, dans la pose nonchalante et reposée des dames romaines; sa main gauche soutient sa tête, sa droite laisse échapper un livre de prières. A la voir ainsi tranquille et presque souriante dans son merveilleux costume, on la prendrait pour une princesse un instant assoupie et qui va se lever tout à l’heure[52].

Telles furent ces «grandes» que Brantôme a toutes adorées et qu’il a si maltraitées dans sa langue impudente. Est-ce à dire qu’il n’y ait jamais eu d’exception, même dans ces temps, et que les plus honnêtes dames ou princesses se puissent toujours mesurer à cette aune spéciale? Il y en a au moins une,—une seule peut-être,—qui a bravé les langues acérées, les inventions, les calomnies, une qui a su résister au plus galant des princes, à Henri IV lui-même, qui a quitté son nom pour ne pas être confondue avec Gabrielle d’Estrées, et qui a mérité d’être nommée dame d’honneur sans mensonge ni duperie. Elle se nommait Antoinette de Pons dame de Guercheville; elle était fille d’un demi-huguenot, Antoine de Pons, comte de Marennes, et de la belle Montchenu, «une des plus diffamées demoiselles de France», au dire de Théodore de Bèze. Elle avait épousé très jeune Henri de Silly, comte de la Rocheguyon, dont elle resta veuve de bonne heure, et même à la cour de Henri III, au milieu des séductions et des offres de tous genres, parmi les corruptions infinies, elle garda sa sérénité hautaine, non point prude assurément, car elle savait rire à l’occasion, mais enjouée à la fois et retenue, au grand étonnement des autres.

Un jour, en 1578, elle fut reine de la fève. Henri III la conduisit à la messe à la chapelle de Bourbon, «désespérément brave, frisé et gauderonné», suivi de ses mignons vêtus de soie et de perles. C’est même à cette occasion que Bussy d’Amboise fit une sortie insolente contre tous ces freluquets; il arriva en costume très simple suivi de valets habillés d’or. «La saison est venue, dit-il, que les bélistres seront les plus braves[53]

On dit que Henri IV, au retour de la bataille d’Ivry, passa par la Rocheguyon et fut reçu par la jeune comtesse. C’était une blonde aux yeux éveillés et moqueurs, aux grands sourcils arqués et francs, aux lèvres pincées. «Plus de calcul que de passion», eût dit un deviseur. Un peintre l’a crayonnée dans son costume de cour avec ses affiquets, ses collerettes, ses colliers, son attirail de femme à la mode[54]. De prime-saut, le roi fut frappé de cette grâce réservée, et tandis que Loménie, son secrétaire, se laissait brûler aux yeux d’une suivante de la dame, Henri s’emporta dans sa passion naissante jusqu’à signer de son sang une promesse de mariage. C’était sa manière à lui de faire sa cour, et elle trouvait peu d’insensibles. Mme de Guercheville lui rit au nez très gentiment, et l’assura que jamais elle ne consentirait à une pareille folie; que pour l’accointance passagère il y fallait moins compter encore. Henri n’en revenait pas, pas plus qu’il ne comprit plus tard sa cousine Catherine de Rohan, refusant son alliance dans des conditions semblables avec une crudité de langage extraordinaire.

Voyant que la belle comtesse serait inflexible, il se prit à l’honorer avec tout le respect imaginable. Il lui chercha un parti digne d’elle et lui trouva Charles du Plessis, sieur de Liancourt. Une seule chose arrêta la dame; c’était ce nom de Liancourt qui appartenait à Nicolas d’Amerval, mari de Gabrielle d’Estrées. Elle voulut bien le mariage, mais exigea de ne jamais porter ce nom. Il fallut en passer par là.

En 1601, Henri IV la présenta à Marie de Médicis comme dame d’honneur, «sans fraude», et elle en reçut l’office à 1,200 livres de gages. Elle apparaît toute seule dans les comptes sous cette rubrique spéciale, comme si on n’eût osé lui donner des compagnes moins dignes de ce titre; elle y resta trente et un ans[55].

Elle mourut le 5 janvier 1632. Elle fut une des rares dont les méchantes langues n’aient point glosé, une des plus belles cependant et des plus aimables. Gardons-nous toutefois de chercher trop loin et laissons à Mme de Guercheville cette auréole extraordinaire de femme de la cour de France demeurée chaste au temps où Brantôme écrivait ses menteries de haute graisse, et ses tranquilles horreurs sur les grandes généralement quelconques.

FIN.

Sceaux.—Imprimerie Charaire et fils.


FOOTNOTES:

[1] Rouard, François Ier chez Mme de Boisy. Paris, Aubry, 1863, in-4o. La légende vient du P. Saint-Romuald.

[2] «Pierre Foulon, painctre de M. de Boisy, natif d’Envers.» De Laborde, Comptes des bâtiments du roi, t. II, p. 366-67. Ce fut vraisemblablement cet artiste qui peignit les portraits du grand maître Arthur de Gouffier, conservés autrefois à Oiron, et que Gaignières avait fait copier au XVIIe siècle.

[3] Archives de l’art français, t. III, p. 41.

[4] H. Bouchot, les Portraits aux crayons des XVIe et XVIIe siècles à la Bibliothèque nationale. Paris, Oudin, gr. in-8o, 1884.

[5] J’ai longuement parlé de Corneille de Lyon dans un article paru dans la Gazette des Beaux-Arts, t. XXXVI, p. 218 et suivantes (2e période). Consulter aussi M. Natalis Rondot, les Peintres de Lyon, no 373.

[6] La Fortune de la cour à la suite des Mémoires de Marguerite de Navarre, édit. de Liège, 1713, p. 270.

[7] Brantôme se vantait à tort. Voir ci-après la notice sur Élisabeth de Valois.

[8] Claude Hatton, Mémoires publiés par M. Bourquelot dans la Collection des documents inédits, 2 vol. in-4o.

[9] En 1541.

[10] La date de sa mort a été donnée par M. Jules Guiffrey.

[11] Ces renseignements m’ont été communiqués par M. Thibaudeau, qui a bien voulu faire pour moi le voyage de Liverpool, et me dresser la liste des portraits conservés dans l’album.

[12] Georges Guiffrey, Procès criminel de Jehan de Poytiers, seigneur de Saint-Vallier. Paris, A. Lemerre, 1868, in-8o. Ce remarquable travail, puisé aux meilleures sources, fait bon marché des histoires apocryphes.

[13] Mathieu de Vaucelles, Blason des cheveux.

[14] Ce détail de Brantôme est rigoureusement vrai. On lit, en effet, dans les Comptes du château de Saint-Germain pour 1548, que l’on remet des verrières ornées d’H couronnés et de fleurs de lis «en la chambre et salle de Mme de Vallantinoys estant soubz la chambre et salle de la Royne». De Laborde, Comptes des bâtiments, II, 312.

[15] Je vais citer ici les quelques portraits de Diane de Poitiers, véritablement authentiques, dont j’ai eu connaissance jusqu’ici: 1o Celui d’Aix, à vingt-quatre ans environ; 2o celui de la Bibliothèque nationale (Na 21, fol. 16); 3o ibidem, collection Lallemand de Betz, XI-167 (médiocre); 4o ibidem, Na 26, fol. 34 (très médiocre); 5o un à Castle Howard, en Angleterre, publié par L. Ronald Gower, French portraits, t. I, p. 76; 6o un autre dans un cahier appartenant à M. Helsetius (London, 196 queen’s gate s. w.); 7o un autre dans le prétendu recueil de Brantôme à Liverpool; 8o un à Saint-Pétersbourg (Ermitage); 9o un à Versailles (catalogue du Musée no 3119, sous le nom de Claude de France). Ces neuf portraits sont antérieurs à ses relations avec Henri II.—Pendant ces relations, je citerai: 10o La médaille en duchesse de Valentinois; 11o une cire à Breslau en Silésie; 12o une cire au Musée de Cluny. Après la mort de Henri II: 13o Portrait peint à M. J. Roman, correspondant du ministère de l’instruction publique; 14o portrait de Castle Howard publié par L. Ronald Gower, French portraits, I, fol. 39; 15o un à Chantilly, provenant d’A. Lenoir, et publié, en 1874, par L. Ronald Gower, The Lenoir’s collection, fol. 24; 16o ibidem, fol. 25; 17o la statue d’Anet.

[16] Voir surtout les portraits exposés, en juin 1837, à Londres, par l’Institut archéologique, publiés en photographies.

[17] Lettres de Catherine de Médicis publiées par H. de Laferrière dans la Collection des documents inédits, année 1552.

[18] Publiés par lord Ronald Gower, French portraits, I, 16, 28.

[19] Cf. collection alphabétique des portraits à la Bibliothèque nationale, Marie Stuart.

[20] De tous les portraits peints ou dessinés de Marie Stuart, je ne saurais guère signaler, comme indiscutables, que: 1o Le dessin de Castle Howard daté de 1552, publié par L. Ronald Gower, French portraits, I, fol. 46 ; 2o le crayon de la Bibliothèque nationale (cartons alphabétiques, Marie Stuart); 3o la miniature conservée à Windsor; 4o le crayon de la Bibliothèque nationale où elle porte le deuil blanc (cartons alphabétiques, Marie Stuart). Toutes les autres portraitures sont sujettes à caution, et ne méritent pas qu’on s’y arrête longuement.

[21] Bibliothèque nationale, Estampes. (Cartons, alphabétiques, Élisabeth.)

[22] On a peu conservé de portraits originaux d’Élisabeth d’Autriche. Je citerai: Le crayon original de la Bibliothèque nationale (cartons alphabétiques, Élisabeth d’Autriche), qui est la première idée du tableau du Louvre; 2o le tableau du Louvre (École française, no 730); 3o portrait peint du Musée de Versailles, no 3940 (sous le nom de Mlle de Guise); 4o portrait peint au château d’Azay-le-Rideau; 5o crayon représentant la reine en veuve à la Bibliothèque nationale (cartons alphabétiques, Élisabeth d’Autriche).

[23] H. de Laferrière, Lettres de Catherine de Médicis.

[24] Voici le texte allemand:

Carlos
Ist sie todt!
O himmel und erde!
Kœnig
Kardinal! Ich habe
Das meinige gethan. Thun Sie das ihre!

[25] Iconographie espagnole, t. II.

[26] Les portraits de cette princesse sont très rares. Gaignières en avait un dessin disparu. Je citerai: 1o celui de la Bibliothèque nationale (Na. 21, fol. 61); 2o un autre? jeune (cartons alphabétiques, Élisabeth de Valois); 3o ibidem qui est celui ici reproduit; 4o un crayon à Castle Howard publié par L. Ronald Gower (French portraits, I, 31); 5o un crayon à la Bibliothèque d’Arras (Manuscrits 266, fol. 75); 6o un portrait peint au Musée de Versailles, no 3, 197; 7o la statue de l’Escurial, publiée par Cardereira (Iconographie espagnole, t. II). Peut-être faudrait-il joindre à ces portraits un panneau du Musée de Madrid, portant le no 1717, et qui représente une princesse inconnue. Ce tableau est attribué à Antonio Moro.

[27] Niel, Personnages illustres du XVIe siècle.

[28] M. Niel a donné un dessin de la Bibliothèque nationale qui la montre ainsi costumée. Ce dessin, autrefois baptisé Louise de la Béraudière, est conservé aux estampes Na 21 a, fol. 27.

[29] Brantôme (Edit. Lalanne), IX, p. 113. Il appelle du Guast «un des gallants et parfaits gentilshommes du monde en tout».

[30] Les portraits de Marguerite sont très nombreux. Je citerai comme intéressants et plus particulièrement authentiques: 1o Crayon à la Bibliothèque nationale (Na 21, fol. 63); 2o ibidem (cartons alphabétiques, Marguerite enfant); 3o ibidem, publié par Niel sous le nom de Catherine de Médicis jeune; 4o crayon à la Bibliothèque des arts et métiers, Me 3, vol. I, fol. 12 ; 5o crayon à la Bibliothèque nationale (Na 22, fol. 3o); 6o crayon à la Bibliothèque nationale, publié par Niel (Na 21 a, fol. 27); 7o peinture au Musée de Versailles, no 3286; 8o peinture au Musée de Blois, no 150; 9o crayon à M. L. Courajod; 10o cire à Breslau.

[31] Ce portrait est passé de la Bibliothèque Sainte-Geneviève à la Bibliothèque nationale, en 1866 (Estampes). Je l’ai reproduit dans mon catalogue des Portraits aux crayons. Il y a un autre portrait de la même dame à cinquante ans environ à la Bibliothèque nationale (Na 22, fol. 56). Ce sont les seuls qu’on connaisse d’elle.

[32] Clairambault, manuscrits 1206, fol. 16.

[33] Elle fut marraine d’un enfant de Foulon, avec Christophe de Harlay, sieur de Beaumont, comme parrain, en août 1591. Consulter à ce sujet Grandmaison, Les Arts en Touraine, article Foulon.

[34] Consulter pour la filiation de Mme de Sardini un factum judiciaire conservé aux Manuscrits de la Bibliothèque nationale (cabinet des titres, Sardini, folio 47).

[35] Cette circonstance est mentionnée dans son épitaphe aujourd’hui conservée au Musée de Versailles.

[36] Pierre de Lestoile, Journal de Henri III, année 1577.

[37] Bibliothèque nationale (Estampes, Na 21 a, fol. 24). Le département des Estampes possède deux crayons copiés l’un sur l’autre. Le second est aux cartons alphabétiques Retz.

[38] Son portrait est à la Bibliothèque nationale (Estampes, Na 21 a, fol. 44 et 45).

[39] Guilhermy, Inscriptions de la France, I, 544.

[40] Cette épitaphe avait été composée par le chancelier Hurault, son ami.

[41] Bibliothèque nationale (Estampes, cartons alphabétiques, Carnavalet). C’est le seul portrait connu d’elle.

[42] Histoire du sieur d’Aubigné, en tête des Aventures du baron de Fæneste, par Th. Agrippa d’Aubigné. Cologne, 1729, p. 33.

[43] Bibliothèque nationale (Estampes, Na 22, fol. 26).

[44] Il y a un portrait d’Yves d’Alègre à la Bibliothèque nationale (Estampes, Na 21 a, fol. 32). C’est le seul connu de lui.

[45] Annales de la ville d’Issoire, publiées par J. Bouillet, Clermont-Ferrand, 1848, in-8o p. 232 et suivantes.

[46] Voyez à ce sujet les Observations sur Alexandre et sa clef, t. I du Journal de Henri III, édit. de 1720, p. 275. Voir aussi Brantôme (édit. Lalanne), t. IX, p. 266.

[47] Bibliothèque nationale (Estampes, Na 21 a, fol. 85). C’est le seul portrait connu de Mme de Saint-Mars.

[48] Consulter à ce sujet la Bibliothèque de l’École des chartes, 5e série, t. I.

[49] Bibliothèque nationale (Estampes, Na 22, fol. 43). Ce portrait de César Vendôme est signé Fulonius fecit.

[50] La Bibliothèque nationale possède un crayon signé Quesnel qui paraît être l’original d’après lequel Thomas de Leu grava sa planche, et six autres dessins représentant Gabrielle à différents âges. Il y a un portrait peint au Musée de Blois (2e tableau de la 3e travée).

[51] La légende porte: GAB. DES. TREZ. DVC. DE. BEAVFORT.

[52] Bibliothèque nationale (Estampes), collection Édouard Fleury, VII, 37.

[53] Journal de Henri III, année 1578.

[54] Bibliothèque nationale (Estampes, cartons alphabétiques, Liancourt). Il y a trois crayons différents de la même dame. Il y a un portrait peint au Musée de Blois (4e travée, 2e tableau).

[55] Bibliothèque nationale, ms fr. 7856, fol. 1473.


TABLE DES MATIÈRES

  PAGE
I 1
II 13
DIANE DE POITIERS. 13
LES REINES. 19
LES DAMES. 37

ILLUSTRATIONS

Page
ELISABETH DUVAL Frontispice
DIANE DE POITIERS en 1537 13
MARIE STUART, Reine de FRANCE et d’ÉCOSSE 19
ÉLISABETH D'AUTRICHE, Reine de FRANCE, en costume de deuil 23
ÉLISABETH DE VALOIS, Reine d’ESPAGNE 27
MARGUERITE DE VALOIS à 20 ans 33
LOUIS DE BÉRENGER DU QUAST, Mignon de HENRI III 36
MARIE TOUCHET, depuis Dame d’ENTRAGUES 37
ISABEAU DE LA TOUR-LIMEIL, depuis dame de SARDINI, vers 1564 40
CLAUDE-CATHERINE DE CLERMONT, Duchesse de RETZ, en 1570 environ 43
FRANÇOISE DE LA BAUME-MONTREVEL, Dame de CARNAVALET 45
FRANÇOISE BABOU, Dame d’ESTRÉES, Mère de la Belle GABRIELLE 45
FRANÇOISE DE MONTMORENCY-FOSSEUX, dite la _BELLE FOSSEUSE_ 50
HENRI IV à 20 ans 52
GABRIELLE D’ESTRÉES en 1595 environ 53
ANTOINETTE DE PONS, Marquise de GUERCHEVILLE 56


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