Le jour du Seigneur
DEUXIÈME PARTIE
Nous avons regardé le dimanche du côté de Dieu.
Regardons-le du côté de l’homme.
Le travail et le repos constituent la vie. C’est la loi, et nul ne la viole sans mourir. La mort est la sanction naturelle de la loi du repos. La parole de Dieu à Moïse ne nous permettra, à aucun point de vue, de l’oublier un moment.
Il faut donner et recevoir, travailler et se reposer, ou bien il faut mourir. Le repos n’est pas seulement compatible avec le travail. Il lui est absolument et rigoureusement nécessaire. Quand vous concevrez la mer avec un flux sans reflux, vous concevrez l’homme avec un travail sans repos, et quand l’arc-en-ciel sera le symbole du désespoir, le repos sera l’ennemi et le rival du travail.
De quelque façon qu’on prenne le mot travail, la loi du repos rencontrera son accomplissement nécessaire.
Mais parlons du travail le plus dur en apparence. Parlons de l’ouvrier qui se refuse le septième Jour, parlons du pauvre.
Parmi les noms les plus ordinairement rapprochés dans l’Écriture, dans le langage de l’Église et dans la vie des Saints, il faut citer deux noms qui se suivent à peu près toujours, qui ne peuvent pas se quitter, qui s’appellent et se répondent ; ces deux noms, les voici :
DIEU ET LE PAUVRE.
La connexité est telle, qu’on est certain, quand on vient d’entendre l’un, d’entendre l’autre au bout d’un instant. C’est un peu l’effet que produit la rime quand on entend lire des vers. On dirait que ces deux mots : Dieu et le pauvre riment ensemble dans quelque langue inconnue, dont les vestiges surhumains, égarés parmi nous, nous donnent l’impression d’une poésie gigantesque et oubliée.
Or, le pauvre a besoin du septième Jour. Celui qui viole le Dimanche se révolte à la fois contre la gloire de Dieu et contre sa miséricorde. Les intérêts de Dieu, si l’on peut parler ainsi, et les intérêts du pauvre sont toujours identiques. Les paroles du jugement dernier sont là pour nous l’apprendre. La misère et la gloire réclament toutes deux le repos du septième Jour. Dieu et le pauvre poussent le même cri. Le bœuf n’est pas étranger au besoin de son maître. Les animaux balbutient à leur manière comme des échos faibles et courts, la loi du monde qu’ils ne connaissent pas, mais qu’ils sentent peser sur leurs membres après le travail des six jours. Entre Dieu et Moïse, le bœuf n’a pas été oublié.
Tout trouve place parmi de telles grandeurs, et il n’y a pas de petit détail pour celui qui voit l’importance des brins d’herbe. Celui qui communique la majesté, quand il regarde, ne trouve aucune créature indigne de son regard.
Voulez-vous savoir où en est une civilisation ? Regardez-la vis-à-vis de Dieu et vis-à-vis du pauvre. Toujours ces deux regards porteront le même jugement.
Le repos étant une nécessité absolue, l’ouvrier qui ne se repose pas le Dimanche se reposera le lundi ; car il faut bien qu’il se repose.
Satan, qui est le singe de Dieu, s’exerce ici, comme toujours, dans la parodie.
Le Seigneur ayant choisi son Jour, Satan a voulu le sien.
Le repos du lundi est celui que Satan prépare à l’ouvrier.
Le Dimanche est le repos du sanctuaire.
Le lundi est le repos du cabaret.
Il y a deux coupes, celle du Dimanche et celle du lundi. Et au fond de chacune des deux coupes, il y a une ivresse.
Le Dimanche rapprocherait l’homme de l’Ange.
L’ivresse du lundi le met au-dessous de l’animal.
L’ivresse est une révélation. J’y vois la preuve de cet immense besoin qui pousse l’homme à sortir de lui-même et qui devrait le plonger dans l’ivresse du Saint-Esprit.
Le repos du Dimanche est, pour l’ouvrier, la condition même du travail des six jours.
Le repos du lundi produit la paresse des six jours.
Le repos du Dimanche pousse à l’action.
Le repos du lundi pousse à l’inaction.
Le repos du Dimanche constitue et prépare l’ordre.
Le repos du lundi constitue et prépare le désordre.
Le repos du Dimanche est et prépare l’économie.
Le repos du lundi est et prépare la ruine.
Le repos du Dimanche est et prépare la paix de la famille.
Le repos du lundi est et prépare la discorde dans la famille. La querelle et la fureur l’accompagnent et le suivent.
Or, la famille, c’est la société.
Le repos du lundi, c’est la dispute dans la maison, et la bataille dans la rue.
Le repos du Dimanche laisse une traînée lumineuse qui éclaire le travail des six jours.
Le repos du lundi laisse derrière lui une fumée qui assombrit la semaine.
Le repos du Dimanche est fécond.
Le repos du lundi est stérile.
Le repos du Dimanche établit entre l’ouvrier, le savant et l’artiste, une relation de paix qui fait l’harmonie entre leurs âmes et leurs travaux.
Le repos du lundi produit la haine et alimente la paresse.
Le repos du Dimanche est le ciment de la cité.
Le repos du lundi en est le dissolvant.
Le repos du Dimanche est à la base de tous les grands monuments.
Le repos du lundi est le laboratoire où se fait l’amalgame d’où sortent les grandes catastrophes.
Car la parole méprisée se change en fait, et quiconque n’a pas voulu entendre finit par voir.
Nous avons vu.
Et plus la parole est haute, plus elle a paru vaporeuse, nuageuse, vaine, ridicule, plus l’accomplissement est palpable, éclatant, visible, tangible, matériel.
Ce qui produit la ruine, les coups de couteau, les coups de fusil, les coups de canon, le meurtre, l’affolement, l’incendie, c’est le sourire moqueur d’un petit homme qui dit que les Saints sont des rêveurs et que les Prophètes sont des fous.
Me direz-vous qu’à la rigueur, l’ouvrier qui a travaillé le Dimanche, peut aussi travailler le lundi, et que par là, le cabaret est écarté avec ses conséquences.
Examinons, sans la discuter, cette hypothèse invraisemblable.
Si l’ouvrier qui a travaillé le Dimanche se repose le lundi, la société est sauvage.
Si l’ouvrier qui a travaillé le Dimanche travaille le lundi, la société est barbare.
XII
L’état sauvage consiste dans le développement arbitraire et injuste des fantaisies de l’individu. Dans l’état sauvage, la société ne protége personne contre personne, puisqu’elle n’existe pas. Elle est remplacée par la juxtaposition. Le plus fort opprime ou tue le plus faible. La sauvagerie est l’assassinat de tous par chacun.
L’état barbare consiste dans le développement arbitraire et injuste des fantaisies de la communauté. Dans la barbarie, la société ne protége personne contre elle-même, car elle n’existe pas ; elle est remplacée par la communauté. Le monstre, qui est le plus fort, et qui s’appelle tous, opprime et tue chacun. La barbarie est plus contraire au sentiment humain que la sauvagerie, parce que la collection, devenue oppressive, est plus stupide et plus féroce que l’individu. Le monstre tous, devenu furieux, affamé, dévorant, est plus impossible à instruire ou à attendrir qu’un individu ou qu’un animal. L’état barbare est plus contraire à la nature que la vie animale, ou végétative, ou simplement moléculaire.
La sauvagerie est l’assassinat de tous par chacun. La barbarie est l’assassinat de chacun par tous.
Or, la barbarie produit, comme accident, la sauvagerie, parce que la collection féroce, occupée à tuer, à brûler, et à mordre, livre chaque individu aux fureurs de l’autre.
La civilisation est l’exercice légitime des facultés de l’individu, protégé, sanctionné, consacré par la société intelligente.
Dans l’état de civilisation, chaque homme marche dans sa voie, suivant ses aptitudes et sa vocation particulière, sous la protection d’une société organisée. Dans l’état civilisé, le pouvoir est la consécration sublime, humaine et divine de la société. L’autorité doit être la main de la force suspendue sur l’intelligence et sur l’amour pour les protéger contre leurs ennemis et leur ouvrir les portes de la carrière où ils doivent courir légitimement.
La sauvagerie a pour caractère la guerre privée. La barbarie a pour caractère la guerre publique. La civilisation a pour caractère la paix sublime, qui est la lutte magnifique des forces convergeant vers la gloire.
XIII
Si l’homme qui travaille des mains a, sous peine de mort, besoin du Repos Sacré, les autres travailleurs subissent précisément la même nécessité, et cette solidarité établirait entre eux, si elle était vue et sentie, une amitié qui les étonnerait.
L’homme d’affaires, le savant, quiconque se répand au dehors par un travail extérieur, toujours fatiguant, même s’il n’en a pas l’air, a besoin d’un repos vrai.
Ceux qui ne connaissent pas la nature du repos pourront le confondre avec l’ennui.
Ceux qui le connaissent savent que le repos est directement le contraire de l’ennui, son antidote, son remède.
L’ennui, c’est le repos du lundi.
Beaucoup de gens regardent comme ennuyeux le Repos du Seigneur. Quelques-uns parmi ceux-là se déclarent chrétiens et se rangent parmi les bons. Mais ils craignent que le Seigneur ne devienne, pendant l’éternité, monotone aux élus.
Ils oublient que Dieu est Acte pur, et que Jésus-Christ est venu allumer le feu sur la terre.
Et parce que les hommes ont refusé son feu, Satan a allumé le sien.
Le repos du Dimanche est un recueillement. Mais il doit être organique et non pas mécanique.
Le Dimanche est un adorateur en Esprit et en Vérité.
La terre, dit Jérémie, est pleine de désolation, parce qu’il n’y a personne qui réfléchisse dans son cœur.
Le recueillement est la réflexion du cœur.
L’homme s’est dissipé ; il se recueille.
Il s’est dépensé ; il se répare.
Il a donné aux autres ; il demande à Dieu.
L’homme réfléchit dans son esprit, quand il se répand au dehors ; il réfléchit dans son cœur, quand il se recueille au fond de lui.
Le Dimanche est le jour du cœur.
Les souvenirs de l’homme et de son commerce divin sont plus profonds et plus intimes ce jour-là.
Le Jour de Dieu ressemble à ce silence d’une demi-heure, dont il est question dans l’Apocalypse.
La vie humaine est remplie de chocs et de faux mouvements. Elle est un combat où chacun blesse les autres et se blesse lui-même.
Que de choses accomplies dans la semaine qui demandent une réparation ! Une réconciliation intime et spirituelle des créatures ne serait-elle pas le Dimanche, si le monde était chrétien, une des préparations, une des fêtes de l’aurore ?
Le repos du Dimanche est l’Ange gardien de la vie.
L’homme reçoit un ordre dont il ne comprend pas la beauté. Il le prend pour un caprice et se révolte. A la sortie de l’obéissance, la mort est là, qui attend sa proie.
L’homme souffre et meurt, il apprend par une expérience épouvantable la valeur de l’ordre qu’il avait reçu.
Les choses extérieures qu’il croyait indifférentes à cet ordre, se déclarent dépendantes de lui, violées par la désobéissance humaine, et prêtes à punir le coupable. Les choses inanimées se conduisent alors comme si elles étaient portées à la vengeance.
L’homme croyait avoir négligé un caprice, ou traité légèrement une mesure arbitraire, vieillie, ennuyeuse, surannée ! Il a porté le trouble dans le cœur même de la vie. Il a blessé l’harmonie des mondes à la prunelle de l’œil. Il a porté la main sur la chose que le Seigneur s’était réservée, l’ayant soustraite aux atteintes de la créature. Il a commis contre le nom terrible et le repos sacré un attentat incommensurable, et sa vue est trop courte pour l’embrasser, son esprit trop étroit pour le saisir, et son cœur n’est pas de force à le peser.
L’adoration de Dieu, le Nom de Dieu, le Repos de Dieu se touchent et se succèdent dans les commandements de Dieu et dans l’histoire des choses de Dieu.
Et quand l’expérience a donné la leçon qui se paye cher, l’homme se retrouve en face de la parole qu’il a méprisée, et il dit dans son cœur :
Si j’avais su !
XIV
L’Écriture commence par la Genèse et finit par l’Apocalypse.
Le Genèse et l’Apocalypse célèbrent tous deux le jour du repos. Le Genèse nous dit le repos du Dieu créateur ; l’Apocalypse, le repos du Dieu rédempteur.
L’arche de Noë se reposait après le déluge, sur le mont Ararat, quand les sept couleurs, apparaissant pour la première fois dans les nuages, annoncèrent au ciel et à la terre qu’une alliance venait de se conclure.
Les sept sacrements annoncèrent au ciel et à la terre que sept torrents étaient lancés par où le sang du Rédempteur devait féconder les siècles.
Les sept dons du Saint-Esprit achevant, consommant, éclairant l’œuvre divine, annoncèrent au ciel et à la terre que le Seigneur avait trouvé, dans l’âme des saints, le lieu de son Repos.
Les choses humaines, quand elles sont justes et vraies le sont par un côté, sous un rapport, par un point. Il est rare et peut-être impossible qu’une institution purement humaine ne paye pas ses avantages par de sérieux inconvénients. Quelquefois les inconvénients sont tels qu’on finit par se demander de quel côté penche la balance. La nature des choses purement humaine est d’avoir des inconvénients, et les meilleures coutumes ou les meilleures dispositions ne touchent la vérité que par certains points isolés qui laissent désirer et regretter tout le reste.
La vie humaine se compose d’éléments si multiples et si hétérogènes, qu’il est bien difficile de soigner certains intérêts, sans oublier ou sans léser les autres. On fait la part de l’un, la part de l’autre. Chacun d’eux est mécontent de la sienne, et le troisième se plaint d’avoir été oublié. C’est une lutte, c’est un conflit, c’est la réclamation perpétuelle, contentieuse, contradictoire des intérêts opposés, qui plaident au nom de quelqu’un, contre quelqu’un. Et quelquefois la sagesse humaine aboutit à des conciliations provisoires, à des sacrifices mal acceptés, à des palliatifs très-imparfaits.
La parole divine a une vertu contraire. Quand on l’entend, on la sent vraie d’une vérité pleine, entière, vraie à tous les points de vue.
Le repos du Dimanche est la loi générale, universelle qui s’impose à tous, profite à tous, ne nuit à rien et à personne. Elle contient, porte et donne une vérité qui enveloppe la création, oblige toute créature, et l’oblige en la secourant. Cette obligation est une miséricorde, une lumière, un bienfait.
Vraie du côté de Dieu, vraie du côté de l’homme, et du côté de chaque homme, quel que soit son caractère et son travail, vraie du côté des animaux, vraie du côté de la nature, vraie du côté des choses visibles, et des intérêts connus, vraie du côté des choses invisibles et des intérêts inconnus, vraie du côté de l’individu, vraie du côté de la société, vraie du côté du temps, vraie du côté de l’éternité, liée à la chaîne des vérités, à la chaîne des lois, et à la chaîne des événements par la main qui a lié les étoiles pour faire les constellations, proclamée par la bouche de celui qui sait tout, sanctionnée par son bras tout puissant, la loi du Dimanche enveloppe les personnes et les choses dans sa sagesse et dans sa profondeur. Nul ne la viole et nul ne l’élude sans produire quelque trouble à la fois évident et mystérieux, visible à la surface et insondable au-dessous. Le profanateur du Dimanche voit ce qu’il fait en apparence. Il ne voit pas ce qu’il fait en réalité. Il voit l’acte de son bras, il ne voit pas l’acte de son âme. Il ne peut pas le suivre à travers le dédale des choses.
Sa vue est trop courte pour qu’il suive du regard son attentat. Si les horizons s’élargissant tout à coup lui livraient les secrets de la vie et de la mort, il serait foudroyé par le spectacle qu’il aurait sous les yeux. S’il pouvait suivre son attentat à travers les domaines de la création, et voir son œuvre s’accomplir partout où elle s’accomplit, il sentirait le poids d’une parole divine. Il apprendrait ce que c’est de désobéir à celui qui parle, voyant tout, sachant tout, et pouvant tout. Après avoir suivi du regard son acte dans ce temple, il le verrait dans l’éternité, où il est attendu par la justice, ou attendu par la miséricorde.
Voici une autre manière d’exprimer la même vérité. Le nom de celui qui a consacré le Dimanche par sa résurrection s’appelle
JÉSUS.
Jésus, c’est-à-dire Sauveur.
Celui qui veut le repos du Dimanche est celui qui est mort pour le salut des hommes, qui est leur Sauveur. Il est nécessaire, pour approfondir le commandement, d’approfondir le nom de celui qui commande. Il commande par la bouche de l’Église universelle. Il commande le repos du Dimanche. Il le commande dans sa miséricorde, pour que l’homme ne tombe pas sous le fardeau, dans sa justice, afin que le plus fort n’abuse pas du plus faible, dans sa gloire, afin que la réserve du Seigneur soit donnée au Seigneur.
Résumons-nous.
L’exception confirme la loi. Le Dimanche, est l’Ange Gardien de la semaine.
Il faudrait mesurer le Repos de Dieu en lui-même, et le Repos de Jésus-Christ dans sa résurrection, pour mesurer l’attentat qui nous est marqué par son énormité même. Les petites choses sont celles que nous voyons le mieux.
La parole de Dieu est aussi universelle que pénétrante, aussi pénétrante qu’universelle. Elle est plus perçante que la pointe du glaive, plus profonde que l’Océan, plus étendue que les cieux, plus éclatante que le tonnerre.
Le temps et l’éternité prolongent son retentissement par toutes les voix qu’ils possèdent. L’écho de toutes les montagnes, l’écho de toutes les vallées, l’écho de tous les abîmes répètent et répéteront :
Et Dieu dit à Adam : « tu mangeras de tous les fruits du Paradis.
« Mais tu ne mangeras pas du fruit de l’arbre de la Science du Bien et du Mal. Le jour où tu en auras mangé, tu mourras de mort. »
Et Dieu parla à Moïse, disant :
« Parle aux fils d’Israël et dis-leur : « Veillez à garder mon sabbat, parce qu’il est le signe entre moi et vous, dans les générations, afin que vous sachiez que je suis le Seigneur qui vous sanctifie. Gardez mon sabbat ; car il est saint : celui qui l’aura violé :
« MOURRA DE MORT. »
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