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Les femmes et les livres

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NOTES

[1] L'épithète est de George Sand, qui, plus sans doute pour plaisanter que pour attester sa «haine du livre», ajoutait ce mot à sa signature. (Voir ci-dessous, p. 26.)

[2] Chap. IV, p. 39-40; traduction Cocheris.

[3] Cité par Octave UZANNE, Zigzags d'un curieux, Les femmes bibliophiles, p. 31.

[4] Ouvrage cité, p. 30-32.

[5] Paul EUDEL, le Truquage, Livres et Reliures, p. 275 (Paris, Dentu, 1887).

[6] Pages 36 et 94.

[7] Préface du catalogue de sa bibliothèque: dans le journal le Temps, 25 février 1901.

[8] Pages XI-XII.

[9] «Pourquoi les livres coûtent-ils si bon marché et les bibelots si cher? C'est que les femmes adorent les bibelots et qu'elles ne s'intéressent pas aux livres. Le bibelot est décoratif, on le met dans son salon, on l'accroche aux murs; tout le monde le remarque et s'extasie...» (Adolphe BRISSON, Portraits intimes, Un amateur de vieux livres [Xavier Marmier], p. 24.) Ailleurs encore (le Livre et la Femme, dans la République française, 3 octobre 1899), M. Adolphe Brisson est revenu à la charge: «Les jouissances dues aux livres demeurent inaccessibles à la plus belle moitié du genre humain. Non seulement elle ne les apprécie pas, mais je doute qu'elle les soupçonne. C'est un domaine qui lui est en quelque sorte étranger... Les femmes d'aujourd'hui adorent le bibelot; elles recherchent avec fureur les meubles, les faïences, les bois sculptés, les soies, les dentelles, les éventails, les verres de Bohême et de Venise, les porcelaines de Saxe, les bijoux, les chiffons, les lustres de cristal taillé; elles font des folies pour une gouache de Lancret ou une gravure à toutes marges de Moreau le jeune. Les livres les laissent indifférentes. Ils ont le tort de ne pas parler aux yeux. On ne les aperçoit pas du premier coup en entrant dans le salon. Il faut se donner la peine de les découvrir au fond de la cachette où ils abritent leur modestie.»

[10] Année 1875, p. 262; article intitulé: Les ennemis des livres.

[11] Les livres et leurs ennemis, p. 15.

[12] Page 15. Cet élégant opuscule de 64 pages, publié à Lyon, chez H. Georg, en 1879, et devenu extrêmement rare, est anonyme: Étienne Mulsant l'a signé: UN BIBLIOPHILE.

[13] Cette antipathie de Chateaubriand pour les livres serait incroyable, si elle n'était avouée et proclamée par lui-même et par Mme de Chateaubriand. La quantité de citations répandues dans le Génie du Christianisme, l'Analyse raisonnée de l'Histoire de France, les Études historiques, etc., attestent, au contraire, que Chateaubriand avait beaucoup lu et continuait de beaucoup lire, surtout des Mémoires sur l'Histoire de France. Remarquons aussi que, lorsqu'il fut arrêté et conduit à la Préfecture de Police, en juin 1832, il ne manqua pas de se faire envoyer, par sa femme, «des bougies et des livres pour lire la nuit». (Cf. Mémoires d'Outre-tombe, t. V, p. 521; édition Edmond Biré; in-18.)

[14] Cf. SAINTE-BEUVE, Chateaubriand et son groupe littéraire, vingtième leçon, t. II, p. 70-71, note. Dans cette même note, Sainte-Beuve écrit: «Chateaubriand était capable, avait surtout été capable, dans sa jeunesse, de ces poussées et de ces fougues d'érudition; mais il ne savait ni revoir, ni vérifier, ni donner le dernier coup d'œil aux choses. Aussi, dans les parties d'ouvrage qu'il a publiées dans sa vieillesse, et qui auraient exigé ce genre d'attention, y a-t-il des erreurs et des inexactitudes sans nombre. La plupart des pages érudites qui s'y glissent ou qui s'y fourrent lui ont été procurées par des amis. Lui, il avait une antipathie et une aversion bien singulières de la part d'un quasi-historien: il ne pouvait souffrir les livres.»

Ce qui n'empêcha pas Chateaubriand d'insérer, dans une note de son Itinéraire de Paris à Jérusalem (t. II, p. 48; Paris, Didot, 1877), ces très judicieuses considérations, toujours d'actualité: «Aujourd'hui, dans ce siècle de lumières, l'ignorance est grande. On commence par écrire sans avoir rien lu, et l'on continue ainsi toute sa vie. Les véritables gens de lettres gémissent en voyant cette nuée de jeunes auteurs qui auraient peut-être du talent s'ils avaient quelques études. Il faudrait se souvenir que Boileau lisait Longin dans l'original, et que Racine savait par cœur le Sophocle et l'Euripide grecs. Dieu nous ramène au siècle des pédants! Trente Vadius ne feront jamais autant de mal aux lettres qu'un écolier en bonnet de docteur.»

Ajoutons que, malgré son antipathie pour les livres, Chateaubriand,—c'est lui du moins qui le raconte,—faillit être nommé par Napoléon surintendant général de toutes les bibliothèques de France: «Il (Bonaparte) déclare à Fontanes que, puisque l'Institut ne me trouve pas digne de concourir pour le prix, il m'en donnera un, qu'il me nommera surintendant général de toutes les bibliothèques de France, surintendance appointée comme une ambassade de première classe.» (Mémoires d'Outre-tombe, t. III, p. 52; édition Edmond Biré; in-18.)

[15] Mémoires d'Outre-tombe, t. II, Appendice, p. 595, édition Edmond Biré. Voici l'aventure, telle qu'on la trouve dans l'ouvrage Victor Hugo raconté par un témoin de sa vie (1818-1821, p. 239; Paris, Hetzel-Quantin, s. d., in-16): «... Mme de Chateaubriand entra dans le cabinet de son mari. Elle n'avait jamais paru connaître Victor (Hugo); il fut donc fort étonné de la voir venir à lui, le sourire aux lèvres, «Monsieur Hugo, lui dit-elle, je vous tiens, et il faut que vous m'aidiez à faire une bonne action. J'ai une infirmerie pour les vieux prêtres pauvres. Cette infirmerie me coûte plus d'argent que je n'en ai; alors j'ai une fabrique de chocolat. Je le vends un peu cher, mais il est excellent. En voulez-vous une livre?—Madame,» dit Victor, qui avait sur le cœur les grands airs de Mme de Chateaubriand et qui éprouva le besoin de l'éblouir, «j'en veux trois livres.» Mme de Chateaubriand fut éblouie, mais Victor n'eut plus le sou.»

[16] Cité par François FERTIAULT, les Amoureux du livre, p. 197-198.

[17] Au début de la Restauration, Chateaubriand possédait une bibliothèque, qui fut vendue à Paris, à la salle Sylvestre, rue des Bons-Enfants, le 29 avril 1817 et les jours suivants. (Cf. Mémoires d'Outre-tombe, t. IV, p. 145 et note 1, édition Edmond Biré.) Dans un appendice du même ouvrage (t. VI, p. 563), on lit: «Peu de temps avant sa mort, Chateaubriand tint à donner à Henri de France un dernier témoignage de sa fidélité. Par une disposition à part son testament, disposition particulière recommandée à sa famille, et dont un double fut remis au comte de Chambord, il donna à ce dernier le petit nombre de ses livres de choix, quelques-uns annotés, ceux qu'il relisait, disait-il, afin de servir aux loisirs et à l'instruction du prince.»

[18] Renseignement verbal fourni par le libraire T. D......

[19] Bibliographie de la France, 3 juillet 1908, supplément. Conférence sur «la Clientèle».

[20] Mme ÉMILE DE GIRARDIN, le Vicomte de Launay, Lettres parisiennes, 16 décembre 1837, t. I, p. 288-289 (Paris, Calmann Lévy, 1878).

[21] Les Légendes du Livre, p. 27 (Paris, Lemerre, 1886).

[22] Année 1867, t. III, p. 170.

[23] Renseignement verbal.

[24] Renseignement verbal.

[25] François FERTIAULT, les Légendes du Livre, p. 110 et 201; et le poète ajoute plaisamment: «N'est-ce pas à les déshériter toutes?»

[26] Gustave MOURAVIT, le Livre et la Petite Bibliothèque d'amateur, p. 28.

[27] «A Paris, les femmes ne lisent jamais,» déclare formellement Balzac, dans sa Physiologie du mariage (Méditation XI, p. 120; Paris, Librairie nouvelle, 1876);—ce qui ne l'a pas empêché d'écrire beaucoup pour les femmes.

[28] Paul DUPONT, Histoire de l'imprimerie, t. II, p. 177;—et Alexandre DUMAS, Mémoires, t. V, p. 123.

[29] George SAND, Correspondance, t. VI, p. 348.

[30] Cf. le journal le Temps, 12 novembre 1909, article relatif à une monographie de M. Félix Bouvier consacrée à la fameuse ballerine de l'Opéra, qui mérita d'être surnommée «la Malibran de la danse». La Bigottini passe pour avoir eu quantité d'adorateurs et des rejetons de divers lits. Parmi les soupirants, on cite: Eugène de Beauharnais; Duroc, le grand maréchal du palais, dont elle eut deux enfants; le comte de Fuentès, dont elle eut une fille. Elle eut encore un fils, que d'aucuns attribuaient au duc de Berry, mais que M. Félix Bouvier restitue (avec des semblants de probabilité) à un archiduc autrichien de passage à Paris. Bourbon ou Habsbourg, ce fils vécut jusqu'à l'âge de quatre-vingt-cinq ans. Il est mort en 1903 à Passy, rue des Vignes, dans l'hôtel qu'il avait hérité de sa mère et qui a été récemment démoli. Associé d'agent de change, il laissa toute sa fortune à l'Assistance publique, qui, avec les fonds, a créé, à Aulnay-sous-Bois, l'asile Bigottini.

[31] J'aurais pu remonter plus haut, chercher, dans l'antiquité grecque et dans l'antiquité latine, les rares femmes amies des livres et des lettres, nommer Aspasie, Leontium, Hypatie, etc. A défaut de ces préliminaires, voici d'intéressantes considérations empruntées à SAINTE-BEUVE (Nouveaux Lundis, t. IX, p. 390):

«Dans l'Antiquité..., si quelques femmes s'éprenaient hautement pour le talent, pour le génie, pour la sagesse, c'est parmi les femmes libres qu'il les faut chercher, parmi les hétaïres ou courtisanes. Aspasie, Leontium, qui s'éprirent pour Périclès ou pour Épicure, étaient de cette classe brillante et vouée à une publicité qui ôtait au don du cœur son plus grand charme et son prix. Passons vite. C'est un sujet de thèse que je propose à d'autres: la passion littéraire et le goût de l'esprit chez les femmes dans l'Antiquité. La femme de Mantinée, Diotime, qui est invoquée dans le Banquet de Platon, et qui dit de si belles choses par la bouche de Socrate, est une initiée, une sorte de prêtresse ou de femme docteur ès sciences amoureuses et sacrées, et elle sort des conditions ordinaires. En général, les femmes honnêtes, renfermées dans le gynécée, pouvaient orner leur esprit, mais elles contenaient leurs prédilections au-dedans. Les Pénélope ne filaient et ne brodaient, même en matière d'esprit, que pour leurs époux. Chez les Romains, en ceci assez pareils aux Grecs, Calpurnie, la femme de Pline le Jeune, était assurément une femme lettrée et des plus cultivées par l'étude, mais à l'usage et en l'honneur de son mari seulement: à force de tendresse conjugale et de chasteté même, elle s'était faite tout entière à son image, lisant et relisant, sachant par cœur ses œuvres, ses plaidoyers, les récitant, chantant ses vers sur la lyre, et, quand il faisait quelque lecture publique ou conférence, l'allant écouter comme qui dirait dans une loge grillée ou derrière un rideau, pour y saisir avidement et boire de toutes ses oreilles les applaudissements donnés à son cher époux.»

[32] Augustin THIERRY, Récits des temps mérovingiens, cinquième récit; t. II, p. 146-147 (Paris, Furne, 1868; in-18).

[33] Augustin THIERRY, ouvrage cité, p. 157-158.

[34] Dans Augustin THIERRY, ouvrage cité, p. 159, note 2.

[35] Augustin THIERRY, ouvrage cité, p. 159.

[36] Ouvrage cité, p. 164.

[37] Cf. Ludovic LALANNE, Curiosités bibliographiques, p. 150.

[38] René MÉNARD, l'Art en Alsace-Lorraine, p. 242.

[39] Histoire des artistes de l'Alsace pendant le moyen âge, dans René MÉNARD, ouvrage cité, p. 18-31, où l'on trouve de nombreux et intéressants détails sur le Hortus deliciarum, «l'exemple le plus complet des traditions byzantines dans la miniature», et plusieurs reproductions de dessins ou de miniatures provenant de ce célèbre manuscrit et calqués avant sa destruction.—On pourrait rappeler encore ici le nom de l'abbesse du monastère de Gandersheim (Brunswick), ROSWITH ou ROSWITA (Xe siècle), auteur de poésies religieuses écrites en latin, et de celle du monastère de Saint-Rupert de Bingen (près de Mayence), SAINTE HILDEGARDE (1098-1180), qui composa, sous le titre de Jardin de santé, un répertoire de recettes médicales, souvent des plus bizarres. Hildegarde, exaltée mystique, s'est principalement occupée de botanique et d'histoire naturelle.

[40] Bulletin du bibliophile, 14e série, 1860, p. 1429-1446; article intitulé: Une martyre bibliophile.

[41] Cf. Eugène ASSE, les Bourbons bibliophiles, p. 3.

[42] Eugène ASSE, ouvrage cité, p. 67-68.

[43] Gustave MOURAVIT, ouvrage cité, p. 415.

[44] Cf. LAROUSSE, Grand Dictionnaire;—MICHAUD, Biographie universelle;—Ludovic LALANNE, Dictionnaire historique de la France;—etc. Je profite du nom de Christine de Pisan, originaire de Venise, pour remarquer que, de même que j'ai laissé en dehors de mes recherches les femmes bibliophiles de l'antiquité, je ne m'occupe qu'accidentellement des bibliophiles étrangères à la France. Sur les femmes qui ont aimé les livres et cultivé les lettres en Italie, à l'époque de la Renaissance, on trouve d'intéressants détails dans l'ouvrage de M. Lefebvre Saint-Ogan, De Dante à l'Arétin, principalement au chapitre X, p. 249-281 (Paris, Quantin, 1889). Dans son Roland furieux, l'Arioste donne une longue liste d'illustres italiennes amies des lettres, liste reproduite par M. Lefebvre Saint-Ogan, dans ledit volume, p. 254.

[45] Charles ROZAN, Petites Ignorances historiques et littéraires, p. 82, note 5.

[46] Eugène ASSE, ouvrage cité, p. 68-70.

[47] Cf. Léopold DELISLE, le Cabinet des manuscrits, t. I, p. 50.

[48] Cf. Gustave MOURAVIT, ouvrage cité, p. 378;—et A. DE CHAMPEAUX, le Meuble, t. I, p. 76-77.

[49] Cf. COMMINES, Mémoires, p. 766, édition Chantelauze;—et le Magasin pittoresque, avril 1869, p. 111.

[50] Œuvres complètes, Recueil des Dames, t. X, p. 273 (Bibliothèque elzévirienne).

[51] Et aussi à Élisabeth d'Angleterre et à Catherine II de Russie: cf. BRANTÔME, ouvrage cité, t. X, p. 272, note 2.

[52] BRANTÔME, ouvrage cité, t. X, p. 272; et Vies des dames illustres, p. 263 (Paris, Garnier, 1877).

[53] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, les Femmes bibliophiles de France, t. II, p. 368.

[54] BRANTÔME, ouvrage cité, t. X, p. 5.

[55] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 374.

[56] LECOY DE LA MARCHE, les Manuscrits et la Miniature, p. 240 (Paris, Quantin, s. d.).

[57] Cf. ID., ouvrage cité, p. 242.

[58] Paul LACROIX (bibliophile Jacob), Louis XII et Anne de Bretagne, p. 381-382.

[59] Paul LACROIX, ouvrage cité, p. 386-387.

[60] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 366.

[61] Le Courrier littéraire, 10 mars 1877, p. 12, article intitulé: Lucrezia Borgia, signé: M. CORIOLIS.

[62] Cf. Auguste VITU, Histoire de la typographie, p. 92 (Paris, Delagrave, 1892).

[63] Cf. François FERTIAULT, les Amoureux du livre, p. 341;—et LAROUSSE, ouvrage cité.

[64] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 363.

[65] Cf. MORÉRI, le Grand Dictionnaire historique, article Tour, t. X, p. 279 (Paris, Libraires associés, 1759);—et Joannis GUIGARD, Nouvel Armorial du bibliophile, t. I, p. 171.

[66] Ernest QUENTIN-BAUCHART, les Femmes bibliophiles de France, XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles; Paris, Damascène-Morgand, 1886; 2 vol. in-8. Nombreuses planches de reliures aux armes, reproduites en héliogravure. Tirage à 350 exemplaires. J'ai déjà eu et j'aurai encore fréquemment et amplement recours à ce grand ouvrage, ainsi qu'à celui de Joannis GUIGARD, Nouvel Armorial du bibliophile, Guide de l'amateur des livres armoriés; Paris, Émile Rondeau, 1890, 2 vol. in-8. Une partie du tome I du Nouvel Armorial (pages 87-210) est tout entière et exclusivement consacrée aux femmes bibliophiles ayant fait apposer leurs armoiries sur leurs livres.

[67] Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, Avertissement, t. I, p. 3.

[68] Tome I, p. 87.

[69] Ces considérations s'appliquent surtout à la société du dix-huitième siècle: voir plus loin, p. 240, une note relative à la bibliothèque de Mlle Le Duc.

[70] Causeries du lundi, t. VI, p. 182. Au quinzième siècle, nous avons eu une autre Marguerite, à qui nous devons un particulier et célèbre témoignage de son affection pour les lettres; c'est MARGUERITE D'ÉCOSSE (1424-1444), fille du roi d'Écosse Jacques Ier, qui fut la première femme de Louis XI, alors dauphin. Ayant un jour aperçu le poète et chroniqueur Alain Chartier endormi sur une chaise, elle s'approcha de lui et lui donna un baiser, «chose dont s'estant quelques-uns esmerveillés, parce que nature avait enchâssé en lui un bel esprit dans un corps laid,» la princesse leur répondit qu'elle n'avait pas baisé l'homme, mais la bouche d'où sortaient tant de mots dorés. Marguerite d'Écosse, qui avait douze ans quand elle épousa Louis XI, et qui mourut à vingt ans, trouva si peu de bonheur dans ce mariage qu'elle s'écria, à ses derniers instants: «Fi de la vie! qu'on ne m'en parle plus!» (LAROUSSE, ouvrage cité;—Ludovic LALANNE, Dictionnaire historique de la France.)

[71] P. L. JACOB, notice en tête de l'Heptaméron, p. IV (Paris, Delahaye, 1858).

[72] BRANTÔME, ouvrage cité, t. X, p. 284, note 2.—Sur Marguerite d'Angoulême, voir Félix FRANK, Dernier voyage de la reine de Navarre Marguerite d'Angoulême, sœur de François Ier, avec sa fille Jeanne d'Albret, aux bains de Cauterets (1549) (Paris, Lechevalier, 1897; in-8, 112 pages).

[73] BRANTÔME, ouvrage cité, t. X, p. 247.

[74] BRANTÔME, ouvrage cité, t. X, p. 205.

[75] Cf. SAINTE-BEUVE, ouvrage cité, t. VI, p. 191.

[76] SAINTE-BEUVE, ouvrage cité, t. VI, p. 191.

[77] Ouvrage cité, p. 200.

[78] TALLEMANT DES RÉAUX, les Historiettes, t. I, p. 101-106 (Paris, Techener, 1862). Une aventure analogue survint à l'abbé de Voisenon (1708-1775), devenu passionnément amoureux d'une dame Potron, dont le mari s'avisa, dans un dîner, de servir au galant abbé certain plat copieusement et traîtreusement assaisonné. Dans son roman Si jeunesse savait (chap. XXII), Frédéric Soulié a aussi eu recours à ce «relâchant» procédé. (Cf. B. JULLIEN, Thèses d'histoire, p. 472 et suiv., et p. 475, note 1.)

[79] Eugène ASSE, ouvrage cité, p. 70-72. Sur cet usage de mettre en lettres grecques ses initiales sur le plat des livres, voir Édouard FOURNIER, l'Art de la reliure en France, p. 147 (Paris, Dentu, 1888).

[80] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 382-383;—et Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 88.

[81] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 387.

[82] Cf. ID., ouvrage cité, t. II, p. 384.

[83] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 62 et suiv.

[84] Cf. Ludovic LALANNE, Curiosités bibliographiques, p. 286.

[85] Livre VII (Œuvres choisies, t. III, p. 13; Paris, Hachette, 1865).

[86] Gilbert BURNET, Histoire de la réformation en Angleterre, dans LAROUSSE, ouvrage cité, article Boulen ou Boleyn.

[87] RONSARD, le Bocage royal, dans BRANTÔME, Œuvres complètes, t. X, p. 77, note 1.

[88] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 388.

[89] Cf. ID., ouvrage cité, t. II, p. 390.

[90] Cf. le journal le Temps, 21 mai 1914, article signé Samuel Rocheblave.

[91] Curiosités bibliographiques, p. 287.

[92] Cf. François FERTIAULT, les Amoureux du livre, p. 340.

[93] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 392;—et Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 117.

[94] Ouvrage cité, t. X, p. 112 et suiv.

[95] Voyez, dans les Œuvres de Ronsard, la place importante qu'il fait à Marie Stuart.

[96] Ses poésies ne sont pas arrivées jusqu'à nous. On ne connaît guère d'elle qu'une pièce, très touchante complainte, publiée par Brantôme (t. X, p. 118-120), et quelques stances. (Note de l'édition de Brantôme de la Bibliothèque elzévirienne, t. X, p. 114.) Quant aux célèbres Adieux de Marie Stuart à la France:

Adieu, plaisant pays de France,

O ma patrie

La plus chérie,

Qui as nourri ma jeune enfance!

Adieu, France; adieu, mes beaux jours;

Etc., etc.,

ils ne sont pas de Marie Stuart, mais du polygraphe Meusnier de Querlon (1702-1780). (Cf. STAAFF, la Littérature française, t. I, p. 28.)

[97] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. I, p. 615;—et Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 89.

[98] Ouvrage cité, t. I, p. 119.

[99] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 395.

[100] Tome II, p. 151-154 (Paris, Techener, 1862).

[101] Pages 152-159 (Paris, Fontemoing, 1913).—Cf. aussi TALLEMANT DES RÉAUX, ouvrage cité, t. II, p. 158 et suiv. (Racan).

[102] Dans SAINTE-BEUVE, Chateaubriand et son groupe littéraire, t. II, p. 116, 21e leçon.

[103] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 159.

[104] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. I, p. 610.

[105] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 111.

[106] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 116.

[107] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 120.

[108] «Mme de Montausier s'appelle Julie-Lucine d'Angennes. Lucine est le nom d'une sainte de la maison des Savelles. Sa mère et sa grand'mère l'ont porté toutes les deux; et, pour l'ordinaire, dans cette maison, on adjoustoit tousjours ce nom à celuy qu'on donnoit aux filles en les baptisant.» (TALLEMANT DES RÉAUX, ouvrage cité, t. II, p. 286.)

[109] Ouvrage cité, t. II, p. 285.

[110] Ouvrage cité, t. II, p. 261.

[111] Ouvrage cité, t. II, p. 264.

[112] TALLEMANT DES RÉAUX, ouvrage cité, t. II, p. 280.

[113] ID., ouvrage cité, t. II, p. 443.

[114] Paul LACROIX, XVIIe Siècle, Lettres, Sciences et Arts, p. 184. Voir aussi TALLEMANT DES RÉAUX, ouvrage cité, t. II, p. 294.—La Gazette des beaux-arts a récemment publié un article très détaillé sur la célèbre Guirlande de Julie; voici un résumé de cet article, emprunté au Mémorial de la librairie française (2 juillet 1914, p. 418-419): «On connaît trois copies manuscrites de la Guirlande de Julie, toutes datées de 1641. La plus intéressante, sur vélin in-folio, appartient aujourd'hui à Mme la duchesse d'Uzès. C'est le manuscrit définitif et complet offert à la belle Julie. M. C. Gabillot vient d'en donner, dans la Gazette des beaux-arts, l'analyse détaillée et des reproductions. Il se compose de huit feuillets préliminaires, portant les titres et la miniature qui représente la guirlande, et de quatre-vingt-dix feuillets, dont chacun contient une des vingt-neuf fleurs ou l'un des soixante et un madrigaux dont est formée cette double guirlande, à la fois picturale et poétique. Le texte est dû au plus fameux des calligraphes français, Nicolas Jarry, écrivain et noteur de la musique du roi; il imita avec une perfection incomparable les caractères d'imprimerie. On a soutenu que les fleurs elles-mêmes étaient aussi l'œuvre de ce même calligraphe; mais la main d'un botaniste et d'un peintre de métier s'y reconnaît sans peine. Nicolas Robert, qui dessinait des plantes pour les brodeurs, a exécuté les miniatures de la «guirlande»; elles lui valurent une telle réputation que Gaston d'Orléans le prit à son service dans ses jardins de Blois, et qu'ensuite Louis XIV lui fit achever le recueil de dessins commencé pour Monsieur. Montausier avait confié le soin de la reliure à l'un des maîtres du temps, surnommé le Gascon, qui, de son vrai nom, s'appelait sans doute Florimond Badier. C'est une reliure doublée, en maroquin rouge du Levant, ornée sur les plats et les gardes d'un semis de J. L., initiales de Julie. Après la mort des Montausier, le manuscrit passa aux mains de leur fille, la duchesse de Crussol d'Uzès, puis à Moreau, à Gaignières et à l'abbé de Rothelin, qui en fit présent à M. de Boze. En 1784, il figurait dans la vente du duc de La Vallière; la duchesse de Châtillon le racheta, et, depuis cette époque, il n'est plus sorti de la maison d'Uzès.

[115] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 120.

[116] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 396;—et Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 113.

[117] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 200.

[118] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 383.

[119] Cf. la Chronique médicale, 1er mai 1914, p. 262.

[120] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 162.

[121] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 386.

[122] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 170;—et Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. I, p. 59.

[123] Cf. MORÉRI, ouvrage cité, t. X, p. 285;—et Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 393, qui date le mariage de Claude de la Tour de 1555, au lieu de 1535.

[124] Cf. ID., ouvrage cité, t. II, p. 389.

[125] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 392;—et Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 156.

[126] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 203.

[127] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. I, p. 189.

[128] Cf. TALLEMANT DES RÉAUX, ouvrage cité, t. II, p. 29.

[129] Ouvrage cité, t. II, p. 29.

[130] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 402.

[131] «Une fille (Mlle Armenauld) disoit que quand elle trouvoit des ordures dans un livre, elle les marquoit pour ne pas les lire.» (TALLEMANT DES RÉAUX, ouvrage cité, Suite des Naifvetez, bons mots, etc., t. VI, p. 330.)

[132] Cf. TALLEMANT DES RÉAUX, ouvrage cité, t. V, p. 390.

[133] Cf. TALLEMANT DES RÉAUX, ouvrage cité, t. V, p. 395 et suiv.

[134] Le duc de Montausier, gendre de la marquise de Rambouillet, était un des habitués des samedis de Mlle de Scudéry. (Cf. TALLEMANT DES RÉAUX, ouvrage cité, t. II, p. 302;—LAROUSSE, ouvrage cité;—Ludovic LALANNE, Dictionnaire historique de la France.)

[135] Pages 203-204 (Paris, Delagrave, 1897).

[136] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 403.

[137] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 184.

[138] Mémoires, t. I, p. 375 (Paris, Hachette, 1871). Tallemant a consacré à Mme de Montbazon une de ses plus savoureuses Historiettes (t. IV, p. 4-14), dont il m'est malheureusement impossible de citer les plus saillants passages: «... Vous verrez si elle a fait mentir le proverbe que bon chien chasse de race. C'estoit une des plus belles personnes qu'on pust voir, et ce fut un grand ornement à la Cour; elle desfaisoit toutes les autres au bal... Dans la grande jeunesse où elle estoit quand elle parut à la Cour, elle disoit qu'on n'estoit bon à rien à trente ans, et qu'elle vouloit qu'on la jetast dans la rivière quand elle les auroit. Je vous laisse à penser si elle manqua de galants... M. d'Hocquincourt, ayant gaigné une femme de chambre, se mit un soir sous le lict de la belle... Quand elle se sentoit grosse, après qu'elle eust eu assez d'enfans, elle couroit au grand trot en carrosse partout Paris,» etc.

[139] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 396.

[140] MICHELET, Histoire de France, t. XIV, p. 226-227 (Paris, Marpon et Flammarion, 1879).

[141] Ibid.

[142] Pages 54, 252, 290, etc. (Bibliothèque elzévirienne, Paris, Plon, 1891).

[143] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 172.

[144] Cf. François FERTIAULT, les Amoureux du livre, p. 190.

[145] Cf. Adolphe RETTÉ, la Revue (ancienne Revue des Revues), 1er octobre 1904, p. 349;—et Gabriel PEIGNOT, Manuel du bibliophile, t. I, p. 131.

[146] SAINTE-BEUVE. Tableau de la poésie française au seizième siècle, p. 272, note 3.

[147] Ludovic LALANNE, Curiosités bibliographiques, p. 347.

[148] CONDORCET, Vie de Voltaire, au début. (Œuvres complètes de Voltaire, t. I, p. 1, édition du journal le Siècle.)

[149] Chap. VIII, D'Abraham et de Ninon de l'Enclos (t. V, p. 326-327, même édition). Voir aussi l'opuscule de Voltaire, Sur Mademoiselle de l'Enclos (t. IV, p. 717-719, même édition).

[150] TALLEMANT DES RÉAUX, ouvrage cité, t. IV, p. 420.

[151] L'ancienne Leontium avait été disciple et amie d'Épicure: cf. Saint-Évremond, Œuvres choisies, p. 430, édition Gidel.—Voir aussi ci-dessus, p. 30, note.

[152] DES MAIZEAUX, Vie de Saint-Évremond, p. 199 (La Haye, Abraham Troyel, 1711).

[153] Dans SAINTE-BEUVE, Premiers lundis, t. II, p. 295.

[154] Lettre du mercredi 14 décembre 1689; t. IX, p. 353 (édition des Grands Écrivains).

[155] Lettre du mercredi 15 juin 1689; t. IX, p. 84.

[156] Lettre du dimanche 17 juillet 1689; t. IX, p. 120.

[157] Lettre du mercredi 23 septembre 1671; t. II, p. 369.

[158] Lettre du dimanche 15 janvier 1690; t. IX, p. 413.

[159] Lettre du mercredi 16 novembre 1689; t. IX, p. 314-316.

[160] Causeries du lundi, t. III, p. 524.

[161] SAINTE-BEUVE, ouvrage cité, t. III, p. 525.

[162] C'est à lui que Lorédan LARCHEY (l'Esprit de tout le monde, t. II, p. 263) dit emprunter cette «naïveté».

[163] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 148.

[164] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 408.

[165] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 112;—et M.-N. BOUILLET, Atlas universel d'histoire et de géographie, p. 520.

[166] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 183.

[167] Ouvrage cité, t. I, p. 277.

[168] Cf. MORÉRI, ouvrage cité, t. X, p. 281;—et Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 171.

[169] Ouvrage cité, t. I, p. 293-294.

[170] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 171.

[171] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. I, p. 301.

[172] Mémoires, t. IV, p. 11 (Paris, Hachette, 1865).

[173] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 123.

[174] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 143.

[175] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 409.

[176] Deuxième partie, p. 25-26 (Paris, Jouaust, 1890).

[177] Cf. Ludovic LALANNE, Dictionnaire historique de la France.

[178] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 411.

[179] Œuvres, t. IX, p. 390 et suiv. (édition des Grands Écrivains).

[180] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 412;—et Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 179.

[181] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 413.

[182] Mme DE CAYLUS, Souvenirs, p. 88-89 (édition Jannet-Picard).

[183] Mémoires, t. IV, p. 294-295.

[184] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. I, p. 307.

[185] Mémoires, t. IV, p. 342.

[186] SAINT-SIMON, ouvrage cité, t. IV, p. 344.

[187] Ouvrage cité, t. XIII, p. 21.

[188] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. I, p. 34.

[189] Ernest MOURIN, Récits lorrains, Histoire des ducs de Lorraine et de Bar, p. 219 et 283 (Paris, Berger-Levrault, 1895);—cf. Marquis DE BEAUVEAU, Mémoires pour servir à l'histoire de Charles IV, duc de Lorraine, p. 267 et suiv. (Cologne, Pierre Marteau, 1690).

[190] Page 40 (Paris, Hachette, 1858).

[191] Cf. Causeries du lundi, t. IV, p. 139; t. XII, p. 80; et passim. Dans son Étude sur Virgile, p. 303, Sainte-Beuve dit encore: «Mme Dacier, à qui l'on devait la meilleure traduction d'Homère en français, celle qui permettait le mieux d'en juger approximativement, resta marquée d'une légère teinte de ridicule;» etc.—Voir aussi, sur Mme Dacier, son pédantisme et son acrimonie, VOLTAIRE, Dictionnaire philosophique, article Épopée, De l'Iliade (t. I, p. 347; édition du journal le Siècle);—et LA HARPE, Lycée ou Cours de littérature, t. I, p. 67 (Paris, Verdière, 1817). «Il ne nous est rien resté, écrit ce dernier, des invectives que Zoïle vomissait contre Homère; mais elles ne pouvaient guère être plus grossières que celles dont Mme Dacier accable La Motte. On est d'autant plus révolté qu'une femme écrive d'un ton si peu décent, que celui de son adversaire est un exemple de modération et de politesse.» Etc. Qui croirait, après cela, que la bouillante helléniste avait pris pour devise ce vers de Sophocle: «Le silence est l'ornement des femmes»?

[192] Ouvrage cité, t. III, 2e partie, p. 372.

[193] Eugène MULLER, Voyages à travers l'histoire et le langage, p. 121 (Paris, Delagrave, 1889).

[194] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. I, p. 349.

[195] SAINT-SIMON, ouvrage cité, t. XIII, p. 16. Voir aussi la silhouette tracée dans le tome VII, p. 363: «Madame était une princesse de l'ancien temps, attachée à l'honneur, à la vertu, au rang, à la grandeur, inexorable sur les bienséances.» Etc.

[196] Correspondance de Mme la duchesse d'Orléans, princesse Palatine, 9 août 1718, t. I, p. 442-443 (édition Gustave Brunet).

[197] Ouvrage cité, 18 août 1718, t. I, p. 445.

[198] Ouvrage cité, 18 avril 1705, t. I, p. 78, et passim.

[199] Correspondance de Madame, duchesse d'Orléans, édition Ernest Jaeglé; dans la Revue bleue, 17 avril 1880, p. 1000.

[200] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 190;—et Ludovic LALANNE, Dictionnaire historique de la France, article Noailles (Anne, comte puis premier duc de).

[201] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. I, p. 361.

[202] SAINT-SIMON, ouvrage cité, t. I, p. 180.

[203] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 122.

[204] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 143-144.

[205] Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. I, p. 6 et 372-373.

[206] Cf. ID., ouvrage cité, t. II, p. 428. Cette troisième fille de Mme de Chamillard porte les prénoms de Geneviève-Thérèse dans Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 153.

[207] SAINT-SIMON, ouvrage cité, t. VII, p. 60-61.

[208] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 124.

[209] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 413;—SAINT-SIMON, ouvrage cité, t. IV, p. 73, et t. VII, p. 130 et suiv.;—Ludovic LALANNE, Dictionnaire historique de la France.

[210] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 205.

[211] Cf. Eugène ASSE, les Bourbons bibliophiles, p. 49-50.

[212] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 188.

[213] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 416.

[214] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 5.

[215] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 207.

[216] Ibid.

[217] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 207.

[218] Cf. G. DE LÉRIS, la Comtesse de Verrue, p. 208-226 et passim (Paris, Quantin, 1881);—et Édouard FOURNIER, l'Art de la reliure en France, p. 189.

[219] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 159.

[220] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 418;—et Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 143.

[221] Causeries du lundi, t. III, p. 56 et suiv.

[222] Cf. M. DE LESCURE, Notice sur la marquise de Caylus, en tête de ses Souvenirs, p. 30 (édition Jannet-Picard).

[223] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 320.

[224] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 113;—et M.-N. BOUILLET, Atlas universel d'histoire et de géographie, p. 520-521.

[225] Revue des livres anciens, année 1914, fascicule IV, p. 350.

[226] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 432;—Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 114-115;—et Ludovic LALANNE, Dictionnaire historique de la France, article Condé (Louis III, prince de).

[227] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 164.

[228] Cf. Paul MESNARD, notice biographique, en tête des Lettres de Mme de Sévigné, édition des Grands Écrivains, t. I, p. 228.

[229] ID., ouvrage cité, t. I, p. 298.

[230] Cf. Paul MESNARD, ouvrage cité, t. I, p. 298.

[231] SAINT-SIMON, ouvrage cité, t. III, p. 121-122.

[232] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 421.

[233] Cf. Mme DE CAYLUS, Souvenirs, p. 193-194 (édition Jannet-Picard);—Mme DE STAAL-DELAUNAY, Mémoires, p. 112 et suiv. et passim (édition Jannet-Picard);—Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 107-108;—et Eugène ASSE, les Bourbons bibliophiles, p. 93-94.

[234] Eugène ASSE, ibid.

[235] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 140;—et la Revue des livres anciens, année 1914, fascicule IV, p. 349, article de M. Maurice Tourneux: Bibliothèques féminines au XVIIIe siècle.

[236] SAINT-SIMON, ouvrage cité, t. VIII, p. 438.

[237] ID., ibid.

[238] Mémoires de la duchesse de Brancas, Préface par Eugène Asse, p. XXXI (Paris, Jouaust, 1890).

[239] Journal, 22 novembre 1740 (édition Rathery).

[240] Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 208.—Voir aussi Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 422.

[241] Revue des livres anciens, année 1914, fascicule IV, p. 348, article de M. Maurice Tourneux.

[242] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 425;—Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 204;—et la Revue des livres anciens, année 1914, fascicule IV, p. 349, article de M. Maurice Tourneux.

[243] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 137.

[244] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 173-174.

[245] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. I, p. 620.

[246] Ouvrage cité, t. VI, p. 230-231.

[247] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 195.

[248] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 176.

[249] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 429.

[250] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 134.

[251] Cf. le Père ANSELME, Histoire généalogique et chronologique de la maison royale de France...;—Gallia Christiana;—et Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 428, qui date de 1714 la nomination de cette religieuse comme abbesse du Trésor.

[252] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 129. «Victoire-Françoise», dit M.-N. BOUILLET, Atlas universel d'histoire et de géographie, p. 753 et 754.

[253] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 190.

[254] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 150.

[255] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 126.

[256] Cf. Eugène ASSE, les Bourbons bibliophiles, p. 49.

[257] Ouvrage cité, t. I, p. 101.

[258] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 20.

[259] Cf. ID., ouvrage cité, t. II, p. 26.

[260] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 110.

[261] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 434;—et Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 116.

[262] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 437.

[263] Lettre du 22 février 1772; t. II, p. 219 (édition M. de Lescure).

[264] Lettre du 2 avril 1773; t. II, p. 380 (édition Sainte-Aulaire).

[265] Lettre du 8 mars 1767; t. I, p. 415 (édition M. de Lescure).

[266] Lettre du 19 novembre 1771; t. II, p. 87 (édition Sainte-Aulaire).

[267] Lettre de d'Alembert à la marquise du Deffand, 25 juin 1763; t. I, p. 276 (édition M. de Lescure).

[268] M. DE LESCURE, notice en tête des Mémoires de Mme de Staal-Delaunay, t. I, p. 7 (édition Jannet-Picard).

[269] Tome I, p. 412 et suiv.

[270] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 132.

[271] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 438.

[272] Mémoires, t. XII, p. 429; voir aussi pages suivantes;—et Ludovic LALANNE, Dictionnaire historique de la France.

[273] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 163.

[274] Les Historiettes, t. I, p. 228.

[275] TALLEMANT DES RÉAUX, ouvrage cité, t. IV, p. 135.

[276] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 192.

[277] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 139.

[278] Ouvrage cité, t. I, p. 145.

[279] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 415.

[280] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 189.

[281] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 130.

[282] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 132.

[283] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 151.

[284] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 169:—et Ludovic LALANNE, Dictionnaire historique de la France.

[285] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 130.

[286] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 137.

[287] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 138.

[288] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 141.

[289] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 406.

[290] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 153.

[291] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 153.

[292] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 161.

[293] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 165.

[294] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 399.

[295] Cf. ID., ouvrage cité, t. II, p. 406.

[296] Cf. ID., ouvrage cité, t. II, p. 408.

[297] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 178.

[298] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 404.

[299] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 202, et t. II, p. 447-448;—MICHAUD, Biographie universelle;—Ludovic LALANNE, Dictionnaire historique de la France;—etc.

[300] MICHELET, Histoire de France, t. XVIII, chap. VII, p. 119 (Paris, Marpon et Flammarion, 1879).

[301] Cf. Eugène ASSE, ouvrage cité, p. 118.

[302] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 40 et suiv. et p. 97, note 1.—Voir aussi Antony VALABRÈGUE, les Princesses artistes, p. 18 et suiv. (Paris, Dupret, 1888).

[303] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 443.

[304] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 187;—Correspondance de Mme du Deffand, t. III, p. 475, et passim (édition Sainte-Aulaire);—etc.

[305] Sainte-Beuve, qui la qualifie d'«arbitre souverain de l'usage et de la politesse», dit qu'«elle l'avait pour amant déjà (le maréchal de Luxembourg), depuis quelques années, et n'en faisait point mystère: on a des couplets d'elle, où elle s'en vante à la face de la première duchesse de Luxembourg, laquelle avait pour ami, de son côté, Pont-de-Veyle, de même que Mme du Châtelet avait Voltaire. Toutes ces passions, toutes ces liaisons se mêlaient, s'entre-croisaient, et à ciel découvert... Les mœurs de Mme de Boufflers furent celles du grand monde de son temps, c'est-à-dire plus que légères.» (Nouveaux Lundis, t. IV, p. 7 et 8.)

[306] Pour que ce quatrain fût régulier, il faudrait une rime à plaire; aussi a-t-on proposé diverses corrections, celles-ci, par exemple:

On croyait voir d'Amour la mère;

ou bien:

Venant de l'île de Cythère.

(Cf. l'Intermédiaire des chercheurs et curieux, 7 juillet 1899, col 2.)

[307] SAINTE-BEUVE, Nouveaux Lundis, t. IV, p. 11.

[308] J'en trouve même une quatrième, bibliophile tout au moins celle-ci, la DUCHESSE DE BOUFFLERS, Marie-Anne-Thérèse-Philippe de Montmorency-Laval (....-....), mariée, en 1747, à Charles-Joseph de Boufflers, né en 1731, et mort en 1751, à vingt ans. Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 138.

[309] Nouveaux Lundis, t. IV, p. 164-165.

[310] SAINTE-BEUVE, Nouveaux Lundis, t. IV, p. 178-179.

[311] Dans SAINTE-BEUVE, Nouveaux Lundis, t. IV, p. 227-228.

[312] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 183;—et la Revue des livres anciens, année 1914, fascicule IV, p. 351, article de M. Maurice Tourneux sur les Bibliothèques féminines au XVIIIe siècle.

[313] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 186.

[314] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 198;—et la Revue des livres anciens, année 1914, fascicule IV, p. 349, article de M. Maurice Tourneux.

[315] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 140;—et la Revue des livres anciens, année 1914, fascicule IV, p. 350, article de M. Maurice Tourneux.

[316] Revue des livres anciens, année 1914, fascicule IV, p. 350, article de M. Maurice Tourneux.

[317] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 205.

[318] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 153.

[319] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 136.

[320] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 443;—et Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 172.—Marsan était une branche de la maison de Lorraine: cf. Ludovic LALANNE, Dictionnaire historique de la France, article Marsan.

[321] Joannis GUIGARD (ouvrage cité, t. I, p. 203) donne à Mlle Marie-Geneviève-Charlotte Darlus le nom de Thiroux de Lailly et la fait mourir en 1766.—Cf. Ludovic LALANNE, Dictionnaire historique de la France:—MICHAUD, ouvrage cité;—LAROUSSE, ouvrage cité;—etc.

[322] Cf. Antony VALABRÈGUE, ouvrage cité, p. 25.

[323] Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 65.

[324] Édouard FOURNIER, ouvrage cité, p. 193. Encore une remarque empruntée au grand ouvrage d'Ernest Quentin-Bauchart (Avertissement, p. 3): «Diane de Poitiers, Catherine de Médicis, au XVIe siècle,—la Grande Mademoiselle et la comtesse de Verrue, au XVIIe,—Mme de Pompadour, au XVIIIe,—sont les seules qui aient laissé de véritables bibliothèques; et si d'autres, telles que Marie de Médicis, Anne d'Autriche, la duchesse de Bourgogne, la marquise de Maintenon, etc., ont possédé des livres qui jouissent également d'une grande faveur auprès des amateurs, c'est moins à leur valeur intrinsèque que cette faveur est due qu'à la beauté de leur reliure et à leur origine.»

[325] Edmond et Jules DE GONCOURT, Mme de Pompadour, p. 255, note 1 (Paris, Firmin Didot, 1888, in-4).

[326] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 160.

[327] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 162.

[328] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 448.

[329] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 166.

[330] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 147.

[331] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 127.

[332] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 191.

[333] Paul BOITEAU, Introduction aux Mémoires de Mme d'Épinay, t. I, p. 1 (Paris, Charpentier, s. d.).—Cf. aussi Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 449.

[334] Cf. ID., ouvrage cité, t. II, p. 448.

[335] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 205.

[336] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 154.

[337] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 165.

[338] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 191;—et Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 450.

[339] Cf. ID., ouvrage cité, t. II, p. 451-452.

[340] Cf. Ludovic LALANNE, Dictionnaire historique de la France.—Voir aussi une note de la Correspondance de la marquise du Deffand, édition M. de Lescure, t. II, p. 111, note 3. Louis Jourdan a publié, sur le chevalier d'Éon, une sorte de roman, un Hermaphrodite (Paris, Dentu, 1861), dont la paternité lui a été contestée par Frédéric Gaillardet: cf. LORENZ, Catalogue général... 1840-1865. t. III, p. 47, article Jourdan (Louis).

[341] Cf. LAROUSSE, ouvrage cité, article Diderot.

[342] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 131.

[343] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 108;—et Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 163.

[344] Elle a même composé une scabreuse pièce de vers, dont Diderot parle dans une de ses lettres à Mlle Voland (Lettre XLI, 30 septembre 1760, t. I, p. 282-283; Paris, Paulin, 1830): «Mme d'Houdetot fait de très jolis vers; elle m'en a récité quelques-uns qui m'ont fait grand plaisir. Il y a tout plein de simplicité et de délicatesse. Je n'ai osé les lui demander; mais si je puis lui arracher un Hymne aux tétons qui pétille de feu, de chaleur, d'images et de volupté, je vous l'enverrai. Quoiqu'elle ait eu le courage de me le montrer, je n'ai pas eu celui de le demander.»

[345] Revue des livres anciens, année 1914, fascicule IV, p. 351, article de M. Maurice Tourneux.

[346] Causeries du lundi, t. XV, p. 229.

[347] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 200.

[348] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 97. «En 1758, sous la direction de Delespine, paraît un livre exécuté à Versailles, dans l'imprimerie de la Dauphine, mère de Louis XVI, intitulé Élévation du cœur à Jésus-Christ, etc., imprimé de la main de madame la Dauphine, in-16.» (Ambroise FIRMIN-DIDOT. Essai sur la typographie, colonne 847; Paris, Didot, 1851.)

[349] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 117.

[350] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 454-455;—Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 189;—et LAROUSSE, ouvrage cité.

[351] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 148.

[352] Ouvrage cité, t. II, p. 131.

[353] Cf. Eugène ASSE, ouvrage cité, p. 123.

[354] «L'écu des filles non mariées a la forme d'un losange; plus généralement elles le portent en ovale.» (H. GOURDON DE GENOUILLAC, l'Art héraldique, chap. I, p. 14; Bibliothèque de l'enseignement des beaux-arts.)

[355] Dans Eugène ASSE, ouvrage cité, p. 120.

[356] Les Reliures d'art à la Bibliothèque nationale, p. XXI.—Voir aussi, sur Mesdames Adélaïde, Victoire et Sophie,—«que l'on connaissait sans envie du bien, sans âme, sans caractère, sans franchise, sans amour pour leur père... Madame Sophie était une manière d'automate, aussi nulle pour l'esprit que pour le caractère...»—le DUC DE LA ROCHEFOUCAULD-LIANCOURT, Mémoire sur la mort de Louis XV, dans SAINTE-BEUVE, Portraits littéraires, t. III, p. 533;—et Nouveaux Lundis, t. VIII, p. 326, article sur Marie-Antoinette.

[357] Eugène ASSE, ouvrage cité, p. 122.

[358] Cf. SAINTE-BEUVE, Nouveaux lundis, t. VIII, p. 130, note 1.

[359] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 169.

[360] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 197.

[361] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 209.

[362] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 182;—et la Revue des livres anciens, année 1914, fascicule IV, p. 350, article de M. Maurice Tourneux.

[363] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 452-453;—et Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 146.

[364] Lettre à Mme du Deffand, 23 juin 1771 (Correspondance de Mme du Deffand, t. I, p. 443; édition Sainte-Aulaire).

[365] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 197;—et Ludovic LALANNE, Dictionnaire historique de la France.

[366] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 453.

[367] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 176.

[368] Madame de Montesson et ses œuvres anonymes, dans la Revue des livres anciens, année 1894, t. II, p. 111-112.

[369] Cf. Paul CHAPONNIÈRE, ouvrage cité, p. 112-113.

[370] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 456;—et Ludovic LALANNE, Dictionnaire historique de la France.

[371] Tome I, chap. I, p. 11. Voir aussi même tome, chap. XVIII, p. 215.

[372] Cf. LAROUSSE, ouvrage cité;—MICHAUD, ouvrage cité. M. Paul CHAPONNIÈRE (ouvrage cité, p. 114 et suiv.) donne en détail la bibliographie des œuvres de Mme de Montesson.

[373] Ouvrage cité, t. I, p. 209-210.

[374] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 166.

[375] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 192.

[376] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 161.

[377] La date de naissance de la fameuse courtisane a été très contestée: les uns ont dit 1744, d'autres 1746. Les Goncourt, dans leur ouvrage sur La Du Barry, pages 6 et 25 (Paris, Charpentier, 1891) ont traité cette question et publié l'acte authentique.

«Jeanne, fille naturelle d'Anne Béqus dite Quantiny, est née le dix-neuvième août de l'an mil sept cent quarante-trois...»

[378] Ouvrage cité, t. I, p. 152.

[379] Ouvrage cité, t. II, p. 190. «Elle se composait de 1068 volumes de toutes grandeurs», dit Paul Lacroix (bibliophile Jacob) dans une lettre adressée au Monde illustré, 31 mars 1860, p. 214-215, et citée par Édouard FOURNIER, l'Art de la reliure, p. 194, note 1.

[380] Dans les Miscellanées bibliographiques, 2e partie, p. 103-132 (Paris, Rouveyre, 1879).

[381] Cf. Paul LACROIX (bibliophile Jacob), lieu cité.

[382] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 190-191.

[383] «Avec intelligence» me semble contestable.

[384] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 146.

[385] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 155.

[386] Cf. Joannis GUIGARD. ouvrage cité, t. I, p. 156.

[387] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 170.

[388] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 141.

[389] «On n'a jamais été plus décidément écriveuse que Mme de Genlis.» (SAINTE-BEUVE, Causeries du lundi, t. III, p. 25.)

[390] Ludovic LALANNE, Curiosités littéraires, p. 142.—Voir aussi Honoré BONHOMME, Mme la comtesse de Genlis, sa vie, son œuvre, sa mort (Paris, Jouaust, 1885). On trouve dans Choses vues de Victor Hugo (année 1844, le roi Louis-Philippe, p. 79-82; Paris, Charpentier, 1888), de curieux détails sur Mme de Genlis, que Victor Hugo tenait de la bouche même de Louis-Philippe, ancien élève, comme on le sait, de cette illustre dame et maîtresse femme: «C'était un rude précepteur, je vous jure. Elle nous avait élevés avec férocité, ma sœur et moi. Levés à six heures du matin, hiver comme été, nourris de lait, de viandes rôties et de pain; jamais une friandise, jamais une sucrerie, force travail, pas de plaisir. C'est elle qui m'a habitué à coucher sur des planches. Elle m'a fait apprendre une foule de choses manuelles; je sais, grâce à elle, un peu faire tous les métiers, y compris le métier de frater. Je saigne mon homme comme Figaro. Je suis menuisier, palefrenier, maçon, forgeron. Elle était systématique et sévère. Tout petit, j'en avais peur; j'étais un garçon faible, paresseux et poltron; j'avais peur des souris! elle fit de moi un homme assez hardi et qui a du cœur. En grandissant, je m'aperçus qu'elle était fort jolie. Je ne savais pas ce que j'avais près d'elle. J'étais amoureux, mais je ne m'en doutais pas. Elle, qui s'y connaissait, comprit et devina tout de suite. Elle me traita fort mal. C'était le temps où elle couchait avec Mirabeau. Elle me disait à chaque instant: «Mais, monsieur de Chartres, grand dadais que vous êtes, qu'avez-vous donc à vous fourrer toujours dans mes jupons!»—Elle avait trente-six ans, j'en avais dix-sept.»

Ce qui n'empêcha pas, comme le prouve Gaston Maugras, dans l'Idylle d'un gouverneur (la comtesse de Genlis et le duc de Chartres; Paris, Plon, 1904), ladite gouvernante ou gouverneur de parfaire l'éducation de son élève «jusqu'à et y compris la suprême éducation de l'amour».

«Les dernières années de Mme de Genlis, continue Victor Hugo, furent pauvres et presque misérables. Il est vrai qu'elle n'avait aucun ordre et semait l'argent sur les pavés. Le roi (Louis-Philippe) la venait voir souvent; il la visita jusqu'aux derniers jours de sa vie. Sa sœur, Mme Adélaïde, et lui ne cessèrent de témoigner à Mme de Genlis toute sorte de respect et de déférence. Mme de Genlis se plaignait seulement un peu de ce qu'elle appelait la ladrerie du roi. Elle disait: «Il était prince, j'en ai fait un homme; il était lourd, j'en ai fait un homme habile; il était ennuyeux, j'en ai fait un homme amusant; il était poltron, j'en ai fait un homme brave; il était ladre, je n'ai pu en faire un homme généreux. Libéral, tant qu'on voudra; généreux, non.»

[391] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 203.

[392] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 223.

[393] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 179.

[394] Ludovic LALANNE, Dictionnaire historique de la France.

[395] Ouvrage cité, t. II, p. 457.

[396] Ouvrage cité, t. I, p. 193. Sans doute par suite d'une faute d'impression, Joannis Guigard fait naître la duchesse de Polignac en 1739.

[397] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 128.

[398] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 142.

[399] Cf. SAINTE-BEUVE, Nouveaux Lundis, t. V, p. 437, 424 et 426; et t. VI, p. 55;—et Edmond et Jules DE GONCOURT, Portraits intimes du dix-huitième siècle, la comtesse d'Albany, p. 442 et 446.

[400] Cf. ERNEST QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 314.

[401] Cf. Jean DE REUILLY, La Raucourt et ses amies, p. 63-64 (Paris, Daragon, 1909).

[402] Jean DE REUILLY, ouvrage cité, p. 217.

[403] «C'était fatal!» ajoute ici, en note, M. Jean DE REUILLY, ouvrage cité, p. 218, à qui j'emprunte cette nomenclature, et qui donne, en cet endroit, le catalogue détaillé de cette bibliothèque.

[404] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, p. 458.

[405] Tome III, p. 11-12 et 23-29 (Paris, Bibliothèque nationale, 1869).

[406] «Des livres et des fleurs», ce rapprochement, cette dualité, se retrouve plus d'une fois dans l'histoire littéraire, dans la vie et les goûts des bibliophiles. C'est d'abord Cicéron traçant le portrait de «l'homme heureux»: Si hortum in bibliotheca habes, deerit nihil, écrit-il (Ad familiares [Varroni], No 451; CICÉRON, Œuvres complètes, t. V, p. 411; collection Nisard; Paris, Didot, 1881). Puis Urbain Chevreau (1615-1701), qui avait été secrétaire de la reine Christine de Suède (dans Charles NODIER, l'Amateur de livres, les Français peints par eux-mêmes, t. II, p. 83; Paris, Delahays, s. d.): «Je ne m'ennuie point dans ma solitude, où j'ai une bibliothèque assez nombreuse pour un ermite, et admirable pour le choix des livres... J'y ai des tableaux, des estampes; un grand parterre tout rempli de fleurs, des arbres fruitiers;» etc. Et M. Octave Uzanne (Nos amis les livres, p. 268): «Seigneur, s'écriait un ancien, accordez-moi une maison pleine de livres, un jardin plein de fleurs!» Il semble que, dans cette prière, soit contenue toute la quintessence de la sagesse humaine: les fleurs et les livres masquent les tristesses de cette vie, et nous font aller en souriant, l'œil égayé, l'esprit bienheuré, jusqu'au jour de la grande échéance définitive, au vrai quart d'heure de Rabelais.» Cf. aussi le célèbre sonnet de l'imprimeur Plantin (1514-1589) sur «le Bonheur de ce monde»:

Avoir une maison commode, propre et belle,

Un jardin tapissé d'espaliers odorants,

Etc.

(Cf. mon ouvrage le Livre, t. I, p. 181, note 1.)

[407] Au château de la Verrie (ou de la Vérie, Vendée, arrondissement de la Roche-sur-Yon). C'est là que naquit Mlle de Lézardière. Elle mourut au château de la Proutière (même département, arrondissement des Sables-d'Olonne, commune de Poiroux), qui appartient encore à la famille de Lézardière.

[408] GAILLARD, dans le Journal des savants, avril 1791.

[409] Malesherbes, entre autres, qui fit envoyer à Mlle de Lézardière des livres de la bibliothèque du roi et du couvent des bénédictins de Poitiers.

[410] Augustin THIERRY, Considérations sur l'histoire de France, chap. III, p. 104 (Paris, Furne, 1868).

[411] Cf. ID., ouvrage cité, p. 113;—LAROUSSE, ouvrage cité;—et Ludovic LALANNE, Dictionnaire historique de la France.

[412] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 279.—Sur cette bibliothèque de Marie-Antoinette, on consultera avec intérêt un article de Jules Janin (sous le pseudonyme d'Éraste), publié dans l'Indépendance belge et reproduit dans le journal le Voleur, no du 24 octobre 1862, p. 409-411. Il en ressort que Marie-Antoinette a possédé surtout des livres futiles, légers même, Faublas, par exemple; mais pas de livres obscènes, pas de livres «scandaleux». On rencontrait, en revanche, sur ses rayons, très peu de chefs-d'œuvre, très peu de bons ouvrages: rien de Bossuet, rien de Pascal, de J.-J. Rousseau, de Buffon, etc.

[413] Eugène ASSE, ouvrage cité, p. 126.

[414] Cf. ID., ouvrage cité, p. 127.

[415] Cf. Eugène ASSE, ouvrage cité, p. 127-128.

[416] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 335.

[417] Cf. LAROUSSE, ouvrage cité, article Devonshire.

[418] Cf. Ludovic LALANNE, Dictionnaire historique de la France, article Condé.

[419] Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 298, note 1.

[420] Ouvrage cité, p. 129 et suiv.

[421] Voir ci-dessus, p. 180, note 354.

[422] Cf. Eugène ASSE, ouvrage cité, p. 133.

[423] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 185.

[424] Histoire de la Révolution française, livre XII, chap. IV, t. VII, p. 321 et suiv. (Paris, Marpon et Flammarion, 1879).

[425] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 462.

[426] Cf. ouvrage cité, t. II, p. 459.

[427] La Piété au dix-neuvième siècle, p. 21 (Paris, Michel Lévy, 1864). On possède trente-cinq de ces cahiers d'extraits de lectures, nous apprend Sainte-Beuve qui a consacré à Mme Swetchine deux importants articles (Nouveaux Lundis, t. I, p. 209-254).

[428] Cf. Jules LEVALLOIS, ouvrage cité, p. 31-32;—et SAINTE-BEUVE, ouvrage cité, t. I, p. 254.

[429] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 100.

[430] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 123.

[431] Paris, Plon, 1852; non mis en vente.

[432] Causeries du lundi, t. XIII, p. 189-209.

[433] Cf. SAINTE-BEUVE, ouvrage cité, t. XIII, p. 195.

[434] Cf. SAINTE-BEUVE, ouvrage cité, t. XIII, p. 195-196.

[435] Cf. SAINTE-BEUVE, ouvrage cité, t. XIII, p. 203-204.

[436] Cf. ID., ouvrage cité, t. XIII, p. 207.

[437] ID., ouvrage cité, t. XIII, p. 209, note 1.

[438] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 166.

[439] Page 134.

[440] Eugène ASSE, ouvrage cité, p. 134-135.

[441] Paris, Bonange père, Techener et Bataillard, in-8, 264 pages.

[442] Cf. Eugène ASSE, ouvrage cité, p. 139;—et Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 106-107.

[443] Cf. ID. ouvrage cité, t. I, p. 161.

[444] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 154.

[445] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 201.

[446] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 190.

[447] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 170.

[448] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 133.

[449] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 172.

[450] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 187.

[451] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 424.

[452] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 133.

[453] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 188.

[454] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 132;—et la Revue des livres anciens, année 1914, fascicule IV, p. 349, article de M. Maurice Tourneux.

[455] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 162.

[456] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 179.

[457] Cf. la Revue des livres anciens, année 1914, fascicule IV, p. 349, article de M. Maurice Tourneux.—Il ne faut pas confondre, comme on l'a fait parfois, Mme Thiroux de Lailly, née de Millery, décédée en 1766, avec Mme Thiroux d'Arconville, née Darlus (1720-1805), ni non plus Mme Thiroux de Crosne, née de la Michodière (1747-....).

[458] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 182;—et la Revue des livres anciens, année 1914, fascicule IV, p. 350, article de M. Maurice Tourneux.

[459] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 168.

[460] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 177.

[461] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 155.

[462] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 206.

[463] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 461.

[464] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 192.

[465] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 131.

[466] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 134.

[467] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 135, qui ne donne aucune date relative à cette bibliophile.

[468] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 136.

[469] Cf. ID., ibid.

[470] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 138.

[471] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 168.

[472] Variétés littéraires, morales et historiques, t. I, p. 246 (Paris, Didier-Perrin, 1884, 2 vol. in-12, 5e édition).

[473] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 142.

[474] Ludovic LALANNE, Dictionnaire historique de la France. Le duc de la Vallière aimait tellement les livres qu'il passe pour ne pas s'être toujours montré fort scrupuleux sur les moyens de s'en procurer, du moins dans sa vieillesse et lorsque sa passion était devenue manie. «N'est-il pas arrivé maintes fois que son valet de chambre reportât le lendemain aux divers marchands les bijoux (bibliographiques) qu'il trouvait dans les poches de son maître sans que celui-ci les eût achetés?» (Paulin PARIS, Notice sur Tallemant des Réaux, les Historiettes, t. VI, p. 427 (Paris, Techener, 1862).

[475] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 145-146.

[476] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 147.

[477] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 150.

[478] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 151.

[479] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 156.

[480] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 155.

[481] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 159.

[482] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 160.

[483] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 166.

[484] Cf. la Revue des livres anciens, année 1914, fascicule IV, p. 351, article de M. Maurice Tourneux;—et l'Intermédiaire des chercheurs et curieux, 20 juin 1908, col. 926.

[485] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 167.

[486] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 169.

[487] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 173.

[488] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 174.

[489] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 446;—et Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 174. A propos de la bibliothèque de Mlle Le Duc, Joannis Guigard écrit: «La Bibliophilie... faisait partie de l'existence mondaine au dix-huitième siècle. Les grandes dames surtout auraient cru manquer à tous leurs devoirs si elles n'avaient pu montrer, dans un salon richement orné, des livres aux fers merveilleux des Derome ou Padeloup.»

[490] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 176.

[491] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 177.

[492] Cf. ID., ibid.

[493] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 178.

[494] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 179;—et Ludovic LALANNE, Dictionnaire historique de la France.

[495] Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 183.

[496] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 186.

[497] Cf. ID., ibid.

[498] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 187.

[499] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 137.

[500] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 198, qui ne donne aucune date relative à cette bibliophile. L'Intermédiaire des chercheurs et curieux, No du 20 juin 1908, colonne 926, donne Rolland de Challerange, et non Roland de Challerauge. Ludovic Lalanne, dans son Dictionnaire historique de la France, donne Challeranges.

[501] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 198.

[502] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 200.

[503] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 122.

[504] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 202, qui ne donne aucune date relative à cette bibliophile.

[505] Cf. Ernest QUENTIN-BAUCHART, ouvrage cité, t. II, p. 444.

[506] Cf. Joannis Guigard, ouvrage cité, t. I, p. 204.

[507] Colonnes 926-927.

[508] Au lieu de d'Aligny, peut-être faut-il lire d'Aligre; voir la page précédente: La MARQUISE d'Aligre.

[509] Colonnes 34-35.

[510] Peut-être la même que nous avons mentionnée p. 244.

[511] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 168.

[512] Cf. Eugène ASSE, ouvrage cité, p. 138-139;—Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 104;—et ci-dessus, p. 180, note 3.

[513] Cf. la Revue universelle Larousse, année 1904, p. 81; article de M. H. Castets.

[514] SAINTE-BEUVE, Lettres à la Princesse (Paris, Michel Lévy, 1873, 5e édit.).

[515] Revue universelle Larousse, année 1904, p. 82; article de M. H. Castets.

[516] Année 1868, t. III, p. 240.

[517] Dans son beau volume les Amoureux du livre, p. 341.—Saluons ici, au passage, ce nom de François Fertiault, cher à tous ceux qui ont le culte des livres et des lettres. Né en juin 1814, à Verdun-sur-Doubs, «le cher petit pays», décédé à Paris en octobre 1915, c'est-à-dire dans sa cent-deuxième année, François Fertiault, l'auteur des Amoureux du livre, des Légendes du livre, des Drames et Cancans du livre, de la Vie du livre, des Soirs du Doyen, A cent ans, etc., a eu le très rare privilège, non seulement de mourir centenaire, mais de rester en possession de toutes ses facultés, de toute sa finesse d'esprit, de toute sa souriante accortise, de toute sa bonne humeur et de toute sa bonne grâce, jusqu'à son dernier jour. Il a été longtemps le doyen d'âge de la Société des gens de lettres, et il laisse, dans le monde des bibliophiles et des lettrés, un ineffaçable souvenir.

[518] Reproduit dans le journal le Voleur, 7 mai 1858, p. 11.

[519] Dates données par la Revue encyclopédique Larousse, année 1893, colonne 367.

[520] Voir notamment H. DE VILLEMESSANT, Mémoires d'un journaliste, Première série, chap. VI, p. 134-152;—Journal des Goncourt, année 1893, t. IX, p. 114 et 173-174;—Alidor DELZANT, Paul de Saint-Victor, p. 98-108 (Paris, Calmann Lévy, 1886);—Louis LOVIOT, Alice Ozy (Paris, Bibliothèque fantaisiste, 1910);—etc.

[521] Ouvrage cité, p. 135.

[522] «Mercredi 22 mars 1893.—Aujourd'hui, Alidor Delzant vient me voir. Naturellement la conversation est sur l'actrice Ozy, dont il vient d'hériter de 50.000 francs, qu'il destine à faire trois pensions à trois hommes de lettres. Il hérite aussi de papiers, parmi lesquels il y a des correspondances amoureuses de Gautier, de Saint-Victor, de Doré, et surtout tout un gros paquet de lettres d'About, qu'il déclare tout à fait charmantes de passion et d'esprit.» Etc. (Journal des Goncourt, année 1893, t. IX, p. 114-115.)

«Mercredi 6 décembre 1893.—... Parmi ces lettres des contemporains amants ou amoureux d'Alice Ozy, il y a tout un volume de lettres de Charles Hugo, de lettres très intéressantes, de lettres très belles, au moment où Ozy, courtisée par le vieil Hugo, est prête à lui céder, et où le fils lui écrit qu'il ne veut pas partager cet incestueux commerce, et qu'il se retire, le cœur déchiré.» (Ibid., p. 174.)

[523] Ouvrage cité, p. 98-99.

[524] H. DE VILLEMESSANT, ouvrage cité, p. 149.

[525] Dates données par la Revue encyclopédique Larousse, année 1900, p. 715.

[526] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 150;—et la Revue encyclopédique Larousse, lieu cité.

[527] Cf. la Revue (ancienne Revue des Revues), 1er août 1914, p. 336-337; article sur les Fermiers généraux, par Louis Pépin.

[528] «C'est peut-être le plus beau livre illustré publié au dix-huitième siècle», dit M. Édouard Rahir (La Bibliothèque de l'amateur, Guide sommaire à travers les livres... p. 261).

[529] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 195.

[530] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 113;—et M.-N. BOUILLET, Atlas universel d'histoire et de géographie, p. 477.

[531] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 134.

[532] La Gazette de France, dans la Bibliographie de la France, 19 août 1910, p. 161.

[533] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 141.

[534] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 165.

[535] Cf. ID., ouvrage cité. t. I, p. 190.

[536] Cf. Joannis GUIGARD, ouvrage cité, t. I, p. 198.

[537] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 135.

[538] Cf. ID., ouvrage cité, t. I, p. 131.

[539] ZED (comte de Maugny), le Demi-Monde sous le second empire, p. 52 (Paris, Kolb, s. d.).

[540] Cf. le journal le Voleur, 6 août 1869, p. 495.

[541] Pseudonyme du docteur Bonnet de Malherbe. Indiscrétions contemporaines, Souvenirs intimes, p. 390 (Paris, Calmann Lévy, 1885).

[542] Journal des Goncourt, année 1879, t. VI, p. 59.

[543] Année 1893; t. IX, p. 125.

[544] Cf. François FERTIAULT, les Amoureux du livre, p. 340-341.

[545] Cf. ID., ibid.

[546] Cf. ID., ibid.

[547] Cf. ID., ibid.

[548] Cf. ID., ibid.

[549] Cf. ID., ibid.

[550] Cf. ID., ibid.

[551] Cf. la Revue biblio-iconographique, février 1904, p. 88 et suiv.

[552] Dont trois volumes sont parus: Paris, Alphonse Picard, 1897, 1906 et 1909. Ce vaste répertoire, qui présente un intérêt de premier ordre pour ceux qui s'occupent de l'histoire de l'imprimerie, formera sept volumes. «Chef-d'œuvre de la nouvelle école bibliographique», a dit Léopold Delisle en parlant de cet ouvrage, dans l'introduction du Catalogue général des livres imprimés de la Bibliothèque nationale, t. I, p. LXXVI. Mlle Pellechet n'a pu que publier «le premier volume de ce grand ouvrage, qu'elle avait entrepris à ses frais, mais dont elle a assuré l'achèvement par un legs spécial. M. Louis Polain continue dignement l'œuvre de celle dont il avait été le collaborateur et l'ami.» (Bulletin officiel de l'Union syndicale des maîtres imprimeurs de France, avril 1914, p. 167, note 2; article de M. Paul Lacombe sur l'Histoire de l'imprimerie en France.)

INDEX ALPHABÉTIQUE

  • ABOUT (Edmond): 255.
  • ADAM (Mme Juliette): 267.
  • ADÉLAIDE (Madame), fille de Louis XV: 179, 180, 181.
  • ADÉLAÏDE (Mme), sœur de Louis-Philippe: 194, 200.
  • AGNÈS (abbesse): 33, 34.
  • AIGUILLON (duchesse d'): 85.
  • ALBANY (comtesse d'): 196, 197.
  • ALBERT D'AILLY DE CHAULNES (Charlotte d'): 150.
  • ALBRET (Diane-Françoise d'): 151.
  • ALBRET (Jeanne d'): 59.
  • ALBRET (Marie d'): 81.
  • ALBUFÉRA (duchesse d'): 264.
  • ALDE MANUCE: 52.
  • ALEMBERT (d'): 145.
  • ALEXANDRE VI (pape): 51.
  • ALFIERI: 196.
  • ALIGNY (ou Aligre?) (marquise d'): 246.
  • ALIGRE (Étienne d'): 234.
  • ALIGRE (Mme d'), Madeleine-Catherine Boivin de Bonnetot: 234.
  • ALIGRE (Mme d'), Françoise-Madeleine Talon: 174.
  • ALIGRE (marquise d'), Mme de Saint-Germain: 245, 246.
  • ALIGRE (président d'): 174.
  • ALKAN aîné: 8, 29.
  • ALLERAY (Mme d'): 247.
  • AMBRES (marquise d'): 145.
  • AMBROISE (saint): 33, 224.
  • AMÉDÉE IX, duc de Savoie: 44.
  • ANACRÉON: 199.
  • ANGENNES (comtesse ou marquise d'), Marie-Françoise de Mailly: 231.
  • ANGENNES (Julie-Lucine d'): 76, 78, 79, 80.
  • ANGENNES DE RAMBOUILLET (Louise-Isabelle d'): 150.
  • ANGOULÊME (duc d'): 220.
  • ANGOULÊME (duchesse d'), dite Madame Royale: 220, 221.
  • ANNE D'AUTRICHE: 85, 168.
  • ANNE DE BAVIÈRE, princesse de Condé: 111.
  • ANNE DE BOLEYN: 66, 67.
  • ANNE DE BRETAGNE: 47, 48, 49, 50.
  • ANNE DE FRANCE: 45, 46, 53.
  • ANNE DE LORRAINE: 68.
  • ANSELME (le Père): 140.
  • APPIEN: 202.
  • ARÇAY (Joseph d'): 265.
  • ARGENSON (René d'): 93, 136, 155.
  • ARGOUGES (marquise d'): 229.
  • ARIOSTE: 42.
  • ARISTOTE: 37.
  • ARMAILLÉ (Mme d'): 218.
  • ARMENAULD (Mlle): 87.
  • ARNAULD D'ANDILLY: 78.
  • ARNAULD DE CORBEVILLE: 78.
  • AROUET (Mme): 96.
  • ARTOIS (comte d'): 214, 226.
  • ARTOIS (comtesse d'): 214.
  • ARTOIS (Louise-Marie-Thérèse d'), dite Mademoiselle: 249.
  • ASPASIE: 29, 30.
  • ASPREMONT (Marie d'): 112.
  • ASSE (Eugène): 40, 41, 43, 64, 125, 133, 134, 136, 141, 155, 180, 182, 212, 213, 216, 219, 226, 228, 249.
  • ATHANASE (saint): 33.
  • AUBIGNÉ (Agrippa d'): 68.
  • AUBIGNÉ (Mme Jean d'): 68.
  • AUCHY (vicomtesse d'): 147.
  • AUGIER (Émile): 250, 254.
  • AUGUSTIN (saint): 33, 88.
  • AULNOY (Mme d'): 214.
  • AUMALE (duc d'): 256, 261.
  • AUMONT (duchesse d'): 230.
  • BADIER (Florimond): 80.
  • BAILLEU (Mme): 247.
  • BALLANCHE: 215.
  • BALZAC (H. de): 24.
  • BARTHÉLEMY (abbé): 183.
  • BARTET (Mme Julia): 247, 267.
  • BASILE (saint): 33, 69.
  • BASSOMPIERRE (maréchal de): 76.
  • BASTARD DE LA FITTE (Marie de): 234.
  • BAUFFREMONT (princesse de), Hélène, princesse de Courtenay: 139.
  • BAUFFREMONT (princesse de), Marie-Christine-Isabelle-Ferdinande Osorio de Moscoso et Bourbon: 262.
  • BAUYN D'ANGERVILLIERS (Mme de): 234.
  • BAVIÈRE (Anne de), princesse de Condé: 111.
  • BAVIÈRE (Édouard de): 111.
  • BAVIÈRE (Marie-Anne-Christine de): 149.
  • BAYLE: 94, 173.
  • BEAUHARNAIS (comtesse de): 264.
  • BEAUHARNAIS (Eugène de): 27.
  • BEAUHARNAIS (Hortense de): 222.
  • BEAUJEU (sire de): 45.
  • BEAUJOLAIS (Mademoiselle de): 142.
  • BEAUMANOIR (Mme de): 245.
  • BEAUMARCHAIS: 167.
  • BEAUVEAU (marquis de): 113.
  • BEAUVILLIERS (duc de): 124.
  • BEAUVILLIERS (duchesse de), fille de Colbert: 124.
  • BEAUVILLIERS DE SAINT-AIGNAN (duchesse de): 165.
  • BÉCU ou BÉQUS (Anne), mère de Mme du Barry: 189.
  • BELZUNCE ou BELSUNCE (Anne-Marie-Louise de) (abbesse): 234.
  • BELZUNCE ou BELSUNCE (vicomtesse de): 235.
  • BEMBO (Pierre): 51, 52.
  • BENJAMIN-DELESSERT (Mme): 267.
  • BERLAYMONT (comtesse de): 151.
  • BERNARD (saint): 45, 88.
  • BERRY (duc de): 27.
  • BERRY (duchesse de), Marie, nièce de Charles V: 43.
  • BERRY (duchesse de), fille du Régent: 141.
  • BERRY (duchesse de), Marie-Caroline, fille du roi de Naples Ferdinand Ier: 225-228, 249.
  • BERTHAIRE: 29.
  • BERTRAND, seigneur de la Tour: 54.
  • BESSET (Élisabeth-Henriette): 245.
  • BIGNON de VERTHAMON (Marie-Anne-Françoise): 126.
  • BIGOTTINI (Mme): 26, 27.
  • BIRÉ (Edmond): 9, 11, 12, 13, 221.
  • BISSY (comtesse de): 137.
  • BIZIAUX, relieur: 167.
  • BLACAS (comtesse X. de): 247.
  • BLOIS (Mademoiselle de), Françoise-Marie de Bourbon: 125.
  • BLOIS (Mademoiselle de), Marie-Anne de Bourbon: 125.
  • BLONDEL D'AUBERS (Mme): 235.
  • BOCCACE: 58.
  • BOÈCE: 45.
  • BOILEAU: 11, 151, 199.
  • BOISSONADE: 223.
  • BOITEAU (Paul): 171.
  • BOLEYN ou BOULEN (Anne de): 66, 67.
  • BONAPARTE: 11; voir NAPOLÉON Ier.
  • BONAPARTE (Jérôme): 250.
  • BONAPARTE (Louis): 222.
  • BONAPARTE (princesse Mathilde): 249, 250, 251.
  • BONHOMME (Honoré): 193.
  • BONNEMAINS (vicomtesse de): 247.
  • BONNET de MALHERBE (docteur): 265.
  • BONNEVIE (abbé de): 9.
  • BORGIA (Lucrèce): 51, 52.
  • BORNIOL (Mme de): 247.
  • BOSSUET: 66, 211.
  • BOTHWELL (comte): 71.
  • BOUCHARD (Mme de): 245.
  • BOUCHER, peintre: 169.
  • BOUCHOT (Henri): 181.
  • BOUCOT (Mme Nicolas): 151.
  • BOUFFLERS (Charles-Joseph de): 158.
  • BOUFFLERS (comtesse de): 160, 161.
  • BOUFFLERS (duchesse de): 156, 157, 158, 159, 161.
  • BOUFFLERS (Joseph-Marie, duc de): 156.
  • BOUFFLERS (marquise de): 159.
  • BOUILLET (M.-N.): 104, 129, 140, 262.
  • BOUILLON (duchesse de): 108, 109.
  • BOULLANGER, commissaire: 199.
  • BOURBON (Catherine de): 73, 75.
  • BOURBON (duc de): 146.
  • BOURBON (Henri de): 75.
  • BOURBON (Marie-Louise-Thérèse de), femme de Charles IV, roi d'Espagne: 196.
  • BOURBON (Pierre de), sire de Beaujeu: 45.
  • BOURBON-CONDÉ (Louis de): 240.
  • BOURBON-CONDÉ (Louise-Adélaïde de): 215.
  • BOURBON-CONTI (Louise-Adélaïde de), dite Mademoiselle de la Roche-sur-Yon: 143.
  • BOURBON-CONTI (princesse de), Louise-Marguerite de Lorraine: 75.
  • BOURBON de la GUICHE (Henriette de): 235.
  • BOURBON-VENDÔME (Antoinette de): 64.
  • BOURDICHON (Jehan): 48.
  • BOURGOGNE (duc de): 216.
  • BOURGOGNE (duchesse de): 138, 168.
  • BOUTARD: 147.
  • BOUVIER (Félix): 27.
  • BOZE (M. de): 80.
  • BRANCAS (duc de): 134.
  • BRANCAS (duchesse de): 134, 135, 136, 164.
  • BRANCAS-LAURAGUAIS (duchesse de): 165.
  • BRANTÔME: 45, 46, 47, 59, 60, 68, 70, 72.
  • BRIOT (marquis de): 78.
  • BRISSON (Adolphe): 5, 6, 15.
  • BROCHET de SAINT-PREST (Mme): 245.
  • BROGLIE (maréchale et duchesse de): 263.
  • BROGLIE (marquise de): 245.
  • BRUMOY (le Père Pierre): 254.
  • BRUNET (Gustave): 116, 117.
  • BUFFON: 211.
  • BULLION-WIDEVILLE (marquise de): 151.
  • BURE (Mme Guillaume de): 235.
  • BURE (les frères de), libraires: 235, 239.
  • BURNET (Gilbert): 66, 67.
  • BURY (Richard de): 1.
  • BUSSY (Honorée de): 152.
  • Cabinets de lecture: 89.
  • CALLOT: 23.
  • CALPURNIE: 30.
  • CAMPAN (Mme): 182.
  • CAMUS DE PONTCARRÉ (Mme): 236.
  • CARLIN LE BRET (Mme): 196.
  • CASTETS (H.): 250, 251.
  • CATHERINE DE BOURBON: 46, 47, 73.
  • CATHERINE DE MÉDICIS: 67, 168, 228.
  • CATHERINE II, impératrice de Russie: 46, 173.
  • CATHERINE DE SIENNE (sainte): 52.
  • CAUMARTIN (Mme de): 106.
  • CAYLUS (Mme de): 109, 110, 127, 128, 133.
  • CHALABRE (marquis de): 24.
  • CHAMBORD (comte de): 13.
  • CHAMFORT: 217.
  • CHAMILLARD ou CHAMILLART (marquise de): 121, 122.
  • CHAMILLARD, ministre de Louis XIV: 122.
  • CHAMISSO DE BONCOURT (Adalbert): 217, 218.
  • CHAMPEAUX (A. de): 44.
  • CHAPONNIÈRE (Paul): 185, 187.
  • CHARBONNÉ (Mme): 207.
  • CHARDON (Mme Virginie): 245.
  • CHARLES Ier (duc): 43.
  • CHARLES Ier, roi d'Angleterre: 90.
  • CHARLES II, roi d'Espagne: 125.
  • CHARLES III, duc de Parme: 249.
  • CHARLES III, roi d'Espagne: 170.
  • CHARLES IV, duc de Lorraine: 113.
  • CHARLES IV, roi d'Espagne: 196.
  • CHARLES V, roi de France: 40, 41, 42, 43.
  • CHARLES VI, roi de France: 44.
  • CHARLES VII, roi de France: 44.
  • CHARLES VIII, roi de France: 47, 53.
  • CHARLES IX, roi de France: 83.
  • CHARLES X, roi de France: 178, 214, 226.
  • CHARLES LE TÉMÉRAIRE: 44, 64.
  • CHARLES-QUINT: 65.
  • CHARLEVAL: 97.
  • CHAROLAIS (Mademoiselle de): 129.
  • CHARRON: 100.
  • CHARTIER (Alain): 58.
  • CHARTRES (duc de): 194.
  • CHARTRES (Mademoiselle de): 142.
  • CHATEAUBRIAND: 9, 10, 11, 12, 13, 221.
  • CHATEAUBRIAND (Mme de): 9, 10, 12, 14.
  • CHATEAUNEUF (abbé de): 96, 97.
  • CHATILLON (duchesse de): 80, 236.
  • CHAUDOT (Mlle): 245.
  • CHAULIEU: 133.
  • CHESNEAU (Ernest): 250.
  • CHESSY-FOURCY (comtesse de): 228.
  • CHEVREAU (Urbain): 201.
  • CHIMAY (princesse de): 191.
  • CHOFFARD, graveur: 259.
  • CHOISEUL (duc de): 174.
  • CHOISEUL-STAINVILLE (duchesse de): 183.
  • CHRISTINE DE FRANCE: 86.
  • CHRISTINE DE PISAN: 41, 42, 43.
  • CHRISTINE DE SUÈDE: 94, 95, 96, 201.
  • CICÉRON: 37, 41, 45, 201.
  • CLAUDE DE FRANCE, fille aînée de Louis XII: 65.
  • CLAUDE DE LORRAINE, premier duc de Guise: 64.
  • CLERMONT (Mme de): 170.
  • CLERMONT (Mademoiselle de): 129.
  • CLÈVES (Charles de): 81.
  • CLOTAIRE Ier: 29, 31, 32.
  • COCHERIS: 1.
  • COIGNY (Mme de): 223.
  • COLBERT: 103, 124.
  • COLBERT (Catherine): 103.
  • COLLETET: 78.
  • COMBALET (M. de): 85.
  • COMMINES: 45.
  • CONDÉ (princes de): 81, 92, 93, 104, 111, 128, 184, 235.
  • CONDÉ (princesses de): 104, 111, 184.
  • CONDORCET: 96.
  • CONRART: 78.
  • CONTI (princes de): 93, 125, 129, 160.
  • CONTI (princesses de): 129, 178.
  • CORDAY (Charlotte): 219, 220.
  • CORIOLIS: 52.
  • CORNEILLE: 79, 102, 199, 219, 254.
  • COTIN (abbé): 102.
  • COULANGES (Mme de): 101.
  • COURSOU: 205.
  • COURTENAY (princesse de): 139.
  • CRABBE (Élisabeth): 82.
  • CRÉBILLON: 199.
  • CROMWELL (Thomas): 67.
  • CROY (Philippe de): 68.
  • CROZAT DU CHATEL (marquis): 237.
  • CROZAT DU CHATEL (marquise): 237.
  • CRUSSOL (duchesse de): 179.
  • CUJAS: 228.
  • DACIER (André): 113, 205.
  • DACIER (Mme): 113, 114, 115.
  • DALLOZ: 258.
  • DAMAS (comtesse Charles de): 245.
  • DAMAS (Mme de), née Rochechouart: 245.
  • DANTE: 45, 52, 225.
  • DANTZIG (duchesse de): 21.
  • DARLUS (Marie-Geneviève-Charlotte): 166.
  • DASSY (docteur): 216.
  • DEGUERRY (abbé): 9.
  • DELESPINE (Ch.-J.-B.): 178.
  • DELHOMME (Mme Mina): 247.
  • DÉLION: voir DESLIONS.
  • DELISLE (Léopold): 44, 48, 268.
  • DELZANT (Alidor): 255.
  • DEMIDOFF (prince Anatole): 250, 251.
  • DEROME, relieur: 240, 261.
  • DESCHAMPS (Émile): 254.
  • DES ESSARTS: 218.
  • DESLIONS ou DÉLION (Anna): 264, 265.
  • DES MAIZEAUX: 98.
  • DESMARETS: 78.
  • DESMARETS (Mme Jean), née Marie Colbert: 103.
  • DESTOUCHES: 199.
  • DESTUTT DE TRACY: 223.
  • DEVONSHIRE (duc de): 214.
  • DIANE DE FRANCE: 70.
  • DIANE DE POITIERS: 65, 167.
  • DIDEROT: 171, 173, 175, 259.
  • DIENNE (Charlotte-Françoise de): 140.
  • DIEZ (Mme veuve): 237.
  • DIOTIME: 30.
  • DOCHE, compositeur: 258.
  • DOCHE (Mme): 257, 258, 260.
  • DORÉ (Gustave): 255.
  • DOSNE (Mlle): 267.
  • DOUBLE, collectionneur: 260.
  • DOUJAT (Françoise): 150.
  • DREUX-BREZÉ (Catherine-Angélique de): 122.
  • DUBARRY ou DU BARRY (Mme): 189, 190, 191, 261.
  • DU BELLAY: 71.
  • DU BU DE LONGCHAMP (Mme): 245.
  • DU CASTEL (Étienne): 42.
  • DU CHATELET (Mme): 157, 159.
  • DUCHÉ (Mme Hélène): 247.
  • DUCLOS: 171.
  • DU COUDRAY (marquise): 247.
  • DU DEFFAND (marquise): 143, 144, 145, 160, 173, 174, 183, 184.
  • DU DRENEUC (comtesse): 237.
  • DUGAS de BOIS-SAINT-JUST (Mme): 152.
  • DULOT, poète: 85.
  • DUMAS (Alexandre): 25, 186, 254.
  • DU PESCHIN (Jacquette): 54.
  • DUPLESSIS ou DU PLESSIS DE RICHELIEU (Élisabeth-Marguerite-Armande): 139.
  • DUPLESSIS ou DU PLESSIS DE RICHELIEU (Marie-Gabrielle-Élisabeth): 139, 140.
  • DUPONT (Paul): 25.
  • DUREY de Noinville (Mme): 165.
  • DURFORT (Claude de), religieuse: 237.
  • DURFORT (Jean de): 152.
  • DURFORT (Jean-Louis de): 152.
  • DURFORT (Mme Louise de): 152.
  • DURFORT-CIVRAC (Adélaïde-Philippine... duchesse de): 191.
  • DURFORT-CIVRAC (Anne-Marie... duchesse de): 233.
  • DURFORT-CIVRAC (marquise de): 172.
  • DURFORT DE DURAS (Louise-Henriette... duchesse de): 192.
  • DURFORT DE DURAS (Marguerite-Félicité... duchesse de): 229.
  • DURFORT DE LORGES (Élisabeth-Geneviève, duchesse dede): 122.
  • DURFORT DE LORGES (Marie-Marguerite... duchesse de): 238.
  • DUROC (maréchal): 27.
  • DU SEUIL, relieur: 104.
  • EGMONT (Adolphe d'): 46.
  • EGMONT (Marguerite d'): 73.
  • EISEN (Charles): 259, 260.
  • ÉLÉONORE D'AUTRICHE: 65.
  • ÉLISABETH (Madame), sœur de Louis XVI: 215-219.
  • ÉLISABETH D'ANGLETERRE: 46, 69.
  • EMMANUEL LE GRAND, roi de Portugal: 65.
  • ENGHIEN (duc d'): 215.
  • ÉON (le chevalier ou la chevalière d'): 172, 173.
  • ÉPICURE: 30.
  • ÉPINAY (Mme d'): 171, 175, 260.
  • ERCEVILLE (comtesse d'): 248.
  • ERNOUF (baron): 39.
  • ESPAGNE (Marie-Thérèse-Antoinette d'): 171.
  • ESTE-MODÈNE (Marie-Béatrix-Eléonore d'): 124.
  • ESTRÉES (comte d'): 127.
  • ESTRÉES (Élisabeth-Rosalie d'): 127.
  • ESTRÉES (Gabrielle d'): 75.
  • EUDEL (Paul): 4.
  • EURIPIDE: 11.
  • ÈVE (Clovis), relieur: 73.
  • ÈVE (Nicolas), relieur: 64.
  • FABRE (Xavier), peintre: 196.
  • FALLOUX (M. de): 221.
  • FARNÈSE (Élisabeth): 141.
  • FAURIS (Mme): 238.
  • FAURIS (président): 238.
  • FÉNELON: 208, 216.
  • FERDINAND Ier, roi de Naples: 225.
  • FERTIAULT (François): 12, 21, 23, 53, 70, 94, 252, 267.
  • FIELDING: 213.
  • FIRMIN-DIDOT (Ambroise): 178.
  • FLAUBERT (Gustave): 250.
  • FLEURY (évêque): 146.
  • FLEURY (duchesse de): 169.
  • FLEURY (marquise de): 245.
  • FLOURY (H.), libraire: 16.
  • FOCHIN ou FOUQUELIN (Antoine): 71.
  • FONTAINE, libraire: 265.
  • FONTAINE-CHALANDRAY (baron de): 238.
  • FONTAINE-CHALANDRAY (baronne de): 238.
  • FONTANES: 11, 26.
  • FONTENELLE: 133.
  • FORTUNAT (Venantius Fortunatus): 30, 33, 34.
  • FOU (Pierre DU): 44.
  • FOUQUELIN ou FOCHIN (Antoine): 71.
  • FOUQUET (Jehan): 48.
  • FOUQUET (marquise de), Marie-Jeanne Guyon: 152.
  • FOUQUET (marquise de), dite Mademoiselle de Nevers: 188.
  • FOUQUIER-TINVILLE: 169, 175.
  • FOURNIER (Édouard): 64, 89, 167, 190.
  • FRANÇOIS (duc): 47.
  • FRANÇOIS Ier: 57, 58, 59, 65.
  • FRANÇOIS-XAVIER (saint): 118, 119.
  • FRANÇOISE-RENÉE DE LORRAINE: 68.
  • FRANK (Félix): 59.
  • FRÉDÉRIC-AUGUSTE II, roi de Pologne: 170.
  • FRONSAC (Mademoiselle de): 139, 140.
  • FROULAY DE TESSÉ (comtesse de): 82.
  • FUENTÈS (comte de): 27.
  • HABERT: 78.
  • HAINAUT (Marie de): 40.
  • HAMILTON: 213.
  • HARLAY (François de), archevêque: 120.
  • HAUTEFORT DE BERINHEN (ou BERINGHEN?) (Mme): 245.
  • HÉBERT, peintre: 250.
  • HEINSIUS: 94.
  • HÉLÈNE (sainte): 48.
  • HENRI II: 58, 70, 228.
  • HENRI III: 73.
  • HENRI IV: 57, 59, 64, 73, 75, 86, 90.
  • HENRI VIII, roi d'Angleterre: 66.
  • HENRIETTE-ANNE D'ANGLETERRE, duchesse d'Orléans: 107, 115.
  • HENRIETTE-MARIE DE FRANCE: 90.
  • HENRY-ANDRÉ (Mme): 248.
  • HERRADE DE LANDSBERG (abbesse): 35, 36, 38.
  • HERVEY (Élisabeth): 214.
  • HILAIRE (saint): 33.
  • HILDEGARDE (sainte): 37, 38.
  • HOCQUINCOURT (M. d'): 91.
  • HOMÈRE: 114.
  • HOUDETOT (comtesse d'): 175, 176.
  • HOUDETOT (vicomtesse d'): 176.
  • HOYM (d'): 56.
  • HUET, évêque d'Avranches: 88, 95.
  • HUGO (Charles): 256.
  • HUGO (Victor): 12, 193, 194, 256.
  • HUME: 160.
  • HUNTER DE CADIGNAN (Mme Catherine): 245.
  • HYPATIE: 29.
  • IGNACE (saint): 118, 119.
  • ISABEAU DE BAVIÈRE: 44.
  • ISENGHIEN (princesse): 225.
  • IVOI (Paul d'): 252.
  • JABLONOWSKI (comte): 244.
  • JACOB (Bibliophile): voir LACROIX (Paul).
  • JACQUES Ier: 58.
  • JACQUETTE DU PESCHIN: 54.
  • JAEGLÉ (Ernest): 116, 118.
  • JANIN (Jules): 211.
  • JARRY (Nicolas), calligraphe: 78, 80.
  • JEAN, roi de France: 100.
  • JEAN Ier, duc de Bourbon: 43.
  • JEAN II (duc): 43.
  • JEANNE d'Arc: 43.
  • JEANNE DE BOURBON: 40.
  • JÉRÔME (saint): 33.
  • JOANNIS (Mme de): 245.
  • JOURDAN (Louis): 173.
  • JULLIEN (B.): 64, 114.
  • KERHOENT (marquise de): 238.
  • LA BÉDOYÈRE: 206.
  • LABESSADE (Léon de): 190, 191.
  • LA BORDE (Joseph de): 260.
  • LA BORDE (Mme de): 239.
  • LA CHAUSSÉE: 199.
  • LACOMBE (Paul): 269.
  • LA CONDAMINE (Mme L.-H. de): 248.
  • LACOUR (Louis): 134, 210.
  • LACROIX (Paul) (Bibliophile Jacob): 2, 48, 49, 51, 59, 79, 190, 211.
  • LA CROIX DE CASTRIES (marquise de): 170.
  • LAFAGUETTE: 256.
  • LA FARE: 133.
  • LA FAYETTE (Mme de): 101, 107, 213.
  • LA FERTÉ-IMBAULT (marquise de): 216.
  • LA FEUILLADE (comtesse de): 239.
  • LA FEUILLADE (Marie-Thérèse de): 122.
  • LA FIZELIÈRE (M. de): 168.
  • LA FONTAINE: 108; les Contes de ——, édition dite «des Fermiers généraux»: 258-261.
  • LA FORCE (duchesse de): 245.
  • LAFOSSE, graveur: 259.
  • LA GERVAISAIS (M. de): 215.
  • LA GRANGE (marquise de): 249.
  • LA GRANGE D'ARQUIEN (Marie-Casimire de): 106.
  • LA HARPE: 114, 159.
  • LA HAYE (Mme de): 232.
  • LAIDET (Mme de): 245.
  • LALANDE: 215.
  • LALANNE (Ludovic): 35, 42, 58, 66, 69, 88, 96, 108, 119, 120, 124, 130, 146, 151, 154, 166, 173, 184, 186, 193, 196, 210, 215, 236, 241, 243.
  • LAMBALLE (princesse de): 195.
  • LAMETH (Mme M.-Ch. de): 248.
  • LAMETH (marquise de): 182.
  • LAMOIGNON (Marie-Madeleine de), Mme Le Pelletier ou Le Peletier: 139.
  • LAMOIGNON, marquis de Baville: 150, 151.
  • LAMOIGNON-BAVILLE (marquise de): 150.
  • LA MOTTE: 113.
  • LANCRET: 6.
  • LANDSBERG (Herrade de) (abbesse): 35, 36, 38.
  • LANGE (Mme): 248.
  • LANGEAC (comtesse de), née de la Quenille ou de la Queuille: 246.
  • LA POPELINIÈRE: 260.
  • LA QUEUILLE (marquise de): 239.
  • LARCHEY (Lorédan): 103.
  • LA ROCHEFOUCAULD (comtesse de): 83.
  • LA ROCHEFOUCAULD (duchesse de), Félicité-Sophie de Lannion: 192.
  • LA ROCHEFOUCAULD (duchesse de), femme de l'auteur des Maximes: 153.
  • LA ROCHEFOUCAULD-LIANCOURT (duc de): 181, 192.
  • LA ROCHEFOUCAULD DE ROYE DE ROUCY (Élisabeth de), religieuse: 229.
  • LA ROCHE-SUR-YON (Mademoiselle de): 143.
  • LAROUSSE, Grand Dictionnaire: 42, 53, 58, 67, 88, 166, 174, 179, 187, 210, 214.
  • LA TOUR (Bertrand, seigneur de): 54.
  • LA TOUR (Claude de): 83.
  • LA TOUR (François de): 83.
  • LA TOUR (Louise-Charlotte de): 104, 105.
  • LA TOUR D'AUVERGNE (Amélie de): 105.
  • LA TOUR D'AUVERGNE (Élisabeth-Éléonore): 230.
  • LA TOUR D'AUVERGNE (princesse de): 166.
  • LATOUR SAINT-YBARS: 254.
  • LA TRÉMOILLE (duchesse de): 246.
  • LA TRÉMOILLE-THOUARS (duchesse de): 239.
  • LAUNAY (vicomte de): 19, 20.
  • LAURAGUAIS (comte de): 134.
  • LAVAL (Mme de): 47.
  • LA VALLIÈRE (duc de), bibliophile: 56, 80, 138, 167, 236.
  • LA VALLIÈRE (duchesse de): 138.
  • LA VALLIÈRE (Mlle de): 108, 125.
  • LA VIEFVILLE (Marie-Anne): 230.
  • LE BAS DE GIRANGY (Mme): 246.
  • LE BAS DE MONTARGIS, conseiller d'État: 239, 240.
  • LE BAS DE MONTARGIS (Mme): 239.
  • LEBIENVENU-DUBOURG (Mme C.): 248.
  • LE BLOND (Guillaume): 216.
  • LE CAMUS DE NICOLAI (Marie-Catherine): 149.
  • LECOY DE LA MARCHE: 48.
  • LE DOULCEUR (Mme L.): 248.
  • LE DUC (Mlle): 56, 240.
  • LEFÉBURE DE LA BASSE-BOULOGNE (Mme): 241.
  • LEFEBVRE (la maréchale): 21.
  • LEFEBVRE ou LEFÈVRE (Tanneguy): 113.
  • LEFEBVRE SAINT-OGAN: 42, 43.
  • LEFÈVRE ou LEFEBVRE (Tanneguy): 113.
  • LE FÈVRE-CAUMARTIN DE LA TOUR (Madeleine-Charles-Émilie): 188.
  • LE GASCON, relieur: 80.
  • LEMIRE, graveur: 259.
  • LEMONNIER (abbé): 254.
  • LE MONNIER (docteur): 216, 218.
  • LENCLOS ou L'ENCLOS (Ninon de): 96, 97, 98.
  • LENGLET-Dufresnoy: 127.
  • LEONTIUM: 29, 30, 98.
  • LÉOPOLD Ier, duc de Lorraine: 132.
  • LÉOPOLD Ier, empereur d'Allemagne: 121.
  • LE PELLETIER ou LE PELETIER (Mme), Louise-Suzanne de Beaupré: 184.
  • LE PELLETIER ou LE PELETIER (Mme), Marie-Madeleine de Lamoignon: 139.
  • L'ÉPINETTE LE MAIRAT ou LESPINETTE DE MEIRAT (Mme de): 232.
  • LERCHENFELD (baronne de): 246.
  • LÉRIS (G. de): 127.
  • LÉRIS (Madeleine de): 153.
  • LESCURE (M. de): 128, 145, 173.
  • LESDIGUIÈRES (duchesse de): 120, 121.
  • L'ESTANG (Catherine de): 68.
  • LESTEVENON (marquise de): 241.
  • LESZCZYNSKA (Marie), femme de Louis XV: 146, 155, 167, 168.
  • LE TORT (général): 222, 225.
  • LETOURNEUR: 214.
  • LEULIETTE: 179.
  • LEVALLOIS (Jules): 221, 222.
  • LEVÉE: 254.
  • LE VERDIER (Mme M.): 248.
  • LÉVIS-CHATEAU-MORAND (comtesse de): 241.
  • LÉZARDIÈRE (Marie-Pauline de): 208, 209, 210.
  • LIGNE (Ernestine de): 153.
  • LIGNE (princesse de): 241.
  • LIPONA (comtesse de): 246.
  • LOCKE: 208.
  • LOMÉNIE DE BRIENNE (cardinal): 176.
  • LONGIN: 11.
  • LONGUEIL, graveur: 259.
  • LONGUEVILLE (duchesse de): 92, 93.
  • LORENZ: 173.
  • LORRAINE (Charles de): 80.
  • LORRAINE (Claude de), fille du duc Henri II de Lorraine: 153.
  • LORRAINE (Henri Ier, duc de): 76.
  • LORRAINE (Henri II, duc de): 73, 153.
  • LORRAINE (Henriette de): 80.
  • LORRAINE (Louise de): 73.
  • LORRAINE (Nicolas de): 73.
  • LORRAINE (Renée de): 76.
  • LOUIS XI: 44, 45, 58.
  • LOUIS XII: 47, 48, 49, 65.
  • LOUIS XIV: 80, 105, 107, 109, 115, 121, 125, 126, 128, 133, 138, 139, 149, 236.
  • LOUIS XV: 171, 173, 174, 178, 179, 180, 181, 183, 189, 235, 260.
  • LOUIS XVI: 178, 210, 215, 220, 235.
  • LOUIS XVIII: 178, 198.
  • LOUIS-PHILIPPE, roi de France: 156, 193, 194, 200, 222.
  • LOUIS DE FRANCE, dauphin, fils de Louis XV: 171.
  • LOUIS Ier, duc de Bourbon: 40.
  • LOUIS II, duc de Bourbon: 40.
  • LOUIS Ier, comte de Montpensier: 51.
  • LOUIS II, duc de la Trémoille: 51.
  • LOUISE (Madame), fille de Louis XV: 181, 182.
  • LOUISE DE LORRAINE: 73.
  • LOUISE DE SAVOIE: 57.
  • LOUVEL: 226.
  • LOUVOIS (marquise de): 109.
  • LOVENJOUL: voir SPOELBERCH DE LOVENJOUL.
  • LOVIOT (Louis): 255.
  • LUCIEN DE SAMOSATE: 100.
  • LUXEMBOURG (duchesse de): 157, 159.
  • LUXEMBOURG (maréchal de): 157.
  • LUXEMBOURG (maréchale de): 156, 158, 159.
  • LUYNES (duc de): 126, 165, 180.
  • LUYNES ET DE CHEVREUSE (duchesse de): 231.
  • MACKAU (baronne de): 216, 218.
  • MADAME ROYALE, fille de Louis XVI: 220.
  • MADEMOISELLE: voir MONTPENSIER (duchesse de).
  • MAIGRET (Mme): 242.
  • MAILLÉ DE KERMAVAN (ou KERMAOUEN, ou KERMAN, ou CARMAN), (Cunégonde de) (abbesse): 241.
  • MAILLY (marquise de): 195.
  • MAINE (duc DU): 133.
  • MAINE (duchesse DU): 132.
  • MAINTENON (Mme de): 104, 121, 127, 138, 168, 229.
  • MAISONFLEUR (M. de): 71.
  • MAISONS (président de): 163.
  • MALESHERBES: 209.
  • MALÉZIEUX: 133.
  • MALLEVILLE: 78.
  • MANCINI (marquise de): 232.
  • MANDELOT (François), seigneur de Passé: 84.
  • MARAT: 219, 220.
  • MARCHAND (Jeanne et Jeannine): 248.
  • MARCULFE: 209.
  • MARGUERITE (sainte): 48.
  • MARGUERITE D'ANGOULÊME: 57 et suiv.
  • MARGUERITE D'AUTRICHE: 53.
  • MARGUERITE D'ÉCOSSE: 58.
  • MARGUERITE DE FLANDRE: 41.
  • MARGUERITE DE SAVOIE: 57, 58.
  • MARGUERITE DE VALOIS (la reine Margot): 57 et suiv., 83.
  • MARIE-AMÉLIE, femme de Louis-Philippe: 222.
  • MARIE D'ANGLETERRE: 65.
  • MARIE-ANNE-GABRIELLE-ELÉONORE, religieuse, fille de Mademoiselle de Nantes: 129.
  • MARIE-ANTOINETTE, reine de France: 181, 195, 210-212, 215, 220, 264.
  • MARIE DE HAINAUT: 40.
  • MARIE DE MÉDICIS: 75, 86, 90, 168.
  • MARIE-THÉRÈSE D'AUTRICHE, femme de Louis XIV: 105, 149.
  • MARIGNY (M. de): 168.
  • MARMIER (Xavier): 5.
  • MARMONTEL: 213.
  • MARQUET: 45.
  • MARQUETS (Marie DES): 83.
  • MARQUISE (Mlle): 161.
  • MARS (Mlle): 24, 25.
  • MARSAN (comtesse de): 216.
  • MARSAN (Mademoiselle de): 166.
  • MARTIAL: 95.
  • MARTIN (Gabriel), libraire et bibliographe: 126, 137.
  • MARTIN (saint): 32.
  • MASCARON: 88.
  • MASSELIN: 193.
  • MATTHEWS (miss): 263.
  • MATTHIEU (saint): 117.
  • MAUGRAS (Gaston): 194.
  • MAXIMILIEN D'AUTRICHE: 53.
  • MAZARIN (duchesse de): 183.
  • MAZARIN (Mme): 109.
  • MÉDICIS: voir CATHERINE, MARIE.
  • MÉGRET (Mme): 242.
  • MELLET (comtesse de): 246.
  • MELUN (Élisabeth de): 104.
  • MÉNAGE: 88, 154.
  • MÉNARD (René): 36, 37.
  • MERLIN: 24, 25, 175-176.
  • MESNARD (Paul): 130, 131.
  • MEUNG (Jean de): 50.
  • MEUSNIER DE QUERLON: 72.
  • MICHAUD, Biographie universelle: 42, 154, 166, 187.
  • MICHELET (Jules): 93, 155, 219, 220.
  • MINARD DE VELARS (Mme): 248.
  • MIOSSENS: 97-98.
  • MIRABEAU: 194.
  • MIREPOIX (duchesse de): 163.
  • MIREPOIX (maréchale de): 161.
  • MOLIÈRE: 199.
  • MONTAIGNE: 74, 98, 100, 197.
  • MONTAUSIER (marquis ou duc de): 78, 79, 80, 88.
  • MONTAUSIER (duchesse de): 76.
  • MONTBAZON (duchesse de): 90, 91, 92.
  • MONTESPAN (Mme de): 105, 110, 126, 128, 133, 139.
  • MONTESQUIEU: 173, 208, 210.
  • MONTESQUIEU (citoyenne): 233.
  • MONTESQUIOU-FEZENSAC (duchesse de): 219.
  • MONTESSON (marquise de): 185, 186, 187.
  • MONTJOUVENT (Marie-Alexandrine de) (abbesse): 242.
  • MONTMORENCY (Charlotte-Marguerite de): 81.
  • MONTMORENCY-BOUTEVILLE (duchesse de): 163.
  • MONTMORENCY-LAVAL (Marie-Louise de) (abbesse): 169.
  • MONTMORENCY-LAVAL (marquise de): 230.
  • MONTMORENCY-LUXEMBOURG (Charles-François-Frédéric de), maréchal de France: 157.
  • MONTMORENCY-LUXEMBOURG (duc de): 242.
  • MONTMORENCY-LUXEMBOURG (duchesse et maréchale de): 156.
  • MONTMORENCY-LUXEMBOURG (duchesse de), Charlotte-Anne-Françoise: 242.
  • MONTMORENCY-LUXEMBOURG (duchesse de), Marie-Sophie-Honorate: 230.
  • MONTPENSIER (duc de): 262.
  • MONTPENSIER (duchesse de), Anne-Marie-Louise d'Orléans, dite MADEMOISELLE et la GRANDE MADEMOISELLE: 102, 103.
  • MONTPENSIER (Mademoiselle de), Louise-Élisabeth d'Orléans: 142, 202.
  • MOREAU: 80.
  • MOREAU LE JEUNE: 6.
  • MORÉRI, Grand Dictionnaire historique: 54, 83, 104, 199.
  • MORETON DE CHABRILLAN (Mlle de): 246.
  • MORTEMART (Louise-Françoise de): 125.
  • MOUCHY (duchesse de): 167, 246.
  • MOURAVIT (Gustave): 24, 41, 44.
  • MOURIN (Ernest): 113.
  • MOYE (Mme): 248.
  • MOYNEL (Mme): 248.
  • MULLER (Eugène): 89, 115.
  • MULSANT (Étienne): 8.
  • NADAILLAC (comtesse de): 248.
  • NANTES (Mademoiselle de): 128.
  • NAPOLÉON Ier: 11, 26.
  • NAPOLÉON III: 223.
  • NASSAU-DILLENBOURG-SIEGEN (Jean, comte de): 153.
  • NEUBOURG (Éléonore-Magdeleine-Thérèse de): 121.
  • NEUFVILLE DE VILLEROY ou NEUVILLE-VILLEROI (duchesse de): 178.
  • NEVERS (Mademoiselle de): 188.
  • NEWTON: 223.
  • NEWTON (Sarah): 222, 223.
  • NICOLAI (Philippine-Léontine Potier de): 263.
  • NICOLE: 99, 101.
  • NIEUWERKERKE (comte de): 251.
  • NOAILLES (duc de): 140, 229.
  • NOAILLES (duchesse de), Anne-Claude-Louise d'Arpajon: 172.
  • NOAILLES (duchesse de), Catherine-Françoise-Charlotte Cossé-Brissac: 170.
  • NOAILLES (duchesse de), Françoise-Charlotte-Amable d'Aubigné: 229.
  • NOAILLES (duchesse de), Marie-Françoise de Bournonville: 119.
  • NOAILLES (Marie-Uranie de): 140.
  • NOAILLES (vicomtesse de): 267.
  • NODIER (Charles): 5, 24, 56, 201.
  • NOGARET (François-Félix): 214.
  • NOGARET DE LA VALETTE (Louise) (abbesse): 148.
  • NOLLET (abbé): 216.
  • ODILE (sainte): 35.
  • ORANGE (prince d'): 68.
  • ORLÉANS (ducs d'): 115, 126, 132, 141, 142, 161, 185, 186.
  • ORLÉANS (Gaston d'): 80.
  • ORLÉANS (duchesse d'), Auguste-Marie-Jeanne de Bade, belle-fille du Régent: 156.
  • ORLÉANS (duchesse d'), Henriette-Anne d'Angleterre, belle-sœur de Louis XIV: 107.
  • ORLÉANS (duchesse d'), Marie-Adélaïde de Bourbon-Penthièvre, mère du roi Louis-Philippe: 186, 200.
  • ORLÉANS (Élisabeth-Charlotte d'), sœur du Régent, femme de Léopold Ier, duc de Lorraine: 132.
  • ORLÉANS (Louise-Adélaïde d'), dite Mademoiselle de Chartres: 142.
  • ORLÉANS (Louise-Élisabeth d'), dite Mademoiselle de Montpensier: 142.
  • ORLÉANS (Marie-Louise d'), sœur consanguine du Régent, femme du roi d'Espagne Charles II: 125.
  • ORLÉANS (Philippe-Élisabeth d'), dite Mademoiselle de Beaujolais: 142.
  • OROSE (Paul): 33.
  • OURCHE (comte d'): 168.
  • OZY ou OZI (Alice): 248, 255-257, 264.
  • PADELOUP, relieur: 240.
  • PALATINE (princesse), Charlotte-Élisabeth de Bavière, duchesse d'Orléans, mère du Régent: 115, 116, 117, 118, 126, 141.
  • PARIS (comte de): 262.
  • PARIS (comtesse de): 262.
  • PARIS (Mme de), née Boula: 246.
  • PARIS (Paulin): 236.
  • PASCAL: 99, 211.
  • PASTOR (Marie): 248.
  • PATIN (Gui): 94, 118.
  • PEIGNOT (Gabriel): 94.
  • PELLECHET (Mlle Marie): 268.
  • PÉNÉLOPE: 30.
  • PENGUILLY: 21.
  • PÉPIN (Louis): 259.
  • PÉPIN DE LANDEN: 35.
  • PÉRICLÈS: 30.
  • PÉRUSSE D'ESCARS ou PEYRUSSE DES CARS (Mme de): 234.
  • PÉTRONE: 95.
  • PHILIPPE LE BEL: 51.
  • PHILIPPE LE HARDI: 41.
  • PHILIPPE V, roi d'Espagne: 141.
  • PHILIPPE ou PHILIPPINE DE GHELDRES ou DE GUELDRE: 46.
  • PIERRE DE BOURBON, sire de Beaujeu: 45.
  • PIGNATELLI (Mme), née Durfort: 246.
  • PIGNATELLI D'EGMONT (marquise de): 188.
  • PILLOY (Julie-Justine): 255.
  • PINCHESNE: 78.
  • PINGRENON (Mme Renée): 248, 268.
  • PISAN (Christine de): 41, 42, 43.
  • PISAN (Thomas de): 41.
  • PITARD: 62.
  • PITHOU: 227, 228.
  • PLATON: 30, 37.
  • PLANTIN, imprimeur: 202.
  • PLINE LE JEUNE: 30.
  • PLUNKETT (Eugénie de): 257, 258.
  • PLUTARQUE: 173, 206, 217, 220.
  • POIX (Mme de): 266.
  • POIX (prince de): 266.
  • POLAIN (Louis): 268.
  • POLIGNAC (Anne de), comtesse de La Rochefoucauld: 83.
  • POLIGNAC (duc de): 195.
  • POLIGNAC (duchesse de), Yolande-Martine-Gabrielle de Polastron: 195, 196.
  • POMPADOUR (marquise de): 161, 167 et suiv., 190, 260.
  • PONS (marquise de): 246.
  • PONSARD: 254.
  • PONT-DE-VEYLE: 157.
  • PONTIS: 202.
  • POPELIN (Claudius): 251.
  • POREL: 4.
  • POTIER DE NICOLAI (Philippine-Léontine): 263.
  • POTRON (Mme): 63.
  • POYET (Jean): 48.
  • PRAULT, libraire: 129, 134, 240.
  • PRAXITÈLE: 257.
  • PRÉVOST (abbé): 90.
  • PREYSING (Mme de): 246.
  • PRIE (marquis de): 146.
  • PRIE (marquise de): 146.
  • PROVENCE (comtesse de): 198, 214.
  • RABELAIS: 118, 202.
  • RACAN: 74.
  • RACHEL, tragédienne: 252, 253.
  • RACINE: 11, 149, 199, 254.
  • RADEGONDE (sainte): 29, 30, 32, 33, 34, 35, 36.
  • RADZIWILL (Jacques): 106.
  • RAGUSE (duchesse de): 267.
  • RAHIR (Édouard): 259.
  • RAIGECOURT (Mme de): 218, 219.
  • RAMBOUILLET (marquise de): 76, 77, 79.
  • RAMBOUILLET: voir ANGENNES.
  • RANCÉ (abbé de): 90, 91, 92.
  • RAUCOURT (Mlle): 198, 199.
  • RAYMOND (comtesse et chanoinesse de): 261.
  • RAYNAL: 219.
  • REGNARD: 199, 205.
  • RELINDE (abbesse): 35, 37, 38.
  • RENÉ II, duc de Lorraine: 47, 64.
  • RETTÉ (Adolphe): 94.
  • REUILLY (Jean de): 198, 199.
  • RICCOBONI (Mme): 213.
  • RICHARDSON: 213.
  • RICHELIEU (cardinal de): 61, 85.
  • RICHELIEU (M. de): 136.
  • RICHELIEU: voir DUPLESSIS ou DU PLESSIS DE RICHELIEU.
  • RIEUX (comtesse de): 242.
  • RIOCOUR ou RIOCOURT (duchesse de): 184.
  • ROBERT (Nicolas), miniaturiste: 78, 80.
  • ROCHEBLAVE (Samuel): 69.
  • RŒDERER: 79.
  • ROHAN (Louis VII de): 153.
  • ROHAN-CHABOT (duchesse de): 182.
  • ROLAND (Mme): 200-208.
  • ROLAND DE CHALLERAUGE (ou DE CHALLERANGES?) (Mme): 243.
  • RONDÉ (Mme): 246.
  • RONSARD: 68, 71, 72, 83.
  • ROQUEPLAN: 265.
  • RORET, libraire: 193.
  • ROSWITA ou ROSWITH (abbesse): 37.
  • ROTHELIN (abbé de): 80.
  • ROUGÉ (marquise de): 264.
  • ROUGEMONT (Mme de): 246.
  • ROUSSEAU (Jean-Jacques): 90, 158, 160, 171, 175, 176, 199, 200, 211, 219.
  • ROYALE (Madame): voir MADAME ROYALE.
  • ROZAN (Charles): 43.
  • RUFFEC (duc de): 163.
  • RUFFEC (duchesse de): 163, 164.
  • SACY (Silvestre de): 235.
  • SAINT-AIGNAN-BEAUVILLIERS (duchesse de): 124.
  • SAINT-AMAND ou SAINT-AMANT (M. de): 132.
  • SAINT-AMAND ou SAINT-AMANT (Mlle de), marquise de Grignan: 130.
  • SAINT-ÉVREMOND: 98.
  • SAINT-GERMAIN (Mme de): 245, 246.
  • SAINT-LAMBERT , poète: 171, 175.
  • SAINT-PREST (Mme Brochet de): 245.
  • SAINT-SIMON : 90, 106, 109, 110, 111, 112, 116, 120, 122, 124, 131, 132, 134, 135, 138, 146.
  • SAINT-VICTOR (Paul de): 250, 255.
  • SAINTE-AULAIRE : 133.
  • SAINTE-BEUVE : 10, 29, 58, 60, 61, 74, 75, 95, 98, 102, 103, 114, 128, 145, 157, 158, 159, 160, 161, 163, 177, 181, 182, 192, 197, 221, 222, 223, 224, 225, 250.
  • SAINTE-MAURE (marquise de): 243.
  • SALIGNAC (Jean de Gontaut, baron de): 63.
  • SAND (George): VII, 1, 20, 26.
  • SANDEAU (Jules): 250.
  • SANS-GÊNE (Mme): 21.
  • SAPHO: 199.
  • SARRASIN: 100.
  • SARTINE, lieutenant général de police: 177.
  • SARTINE (Mme de): 177.
  • SAULX DE TAVANNES (duchesse de): 243.
  • SAUMAISE: 95.
  • SAUTEREAU-MONTESSUY (Mme de): 246.
  • SAVELLES: 76.
  • SAVOIE (Victoire-Marie-Anne de): 140.
  • SAVOIE (Victor-Amédée de): 126, 140.
  • SAXE (Marie-Amélie-Christine de): 170.
  • SAXE (Marie-Josèphe de): 178.
  • SAYVE (Mlle de): 246.
  • SCARRON: 202.
  • SCHULTZ (Mme L.): 248.
  • SCUDÉRY: 213.
  • SCUDÉRY (Madeleine de): 78, 86, 87, 88, 89.
  • SEDULIUS: 33.
  • SÉGUIER (Mme): 81.
  • SÉGUIER (Pierre), chancelier: 81.
  • SÉGUR (Mme de), Charlotte-Émilie Le Fèvre de Caumartin: 229.
  • SÉGUR (président de): 229.
  • SÉGUR (vicomtesse Henry de): 246.
  • SEILLIÈRE (Mme Zoé): 248.
  • SÉNÈQUE le philosophe: 45, 96.
  • SENS (Mademoiselle de): 130.
  • SÉVIGNÉ (Mme de): 99, 100, 101, 102, 130, 131.
  • SHAKESPEARE: 214.
  • SILVA (Mme): 246.
  • SOBIESKI (Jean): 106.
  • SOCRATE: 30.
  • SOLAR (comtesse Cl.-Casalgrasso): 267.
  • SOLEIL (Catherine de ou DU): 84.
  • SOLEINNE (M. de): 186.
  • SOPHIE (Madame), fille de Louis XV: 179, 180, 181.
  • SOPHOCLE: 11, 114.
  • SOUBISE (M. de): 91.
  • SOUBISE (princesse de): 109, 110.
  • SOULIÉ (Frédéric): 64.
  • SOURDIS (Marie d'Escoubleau de): 82.
  • SOURQUES (Mme de): 199.
  • SOUVESTRE (Mme M.): 248.
  • SPARRE (Mlle de): 95.
  • SPENCER (Georgina): 214.
  • SPOELBERCH DE LOVENJOUL (vicomte de): 26.
  • STAAFF: 72.
  • STAAL-DELAUNAY (Mme de): 133.
  • STAËL (Mme de): 248.
  • STUART (Charles-Édouard): 196.
  • STUART (Marie): 70, 71 72.
  • SUCHET, duc d'Albuféra: 264.
  • SULTZBACH (Mme Marie-Auguste de): 243.
  • SUZANNE DE BOURBON: 53.
  • SWETCHINE (Mme): 221.
  • TACITE: 173.
  • TAINE (Hippolyte): 250.
  • TALLEMANT DES RÉAUX: 61, 62, 63, 74, 76, 77, 78, 79, 85, 86, 87, 88, 90, 98, 103, 118, 147, 148.
  • TALLEYRAND-PÉRIGORD (duchesse de): 243.
  • TALLEYRAND (Jean-Charles): 244.
  • TALMONT (princesse de): 244, 248.
  • TASSE (le): 133, 206.
  • THÉVENOT (Jean de): 154.
  • THÉVENOT (Mme): 154.
  • THÉVENOT (Melchisédec): 154
  • THIERRY (Augustin): 31, 33, 34, 208, 210.
  • THIERS: 267.
  • THIROUX, conseiller au Parlement: 166.
  • THIROUX D'ARCONVILLE (Mme): 166, 232.
  • THIROUX DE CROSNE (marquise): 194, 232.
  • THIROUX DE LAILLY (Jean-Louis-Lazare), fermier général: 231.
  • THIROUX DE LAILLY (Mme), née de Millery: 166, 231, 232.
  • THOMAS DE PISAN: 41.
  • THOU (Anne de): 84.
  • THOU (Augustin de): 84.
  • THOURNOUER (Mme): 249.
  • TIRAQUEAU (Madeleine): 150.
  • TOULOUSE (comte de): 139.
  • TOULOUSE (comtesse de): 139.
  • TOURNEUX (Maurice): 129, 134, 137, 163, 164, 165, 176, 183, 231, 282, 239.
  • TOURNON (Just de): 83.
  • TRACY (Mme de): 222, 223, 224.
  • TRESSAN (comte de): 157, 158.
  • TROUBAT (Jules): 250.
  • TURENNE (vicomte de): 83.
  • TURENNE (vicomtesse de): 93.
  • URFÉ (Honoré d'): 82.
  • URSULE (sainte): 48.
  • UZANNE (Octave): 2, 3, 201.
  • UZÈS (duchesse d'): 78, 79, 80.
  • VALABRÈGUE (Antony): 156, 167.
  • VALBELLE DE TOURVES (marquise de): 244.
  • VALÈRE-MAXIME : 45.
  • VALLERY-RADOT (René): 5, 6.
  • VALOIS (Marguerite de): 83.
  • VASSAL (Mme de): 246.
  • VASSÉ (marquis de): 137.
  • VASSÉ (marquise de): 137, 171.
  • VASSE-DUSAUSSAY (Mme): 249.
  • VATTEVILLE (Mme de): 165.
  • VAUDÉMONT (comte de): 73.
  • VENTADOUR (duchesse de): 125.
  • VERGENNES (comtesse de): 233.
  • VERMANDOIS (Mademoiselle de): 130.
  • VERNEUIL (Mademoiselle de): 235.
  • VERRUE (comtesse de): 126, 127, 168.
  • VERTHAMON (Catherine-Madeleine de), Mme de Caumartin: 106.
  • VERTHAMON (Marie-Anne-Françoise Bignon de): 126.
  • VÉSALE, anatomiste: 82.
  • VICTOIRE (Madame), fille de Louis XV: 179, 180, 181.
  • VICTOR-AMÉDÉE Ier, duc de Savoie: 86.
  • VICTOR-AMÉDÉE III, duc de Savoie et roi de Sardaigne: 198, 214.
  • VICTORIA (princesse): 262.
  • VIEILBOURG ou VIEUXBOURG (marquise de): 136.
  • VIGNEROT (Marie-Madeleine de): 85.
  • VILLARS (duc de): 134, 135, 148.
  • VILLARS (duchesse de): 134, 135.
  • VILLARS-BRANCAS (duchesse de): 148, 164.
  • VILLEMESSANT (Hippolyte de): 255, 257.
  • VILLEROI (duchesse de): 178.
  • VILMORIN (Mme de): 249.
  • VINTIMILLE (Mme de), née Talbot: 246.
  • VINTIMILLE (marquise): 249.
  • VIRGILE: 41, 76, 199.
  • VITU (Auguste): 52.
  • VOISENON (abbé de): 63.
  • VOITURE: 79, 100.
  • VOLAND (Mlle): 175.
  • VOLTAIRE: 96, 114, 133, 157, 159, 163, 168, 171, 173, 199, 207.
  • VOYER D'ARGENSON (marquise de): 183.
  • WADDINGTON (marquise Mariana-Florenzi): 267.
  • WATTEVILLE (Mme de): 165.
  • WEIGEL (Mme): 249.
  • WIBORADE (sainte): 35, 38, 39.
  • WIGG (J.-C.): 247.
  • YOLANDE DE FRANCE: 44.
  • YVE (Anne-Thérèse-Philippine d'): 188.
  • ZAMOYSKI (prince): 106.
  • ZED (comte de Maugny): 264.
  • ZOÏLE: 114.
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