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Contes espagnols d'amour et de mort

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NOTES:

[A] «V. Blasco-Ibañez, ses romans et le roman de sa vie», par Camille Pitollet. (Chez Calmann-Lévy.)

[B] Gorigori se dit de l’office pour un mort. Cette locution familière: le cantarán el gorigori, signifie: on fera son enterrement.

[C] Dimoni, corruption de demonio démon, surnom donné au musicien pour son jeu endiablé.

[D] Champs cultivés qui se trouvent aux environs d’une ville.

[E] Surnom qui signifie «petit chardon».

[F] Pois-chiche.

[G] En Espagne, le condamné à mort n’est pas décapité, mais étranglé: c’est le supplice du garrot, qui consiste à écraser la gorge du patient en la serrant contre un poteau avec un anneau de métal; le condamné est vêtu d’une souquenille noire.

[H] A Valence, comme dans beaucoup de villes de la Méditerranée, les laitiers parcourent les rues le matin, avec leurs vaches et leurs chèvres qu’ils traient à la porte de leurs clients afin que le lait soit chaud et à l’abri de toute falsification.

[I] Le Résolu.

[J] Quand Blasco-Ibañez écrivit ce conte, l’Espagne était sous la régence de Maria-Cristina, mère d’Alphonse XIII.

[K] Etincelle.

[L] Chaudière.

[M] Surnom qui signifie moineau.

[N] La dépeignée.

[O] Sorte de sorbet.

[P] Il s’agit là d’un de ces bandits nommés Roder, qui s’enfuient dans la montagne, parce qu’ils ont commis un crime quelconque, et y mènent une vie errante, se défendant contre les gendarmes.

[Q] L’arroba vaut 11 kilos 500.

[R] Conte populaire de la huerta, écrit en valencien par V. Blasco-Ibañez.

[S] Abécédaire en valencien.


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