Correspondance inédite de Hector Berlioz, 1819-1868
NOTES:
[1] Mémoires de Berlioz, publiés chez M. Calmann Lévy.
[2] Extrait des registres de la mairie de la Côte-Saint-André.
[3] Renseignements communiqués par la famille.
[4] Lettre du 25 juillet 1832. Vente des autographes du chevalier R.....y. 30 novembre 1862.
[5] Mémoires, p. 182.
[6] Grotesques de la musique, p. 279. Édition Michel Lévy. Voyage en France: lettres à Édouard Monnais.
[7] Cette anecdote est insérée dans les Mémoires, mais fort en abrégé. Je la donne telle que je la tiens d'un ami intime, à qui Berlioz l'avait racontée souvent.
[8] Mémoires, p. 21.
[9] Renseignements communiqués par M. le vicomte de Spoelberch de Lovenjoul.
[10] Mémoires, p. 37.
[11] Cahier des dépenses de Berlioz; manuscrit autographe communiqué par madame Damcke.
[12] Lettre autographe, vendue par M. Laverdet: 30 mars, 1863.
[13] Voir la lettre XXV adressée à Liszt.
[14] Correspondance de Mendelssohn, traduite par M. A.-A. Rolland, p. 127.
[15]. Voir la lettre XXVII de notre recueil.
[16] Collection de M. le baron de Trimont.
[17] Lettre communiquée par M. Alexis Berchtold.
[18] Mémoires, p. 190, et lettres à son fils.
[19] Voir la Gazette musicale, passim: aux nouvelles de la semaine.
[20] Gazette musicale, année 1835, p. 23.
[21] Le journal la Caricature. Numéro du 16 mai 1841.
[22] Gazette musicale, 26 janvier 1834.
[23] Mio caro amico, Beethoven estinto, non c'era che Berlioz che potesse farlo revivere; ed io che ho gustalo le vostre divine composizioni, degne di un genio qual siete, credo mio dovere di pregarvi a voller accettare in segno del mio omaggio venti mila franchi i quali vi saranno rimessi dal signor baron de Rothschild, dopo che gli avrete presentato l'acclusa. Credete mi sempre, il vostro affetionatissimo amico.
Nicolo Paganini.Parigi, le 18 décembre 1838.
[24] Gazette musicale, année 1838.
[25] Gazette musicale, année 1836, p. 73.
[26] Gazette musicale, p. 39, année 1836.
[27] Gazette musicale, année 1838, p. 242.
[28] Ibid., p. 275.
[29] Gazette musicale, année 1842, p. 86.
[30] Ibid., année 1843, p. 169.
[31] Ibid., p. 115.
[32] Collection de madame Vieweg de Brunswick. Ce billet a été reproduit dans la nouvelle édition de l'ouvrage du docteur Nohl: Musiker Briefe, p. 74, Leipzig, Dander et Humblot, 1873.
[33] Gazette musicale, année 1843, p. 348.
[34] Gazette musicale, année 1844, p. 167.
[35] Ibid., année 1840, p. 179.
[36] Ibid., année 1845, p. 411.
[37] Gazette musicale, année 1847, p. 294
[38] Ibid., p. 403.
[39] Gazette musicale, année 1848, p. 58.
[40] Voici la distribution des personnages: la sainte Vierge, madame Meillet.—Saint Joseph, M. Meillet.—Hérode, Depassio.—Père de famille, Battaille.—Un récitant, Jourdan.—Un centenier, Chapron.—Polydorus, M. Noir.—Le trio des flûtes était joué par MM. Brunot, Magnier et Prumier.
[41] Gazette musicale, année 1855, p. 171.
[42] Lettre à M. Auguste Morel, datée de Francfort.
[43] Gazette musicale, année 1857, p. 286.
[44] Renseignements communiqués par M. Édouard Alexandre.
[45] Gazette musicale, année 1856, p. 202.
[46] Renseignements fournis par madame d'Ortigue.
[47] Lettre de M. Asger Hammerik à l'auteur de la Notice.
[48] Lettre à son fils, du 7 septembre, sans autre mention.
[49] Lettre inédite à son fils, datée de Bade, 23 août.
[50] Lettre du 13 novembre 1865.
[51] Lettre inédite.
[52] Anecdote racontée par Berlioz lui-même à l'auteur de cette biographie.
[53] Il s'agit sans doute d'un pot-pourri sur des opéras italiens; Berlioz avoue en avoir composé plusieurs de ce genre (Voir les premiers chapitres des Mémoires). Cette lettre a été publiée dans le Musiciana de M. Wekerlin.
[54]La date de cette lettre est assez difficile à préciser. La Mort d'Abel, dont il est question, fut jouée en 1810 et n'eut jamais les honneurs d'une reprise. Sans doute, Berlioz avait entendu seulement quelques fragments de cet opéra. Comme il signe sa lettre: H. Berlioz, élève de Lesueur, et qu'il entra dans la classe de ce maître en 1826 pour y rester jusqu'en 1828, on ne peut guère assigner au curieux document que nous reproduisons qu'une date approximative.
[55] La Revue musicale, dirigée par M. Fétis, n'avait pas encore opéré sa fusion avec la Gazette musicale de Schlesinger, fondée, comme nous l'avons dit dans la notice, en 1834.
[56] Le ballet de Faust sur un livret de M. Bohain: voir la Notice
[57] Robert le Diable, dont la première représentation eut lieu le 21 novembre de la même année.
[58] M. Gounet est le poëte qui a traduit en vers français les paroles de Thomas Moore sur lesquelles Berlioz a écrit de la musique.
[59] La romance de la Captive.
[60] Tout ce qui suit est relatif au mariage de Berlioz avec mademoiselle Henriette Smithson, qu'il épousa dans le courant de l'année 1833.
[61] Ce projet n'a été exécuté que vingt-neuf ans plus tard Béatrice et Bénédict, opéra joué à Bade en 1862, est écrit sur la comédie de Shakspeare Much ado about nothing.
[62] Cette représentation fut désastreuse: madame Dorval eut tout le succès, et l'infortunée Harriett Smithson put se convaincre que le public parisien ne s'intéressait plus à elle.
[63] L'opéra de Benvenuto Cellini.
[64] Cette brochure, adressée par Spontini aux membres de la Chambre des députés, fut discutée en séance publique. M. Monnier de la Sizeranne en soutint les conclusions, qui furent rejetées après un discours de M. Taschereau.
[65] Rossini habitait alors Bologne.
[66] La Vendetta, opéra en trois actes, qui n'eut qu'un petit nombre de représentations.
[67] Mademoiselle de Belle-Isle.
[68] On remarquera que, malgré l'hostilité avouée de Mendelssohn, Berlioz a toujours rendu justice à cet admirable musicien et qu'aucun mauvais procédé n'a pu le faire changer d'avis à cet égard.
[69] Violoncelliste à l'Opéra.
[70] Collection de madame Vieweg, de Brunswick.
[71] Célèbre compositeur russe, auteur de l'opéra: la Vie pour le czar, de Rousslane et Lioudmila, de nombreuses romances, etc.
[72] Publiée dans le livre de M. Wekerlin. Musiciana. Paris, 1877.
[73] La première audition de Moïse au Sinaï, oratorio de Félicien David, exécuté à l'Opéra, le 21 mars 1846.
[74] Cette affaire est racontée en entier chapitre LVII des Mémoires; nous y renvoyons le lecteur, ainsi qu'à la lettre de MM. Duponchel et Roqueplan, publiée dans notre Notice.
[75] M. Tajan-Rogé faisait partie de l'orchestre du théâtre impérial de Saint-Pétersbourg.
[76] Nous ne garantissons pas l'authenticité de l'anecdote, qui ressemble fort à un cancan musical. Ajoutons qu'il nous est impossible de prendre la responsabilité des opinions de Berlioz, qui sont, presque toujours, violentes, et quelquefois même injustes. (Note de l'éditeur.)
[77] Jérusalem, opéra représenté en novembre 1847 à l'Académie royale de musique de Paris.
[78] Auteur de l'hymne national russe, directeur pendant vingt-cinq ans de la chapelle impériale des chantres de la cour à Saint-Pétersbourg, violoniste distingué, auteur de l'opéra d'Ondine dont il est parlé dans la lettre. Cet opéra fut représenté pour la première fois à Vienne en 1846 en langue allemande et en langue russe à Saint Pétersbourg en 1848. Nous devons la lettre à M. Lwoff et en général toutes les lettres adressées à des personnages russes à l'obligeante bonté de M. Wladimir Stassoff, qui occupe une haute position à la Bibliothèque impériale publique de Saint-Pétersbourg.
[79] Éditeur de musique à Londres.
[80] Le comte Michel Wielhorski, grand échanson à la cour de Russie, amateur de musique et connaisseur distingué.
[81] Beethoven et ses trois styles, par M. Guillaume Lenz. Ce beau livre n'a été publié qu'en 1852.
[82] Le libretto de M. de Saint-Georges se trouve dans la bibliothèque du château de Romany, près Kowno, en Lithuanie; ce libretto n'a jamais été mis en musique par M. Lwoff, mort en 1870. (Renseignements communiqués par M. Wladimir Stassoff.)
[83] De la Société philharmonique de Paris, rue de la Chaussée-d'Antin. (V. la Notice.)
[84] Le Juif errant d'Halévy.
[85] Dans la scène intitulée: Tristesse de Roméo.
[86] L'excellent ouvrage dont il est question ici a pour titre: De quelques points des sciences dans l'antiquité: physique, métrique, musique. A plusieurs reprises, H. Berlioz est revenu à la charge; la métrique, la poésie et la musique des anciens l'intéressaient vivement; il songeait à ses Troyens! Quelques années après cette première lettre, il écrirait à M. B. Jullien, père de M. Ad. Jullien, le jeune et savant critique auquel on doit déjà tant de travaux, tels que la Cour et l'Opéra sous Louis XVI, Airs variés, etc.: «Malgré vos efforts, j'ai bien peur que la France ne reste barbare et que le sens harmonique des langues anciennes ne lui reste interdit...» Et, le 20 avril 1867: «Permettez-moi de vous demander si vous êtes d'avis, comme tout porte à le croire, que les anciens ne prononçaient pas, dans les vers, les syllabes élidées. J'espérais trouver dans votre livre excellent un chapitre spécial sur ce sujet et je n'y trouve que l'exemple de l'élision d'une fin de vers lacertosque, avec le début d'un autre: Exuit...; vous ne dites pas qu'on prononçât membror artus, magn'orsa; et sans cela pourtant il n'y a point d'élision et le vers a deux syllabes de trop.»
[87] Berlioz venait de perdre sa première femme: Henriette Smithson, mère de Louis Berlioz.
[88] Analyse de la Damnation de Faust dans la Gazette musicale.
[89] M. Tajan-Rogé habitait alors la Nouvelle-Orléans.
[90] Du Te Deum.
[91] Le père de l'excellent pianiste, Théodore Ritter et de mademoiselle Cécile Ritter; la famille Bennet est d'origine marseillaise.
[92] Après la représentation de Médée, avec madame Ristori.
[93] Auteur des ouvrages: De la musique religieuse et de la connaissance pratique des grandes orgues (au collège de la Paix, à Namur).
[94] La partition des Troyens.
[95] Berlioz n'en était encore qu'à la première partie de son opéra: la Prise de Troie, c'est-à-dire celle qui n'a jamais été jouée et que nous ne connaissons pas.
[96] M. Auguste Morel souffrait d'une maladie d'yeux.
[97] Chacun sait que ce n'est pas un Romain, mais Archias, tyran de Thèbes, qui prononça cette fameuse phrase, au milieu d'un repas. Nous avons cru, par excès de scrupule peut-être, devoir respecter le lapsus calami de Berlioz.
[98] P. Scudo, dont il est question dans la Notice.
[99] M. Alexis Bertschtold, dont il a déjà été question plusieurs fois.
[100] Berlioz, comme on l'a vu par les lettres précédentes, était préoccupé au sujet de son fils, et M. Morel l'avait rassuré en lui apprenant l'arrivée à Marseille du navire sur lequel était Louis Berlioz.
[101] Sa seconde femme.
[102] Roméo et Juliette de Bellini, traduit en français par M. Nuitter pour les débuts de madame Vestvali et joué à l'Opéra le 7 septembre 1859.
[103] M. Walewski.
[104] Écrite le lendemain de la première représentation du Tannhäuser.
[105] Berlioz venait de perdre sa seconde femme décédée à Saint-Germain en Laye.
[106] C'était M. Édouard Monnais qui écrivait sous ce pseudonyme dans la Gazette musicale. Il avait fait un article très bienveillant sur le livre intitulé A travers chants. L'apostrophe de Berlioz l'émut beaucoup; il chercha vainement le mot à double détente qui avait excité les susceptibilités de son ami; il ne le trouva pas. Nous l'avons cherché, nous aussi, ce mot terrible; nous ne l'avons pas découvert non plus.
[107] Il s'agit de la première représentation de l'opéra de Béatrice et Bénédict.
[108] Les Troyens.
[109] M. A. Lwoff était devenu sourd.
[110] Communiquée par M. Bouscatel, d'Auxerre.
[111] Il avait été nommé officier de la Légion d'honneur le 12 août; il était chevalier depuis 1839.
[112] Lettre publiée par M. Xavier Feyrnet, dans le Temps du 15 mars 1865.
[113] Cette lettre, si peu datée, est du 22 mars.
[114] Pour l'intelligence de cette lettre énigmatique, nous sommes obligé de renvoyer le lecteur au dernier chapitre des Mémoires où toutes les explications nécessaires lui seront données.
[115] Intitulé les Royautés musicales.
[116] C'est, ainsi que nous l'avons dit plus haut, à l'extrême complaisance de M. Stassoff que nous devons toutes les lettres de ce recueil, adressées à des correspondants Russes.
[117] Perrot, dans l'original; nous ne connaissons point de sculpteur de ce nom-là, à l'Institut.
[118] Inspecteur de la musique dans les théâtres impériaux.
[119] Excellent critique et compositeur russe.
[120] Chef d'orchestre et compositeur de talent.
[121] Communiquée ainsi que ces trois suivantes par M. de Colongeon.
[122] Communiquée par M. Émile Laurent.
[123] Communiquée par madame Érard.
[124] Communiquée par M. B. de Fourcaud.
CALMANN LÉVY, ÉDITEUR
——
OUVRAGES
DE
HECTOR BERLIOZ
——
format grand in-18.
——
| a travers chants | 1 | vol |
| les grotesques de la musique | 1 | — |
| mémoires, comprenant ses voyages en Italie, en Allemagne, en Russie et en Angleterre 1803-1865. | 2 | — |
| les soirées de l'orchestre | 1 | — |
————
imprimerie centrale des chemins de fer.—a. chaix et cie
rue bergère, 20, a paris.—578-8.