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Histoire des Musulmans d'Espagne, t. 4/4: jusqu'à la conquête de l'Andalouisie par les Almoravides (711-1100)

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S.

Sabarico, II, 233, note 3.
Sâbic, I, 361, 362.
Sacralias (bataille de), IV,
203 et suiv.
Sacaute, IV, 65, 101, 129.
Sad, officier d’Almanzor, III, 212, 213.
Sad, fils de Djauwâs, I, 221, 273, 391.
Sad ibn-Obâda, I, 270, 271.
Sadoun, eunuque, II, 152 et suiv.
Sadoun, renégat, II, 184, 185.
Saîd, II, 260.
Saîd II, prince de Nécour, III, 37, 38.
Saîd l’Ismaëlien. Voyez Obaidallâh.
Saîd, de la tribu de Fazâra, I, 183, 187, 191.
Saîd ibn-Bahdal, I, 123.
Saîd ibn-Djoudî, II, 216, 222, 225, 226 et suiv., 293, 294, 295.
Saîd ibn-Hâroun, IV, 86.
Saîd ibn-Hodhail, II, 262, 330, 356.
Saîd ibn-Mondhir, II, 349; III, 309.
Saîd, fils de Mosaiyab, I, 105, 110.
Saif-ad-daula, seigneur de Rueda, IV, 248 dans la note, 267.
Saint-Jacques-de-Compostelle (campagne de), III, 228 et suiv.
Saint-Germain-des-Prés, II, 166, 168.
Saint-Vincent (église de) à Cordoue, I, 48.
Sâlim, affranchi, I, 302, 309.
Salvien de Marseille, II, 16, 18.
Samh, II, 39.
Samson, abbé, II, 268.
Samuel, évêque d’Elvira, II, 210.
Samuel ha-Lévi, IV, 27 et suiv., 45, 46, 98 et suiv., 112.
Samuel (II, 305). Voyez Omar ibn-Hafçoun.
Sancho, roi de Léon, III, 70, 73 et suiv., 78 et suiv., 95 et suiv.
Sancho-le-Grand, roi de Navarre, III, 30, 40, 42 et suiv.
Sancho, fils d’Ordoño II, III, 47, 48, 50.
Sancho, comte de Castille, III, 213, 214, 290 et suiv., 302, 303.
Sancho, martyr à Cordoue, II, 133.
Sanchol. Voyez Abdérame, fils d’Almanzor.
San Estevan, forteresse, II, 262.
Santa-Maria (d’Algarve), II, 261.
Sara, petite-fille de Witiza, II, 234.
Saül, évêque de Cordoue, II, 140, 143, 149, 167.
Sauwâr, II, 214 et suiv., 262.
Secunda (bataille de), I, 286 et suiv.
Sened (le), II, 243.
Servando, II, 267 et suiv.
Séville, prise par les musulmans, II, 37.
Son histoire sous le règne d’Abdallâh, II, 232 et suiv., 298 et suiv.,
dans la première moitié du onzième siècle, IV,
7 et suiv.
Sidoine Apollinaire, II, 17.
Sierra de Tirieza, IV, 224.
Siete Filla, château, II, 252.
Siete Torres, village, II, 239.
Simancas (bataille de), III, 62, 63.
Sindola, II, 161, 162.
Sîr ibn-abî-Becr, IV, 237, 240, 244.
Sirâdj-ad-daula, fils d’Alî de Dénia, IV, 182.
Sisenand, IV, 13, note 1.
Sisenand, martyr à Cordoue, II, 134.
Slave (le). Voyez Abdérame ibn-Habîb le Fihrite.
Slaves (les), III, 59 et suiv., 260, note 3.
Soair le Kelbite, I, 190, 191.
Socr, III, 146.
Solaimân, le calife, I, 213, 215 et suiv.
Solaimân Mostaîn, III, 288 et suiv.
Solaimân, seigneur de Lebrija, II, 243.
Solaimân, de Sidona, II, 298, 301.
Solaimân, fils d’Abdérame Ier, I, 299.
Solaimân, fils d’Abdérame III, III, 286, 287.
Solaimân, fils d’Abdérame IV, III, 334 et suiv.
Solaimân ibn-Houd, III, 328, 329.
Solaimân, fils d’Omar ibn-Hafçoun, II, 340, 342.
Somaisir, poète, IV, 218.
Sontebria, ville, I, 372.
Spera-in-Deo, II, 113.
Suèves (les), II, 12 et suiv.

T.

Tabanos, cloître, II, 130, 164.
Tâ-Corona, I, 343, note 2.
Talha, I, 40, 51, 53, 54, 55.
Taliares, défilé, III, 231.

Tâlib ibn-Mauloud, II, 300.
Tâlout, II, 79 et suiv.
Talyâta, village, II, 237.
Tamâchecca, II, 239, 252.
Tammâm Abou-Ghâlib, I, 323, 368.
Tarafa, poète, I, 22.
Târic ibn-Ziyâd, I, 215; II, 32 et suiv.
Tarîf (Abou-Zora), II, 32.
Taroub, II, 96, 126, 151.
Téchoufîn l’Almoravide, IV,
248.
Temîm, roi de Malaga, IV, 199, note 2, 202, 214, 234, 270.
Témîmites (les), c’est-à-dire les Maäddites dans le Khorâsân, I, 119.
Thakîf (les), tribu, I, 341;
leur conversion à l’islamisme, I, 28 et suiv.
Thalaba, I, 244, 265 et suiv.
Thalaba le Djodhâmite, I, 354.
Théodemir, II, 40; III, 198.
Théodemir, martyr à Cordoue, II, 134.
Théodemir, évêque d’Iria, III, 228.
Thoâba, I, 279 et suiv.
Tirieza (Sierra de), IV, 224.
Todjîbî, trésorier du sultan Abdallâh, II, 312.
Tolaiha, I, 33.
Tolède, prise par les musulmans, II, 36.
(Révolte de) contre Hacam Ier, II, 62 et suiv., 97,
contre Abdérame II, II, 97, 98 et suiv.,
contre Mohammed Ier, II, 161 et suiv., 181;
assiégée et prise par Abdérame III, II, 348 et suiv.
Torreximeno, I, 344, note 1.
Torrox, château entre Iznajar et Loja, I, 324.
Torrox, château des Beni-Abî-Amir, III, 114.
Tota, reine de Navarre, III, 53, 57, 62, 73, 82 et suiv.

U.

Usuard, II, 166 et suiv.
Urraque, épouse de Ramire II, III, 73.
Urraque, fille de Ferdinand Gonzalez, III, 72, 82.

V.

Val de Junquera (bataille de), III, 43, 44, 45.
Valadares, district, III, 230, note 2.
Valentius, évêque de Cordoue, II, 268.
Verdun (manufacture d’eunuques à), III, 60.

Vérinien, II, 10.
Villanova des Bahrites, I, 345.
Ville (bataille de la), II, 222.
Vincent (saint), reliques de ce martyr, II, 166.
Visigoths (les), II, 14, 15.

W.

Wâdhih, III, 227, 235, 236, 282, 284, 290 et suiv.
Wâdî-Becca (bataille du), II, 34, 35.
Wâdî-Cais, I, 374, note 1.
Wâdî-Charanba (la Jarama), I, 327.
Wadjîh, I. 384.
Wahabites (les), I, 37, 38, 41.
Wahb, fils d’Amir le Coraichite, I, 325.
Walîd Ier, I, 211 et suiv.; II, 32.
Walîd II, I, 306, 307.
Ses fils, ibid.
Walîd, frère utérin d’Othmân, I, 48 et suiv.
Walîd, frère d’Abdérame Ier, I, 387.
Walîd, frère d’Abdérame II, II, 100.
Walîd, petit-fils d’Abou-Sofyân, I, 124.
Walîd ibn-Khaizorân, III, 98, 99, 103.
Wallâda, IV,
140, 216.
Wamba, II, 29.
Wânzemâr, III, 185, 186.
Wiliésind, II, 146.
Wistremir, II, 161, 165.
Witiza, II, 33.
Wittekind, I, 377, 379.

X.

Ximena, nom de ville, son origine, I, 344.

Y.

Yahyâ, prince d’Ocsonoba, II, 261.
Yahyâ le Kelbite, I, 227.
Yahyâ, frère d’Abdérame Ier, I, 298.
Yahyâ, fils d’Alî ibn-Hamdoun, III, 130.
Yahyâ ibn-Alî le Hammoudite, III, 326, 330 et suiv., 356, 358; IV,
13, 17, 22 et suiv., 289.
Yahyâ, fils d’Anatole, II, 305.
Yahyâ ibn-Çocâla, II, 212.
Yahyâ, fils d’Idrîs Ier, IV, 58.
Yahyâ, fils d’Isaäc le chrétien, III, 115.
Yahyâ ibn-Mohammed Todjîbî, III, 105, 128, 130, 131.
Yahyâ, fils de Mousâ, II, 260.
Yahyâ-Simédja, III, 211.
Yahyâ ibn-Yahyâ, II, 57 et suiv., 69, 79, 88, 89, 107.
Yaîch, roi de Tolède, IV,
4.
Yaumîn, hameau, IV, 10.
Yazîr, IV, 49.
Yéménites (les), I, 23, 114 et suiv., 225 et suiv.
Yézîd Ier, I, 72 et suiv.
Yézîd II, I, 216, 218.
Yézîd ibn-abî-Moslim, I, 216, 229.
Yézîd, fils de Mohallab, I, 211 et suiv., 216, 226.
Yousof le Fihrite, I, 284 et suiv.
Yousof ibn-Basîl, II, 154.
Yousof ibn-Bokht, I, 310.
Yousof ibn-Téchoufîn, IV, 199 et suiv.

Z.

Zabrâ, maîtresse d’Ahnaf, I, 139.
Zadulpho, II, 261.
Zâhir, château, IV,
105.
Zâhira, ville, bâtie par Almanzor, III, 179.
Zahrâ, III, 92.
Zaid, affranchi, I, 336.
Zalal ibn-Yaîch, III, 29.
Zallâca (bataille de), IV, 203 et suiv., 292 et suiv.
Zamora, rebâtie, III, 27.
Zarcâ (fils de), I, 190.
Zâwî, III, 285, 288 et suiv., 317, 318, 326 et suiv; IV, 4.
Zîrî, père de Zâwî, III, 318.
Zîrî ibn-Atîa, vice-roi de la Mauritanie, III, 222 et suiv., 236, 237.
Ziryâb, II, 89 et suiv.
Ziyâd, frère bâtard de Moâwia, I, 75.
Ziyâd ibn-Aflah, III, 137, 172 et suiv.
Zobaidî, III, 176, 177; IV, 12, 14.
Zobair, I, 40, 51, 53, 54, 55.
Zofar, I, 123, 133, 134, 137, 163 et suiv., 184.
Zohair, III, 329; IV, 4, 19, 25, 37 et suiv.

erreurs corrigées:
elle voudrait montrer encore=> elle voudrait monter encore {pg 35}
que j’ai blié=> que j’ai publié {pg 103 (note 98)}
homms de cœur=> homme de cœur {pg 227}
sous a domination des barbares=> sous la domination des barbares {pg 288}

NOTES:

[1] Jusque-là Elvira avait été la capitale de cette province, mais cette ville ayant eu fort à souffrir de la guerre civile, ses habitants émigrèrent vers l’année 1010, et se transportèrent à Grenade.

[2] Son père était l’infortuné Abdérame-Sanchol.

[3] Ibn-Haiyân, apud Ibn-Bassâm, t. I, fol. 157 r. et v.; Abd-al-wâhid, p. 42, 43.

[4] Ibn-Haiyân, apud Ibn-Bassâm, t. I, fol. 129 r.; Abbad., t. II, p. 32, 208 etc.

[5] Abbad., t. I, p. 221.

[6] Abbad., t. I, p. 220. Cf. Caussin, t. III, p. 212, 422.

[7] Abbâd était le trisaïeul d’Ismâîl.

[8] Abbad., t. I, p. 220, 381 et suiv.; t. II, p. 173.

[9] Abbad., t. I, p. 221.

[10] Abd-al-wâhid, p. 65; Abbad., t. I, p. 221.

[11] Abbad., t. I, p. 221.

[12] Les Espagnols et les Portugais substituent ordinairement la lettre f à la gutturale arabe kh. Voyez mon Glossaire sur Ibn-Adhârî, p. 23.—Au reste, on se rappellera que sur la rive droite du Rhin, près de Caub, il y a aussi deux châteaux, Liebenstein et Sternberg, que l’on appelle les frères (die Brüder).

[13] La conquête de Viseu par Mousâ est mentionnée par Maccarî, t. I, p. 174.

[14] Sisenand, dont parle le moine de Silos (c. 90) et qui, après avoir quitté le service de Motadhid pour celui de Ferdinand Ier, devint gouverneur de Coïmbre, était, selon toute apparence, un de ces chrétiens d’Alafoens.

[15] Abbad., t. II, p. 7. L’auteur arabe raconte ceci en parlant de Motadhid, le fils du cadi, mais en ce point il se trompe.

[16] Abbad., t. II, p. 216. L’auteur arabe (Ibn-Khaldoun), au lieu de nommer le cadi, nomme ici par erreur son fils Motadhid.

[17] Il alla d’abord à Cairawân, puis à Almérie, où il devint cadi. Voyez Abbad., t. I, p. 234, note 49.

[18] Abbad., t. I, p. 223.

[19] Abbad., t. I, p. 223-225. Ibn-Khaldoun (Abbad., t. II. p. 209, 216) dit aussi quelques mots de ces événements, mais au lieu de nommer le cadi, il nomme son fils Motadhid.

[20] Ibn-Haiyân, apud Ibn-Bassâm, t. I, fol. 81 r. et v., 82 r.

[21] Abd-al-wâhid, p. 37, 38; Abbad., t. I, p. 222, l. 22.

[22] Abbad., t. II, p. 127, 128.

[23] Abbad., t. II, p. 34.

[24] Abbad., t. I, p. 222; t. II, p. 34.

[25] Abbad., t. II, p. 34.

[26] Abbad., t. I, p. 222.

[27] Ibn-Haiyân, apud Ibn-Bassâm, t. I, fol. 81 r. et v.

[28] Abbad., t. II, p. 34.

[29] Abbad., t. I, p. 222; t. II, p. 34. Sur la date, voyez la note A à la fin de ce volume.

[30] Ibn-Haiyân, apud Ibn-Bassâm, t. I, fol. 81 r.-82 r.; Abd-al-wâhid, p. 38, 43; Abbad., t. II, p. 33. Comparez la note A à la fin de ce volume.

[31] Abd-al-wâhid, p. 43, 45.

[32] Ibn-Khaldoun, fol. 25 v.

[33] Ibn-Khaldoun, fol. 22 v. Comparez la lettre que Zohair fit écrire aux Cordouans par son ministre Ibn-Abbâs, apud Ibn-Bassâm, t. I, fol. 170 r. et v.

[34] Abbad., t. II, p. 34.

[35] Journal asiat., IVe série, t. XVI, p. 203-205 (article de M. Munk).

[36] Cronica del Moro Rasis, p. 37.

[37] Ibn-Haiyân, apud Ibn-Bassâm, t. I, fol. 122 r.

[38] Voyez mon Introduction à la Chronique d’Ibn-Adhârî, p. 97.

[39] Ibid., p. 96, 97.

[40] Journ. asiat., p. 209, dans la note.

[41] Ibn-Bassâm, t. I, fol. 200 r.

[42] Journ. asiat., p. 222-224.

[43] Journ. asiat., p. 209.

[44] Voyez mon Introduction à la Chronique d’Ibn-Adhârî, p. 96, 97.

[45] Cinq millions de francs; au pouvoir actuel de l’argent, trente-cinq millions.

[46] Moïse ben-Ezra (dans le Journ. asiat., p. 212, note) l’appelle Ibn-abî-Mousâ. Tel est en effet le nom que Homaidî donne au vizir Ibn-Bacanna, et c’est à tort que le copiste du man. d’Abd-al-wâhid (voyez mon édition de cet auteur, p. 43) a biffé le mot abî, qu’il avait écrit d’abord.

[47] Abbad., t. II, p. 34.

[48] Journ. asiat., p. 206-208.

[49] Ibn-Haiyân, apud Ibn-Bassâm, t. I, fol. 171 r.-175 r.; Ibn-al-Khatîb, man. G., fol. 134 v., 135 r. (article sur Zohair), 51 v.-52 v. (article sur Abou-Djafar Ahmed ibn-Abbâs al-Ançârî); Maccarî, t. II, p. 359, 360; Abbad., t. II, p. 34.

[50] Voyez Moïse ben-Ezra, cité par M. Munk dans le Journ. asiat., p. 212. Dans ce passage il faut prononcer onchida, au passif, et non anchada, à l’actif, comme l’a fait M. Munk.

[51] Voyez mes Recherches, t. I, p. 245.

[52] Voyez Abbad., t. I, p. 51.

[53] Voyez sur Abou-’l-Fotouh Thâbit ibn-Mohammed al-Djordjânî, outre l’article d’Ibn-al-Khatîb, ceux que lui ont consacrés Soyoutî, dans son Dictionnaire biographique des grammairiens, et Homaidî. Comparez aussi l’article sur Modjéhid, dans Dhabbî (man. de la Société asiatique).

[54] Ibn-al-Khatîb, man. G., fol. 114 r. et v. (article sur Abou-’l-Fotouh).

[55] Abd-al-wâhid, p. 44, 65; Abbad., t. II, p. 33, 34, 207, 217. Cf. Ibn-al-Khatîb, fol. 114 v.

[56] Ibn-al-Khatîb, fol. 114 v.-115 v.

[57] Cette date se trouve chez Ibn-Bassâm, t. I, fol. 224 v.

[58] Cet endroit n’existe plus, à ce qu’il paraît.

[59] Abd-al-wâhid écrit ce nom Sacât, d’autres l’écrivent Sacout, ou, d’après la prononciation des Arabes d’Espagne, Sacôt (prononcez le t). Je crois donc que la voyelle longue dans la seconde syllabe a un son intermédiaire entre l’â et l’ô. En français on peut rendre ce son par la diphthongue au.

[60] D’après Ibn-Khaldoun, il alla à Comarès, mais j’ai cru devoir suivre Homaidî.

[61] Voyez Ibn-al-Khatîb, man. G., fol. 107 v. (article sur Bologguîn, fils de Bâdîs).

[62] Abd-al-wâhid, p. 45-49; Ibn-Khaldoun, fol. 22 v., 23 r.; Maccarî, t. I, p. 132, 282-284.

[63] Abbad., t. II, p. 48; t. I, p. 245.

[64] Abbad., t. I, p. 245.

[65] Abbad., t. I, p. 243.

[66] Voyez Abbad., t. I, p. 243, et un poème de Motadhid, ibid., p. 53.

[67] Abbad., t. I, p. 244.

[68] Abbad., t. I, p. 243.

[69] Abd-al-wâhid, p. 68-70.

[70] Abd-al-wâhid, p. 67, 68.

[71] Abbad., t. I, p. 243, 244; Abd-al-wâhid, p. 67; Ibn-Bassâm, t. I, fol. 109 r.

[72] Abbad., t. II, p. 52.

[73] Abbad., t. I, p. 242.

[74] Abbad., t. I, p. 251; t. II, p. 60.

[75] Abbad., t. II, p. 209, 216.

[76] Ibn-Haiyân, apud Ibn-Bassâm, t. I, fol. 109 r. Ibn-Khaldoun (Abbad., t. II, p. 216) donne à ce prince le nom d’al-Azîz. C’est une erreur.

[77] Abbad., t. II, p. 211.

[78] Abbad., t. I, p. 247, 248.

[79] Ibn-Haiyân, apud Ibn-Bassâm, t. I, fol. 108 v., 109 r.; poème d’Ibn-Zaidoun, ibid., fol. 99 v.

[80] Abbad., t. I, p. 248, 249.

[81] Abbad., t. I, p. 252.

[82] Abbad., t. I, p. 252, 253; Ibn-al-Abbâr, dans mes Recherches, t. I, p. 286 de la 1re édition.

[83] Voyez Ibn-al-Abbâr, p. 50, 51.

[84] Voyez Ibn-Bassâm, t. II, dans l’article sur Ibn-Ammâr.

[85] Voyez une lettre sur la prise de Silves qui se trouve dans le chapitre qu’Ibn-Khâcân, dans son Calâyid, a consacré à Abou-Mohammed ibn-Abd-al-barr, et comparez la note B, à la fin de ce volume.

[86] Abbad., t. II, p. 123, 210, 211. La date que donne Ibn-Khaldoun est erronée; j’ai indiqué celle qui se trouve chez Ibn-al-Abbâr.

[87] Un prince aghlabide avait fait mourir de la même manière plusieurs de ses eunuques et de ses gardes dont il voulait se débarrasser. Voyez Ibn-Adhârî, t. I, p. 127.

[88] Voyez Abbad., t. II, p. 14, l. 17.

[89] Voyez la note C, à la fin de ce volume.

[90] Abbad., t. I, p. 247.

[91] Ibn-Haiyân, dans mon Introduction à la Chronique d’Ibn-Adhârî, p. 86-88. A la page 86, l. 16, il faut lire: wahadjara charâbaho alladhî lâ çabra laho anho.

[92] Abbad., t. II, p. 210.

[93] Abd-al-wâhid, p. 80; Ibn-Khâcân, Calâyid, t. I, p. 177 (article sur Ibn-Ammâr).

[94] Abbad., t. II, p. 210.

[95] Abbad., t. I, p. 249; t. II, p. 207; Ibn-Khaldoun, fol. 23 r.

[96] C’est une sorte de voile qu’on porte sur la tête et sur les épaules.

[97] Abbad., t. I, p. 250; t. II, p. 6; Abd-al-wâhid, p. 66 (cet auteur se trompe dans la date).

[98] 455 de l’Hégire. C’est ainsi qu’il faut lire, avec le man. de M. de Gayangos, dans le passage d’Ibn-Haiyân que j’ai publié Abbad., t. I, p. 256.

[99] Abbad., t. I, p. 253-259.

[100] Abbad., t. I, p. 51-54, 301, 302; t. II, p. 60, 63-65.

[101] Voyez Journ. asiat., IVe série, t. XVI, p. 210, 217-220, mon Introduction à la Chronique d’Ibn-Adhârî, p. 99-102, et mes Recherches, t. I, p. 292-305. Quelques détails nouveaux m’ont été fournis par Ibn-Bassâm, t. I, fol. 200 v.-201 v.

[102] Mon. Sil., c. 91-93; cf. Chron. Compost., p. 327.

[103] Le moine de Silos l’appelle grandacous.

[104] Comparez mes Recherches, t. I, p. 112.

[105] Dans un poème qu’il composa à l’heure où les croyants se rendaient aux mosquées pour y assister à la prière du matin, il disait: «Il faut boire au lever de l’aube, c’est un dogme religieux, et celui qui n’y croit pas est un païen.» Abbad., t. I, p. 246.

[106] La relation de cette ambassade se trouve dans la chronique du moine de Silos (c. 95-100), qui la tenait des compagnons mêmes d’Alvitus.

[107] Mon. Sil., c. 87, 89, 90; Chron. Compl., p. 317, 318. Voyez sur la date de la prise de Coïmbre, Ribeiro, Dissertações chronologicas e criticas.

[108] Ibn-Bassâm, dernière feuille du man. de Gotha; Maccarî, t. I, p. 111, et t. II, p. 748, 749.

[109] Voyez mes Recherches, t. II, p. 355-374.

[110] Voyez les textes que j’ai publiés dans mes Recherches, t. II, p. LI-LIV.

[111] Mon. Sil., c. 105, 106.

[112] Abbad., t. II, p. 216, 219, 220.

[113] Abbad., t. I, p. 251, 252; Abd-al-wâhid, p. 70.

[114] Abbad., t. II, p. 61, 62.

[115] Abd-al-wâhid, p. 79-81; Abbad., t. II, p. 88; Ibn-Bassâm, t. II, fol. 98 v.

[116] Dans les campagnes de Silves, presque chaque paysan avait le talent d’improviser; voyez Cazwînî, t. II, p. 364.

[117] Voyez le poème de Motamid sur Silves, que nous traduirons plus loin.

[118] Abbad., t. I, p. 384.

[119] Abd-al-wâhid (p. 81, 82) raconte cette aventure avec les propres paroles d’Ibn-Ammâr. Ibn-Bassâm (t. II, fol. 113 r. et v.) l’avait entendu raconter à plusieurs vizirs de Séville, qui la tenaient de Motamid. Voyez aussi Abbad., t. II, p. 120.

[120] Abbad., t. II, p. 151, 152; cf. p. 225, 226. Ce ne fut qu’après son mariage que le jeune prince prit le titre de Motamid, formé de la même racine que le mot Itimâd. Nous avons cru devoir le lui donner par anticipation, mais auparavant il en portait d’autres; voyez Abbad., t. II, p. 69, et comparez p. 61.

[121] Voyez Abbad., t. II, p. 234.

[122] El Conde Lucanor, c. 14.

[123] Abbad., t. II, p. 152, 153.

[124] Abbad., t. II, p. 151.

[125] Abbad., t. II, p. 68.

[126] Abbad., t. II, p. 88.

[127] Abd-al-wâhid, p. 77, 81. D’après une autre tradition (Abbad., t. II, p. 105), Ibn-Ammâr serait revenu à la cour du vivant de Motadhid, mais ce récit me paraît inexact.

[128] Abd-al-wâhid, p. 82.

[129] Il est à peine besoin de dire que le poète a ici en vue des statues et des figures de lions.

[130] Abbad., t. I, p. 39, 84.

[131] Abd-al-wâhid, p. 80.

[132] Abd-al-wâhid, p. 82, 83.

[133] Voyez Abbad., t, II, p. 148.

[134] Abd-al-wâhid, p. 72; Abbad., t. II, p. 222.

[135] Abbad., t. II, p. 146.

[136] Abbad., t. Il, p. 224, 225.

[137] Abd-al-wâhid, p. 72.

[138] Voyez Abbad., t. I, p. 392.

[139] Abd-al-wâhid, p. 73; Abbad., t. II, p. 30.

[140] Abbad., t. I, p. 391.

[141] Abbad., t. I, p. 388.

[142] Ibn-Haiyân, apud Ibn-Bassâm, t. I, fol. 158 v., 159 r.

[143] Ibn-Bassâm, t. I, fol. 159 r.-160 r.; Ibn-Haiyân, ibid., fol. 160 r. et v.; poème d’Ibn-al-Cacîra, apud Ibn-al-Khatîb, man. P., fol. 51 r. et v.; Ibn-Khaldoun, fol. 25 v. Ce dernier auteur se trompe quand il dit que la prise de Cordoue eut lieu en 461, car Ibn-Bassâm dit: vers la fin de 462. C’est aussi à tort qu’il affirme qu’Abou-’l-Walîd était déjà mort à cette époque; Abd-al-wâhid (p. 43) est tombé dans la même erreur.

[144] Abbad., t. I, p. 46.

[145] Abbad., t, I, p. 322; Lucas de Tuy, p. 100.

[146] Abbad., t. I, p. 46-48, 322-324; t. II, p. 35, 122.

[147] Abbad., t. II, p. 16, 122 (cf. 68); Abd-al-wâhid, p. 90. D’après Ibn-Khaldoun, dans son chapitre sur les Beni-Djahwar, Motamid aurait repris Cordoue en 469 de l’Hégire; mais j’ai cru devoir suivre Abd-al-wâhid, parce que cet auteur donne le jour du mois et de la semaine.

[148] Chron. Compost., p. 327.

[149] Voyez Abbad., t. II, p. 89.

[150] Abd-al-wâhid, p. 83-85.—Vers l’an 1466, raconte Cascalès (Discursos históricos de Murcia, fol. 118), Boabdil al-Zagal joua un jour aux échecs avec don Pedro Fajardo, le gouverneur de Lorca. L’enjeu de l’Espagnol était Lorca, et celui du Maure Almérie. Le dernier gagna la partie, mais don Pedro Fajardo, moins loyal qu’Alphonse VI, lui fit faux bond. Cascalès cite à ce sujet une ancienne romance.

[151] Voyez Ibn-al-Abbâr, p. 186-188.

[152] 471 de l’Hégire; Abbad., t. II, p. 93; Ibn-al-Abbâr, p. 186. La date 474 (Abbad., t. II, p. 87) est erronée.

[153] Abbad., t. II, p. 86, 91-94.

[154] Voyez Abbad., t. II, p. 36.—Ce qu’on appelait alors le château de Baldj, est peut-être Velez-Rubio.

[155] Abbad., t. II, p. 86, 87.

[156] C’était le fils du grand poète Abou-’l-Walîd ibn-Zaidoun.

[157] Ibn-al-Abbâr, p. 189.

[158] A une lieue de Murcie. Les ruines de l’ancien château existent encore.

[159] Voyez Abbad., t. II, p. 87.

[160] Que ce soit Pierre ou Paul, dirions-nous.

[161] Motamid.

[162] Ibn-Ammâr.

[163] Ibn-Rachîc.

[164] En octobre 1081.

[165] Abbad., t. II, p. 103-119; Ibn-Bassâm, t. II, article sur Ibn-Ammâr; Abd-al-wâhid, p. 85-90.

[166] Voyez Abbad., t. II, p. 20.

[167] Abbad., t. II, p. 17; chronique arabe-valencienne, traduite dans la Cronica general, fol. 309, col. 3 et 4; Cartâs, p. 109; Rodrigue de Tolède, VI, 23.

[168] Nowairî l’appelle Chalbîb, sans Ben.

[169] Abbad., t. II, p. 231, 187, 174. Ce récit repose sur un témoignage fort respectable, celui d’Ibn-al-labbâna, un des poètes de la cour de Motamid. Cet auteur donne aussi la date (1082), tandis que d’autres historiens disent à tort que cet événement eut lieu après la prise de Tolède par Alphonse. L’auteur du Raudh al-mitâr (Abbad., t. II, p. 238, 239) rapporte une version bien différente et assez bizarre; mais consultez sur ce livre la note D à la fin de ce volume.

[170] Pélage d’Oviédo (c. 11) compte cette ville parmi celles qu’Alphonse avait conquises.

[171] Abbad., t. II, p. 175, 231, 188.

[172] Abbad., t. II, p. 8, 193 (note 27); Cartâs, p. 92. La date est 1082, comme on lit dans le Cartâs; l’auteur du Holal (Abbad., t. II, p. 188) nomme à tort l’année 1084.

[173] Abbad., t. II, p. 18.

[174] Abbad., t. II, p. 19.

[175] Voyez mes Recherches, t. II, p. 126-130.

[176] Abbad., t. II, p. 21; Cartâs, p. 92; Ibn-Khaldoun, Hist. des Berbers, t. II, p. 77 de la traduction.

[177] Comparez Annal. Toled. I, sous l’année 1086, avec mes Recherches, t. I, p. 273, note 4.

[178] Ibn-al-Khatîb, man. E., article sur Mocâtil.

[179] Abbad., t. II. p. 20.

[180] Maccarî, t. II, p. 672.

[181] Abbad., t. II, p. 37.

[182] Abbad., t. II, p. 8, 189 etc.

[183] Bâdîs étant mort en 1073, ses Etats avaient été divisés entre ses deux petits-fils, Abdallâh et Temîm. Le premier avait reçu Grenade, le second Malaga.

[184] Les auteurs qui disent que Motamid lui-même se rendit auprès de Yousof, me semblent avoir confondu la première expédition du monarque africain avec la seconde.

[185] Voyez Abbad., t. II, p. 27.

[186] Ibn-al-Abbâr, dans mes Recherches, t. I, p. 173, 174 de la 1re édition. Voyez aussi Abbad., t. I, p. 169, 175 (vers de Râdhî), t. II, p. 37, 191-193, 231.

[187] Ibn-al-Abbâr, ubi supra; Abbad., t. II, p. 22, 193; Abd-al-wâhid, p. 91.

[188] Le calife Hâroun ar-Rachîd avait répondu à peu près de la même manière à une lettre de l’empereur Nicéphore. Au reste, les auteurs qui font citer à Yousof un vers de Motanabbî, ont pris une citation d’un historien pour une partie de la réponse du monarque. Yousof était trop illettré pour être en état de citer des vers de Motanabbî.

[189] Abbad., t. II, p. 22; Abou-’l-Haddjâdj Baiyâsî, apud Ibn-Khallicân, XII, 16. D’après d’autres auteurs, Alphonse aurait proposé le lundi, le samedi étant la fête des juifs.

[190] Abbad., t. II, p. 23, 38.

[191] Abd-al-wâhid, p. 93.

[192] Kitâb al-ictifâ (Abbad., t. II, p. 23), où il faut retenir la leçon du manuscrit: facollon. Ce témoignage est remarquable, car l’auteur du Kitâb al-ictifâ est très-partial pour les Almoravides.

[193] Voyez la note E à la fin de ce volume.

[194] Abbad., t. II, p. 23, 199.

[195] Abd-al-wâhid, p. 94.

[196] Abbad., t. II, p. 25.

[197] Abbad., t. II, p. 120.

[198] Abbad., t. II, p. 25; il faut rectifier ce passage à l’aide d’Ibn-Khâcân (Abbad., t. I, p. 172-175).

[199] Abbad., t. II, p. 121.

[200] Recherches, t. II, p. 136, 137.

[201] Abbad., t. II, p. 201.

[202] Abd-al-wâhid, p. 92.

[203] Abbad., t. II, p. 202, 203.

[204] C’était le père du vizir de Motamid.

[205] Abbad., t. II, p. 221.

[206] Çâid de Tolède, dans mes Recherches, t. I, p. 4 de la 1re édition.

[207] Ibn-Bassâm, t. I, fol. 230 v.

[208] Abbad., t. II, p. 131, 132.

[209] Ibn-al-Khatîb, man. G., fol. 16 v., 17 r., article sur Abou-Djafar Ahmed ibn-Khalaf ibn-Abdalmélic al-Ghassânî al-Colaiî.

[210] Abd-al-wâhid, p. 96, 97.

[211] Abbad., t. II, p. 39, 121, 203; Ibn-Khallicân, Fasc. XII, p. 25. Dans le récit du Cartâs (p. 99) et surtout dans celui d’Abd-al-wâhid (p. 92), il y a plusieurs inexactitudes. Voyez aussi les Gesta Roderici, et pour la chronologie comparez la note F à la fin de ce volume.

[212] Ibn-al-Khatîb, article sur Abou-Djafar Colaiî.

[213] Abbad., t. II, p. 211.

[214] Ibn-Khaldoun, Hist. des Berbers, t. II, p. 79 de la traduction.

[215] Ibn-al-Khatîb, man. E., article sur Mocâtil.

[216] C’est-à-dire, il est de la même race que toi, il est Berber comme toi.

[217] Ibn-al-Khatîb, man. E., articles sur Abdallâh ibn-Bologguin et sur Moammil; Abbad., t. II, p. 9, 26, 39, 179, 180, 203, 204; Cartâs, p. 99. Sur la date, comparez la note F à la fin de ce volume.

[218] Abbad., t. II, p. 180, 204; Ibn-Khallicân, Fasc. XII, p. 26; Ibn-al-Abbâr, dans mes Recherches, t. I, Appendice, p. L; Ibn-Khaldoun, Hist. des Berbers, t. II, p. 79 de la traduction.

[219] Ibn-Khaldoun, Hist. des Berbers, t. II, p. 79, 80, 82, Abbad., t. II, p. 27, 151.

[220] Abd-al-wâhid, p. 98.

[221] Abbad., t. I, p. 54, 55. La date que je donne se trouve dans le Cartâs (p. 100) et dans Abd-al-wâhid (p. 98). D’après Ibn-al-Khatîb (Abbad., t. II, p. 178), la prise de Cordoue aurait eu lieu dans le mois d’août.

[222] Cartâs, p. 100.

[223] Cartâs, p. 100, 101; Abbad., t. II, p. 42, 232; Anales Toledanos II, p. 404 (sous la fausse date 1092).

[224] Abd-al-wâhid, p. 98-101; Abbad., t. I, p. 55-59, 303, 304, 306; t. II, p. 68, 178, 204, 205, 227, 228, 232.

[225] Recherches, t. I, p. 279, 281.

[226] Cartâs, p. 101.

[227] Abbad., t. II, p. 44.

[228] Comparez Ibn-al-Khatîb (dans mes Recherches, t. I, p. 179, l. 10-12 de la 1re édition, où il faut lire avec le man. de Berlin emîr au lieu de asr) avec le Chron. Lusit., p. 419, et les Annal. Complut., p. 317.

[229] Ibn-al-Abbâr et Ibn-al-Khatîb (dans mes Recherches, t. I, p. 175, 179 et 180 de la 1re édition); Ibn-Khaldoun, apud Hoogvliet, p. 3 (j’ai corrigé le texte de ce passage dans mes Recherches, t. I, p. 158, 159 de la 1re édition).

[230] Ibn-al-Abbâr, p. 182.

[231] Holal, fol. 30 v.-31 v., 34 r., 39 r. et v.; Ibn-al-Abbâr p. 225 (chez cet auteur le jour du mois ne concorde pas avec celui de la semaine); Cartâs, p. 104.—Imâd-ad-daula resta en possession de Rueda jusqu’en 1130, qu’il mourut. Dix ans plus tard, son fils et successeur Saif-ad-daula céda la forteresse à Alphonse VII.

[232] Abd-al-wâhid, p. 122.

[233] Abd-al-wâhid, p. 127.

[234] Ibn-Khâcân, dans son chapitre sur Abou-Mohammed ibn-al-Djobair, a copié une touchante épître que cet homme de lettres adressa sur ce sujet à Ibn-Hamdîn.

[235] Maccarî, t. I, p. 299; comparez t. II, p. 360, 361, 472.

[236] Chron. Adef. Imper., c. 91.

[237] «Le monde touche à sa fin, disait le poète Ibn-al-Binnî, puisqu’Ibn-Hamdîn nous promet des récompenses. Les étoiles sont encore plus à notre portée que son argent.»—Abd-al-wâhid, p. 123.

[238] Voyez Ibn-Khâcân, apud Maccarî, t. II, p. 590.

[239] Maccarî, t. II, p. 303.

[240] Maccarî, t. II, p. 303, 304; Abd-al-wâhid, p. 123.

[241] Ibn-abî-Oçaibia, article sur Avempace; Maccarî, t. II, p. 322, 323.

[242] Renan, Averroès, p. 97 de la 2de édition.

[243] Gosche, Ueber Ghazzâlîs Leben und Werke (dans les Mém. de l’Acad. de Berlin pour 1858), p. 258, 290.

[244] Article de M. Hitzig sur l’ouvrage de Ghazzâlî, dans le Journ. asiat. allemand, t. VII, p. 173, 174.

[245] Abd-al-wâhid, p. 123, 124, 132; Holal, fol. 41 v.

[246] Voyez plus haut, t. III, p. 19, 20.

[247] Holal, fol. 33 r. et v. Comparez sur Lucéna et sa population juive, Edrisi, t. II, p. 54.

[248] Voyez Journ. asiat., IVe série, t. XVIII, p. 513.

[249] Voyez mes Recherches, t. I, p. 343-360.

[250] Chron. Adefonsi Imperatoris, c. 64.

[251] Cartâs, p. 108.

[252] Abd-al-wâhid, p. 114; Holal, fol. 52 r.; Chron. Lusit., p. 326.

[253] Cité dans le Cartâs, p. 108.

[254] Maccarî, t. II, p. 262, 263; Ibn-Khallicân, Fasc. XII, p. 17, 18.—Ce cadi d’Almérie fut tué dans la bataille de Cutanda (près de Daroca), livrée en 1120. Maccarî, t. II, p. 759.

[255] Holal, fol. 35 r.

[256] Cartâs, p. 108; Holal, fol. 33 v.

[257] Holal, fol. 34 r.

[258] Abd-al-wâhid, p. 148.

[259] Avempace est une corruption d’Ibn-Bâddja.

[260] Ibn-al-Khatîb, man. G., fol. 98 v.-100 r. (article sur Abou-Becr ibn-Ibrâhîm); Ibn-Khâcân, Calâgid, article sur Avempace.

[261] Voyez sur ces Roum (qui, au fond, étaient ce qu’on appelait autrefois des Slaves) Chron. Adefonsi Imper., c. 45, 46, 94, Holal, fol. 35 r., 58 r., 62 v.

[262] Abd-al-wâhid, p. 128, 133, 148; Holal, fol. 58 v., 59 r.

[263] Holal, fol. 52 r.

[264] Chron. Adefonsi Imper., c. 13-16. Sur la tour de Cadix ou colonnes d’Hercule, voyez mes Recherches, t. II, p. 328, et l’Appendice, nº XXXV.

[265] Chron. Adef. Imp., c. 60, 82, 88.

[266] Comparez le Holal, fol. 52 r.

[267] Holal, fol. 35 v., 36 r.

[268] Chron. Adefonsi Imper., c. 16.

[269] Chron. Adef. Imper., c. 89.

[270] Voyez Ibn-al-Khatîb, man. E., article sur Abdallâh ibn-Bologguîn.

[271] Abbad., t. I, p. 59-61.

[272] Abbad., t. I, p. 313, 314; t. II, p. 71, 175, 232; Abd-al-wâhid, p. 101, 102.

[273] Abbad., t. I, p. 383.

[274] Abd-al-wâhid, p. 102.

[275] Abbad., t. II, p. 73, 74.

[276] Abbad., t. I, p. 68.

[277] Allusion à l’aventure que j’ai racontée plus haut, p. 142, 143.

[278] Abbad., t. I, p. 63, 64.

[279] Ibn-Zohr en arabe.

[280] Voyez Maccarî, t. II, p. 293.

[281] Parmi les femmes qui avaient apporté du lin à filer aux filles de Motamid, se trouvait la fille d’un arîf ou huissier de l’ex-roi de Séville.

[282] Abd-al-wâhid, p. 109.

[283] Abbad., t. II, p. 147-149.

[284] Voyez le poème d’Ibn-al-labbâna, Abbad., t. I, p. 319, 320, et mon commentaire, ibid., p. 366 et suiv.

[285] Montemayor, près de Marbella, est aujourd’hui ce que les Espagnols appellent un despoblado, un endroit inhabité.

[286] Abbad., t. II, p. 228, 229; t. I, p. 64.

[287] Abbad., t. I, p. 66.

[288] Abbad., t. I, p. 63.

[289] Djarîr était le poète favori du calife Abdalmélic, fils de Merwân.

[290] Abbad., t. I, p. 310, 311.

[291] Abbad., t. I, p. 306.

[292] La révolte d’Abd-al-djabbâr commença en 1093; deux ans après, ce prince fit son entrée dans la ville d’Arcos. Il y fut assiégé par Sîr, le gouverneur de Séville. Lui-même fut tué par une flèche, mais ses partisans ne se rendirent que quelque temps après. Voyez Abbad., t. II, p. 228, et t. I, p. 64, 65.

[293] Abbad., t. I, p. 71.

[294] Ibn-al-Abbâr, Abbad., t. II, p. 63.

[295] Abbad., t. I, p. 40.

[296] Abbad., t. II, p. 66, 67.

[297] Abbad., t. II, p. 222, 223.

[298] Recherches, t. I, p. 184 et suiv.

[299] Abbad., t. II, p. 8, 21-23, 36-39, 134-136, 196-201; Cartâs, p. 94-98; Abd-al-wâhid, p. 93, 94; Abou-’l-Haddjâdj Baiyâsî, apud Ibn-Khallicân, Fasc. XII, p. 16, 17.

[300] Ibn-Khallicân, Fasc. VII, p. 135.

[301] Alaet chez Pélage d’Oviédo (c. 11) qui compte cette ville parmi celles qu’Alphonse conquit; Halahet dans les Gesta Roderici. Au lieu de: «Fue la batalla de Dalaedon,» comme on trouve dans les Annal. Toled. I (p. 386), je crois devoir lire: «Fue la batalla de Alaedo,» ou bien «de Halaedo.»

[302] L’auteur du Cartâs parle d’un siége de Tolède à cette occasion; c’est, je crois, une grave erreur.

[303] Ce reproche frappe surtout l’auteur du Cartâs.

[304] Voyez Abbad., t. II, p. 92.

[305] Abbad., t. II, p. 121 (cf. 122, l. 3).

[306] Abbad., t. II, p. 8, 9.

[307] Abbad., t. II, p. 26, l. 12. En publiant ce passage, j’ai eu tort de changer la leçon du manuscrit; elle est bonne; sous al-ghazwa il faut entendre l’expédition contre Alédo.

[308] Man., fol. 162 v.

[309] Abbad., t. II, p. 39.

[310] Dans ses articles sur Motamid (Abbad., t. II, p. 179) et sur Abdallâh ibn-Bologguîn.

[311] Cartâs, p. 99. L’auteur du Holal dit: pendant un mois; mais comme on voulait affamer les assiégés, et que, jusqu’à un certain point, on y réussit, le siége doit avoir duré plus longtemps.

[312] Un récit très-circonstancié d’Ibn-Haiyân (apud Ibn-Bassâm, t. I, fol. 47 r. et v.) démontre que j’ai eu raison de dire (voyez mes Recherches, t. I, Appendice, nº XVII) qu’il n’y a eu à Saragosse qu’un seul roi de cette famille, à savoir Mondhir, et que c’est ce prince, et non pas son fils, qui a été assassiné en 1039.

[313] J’ai cru devoir donner cette liste parce que j’ai cité mes documents d’une manière fort succincte et que plusieurs d’entre eux se trouvent dans des collections. Je n’ai pas nommé ici les livres que je n’ai cités qu’une ou deux fois, car dans le cours de l’ouvrage j’ai eu soin d’en indiquer l’édition, ou le numéro quand il s’agissait d’un manuscrit.


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