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L'Anti-Justine; ou, Les Delices de l'amour

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The Project Gutenberg eBook of L'Anti-Justine; ou, Les Delices de l'amour

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Title: L'Anti-Justine; ou, Les Delices de l'amour

Author: Restif de La Bretonne

Release date: October 7, 2008 [eBook #26804]
Most recently updated: January 4, 2021

Language: French

Credits: Produced by Daniel Fromont

*** START OF THE PROJECT GUTENBERG EBOOK L'ANTI-JUSTINE; OU, LES DELICES DE L'AMOUR ***

Produced by Daniel Fromont

[Transcriber's note: Nicolas-Edmé Restif de la Bretonne (Nicolas Restif dit Restif de la Bretonne) (1734-1806), L'Anti-Justine (1978), édition de 1798

A classic French erotic novel of the 18th century

Orthographe de l'édition 1798 conservée

Il n'y a pas de chapitre 29; il y a deux chapitres 31.]

L'ANTI-JUSTINE,

OU
LES DELICES DE L'AMOUR.

Par M. LINGUET, Av. au et en Parlem.

Avec LX Figures.

[Première Partie.]

AU PALAIS-ROYAL

Chez feue la Veuve GIROUARD, très-connue.

1798.

Quelle Excuse peut se donner à lui-même, l'Homme qui publie Un Ouvrage, tel que celui qu'On va lire? J'en ai cent, pour Une. Un Auteur doit avoir pour lui le bonheur de ses Lecteurs.. Il n'est rién qui contribue autant au bonheur, qu'Une lecture agréable. Fontenelle disait: "Il n'est point de chagrin qui tiénne contre une heure de lecture". Or, de toutes les lectures la plüs entraînante, est celle des Ouvrages Erotiques, surtout lorsqu'ils sont acompagnés de Figures expressives. Blâsé sur les Femmes depuis longtemps, la JUSTINE de Dsds me tomba sous la main. Elle me mit en feu; je voulus jouir, ét ce fut avec fureur: je mordis les seins de ma Monture; je lui tordis la chair des bras… Honteux de ces excès, effets de ma lecture, je me fis moi-même un Erotikon savoureux, mais nón cruel, qui m'excita au point de me faire enfiler une Bossue-Bancroche, haute de 2 piéds. Prenéz, liséz, ét vous en feréz autant.

L'ANTI-JUSTINE.

Persone n'a été plus indigné que moi des sales Ouvrages de l'infame DsDs; c'est-à-dire, de Justine, Aline, le Boudoir, la Theorie du Libertinage, que je lis dans ma prison.. Ce Scelerat ne présente les delices de l'amour, pour les Hommes, qu'accompagnées de tourmens, de la mort même, pour les Femmes. Mon but est de faire un Livre plus savoureux que les siéns, et que les Epouses pourront faire lire à leurs Maris, pour en être mieux servies; un Livre où les sens parleront au coeur; où le Libertinage n'ait rien de cruel pour le Sexe des Graces, et lui rende plutôt la vie, que de lui causer la mort; où l'amour ramené à la nature, exempt de scrupules et de préjugés, ne présente que des images riantes et voluptueuses. On adorera les Femmes, en le lisant; on les chérira, en les enconnant: mais l'on en abhorra davantage le Vivodissequeur, le même qui fut tiré de la Bastille avec une Longue Barbe blanche le 14 juillet 1789. Puisse l'Ouvrage enchanteur que je publie, faire tomber les siéns!

Mauvais Livre fait dans de bonnes vues.

Moi, Jean-Pierre-Linguet, maintenant detenu à la Conciergerie, declare, que je n'ai composé cet Ouvrage, tout savoureux qu'il est, que dans des vues utiles; l'inceste, par exemple, ne s'y trouve, que pour équivaloir, au goût corrompu des Libertins, les affreuses cruautés, par lesquelles Dsds les stimule.

Floreal, an 2.

I Chapitre.

Chapitre De l'Enfant qui bande.

Je suis né dans un Village près de Reims, & je me nomme
CUPIDONET. Dès mon enfance, j'aimais les jolies Filles.
J'avais surtout un faible pour les jolis piéds & les jolies
chaussures; en quoi je ressemblais au Grand-Daufin, fils de
Louis-XIV, & à Thevenard, acteur de l'Opéra.

La première Fille qui me fit bander, fut une jolie Paysane, qui me portait à vêpres la main posée à nû sur mes fesses; elle me chatouillait les couillettes, & me sentant bander, elle me baisait sur la bouche avec un emportement virginal: car elle était chaude, parcequ'elle était sage.

La première Fille à laquelle je fis des attouchemens, en-conséquence de mon goût pour une jolie chaussure, fut ma première Puînée, qui s'appelait Jenovefette. J'avais huit Soeurs, cinq aînées d'un premiér lit, & trois puînées. La Seconde de Celles-là, était jolie au-possible; il en sera question: La Quatrième avait le poil du Bijou tellement soyeux, que c'était une volupté seulement de le toucher. Les Autres étaient laìdes. Mes Puînées étaient toutes-trois provoquantes.

Or ma Mère préferait Jenovefette, la plus voluptueusement jolie, & dans un voyage qu'elle fit à Paris, elle lui aporta des souliérs delicats. Je les lui vis essayer, & j'eús une violente érection. Le lendemain Dimanche, Jenovefette mit des bas fins blancs & neufs de coton, un corpset qui lui pinçait la tâille; & avec son lubrique tour-de-cùl, elle fesait bander, quoique si jeune, mon Père lui-même; car il dit à ma Mère de la renvoyer. (J'étais caché sous le lit, pour mieux voir le souliér & le bas de la jambe de ma jolie Cadète)… Dès que ma Soeur fut sortie, mon Père renversa ma Mère, & la carillona sur le piéd du lit sous lequel j'étais, en lui disant: — Hô! prenéz-garde à votre Fille cherie! Elle aura un furieux temperament, je vous en avertis… Mais elle a de quî tenir; car je baise bién! & voila que vous m'en donnéz, du jus de Con, come une Princesse-… Je m'aperçus que Jenovefette écoutait & voyait… Mon Père avait raison. Ma jolie Cadète fut depuis dépucelée par son Confesseur; ensuite foutue par tout le Monde. Mais elle n'en est que plus sage à-présent… Dans l'aprèsdînée, Jenovefette vint au jardin, où j'étais seul. Je l'admiraí; je bandaí. L'ayant abordée, je lui pressaí la tâille, sans parler; je lui touchaí le piéd, les cuisses, un Conin imberbe & joli, s'il en fut jamais! Jenovefette ne disait mot. Alors, je la fis mettre à-quatre; c'est-à-dire, súr les mains & sur les genoux, &, à l'imitacion des chiéns, je la voulais enfiler ainsi, en hennequinant & saccadant de toutes mes forces, comme fait le chién, & lui comprimant fortement les aînes de mes deux mains: je lui fesais cambrer les reins, de sorte que son Conin était aussi à ma portée que le trou de son cùl: je l'atteignis donc & je mis le bout entre les lèvres, en disant: "Hausse, hausse le cùl, que j'entre". Mais On sent aussi qu'un conichon aussi jeune, ne pouvait admettre un vit, qui ne décalotait pas encore: (Il me falait Une Conasse, come je l'auraí biéntôt). Je ne pus qu'entr'ouvrir un peu les lèvres de la fente. Je ne dechargeaí point; je n'étàis pas asséz formé… Ne pouvant enfiler, je me mis, aussi à l'imitacion de mes Modèles, à lècher le jeune Conin… Jenovefette sentit un chatouillement agreable sans-doute; car elle ne s'ennuyàit pas du jeu, & elle me dona cent baisérs sur la bouche, lorsque je fus debout. On l'appela, & elle courut.

Come elle n'avàit pas encore de gorge: dès le lendemain elle se mit des tetons postiches, sans-doute parcequ'elle avàit oüi vanter ceux de sa Mère, ou de ses Aînées. Je les remarquaí: je la fis chausser, & l'ayant placée commodément sur son lit, je m'escrimaí près de deux heures. Je crois en-vérité qu'elle émit; car elle s'agitait comme une petite Enragée à mon lèchement de Con… Dès le surlendemain, On l'envoya en apprentissage à Paris, où elle remplit l'horoscope tiré par mon Père.

II Chapitre.

Chap. Du Con soyeux.

Mes autres Soeurs étaient l'Une serieuse; elle me retint dans les bornes; mais j'aí depuis foutu ses deux Filles à Paris: Ma Troisième était encore trop jeune: Ç'a été Une superbe Fille à dixhuit ans! Je me rejetaí neanmoins sur cette Enfant, lorsque je m'aperçus que Cathos, jumelle de Jenovefette, était inabordable. Il me falait un Con, depuis que j'en avais palpé Un: je patinaí Babiche. Enfin un Dimanche, qu'elle était bién arrangée, & que ma Mère l'avait baignée, je la gamahuchaí.

Ce fut à cette benigne operation, que je fus surpris par l'ardente Madelène au Con soyeux. Elle nous examina longtemps avant de nous troubler, & voyant que la Petite avait du plaisir, elle fut tentée. Elle parla. Nous nous remimes décemment. Madelène ne dit mot: Elle renvoya Babiche. Puis elle hazarda de badiner avec moi. Elle me renversa sur la pâille de la grange, où j'avais attiré Babiche; & lorsque je fus par-terre, elle me chatouilla, passant par-dessus moi, jambe de-çà, jambe de-là. Par-hazard, je portaí la main sous ses jupes, & j'y trouvaí l'admirable Con soyeux. Ce poil divin determina mon goût pour elle. Je devins fou du Con de Madelène-Lingüet: je lui demandaí à le baiser? — Petit coquin! (me dit-elle), attens un moment-. Elle ala au puits, tira un seau d'eau, & s'accroupit dessus… Elle revint, & badina encore. Enflâmé, hors de moi, je lui dis, dans ma petite fureur érotique, — Il faut que je lèche ce joli trou-. Elle se mit sur le dos, les jambes écartées: je léchai; la belle Madelène hocha du cùl: "Darde ta langue dedans, cher petit Ami"! (me disait-elle). Et je dardais, & elle haussait la mote. Je fourgonnais avec rage!… Elle eút tant de plaisir, qu'elle se recria. Je bandais come un petit carme: & come je ne dechargeais pas, j'avais toujours la même ardeur. Aussi m'adorait-elle. Obligée de me quitter, Madelène me dona des friandises, que je mangeaí avec Babiche.

Un-soir, ma Soeur au Con soyeux me dit: — Cupidonnet! ta jolie Broquette est toujours bién roide, quand tu me lèches! Il me semble que si nous étions dans le même lit, tu pourrais la faire entrer dans la bouche de ma petite Marmote, que tu aimes tant à sucer, & dont le poil est si doux! j'aurais sûrement bién du plaisir! & peutêtre toi aussi? Viéns ç'te nuit-… Quand tout le monde fut endormi, je me glissaí dans le lit de ma grande Soeur. Elle me dit: — J'ai vu mon Pêre, un-jour qu'il venait de caresser ma Soeur la belle Marie, qui partait pour Paris, courir sur ta Mère, sa grosse broche bién roide, & lui fendre la Marmote: je vas te montrer; tu feras comme lui. — Et moi aussi, je l'aí vu. — Bon! bon-! Elle se disposa, me plaça sur elle, me dit de pousser, & riposta. Mais elle était pucelle, & quoique bandant roide, je ne pus introduire; je me fesais mal. Pour Madelène-Lingüet, elle déchargea sans-doute; car elle se pâma.

Hô! que je regrettaí ce joli Con soyeux, que je léchais & fourgonnais depuis 6 mois! Mon Père, Clôde-Lingüet, qui ne me ressemblait pas, éloignait ses Filles, dès qu'elles l'avaient fait bander. On prétend que Madelène avait tenté de se le faire mettre par lui… Quoi qu'il en soit, trois jours après, elle partit pour la Capitale, où notre Frère-aîné l'Ecclesiastique, lui avait trouvé une place de Gouvernante d'Un Chanoine de Sainthonoré. Ce Caffard ne tarda pas à connaître ce qu'elle valàit: Il y avàit Une porte derobée, de lui-seul connue, qui donnait dans la chambre de ses Gouvernantes, qu'il alait patiner durant la nuit. Mais il n'avait jamais trouvé de con aussi joli, que le Con soyeux de Mlle Lingüet! Il voulut le voir. Sa beauté le ravit, & il n'eút plus de repos, qu'il ne l'eût foutu. Une nuit, qu'elle dormait d'autant plûs fort, qu'elle en fesait semblant, il la gamahucha. Elle déchargea sensiblement. Aussitôt le Chanoine monte sur elle, & l'encone. Elle le pressa dans ses bras, en remuant du cùl. —Hâ! Mignone! (lui dit-il), que tu as le mouvement bon!… Mais n'as-tu pas de mal? car je te crois un-peu Putain-?… Sa chemise & les draps ensanglantés, lui prouvèrent qu'elle était pucelle Il l'adora! Elle foutit saintement avec ce saint Homme pendant deux ans, & le mit au tombeau. Cependant il la dota: Ce qui fit qu'elle épousa le Fils du premiér Mari de ma Mère.

III Chapitre.

Chap. De la Mère foutue!

Comme après le mariage de Madelène, & son retour à Reims j'étais un-peu plüs formé, je desiraí vivement de le lui mettre. Depuis plus de deux ans, j'en étais reduit à patiner & gamahucher ma Soeur Babiche, avec quelques-unes de nos Cousines-germaines. Mais, ou mon vit grossissait, ou tous ces conins imberbes retrécissaient… Je demandaí un rendéz-vous nocturne à la nouvelle Mad. Bourgelat? Elle me l'accorda pour le soir-même: Nous étions à notre Ferme, & son Mari venait de partir, pour se rendre à Reims, où une affaire l'appelait. Je ne sais par quelle avanture, cette même nuit, mon Pére se trouva incomodé. Ma Mère, après l'avoir secouru, craignant de le gêner, ala se mettre auprès de sa Brü. Celle-ci la voyant endormie, se leva doucement, pour venir coucher avec moi, tandis que de mon côté, j'alàis à elle. Nous ne nous rencontrames pas, malheureusement!… Je me mis à-côté de la Femme que je trouvaí dans le lit. Elle était sur le dos: je la montaí, toute-endormie; & l'enconaí. J'étàis surpris d'entrer aussi largement! Elle me serra dans ses bras, hôcha quelques coups-de-cùl, moitié assoupie, en disant: "Jamais! jamais vous ne m'avéz donné tant de plaisir-!… Je dechargeaí aussi: mais je m'évanouis sur ses tetons encore fermes, parcequ'elle n'avàit pas nourri, & qu'On ne les lui avàit jamàis patinés. Mad. Bourgelat revint auprès de nous, au moment où je m'évanouissais.

Elle fut bién étonnée des mots que venait de prononcer sa doublement Bellemére! Elle comprit que je l'avais foutue, & elle me reporta dans mon lit encore évanoui… Ainsi donc c'est dans le Con maternel que je venais d'émettre ma premiére semence!… Ma Mére, entiérement éveillée, dit à Madelène: — Mais, que faites-vous donc, ma Fille-? J'étais revenu à moi. Ma Soeur retourna au lit de ma Mére, qui lui dit tout-bas: — Ma Brü! vous avéz de drôles de façons? — Mon Mari (répondit Mad. Bourgelat), me fait souvent mettre dessus; je rêvais, & je l'ai fait. Eveillée, je suis sautée du lit-. Ma Mére crut cela.

Cependant le coup porta: Mad. Lingüet devint grosse, & accoucha secrettement d'un Fils, beau come Adonis; & elle eút l'adresse de le substituer à Un Garson de son Fils, cet Enfant étant mort en naissant. C'est de Lui dont il sera un-jour question, sous le surnom de Cupidonnet, dit Petitcoq, mon neveu.

Huit jours s'écoulérent. Après quoi, bién remis de mon évanouissement, j'eús un autre rendéz-vous. Mais admiréz mon malheur! Nous avions été entendus d'Une grosse Tetonniére, notre moissonneuse, qui dormait dans la grange. Comme Mad. Bourgelat devait venir dans mon lit, Mammelasse qui m'aimait, car elle se branlait souvent à mon intention, & qui dailleurs n'était pas méchante, se contenta de dire à mon Frère, de fermer les nuits la porte de sa chambre à la cléf, & de la cacher, pour cause… Il le fit. Mais jugéz de mon étonnement, quand aulieu d'un Con soyeux, & de tetons ronds & delicats, je patinaí Une Connasse à crins de cheval, & deux gros ballons bién gonflés. Elle se le mit; je poussaí, & j'eús asséz de plaisir. Mais je fus encore prêt à m'évanouir.

Enfin, je le mis à Madelène, dans le greniér-à-foin. J'alais come un fou, en l'enconnant. Mais au troisième coup-de-cùl qu'elle donna, je m'évanouis……

IV Chapitre.

Chap. D'un aútre Beaufrére Cocu.

Madelène évita de m'accorder des faveurs, dont les suites l'effrayaient! Mais je ne sentis pas longtemps cette privation: Huit jours après la derniére scène, je partis pour venir à Paris. J'y alais pour apprendre: Mais il ne sera pas ici question de mes études. Je fus logé chéz la belle Marie, la seconde de mes Aînées.

J'avais, pour mon pucelage, fait cocü mon Pére: j'avais cornifié mon Frére Uterin, en fesant décharger, & foutant enfin avec émission Une Soeur-Paternelle, qu'il avait épousée, & que j'engrossaí: car Bourgelat n'a jamàis eú que cet Enfant, venu au monde 9 mois après ma fouterie au greniér-à-foin. Mais j'avais encore bién de l'ouvrage, avec huit Soeurs, dont six, ou du-moins cinq, étaient souverainement enconables. Mais revenons à Marie, la plûs belle de toutes… Un-jour de Vierge, Marie était parée, chaussée avec cè goût particuliér aux jolies Femmes, & Un superbe bouquet ombrageait ses blancs tetins. Elle me fit bander. J'avais quatorze ans; j'avais deja foutu & engrossé trois Femmes; car Mamelasse avait Une Fille, qu'elle se vantait que je lui avais faite, & qui ressemblait comme deux goutes-d'eau à Jenovefette-Lingüet. Ainsi, je n'eús pas des desirs vagues; je tendais directemt au Con de ma provoquante Aînée. Après le dînér, elle ala dormir, dans Un alcove obscur, & s'étendit sur le lit conjugal. Elle avait vu bander son Mari, dont la culote blanche était juste, & elle voulàit lui donner le plaisir de le lui mettre parée. Je me cachaí, pour les guetter. Mais mon Beau-Frére, après avoir pris les tetons & le Con de ma Soeur, avoir admiré ce derniér, en éclairant l'alcove, se reserva sans-doute pour la nuit suivante: il se retira doucement; je lui vis prendre sa canne, son chapeau, & sortir. J'alaí pousser Un verrou. En revenant, je refermaí les rideaux; le Mari les avait laissés ouverts, & sa Femme troussée. Je me mis sur elle deculoté, bién bandant, & j'enfilaí sa fente, suçant tantôt ses tetons decouverts, tantôt ses lèvres entr'ouvertes. Elle me croyàit son Mari. Un bout de langue me chatouilla. J'étais entré tout caloté. Le filet, que je n'avais pas encore coupé, recourbait mon vit, & le fesait paraître gros comme celui de l'Epoux. Je poussaí. Ma Belle s'agita, & mon long vit atteignit le fond. Alors ma Soeur demi-pâmée, se trémoussa. Je dechargeaí,… & je m'évanouis….

Ce fut ce qui me fit reconaître. La Belle savoura les derniéres oscillations de mon vit. Mais dès qu'elle eút éprouvé tout le charme d'une copieuse decharge, elle se deconna en me jetant sur le côté; elle ouvrit les deux rideaux de l'alcove; & me regardant: "Hâ! Grand-Dieu! c'est Cupidonnet! Il m'a dechargé tout au fond! Il s'est évanoui de plaisir"!… Je revenais à moi. Elle me gronda, en me demandant, Qui m'avait appris cela? — Ta beauté (lui dis-je), adorable Soeur. — Mais si jeune-? Je lui racontaí alors toute ma vie: Comme j'avais patiné, léché le conin de Jenovefette: comme j'avais gamahuché, enfin enfilé le con soyeux de Madelène; foutu Mad. Lingüet, la croyant Mad. Bourgelat: comment Mamelasse s'était fait enconner par moi: comment ne pouvant me passer de Con, je léchotais le conichon de Babiche: comment j'avàis engrossé les trois Femmes que j'avàis enconnées. —Hâ-Ciel!… Mais tu es bién indiscret! — Je ne le suis avec toi, que parceque tu es ma soeur-aînée, que je t'aí foutue (le recit que je venais de débiter, les tetons de ma Soeur, sa chaussure me fesaient rebander), & que je vais, divine Marie, te foutre encore. — Mais mon Mari… — J'aí poussé le verrou-… Elle me pressa la tête contre son beau sein, en me disant tout-bas: — Petit coquin, fais-moi aussi Un Enfant-?… Je la re-enconnaí, j'émis sans m'évanouir. La belle Marie n'avait pas encore eú d'Enfans: je fus pére de Mlle Beauconin, fille Unique de mon Beaufrére de ce nom.

[Je passerai toutes les fouteries communes; ce n'est qu'à-force de volupté, de tableaux libidineux, tels que les savoureuses jouissances qui vont suivre, qu'on peut combattre avantageusement dans le coeur & l'esprit des Libertins blâsés, les goûts atroces éveillés par les abominables Productions de l'infame & cruel Dsds! Ainsi, je reserve toute ma chaleur, pour decrire des jouissances ineffables, audessus de tout ce qu'a pu inventer l'imagination esquisement bourrelle de l'Auteur de Justine.

V Chapitre.

Chap. Du bon Mari spartiate.

Il faut néanmoins, avant de passer aux tableaux que je viéns de promettre, rapporter en peu de mots, Une Avanture extraordinaire, que jeús, ruë Sainthonoré, à 20 ans accomplis, en fesant mon droit.

J'étais voisin vis-à-vis d'Un vieil Orlogér, qui avait Une Femme jeune et charmante. C'était sa troisième. La Première l'avait rendu parfaitement heureux pendant douze ans; c'était une ivresse. La seconde, durant dix-huit ans, à-l'aîde d'une Soeur plüs jeune, par laquelle la Dame se fesait remplacer au lit dans ses moindres indispositions, pour que son Mari ne foutît jamàis avec dégoût. Cette excellente Epouse ayant cessé de vivre, l'Orlogér avait épousé, âgé de soixante ans, la jolie, la delicieuse FIDELETTE, putative d'Un Architecte, ét fille-naturelle d'Un Marquis. La beauté de cette troisième Femme n'avait pas d'égale, pour le moëlleux ét le provoquant. Son Mari l'adorait; mais il n'était plus jeune! Cependant comme il était riche, il lui prodiguait tout ce qu'elle paraissait desirer. Mais il n'atteignait pas le but, ét Fidelette était chaque jour plûs triste. Enfin un-soir, ce bon Mari lui dit: "Mon Ange! je t'adore, tu le sais? Cependant tu es triste, ét je crains pour tes jours précieux? Tout ce que je fais ne te flatte en rien? Parle? c'est Un Ami tendre qui t'en conjure? Dis-moi ce que tu desires? Tout, tout ce qui sera en mon pouvoir, va t'ètre accordé? "Hô! tout (dit la jeune Femme). "Oui, tout, fût-ce… Est-ce à ton coeur? est-ce à ton divin conin, qu'il manque quelque-chose? "Tu remplis mon coeur, cher Mari! Mais j'ai des sens trop chauds, et quoique blonde-cendrée, mon Bijou a des demangeaisons… terribles! "T'est-il indifferent qui le satisfasse; ou aurais-tu un goût? "Sans aimer, j'ai un goût.. un caprice… Mais je n'aîme que toi. "Qui excite ta main, que je vois en ce moment chercher ton gentil petit Chose? "Tiéns? ce Voisin… qui me regarde… ét dont… je me suis deja plainte… "J'entens!… Tu as dû me trouver bién boûché!… Passe au bain, mon Ange adoré.. je reviéns dans l'instant". Il courut me trouver. "Jeune voisin? On dit que vous aiméz Mad. Folin l'Orlogère? "Ma-foi, On dit vrai; je l'adore. "Venéz. "Il en arrivera ce qu'il pourra. Alons". Il me prit la main, ét nous alames chéz Lui. "Deshabilléz-vous; passéz dans ce bain, que ma Femme quitte: Voila de mon linge. Regaléz-la en Nouvelle mariée- ou menagéz-vous pour differentes nuits; à votre choix ét au sién…. J'adore ma Fidelette: mais pour cette Epouse cherie: Je suis content, dès que je la vois satisfaite, heureuse. Quand vous l'auréz foutue, qúe son petit Connin aura bién dechargé, je l'enconnerai à mon tour, pour lui porter mon petit présent". Et il me fit entrer dans le lit où sa Femme était depuis le bain. Il s'en-alait. "Mon cher Mari! (s'écria cette timide Colombe), tu me laisses seule avec Un Inconnu! Hô! reste! ét si tu m'aimes, sois temoin des plaisirs que je ne devrai qu'à Toi"?… Et elle nous baisa tous-deux sur la bouche… Le Lit était vaste: Le bon Folin s'y mit avec nous… Je grimpai sur le ventre de la jeune Epouse, aux flambeaux alumés, au vu du Mari, ét j'enconnai roide… Elle repercutait avec fureur. "Courage, ma Femme! criait l'excellent Mari, en me chatouillant les bourses)… Decharge, ma Fille! hausse le cùl!.. darde ta Langue… ton Fouteur va t'inonder!… Toi, jeune Vit, plonge.. plonge!… Lime.. Lime-la"… Nous dechargeames comme deux Anges… Je la foutis six-fois dans la nuit, ét les deux Epoux furent très-contens de moi…… J'ai eü cette jouissance celeste ét plûs-qu'humaine, jusques aux coûches de Fidelette, qui perdit la vie, en la donnant au Fruit de notre Fouterie.

VI Chapitre.

Chap. De l'Epouse qui se fait enculer.

Je passerai sous silence mes conilleries avec ma Femme clandestine, puisque je n'ai jamais avoué ce mariage. Conquette-Ellès était Une jolie Grêlée, faite-au-tour, ayant Un Con tellement insatiable, que je fus obligé de lui mettre la bride sur le cou, & de la laisser foutre avec quî elle voudrait. Elle était fille d'Un Traiteur de la ruë Saintjacques, & soeur du libraire PetiteBeauté: Elle est morte syfillisée, longtemps après m'avoir donné deux Filles… Hâ! qu'elle foutait bién! jamais Femme enconnée n'a brouetté son Cavaliér comme Conquète!… Elle est la seule Créature que j'aye enculée, mais sur son invitation, quand sa santé fut douteuse. Elle me donna ensuite le cùl de sa Soeur-cadette, en me disant que c'était encore le sién. Et je le croyais. Mais la jeune Persone se fesant enconer, je m'aperçus de la tricherie, dont je ne témoignaí rién….. Cela fut delicieux! mais ce n'est que de la fouterie ordinaire… Quand ma Bellesoeur fut mariée, ma Femme seduisit sa Coîfeuse, à laquelle elle recomanda bién de se faire enculer, alléguant que j'y étais accoutumé. Mais cette Fille m'ayant averti dans la journée, je l'enconnaí la nuit, sans que Conquette s'en aperçût. J'eús ainsi successivement six Coîfeuses, toutes jolies, pendant douze ans, ma Femme, qui les payait, croyant me cacher par ce moyén, qu'elle avait la verole. Ce fut ainsi que j'attendis les Conins delicieux qui m'étaient destinés par la nature… C'est aprês la derniére Coîfeuse, que Conquette mourante ayant remarqué, qu'Un de mes Cadets courtisait ma fille-nièce-Beauconnin, qu'On ne voulait pas lui donner, & qu'il en était aimé, proposa à Mariette de se le laisser mettre par son Amant? Mais craignant que le Jeunehome ne pût la dépuceler, elle me dit, que la dernière Coîfeuse m'envoyait Une de ses Elèves, qu'il falait enconner, & sans parler, parceque ma Nièce couchant dans la chambre voisine, il y avait des raisons, pour ne pas envoyer l'Elève-coîfeuse dans la miénne… Pourvu que je foutîsse Un jeune Con, que m'importait? J'alaí nu au lit: je trouvaí des tetons naissans, Un Conin qui tressaillait. Je dépucelaí… J'avais enconné trois-fois, lorsqu'on vint me faire retirer. Je crus que c'était la convention. Mais ayant écouté, je fus très-étonné d'entendre éperonner de-nouveau ma Monture, & ma Femme instruire, en les encourageant, son Neveu & sa Nièce?… Je me remis dans mon lit tout-pensif… Le lendemain, je demandaí une explication à Conquette. — Hé-bién, quoi? (me répondit-elle), vous avéz dépucelé votre Nièce Beauconnin, avant que son Cousin le lui mît; parceque je craignais qu'il ne pût la déflorer-… Je fus enchanté! j'avais eú les prémices de la Fille que j'avais implantée un jour de Vierge dans le Con de la belle Marie-Lingüet. Mais je dissimulaí ma joie. C'était un excellent pronostique pour les plaisirs dont je me flatais de jouir depuis longtemps! & dont le moment approchait. J'y touche enfin.

VII Chapitre.

Chap. Du Conin au Poil-Follet.

On saít que j'avais deux Filles, ou que dumoins ma Clandestine les avait: car je me rappelle qu'elle prétendait, que ses véritables Filles étaient mortes en Nourrice, & que… & que… Elle parlait du Roi… d'une Princesse…. Mais elle était si menteuse, que ç'eût été une folie de la croire.

CONQUETTE-INGENUE, ma fille-aînée, me causait des desirs dès l'âge de dix ans. Pendant que sa Mére non encore vérolée couchait & foutait avec Un Galant, elle envoyait Conquette dans mon lit. Cette Enfant avait la plüs jolie conque. Je me fis une règle dèslors de la lui baiser tous les soirs, après lui avoir écarté les cuisses, durant son premiér sommeil. J'introduisais légèrement la langue, mais sans lècher. Je m'endormais ensuite, elle remise sur le côté, ses fesses sur mes cuisses, & mon vit pressé entre les siénnes. Dans le jour, j'enconais, ou la Maîtresse d'Un certain Mivière, Avocat, ou Une jolie Bossue toujours bién chaussée, qui demeurait dans la maison; ou Une Boîteuse des deux côtés, mais d'une delicieuse figure, & prête à se marier: Elle s'était laissée déflorer par son Futur, & depuis ce temps-là, elle ne ménageait plus un très-joli con blond. Quand ces trois Fouteries me laissaient chomer trop longtemps, je fourgonnais le vit serré entre les cuisses de Conquette-Ingénue, qui se sentant gênée, l'empoignait toute-endormie, & me fesait éjaculer. Elle avait onze ans. Elle sentit quelque-chose, & parla. On la mit dans un cabinet fermé.

Elle apprit à dessiner. Lorsqu'elle eút treize à quatorze ans, après une interruption de plüs de deux ans, je me trouvaí veuf, & elle revint à la maison. Elle coucha dans une petite chambre à-côté de la miénne.. Elle était grandie, faite-au-tour: elle avait le piéd le plüs parfait. Je la fis chausser par l'Artiste le plüs habile, sur la forme de sa Mére, qui était celle de la Marquise-de-Marigni. Puis je devins éperdúmment amoureux de mon Ouvrage.

Mais Persone jamais ne fut plüs chaste que cette celeste Fille; quoique ses Méres, soit réelle ou putative, fússent putains, & soient toutes-deux mortes de la vérole. Conquette-Ingénue ne souffrait pas qu'On prît sur elle la moindre liberté… La Providence le voulut sans-doute, pour qu'elle en fût un-jour plüs desirable & plus voluptueuse… Ainsi je me trouvaí réduit à la gamahucher pendant son sommeil, qu'elle avait profond, heureusement! Je profitais de son premiér somme, pour la decouvrir, admirer son delicieux Connin, qu'un joli Poil-Follet commençait d'ombrager, & la gamahucher moderément. Ce ne fut qu'à la dixième nuit, que je la sentis me riposter: je redoublaí les coups de langue, & elle émit…. La lumiére était éteinte, quand Ingénue s'éveilla, en disant: "Hâ! hâ! hâ! ça me chatouille! hâh!"……. Elle crut qu'elle avait rêvé. Cependant elle dagua sa jeune Soeur, couchée avec elle, de plusieurs coups-de-coude, comme si elle eût pensé que cette Enfant l'avait chatouillée.

Je me remis dans mon lit, enchanté que ma Fille eût dechargé. Cette émission me fit esperer, qu'ayant éveillé son tempérament, je pourrais l'enconner biéntôt, en faire ma Maîtresse, & me trouver le plüs heureux des Hommes. Mais que j'étais loin de compte? & combién de Vits devaient tenter de matyriser ce divin Connin, avant le mien! hêlas! il fut prêt d'essuyer Une Iliade de malheurs!….. Quoi qu'il en soit, ç'a été ma véritable inclination, la plüs constante, la plüs voluptueuse, que cette adorable Fille, qui n'a eú de Rivale, que sa Soeur… Non (je le dis, d'après l'expérience), il n'est pas au monde de plaisir comparable à celui de plonger son vit bandant, jusques au fond du Con satiné d'Une Fille cherie, surtout si remuant du cùl avec courage, elle décharge copieusement! Heureux! heureux qui cocuffie, & fait cocuffier Un Gendre également déteste de tous-deux!

Conquette-Ingénue eút ses règles la semaine suivante de celle où elle avait enfin déchargé. Ainsi elle était parfaitement nubile. Mais éveillée, je ne pouvais lui ravir aucune faveur essentielle. Ma Soeur Marie, qui me connaissait, la mit en apprentissage de Modes & du commerce de la Bijouterie, chéz Une jolie Marchande, dont le Mari était chef de Bureau; & le Bijou de la belle Conprenant me dedomagea, mais sans m'en consoler, des rigueurs de celui de ma Fille. Je le mis aussi à ma Nièce Beauconnin, alors mariée à son Cousin. Et sans ce double soulagement, aurais-je pu m'empêcher de violer la provocante Conquette-Ingénue? Eperdûment amoureux d'elle, n'osant lui prendre de-jour son joli Poil-Follet, & ne l'ayant pas la nuit, je me contentais de la faire regarder dans la ruë, par une fenêtre à large rebord; ce qui lui mettait à-découvert un piéd exquisement chaussé, une partie de la plüs belle jambe; desorte qu'en me baissant, je voyais la cuisse, & le Connin dans certains mouvemens, ou lorsqu'elle se disposait à descendre. Je bandais comme Un Carme. Mais en ce moment arrivaient à-point-nommé, ou la Maîtresse de Conquette-Ingénue, ou ma jolie Nièce Beauconnin, que j'alais enfiler dans ma chambre, après avoir dit à ma Fille de se remettre à la fenêtre, pour les voir arriver; & au-moyén de ma porte entr'ouverte, je voyais le piéd provoquant, la jambe voluptueuse de Celle qui me fesait bander, en foutant soit sa Maîtresse, soit sa Cousine.

Quatre ans s'ecoulérent ainsi; & je n'eús plus de fouteries. Alors, plüs amoureux que jamais de Conquette-Ingénue, qui était superbe à dixhuit ans, je résolus de la faire coucher quelquefois chéz Moi, en la retenant tard, sous prétexte d'une indisposition subite. Elle avait toujours le sommeil aussi profond: Ainsi, dès qu'elle était endormie, je la gamahuchais, & je la faisais copieusemt décharger. Elle avait une Motte superbe, ombragée d'un poil noir doux & soyeux. Je brûlais d'envie de le lui mettre. Mais elle s'éveillait toujours en dechargeant. Aussi me disait-elle: — Je ne fais que chéz vous de singuliérs rêves, qui me rendent toute je ne saís coment—!… La seule chose que je me permîsse, était de demander à baiser son joli piéd chaussé; quelquefois sa jambe: j'alaí un-jour, en la tourmentant beaucoup, jusqu'à obtenir de toucher le poil-satin de son Bijou: Mais elle fut ensuite si fort effarouchée, craignant que je ne parvînsse à la déflorer avant mariage, qu'elle précipita, aîdée de sa Maîtresse Mad. Conprenant, un mauvais établissement avec Un Infame. Ce fut ce que j'ai eú tant de peine à lui pardonner!… Mais la pauvre Enfant en a trop souffert… elle s'en est asséz répentie… son charmant Connin a depuis trop bién-mérité de Moi, pour que des torts de jeunesse & d'inexperience ne soient pas oubliés. J'y étais obligé dailleurs par un autre motif: c'est que je dois à cet execrable mariage d'indicibles delices (comme On va le voir), ainsi que ma fortune présente.

VIII Chapitre.

Chap. Des Conditions de mariage.

Le Dimanche suivant, Conquette-Ingénue étant chéz moi, suivant son usage, elle ne put s'empêcher de voir, que je bandais à n'en pouvoir plus! Elle tremblait pour sa virginité!… Je lui avàis baisé le piéd, la jambe; mais elle avàit défendu son connin. Tout-à-coup je me lève, & m'appuyant sur le dossiér de sa chaise, je plonge les deux mains dans son corpset; je lui prens les tetons…. Hâ! qu'ils étaient jolis!… petits, mais fermes! & d'une blancheur…. Elle ne put se dérober… Elle me déclara pourlors sérieusemt, qu'elle voulait se marier. A ce mot, je passaí devant elle, le vit à l'air et bién bandant. Elle devint rouge comme une cerise: Elle bouillait. Enflâmé d'amour & de luxure, je lui notifiaí, que je ne signerais rién, qu'à la condition de la dépuceler auparavant. Elle se recria!… Je lui pris le Con par force. Elle se recueillit, & me dit: — Signéz dumoins pour ceci? — Oui; si je te gamahuche-. Elle ne m'entendait pas. Je m'expliquaí, ajoutant: — Et jusqu'à la décharge, ou le plaisir, de ta part, inclusivement-? Elle refléchit… Puis soupirant: — Hâ! combién vous me l'avéz fait! Mes rêves étaient causés par vous-!…. Elle se mit à la renverse sur le lit, en me disant: — Satisfaites-vous! &.. ne me.. trompéz pas!… gamahuchéz.. mais je veux être pucelle le jour de mon mariage avec M. Vitnègre; c'est Un Home veuf, & Mad. Conprenant dit qu'il s'y connaît-. Pendant ce discours, je rassasiais mes ïeux dabord de la vue du plüs ravissant des Connins; de celle d'un ventre uni comme l'ivoire; d'une cuisse d'albâtre; d'un cùl de satin. — Depêchéz-vous? — J'inventorie ce que nous devons livrer à ce M. Vitnègre, & tout est bién conditionné, une chose que je te diraí exceptée. Gamahuchons-. J'etais enragé! Je la lèchais avec fureur, guettant l'instant de l'émission de sa liqueur virginale, pour me jeter sur elle, & l'enfiler. Elle émit dès le sixième coup de langue; desorte que je ne le pouvais croire. Mais biéntôt ses tremoussemens m'en convainquirent. Alors, quittant le Conin, je me jetaí sur elle. Enivrée de plaisir, il est certain qu'elle m'aurait laissé tout faire: màis son jeune Connichon, quoique bién humecté de son foutre & de ma salive, ne put être penetré. L'experience qu'il faut, pour enfiler certaines Pucelles, de la pomade ou du beurre-fraîs, ne m'était pas encore acquise… A la fin, elle me saisit le vit, pour me debusquer. Pressé de sa main douce & blanche, il déchargea, & couvrit d'Un Foutre azuré, son con, son ventre, ses cuisses & sa main. Propre comme elle le fut toujours, elle se debarrasse, & court se laver. — Qui ne dirait (m'écriaí-je) en la voyant s'éponger cùl, cuisses & Coniche, que je l'aí enconnée!… — Hâ! si vous étiéz raisonable!.. (répondit Conquette-Ingénue), ce joli gamahuchage, tant que vous voudriéz; car j'aí eú bién du plaisir! — Voila un joli mot-! Et je lui fis darder la langue dans ma bouche, Moi lui tenant le Conin. — Mais (reprit-elle), pas ce qui M'a salie, dans ce que je viéns de laver! je veux étre honnéte-femme. — Tu dois ton joli Con à ton Père, ma charmante Fille! — Si vous étiéz plûs riche, je renoncerais au mariage, & je me dévouerais à vos plaîsirs. Mais il me faut Un Mari, pour cesser de vous étre à charge-. Touché, je la baisaí des piéds à la tête, souliér, jambe, front, oeil, bouche, cou, tetons, cuisses, cùl, enfin motte, jusqu'à ce qu'elle déchargeât… Ensuite, je signaí tout ce qu'elle voulut… Elle étàit adorée, en ce moment.. Elle se maria, sans Me revoir, & M'évita pendant trois mois. Une pareille conduite Me rendit furieux contr'elle, & je juraí de la foutre & faire-foutre, si elle retombait entre mes mains, Mille-&-Une-Fois, avant que de lui pardonner!… Mais savais-je alors qu'elle était malheureuse?

IX Chapitre.

Chap. Des Dedommagemens.

VICTOIRE-CONQUETTE, ma seconde Fille, était en Province, depuis la mort de sa Mére, chéz sa Tante Jenovefette, alors mariée avec son derniér Entreteneur. N'ayant plus de Con à ma devotion, je redemandaí Victoire. En attendant qu'elle arrivât, je m'accomodaí de deux petits Conins encore imberbes, ou dumoins à Poil-Follet, que je parvins à perforer, en les pomadant. C'étaient la Soeur & la Maîtresse de mon Secrétaire, qui lui-même Me les livra, comme On le verra par la suite. Nous foutions jusqu'à sa vieille Bellemére; ne voulant pas aler aux Putains.

Dès que Victoire fut arrivée, je la fis chausser comme sa Soeur, à talons minces-élevés; & cette Enfant, qui atteignait quinze ans, me fit autant bander que son Aînée. Mais je ne cherchaí pas à la déflorer, elle ne me servàit qu'à Me mettre en humeur, & à me faire enconner plûs vigoureusement & Minone, & Conette, Soeur & Maîtresse de Traìtdamour mon secrétaire, ou leur Bellemére. Pour cela, quand Victoire rentrait parée, chaussée, je la saisissais par la jupe, & je l'asséyàis sur mes genoux, à-crû, Moi deculoté, quand je le pouvais: je me fesais caresser, donner de petits coups de langue. Si j'étais à-crû, mon vit lui alait entre les cuisses comme le batant d'une cloche: si elle n'était pas troussée, comme elle était fort-innocente, je Me fesais empoigner le vit, en lui disant: "Mignone, serre-moi le doigt, fort! fort"! Minone, Conette, ou la Bellemére arrivàient toujours, Traìtdamour en alant chercher Une, dès qu'il me voyait m'enfermer avec Victoire: En les entendant, je remettàis la charmante Enfant dans sa chambre par une porte-derobée; j'ouvràis, & je foutàis delicieusement, les couilles chatouillées par Traìtdamour. Il enconnait ensuite la Même, Soeur ou Bellemére, & je lui maniais les couilles.

Je Me seràis contenté de cette vie pendant longtemps, quoique toujours amoureux de Conquette-Ingénue, devenue Mad. Vitnègre, si mes Soeurs Marie & Jenovefette n'eússent trouvé indecent que je gardasse Victoire seule chéz Moi. Elles M'obligérent à la mettre en apprentissage pour le linge, chéz des Devotes qu'elles M'indiquèrent. Mad. Beauconnin l'y conduisit. Heureusement que la chère Fanfant M'avait, depuis quelques jours, donné la conaissance d'Une grande & superbe Femme-separée, son Amoureuse éperdue, sans que la naïve Victoire s'en doutât, & que cette Belle-femme M'en croyant amoureux aussi, foutit sous Moi avec fureur. Car elle M'appelait alors son Papa, & Me disait: — Enconne; enconne… enconne ta… provocante Victoire! ta… passionnée, ta… tendre Fille-!

X Chapitre.

Chap. De l'infame Mari.

Mais le moment approche, où je dois recouvrer Conquette-Ingénue.. Mon desir le plûs vif, même dans les bras de Mad. Moresquin (l'Amie de Victoire), était de faire Vitnègre cocù! Un-jour, ma Conquette me rencontra sur le pont-Notredame. Elle étàit malheureuse: elle vint se jeter dans mes bras. Je fus si ému, que toute mon anciénne colère s'évapora. Ma delicieuse Fille était encore embellie dans les douleurs. Mon premiér mouvement fut de lui prendre le con. Mais nous étions dans la ruë… J'alaí la voir dès le lendemain-soir, à l'heure où elle M'avait dit que son Mari, ou plütôt son Monstre, n'y était jamais. Je la trouvai seule en-effet; & dès cette premiére visite, elle m'avoua qu'elle avait Un Amant. Ravi de cette confidence, qui M'annonçait le cocúage de Vitnègre, je la flatái, je l'amadouái; je l'engageái à se le laisser mettre par Timori (son Galant). Mais je compris biéntôt que c'était des deux côtés, un amour absolument Platonique, où Conquette-Ingénue se consolait auprès d'un Bandalaise, des brutalites d'un Débaûché. Elle aimait à parler de son Amant: Et comme j'étais le seul, avec quî elle le pût en sûreté, que je promis de leur procurer des entrevues, je fus cheri.

A la seconde visite, Conquette me découvrit quelques infamies récentes de Vitnègre. Un-jour qu'elle se baissait, pour ramasser quelque-chose, il lui fit prendre le con par Un de ses Amis. Elle s'écria. — Ce n'est rién qu'un con de pris (dit froidement Vitnègre)… (à son Ami): — Ne t'avais-je pas bién dit, qu'elle avait le poil du con plús satiné que de la soie?… Hé-bién, le dedans est plús doux encore-… Conquette voulut se retirer. Il la retint brutalement, la fit mettre sur lui, la troussa jusqu'aux cuisses, & lui tint le con, s'efforçant de le faire voir, ou de la branler, pendant tout le temps qu'il fut à raconter, combién, quand elle le voulait, elle donait de plaisir à son Caresseur. — Mais (ajouta-t-il), elle est comme les Putains; il faut la rosser, pour lui faire-faire son devoir-. Il voulut ensuite lui decouvrir la gorge. Elle s'échappa. Mais il l'atteignit d'un coup de piéd…. Quelques-jours après, le Meme étant venu dîner, après le caffé, Vitnègre s'étant aperçu que sa Femme, après avoir pissé, avait fait bidet, dit à Culant son ami: — Voila un con bién propre! il faut le gamahucher tous-les-deux, d'adresse ou de force? Mais dans ce derniér cas, ne t'étonne pas du bruit!… Pour le premiér, voila une cléf; elle ouvre la porte du cabinet qui donne sur le corridor. Tu entreras, quand lassé, je dirai très-haut: — Alons, Madame, faites-moi beau con, & recommençons-. Et donne-t-en! car je voudrais que toute la Terre foutît la Garse: elle n'est pas asséz large-… Conquette fut rappelée. Le Mari la fit asseoir au milieu devant le feu, mit à l'air son vit, ses couilles de Mulâtre, & dit à son Ami d'en faire autant. Comme il hesitait: — Decùlote-le tout-à-l'instant, Bougresse, ou je t'arrache les poils du con à la poignee-! Et il y porta la main. Elle fit un cri. Culant mit aussitôt à l'air son vit & ses couilles, en demandant grâce pour elle. — Alons, Bougresse, branle-nous tous-deux, Un de chaque main?… Je suis son Maître (ajouta le Scelerat); elle m'est abandonnée-. Conquette pleurait. L'Ami demanda encore grâce pour elle… — Hé-bién, qu'elle me suce le vit, là, à-genoux devant moi, que je lui decharge dans la bouche? Je dechargeais dans celle de ma première Femme, qui en est morte, & c'était mon delice. Culant observa, que ce serait gâter la plús jolie des bouches. — Hé-bién donc, je vais la gamahucher. — Je banderais trop! (dit Culant): passéz dans ce cabinet-. Vitnègre y poussa Conquette, & se substitua Culant. Puis il sortit pour aler jouer. Culant gamahucha, & n'osa foutre Conquette, ayant le vit si petit, qu'il ne pouvait être pris pour Vitnègre. Mais il dechargea six fois, & Conquette le double. Il se retira, en lui donnant un coup-de-poing, afin qu'elle fût persuadée que c'était Vitnègre. Mais le soir, à sa rentrée, le Monstre dit à sa Femme: — Hé-bién, Bougresse? as-tu été asséz gamahuchée? ce n'était pas Moi; je ne t'aurais fait l'honneur de decharger six fois; c'était mon Ami. Mais, Garse, tu l'as reconnu, puisque tu en as dechargé douze, & que tu ne bandes pas pour Moi. Et le bon coup-de-poing qu'il t'a donné, héin? l'as-tu senti? (l'Infame éclata de rire). Alons, Garse de bâtarde d'Avocat, te voila putain; j'entens que ton con me rapporte-. Effrayée, Conquette se promit de le quitter. Ce fut le lendemain qu'elle me rencontra, & de ce moment elle prit de la fermeté contre le Monstre

Ce recit de ma Fille, quoique plûs gazé dans sa bouche, m'avait revolté! je lui promis un prompt secours…. Mais en-même-temps il me fesait bander en Carme, comme tous les recits de brutalités libidineuses. Je demandái des faveurs? On rougit; mais On Me laissa baiser un joli souliér vert, qu'On portait pour la premiére-fois. Je M'en tins là. Cependant à la visite du lendemain, je glissái en riant, une main dans son dos; insensiblement j'en vins aux tetons, qu'elle defendit, mais qui me restèrent enfin. Je me fis ensuite donner de ses cheveux; puis voulant voir jusqu'où je pouvais la mener, sans l'effaroucher, je la tourmentaí pour avoir une petite touffe des poils de son con soyeux. Elle me la donna; mais en tremblant que son Mari ne s'en aperçût! Pour la remettre, je la fis parler de son Amant; & pendant cet entretién, de libertés en libertés, je parvins au con. Elle était si parfaitement á son sujet, que je crois en-verité qu'elle s'imagina que c'était Timorì qui lui tenait la motte!… Je lui dis, en la patinant, que je lui avais trouvé une pension, pour quand elle aurait quitté Vitnègre. Elle rougit de plaisir, & m'embrassa. Je lui dardaí ma langue, & elle me fit sentir la sienne… Ravi, j'alais lui demander le Recit de la Maniére dont elle avait été depucelée? Quand Vitnègre s'étant fait entendre, je me jetaí dans le cabinet obscur, me proposant de m'évader par la porte du coridor. Mais je fus étrangement surpris de voir un Moine introduit par cette porte! Il ne m'aperçut pas; je me cachaí derriére un grand sofa. Vitnègre entra aussitôt par la porte de la pièce que je quittais. — Mon Reverend-Pére, vouléz-vous la foutre avant dîner-? Le Moine, qui devorait des ïeux la belle Conquette à-travërs les vîtrages, parut concentré… Aubout d'un moment, il repondit:

XI Chapitre.

Chap. Pucelage des iné aux gros Vits, pris par un petit.

— Non: Comme nous en sommes convenus, passéz dans la chambre éclairée; faites-moi voir, en badinant avec elle, tetons, cùl & con: je me reserve pour la nuit. — Hô! ce coup-ci serait pardessus le marché. — Non: j'aime à foutre au lit, à suçoter langue & tetons; à enconer, enculer, entetonner, &c. à mordre, arracher les bouts… Aléz… Ayéz le vit à l'air, & qu'elle soit bién chaussée… De la brutalité-! Vitnègre rentra deculoté auprès de sa Femme toujours tremblante devant lui. Alons, Bougresse, il me faut du plaisir? Voi comme je bande, à la vue de ce joli soulier vërt?… J'aí entendu hier un Jeanfoutre derriére toi, qui disait, qu'il aurait voulu decharger dedans… A-bas ce fichu, que je voye tes tetons.. Comme ils sont jolis! blancs!… fermes! Hâ! Garse! j'arracherais ce joli bouton, si je ne craignais de les gâter!… Marche…. Quel tour de croupion foutatif!… Troussée, Putain, audessus des reins & du nombril, que je voye ce mecanisme-là?… Marche en avant, présentant le con… Retourne-t-en montrant le cùl… Hâ! le joli mouvement!… Continue, Garse-à-cul & à con, jusqu'à ce que je te dise, Hôla… (Elle fit ainsi cent tours, montrant alternativement son cùl, son con)… Cependant le Moine disait: — Ce Bougre là n'a pas le vit si gros que moi, & il n'a pu la depuceler! Hô! comme elle criera cette nuit!… Mais je n'y tiéndrais pas; je la tuerais; elle crierait à faire venir le Voisinage… Je m'en-vais-. Et il sortit doucement, en murmurant: Elle est à tuer; elle le sera-!… Au même instant Vitnègre dit, Hola, Garse engarsée-. Et il vint dans le cabinet. — Qu'en dites-vous? (dit-il): la vouléz-vous essáyer? Je bandais à n'en pouvoir plus; je répondis bién bas pour le Mone. — Oui-. Vitnègre ala chercher sa Femme; & la poussant brutalement, — Alons, de-par-Dieu, Garse, Putain, que je te foute… Hâ! comme tu vas crier! Mais songe, s cré Conin de Poupée, à ne pas faire venir ici les Voisines! ou je les laisse tous entrer, sans me deranger de sur ton sacré ventre-!… En achevant ces mots, il me la renversa troussée sur le foutoir mis là exprès, & se retira. Je me précipitaí sur ma Fille, qui se sentant enfiler presque sans douleur, ne criait pas. — Crie donc! (lui dis-je bién-bas). Et elle cria à-tue-tête, en se reconnaissant enconnée par un Etrangér. Dès que j'eús dechargé delicieusement, en lui fesant osciller le con, je m'échappaí, avant que les Voisines arrivassent; & comme elle continuait à crier, je les envoyaí à son secours. On la trouva debout. — C'est ma Femme que je baisais (dit Vitnègre). Regardéz y; il en est encore tout barbouillé. Mais elle est du naturel des Chates; elle mord & crie, quand On la fait bién-aise-. Les Voisines rirent, & se retirèrent. Vitnègre dîna, & fut asséz honnête; il craignait que sa Femme n'eût connu qu'elle était foutue par un Moine, & qu'elle ne parlât.. Je dînais dans un cabaret en face. Je le vis sortir, & aussitôt je retournáí chéz ma Fille, qui me conta tout. Je me tus dabord.

Je lui fis raconter la manière dont je croyais qu'elle avait été depucelée; parceque ce recit avait du haut-gout pour moi, & qu'il me ranimerait asséz, pour me la faire foutre encore. Elle le fit, dès que je l'eús mise en goût, en lui rapelant de son Amant.

— Notre première nuit et les trois suivantes, ont valu chacune cinq-cents louis à Vitnègre, à ce qu'il m'a dit par la suite. Dès que nous fumes arrivés à sa demeure, il alluma quatre bougies, qu'il mit autour du lit, sur lequel il me renversa troussée jusqu'aux reins. Il me tourna, retourna, m'examinant, me baisant partout: Il me fesait lever les jambes en l'air, puis mettre debout sur le lit. — Remue du cul (me disait-il), ainsi, ainsi (me montrant), comme si je te foutais-. Je lui observai, que cela était indecent. — Bast! une Femme est la Putain de son Mari-… Il me gamahucha. Il s'écria de toutes ses forces: Elle decharge-! Et il me fit empoigner son gros membre, de la couleur & de la grosseur de celui d'un Cheval. — Alons! alons, que je te foute, à-présent-. Il se jeta sur moi. Mais il ne put rién. — Foutre! Celles qui disent que ton Père t'a depucelée, sont des Garses! tu es pucelle comme quatre. Je voudrais que tout le monde fût-là, pour en étre temoin-…… Il me pomada… devant, derrière. Il éteignit les bougies (mon pucelage était vendu), & il parut se coucher. Mais ce fut Un-autre; car toute la nuit je fus tourmentée par un gros membre, qui ne put rién-… [Depuis le mot de son recit, Elle decharge! elle decharge! j'avais glissé une main entre les cuisses de ma Fille, sans qu'elle s'en plaignît. Ici, je lui hâpái le Con. — Hâ! Papa! ne me menagerez-vous donc pas plûs que les Autres, un-jour où… j'a été depucelée! — Depucelée! hâ! celeste Fille!… Est-il bién vraì? — Jamais On n'est entré… dans ce que vous me tenéz… qu'aujourd'hui! — O Fille adorée! je suis un Dieu, & non pas un Home… Mais tu m'as fait trop bandér: ta précieuse faveur?… ou.. j'aurais… une colique spermatique épouvantable-! Et je l'enlevái vivement dans mes bras; je la portai dans le cabinet obscur.

XII Chapitre.

Chap. Du plus delicieux des Incestes.

— Vous voila tous! (me dit-elle); & mon Papa lui-même ne me rechèrche que pour ce trou-là! — Et pour ton cùl, tes tetons, ta bouche, tes ïeux, ta tâille voluptueuse, ton tour provocant, ta jambe, ton piéd foutatif, ton âme naïve & virginale, malgré tout ce qu'on a fait, pour te rendre putain-. En parlant ainsi, je la troussais par derrière, courbée qu'elle était sur le foutoir, & je me disposais à le lui mettre en levrète: mais il la falut pomader. Elle reprit: — Mais c'est ma faute! ces recits-là enflâment tous les Hommes: Timorì n'a été prêt à me deflorer qu'une seule-fois; & ce fut après ce même recit moins detaillé-. Cependant elle faufuyait, pour que je ne l'enfilasse pas. Je m'en plaignis tendrement: — Tu veux donc me rendre malade, ma chère Fanfant-? Elle s'attendrit; ses beaux grands beaux ïeux bleus devinrent humides: elle se cambra, pour me l'inserer elle-même, & me dit, en me secondant, malgré quelque douleur, adoucie par la pomade: — Quand ma Soeur & moi nous voüs l'avons vu tant de fois mettre ainsi à ma Mère, sur le piéd de votre lit, vous criiez de plaisir!…. n'aléz pas en faire autant! Vitnègre peut revenir-? Je lui promis le silence, telles delices que j'éprouvasse… J'enconnais. Ma Belle fesait de petits mouvemens de contraction du Conin. Jamais satin ne fut aussi doux que l'interieur de ce Conin celeste: Conin encore imberbe n'est pas plüs étroit! — Hâ! si ton Gueux avait connu le prix de ton divin Con, il t'aurait defoncée, eússes-tu dû en perir. — Non: comme il l'a trop gros, il craignait de m'avachir: Il se branle, ou me fait le branler, en me tenant le poil, ou une fesse, & decharge… en… blasphemant-. (Elle se contracta, et dechargea). Je partis alors delicieusement, en me recriant, malgré ma promesse. — Remue du croupion (ne cessais-je de dire), remue du Conin, mon Ange?… Bon,.. bon!.. encore? encore-?… Et elle se contractait, en redechargeant, au-point que le fond de son Con me pinçait, & me suçait le bout du vit…. Je dechargeai trois-fois, sans deconner: & elle, peutêtre dix-fois. Ce que je sentais à ses tremoussemens convulsifs. Enfin, elle se pâma… Je deconnai, dès qu'elle cessa d'émettre. Elle se lava aussitôt, craignant que Vitnègre, en arrivant, ne lui prît & ne lui flairât le Con, suivant son usage, même devant le monde qu'il amenait.

Pour nous reposer, nous alames causer à la lumière. Je lui revelai là toute l'avanture du Moine, pour lequel Vitnègre lui avait fait si longtemps tenir en vue tetons, cùl, Conin: je lui peignis la grosseur du vit du Moine, le double de celui de son Monstre: la joie barbare qu'avait marquée l'execrable Moine, à-côté duquel j'étais caché, de la pourfendre & de la tuer, la nuit prochaine, avec son vit comme un timon de carosse… Elle se jeta dans mes bras: — O mon cher Papa? sauve-moi? & je te suis devouée à jamais? — Je te sauverai.. Je lui expliquai comment, & pourquoi le gros Moine s'en était alé; l'assurant que je l'aurais poignardé, s'il avait entrepris de la violer sur-le-champ. Je lui detaillai comment son abominable Mari me l'avait livrée, comptant la donner au Moine, auquel elle était vendue. — Tu sais, ma ravissante Fille comme je te l'ai mis? c'est moi, contre tout espoir & toute vraìsemblance, qui ai ravi à nos Ennemis, ton celeste pucelage-?

Conquète me donna un joli baisér sur la bouche. — Mais comment me sauveras-tu? — Je viendrai te prendre dans une heure; je t'emmènerai; tu coucheras dans ta pension: Aussitôt que tu seras en sûreté, je ferai entrer dans le cabinet obscur, avec ta cléf, & coucher dans ton lit, la jolie Putain du Port-au-bléd, deja prévenue, comme pour y coucher avec moi. Je guetterai: Dès que Vitnègre & le Moine seront arrivés, je m'échapperai. J'écouterai; et nous verrons demain-. Ma Fille fut ravie.. Je la sauverai: mais j'aurais dû l'emmener au moment même. Aulieu de cela; je m'amusai à lui faire raconter la seconde et la troisième nuit de son mariage.

XIII Chapître.

Chap. Du Con & du Cul vendus.

Voici comme ma celeste fille reprit la narration que je désirais:

— Le second soir, Vitnègre recomença les mêmes choses. Il me prenait legèrement la gorge: — Ferme comme un gland-! (disait-il)… Il me plaçait comme s'il m'avait montrée à Quelqu'un (ce qui n'était que trop reel!) Après avoir mis en vue ma Conque, il me tournait pour faire voir mes fesses. — Elle est encore pucelle (dit-il, comme s'il se fût parlé à lui-même): pour la perforer, il faudrait la pomader en diable, & se pomader à soi-même le v…-. Il me gamahucha violemment; & quand j'eús émis suffisamment, selon lui, il me laissa reposer. Après un court sommeil, je m'éveillai couchée sur le ventre, ayant sur moi un Homme, qui s'efforçait de m'introduire dans le fondement un fort gros membre. Mais quoiqu'il n'eût aucun égard à mes soupirs douloureux, il ne put jamais s'ouvrir le passage par la rosette de mon anus (ce fut son expression, prononcée très-bas à Quelqu'un). J'entendis ensuite, dans cette pièce-ci: — Il faudrait qu'un v… moins gros que le mién, me la fraye… Voyons, toi! Trop gros, de beaucoup-!… Je n'y comprenais rién. Je m'endormis, & ne m'éveillai plus.

Le lendemain, dans la journée, Vitnègre m'ayant beurré la rosette, & plongé son membre dans l'huile d'olive, me fit coucher sur le ventre & retrousser. Il se mit sur moi, en disant: — Il faut que j'en tâte de ce ragoût de Bougre-. Je lui représentai, qu'il m'avait essayée toute la nuit. — Ça va jusqu'à toi (me repondit-il), & ça te passe…. Hâ! que d'argent me vaudraient ces deux Bijoux-là, s'ils étaient connus-! Il fit tous ses efforts, me martyrisa deux heures durant sans succès, & finit, parcequ'une copieuse dech—ge… lui ôta sa roideur & ses forces….

Le troisième soir, il repeta encore tout ce qu'il m'avait fait… A mon reveil, dans mon premiér somme, je me trouvai sur le dos, ayant un Homme sur moi, qui m'attaquait le Bijou de toutes ses forces. Je m'écriai! Vitnègre me dit: "Decharges tu, ma Fille"? On me quitta, & Vitnègre ajouta: — Si tu cries comme au feu, dès que je voudrai te le mettre, nous voila bién!.. Alons, empoigne-moi le vit, que je dech—ge… Chatouille-moi les coui-les de l'autre main… Tiéns, comme je fais à ton C-n. Va, va, va… vaah-. (Il ne m'appelait encore ni Putain, ni Garse; ce ne fut qu'aubout de six semaines). Mais ce n'était pas lui que je maniais; j'en ai fait l'observation depuis. On émit six fois de suite, je secouai cet Homme plûs d'une heure. Il en fut une autre à me gamahucher. Je n'en pouvais plus!… Il me fit ensuite lui pisser dans la bouche, & n'en perdit pas une goutte, il avala tout. Il me laissa enfin…. Si je n'avais pas été dans une securité parfaite, je me serais bién aperçue, que Vitnègre le reconduisait, en disant. — L'operation, l'operation-! Mais me doutais-je de rién?…

Je rebandais, malgré quatre decharges, et deja je disais à ma Fille: — Conin celeste, je n'en puis plus?… Je ne te cacherai pas, ma delicieuse Amie, qu'outre ma passion pour toi, qui est inexprimable comme ta beauté, j'ai un excitatif puissant: c'est de faire cocu Vitnègre. Je voudrais, s'il était possible sans triturer tes charmes divins, que toute la Terre te passât par le con, pour qu'il fût le cornard universel… Viéns me donner le bonheur-? Et je l'emportais, quand nous entendimes tourner la cléf. Je me cachai aussitôt dans le cabinet obscur.. C'était Vitnègre, qui rentrait avec un Jeunehomme. Nous entendimes clairement, qu'il lui disait avant d'entrer: — Tu as le Vit cumme il le faut: c'est ce qui me fait te donner pour six bougres de louis, un pucelage qui en vaut mille. Il est essenciel que je te surprènne, et veuille la tuer: Tu me supplieras, et je n'accorderai sa grâce, qu'autant qu'elle te secondera, pour l'enconner. Mes gros Vits s'ennuient de ne pouvoir la Foutre ou l'Enculer. Ils me paient une grosse pension: Aussi je la nourris bién, et tu vois comme elle est mise. Tu me l'enconneras dabord: c'est le plus pressé: Demain, tu l'enculeras. Sache que son Mari l'adore; s'il la rudoie, c'est pour la rendre souple à toutes ses volontés. Elle me vaut trente-mille francs, en trois mois de mariage. Entrons: elle va te ravir: mais point de pitié-? Tel fut le discours du Monstre…. Je poussai Conquette devant moi; je la conduisis à sa pension, d'où elle revint avec moi. Il était nuit. Je pris Conillette la putain, arrangée, appetissante. Conquette nous précedait. Rassurée par ma présence, elle ouvrit le Cabinet obscur. Elle entra. Nous la suivions. Je dis à Conillette de s'étendre foutativement sur le pied du lit… Cependant ma Fille se présentait. Elle fut reçue avec transport? Le Jeunehomme, appelé Lenfonceur, et Vitnègre lui-même, la couvrirent de louanges. On ne lui baisa que la main. Vitnègre neanmoins, qui (de même que les trois Fouteurs à gros vits, et le Moine), était fou de sa chaussure à talons minces élevés, lui baisa le piéd. Il lui dit ensuite: — Ha-ça, ma Fille, alons-y par la douceur: Il serait malheureux pour moi de renoncer à te le mettre: il faut se faire une raison: mon Vit est trop gros: non préparée, il te dechirerait: Voici un vit mieux proportionné, qui va te perforer, sans decharger: ainsi percée, mon gros Vit penetrera cette nuit au fond de ton con: Voi-moi ce vit-là-?… Et il mit à l'air le vit de l'Enfonceur, ou plütôt de Timori… Il falait que Vitnègre eût decouvert, on ne sáit comment, l'inclination de sa Femme inspirée par le beau Blond, pour en user come on va le voir.

XIV Chapitre.

Chap. Le Jeunehomme, la Fille, le Moine.

Ma Fille, en reconnaissant son Amant, que son Mari lui amenait pour l'enconner, avait rougi de pudeur, ou de desir. Elle trouva moyen de venir à moi, pour me dire: — Faites disparaître la Fille; on ne l'emploiera que cette nuit-. Je vis bién qu'elle voulait être foutue par son Galant. Je cachái la Putain. Voici maintenant le recit de ce qui va se passer:

Dès que Conillette se fut comodément arrangée derrière le grand sofa, Conquette retourna auprès des deux Homes, qui la rapportèrent au foutoir, assise à cùl-nu sur leurs mains unies. "Alons, ma Petite Garse de Femme, (lui disait Vitnègre), tu vas pourtant être depucelée, foutue! Mais ce n'est rién! c'est quand tu auras Un gros Vit, cette nuit"!… Il la troussait, l'arrangeait. "Lenfonceur, que je te mette le vit dedans? "Non, non; ma Belle se le mettra elle-même, "Tu as raison: Il faut qu'elle s'y accoutume". Vitnègre sortit, ét j'observai qu'il laissait la porte ouverte. J'en augurai quelque noirceur: Mais j'étais là… Timorì, bién-bas, dit à ma Fille: "Vous le mettrai-je, ma bonne Amie? "Non, non! il est alé chercher des Ecoutans [ce mot glaça Timorì]. "Mais il vous estropiera? "Je ne couche pas ici". Alors l'Amant satisfait, se mit à la gamahucher doucement. Cependant la Voluptueuse dechargea…

Elle était aux Anges, quand j'entendis Vitnègre revenir. Je crus qu'il amenait le Moine. Il entra, passa rapidement, suivi de trois Voisines, auxquelles il disait, — Je vas vous montrer-ça-. Effectivement, il Leur montra que que-chose dans sa chambre… Cependant mon amoureuse Fille, gamahuchée par Un Amant aimé, fit un profond soupir. Les trois Voisines prétèrent l'oreille. "Ce n'est rien (dit Vitnègre); ma Femme est rentrée, ét je ne le savais pas. C'est pour elle cette étofe-là. "Hô! il faut la Lui montrer! (s'écrièrent les trois Voisines). Le Monstre retint Celle qui alait La chercher. Il prit la lumière, en disant. "Je vais auparavant voir si elle ne dort pas". Il ne fut qu'à la porte, où il s'arrêta d'un air de surprise ét d'horreur!… Il recula. Mais les trois Voisines avaient vu comme lui, pardessus son épaule, Conquette troussée, étendue à la renverse sur le piéd du lit, la tête d'Un Homme entre ses cuisses… Il Les fit sortir par le corridor, en se frappant le front…

Il avait rempli son but. Si sa Femme criait pendant la nuit, les trois Voisines, qui se croyaient bién au-fait, y mettraient les Autres: Sì Mad. Vitnègre perissait écalventrée par le timon du Moine (qui étant extrêmement riche, devait La payer 60-mille francs, ét qui en avait deja tué plusieurs, choisissant toujours les plüs étroites), ce serait la Morte qui aurait tort… Cependant Vitnègre rentrait auprès des deux Amans, qui avaient changé de position: Lenfonceur, après avoir dechargé par terre, s'était remis sur le ventre de ma Fille: "Hé-bién? (dit l'infame Mari), est-elle enfilée? bién enconnée?… Dechargéz vous? decharge-t-elle? "Nous avons dechargé (repondit Timorì-Lenfonceur). "Je vas sortir (reprit Vitnègre): Ramone-la moi encore pendant une bonne demi-heure, que je serai dehors… Et ne vous étonnez pas de ce que vous aléz entendre: J'ai mes raisons". Il ala dans le corridor, dont il ouvrit doucement la porte, ét se mit à crier sourdement, comme s'il avait bourré sa Femme à coups-de-piéds, "Hâ Garse! hâ Putain!… Tu fous, sacrée Salope! Quand je suis sorti, tu raccroches!… Je vais chéz le Commissaire"! Il ouvrit la porte bruyamment, ét la referma de-même. Mais il dit tout-bas, avant de s'éloigner: "Remue du cùl, ma Petite Femme!… Courage; Lenfonceur! fraye-moi la bién"!

"Voila un rusé Scelerat! (dis-je à ma Fille, pendant que Timorì observait la sortie de Vitnègre): Le Moine t'aurait tuée, ét il ne neglige rién pour motiver ta mort. "Sauvons-nous! (me dit-elle). "Non, non: nous sommes asséz pour te defendre. Feins à Timorì que j'arrive-… Le Jeunehomme rentra. "Voici mon Papa, arrivé a-propos! "Hâ-oui! (repondit Timorì), sa présence pare à tout; car j'alais proposer de nous enfuir. Mais à-présent, voyons ce qui arrivera". Je Lui montrai Conillette, ét je lui fis entrevoir notre plan, que Timorì trouva merveilleux!… Le temps s'écoula vite. Nous entendimes revenir. Timorì reporta la lumière dans la chambre; nous nous cachames ma Fille ét moi; tandis que le Jeunehomme s'étendait sur le ventre de Connillette troussée… "Que ton vit ne m'approche pas! (lui dit-elle), je suis gâtée; que tes couilles ne me touchent pas le poil; jai des Morpions-!….. Vitnègre entrait, suivi du Moine, que le Voisinage aux fenêtres prit pour le Commissaire.

XV Chapitre.

Chap. Du Fouteur à la Justine.

Le Moine ôta dabord sa robe. Mais nous l'avions tous vu. Il mit ensuite à l'air un vit, si monstrueux, que ma Fille tremblante m'étreignit dans ses bras "Hô! qu'il est gros (dit Vitnègre). "Il a tué deux de mes Soeurs Religieuses, qui avaient fait chacune deux Enfans de notre Prieur: J'ai tué toutes les Femmes que j'ai enconnées: il n'y a que ma Mère que je n'ai pas écalventrée; mais je n'eüs pas de plaisir; La Vieille Garse ne saigna presque pas! j'eüs peu de plaisir… Pour ta Femme… hâ. quelle rage!… Mais elle est foutue… elle sera morte avant que j'aye achevé de l'enconner… Je l'enculerai expirée… Je t'en apporte le prix: 60-mille francs en billets de la caisse…. Vitnegre le compta; les serra. "Si je pouvais l'enconner une pauvre fois! "Tu te fous de moi!… Apres, après: elle sera encore chaude"…. Je fremissais! et comme j'avais deux Pistolets chargés, je fus tenté de brûler la cervelle à ce Monstre: mais il alait avoir la verole… "Vouléz-vous, avant qu'elle soit abîmée, lui voir le con? sa jolie figure? "Non! cela m'amollirait le vit…. Conduis-moi sans lumière". Ils vinrent à tâtons.

Vitnègre précedait, pour éloigner Lenfonceur. Trouvant une Femme seule, ét troussée, il voulut Lui mettre, en soupirant, sa langue dans le Con. Elle L'en empêchait, quand le Moine faillit de l'écrâser, en tombant sur la Fille. Vitnègre fut obligé de se retirer a quatre — Le 1ér acte du Père Foutàmort (comme Vitnègre Le nomma), ce fut de mordre le bout des tetons de sa Monture, en Lui dardant son engin, qui ne pouvait entrer dans ce vaste Con, encore élargi par une éponge, que la Fille venait d'en ôter. Conillète fit un cri perçant! et se sentant dechirer le Con, elle voulut se derober, en égratignant des deux mains. Foutàmort, qui savait bién qu'elle ne pouvait en échapper, ét dont le plaisir était d'autant plüs grand à tuer une Femme, qu'elle était plüs belle ét plüs étroite, ne la menagea pas: tout en l'écartelant, il lui arracha le bout des seins avec ses dents. Un profond évanouissement, ou la mort, fit cesser ses cris… Je me repentis de n'avoir pas dabord tiré un coup de pistolet à bout-portant dans la tête du Moine… Mais les Voisins au bruit auraient peutêtre enfoncé les portes: ce fut ce qui me retint… Foutàmort parvenu au fond du Con de la Fille écalventrée, dechargea enfin en jurant ét rugissant.

"Fous un coup (dit-il à Vîtnègre), avant que j'encule la Garse"? Le Scelerat vint: mais sentant un cadavre plein de sang, il se retira. "Elle est morte! (dit-il). Foutàmort la tâta: "Non; le coeur bat encore: vite que je l'encule". Le cùl de Conillète était bién plüs étroit que son con; le Moine haletait. Il en vint cependant à-bout: car il dit à Vitnègre: "Je n'ai fait qu'un trou des deux". Et il dechargea horriblement!…..

Ma Fille épouvantée, m'étreignait par le milieu du corps. Vitnègre pleurait: "Ma pauvre Femme! je t'ai livrée à ton Bourreau! "Ne te L'ai-je pas payée? (dit le Moine): Elle est bién à moi… Ainsi, va te coucher, ét fous tes 60-mille livres: tu me gênes. Pour moi, pendant qu'elle est encore chaude, je vas, pour mon argent, foutre cinq à six fois le cùl ét le con de ma Putain". Vitnègre ala se coucher dans un petit cabinet, où il s'enferma.

Aussitôt Foutamort s'acharna inépuisablemt sur sa Victime expirée…. Enfin épuisé, il ala chercher la lumière, pour en repaître ses cruels regards… J'ai dit que la Fille était jolie. "Elle est belle encore! (dit le Monstre): Mais la figure de la Putain est toute bouleversée; elle ne se ressemble plus à elle-même… Il lui regarda le Con, en lui soulevant le cùl… Il la laissa retomber, en éclatant de rire: "Ma-foi, la Gueuse n'a plus qu'un cùl, ou qu'un Con… je ne sais lequel… Mais est-elle bién morte"?… Il la deshabilla, l'emporta nue dans l'autre pièce, la mit sur une grande table; ala prendre un vaste saladiér; tira un bistouri [Nous Le voyions par la cloison vîtrée]: "Decharnons-La". Il lui cerna la partie charnue des seins, la motte tout-entière, la chair des cuisses; lui fendit le ventre, lui arracha le coeur, les poumons, le foie, La vessie, La matrice; La retourna, Luî enleva la chair des fesses, lui coupa les piéds chaussés, qu'il mit dans une poche, les mains, qu'il serra dans l'autre. Il La retourna encore; Lui coupa la langue, la tête, ôta la chair des bras. Il vint ensuite chercher sa chemise ét un drap du lit, en disant: "Voila un bon regal pour nos Moines ét pour moi". Le terrible Anthropophage mit le saladiér dans la chemise; ensevelit le corps dans le drap; fit lever Vitnègre pour le coudre; puis il Lui dit de publier le lendemain, que sa Femme se mourait; de La mettre le soir dans une biére, ét que Lui Moine se chargeait de La faire enterrer. Et après Lui avoir recomandé de bién effacer au grand jour toutes les traces de sang, il sortit vërs les 3 heures du matin, emportant son saladiér de chair humaine.

Vitnègre pleura dabord. Mais nous ayant entendu remuer, pour sortir, le Lâche eüt une frayeur si grande, qu'il ala s'enclore dans son petit cabinet. Nous sortimes donc tout à notre aise. Comme nous traversions la petite cour, nous entendimes les Voisins qui disaient fort-bas: "Il ne l'a pas tuée; voilà qu'On l'emmène"!… Nous nous mimes à fuir par de petites ruës, dès que nous fumes dehors, de-peur d'être suivis. Et bién à-propos! nous entendimes courir. Mais On ne prenait pas notre chemin. Je remenai ma Fille à sa pension, laissant là Timorì, pour observer, ét lui promettant de revenir dans une demi-heure.

"Voila donc (me dit-elle), quel serait à-présent mon sort, si, en vous accordant mes faveurs, je n'avais pas reculé votre depart! O mon cher Papa! tout mon corps est à vous, pour en faire ce que vous voudréz"! Je lui demandai sa bouche. Elle me darda sa langue; et nous arrivames. Je lui dis de se coucher. "Non, non! ét mes malles.. mes bijoux; si nous pouvions les avoir"? J'admirai sa présence d'esprit!… Il était près de 5 heures. Je courus rejoindre Timorì, qui se promenait devant la porte. "Rién encore" (me dit-il). Un instant après, nous vimes sortir Vitnègre. Timorì le suivit, ét j'alai chercher ma Fille, sa présence nous étant necessaire, si d'officieux Voisins nous arrêtaient. A mon retour avec ma Fille, ét deux Crocheteurs, je retrouvaì Timorì, qui nous dit que Vitnègre avait passé le boulevard. Ma Fille ouvrit: Nous chargeames quatre malles préparées, mais cachées, nous sortimes sans être vus, ét nous alames par des rues detournées, chéz mes Affidés.

Ce fut alors que ma Conquète fut tranquille! Elle se coucha, ét nous alames reposer chacun chéz nous Timorì ét moi

XVI Chapitre.

Chap. Foutoir: Petit Magasin: Enterrement: Amour.

Nous en sommes aux fouteries par excellence; à celles qui vont agu rrir ma delicieuse Conquette-Ingenue, ma ravi sante Victoire-Conquette, faire leur fortune, la miénne, en leur ôtant une fausse delicatesse, & decouvrir une chose admirable, qu'On ne verra qu'à la fin. La route que je vais prendre; pour former ces deux Belles & leurs Compagnes, étonnera dabord! mais en toutes choses, il faut attendre le derniér resultat… Reprenons ce charmant Recit, en fesant préceder quelques fouteries préparatoires, qui amèneront les grandes. Mais il n'y aura plus dans le reste de l'Ouvrage, aucune horreur qui ressemble à celle du Moine Foutamort. Les horreurs à la Dsds sont aisées à présenter; c'est la peinture de la douce volupté, qui est le chéfd'oeuvre du Genie.

La première visite que reçut Conquète, le lendemain, jour de son enterrement, ét à la même heure, fut celle de Timorì. Il La trouva chéz ses Hótes. Il venait Lui raconter, comment, après étre morte la nuit précedente, elle venait d'étre enterrée. Mais Il ne pouvait parler devant le monde. Or, j'avais dans cette même maison, à quelques marches au-dessous, mais sur le derrière, un petit Magasin, où je cachais chaque N° de mes ANNALES, que supprimait le Gouvernement d'alors. Ma Fille y devait faire mettre son lit, le soir même: il y aurait sans-doute été deja; mais elle ne fesait que de se lever. J'y avais placé pour mon usage, celui de mon Secrétaire, de sa Soeur, de sa Maítresse ét de sa Bellemère, un Foutoir comode, dans le ventre duquel on pouvait parfaitement se cacher. [Vitnègre en avait un tout pareil, dans lequel il se mussait, quand Un de ses trois Payeurs venait, pour essayer de depuceler le Con ou le cùl de sa Femme, qu'il appelait, sa Poule aux oeufs d'or: il voulait tout voir, craignant qu'Un des Trois ne la Lui enlevât: C'était aussi par volupté; il était passionné pour la chaussure de sa Femme: Lors donc que tendrement gamahuchée par Un des trois Bougres (car ils l'adoraient, ét ils vont bién La regretter); elle émettait, il lui tirait un souliér, qui se trouvant étroit vërs la pointe, lui servait de cou: Aussi disait-il à ses Intimes: "Je n'ai jamais foutu ma Femme qu'en souliér"]. Conquette sentant bién que Timorì avait bién des choses à luì dire, ét qu'il ne pouvait parler, prétexta qu'elle avait laissé dans mon magasin une Lettre à Lui montrer. Elle avait une double cléf: Ils y descendirent ensemble.

Je venais d'y arriver. J'entendis la marche de ma Fille, sa voix basse, ét celle de Timorì. Je me cachai dans le Foutoir. Ils entrèrent. Conquette ferma soigneusement la porte, la couvrit du matelassement qui empêchait qu'On ne fût entendu audehors, ét ils s'assirent sur Moi.

"Hâ! Madame (dit Timorì), quelles scenes!… Il avait decouvert que je vous aimais, à mes regards, ét parcequ'un-jour étant avec Lui chéz vous, pendant qu'Un de vos Acheteurs vous caressait sous son nom, il me vit baiser à la derobée une de vos chaussures. Mais il paraissait ignorer non-seulement que vous m'aimiéz, mais que je vous fusse connu. Hiër, à 3 heures, m'ayant trouvé au Caffé, il me dit: "Je ne saurais depuceler ma Femme; j'ai le Vit trop gros: Tu es beau garson; je tai choisi, pour La depuceler aujourd'hui, à l'instant; je te demande seulement six louis, qu'elle aura pour ses épingles". Je les Lui donnai surlechamp, ét nous partímes… Vous savéz le reste… Ce matin, après vous avoir quittée, j'ai été me reposer jusqu'a 10 heures, que j'ai été à mon Bureau. Maìs passant devant sa porte, j'y ai frappé. J'ai entendu deux Voisines qui se disaient fort-bas: "Le Confesseur y est! ce n'est donc pas elle qu'On a emmenée cette nuit"…. L'infame m'a ouvert. L'horrible Moine était avec lui. Un Frère avait apporté la biére bién enveloppée, et il recitait tout-haut des prières auprès du Cadavre dans le cabinet obscur. "C'est un Ami (a dit Vitnègre)… Ma pauvre Femme est morte! "Morte! (ai-je dit). "Elle est expirée dans les bras du Reverend Père" J'ai fremi de l'expression!… Le Moine a dit: "J'ai fait toutes les demarches: nous avons la permission de l'enterrer sans bruit: ce sera pour 3 ou 4 heures". Je suis sorti…

En revenant de dîner, vërs les 4 heures, je suis repassé. Deux Prêtres, quatre Porteurs, le Moine ét le Frère, ont emporté le corps, sans chanter. Il est inhumé. Nous verrons la suite des évènemens… Je les observerai.

Ma belle Amie! On vons croit morte: vous êtes libre: M'accorderéz-vous vos précieuses faveurs? "Mon Ami! (repondit modestemt Conquette), je commence par vous remercier de l'important service que vous m'avéz rendu! mais Un-autre m'en a rendu un plüs important encore: seul il m'aurait sauvée: Si mes faveurs étaient encore à Moi, elles seraient à vous. Mais elles sont a mon premiér Amant, qui caché, a decouvert toute la trame: Il venait de me deflorer; il me l'a mis encore après. C'est votre unique Rival: mais il est adoré: son nom, que je vaìs vous dire, va vous prouver toute mon estime, ét que vous avéz toute ma confiance: C'est mon Papa"… A ce mot, Timorì tomba aux genoux de son Amante: "Fille angelique! Fille divine! (Lui dit-il), je reconnais là votre piété filiale ét la beauté de votre âme! Foutéz avec votre Père; que lui-seul vous enconne! Vous seriéz digne de foutre avec Dieu, si Dieu foutait!… Mais je demande à vous gamahucher, ét si votre Papa le permet, à vous enculer? "Mon aimable Ami! (lui repondit Conquette, en le caressant de la main), vous êtes bién raisonnable"!.

Timorì se deculota, Lui mit dans la main un vit à pucelage, plüs petit que le mién, se fit chatouiller les couilles, ét La voulut branler. Elle s'y refusa. Alors Timorì La renversa, La troussa, ét lui supa savoureusement le Con… Non, jamais l'On n'entendit de pareils soupirs!… "Hâ! Timorì.. ta langue vaut un vit". Elle avait émis dès le troisième coup de langue, ét dans son delire, elle élevait ses jambes en l'air, fesait claquer ses jolis talons, haussait du cùl, pour favoriser l'application de la bouche de son Gamahucheur, ét l'intromission de la langue qui lui chatouillait le clitoris. Elle imitait sa Mère, dans ce claquement de talons: car je ne foutais Celle-ci que de jour, soit en Con, soit en cùl. soit en bouche, pour être excité par ce qu'elle avait de mieux, la jambe ét le piéd: Je lui demandais le claquement des talons, parcequ'il imitait la marche de Femme, son qui me fesait toujours bander… Lorsque ma Fille eüt amplement dechargé, elle écarta Timorì.

XVII Chapitre.

Chap. Du Pucelage du Cul: Le Père enconneur.

La celeste Conquette-Ingenue fut toujrs aussi juste que belle & sensible: qu'On ne soit donc pas surpris de ce qui va suivre.

Elle se mit sur le ventre, ét lui dit: "Mon second Amì! pommade-moi: Mon premiér Ami a eü le pucelage de mon Bijou; il est juste que tu aies celui de ma Rosète; mon Papa sûrement m'approuvera? "O Deesse! (repondit Timorì, en lui inserant de la pomade dans l'anus avec une canule), que tu es raisonable! Il aura le Conin, Moi la Rosète, ét nous jouiront chacun d'une fouterie à nous-seuls". Timorì enfonça, malgré quelques petits cris de ma chère Fille, et après de vives saccades, il dechargea, en s'écriant: "Foutre! foutre! quel cùl.. quel plaisir des Dieux"! Et il se pâma… Il fut épuisé, ét de sperme ét de forces, par ce coup seul… Aussi se rapela-t-il, à mon grand contentement, qu'il était atendu à 7 heures. Il laissa l'amoureuse Conquète-Ingenue étendue sur le lit, après l'avoir remise sur le dos, afin de Lui donner quelques coups de langue au Con, pour baisér d'adieu. Il aluma sa bougie, sortit, ét tira la porte.

Aussitôt je quittai ma cachette, ét je m'élançai sur mon adorable Fille, que les trois dardemens de langue avaient émue, ét dont le Con oscillait vivement. "Quoi! vous étiéz là? "Oui, ma Divine. Il encule; moi j'enconne. Tu me causes une érection terrible! "Adoré Papa, foutéz… foutéz-moi! (ét c'est la première-fois de sa vie qu'elle prononçait ce mot); je n'en puis plus moi-même"… Elle me saisit le vit, ét se le mit dans le Connin: "Pousse! (me disait-elle): Il entre.. Pousse! vit de Dieu! vit paternel! émets du foutre dáns le Con de ta Fille"!… En parlant ainsi, elle remuait tellement du cùl, que je me trouvai biéntôt au fond de son Connin. Vive la fouterie ordinaire! c'est la meilleure manière des quarante! J'avais la bouche, la langue, les blancs tetins de ma Fille, ses caresses, la vue de son charmant visage, toujours joli au double dans Une Femme qu'On fout, ses doux propos: "Chër Vit! Vit divin! comme il me chatouille le Con!… Pousse!.. Hâ! Bougre! je me pâme… Je dechar…arge du fou…outre!… Ta langue! chër Amant! Enconneur adoré!… Hò je redecharge, Fous Sacrébougre! Suce… mordille-moi les tetons"!;;; Je dechargeai delicieusemt à la seconde émission de ma celeste Fille. Au fond de son étroit Connin, je me sentis adorablement pincé par ce que le Vulgaire appelle le clitoris, ét les Gens de l'art, le bas du conceptoire ou de la Matrice; cet organe de volupté, qui n'est atteint que par un vit long, me suçait le bout de l'engin dechargeant… Et cette idée delirante, en me voyant sur la plüs belle des Femmes, renversée sur le dos, bién enconnée, se pâmant de plaisir, "Je fous ma Fille… Je lui decharge dans le Con… Nos foutres mêlés peuvent lui faire un Enfant tout de moi… Je fais cocù le gueux, le scelerat de Vituègre! Je fous sa Femme, qu'il croit morte, qu'il n'a jamais foutue… Nous La foutons, Timorì ét Moi, l'Un en Con, l'Autre en cùl, tandis que le vil Jeanfoutre se branle le vit à sa divine intention… Il la croit écartelée par le Vit-timon de son exécrable Moine… ét son étroit Conin decharge avec nous, comme celui d'une Princesse, foutue par Un Jeune Garde-du-corps!… Ces idées, rapidement roulées dans mon imagination, doublaient, triplaient ma volupté…..

Ma Fille me fit déconner: "J'en suis pleine, me dit-elle; le devant, le derrière; il faut que je me purifie". Je courus lui chercher de l'eau tiède chéz son Hôtesse, Mad. Brideconin, que je trouvai seule auprès du feu, des tetons blancs comme neige découverts. Je les baisaí, pris l'eau qui chauffait pour elle. Son Mari me dit: "Je viéns de le Luì mettre, à l'intention de votre Fille, la charmante Mad. Poilsoyeux (nom que je lui avais donné, pour qu'elle ne portât pas celui de son ìnfame Mari). Je rentrai. Je lavai moi-même avec une fine éponge les charmes secrets de ma Deïté. Il y avait un peu de sang à la rosette, ét même au Conin. "Hé! quoi, ma Delicieuse, tu as donc encore souffert? "Oui, mon chër Bourreau: mais le plaisir l'a toujours emporté, même en cùl"… Conquette purifiee, me dit: "J'étais si pressée de jouir avec vous, que je n'ai pas pris le temps, Papa-Sauveur, de vous demander votre sentiment sur ce qui s'est passé entre Moi ét Timorì? "J'ai aussi bién des choses à vous dire là-dessus, mon Ange: mais nous alons souper. Vous avéz besoin de repos, ét Moi aussi; ce sera pour demain"… Je lui donnai la langue; elle me darda la siénne; je baisaí les boutons rose de ses tetons, ét nous alames nous mettre à table.

Pendant le soupér, je racontai à M. ét Mad. Brideconin ce qu'il falait qu'ils sçussent de la prétendue mort de Mad. Poilsoyeux, afin qu'ils ne la compromîssent jamais. Pendant le repas, notre Porteur-d'eau ét sa Femme placèrent le lit de ma Fille dans mon magasin; ét dès qu'il fut arrangé, nous y descendimes ensemble. Ma belle Amie me dit: "Je crois que j'aurai peur: priéz Mad. Brideconin de venir coucher avec Moi"? "Je vais rester, ma Reine. "Hâ! j'aime bién mieux cela! non pour jouir; mais pour que mon Amant-papa s'endorme sur les tetons de la Femme de Vitnègre, pendant qu'il se morfondra, ou qu'il ne .. qu'un de mes vieux souliérs. "Ma divine Fille? (repris-je), je vais, dès ce soir, te dire ce que je voulais remettre à demain. Couchons-nous".

Je deshabillai ma Deesse come Une Nouvelle-mariée, baisant tout ce que je decouvrais. Tous-deux au lit, je l'assis sur mon vit:

XVIII Chapitre.

Chap. Des Avis paternels, tenant sa Fille enconnée.

Ami Lecteur! j'éprouve encore les oscillations de la plüs savoureuse volupté, en me rappelant ces momens enchanteurs, que m'a procurés ma Conquette-Ingenue-L**!

"Appuie lentement, ma Reine; que je t'enfile sans limer"? Elle le fit. Lorsqu'elle fut parfaitement enconnée, je lui dis: "Tu sais, très-cherie Fille, que j'ai tout vu, tout entendu. Tes sentimens divins à mon égad, m'ont penetré de reconnaissance ét d'admiration… J'approuve entièrement que tu ayes donné à Timorì le pucelage de ton beau cùl. J'accepte avec transport ton dévoûment pour Moi. Mais, celeste Fille! c'est à ton interêt, à ton bonheur, que je me propose de le faire servir. Je ne prétens pas, tel qu'Un Sultan, te garder pour mes plaisirs exclusifs. Tu auras Un Payeur. Lequel des trois Hommes auxquels ton pucelage était vendu, aurais-tu préferé? "Le plüs honnête, incomparable Papa: mais c'est justement Celui quì l'a le plûs gros. "Je te ferai donc élargir le Bijou par Un gros Homme de ma connaissance: Il n'est pas aimable: mais Un Homme aimable pourrait t'épuiser, en te fesant trop decharger; outre qu'il pourrait te prendre le coeur; ce qu'il ne faut pas; Un Fouteur préparatoire ne doit te prendre que le con… Ni Moi, ni Timorì ne te suffirions point; nous n'avons pas le vit asséz gros; ce ne sont que des vits à pucelage. Mais j'ai plusieurs Ressources… Je sonderai Celui que tu préfères; puis les deux Autres, s'il ne fait pas ton affaire. Je les ai épiés: Je sais leur adresse; je ne nous compromettraí pas. Je ne te demande que de la soumission? "Entière! divin Papa". Elle se tremoussa un peu, ét dechargea. "S'il te surviént beaucoup de temperament, comme je crois l'entrevoir, j'aurai soin que tu ne manques pas de vits. Tu verras comme tu seras régalée!…. Je ne suis plus d'un âge à te rassasier de volupté. Ainsi, je te le ferai mettre par de jolis Jeunesgens, graduant la grosseur des vits".

Ici, ma provocante Fille s'agita, en me disant: "Mon cher Vit-papa! permets que je foute en con à l'intention de Timorì, le Vit de mon cùl? Tu m'as convertie; il m'enconnera, mais en ta présence. "Oui. oui"… Je la saccadai. Elle s'écria: "Fourgonne.. Vit de mon cher Timori! fourgonne mon Con! Fais-moi pâmer! Bougre.. foutre.. Ramonne.. ramonne!… ze deçarze! Et elle dechargeait, en se roidissant: "Hahaha, mon Papa! hahaha! hahaháh"! (avec un lông soupir)… Je n'ai jamais eü tant de plaìsir, qu'à cette decharge… Nous avions de la lumière: ma Fille se mit sur le bidet, pour se rafraîchir le Bijou, tandis que je me mettais le vit ét les couilles dans l'eau froide, pour me faire debander. Je demandai à ma Fille, Qui lui avait appris les expressions dont elle s'était servie, en déchargeant? "Des la troisième semaine de notre mariage (me répondit-elle), Vitnègre fit coucher avec lui sa Filleule, femme d'Un Espion de Police: cette Femme, par les ordres de son Parein, feignait de delirer, quand il l'enfilait; ét voila quels étaient ses propos, avec beaucoup d'autres, qui n'auraient pas été placés pour nous, comme Gros-bondon, Chién de Vit de mulet, Foutàmort le cadet! etc" Nous nous remimes au lit, ét nous nous endormimes enlacés.

Le matin, je renouvelai mes instructions à ma Fille. On frappa. C'était Mad. Brideconin, qui parla. Je me cachai dans le foutoir. Elle apportait le dejeúnér de Mad. Poilsoyeux. "On cherche Une Fille du Port-au-bléd (dit-elle), disparue depuis avanhier-soir. Une de ses Pareilles a dit, qu'elle devait aler coucher avec Un Homme de 40 ans, qu'elle avait dit Avocat, mais qui est Chirurgién; qu'ils l'ont tuée à deux pendant la nuit, ét dissequée. C'est peutêtre votre histoire, qu'On denature comme ça? Mon Mari doit aler s'informer". Elle sortit; ét je vins dejeûner avec Conquète. Je la laissai, en promettant de la voir à dínér.

Je fus exact. Brideconin était sorti. C'était effectivement de Conillète, dont il était question. Le Commissaire ét les Mouchards visitaient toutes les maisons de la ruë: mais On ne trouvait rién. Je changeai de costume par précaution… Je revins le soir, ét ne couchai pas. Je me reposai trois nuits, et laissai reposer Conquete-Ingenue.

On sait que j'aimais ma Fille autant pour elle-même, que pour mon plaisir, ét que je n'entendais pas règler son appétit de 19 ans, sur mes forces de 40. Mais j'avais encore d'autres raisons. Je vais me conduire en-consequence.

XIX Chaître.

Chap. Du Père Juste, & du Vit Grisonnant.

On sera sans-doute surpris de ce qu'On va lire, d'après les sentimens que je viéns de professer!… Ne me préjuge pas, Temeràire! Pour me connàître & prononcer, attens.

Je connaissais Un de ces Gourmets de plaisir, gros homme vigoureux, lubrique à l'excès, nommé Montencon. Il m'avait donné souvent à dînér, rue Troussevaché, où il demeurait, m'y avait fait enconner la Petite Vitsuçète, sa maîtresse, en me La tenant lui-méme: Il m'avaìt même procuré la Fille de son Hótesse, Petit Bijou, séduite par Un Noble, appelé De-Foutâne, qui L'avait ensuite rendue Putain. Elle nous amusa toute une aprèsdinée: Montencon ayant grisé la Jolie Adelaïde-Hôchepine, il eüt la politesse de me la faire enconner le premiér, ét chatouiller les couilles par sa Maîtresse: Ensuite il l'encula, également chatouillé par Vitsuçète. Je La refoutis, après que la Vitsuçète de Montencon me l'eüt lavée. Mais Celui-ci nous dit: "J'ai mes raisons: J'embouche la jolie Garse". L'ayant embouchée, ét lui ayant fait avaler son foutre, en haîne de Foutâne, j'en fus degoûté, ainsi que de la Vitsuçète, dite la Baiseuse, à Laquelle il en fesait autant: Je n'y étais plus retourne. Ce fut cet Homme que j'invitai à dînér dans mon petit Magasin, pour aguerrir ét m'élargir un-peu ma Fille: (Car j'avais fait donner separément aux trois Payeurs à gros Vits de Vitnègre, MM. Lélargisseur, Perçecül ét Cognefort) l'espoir de la retrouver, ou sa Pareille.

Montencon était connu de Conquète, dont il avait foutu la Mère avant la verole: Il n'en avait que plüs envie de le mettre à la Fille. Je le trouvaì dans l'escaliér, en arrivant Moi-même. Je l'introduisis. Il demeura immobile de joie ét d'admiration, en voyant Une Femme si belle!… J'avaìs affàire; je ne restai qu'un moment, en lui disant, que je lui laissais ma Fille pour compagnie. Il balbucia, en me reconduisant: "Elle est ravissante! Quel goût dans sa parure! Comme elle est chaussée! ét quel dommage qu'Un Vitnègre ait eü ce pucelage-là? "Vitnègre? Elle est pucelle. "O mon Ami! puis-je y tenter? ét tâcher de mettre aumoins une corne à ce Gredin-là? "Fais-y ce que tu pourras: Mais je doute du succès, avec ton poil gris: Il n'y a que les Catins blâsées, qui souffrent les Barbons vigoureux ét libertins: avec les Pucelles sages, il faut être tendre; ét tu as la figure d'Un Satyre, ou d'Un Reprouvé. Mais tente-s-y".

Après mon depart, Montencon essàya dabord de la galanterie. Mais n'y gâgnant rién, il culbuta Conquète à l'improviste sur le FOUtoir; ét comme il était vigoureux, il lui approcha, en la contenant d'une main, le vit des lèvres du Con… Cependant il ne put l'enfiler; Un coup de cùl en arrière le debusquait… Il alait La menacer de La poignarder, lorsque je rentrai. Conquète se rajusta, sans marquer d'humeur. Je dis tout-bas à Montencon: "Le pucelage? "C'est Un Diable! J'en serai reduit à me branler! "Tu la foutras".

Nous nous mimes à table. Conquète parla comme à l'ordinaire à son Vellivioleur, ét rit même avec lui. Tout-haut, devant Moi, il lui demanda, D'où-viént elle ne s'était pas laissée enconner? "Fi-donc! (repondit-elle). Hé! d'où-viént l'aurais-je souffert? "Parceque je bandais comme Un Carme. "Vous parléz comme Un Vitnègre"… Montencon ne m'en raconta pas moins ses entreprises, en termes savoureux: Il loua la beauté de la Conque, le soyeux du poil, la blancheur des fesses, la fermeté des tetins, le rosé du bouton, l'éburnité ou l'ivoire du ventre ét des cuisses: Il extolla le piéd, la jambe de la Belle… Conquètee, ainsi louée, rougissait, ét n'en était que plüs modeste. Je repondis, Que j'étais le seul qui foutît ma Fille, à laquelle j'avais sauvé la vie, ét que j'avais deflorée, il y avait 8 jours. Et je racontai toute l'histoire. "Vous La foutéz? "Hé! qui donc La foutra? Je suis deux-fois son Père"… Montencon se mordit les lèvres. Conquète m'embrassa.

Pendant tout le dînér, nous admirions le voluptueux tour de hanches de Mad. Poilsoyeux, à chaque fois qu'elle se levait, pour aler demander un plat, ou qu elle donnait des assiètes. Elle avait un joli souliér rose à talons vërts, élevés, minces; des bas de soie blancs neufs, à coins roses. Je Lui demandai, Si elle était jarretée audessus du genou? "Certainement! (repondit-elle); toujours. "En ce cas (repris-je), montréz-nous la plüs jolie jambe qui soit au monde"? Elle refusait Mais nous l'en pressames tant, que pour se debarrasser de nos prières, elle mit le piéd sur une chaise, ét nous montra, jusqu'au dessus du genoux, une jambe à faire bander Un Moribond…. Nous entrames en rut, Montencon ét Moi: mais nous nous moderames. Cependant le grisonant Ribaud, dans un moment où ma Fille étàit sortie, me proposa de l'enivrer, en mettant du champagne, qu'il avait apporté, dans son vin-rouge, aulieu d'eau? Je feignis d'y consentir: Mais avant que Conquète rentrât, j'alai audevant d'elle, ét l'avertit de-tout. Puis j'ajoutai: "Ma raisonnable Fille: il faut qu'Il te le mette; je l'ai amené exprès pour cela; mais je ne savais comment faire; J'y reflechissais, quand sa proposition m'a tiré d'embarras. Tu feindras de t'enivrer: J'en ferai autant; ét par ce moyén, jamais il n'aura un piéd sur toi. Il a l'engin asséz gros, quoique moyén. Après lui, je t'aurai Traitdamour., mon ancién secretaire, Un joli Garson, qui achèvera de t'élargir suffisamment; pour l'engin du Payeur que tu préfères… Il est averti de ton éxistance, ét je n'ai demandé que quelques semaines, pour Lui procurer ta vue. Laisse-toi donc faire, ma Reine: j'empêcherai tout ce qui ne conviéndrait pas. "Je vous suis soumise; disposéz de Moi (repondit-elle): Je me suis trop mal trouvée de vous avoir desobéï"!… Nous rentrames. Entre les deux portes, elle se decouvrit un teton, ét me le fit baiser.

Montencon avait arrangé la caraffe en vin de Champagne: Conquète prévenue le remarqua; s'en procura une autre d'eau, ét reserva le vin, pour griser Montencon lui-même. Mais le Ribaud était inenivrable, autrement que par les beaux ïeux et les autres charmes de ma voluptueuse Conquète-Ingenue.

XX Chapitre.

Chap. Du, Hâ, comme elle fut foutue!

Dès que Mad. Poilsoyeux, qui affectait une ivresse aimable, parut dans l'état où Le Montencon La desirait, je la saisis, la première-fois qu'elle se leva, par la tâille d'une main, ét de l'autre, je Lui pris le con. (Outre que je desirais vivement sa possession, je La voulais enhardir, ét préparer son Bijou à l'admission d'un plüs gros Membre que le mién). Je la renversai, en demandant un morceau du beurre-frais resté sur la table. Je lui en mis gros come une noix à l'orifice; ét je poussai. "Laisséz, laisséz-moi donc! (me disait-elle doucement). Cependant elle remuait admirablement de la charnière, ét le foutoir craquait sous nous… Je dechargeai, en me recriant de plaisir!…… "A toi, Bougre"….

Montencon debout, son gros Vit bandant à la main, nous admirait!… J'eüs à-peine deconné, qu'il se précipita sur ma Fille, dont le conin oscillait encore: ét doublement favorisé par mon foutre ét par le beurre fraìs, il penetra. Conquète fit un cri! Je m'avançai alarmé: Mais elle me sourit aussitôt. "Enfonces-tu? (dis-je au Fouteur). "Oui, oui! sacredieu! (me repondit-il), ét avec delices!.. Elle me pince le Vit!… Mais.. quel connin!.. C'est un satin!… Hâ!… hâ!.. je fous!.. Remue du cül, celeste Houri!… Re..mue, divine Bougresse!… Con delicieux! remue… sous Moi!.. saccade.. saccade!.. Je pa..ars!.. je decha..arge!… Hââh!…! Le Grisonnant se pâma sur les tetons de ma Fille, qui elle-même nageàit dans le foutre ét la volupté. J'avàis craint qu'elle ne remuât pas asséz avec Un Etrangér: mais dès qu'elle fut limée, elle se mit à remuer, à saccader, à osciller des reins, à decharger avec des soupirs ét des cris… Montencon se remit à la fourgonner, sans deconner, criant, heurlant de luxure, ét murmurant par intervales: "Divine Garse!.. fais-toi Putain.. ét.. je te répons. de ta fortune!…. Il recommença ainsi trois-fois sans desarçonner. Enfin, il deconna.

"Voila un coup qui en vaut dix, ét un con qui vaut cent, ét mille-fois tous ceux que je t'ai fait enconner, même ma Petite Hôtesse! On ne le quitte qu'à regret!….. Mais refous-la, mon Ami: Une Femme vaut seize Hommes au jeu couillard; ne la laissons, ni refroidir, ni ch mer". A ce mot, Conquète-Ingenue, restée immobile, ét se contractant seulement un-peu, comme si On la tenàit encore bourrée… d'un vit, sauta du foutoir, ét courut se laver. Elle trouva de l'eau tiède préparée. Nous fumes aussitôt à genoux devant notre Divinité, ét nous lui épongeames l'Un le cùl, l'Autre le con, les fesses ét les cuisses: car elle était pleine de foutre et d'un-peu de sang, prenant garde de mouiller ni sa chemise, ni ses bas; nous la fesions se tenir troussée audessus des reins…. Après une scrupuleuse ablution, nous l'avons admirée: car elle étàit ravissante à cùl ét à con decouverts? Nous l'avons fait marcher ainsi, ét nous avons vu la magie de son divin tour de-cùl… "Moi (disàit le Grison), en la regardant venir à nous), ce qui me transporte, c'est ce con noir, sur une peau de lis; ce poil soyeux, ét cette raie de corail, quì le sépare en deux égales parties"!… La Belle se retourna, ét montra d'autres charmes: "Hâ! (s'écria Montencon ravi), le beau cùl! il n'est pas inferieur à l'admirable conin"! Elle revenait. "Hâ! le beau con! Il est digne du divin cùl"! Quand ma Fille fut auprès de nous, Il lui bàisa le conin: Puis se levant: (car nous étions restés à genoux pour mieux voir). il l'emporta sur le foutoir, en me demandant la permission de gamahucher tous ces charmes-là, avant que je les refoutisse?… Hâ! comme elle fut gamahuchée!… Il lui chatouilla de sa langue la Rosette, à la faire tressaillir. Puis il vint au Con. La Belle chatouillée, se tremoussa, puis émettant, elle hennissàit, comme Une jeune Cavale, dans la vulve de laquelle On insère pour la premiere fois l'engin terrible ét perforant de l'Etalon vigoureux: les fesses potelées de la Jument pucelle tremblotent; elle frémit de tout son corps, ét répond, par l'émission de son hippomanès, aux flots de sperme que lui lance le Dominateur des haras… Telle était ma voluptueuse Fille, seulement gamahuchée… Montencon deboucha, ét Moi, me précipitant sur ma Fouterie, cambrée, tenant son cùl à trois doigts du foutoir, je plongeai brutalement: Elle ne fesait que doucement osciller. Ce qui ne s'accordant pas avec ma ribaude impatience, je dis à Montencon: "Arrache-lui sa chaussure, ét chatouille moi la sous les piéds"? Il le fit: Mais le Coyon s'amusait à les flaîrer, en disant: "C'est Cypris, ét le dedans de ses chaussures sent l'ambrosie. "Chatouille donc, Jeanfoutre"? Il chatouil-La; ét au second soubresaut; je dechargeai copieusement!… Dans mon éxtâse de plaisir, j'élevai mon âme vërs la Divinité: "Mon Dieu! je vous remercie de m'avoir donné Une Fille si parfaite, dont le conin trémoussant viént de me donner une idée du delice que vous éprouvéz vous-même, en foutant votre Fille la Nature!… "Dieu de mon Conin! (balbucia Conquète), sois beni! je re-decharge encore! le cri de mon Père a fait entrer son vit plûs avant! "Hô! quel digne Père! quelle pieuse Fille"! (s'écria Montencon édifié)….. Je deconnai.

"Mais d'où viént (me demanda le vigoureux Grison, en se remettant sur ma Fille, ét l'enconnant sans laver), m'as-tu fait chatouiller le dessous des piéds de ta celeste Fouteuse! "Je tiéns cette recette d'Un Imprimeur foutant la Femme de son Confrère de l'aveu du Cocù: "Que lui avéz-vous donc fait, qu'elle m'a donné tant de plaisir à la fin? "Vous avéz bién vu qu'elle était dechaussée? Or j'ai ouï-dire, Que les Fils de mesd. Quillenpoche et Radball, âgés de huit ans, étant entrés dans la chambre où Un Avocat ét Un Procureur vitoeuvraient mesd. leurs Mères; les petits Babouins ne voulant pas les déranger, leurs ôtèrent à chaqu'une une mule delicate, ét leur chatouillèrent le dessous des piéds: Ce qui fit faire aux deux Dames des soubresauts, qui leur procurèrent autant de plaisir qu'elles en donnaient à leurs Opérateurs Aussi depuis se firent-elles toujours chatouiller les piéds, en pareille circonstance. "Tu vas me rendre la pareille"… Il saccadait. "Alons, le foutre de ton Père.. ce foutre dont tu est faite, amalgamé au tién dans ton sacré conin de Poupée, doit te le pomader! Et j'ai de la peine"!… Je vis à la rougeur de ma Fille, qu'elle souffràît. "Deconne, Bougre (dis-je à l'Enfonceur), ton vit d'Ane, ton vit de Mulet donne les bouchées trop grosses à ce conichonnet"! Il deconna, ét je mis un boulète de beurre-frais à l'orifice du Bijou de ma Fille. "Hô! ça me le rafraîchit" (dit l'aimable Enfant)… Montencon re-enconna avec fureur. Il entra mieux, ét toucha le fond, Conquète ayant saqué du cùl: "Hâ! je te sens, petit joli chién de pinçoir! Alons, Vitnègrète, encorne ton Jeanfoutre de Vitnègre! Pince.. ét remue du cùl, Garse"! Ces mots grossiërs me mirent en fureur érotique; je chatouillài sans pitié les piéds de ma Fille, en lui disant: "Fous, Deesse! Donne-nous ton joli foutre!… Et toi, Sacrebougre, inonde-la! As-tu jamais percé con ou conin, qui vaille le connin, le connichet de ma celeste, de cette divine Putain"?… Conquète saccadait à desarçonner son Enconneur (comme fesait Mlle Timon sous le Grand-homme MIRABEAU): Mais Montencon se tenait ferme. Cependant elle eüt une decharge si convulsive, qu'il fut presque-deconné. Mais en retombant, le frottement serré du connin velouté, le fit decharger avec ravissement…

Il lima quatre-fois sans deconner, ét à la quatrième, lui ayant chàtouillé les couilles, il émit aussi copieusement qu'à la première. Maìs il fut épuisé. "Hâ! comme Vitnègre es cocù! (disàit-il en deconnant); car sa Fouteuse de Femme a dechargé le triple de Moi". Conquète sourit. "Combién? (lui demandai-je). "Hô! dans les neuf, trois fois-neuf". Je la baisai sur le front, ét elle ala au bidet. Je vis par-là qu'elle auràit un vigoureux temperament. Ainsi, je resolus de la faire un-peu blâser, avant de La livrer à son gros Vit.

Mad. Vitnègre voulant se rafraîchir quelque-temps le con dans sa cuvète à bidet, nous pria, avec une modeste rougeur, de La laisser libre? Nous La saluames aussi respectueusement qu'Une Deesse biénfesante, ét nous sortimes. Montencon me dit: "Je vous rens grâces: Je serais plüs glorieux d'être son Père, que de la Reine Marie-Antoinète. Elle est autant audessus des Fouteries ordinaires, que Mlle CONTAT, ou Mlle LANGE sont audessus d'une Putain des Pauvres, qui branle les vits derrière les charrètes sur le quai du Louvre". Nous nous separames, à ces mots. "Hâ! (disait Montencon, s'éloignant), comme elle a été foutue"!

XXI Chapitre.

Chap. Du Ressouvenir, & De l'Episode.

Ho! que les Puristes ont dû se recrier au Chapître précedent!… Hé-bién, Puristes, je m'en fous.

Le lendemáin, je m'attendais à un-peu de bouderie, ou de sérieux. Non: Ma Conquète me parla comme à l'ordinaire… Je fus huit jours, sans cherchér à le Lui mettre…. Le Samedi, son Bijou bién retabli des fatigues données par Sourcilsgris, dit Montencon, elle y sentit un chatouillement. Elle se ressouvint alors de ce que je Lui avàis dit, qu'elle pourràit se laisser enconner par Timori. Elle fit une toilète de volupté, se couvrit d'une caléche, ét sortit le soir. Mais je L'observàis, ét La fesàis soigneusement observer par Mad. Brideconin, ou comme je l'appelàis en badinant, Mad. CONBRIDÉ. Je fus avertí; je La suivis, pour La préserver de malheur. Elle monta. J'ecoutai à la porte; ét j'entrevis même par une fente… Conquète se jeta dans les bras de Timorì. Mais il étàit malade: La Belle fut gamahuchée seulement. Timorì, aulieu de la caresser, comme elle s'y attendait, se mit à Lui racontér la suite des évènemens relatifs à Vitnègre, à Foutàmort, ét à Conillète:

"J'ai été voir Vitnègre aujourdhui, aulieu de me rendre à mon Bureau, étant malade. Je l'ai trouvé malade lui-même, tant il avait été hiër effrayé des menaces de son Moine. Celui-ci l'avait fait demandér. Vitnègre est accouru. Il a trouvé toute la Communauté à l'Infirmerie. Parvenu au lit de Foutàmort, Celui-ci lui a dit: "Gueux! si j'en avais la force, je t'étoufferais… Mais si je suis pour en mourir, comme On l'assure, je declarerai tout au Lieutenant-de-Police, ét tu seras pendu… Tu m'as vendu ta Femme: Elle était si belle, que j'ai eü un plaisir… infini… à la faire expirer dans des douleurs plüs fortes que celles de l'accouchement… J'en bande encore, mais avec des douleurs insupportables… Elle était si belle, que j'ai voulu en manger: je me suis fait accomoder son con, sa matrice, ses poumons ses tetons ét sa tête, que j'avais deguisée: Nos Moines ont mangé, sans le savoir., son cül, ses fesses, ses mollets, ses piéds, ses bras, ses mains, ses épaules, son coeur, son foie, etc… Tous, eux ét moi, nous avons la verole! Or, ta Femme, belle, fraîche, pucelle encore, ne l'avait pas…. Voici ce que tu as fait, Coquin: Touché d'une fausse compassion, tu as fait évader ta Femme, que je t'avais payée pour la foutre à mort, ét tu lui as substitué une Putain… C'est une insigne coquinerie… Si j'en reviéns, j'aurai ta Femme; si je meurs, tu seras pendu"… Vitnègre s'est donné à tous le Diables que c'était vous qu'il avait livrée. Le Moine, qui venait d'être frotté de mercure, ét dont la langue enflait, a fait signe qu'il n'en croyait rién. Le Chirurgién a tiré Vitnegre à-part: "Avéz-vous quelqu'affaire à regler avec ce Scelerat? il n'a pas 2 heures à vivre, à la manière dont enfle sa langue. Il a une verole si terrible, que j'ai été obligé de le froter au triple ds Autres, que voila dans leurs lits, ét qui commencent à saliver. Je le connais; c'est Un Monstre à ôter du monde, ét tout-à-l'heure, il ne pourra parlér. "Empêchéz qu'il n'écrive? "Hô! ne craignéz rién! l'enflure luì.. gâgne les ïeux; il n'y voit plus, ét la langue commence à lui sortir de la bouche… Il.. souffre.. (lui tâtant le pouls) comme un Damné.. ét il n'a pas une demi-heure à vivre"… Alors, Vitnègre enhardi, a dit au Moine; "Gueux! Infame!… c'est la Putain Connillète, que je t'ai donnée, que tu as fait manger à tes Moines, ét dont tu as dévoré la matrice verolée"! Le Moine s'est soulevé, ét a lancé à Vitnègre un si terrible coup de poing, qu'il l'aurait tué, si la colonne du lit n'avait pas amorti une partie du coup, qui cependant a renversé Vitnègre. On l'a fait sortir. Mais il a appris ce matin, par le Chirurgién, que la langue du Moine, devenue grosse comme celle d'un Boeuf, l'avait étouffé un quart-d'heure aprés… On a brûlé sans lire, tout ce qu'il avait écrit durant sa maladie.

Voila ce que Vitnègre tranquilisé, viént de me raconter. Il est tard: je ne saurais vous reconduire: Partéz, ma belle Amie".

Tel fut le recit de Timorì, fait à ma Fille, que j'entendis tout-entier, ét qu'elle me repetera. Elle s'en revint la tête remplie d idées noires. Je La suivàis à vingt pas, La couvant des ïeux, pour La préserver de toute mauvaise rencontre. Je bandais comme Un Carme, en voyant son joli tour de hanches…

Elle rentra. Je La précedai dans mon magasin, ét je me cachai. Elle revint avec de la lumière ét de l'eau tiède. Elle se lava la motte, ét soupira, en se disant à elle-même: "Il n'existe plus, le Scelerat!… Je suis encore effrayée"! Je frappai un petit coup sur une comode. Conquète leva les ïeux, ét me vit. Je Lui contai tout ce qu'elle venàit de fàire. Je Lui causai un effroi salutaire, qui La guerit de l'envie de retourner seule chéz Timorì, en Lui disant, que j'avàis aperçu Vitnègre sur le quai des Ormes. J'ajoutai: "Vous aliéz pour être bàisée; vous le seréz; car je couche avec vous". Elle begueulait, disant que le recit de Timorì Lui avàit ôté ses desirs. Je ne L'écoutai pas; je me mis au Lit, ét elle vint se coucher auprès de moi.

XX Chapitre.

Chap. De la Fouteuse mise en appêtit.

L'appêtit viént en mangeant (dit le Proverbe): & l'On va voir combién il a raison, pour Conquète!

Dès que ma Fille fut à ma portée, je m'encrai sur ses appas, Lui suçai les tetons, ét L'enconnai. Je ne sais par quel motif, humeur ou volupté, ma divine Enfant ne remua pas. Je fis de-même, ét La tins emmanchée, sans me donner aucun mouvement… Je m'endormis, après m'être mis sur le côté, sans déconner. Conquète, qui s'y était prêtée, s'endormit comme moi, sans-doute; puisqu'en m'eveillant, sur les 2 heures, je me retrouvai dans son Bijou. Je m'agitai pour-lors. Elle me serra dans ses bras, remua vivement du cùl, ét me dit: "Chër Amant? pou..ousse". Et elle saccada de toute la force de ses rein… Elle dechargea… J'émis aussi… "Hâ.. mon Dieu (dit-elle), c'est mon Papa, qui me.. caracole… "Qui te fous, ma Deesse. "Ah.. il n'y a que vous, pour ces choses-là… Je ne vous contrarierai plus; car vous avéz plüs d'esprit que moi… J'ai eü un plaisir…. que je ne dois qu'à vous… Chër Papa, recommencéz; que je decharge à votre intention? Je vous adore… Je La re-enconnai vigoureusement, en Lui disant: "Et fous comme tout-à-l'heure, à l'intention de ton Amant"… Elle remua du cùl comme Cleopâtre ou Messaline, ét elle se mit à dire, en saccadant: "Bougre de Timori.. fous… fous… fous-moi… Fous ta Garse… fais cocu mon sacré-gueux de Pere… dont je suis la Femme.. la Maîtresse.. la Putain… Ah.. je sens ton vit, au fond de mon con… Ta langue… ta langue?… Je me pâme… Je de…cha.arge…. Foutre… Ah-a-a-ah… je n'en puis plus……….. Et en finissant, elle ala se laver le con……

Dès qu'elle fut de retour, je remontai sur elle. "Remue du cùl, du con! (Lui dis-je): Trémousse des fesses… Je sens ton pinçoir… Hô! que tu fous bién, Fille de mon Vit, pour Une Novice!… Ayéz un mouvement encore plûs rapide?… Bon… excellent!… Quels reins élastiqs"!…. Elle fit trois soubresauts, ét déchargea, en disant: "O mon Dieu! mettéz une tône de foutre dans les couilles de mon Père, ét que son vit divin le decharge au fond de mon con"! Dieu l'exauça, car j'émis aussitôt, ét nos foutres se mêlèrent. J'en esperai Un Adonis… Elle resta ensuite immobile, ét moi aussi. Elle fit une copieuse ablution. Je me rafraîchis le vit ét les couilles; puis nous nouz recouchames. Je La re-enconnai.

Je fus-là plüs d'une heure, Lui suçotant ses boutons de roses, Lui dardotant ét Lui fesant dardoter la Langue; La fesant dechargeoter, pâmoter, chatouilloter mes couilles. Je ne pouvais me résoudre à déconner…. Tout-à-coup ma Fille, que je croyais épuisée, se met à trémousser du cùl, à convulsionner du con, comme fesait autrefois sa Mère, mais mieux que Celle-ci… Je rebandai roide, mais loin de la decharge.! Desorte que je La limai tant qu'elle voulut… Elle me disait: "Papa! je ne parlerai pas d'Un Vitnègre, qui n'a de plaisir sur Une Femme, qu'autant qu'il brutalise sa Monture: mais vous foutéz plüs tendremt plüs delicieusement, que Timorì ne caresse: Vous liméz mon con comme Un Dieu!… A votre intention cette decharge-ci… Papa! Papa, fourgonne! tu es dans le con de ta Fille! Remue du cùl, Papa! Tu me fous.. tu me fous.. tu m'enco..onnes!… Fous, Bougre! fous ta Fille! Incestue, Jeanfoutre!… Enfonce, enfon..once,.. dans le con..on de ta Fi..ille.. pâ..âmée"!… Et elle resta comme morte, pendant une longue decharge…..

Je La relimai, voulant décharger aussi, pour la dernière-fois de cette nuit-là. Elle se ranima: "Fous, Maquereau! Je suis ta Putain, ta Raccrocheuse… ta sacrée-Salope… ta passionnée Fouteuse.., ta tendre Fille… Engrosse-moi? (remuant du cùl avec fureur): mets-moi dans le con un Garson.. une Garse! si une Fille, tu La.. dépuceleras un-jour… si un Fils, il me foutra… "Adorable fureur! (m'écriai-je)… Tiéns, Fille adorée, voila du fontre". J'émis delicieusement; ét ma Fouteuse dechargea plüs delicieusement encore… "Hâ! quelle nuit! (me dit-elle)… Timorì ne me l'auràit pas donnée si voluptueuse"…… Elle s'ablua: je lavai, ét nous endormimes.

XXIII Chapitre.

Chap. De la Tendresse Filiale: Amour paternel.

Etre reservée, modeste, ou voluptueuse & fouteuse à-propos, c'est la véritable sagesse.

Je ne raconte pas les bagatelles… Montencon ne put le re-mettre à Mad.. Poilsoyeux, ét il en fut très-étonné! Elle étàit aussi modeste, aussi retenue avec Lui, qu'avant qu'il l'eût foutue. C'est qu'elle suivàit mon avis, de ne pas laisser prendre un piéd sur elle, par les faveurs accordées, ou ravies…. Un-jour qu'elle se baissait, pour arranger le feu, il lui prit le con. Elle Lui donna un soufflet. Je dis à Montencon: "Moi, qui la connais, je ne Lui touche jamais les fesses, ou le poil du conin, sans sa permission, ét sans qu'elle m'àit dit: "Hé-bién, faites donc vîte"! Quand je Lui demande cette faveur, elle est parée, chaussée comme les Grâces.. Je commence par Lui demander à Lui baiser le piéd. Puis Lui glissant la main sur la jambe, je Lui dis: "Tu l'as si jolie! que je La baise"?… Je pousse à la cuisse, en disant: "Quel satin"! Je Lui passe delicatement la main sur la motte, ét je m'écrie: "Ma Reine? qu'en te voyant marcher dans la ruë, ét tortiller si joliment du cùl! faire bander tous les Hommes; bisquer de jalousie toutes les Femmes, je puisse me dire: "Je viéns de patiner, de baiser ces foutatifs appas"… Je te suivrai; j'entendrai les Hommes dire, Que je la foutrais bién! Je verrai les Femmes penser: Sacrée Coquette! cette parure, ce goût, ce tour de cùl signifient: Je veux étre foutue? Vits, foutéz-moi? "Bougresses! (Leur repondrai-je tout-bas), je méprise vos cons ét vous! Je ne bande que pour le beau connin que vous jalouséz"… Ma Fille sourit à ces propos; se laisse patiner, puis baiser tetons, fesses ét connin"… Montencon m'admira, ét demanda pardon à Conquète, qui n'avait entendu ce que je venais de dire, qu'avec une modeste rougeur.

Un jour de fête, que je L'avais conduite avec précaution chéz Une Amie, ét que j'étais retourné La chercher le soir, la suivant à quatre pas, son lubrique tour de fesses me fit bander si fort, qu'en rentrant, je Lui hâpai le con. Elle se defendit, parcqu'elle entendait aler ét venir Mad. Brideconin. "En ce moment, Deesse, je suis si enragé de lubricité, par ta marche voluptueuse, que je te foutrais devant toute la Terre." Et je grinçais des dents, Lui tenant toujours le poil du con, ce poil soyeux qui Lui formait une Longue ét superbe perruque à la Louis-XIV. "Hé-bién! (me dit-elle), alons: Mais ne me chiffonnéz donc pas? "En déshabillér, Reine". Je Lui tenais toujours le con, ét je La suivais à chaque pas qu'elle fesait. Elle me donna un joli baisér à langue dardée, pour me remercier de ce que je Lui permettais de se mettre en deshabillér. "Ne me quittéz pas le poil: ça me prépare". Une pareille complaisance me La fesait adorer. En un instant, elle fut en corpset, en court jupon piqué, les tetons bién découverts: "Ma chaussure est-elle asséz voluptueuse? ou vouléz-vous des mules, avec d'autres bas? "Des mules". Je La dechaussai d'une main, Lui chatouillant toujours le con. Hâ! quelle jambe blanche! quelle propreté! Elle se chaussa debout. Je Lui mis le piéd dans une mule rose delicieuse, à talons roses aussi, minces, élevés, à falbalas d'or, ainsi que le bout du talon. Je Lui quittai la motte, qu'elle lava. Ensuite elle fit par la chambre quelques-tours, pour m'exciter davantage. Me voyant hors de moi: "Je veux te griller"! (me dit-elle). Tandis que je déculotais, elle s'assit, croisa ses genoux, ét fit badiner la mule du piéd en l'air…

Je n'en pouvais plus… Me voyant prêt à m'élancer sur elle, Conquète vint sur moi troussée, me fit tenir ses jupes, appuya ses deux coudes sur mes epaules, ét s'enfila doucement elle-même, sans toucher mon vit de sa main delicate. Elle descendit ainsi graduellement jusqu'à ce que je touchasse à son pincevit: "Ne remue pas! (me dit ma Reine), je veux me foutre moi-même"! Quand elle sentìt le plàisir, la divine Fouteuse trop émue, s'abandonna de tout le poids de son corps, en me disant: "Cher Vit… pou..ousse"! Elle mit sa bouche brûlante sur la miénne, donna le mouvement interieur à son con, me darda sa Langue, ét se pâma, en me lançant toute son âme…. Je dechargeai, avec un si delicieux frémissement, qu'elle foutait encore, au bout de cinq minutes d'émission. "Hâ! Fouterie adorée, l'éclair du bonheur dure… et se… prolonge avec toi"… Je sentis, en cet instant, l'émotion de mes premières decharges, où je perdais connaissance, ét je crus que j'alais expirer de volupté dans son con. Je le dis, en déchargeant. Mon Enconnée n'en fretilla que plüs vivement: "Un Fils?… une Fille?… ou tous-deux au fond de mon con (me disàit-elle), chër Vit de mon Père"!… Je juràis, je sacràis, je divinisàis ma Fille: "Con celeste.. Con divin.. Con de mon vit.. est-ce Moi?.. est-ce Un Roi?.. est-ce Un Prince?.. est-ce le beau Commis aux Aîdes, qui t'avons foutue dans le con de ta Putain de Mère?… Hâ, mon vit te rend ma fille, en mêlant mon foutre au tién… Divine, sacrée Garse.. Adorable Bougresse enculée, il faut que je t'encule aussi? "Non: ton foutre m'est trop précieux, pour que je le perde sciemment: Fous-moi en con, tant que tu le voudras; maìs non en cùl, en bouche ou en tetons". Je l'approuvai avec respect.

Je Lui dis ensuite, pourquoi je la suivais toujours, en La menant chéz son Amie, ou en La ramenant: "Mon premiér motif est de mieux voir le dangér. Le second, d'entendre les discours des Hommes ét des Jeunesgens que tu fais bander. L'Un dit: Quel mouvement de cùl!… O Garse! si nous étions seuls ici, je me jetterais sur toi, ét je t'enconnerais… "Je l'ai entendu (me dit en souriant Mad. Poilsoyeux). "Un-autre (ce soir) se secoue le vit en pleine ruë: Maman.. (dit-il), delicieuse Maman.. je me branle… je decharge… à ta divine intention. "Je l'ai entendu: j'ai souri. Il a aussitôt ajouté: Hô, si vous êtes putain… une divine Putain? cinquante louis pour trois coups en une heure?… ou chéz moi, ou chéz vous?… Je demeure ruë de-Bussi au 3me, n° 16. "Un joli Fat (repris-je), disait asséz haut: Mon vît dans sa bouche, ét ma langue dans son con… Et il se branlait, branlait, branlait. "Je l'ai vu, ét je Lui ai donné un petit coup d'éventail sur le vit… Il m'a bién touchée! Il m'occupait: Peutêtre est-il cause que j'ai montré un-peu d'humeur, quand à notre arrivée, vous m'avéz pris le con".

A ces mots, nous recomençames une scène, comme celle que je viéns de raconter; si ce n'est que je renvesai ma Fille sur le dos. "Vit-papa… (me dit-elle), tu es le Fat… c'est le Fat qui me fout… Tu me fais foutre par tous-ceux qui m'ont desirée… Je décharge à l'intention du Fat… son vit dans ma bouche, ses couillètes sur mes tetons, ét l'engin de mon Père au fond de mon connin… J'avale son… joli foutre… (convulsivant du con)… Je déchar..ge"……. Jamais elle n'avait eü autant de passion. Elle était même raisonnée: car entre deux décharges, elle me dit: "Vos lèvres sont appêtissantes; elles me rappèlent: aulieu que celles de Montencon… Je ne veux plus qu'il m'encon..o..o..ne (dit-elle en s'agitant): Langue en bouche: mon con pa..art"……… Hâ, si j'avais-là l'Homme aux cinquante louis, moi qui ne suis pas effrontée, je crois que je ferais la Putain, que je les exigerais d'avance, comme Vitnègre disait que c'est l'usage des Filles, que je Le déculoterais, ét que mon con martyrisé gâgnerait la somme"?

XXIV Chapitre.

Chap. Du Chefdoeuvre de Tendresse-paternelle.

Conquette était naturellement sage; elle n'éprouvait les emportemens du libertinage que dans le delire de la jouissance, effect d'un vigoureux Tempéramt.

J'étais épuisé par deux coups foutus avec trop d'emportement. Cependant je La voyais haletante de volupté. Je courus au carrefour Bussi, n° 16, au 3e. Je trouvai le Jeunehomme aux cinquante Louis: Je Le reconnus: Il me remit. "Je suis le Père de la Jeune-Dame à Laquelle vous avéz offert 50 Louis. "Je les Lui tiéns: Trois coups en une heure? "Soit: En ma présence? "Et de tout Paris, si vous vouléz. Mais, Bougre, ne va pas me jouer! "Non: Mais une heure, sans bruit? "Foi d'Homme! Partons"… Il prit les 50 Louis.

Arrivés tous-deux, je dis à ma Fille: "Voici l'Homme qui t'a plu: Tu as besoin de 50 Louis: Il te les apporte: Il les faut gâgner"? Conquète rougit, sans rién répondre. L'Homme se deculota, Lui vint prendre les tetons, le con. Il me dit: "Serréz les 50 Louis; ce con satiné, ces tetons touchés les valent". Je les serraì, tandis qu'il renversàit ma Fille sur le foutoir. Elle fit un cri: "O Monsieur… mon chër Monsieur… ne me faìtes pas trop de mal? "Seriéz-vous donc pucelle? "Hélas! oui"… Il L'enconna avec fureur. Elle soupira, criota, pinça du con, dechargea. "Elle est adorable" (disait le Fouteur enragé: car il foutit, ét re-foutit, sans pitié, come sans deconner, ses trois coups de suite. Ma Fille, tantôt Le caressait, tantôt Lui demandait grâce: mais elle déchargeait toujours… Il déconna ravi… Et voyant quelques gouttes de sang, que ses brusques estocades avaient fait couler, il dit. "Oui, vous êtes d'honnêtes-gens: Un pareil pucelage n'est pas asséz pàyé de 50 Louis: Je vais en envoyer 50 autres, Papa… (Ma Fille était disparue pour s'abluer). "Oui, si je n'étais pas marié (ajouta-t-il attendri), je l'épouserais, ét pour son pucelage, ét pour son amour… Vous aléz recevoir 50 Louis: Je La regrèterai toujours, ét ne La verrai jamais. Il partit. Ma Fille me remercia, ét me dit, qu'elle était rassasiée. Je Lui remettais les 50 Louis: "Non (me dit-elle), chër papa, c'est pour nos dépenses". Les 50 autres Louis arrivèrent, ét je ne pus jamais L'obliger à en mettre dans sa bourse plûs de six. Je déposaì les 94 autres à sa portée dans mon Magasin.

Le Lendemain, à mon arrivée, ma Fille me dit: "Je brûle aujourdhui: Savéz-vous la demeure du Fat, ou du Vit découvert? "Non; ce sont des Sots. "Hé-bién, sortons: L'Un ou L'Autre me verra sans-doute, ét vous Le suivréz. "Divine Fille.. épuisé dans ton celeste connin, j'ai toujours les mêmes desirs; ét si je voulais mourir de plaîsir, ét dans le plaisir, je te prierais de remuér du cùl, ét de me laisser expirer au fond de ton con satiné… Foutons?… "Un seul coup. Vous m'êtes trop chër ét trop necessaire, pour que je ne vous ménage pas". En montant sur le ventre de ma Fille, ét tandis qu'elle m'arrangeait le vit a l'entrée de son con, je Lui disais: "Te quitter, pour en suivre Un, est trop scabreux, ét malheur peut arriver… Et comme elle ne s'agitait pas: "Tu me ménages?… Remue du cùl, Mignone? saccade? décharge?… C'est mon seul coup… Mais j'ai de quoi te satisfaire… Il le faut même, avant qu'Un de tes trois gros Vits te martyrise". Elle remua du cùl ét du con, comme Marie-Antoinette foutue en levrète à la Conciergerie, par un Poliçon de Gendarme… Nous dechargeames, Conquète, comme La Reine, Moi, comme Le Gendarme… Je sortis. Elle lava.

XXV Chapitre.

Chap. Du bon Père qui fait foutre sa Fille.

Aléz au but, & bravéz le reste: c'est un con, qu'il s'agit d'élârgir; il faut donc qu'il soit foutu…..

On sait que j'avais à moi Un certain Tràìtdamour, mon secretaire, frère de Minone ét amant de Connète, qu'il m'avait fait dépuceler, l'ayant trop-gros. C'était Un vigoureux Garson de vingt ans. Il demeurait à deux pas. Je l'alai chercher: "Veux-tu foutre quatre ou cinq bons coups, avec Une Femme charmante, que je veux régaler, ét à Laquelle je veux donner haute opinion de Moi? Ainsi, tu n'auras pas de jour: Mais tu L'auras vue avant de La foutre, pour La mieux servir. "Bon, bon! il y a quinze jours que je ne l'ai mis, ni à Connète, ni à ma Soeur, ét je n'en fous point d'Autres"… Nous arrivames.

Je Lui fis voir, par une portière, Conquète, qu'il ne connaissait pas. Hô.. qu'elle est.. provoquante… foutative?… J'entrai seul: "Detetonne-toi; trousse-toi toi-même (dis-je à Mad. Poilsoyeux): Tu es vue par Un Jeunehomme de vingt ans, beau comme l'Amour. "Mon Fat? "Ton Fat: Il se nomme Traitd'amour. Ainsi, montre tout, en abluant. Je retourne auprès de Lui". De-retour auprès de mon Etalon, je Lui dis: "Regarde La bién: Elle va s'abluer, ét montrer con ét cùl"… L'Ame de mon Gendre momentané passa dans ses ïeux. Conquète se découvrit les tetons, épongea légèrement les bouts d'eau-rose. Ensuite elle se troussa audessus des reins, se parfuma le cùl ét le con avec une autre fine éponge; tendit le cùl, se faça bién le con: Puis elle se renversa sur le foutoir, avant de fermer les rideaux. Je Les alai tirer, en disant à Traitdamour de me suivre dans un instant. Je me jetai sur La delicieuse Poilsoyeux; ét L'enconnai. Traitdamour me chatouilla Les couilles. J'émis avec fureur: Ma Fouteuse se recriait de volupté… Je me hâtai de déconner.

Tràìtdamour attendàit tout deculoté, Il se précipita sur ma Fille, ét je dis, en me penchant sur La tête de L'Enconnant: "Alons, alons, ma Belle! les reins souples? j'ai repris une vigueur nouvelle"? Traìtdamour cependant enfonçait à-peine son beau vit dans cet étroit bijou, encore que mon foutre y servît de pommade. Conquète, de-nouveau depucelée. Criotait, en soupirotant, ét neanmoins remuant vivement du cùl, à chaque dardement de vit.

Je rebandais. Mais Tràìtdamour foutit trois coups, ét fit trois copieuses éjaculations avant de déconner. Je Le tirai, pour Le forcer à reprendre haleine. "Je vais pendant ce temps-là (Lui dis-je très-bas), faire une petite partie de Trou-Madame. "Je vois (me dit-il de-même), vous ne bandiéz plus asséz roide, ét je suis votre Boutentrain? Mais elle a Le con plein de foutre"… Ma Fille se lavait… Je roidissais de-plûs-en-plûs, par la vue des cuisses de neige, de la jambe fine, du piéd parfait, du cùl, du con, du ventre d'ivoire, du nombril bién-fait, des tetons de ma Fouteuse. Je dis tout-haut à Tràìtdamour: "Beau Fouteur, montre-toi; que ma Deesse voye le superbe Vit dont je La régale"? Traìtdamour parut son Tràìt à la main. Ce n'était pas le Fat; mais Il était plûs beau. Ma Fille sourit: Puis baîssant la vue sur le Vit majeur, La Belle dit en soupirant, ét Le pressant de sa main blanche ét potelée: "C'est donc toi, qui m'as fait tant de mal… ét de plaîsir"?… Tràìtdamour me La renversa; Lui fit écarter les cuisses; me coucha sur elle; me mit l'engin dans la brèche, en disant: "Votre Belle a la main trop douce; pourrait vous mettre à nage, ét il faut enconner roide… Pousséz, mon Maître… piquéz des deux..! la Cavale est belle… Alons, Deesse enconnée, hausséz le con.. Remuéz du cùl… C'est Un Homme-d'esprit qui va vous humecter la matrice de son foutre honorable"… Cette harangue fit sourire la Foutue, qui, pour en déguiser la cause, s'écria: "Hâ, monsieur Vitnègre, que de cornes vous voila!… "Alons, Deesse (reprìt Tràìtdamour), songéz qu'il faut que vous fassiéz les trois-quarts de l'ouvrage… Du mouvement?… Bon… hâ! ça va d'amitié.. ét.. vous remuéz du cùl comme une Princesse… Alons, des reins souples? Avec votre connin satine, vous mettéz votre Fouteur aux Anges!… Roide, mon Maître? aidéz-vous.. votre jolie Monture va comme une Jument barbe… Gzee.. gzee.. Un coup de fouet… Hâ! quels soubresauts… Ma-foi, elle decharge… Piquéz des deux… Comme elle trémousse des fesses, la celeste petite Amie? comme elle en donne!… Que je vous chatouille les couilles, pour vous y faire correspondre?… Vous partéz?… Quels coups de cùl?… Quels soupirs?… Elle redecharge"?…… Ma modeste Fille ne jurait jamais que très-emue, ét dans le delire de la volupté: Aussi, en cette occasion, elle sincopa, en s'écriant: "Bou..ougre?.. fous..ous-moi? Mon… con a.. toute.. mon âme!… Je fous.. je fons… en foutre… je decha..arge… Que.. n'ai-je.. deux vits.. dans.. mon.. sacré con? "Il est trop étroit, ma Belle (Lui répondit Tràìtdamour); sans quoi l'On s'arrangerait à vous donner ce plaisir-là… Mais On pourra quelque-jour vous enculer, pendant que votre Fouteur vous enconnera"…

Après une delicieuse décharge, je me crus épuisé. Je deconnai surlechamp. Ma Fille trémoussait encore. Tràìtdamour sauta sur ce con fumant, ét tout en Le re-enconnant, il me disait: "Vous avéz foutu ma Petite Soeur; je L'ai foutue aussi, après vous: Vous m'avéz dépucelé Connète ma Future: Dites-moi si Leurs cons valent celui que votre bonté me fait enfiler? c'est un satin?….. Mais, à en juger par le soyeux du poil, j'augure que l'interieur du con de ma jolie Chapelière de la ruë Bordet, en approchera… Ma Reine.. vous fais-je mal? "Et plaisir… Va.. va..a va..a donc? je fous. "Hahahâh, quel satin.. quelles delices?… J'enconne.. je fous.. je decha..arge… Remue.. divine.. sacrée.. celeste Enconnée?… Hô, l'aimable petite pincette qu'elle a au fond du conin?… Pince.. serre.. sacrée petite Convulsionnaire.. fais-moi.. convulsiver dans ton joli con?… Tu veux du foutre.. Deesse?… Quatre decharges de-suite vont t'inonder le conin.. conichon.. conichonnet?… Voila ma seconde… "Fous.. saccade (murmurait ma Fille).. ne.. me quitte.. pas chër Vitdamour? "Ne la quitte pas après avoir dechargé (dis-je à mon ancien Secretaire); qu'elle sente les dernières oscillations de ton gros vit?… Qu'elle est jolie, en foutant?… (disais-je à Tràìtdamour); je rebande… Elle a l'air d'une Deesse?… Laisse-la achever… Farfouille… Lime.. lime-la?… Elle gigote encore… Bon.. bon? Elle se pâme?… Hâ, qu'elle est jolie, pâmée!….. "Elle n'émet plus? "Elle a émis quatre fois dans le con, sans la desenconner, Quatre ét trois c'est sept (disait Tràìtdamour, en me La lavant): vous aléz la refoutre: ça me reposera; j'irai à mes douze. "Vous vous feréz mal (me dit Conquète); voila quatre fois que vous m'enconnéz aujourd'hui; le reste de ses 12 me suffira: ça fera mes 16"? Pour toute réponse, je me La fis renverser: Elle me darda sa Langue, ét je La foutis roide… Traìtdamour la prit ensuite, ét ne La quitta plus, quoiqu'elle L'en priât, qu'il n'eût arrosé de foutre cinq nouvelles fois ce beau con…. Elle se leva aussitôt qu'elle fut déconnée, en me disant: "Emmenéz cet impàyable Jeunehomme, ét me laisséz libre: J'ai besoin de rafraîchir sur le bidet plûs d'une demi-heure mon pauvre Bijou martyrisé"…. Nous La laissames; j'alai prendre ét faire prendre à Tràìtdamour un bouillon chéz Mad. Brideconin, que je priai d'en tenir un prêt pour Mad. Poilsoyeux. Ce qui La surprit… Conquète rafraichie arriva, ét parut aussi décente, aussi modeste, que si elle n'avait pas foutu. Tràìtdamour partit, sans être instruit: Mad. Brideconin étant prévenue de ne jamais decouvrir les relations entre ma Fille ét moi.

XXVI Chapitre.

Chap. d'AVIS três-utile au Lecteur, et à l'Auteur.

Nous en sommes enfin au temps si souvent annoncé des fouteries majeures. Si je les avais ràpportées sans préparation, elles auraient étonné: Mais qu'On sache que j'étais sûr, en les commençant, non-seulement d'avoir pour mes Filles deux des trois Payeurs qui soldaient Vitnègre, mais encore de Les faire préceder par la jolie Chapeliére de la rue Bordet, qui, vendue au plus douteux, devait m'instruire de la moralité de tous les trois. Il était donc essenciel, pour éviter qu'elles ne fussent estropiées, de Les faire prodigieusemt élargir, en évitant neanmoins de Les prodiguer à trop de Déchargeurs en con. L'On verra comme je m'y prendrai pour cela.

On trouvera dans le Recit un Episode, à chaque Seance, tant pour varier la scène, et reposer l'imagination, que pour raconter quelques Avantures, que j'ai cru devoir supprimer au commencement. Chaque historiette lue ou racontée, ne sortira pas du genre. Rién de plus déplacé, dans un Ouvrage comme celui-ci, qu'une Dissertation philosophique; elle y deviént insipide, et par-là même dégoûte de la phlosophie. Mon but moral, qui en vaut bién un-autre, est de donner à Ceux qui ont le temperament paresseux, un Erotikon épicé, qui les fasse servir convenablement une Epouse qui n'est plus belle. C'est ce que j'ai vu faire à plusieurs Hommes, qui se servaient pour cela du Livre cruel ét si dangereux de Justine, ou les Malheurs de la Vertu. J'en ai un plus important encore; je veux préserver les Femmes du délire de la cruauté. L'Anti-Justine non moins savoureuse, non moins emportée que la Justine, mais sans barbarie, empêchera desormais les Hommes d'avoir recours à celle-ci. La publication de la Concurrante antidotale est urgente, et je me deshonore volontiérs aux ieux des Sots, des Puristes ét des Irréfléchis, pour La donner à mes Concitoyéns.

L'Ouvrage aura II Parties: Après le Recit formant la Ire, succèderont des LETTRES, non moins assaisonnées, composant la IIde. Les Filles de Cupidonnet Lui racontent les parties-de-plaisir que Leur fesaient faire leurs Entreteneurs; parties oú, dans le delire de l'ivresse, Leurs Payeurs les fesaient quelquefois posséder par 12 Hommes… Mais toutes ces Lettres ne sont pas érotiques: il en est d'intéressantes par un autre motif; tel est celui d'une Resurrection, avec la decouverte importante de l'origine de Conquette-Ingenue, ét de Victoire-Conquette, noms de deux Filles que les miénnes ont remplacées: Ce qui me justifiera d'une certaine chose, qui sans-doute a déja effarouché plus d'un Lecteur… Je n'en dirai pas davantage là-dessus.

On ne peut trop multíplier les observations sur les Scènes que je vais mettre sous la vue du Lecteur: Pour remplacer la JUSTINE, ét faire préferer l'ANTI-JUSTINE, il faut que celle-ci surpasse l'Autre en volupté, autant qu'elle Lui cède en cruauté: Il faut qu'un seul Chapitre lu par un Homme, sur l'inspection de la Table, Lui fasse exploiter sa Femme, Jeune ou Vieille, Laide ou Jolie, pourvu que la Dame ait fait bidet, ét qu'elle soit bién chaussée.

XXVII Chapitre.

Chap. Du commencement des grandes Fouteries.

Egayée come elle l'avait été hièr, ma Fille devait ávoir besoin de repos le lendemain: Elle avait le Bijou si fatigué, qu elle ne pouvait quitter sa chaise. Elle resta constamment auprès de Mad. Brideconin, depeur que Persone ne vînt le lui patiner. Le reste de la semaine, elle évita également, quoique guérie dès le 3me jour, de se trouver seule avec moi. Elle amassait elle-même du tempérament; car elle ne s'était jamais branlée.

Le Dimanche, à une heure, elle ala pour la dernière-fois chéz son Amie… Avant de partir, elle me présenta son joli Piéd à baiser, ét me livra sans bégueulerie le Poil de son conin. Je La conduisis jusqu'à la porte, promettant de La revenir prendre avant 5 heures: ce qui la fit rougir: mais j'observai qu'en montant, me croyant parti, elle souriait.

Je fus exact. En la ramenant, je la fis marcher devant moi, m'apercevant qu'elle était observée par un Homme, que je pris pour Un des Payeurs de Vitnègre: Mais Il ne pouvait reconnaître que son joli tour-de-cúl ét sa marche provocante, tant elle était bién encalèchée. J'observais l'Inconnu: Je demandai à ma Fille, Si c'était-là Celui-ci qu'elle préferait? — Oui- (me dit-elle). Alors, je La nommai distinctemt, Ma Fille. Et l'Homme s'éloigna.

J'avais averti Tràìtdamour. Il avait une cléf de mon Magasin, ét nous L'y trouvames. Je Le crus seul, malgré la recomandation que je Lui avais faite, de m'amener quatre Acteurs des deux-sexes. Je Lui dis en riant, que je bandàis, ét que je voulàis enconner. "Quoi! (dit Conquète), est-ce que vous aléz faire tous-deux comme l'autre fois?… Je ne suis pas disposée, je vous en avertis. "Nous vous disposerons, ma Belle (Lui dit ironiquement Tràìtdamour, qui La crut ma Putain): voyéz-moi ce vit-là?"… Et il Lui en montra un superbe… "Laisséz-moi dabord vous lècher le conin, Ma'm'selle?… Mon Maître vous enconnera, quand vous seréz préparée? J'ai tout disposé, pour lui donner aujourdhui, ainsi qu'à vous, un plaisir de Fermiér-general". Il La renversa brutalement, ét La gamahucha, en Lui disant, comme s'il L'avàit menacée: "Ne résistéz pas! car je vous ferais mal"… Mais Mad. Poilsoyeux, comme toutes les Femmes à grand temperament, aimàit, dans la fouterie ét ses accessoires, une sorte de brutalite. Ainsi, en croyant La contraindre, il La servait admirablement… La Belle commençait à décharger…

Tandis que je roidissàis avec oscillation, à la vue du systole ét du diastole des fesses ét du con de ma Fille, j'aperçus derrière un rideau de l'alcove quelque-chose qui remuait. J'alai voir. C'étaient Minone ét Connète, auxquelles deux Garsons amis, de Traìtdamour, excités par ce qu'ils voyaient, lèchaient le con. Je Leur fis entendre par signes, de ne pas bruïr, ét je Les encourageai d'un geste.

Cependant Tràìtdamour fellait ou suçàit le conin de Mad. Poilsoyeux. Lorsqu'elle fut suffisamment en humeur, il se dérangea, me tìra sur la Belle, ét insera mon vit bandant en ce conin rempucelé par sept jours de repos. "Qu'avéz-vous à me donner à vous suçer? (dit-il à l'Enconnée). Elle Lui présenta l'index de la main-droite qu'il se mit à suçer, après neanmoins avoir appelé sa Soeur ét sa Maîtresse, en Leur disant: "Ici, Bougresses, ét qu'On montre son savoir-faire"?… L'Une (Minone) qui avait la main aussi douce que ma Fille avàit le con, me chatouilla les couilles; l'Autre (Connète), fourrait un doigt pommadé dans le cùl de ma Fouteuse, pour La faire tressaillir sous moi… Mad. Poilsoyeux hennissàit de plaîsir. Elle me dardait sa langue, en m'appelant son chër Fat.. son chër Centlouis.. son chër Payeur à gros vit.. son chër Traitdamour… Enfin, enivrée de fureur érotique, elle s'écria: "Vitnègre?… Jeanfoutre… Fous-moi? Pinçe-moi?… Que ton gros vit de Mulâtre me pourfende ét m'encule"?… Et elle déchargea comme une Energumène. En ce moment, j'avàis dans la bouche la Langue fretillante de mon Enconnée; Une des deux Filles me chatouillàit de la siénne le trou du cùl ét les couilles; l'Autre me suçait dans la raie du dos entre les deux épaules, précisément sur le sensorium… Je croyais connaître le plàîsir de la décharge: mais je ne l'avàis jamais éprouvé, comme cette fois-ci; ét de ce coup, je fus rendu…. "Quelles delices"!

Tràìtdamour m'enleva de sur ma Fille, ét se précipita dans son con. "Voila un connin? (disàit-il, en poussant ét retirant, alant toujours plûs avant, à chaque saccade): Il y a de la difference de ce connin aux autres cons, comme du satin à la tapisserie de Bergame"… Les Jeunesfilles n'avàient plus besoin de chatouiller, quand Tràìtdamour foutait; il avàit asséz de feu pour Lui-même, ét ne fesàit que trop bién trémousser sa Monture. Je fis signe aux deux Garsons, Brisemotte ét Cordàboyau, d'étaler les Filles, l'Une sur un vieux sofa, l'Autre sur un Lit-de-sangle àyant un simple matelas, ét de Les foutre à la portée du regard de la Belle au con soyeux. Par un effet du hasard, ma Fille émettàit sous Tràìtdamour pour la seconde-fois, ét les deux Enconnées déchargèrent au même instant, ainsi que les trois Hommes. La belle Poilsoyeux, en roidissant les jarrêts, fesàit: "Hi hi-hi-héhé?.,. Minone: "Han-han-hanh"?… Connète: "Houhi-houhin houah-houah-houâh"?… Les trois Hommes disaient ensemble; Tràìtdamour: "Remue du cùl, Deesse"?.. Cordàboyau: "Remue du cùl, Garse"? Brisemotte: "R mu du cùl, petite Putain"?… En déchargeant, ils s'écriàient: "Foutre… "Foutre… "Foutre… Tràìtdamour: "Hâ, Deesse… Cordàboyau: Hâ, Bougresse… Brisemotte: "Hâ, Mâtine"! chacun suivant son caractère ét sa politesse….

Mad. Poilsoyeux fut la plûs longue à décharger; les deux Autres étàient déconnées ét lavéès, qu'elle émettàit encore. Enfin elle cessa. Tràìtdamour La lava: Et me voyant rebander: "Vous la foutréz sans-doute autant que la dernière-fois? (me demanda-t-il). "Très-certainement! (repondis-je). Je ne suis vigoureux qu'avec cette Jeune-beauté: Je la foutrais jusqu'à extinction de vie ét dessiccation de couilles; ét tu vas voir ce que je vaux. Qu'On m'anime seulement par la vue d'enconnages redoublés"?

XXVIII Chapitre.

Chap. De l'Enculo-connillerie.

Ma reponse fit sourire Traîtdamour, qui sans-doute n'y ajouta aucune foi.

"Hé-bién (reprit Tràìtdamour), je vais vous donner un plaisir, que vous n'avéz jamais eü, ni ces Bougres-là non-plûs. Je tiéns cette pratique de l'Abbé Chouanche, ancién Genovefain, qui m'a souvent enculé, avant que j'eüsse de la barbe au menton ét du poil au vit.. Un-jour, voyant que je m'ennuyais de son culetage, il me dit d'aler lui chercher la petite Cùlfràyé la cadète, jolie come un coeur, ét non encore vendue à un Lord. Il envoyait 12 francs à la Mère, ét la Fille devait en recevoir autant. L'Abbé la fit s'appuyer un coude sur une commode; il se mit derrière elle, ét l'encula: J'étais devant, ét il me la fit enconner. Nous limions; nos deux vits se sentaient, ou la Jeune-garse tortillait du cùl de-façon, que nous croyions le sentir. Chouanche la fesait tantôt pousser du con sur moi, ét alors son vit déculant à-moitié, il avait l'agrément de la re-enculer, quand elle foulait du cùl sur lui. Je presque-déconnais alors, puis je re-enconnais. Ce joli jeu dura, tant que Chouanche put retenir son foutre. Car il ne dechargeait pas: il se reservait pour mon cúl. En-consequence, il fit metttre la jolie Cùlfrayé sur le dos; je l'enconnai; l'Abbé m'encula, ét nous déchargeames tous-trois…. Nous ne prendrons pas la manière du Genovefain; elle est trop fatigante pour la Foutue. Mais il payait la jolie Bougresse… Payéz-vous Madame?… "Non certes: c'est une honnête-femme. "Je m'en suis aperçu à sa fouterie: Une Putain ne fout pas comme Madame… En ce cas, je vais vous donner une experience fisique sur Une de ces deux Fillètes… Alons, Minone.. Alons, Connète? laquelle des deux veut étre enculée ét enconnée tout-à-la-fois ét en-même-temps? Qu'elle se trousse"?

Durant cet entretién, qui La laissàit tranquile, Conquète s'étàit couvert le con ét les tetons. Les deux Filles étàient assises à-côté d'elle, détetonnées. Elle Leur baisa le boutonnet, ét Leur couvrit la gorge de sens-froid avec leurs fichus. (Mad. Poilsoyeux redevenàit toujours modeste, dès qu'On ne La foutàit plus)…….. Les deux Filles répondirent ensemble: "Moi… Moi! "L'Une après l'Autre (dit Tràìtdamour)… Vous avéz ici de la pomade, ou du beurre-frais? "Oui (répondit en rougissant la belle Consatiné): Tenéz, ma pomade est-là… ét voici du beurre. "Gardons ce beurre-frais pour vous, belle Dame, aussi belle au cùl ét au con, qu'au visage (reprit Tràìtdamour). Minone se pomandàit la rosète. "C'est donc toi qui passes la premiére, ma Soeur? "Oui, si c'est tòi qui me dépuçèles le cùl? "J'y suis pucelle aussi (s'écria Connète). "Ce ne sera pas moi qui aurai ton puçelage d'arrière (répondit Traìtdamour à sa Soeur): Mon vit est aujourdhui entièrement reservé à Madame: Et quoique le culetage m'ait toujours fait peine, Agent ou Patient, le cùl satiné de Madame me tente autant que l'étroit fourreau de son con, qui se rempuçèle en une semaine, ou seulement en fesant bidet à l'eau froide. Je suis sûr que Madame n'a jamais été enculée (à-genoux, il Lui regardàit au cùl), ét que c'est aussi un puçelage"? Conquète rougissàit.

Les deux Camarades de Tràìtdamour tirèrent au premiér-Roi, à qui dépucelerait le cùl de Minone: car tous-deux Le voulàient avoir. Ce fut Cordàboyau (un Bellot à vit moyén), que le sort favorisa. Il se pomada le vít jusqu'à la racine. Tràìtdamour fit coucher Minone sur le côté. Il mit Cordàboyau devant son cùl, ét Brisemotte (un Beau à gros Vit) devant son con. Il La fit ainsi enfiler des deux côtés; les Jeunesgens se La poussant L'Un sur l'Autre à qui mieux. Ce qui donnait un tel plaîsir á Minone, qu'elle se recriàit: "Dieu.. que j'ai de delices… c'est… une fouterie de Princesse…… On dit.. que la Reine.. fout ainsi entre.. DArtois et Waudreuîl.. ce derniér a.. le cùl…. "Alons (dit Traìtdamour), tachéz de décharger tous-trois en-même-temps"?… Cordaboyau poussait; il retint la Gàrse par les hanches, pour enfoncer plûs àvant; Brisemotte en fit autant; desorte que rendue immobile, elle s'agitait néanmoins en tout sens. "Examïnez bién.. (dis je à Conquète-Ingenue), pour faire la même chose à votre tour: car il faut que vous experimentiéz tous les genres de fouterie". Elle considéra le jeu, à-tràvers les bâtons de son éventail. Minone hâletaît. Connète ébahie restait immobile à La contempler: "Que fais-tu là, toi, Bougresse? (Lui dit Tràìtdamour, notre grand Maître-des-cerémonîes): Patine-nous Madame… Suce-lui le bout des tetins… Gamahuche-la; elle a le con propre comme un visage de Mariée"………..

Ces mots, énergiquement prononcés, mirent en danse la Reîne de la Fête, que je vais décrire.

Connète, tandis que Minone travaillait, & qu'elle était travaillée, decouvrit les tetons de Mad. Poilsoyeux, & les siéns: Elle en suça les bouts; elle se les fit suçer. Ce chatouillement de la bouche de Conquète, aussi satinée que son con, mit la jeune Connète en fureur amoureuse: Elle trousse Mad. Poilsoyeux; lui insère sa langue dans le con; lui chatouille le haut de la mote. La Belle émoustillée, regardait cependant Minone. Celle-ci avertit ses deux Fouteurs qu'elle était prête à decharger. Ils redoublent le fourgonnage. Elle s'écrie: "Vits de Dieu"! Et elle se pâme. L'Enculeur & l'Enconneur l'inondaient de foutre; il ruisselait des deux côtés… Ma Fille, vivement gamahuchée par Connète, est hors d'elle-même, & cette modeste Beauté dit à la Jeunefille: — Ote-Toi-, Garse! Un Fouteur? un fouteur?… deux… cent Fouteurs-?… Traìtdamour l'entend: Il derange Connète acharnée, en la tirant par la jolie crinière de son con blond: Il emplit le trou-du-cúl de Mad. Vitnègre de beurre-fraîs; s'en frote le Vit decaloté; se met le bas-ventre sur ses fesses, enfile la rosette, sans écouter les petits cris de l'Enculée; l'étreint vigoureusement, se retourne, en se mettant sur le dos, le vit dans le cùl de la Belle jusqu'à la garde, son con bién facé:….. Il crie à son Maître: "A ce con beant qui vous supe! Enconnéz roide… Piquéz des deux… la Garse est enculée, & je vas vous donner les mouvemens….. Pardon, Deesse! je ne me connais plus…… Connète? boulonne, boulonne les Couilles de mon Maître"……

Cependant j'enconnais ma delicieuse Fille: Et sentant le vit de Traìtdamour, qui m'étrecissait encore le passage, & qui donnait au connin des oscillations, que jamais Con n'a eúes, je déliraí, en m'écriant: — Chién de Vinègre! cocù tout-à-la-fois du con & du cul-. Cette idée m'enflâmait, & sa brutalité m'empêcha de décharger trop-tôt. Je parvins au charmant pinçoir du fond du conin. Il me suça. Le vit de Traîtdamour me communiquait tous ses mouvemens, & en fesait faire d'insolites à mon adorable Fouteuse. Deja préparée par la langue de Connète, elle s'écrie: — Ha-ha-hôh!… ze déça-arze…. Foutre! — En voila.. du Foutre.. plein votre con… Reine des Vits.. et des Dieux s'écria Traìtdamour-!….. Et je sentais les oscillations de son gros Vit qui éjaculait…. Enfin, je déchargeaí moi-même. Ma Fille, inondée de foutre tremoussait rapidement: — Con satiné de mon Vit (m'écriai-je), que tu es delicieux-!… Mad. Vitnegre émettait encore, quand Traitdamour decula…..

Ce mouvement la fit redecharger… Le Bougre se lavait d'eau-tiède. Conquète, dans le Con de laquelle je laissais osciller mon vit, après decharge, gigotait, tremoussait, tremblotait sous moi. Connète m'avait quitté les couilles. Traìtdamour toujours bandant, était revenu vers nous. — Fous-la-moi tout-chaud (lui dis-je); elle decharge encore…. Et toi (dis-je à Connète), boulonne-lui la bouteille-à-miel du Bourdon-d'amour-. Elle m'obeït. Mais Minone, deculée, deconnée, lavée, était libre: Elle vint remplacer Connète, en me demandant, Si cela ne signifiait pas tout uniment, de chatouiller les Couilles de son Frère, pendant qu'il foutait ma Maîtresse?… Cordàboyau cependant & Brisemotte hápaient Connète, le premier, cette fois enconnant, tandis que l'autre enculait, pour donner une perspective encourageante à ma Fille.

Mais tout finit. Mad. Vitnègre cessa de decharger. On la deconna: Traitdamour la mit an bidet: Elle se couvrit modestemt le Con & les Tetons; puis elle dit aux deux Fillètes: — Mes Bonnes-amies, alons aîder mon Hôtesse, pour le souper-? Elles y coururent. — Si vous n'avéz préparé (dit ma Fille), que pour notre soupér ordinaire, je vous avertis qu'il faut le double. — Je n'ai pas asséz donc (repondit mad. Brideconin). — Vîte au Rôtisseur de vis-à-vis (reprit la Belle Vitnègre); & du bon vin? ou je ne boiraí que de l'eau. Un bon mariage paiera tout-ça-… On ala chéz le Successeur d'Ellès, qui promit un copieux soupér pour dans une heure.

Conquète rentra auprès de nous avec les deux jolies Filles. — Rebandéz-vous? (me dit Traitdamour): Il ne faut pas laisser languir nos cons, avec l'expectative d'un bon soupér? — Je brûle, à la vue du tour-de-cùl, & du piéd de ma Deesse: mais je ne suis pas roide lui repondis-je. Traitdamour: Je roule dans ma tête une idée, qui vous roidira.

XXX Chapitre.

Chap. D'une nouvelle Actrice: Danse négre.

— Alons, Garses, dit Traitdamour à sa Soeur et à sa Maitresse, nues? Et vous, Bougres, deshabilléz-vous-?….. Il se mettait nu lui-même. — Mais il nous faut encore une Actrice… Je viéns de voir monter une jolie Drôlesse, qui ferait notre affaire? — C'est mad. Brideconin, l'Hôtesse de notre belle Dame, dit Connète. — Non, non, mon Amie: C'est une petite Brune de fond de la cour, cadète d'une grande belle Blonde, que nous aurons peutêtre un-jour, & qui se nome Conindoré: La Cadète s'appèle Rosemauve, & passe pour très-rusée. Mais On la dit amoureuse comme une Chate, quoiqu'elle soit peutêtre pucelle encore; car sa Mère la couve des ieux. Cependant quand un Homme l'embrasse, elle ne fait aucune difficulté de donner sa langue. — Je la counais! dit modestement la belle Poilsoyeux; & elle m'a… m'a… Traitd. Quoi? Deesse? — Mais, donné sa jolie langue, &… — Et quoi? — Gam*******. — Gamahuchée… Va la chercher, Connète. — Non! dit vivement Conquette, j'y vais moi-même-. Elle sortit, & ayant rencontré Rosemauve qui redescendait, parcequ'elle n'avait pas trouvé un vieil Oncle asséz riche, dont elle recreait l'impotente lubricité, en lui chatouillant le Croupion, le Scrotum & les Testicules; ce qui le fesait bandocher, la Belle Poilsoyeux la mit au fait, obtint son aveu, & l'introduisit.

Les deux Filles & les trois Hommes étaient nus comme la main: Sans rién dire à la brune Rosemauve, ils se mirent tous-cinq à la deshabiller. On lui enleva jusqu'à sa chemise. On lui baigna Cul, Con, Cuisses, Piéds… Puis Traitdamour lui dit: — Ma Belle, il faut; en Tout, faìre comme ma Soeur & mon Amie-. Aussitôt commença la Danse-nègre; où chaque Fille fesait tous les mouvemens d'une Noire ardente, qui fuit le Vit dont elle brûle d'être enconnée, que le Vit attrape, & qui saccade alors en tremoussant du cùl, comme si le Vit la fourgonnait. Les Garsons poursuivaient les Garses le vit en main; & dès qu'ils les avaient attrappées, elles se retournaient pour l'enconage, ou ils paraissaient les foutre en levrette; culetant, criotant, jurotant, comme s'ils eússent perforé les cons. La Danseuse prenait le vit, aulieu de la main; l'Homme la saisissait par la barbe du con. Ils se fesaient ainsi tourner de-temps-en-temps.

Je bandais roide. Je fis trousser ma Fille audessus des reins, & je lui dis: — Conque de Vénus, imite tous les mouvemens de cul et de con que tu vois-… Elle était excitée; elle se mit au-milieu de la danse, & les executa rapidement… Traitdamour me voyant en rut, & ses Camarades bién-disposés, leur dit: — Au foutoir-… Il laissa Rosemauve, sa Danseuse, qui en parut toute mortifiée! — Votre tour va venir, ma belle Danseuse-. Il étendit ma Fille sur le sofa, dont il lui mit un des oreillérs sous le cul: — Alons, ma Toute-éveillée, dit-il à Rosemauve, gamahuchéz-moi ce conin-là, pendant que je vous le mettraí en levrette, ou vous enculeraí, à votre choix? — On ne dépucèle pas une Vierge en levrette (repondit-elle vivement): encule-moi, s'il le faut, tandis que je gamahucheraí ce conin d'amour-… Elle gamahucha la belle Epouse de mr Vitnègre avec fureur, & Traitdamour perça sans pitié, par des efforts redoublés, le cul virginal de la Gamahuchante. La belle Poilsoyeux appela le Vit? le Vit?

Je n'y pouvais plus tenir. Je derangeai la Rosemauve enculée, pour me précipiter dans le con de ma Fille haletante de volupté….. J'enconnais vigoureusement, lorsque j'eüs la delicieuse surprise de me sentir gamahuchea le Cùl, ainsi que la racine des Couilles, par la bouche & la langue veloutées de Rosemauve!… Je cocufiai mons Vitnègre aussi copieusement, que si j'avais eü les couilles d'un Dieu!… On abluait: — Avec la permission de ma Deesse (à Conquète), il faut que je m'acquitte avec Rosemauve-?… Tout le monde s'écria: — Non, non, Dimanche-? Je ne les écoutai pas; j'enfilai la Pucelle, qui criota, sanglorina, & ils furent Temoins de ma nouvelle victoire. Mais Conquète me gronda serieusement.. On ala souper.

La conversation fut sage, rassise. Brideconin, sa Femme en étaient édifiés… Mais je ne tarderaí pas à les mettre de nos amusemens… Au dessert, Traitdamour me demanda une Histoire dans genre de nos Amusemens? Je lui donaí à lire une Lettre, adressée à Vitnègre, par Un de ses Trois Payeurs, Lettre que j'avais trouvée dans une des malles de ma Fille. La voici:

XXXI Chapitre.

Chap De la Piochée, du Pioché, du Piochard.

Nous avons Un de nos Confrèrs, qui avait une Maîtresse de seize ans, dont il jouissait à sa manière, comme je prétens jouir de ta Femme à la miénne, quand une-fois je l'auraí devirginée. Tu seras alors présent à nos fouteries, à-peu-près come le Pére dont je vais parler. J'aime à écrire ces histoires-là; elles me font bander. Le Père de la Jeunefille était Un riche Marchand, qui l'avait delicatement élevée: mais il était devenu si pauvre, qu'il ne pouvait plus la nourrir, ni Un Fils de douze ans. La Fille áyant plu à mon Confrère, il la voulut acheter. Le Père la lui vendit douze-mille francs. Mais comme Piochencùl (ç'est le nom du Confrère), est un libertin fort blâsé, il lui faut un ragoût pour le ranimer. Ce ragoût est de faire trousser & laver la Fille par son Père, avant d'en jouir. Le Père prend ensuite le vit du Fouteur, & le dirige dans le con sans poil de la jolie Piochée. Son Père l'avait pomadée la première-fois. Pendant l'acte, il l'excite à remuer du cùl, à serrer le Fouteur dans ses bras, &c. Quand elle est deconnée, le Père lave le vit de son Gendre, le cùl, le con de sa Fille, & les essuie.

Dans la conversation, Piochencùl apprit biéntôt que Piochée avait un Frère beau comme Adonis; c'est-à-dire parfaitement ressemblant à sa Mère, qui avait été très-jolie femme. Dès que mon Confrère le sut, il l'acheta, comme sa Soeur, & pomadé par le Père, il l'encula. Peu de jours après, voulant foutre la Soeur avec plûs de vigueür, il la fit laver par le Père, gamahucher par le jeune Frère, & il l'enconna, quand elle fut prête à decharger… Par la suite, il n'encula plus le joli Enfant: "Bougre! dit-il au Père, je ne bande plus asséz pour enconner ta Fille, sans être excité; encule moi là ton petit Garson; cela me fera roidir"? Le Père est forçé par son interét, d'obéir au Blâsé: Ce qui fait tellement bander le vieux Satyre, qu'il enconne, & même encule la Jeunefille….

Il y a 4 ou 5 ans que cela dure. Quand le Garson a eú 15 ans, il lui a fait enconner sa Soeur: Il la fout ensuite sans laver, pendant que le Père encule le Jeunehomme. D'autres fois le Frère encule sa Soeur, tandis que le vieux Bougre l'enconne…. Voila. quelle est la vie que mène mon vieux Confrère, & qu'il trouve delicieuse à son âge… La Fille est delicate & jolie. Le Garson est beau. Le Père est affreux. La Fille est devenue grosse. Le Financiér croit, avec raison, que c'est du jeune Frère. Il desire que ce soit une Fille, esperant qu'elle sera jolie, comme tous les Enfans incestueux. Car il faut savoir que ce joli Garson est fils d'Un Frère-aîné, qui, dévenu éperdûment amoureux de sa Mère, donna la courante à son Père, en mettant de la manne dans son potage au lait du soir. Le Père fut obligé de se lever souvent, & le Fils, à chaque sortie, ala auprès de sa Mère, qu'il enconna six-fois aumoins pendant la nuit… Voila d'où provenait le beau Garson, ressemblance de sa Mère avec une telle perfection, que vêtu des habits de la Belle, qui n'est plus, on le prend pour elle. C'est en consequence, qu un Amant, piocheur de la Mère, entretint le Jeunehomme sur le même piéd que sa feuë Maîtresse, à-condicïon que pour la jouïssance, il prendraìt les habits de sa Mère, en porteraìt le nom, mad. Brouète-vît; qu'il feraìt la petite voîx, diraìt Mon cón, aulieu de Mon cùl; tandís que luí Vîtacon, se feraìt íllusïon, en dîsant à sa Maîtresse: — Alons, ma chère Brouètevît, venez que je vous le mette en levrète-?

XXXI. Chap. Suite des Mêmes. Piochéte. Dix ans après.

Je vais donner la suites de cette avanture.

Piòchée eút effectivement une Fille, qui a 14 ans aujourdhuì, et qui est jolîe comme sa Grand'mère. Elle sert aux plaîsîrs du vieux Traîtant, qui ne pouvant plus encònner, s'en faìt caresser, tandís que la Mère lui suce le vît. C'est dans les extases de ce plaîsir lông ét difficile, causé par le chatouillement que fesait éprouver à son vit paralytîtique le palaîs de Piôchée, qu'il conçut le dessein de faire depuceler Piôchète à 14 ans, par Piôché l'Adònis, son père ét son Oncle, que justement la jeune Enfant aîmaìt ìncestueusement; puîs enculer alternativement. "Bande, Bougre, (dit-il à l'Adónîs), et ne decharge pas! Tu me depuceleras ta petîte Gàrse de Fille,… dês que tón Grandpère t'aúrà decúlé". Là Petíte fut gámàhuúchée pár le vîeúx Singe; púîs pomadée pàr sa Mère. Són Père, deculé, bién bandant vint súr elle, et lúy darda son vit dans le conin, dónt la Mère écartàit les bàbines. Le Fouteur n'enlràit pas; la Petîte dechîrée se recrîàit; le víeùx Satyre émótiónné, bándòchàit, en s'écrîant: "Hô! pousse dónc, Mâtin! ô pousse dónc, Bougre! Fends, ponrfends le connichon de ta Fille!… et mêts-y Une petite Garse, que nous deflorerons un-jour! Gzée, gzée, mon Etalon! fàîs-môy des Caváles"!…. Et le vieùx Decharnè, par un phenomène, émít quelques gouttes d'un foutre clàìr, dans là bouche de Piôchée, au moment où Adónîs forçant toutes les barricàdes, màlgré les crîs de sa Fille, lúy dechargeàit au fónd de són cònnìn ensánglánté! Le belître en fut si glorieux, qu'il fit à Piochette mille écus de rentes, et autànt à Piôchée, oûtre ce qu'elles avàient dejà. Son grand delîce, pendant qu'iï faìt servîr la bouche de la Mère de cón à son vît, qui ne decharge plus, est de voir piôcher Piôchette, non-seulement pvr le vigoureux Adonis Piôché, qui piôche, sòìt en cón, sòìt en cúl, maìs de faire alòrs enculer le Père qui fout sa Fille, par le Grandpère qu'encule un Laquàîs, sur le cùl duquel est assise Pîôchée, foutue par un autre Laquàîs….. Il a sóin qu'On fasse suîvre au vîeux Piôchard un regime échauffant, afin que ce Monstre tantôt encónne sa Fîlle, tantôt encule son Fîls. Pendant cette sçène, l'impuíssant Ribaud patíne les tetons et le connín du Tendrón, ou-bién la gamahúche. Il luí prend quelquefóîs des vertigôts de faire enconner la Mère, enculer Adónis par douze de ses Amís en un-seule seance. La Jeunepersone est alôrs nuë en perspectíve, montrant le cúl aux Encúleurs, et le cón aux Encónneurs…. C'est le víeux Píôchard qui insère les vîts dans le cón ou dans le cúl.

Tu vòîs par-là quel parti nous pouvons tîrer de ta Femme, lorsqu'une-fòîs elle sera depuçelée. Tu ne seras pas prìvé; tu mettras les vîts dans le cón et dans le cúl de ta Femme; tu en seras le maquereau, et quand elle sera bién élargie des deux trous, peutêtre te permettra-t-on de la foutre en cn ou même en cón. Lélargisseur.

P.-s. J'apprens par une dernière visite, faite à Pîòchencùl que Pîôchette a effectivement eú la plüs joliîe petìte Fîlle; On me l'a móntrée; elle a 3 ans. Màîs ce quì êst le cômble dú lìbertinàge, le vîeûx Pîûchencùl lúy fàit dejà teter son vît flasque, pendant que la jeune Mère lúy chatoille les coüilles. Je luy en demandáí la ràîsón?" Je profite, repondil- du temps où l'Enfant n'a pas encore de discernement, nì de degoût à me súçer". Que dìs-tú dù vîeùx Bóugre?

XXXII Chapitre.

Chap. Du Conin goûté.

Voila quel aurait été votre sort, Madame, dis-je à Conquète, si vous n'étiéz pas décédée, ét que vous fussiéz restée l'épouse de Vitnègre-. Expressions qui étonnèrent Tout le monde, hors ma Fille, & les Brideconnin.

Cette Lettre, qui avàit été lue après le champagne, avàit mis les Jeunes-gens en rut. On descendit au magasin, pendant que les Hôtes serraient les débris du soupér. Là, Tràitdamour, demi-grisé, me dit, en me designant ses Camarades: — Comment ces Bougres-là peuvent-ils avoir une idée de notre bonheur, & de ce qu'est le Connin de votre Maîtresse, s'ils n'en tâtent pas?… Je n'entens nullement qu'ils y déchargent; maîs seulement qu'ils y plongent rapidement leurs vits, pour en palper le satiné. Dès qu'un des Enconneurs sera retiré, le mieux en état de nous-deux, vous ou moi, achèvera Madame, & la fera decharger? — Je le veux bién (repondis-je). Cordàboyau bandant roìde se présenta. Nous renversames ma Fille sur le foutoir, nous la troussames, & nous declarames que nous nous tenions prêts à le desarçonner, dès qu'il aurait senti le velouté de l'étroit connin de notre Fouterie, & que le clignotement de ses ieux annoncerait l'éruptíon du foutre. — En ce cas (s'écria le Bougre), que l'Une de ces trois Garses se couche-là le Con pomadé, pour que mon vit convulsivant s'y précípite & decharge-? On pomada Rosemauve. Cordàboyau enconna lentemt Conquète, dont le satiné le fit se recrier… mais il plongea jusqu'au fond. On l'observait. Il clignota de l'oeil. Aussitôt Brisemote & Traìtdamour l'enlevèrent comme une plume, en jurant, Le sacrébougre! il va partir… Et ils le mirent sur la brune Rosemauve bién écartée, & Conète dirigea le vit. Cette Fille, la plüs chaude des Garses, si Mad. Vitnègre ne l'eût pas surpassée, engloutit le vit en trois coups de cul sans intervale. Cordàboyau dechargea en heurlant de volupté, Rosemauve l'étreignant avec une delicieuse fureur.

Cependant, ce que je voyais m'avait roidi, & j'enfonçais dans le Con humide de ma Deesse, qui suffisamment limée, dechargea deux-fois, avant que je l'humectasse de mon foutre paternel… Elle gigotait, criotait, soupirotait. — Hâ! (s'écria Traìtdamour), vous êtes le Dieu de son Con, chër Maître! il se fond en jus d'amour, quand vous le perforéz! Voyéz comme elle en donne, l'adorable Enfant?.. Alons, celeste Coquine, tremousse, tremousse! Fous, divine Garse! decharge-…

Ce fut ensuite le tour de Brisemote. Conète pemadée, fut étendue sur le foutoir… Il enconna ma Fille. La grosseur du vit & sa roideur lui arrachaient de sourds gemissemens; elle travaìllait de toutes ses forces, mais le terrible Engin avait encore plüs de trois pouces pour toucher le fond. Taut-à-coup nous nous apercevons que le perfide Brisemote veut inonder d'un torrent de sperme, le Connin qu'il martyrise. Nous ne pouvions l'enlever & l'arracher, son vit lapait comme celui d'un gros Dogue, dans la vulve enflamée d'une grande Levrète. En ce péril, nous implorames Traìtdamour & Moi, la pudeur de Conquète? L'adorable Fouteuse, fidelle à nos vits. donna un coup-de-cul en-arrière, & se decona. Traìtdamour plongea rapidemt son braquemart en furie dans le Con béant…..

Brisemote enragé se jeta sur Rosemauve, qui ne s'y attendait pas, & la foutit en levrète, avec tant de brutalité, qu'il la fit crier autant de douleur, que de plaîsir… Et voyant Conète se lever: — Reste-là, Garse! lui cria-t-il: Je suis dans une rage, par ce Con velouté que fout Traìtdamour, que j'enconnerais la ruë Maubué & celle de la Tannerie-… En-effet, Rosemauve deconnée, il fondit sur Conète, la fit crier; enfila Minone sans intervale, & reprit Rosemauve…. — Que n'ai-je-là notre Putain d'Hôtesse! la Garse boite avec grâce, elle a de blancs tetons: qu'on me l'appelle-?… Nous lui préparions Rosemauve, qu'il encula.

Pendant ce temps-là, Traìtdamour se delectait sur Mad. Vitnègre, qui se plaignotait tendrement, & dechargeait sans-cesse, parceque son Enconneur ne la deconnait pas. — Que la Bougresse qui est libre (nous dit-il), chatouille les petons de ma Deesse; ça la fera me secouer. — Alons! m'écriai-je, que Minone lui chatouille le haut de la motte, la douce main de Conète les couilles du cruel Pourfendeur, & Moi je chatouilleraí les píéds delicats de la belle Enconnée-? Ce qui s'executa: de violens soubresauts, des cris, des blasphèmes de volupté, Foutu Dieu… Sacre-Dieu… Dieu-con… Dieu-vit… marquaient l'égarement des deux Conoeuvrans.

Cependant Cordàboyau flairait la chaussure mignone de Conquéte-Ingenue, & alait y mettre son vit: — Laisse-donc! lui dit Rosemauve, tout-enculée qu'elle était; cela est insensible; mon Con est libre; que ne le fous-tu-? Le Bougre lui mit le ventre en l'air, & tandis que Brisemote lá sousaccadait en cul, Cordàboyau lui saccada le Con.

Je bandais si fort, en entendant & voyant tout-cela, que j'alais enconner Minone ou Conète. Ma Fille qui dechargeait, me dit tendremt: — Un autre Con… que le mién… peut-il vous tenter-?… Cette tendresse vraîment filiale, me toucha au coeur. — Ote-toi (dis-je à Traìtdamour); tu dois avoir dechargé-? Il deconna: Et Moi, ému d'un amour-paternel sans bornes, j'enconnaí ma Fille, sans laver. — Mêlons nos trois foutres (lui disaîs-je en enfonçant): que ton Con filial engouffre le Vit-paternel avec delices!… Remue du cul, adorable Enfant! Rens-moi tout le foutre que j'aí dechargé dans le Con de ta Mère,… pour te faire!… Hâ! comme la Garse remuait du cul, oscillait du con, le jour où je l'engrossaí de toi! Elle était chaussée, parée, un-peu chiffonnée, & si chaude, qu'elle se mit sur moi & s'euconna. Pour m'exciter davantage, elle me disait, en saccadant: Pousse… Enfonce… mon Con est frayé… je viéns d'étre foutue par ce beau Commis aux Aîdes, dont tu es si jaloux… Et elle saccadait… Pour moi,… je foutis avec fureur,… comme je te fous à-pésent… C'est moi qui t'aí engendrée, enfoutrée dans son Con satiné,… quoique tu ressemble à Louis-XV, qui,… dit-on, l'a aussi foutue… — Mon cher Père… ô Vit divin! (répondit Ingénue, oppressée de foutre & de tendresse), je sens.. à mon insatiable Connin.. que je suis votre fille…. je le sens au plaîsir.. que me fait la celeste idée que mon… Pére me fout…. Décha—argeons ensemble, chër Papa!.. j'aí… plûs de.. foutre avec toi, qu'avec tout-autre?… Hâ! hâ!.. fourgonne… fourgonne, Vit-papa… Le foutre… est long… à venir… J'ai tant foutu!… Mais je n'en ai que plûs de plaisir… Hâ! hâ!… foutre!… Dieu! Delices!… Vitnègre!… ô Monstre, qui me dechirais, sans me pouvoir en—filer, que n'es-tu sur moi… ton Vit noir me pourfendant le Con… Foutàmort… enfondre-moi…..: Chër Papa… Dieu-fouteur… je pars… je decha—a—arge… à l'intention… de… Foutàmort-…. Et elle se pâma, dans un égarement, un delire ineffables.

Cependant elle avait croisé ses jambes sur mes reins, & elle me fesait une jolie bronette de ses cuisses & de son Con. Je dis qu'On la rechaussât, & à chaque coup de cul, elle fit claquer l'un contre l'autre ses hauts talons, comme fesait sa Mère, pour me rappeler en foutant la beauté de son piéd. Ce spectacle parut si delicieux à mes trois Droles, qu'ils enconnèreut en furieux, Traítdamour Rosemauve, Cordàboyau Conète, & Brisemote Minone. & qu'ils les firent crier comme des Depucelées.

Dès que j'eús émis, je dis à mon Secrétaire, de déconner, de m'enlever, & de me porter sur un fauteuil. Il m'obéit. Ma Fille palpitait. Je la montraí se chatouillant elle-même le Con. Traìtdamour rebanda come un Enragé; il se précipita sur elle. — Enculéz-moi, s'il vous plaît, Monsieur (lui dit-elle), il me semble que ça me fera mieux… — Decharger ('écria le Bougre): Vous avéz le Con trop fatigué-. Et il lui perça le cul sans mouiller. — Je vais… redecharger (lui dit-elle, en continuant de se branler elle-même). — Attendéz! attendéz! (lui cria le jeune & vigoureux Perforeur); je vous branleraí, en vous enculant-. Conquète enculée & branlée, roucouloit de plaîsir…

En ce moment, Brisemote, qui finissait Minone, se jeta sur Rosemauve, abandonnée par Traìtdamour, pour ma Fille: Elle se fit enculer & branler. Cordàboyau retourna Connète, & lui en fit autant. Minone libre ala gamahucher ma Fille, que son Frère tenait enculée; & moi, je branlaí Minone. Les trois Bougresses se recriaient, que l'enculage branlé était divin.

Pour moi, j'étais sur mon fauteuil, un doigt dans le Con de Minone, que j'avais à-peine la force de branler, tombant de sommeil, & bandant encore pour toutes-quatre: il me devenait indifferent laquelle j'enconnasse. Je le dis. Brisemote m'avança Rosemauve tout-enculée. J'alais enconner la vive Brune. Minone se retourna, mit ses fesses d'albâtre sur ce Con noir, & me présenta son Con. — Que je te voye! (s'écria Conquète, en s'arrachant du cul le vit de Traìtdamour), si Cupidonet doit mourir en rut, c'est dans mon Con!… Elle se mit sur Minone, m'étreignit dans ses bras & m'engouffra. — Hâ! (s'écria Brisemote, qui nous portait tous-quatre), que n'ai-je le vit asséz long, pour les enculer toutes-trois?

Ainsi finit cette belle soirée. La partie fut remise au Dimanche suivant. Conquète, après avoir fait amplement bidet, se coucha modestemt. Je ne pouvais marcher. Mes trois Gaillards remenèrent leurs Belles, & revinrent me prendre, pour me porter chéz moi, où ils me mirent au lit.

XXXIII Chapitre.

Chap. De la Fouteuse sensée. Histoire.

Le lendemain, après mon travaíl, je vins voir ma Fille. Elle était dans mon magazin. Elle m'embrassa la première, & me dit, & me dit: — Au nom de Dieu, chër Papa, ménagéz-vous! j'ai besoin de votre tendresse-paternelle, plûsque jamais… Que deviéndrais-je, si je vons perdais? Vous êtes le meilleur des Pères: vous me donnéz le necessaire & la volupté. J'aí un Bijou insatiable: mais votre Traìtdamour l'emplit & le satisfait audelà de toute vraisemblance. Je suis bién sensible au don que vous m'en avéz fait. Aussi la reconnaissance & la tendresse sont pour vous; je ne lui donne que du… — Foutre, mon adorable Fille… Tu es toujours égalemt mondeste. — J'aí aussi beaucoup d'obligation à Traìtdamour d'avoir amené sa petite Soeur & sa jolie Maîtresse: surtout d'avoir donné Celle-ci à ses deux vaillans Camarades, pour me rester plüs entiér, & vous soulager d'autant, vu mon extréme chalenr. Ces Jeunesfilles sont de bonnes petites Creatures, & valent mieux que Rosemauve, qui cependant n'est pas sans mérite…. Menagéz-vous, chër Papa. Ne voyéz que moi: c'est bién asséz. Une partie, tous les huit jours, suffira pour vos forces. Traìtdamour me donnera le surplûs de ce qu'il me faut. En ne jouissant que les Dimanches, les Garsons, les Petites, tout-comme nous, l'appetit & le plaisir seront plüs grands; nous passerons une demi-journée delicieuse… Mais je suis jalouse de vous & du beau Traitdamour; ne le mettéz qu'à moi. Avertisséz-les tous de cela. C'est mon caractère que la jalousie. Et-puis, où trouveriéz-vous une Femme ou Fille qui me vaille? Toujours propre, abluée à chaque pipi, autant par volupté que par delicatesse: car j'ai cet Endroit que vous avéz la bonté de trouver charmant, toujours si chaud, que je ne le mets jamais dans l'eau s qu'avec une volupté qui approche de la Jouissance. Ne me le mettéz donc pas de la semaine, pour avoir plüs de plaisir, sans vous tuer, le Dimanche. Ne me touchéz ni le Bijou, ni le sein? — Non (répondis-je): durant la semaine, je ne baiseraí que ton joli piéd. Et je veux toujours avoir une de tes chaussures au trumeau de ma cheminée! — Rién de si flateur, répondit-elle, que d'être ainsi adorée, jusque dans sa parure: Aussi mon piéd est-il soigné, comme vous l'adoréz. Je le lave à l'eau-rose deux-fois le jour matin & soir, & après avoir marché. — Hâ! celeste Fouteuse, que je le baise, que je le baîse? — Point de ces mos-là? dans la semaine: ils vous excitent…. Baiséz votre idole? j'y ai autant de sensibilité qu'ailleurs; mais restéz-en là…. Du-reste, je suis à vous: Vendéz-moi, livréz-moi, quand vous le voudréz; je me donnerai avec plaisir pour vous; comme Une autre Ocyrhoé. [lacune. Je me privaí donc, malgré moi: mais par nécessit; je me contraignais. [Autre lacune… Mais j'avais à ma cheminée sa chaussure rose à talons-vërts, à laquelle je rendais mon hommage tous les jours en l'honneur de la Fille la plüs pieuse & la plüs devouée quî ait jamais existé. Conquète-Ingénue, à quî je le edis le samedi, en fut transportée de joie. Elle darda sa langue, me fit sucer ses tetons, palper son poil soyeux, se mit à genoux, & dit avec ferveur: — Mon Dieu! je vous remercie de m'avoir fait naître d'un si bon Père! Nous ne vous offensons pas; je rens à mon Papa en plaisirs delicieus les soins qu'il a pris de mon enfance. Je suis le baume & le charme de sa vie; il est le baume & le charme de la miénne. Bénisséz-nous-? Elle fit trois signesdecroix, baîsa la terre, & se releva, en disant: Doux Jesus, qui le mettiéz à Madelène, elle était aussi votre fille; & en amour, vous le savéz par experience, rién n'est si voluptueux que l'inceste-!… Je fus si édifié de cette prière, que je me propose de la faire recommencer, à la fin de nos parties.

Un-instan aprês, à 8 heures-&-demie, toute la petite Société, Traìtdamour, Minone sa soeur, Conète sa maîtresse, Rosemauve, Cordàboyau & Brisemote, vinrent prendre langue pour la reünion du lendemain. Je donnaí le mot & les retins à soupér. Il y avait un excellent gigot de 18 livres, & du vin de Bourgogne, avec un pâté chaud. Après le repas, voulant les émoustiller tous, & moi-même, je fis lire par Rosemauve, devant nos Hôtes, l'Histoire suivante:

XXXIV Chapitre.

Chap. De l'Homme-à-queûe.

Vous aiméz les Histoires, dis-je, ne voulant pas manger de pâté; nour aurons demain toute autre chose à faire: je vais en-conter une, pendant que vous achèveréz de souper-. Un rire d'aise préceda le silence.

Il y avait à Sens, une Veuve encore belle, quoique mère de six Filles, dont l'Aînée, qui atteignait vingt ans, é se nommait Adelaïde. La seconde, Sophie, n'en comptait pas encore dixneuf; la tsoisìème, Julie, en avait près de dixhuit; Justine dixsept; Aglaë seize, ét enfin Emilie la Cadète quinze ans. Quant à la Maman, mariée à treize, accouchée de son Aînée à quatorze, elle avait trentequatre ans. Mad. Linârs (c'est son nom), avait en-outre deux Nièces de quinze ét vingtdeux ans, Lucie et Annète-Bar, une jolie Femmedechambre de dixhuit, outre une Cuisinière, grande ét belle Fille de vingt ans. Le Mari avàit mal-fait ses affaires, avant que de mourir. La Veuve ne soutenàit sa nombreuse Famille qu'avec le revenu de sa dot, qui rapportàit cinq à six-mille livres. On étàit gêné; car les Nièces n'avàient que quinze-cents livres de rentes entre elles-deux. C'étàit onze Jeunespersones à entretenir avec 7500 francs.

Il parut alors à Sens un gros ét bel Homme dont la phisionomie annonçàit trente ans, encore qu'il n'en eût que 20. Il passàit pour très-riche. Et en-effet, il l'étàit. Ses bras ét sa poitrine étàient couverts de poils. Il avàît le regard dur ét presque féroce: mais son sourire l'adoucissàit, ét il souriàit toujours, en voyant de jolies Femmes. L'Aînée des Dlles Linars étàit charmante: Fysitére la vit ét en devint éperdûment amoureux, quoiqu'il eût alors dans son séràil une Femme-mariée enlevée à Paris, de l'aveu du Mari même; la Soeur d'icelui, vendue par son Père, ét une superbe Carmelite, leur cousine, qui s'étàit livrée elle-même, parcequ'elle était hysterique. Mais toutes ces Maîtresses étaient alors enceintes, ét Fysitère n'en jouissàit, que pour avoir des Enfans. Il ala chéz Mad. Linars, pour Lui demander en mariage Adelaïde.

Le Velu, en voyant onze Femmes dans une seule maison, tressaillit d'àise… Il étala sa fortune, ét proposa d'épouser l'Aînée. Trente-mille francs de rente qu'il prouva (il en avàit bién davantage)! Le firent accepter sur-le-champ. Il rendit ensuite des visites jusqu'au mariage, ét fit des présens, tant à sa Prétendue qu'à la Mère, aux Bellessoeurs, à Lucie ét Annéte-Bar, les deux Nièces, ainsi qu'à Geoline ét à Maréte, la Femmedechambre ét la Cuisinière. Ce fut avec ces présens qu'il attaqua leur vertu… Mais il faut quelques préliminaires, qui fassent mieux connaître ce Personage.

Fysitère était Un de ces Hommes poilus, qui descendent d'un mélange de notre Espèce, avec celle d'Hommes-à-queûe de l'Isthme de Panama, ét de l'Ile de Borneo. Il étàit vigoureux comme dix Hommes ordinaires; c'est-à-dire, qu'il en auràit batu dix à armes égales, ét qu'il Lui falàit, à Lui-seul, autant de Femmes qu'à dix Hommes.

A Paris, il avàit acheté la Femme d'un nommé Guae, un scelerat, qui La Lui avàit vendue ét L'avàit livrée. Fysitère La tenàit exactement renfermée depuis. Il jouissàit de cette Infortunée, la plüs provoquante des Femmes, ét qui avait beaucoup de temperament, dix à 12 fois par jour. Ce qui la fatiguàit tellement.r qu'elle lui avàit donné le conseil d'acheter de leur Père sa Soeur-cadète, nommée Doucète, qui partagerait le travàìl. Il le fit. Mais ces deux Femmes avàíent été biéntôt sur les dents. Heureusement un Confesseur de Nones decouvrit alors pour le Velu, la Religieuse histerique, cousine des deux Victimes: il La tira de son Couvent, sous prétexte de Lui faire prendre les eaux, ét La livra au Fysitère, qu'elle occupa seule pendant quelques semàines. Ce qui avàit reposé ses deux Cousines.

C'est à cette époque que l'Homme-à-queûe étàit venu à Sens, ét qu'il avàit vu la Famille Linars. Avant qu'il eût Mad. Guae, On Lui amenàit trois Filles Couturières chaque matin. Mais les précautions qu'il étàit obligé de prendre pour sa santé, avec des Creatures qu'il làissàit libres, Le degoûtèrent de cette jouissance. Dailléurs, comme il avàit formé le projet de multiplier l'Espèce des Hommes-à-queûe ét d'en peupler l'Ile entìére de Borneo, Pays originàire, il voulàít pouvoir surveíller tous les Enfans qui Lui naîtràient. Ses trois Femmes étant grosses, il ne voulàit plus Les fatiguér. Quand il fut lié avec Mad. Linars, il aurait bién cherché à deflorer sa Future, ou à se donner Une des Nièces; ou la Cuisiniére, ou la Femmedechambre. Mais il trouva que tout-cela avàit ses inconveniens. Il reserva ce-supplément de ressources, pour aprês son marìage. La Première qu'il attaqua, ce fut sa Bellemère future. Il Lui fit un-jonr un présent de deux-mille écus en espèces: Et La voyant dans l'extase de la reconnaissance, il iui mit la maìn sous la jupe, en Lui disant: "Autant tous les six mois, si Je vous Le mets. Et ne craignéz pas de faire du tort à votre Fille! Elle n'en aura que trop de reste… Comme il étàit extrémement fort, tout en parlant, il La renversàit, L'enfilàit. La Dame se trouva prise sans l'avoir prévu. Elle fut rabatelée une dixaîne de fois, tant Elle étàit vigoureusement contenue… Enfin devenue libre, Elle Luì dit; "Hô, quel Homme! "Je suis tel (repondit-il), que votre Fille ét vous, quand vous m'auréz toutes-deux, me donneréz vous-même des Maîtresses, pour vous reposer". La Dame, qui aìmàit le jeu d'amour, sourit, en rougissant d'esperance ét de plaisîr.

Elle fnt exploitée tous les jours, en attendant celui du mariage de sa Fille. Quand ce jour fut arrivé, effrayée pour Une jeune Vierge, Elle pria l'inépuisable Fysîtère de La menager? "Six-fois: repondit-il, pas plûs, si vous me promettez de me recevoir ensuite, ou de me donner Lucie, l'Aînée de vos Nièces? "Non; mais je vous donnerai Geoline, ou Marète, celle que je pourrai avoir le plus facilement… Le soir des noces, Fysitèré, quoiqu'il eût toutes les nuits fourbi Mad. Linars, était impatient à trépigner, d'avoir sa Mariée. Il L'enIeva commé une plume, dès qu'on eüt soupé, se jeta sur Elle, ét Lui fit pousser des cris effrayans. La Mère alarmée, accoutut avec Geoline, au moment où Fysitère, sans trop s'embarrasser des gèmissemens de la Jeunepersone, La recommençàit. La Mère Le laissa L'achever. Puìs, sur l'instante prìère de sa Fille, Elle La retira du lit, pour laver le sang ét le suc d'homme, dont sa conque martyrisée était remplie. Fysitère saisit alors Geoline, ét La viola, malgré ses clameurs. Il La retint sous Lui quatre à cinq fois.:. Elle profita d'un intervala, pour s'échapper Mais Fysitère menaça Mad. Liuars, si elle ne remplaçàit pas sa Fille, de tourmenter Celle-ci jusqu'au jour… La Dame étàìt fatiguée: Elle ala chercher Marète, qu'elle enferma dans la chambre-nuptiale. Fysitère La viola, ét La contint sous Lui quatre-fois: puis il Lui permit de dormir.

Dans le Jour, il assoupit les plaintes des deux Filles-domestiques, ét même il Les gâgna, en leur constituant Douze-cents francs de rente à chaqu'une. Mais elles demandèrent du repos, pour la nuit suivante…. Le soir, Fysitère ramona six-fois sa Nouvelle-Epouse, qui prit un-peu de gout à la chose: puis sa Mère reposée, fut à son tour fourgonnée six âutres fois. Ce qui suffit à l'Homme-à-queûe.

Le soir du troisième jour, il ne ramona sa Femme qu'une-fois; car Elle demanda grâce. Il eüt ensuite Geoline, six fois; puis Marète, cinq fois. Ce qui fut la dose à laquelle il se règla. Il eüt le quatrème soir, sa Femme, une fois; sa Bellemère quatre; Geoline trois; Maréte quatre: douze en tout. Il en agit ainsi pendant deux mois.

"Mais, Lui dit Mad. Linars, vous vous èpuiséz! A quoi bon nous Le mettre tant de fois? "Mon but est de faìre des Enfans, pour en repeupler une Ile des Indes, dont les Hommes de mon Espèce sont originaires. Dès que vous seréz grosses, je ne vous Le mettrai plus; vous m'en donneréz d'Autres; mais surtout vos Filles ét vos Nièces, parceque vous êtes toutes d'un beau sang. Je Leur ferai à chaqu'une six-mille francs de revenu, ét douze-cents francs seulement aux Etrangères que vous procureréz-… Mad. Linars fut très-étonnée de cette proposition! Mais les six-mille francs de revenu pour ses Filles ét ses Nièces La tentèrent.

Aubout des deux mois, ét de six semaines de mariage, Mad. Linars, la Nouvelle-Epouse, Geoline ét Marète se trouvèrent enceintes. Fysitère Leur déclara, qu'il ne les verràit plus, qu'aprês Leurs couches. Et il pressa Mad. Linars de Lui donner ses Nièces, ét deux de ses filles?… Elle fut obligèe d'y consentir. Elle Les conduisàît elle-même, aprês Les avoir instruites, ét assistàít à Leur defloration, calmant leurs cris par ses discours ét ses caresses. "Ma ràisonable Enfant, disàit-elle à Lucie renversèe sur le dos, ét qu'On troussàit, il est doux d'avoir 6 mille fr. de rentes?… Cinq-cents francs par mois, ajoutà-t-elle en La pomadant?.. Et foncières, ma chère Nièce! dirigeant le gros Membre dans sa fente". Aussi la belle Lucie, quoique vierge, ne cria-t-elle pas.

Vint ensuite Aunête la seconde. Sa Mère L'exhorta, La pomada, inserant son index onctué le plüs profondement possible, pour fràyer la route. Elle introduisit le Membre dans la fente ainsi prèparée. Cependaut Annète perforée, jeta les hauts-cris. Mais ils n'arrêtèrent pas Fysitère, dont Mad. Linars caressàit la queùe poilue, qui fretillait vivement. Hâ! Maman! (Lui dit-il), mets-toi sur moi, ét te l'enfonce dans ta conque; tu auras bién du plaisir"! Elle le fit, ét fut si ravie, qu'elle appela sa Fille-aînée ét les Chambrières, pour Leur procurer les mêmes delices.

Annète suffisamment ramonée, ét demandant grâce, Geoline la remmenà, pour laver le sang ét le sperme, dont son Bijou étàìt barbouillé: ét Mad. Linars ala chercher Sophie, sa seconde Fille. Geoline et Marète l'apportèrent nue assise sur leurs mains jointes. Mad. Linârs La pomada; puis elle intromit. Geoline s'enfila avec la queùe poilue, au refus d'Alaïde l'épouse. Sophie ne poussa que quelques gémissemens, an premiér Assaut; elle riposta aux deux autres. Elle fut cependant ensanglantée. Geoline se fourgonna de la queùe-à-poil durant toute la séance.

Fysitère n'avàit joui que neuf fois: Il Lui en falàit trois encore. On ala Lui querir Julie la troisîème Soeur, âgée de dixsept ans. Sa Mère La pomada. Ce qui ne l'empêcha pas de crier, parcequ'elle était fort étroite. Julie ét sa cousine Annète furent les deux qui n'émirent pas dans le coït, les quinze premiérs jours. Lucie fut prise tout-de-suite, ét Sophie trois jours après. Mais elles n'en dirent rién, aimant le piaisìr. Quant à Julie ét Annette, il s'écoula trois mois avant qu'elles fusseut enceintes… Marète se farfouillàit avec la queùe poilue, pendant les assauts de Julie.

Lorsqu'il fut bién décidé que les quatre Belles avàient le sac rempli, Mad. Linars fut requise de donner ses trois dernières Filles, ét une Cousine du côtè-gauche, fille hors mariage de son Mari, nommée Naturelle-Linars? Elles Lui furent livrëes, et Justine, Aglaé, Emilie même, qui n'avàìt pas quatorze ans accomplis, se virent enfilées dans une seule nuit, malgré leurs cris ét la dechirure de leurs jeunes appas. Naturelle avàit vingt-un ans: ce fut une delicieuse jouissance, que l'Homme-à-queûe fatigué avàit réservée pour la dernière. Celle-ci fut engrossée surlechamp; ét les trois Autres, malgré leur jeunesse, ne l'échappèrent pas dans le cours du mois. Elles étàient regulièrement fourgonnées trois fois par nuit: mais soìt qu'elles eüssent moins de temperament, soit qu'étant plüs étroites, elles souffrîssent toujours, elles furent ravies, lorsqu'elles fudeclarèes enceintes. L'Homme-à-queûe avàit en ce moment de fecondées, 14 Femelles, qui Lui promettàient aumoins 14 Enfans.

A cette époque, Mad. Linars accoucha d'une Fille. Un moìs-ét-demi aprês, Adelaïde, ou Mad. A-queue, mit également une Fille au monde. Puis Geoline ét Marète eürent chaqu'une un Garson. Annète èt Lucie chaqu'une une Fille. Toutes-six voulurent nourrir. Ce qui fut executé dans une Terre écartée, du-côté de Seignelài, éloignée des routes, comme de l'Yonne, mais sur la petite Rivière de Serin.

Cependant comme les Unes nourrissàient, ét que les Autres étàient encore enceintes, il falàit de nouvelles Femmes à Fysitère. Il demanda permission à Mad. Linars de reféconder ses trois premières Concubines, Màd. Guae, sa soeur Doucète, ét la Carmelite, qui n'étàit plus hystere, depuis ses couches. La Bellemère y consentit avec la plüs grande joie: car Elle étàit fort embarrassée pour trouver à son Gendre des Sujets fecondables. Elle avàit deja bién marqué les quatres Pucelles les moins làides du Village, ét même une cinquième la plüs jolie, femme mariée, sterile avec son Mari; Elle les avàit presque gâgnées, au moyén des douze-cents francs par année, mais Elle n'etait pas encore sûre de leur discrétion… Les trois Concubines étàient mandées. Elles arrivèrent.

Dès le même soir, Elles furent mises toutes.trois dans un grand lit propre à cinq Persones: Fysitère s'y coucha au milieu: Il Les palpa Toutes; puis il prit Mad. Guae, la plüs voluptueuse, qu'il fourgonna trois-fois avec fureur. Il saisit ensuite Doucette, que ses tendres gemissemens Lui firent ramoner en Enragé. En la quittant, il sauta sur la Carmelite, qu'il exploita six fois, sans desarçonner. Mais Elle l'assura qu'Elle étàit tguerie de sa maladie, ét Elle Le pria de se parrager également entr'elles trois? Ce qui fut arrêté.

Le lendemain, Mad. Linars, qui avàit tout écouté pendant la nuit, demanda aux trois Parentes, Comment elles appartenàient à Fysìteres! Mad. Guae repondit: "Nous alons vous faire notre Histoire qui vous paraîtra singulière! en.même-temps qu'elle vous donnera une idée juste de notre Mari à Toutes, qui est Un Homme d'une nature particulière. Mad. Linars ne demanda pàs mieux que de l'entendre: Mais elle fit observer à Mad. Guae, que ce Recit ne seraìt pàs moins agreable aux 12 autres Femmes de Fysitère? Mad. Guae en convint, ét Adelaïde, Sophie, Julie, Justine Aglaé, Emilie, Lucie, Annète, Geoline, Marète, Naturelle, appelées par Mad. Linars, vinrent avec elle assister à la narration que fit la belle Mad. Guae, en-présence de Doucette sa soeur, ét de de Victoire la Carmelite leur cousine.

XXXV Chapitre.

Chap. Des la Garse insatiable.

"Vous me voyéz; J'ai toujours été desirée des Hommes: A huit ans, un Ouvriér qui travaillàit dans la maison à de la menuiserie, me prit le bijou; ét comme je ne criai pas, il me mit son membre entre les cuisses, me les fit serrer, ét me les inonda, en dechargeant. Je le dis à ma Mère, qui me lava les fesses, ala menacer le Menuisiér, ét le fit deguerpir… Ce debut annonce que le Recit sera un-peu libre; mais il faut être sincère.

"A dix ans, mon Père déculoté m'asséyàit à crû sur ses cuisses nues, fesàit aler son membre entre les miénnes, comme le batant d'une cloche, ét, bién échauffé, il alàit enfiler ma Mère, une jeune Tante soeur de Celle-ci, ou ma Gouvernante.

"A treize ans, j'avàis le Bijou cotonné, ét si joli, que mon Père venàit me Le lècher la nuit pendant mon sommeil. Enfin il me sentit riposter à ses coups de langue, ét comprit que j'avàis du plaisir. Il dardàit plüs fort, ét je partàis… Aussitôt mon Père se mettàit sur moi, me suçàit mes petîts Tetons naissans, posàit son membre à l'orifice de ma petite Conque, ét me barbouillàit toute la Mote de sperme.. Il me lavàit à l'eau-rose.

"A quìnze ans, un Jeunehome, frère de ma Maîtresse de modes, me prit le Con à la poignée, an moment où je regardàis par la fenêtre, ét voulut me chatouiller le Clitoris avec son doigt: mais il me fit mal, ét je Lui donnai un soufflet.

"A cette époque, mon Père n'osàit plus m'asseoir à cùl-nu sur ses genoux, ni me faire decharger en me lèchant le Con; il se retiràit dès que je donnàis le premiér signe d'éveil: Mais comme j'ai le piéd joli, ét que M. Dardevit, aìnsi que tous les Hommes delicats, est infiniment sensible à cet attràit-là, il fesàit faire mes chaussures par un habile Cordonniér, Celui de ma Mère ét de la Marquise De-Marignì; le Voluptueux ne me les donnàit neuves, que lorsque j'alàis chéz Lui; il me les fesàit mettre aprês un pédiluve, avec des bas de fin coton, me fesàit marcher chaussée, mettre à la fenêtre, pour mieux voir ma jambe ét mon piéd, qu'il baisàit; il me fesàit ensuite asseoir, me tiràit un soliér, s'en coîfàit le vît, me fesàit Lui patiner les couilles avec mon piéd chaussé, poussàit de profonds soupirs, cognàit au planchér, ce qui fesàit monter Mad. Mezières voisine d'audessous; Elle Lui arrachàit mon souliér, ou ma mule; Elle se renversàit sur le dos; il La troussàit, èt La fourgonnàit, en me fesant relever ma jupe en perspective d'une glasse jusqu'au genou. "Votre Père me fàit ce qu'il ne peut vous faire, me disàit La Mezières, parceque tu es sa Fille; mais c'est Toj qui Le fais bander… Hâ! si Tu Luì montrais ton joli Conin, comme il me rabâteleràìt, ét me donneràit des coups de vit en Con"! Touchée de ce langage, souvent je me troussàis, ét montràis une mote à poil folet ét soyeux, que mon Père trouvait adorable! Je m'en apercevais aux vives estocades qu'il donnait à la Dame… En La quittant, il venaít me rechausser. Mais quelquefois La Mezières L'en empêchait, ét furieuse de luxure, Elle me renversait, me lèchait le Connin, ét mettait dans le sién la pointe de mon solliér, ou de ma mule, comme un Godmiché… Pendant ce temps-là, mon Père me palpait doucement les fesses ou les tetons. "Tu La foutras, Bougre (tu La depuceleras, ét biéntôt! ét Elle deviéndra grosse de Toi, si Tu ne La maries"! Ce propos, souvent repeté, fit que je demandai vivement à me marier.

"J'avais un Oncle, mari de ma Tante. L'escaliér de leur demeure était obscnr. Un-jour que je le montais, mon Oncle me suivait. Au beau milieu, il me glissa la main sous la jupe, ét me hâpa ce qu'il nommait mon Connôt. Je me recriai! "Tais-Toi donc (me dit-il): vas-tu troubler mon ménage"?… Je me tus. Et il me patìna le Connôt, le cùl, d'une main, les tetons de l'autre; me mit son membre dans la main, me le fit serrer en jurant, ét tout en me suçant les tetons, me dechargea dans les doigts.

"J'entrai toute rouge chéz ma Tante. Mais je ne dis mot. Quand je m'en retournai, mon Oncle me guettait; il m'accompagna, ét me dit: "Tu veux Te marier; J'ai un Parti, ét il n'y a que moi qui puis gâgner ton Père; Je Le gâgnerai, si je te le mets seulement trois fois avant le mariage, ét lorsqu'il sera bién sûr? "Que me mettréz,vous? (je fesais l'ignorante, puisque j'avaîs vu mon Père ét La Mezières). Nous étions dans l'alée. Il mit son vít à l'air, ét m'empoigna le Con: "Ceci, dans ce que je te tiéns". Je me debarrassai, ét ne repondis rién. J'étais à la porte de mon Père: J'entrai. Il était absent: J'attendis.

"Seule avec moì-même, je resolus de pressentir mon Père, à son arrivée, sur mon mariage? Il arriva: Je fus moins sevère avec Lui qu'à mon ordinaire, ét lorsque je l'embrassai, aulieu des ieux, j'appuyai sur ses lèvres. Il fut ravi. Je dardai la langue, comme je l'avais vu faire à La Mezières. Il me mit la main entre les cuisses, mais sur les jupes. Je m'abandonnai, en Lui disant: "Je voudrais me marier? Et comptéz que vous seréz bién caressé, si vous y consentéz? "De tout mon coeur, à cette condition… As-tu un Parti? "Mon oncle en a Un, que je n'ai jamais vu. "Bon! ce n'est pas une amourète… Il faut dabord que je Te gamahuche aujourd'hui? "Qu'est-ce que c'est? "Te lêcher-là (me prenant le Bijou). Je fis une petite grimace. "Alons, prens cette éponge fine, ét lave le bién, à-cause du joli poil, qui commence à l'ombrager? Le plaisir que tu auras, te dedommagera de la contrainte que Tu te fais? Il me suça légèrement les bouts des tetons, pendant que mes fesses, mon cùl et mon Connin nageaient dans un bain tiéde.

"Mon amoureux Père ne me donna pas le temps de reflechir: Dês qu'une serviète fine eüt pompé l'eau, il me renversa sur le piéd de son lit, troussee audessus des reins, appliqua sa bouche sur la fente de mon Connôt, qu'il lècha vivement, en dardant sa langue, jusqu'à ce que je donnasse des symptômes de decharge. Ce quì arriva aubout d'un demi-quart d'heure. En me sentant prête à émettre, mon Père me quitta, me mit gros comme une noix de beurre frais dans le bas de la fente du Connôt, m'y insera son vit, avec beaucoup de peine. Il saccada: Je dechargeais, et J'avais tant de plaisir, que je Le secondai, malgré quelques douleurs. Heureusement le vit de mon Père n'était pas gros, mais il était long; il me donna un plaisir complet; car il penetra si avant, qu'il me chatouilla le fond; ét au moyén de ce que j'étais très-étroite, il m'emplissâit le con, comme si j'y avais eü un Vit de Mulet… Voilà comme je fus depucelée.

Je priai mon Père, pendant qu'il me lavait le Con, de ne pàs differer son consentement, que je ne voulais pas devoir à mon Oncle; ét je Lui en dis la raison. "Il ne faut qu'il te le mette! me repondit-il vivement: Le Bougre a le Vît trop gros: il t'élargirait! Au lieu qu'aprés moi, ton Futur, on tout autre Fouteur, Te trouvera comme Pucelle". Je promis qu'il n'obtiéndrait rién. "Des bagatelles cependant, reprit mon Père: Branle-Le, quand il Te prendra le Con. Tu pourrais même Te laisser enculer, s'il était asséz raisonable pour s'en tenir-là. "Comment fait-on ça? "Je vais Te le montrer". Et il m'encula. J'eüs du plaisir; car je dechargeai. Mon Père me dit ensuite: "Quant à mon consentement, envoie-moi ton Prétendu: Si c'est Un certain Drôle que je soupçonne, Tu n'en deviéndras pas folle, ét… Suffit". Je m'en retournai contente chéz mon Oncle, où sa Femme ét Lui me présentèrent leur Protegé, une sorte de Mulâtre, qu'ils nommèrent M. Guae.

Dês le même soir, ayant eü, avec ce M. Guae, un entretién très-vif, pendant lequel je Le vis prêt à me prendre le Con, sa laìdeur ét sa sotise ne me rebutèrent pas, attendu que mon Oncle ét ma Tante m'avaient prèvenue qu'il était terrible pour les Femmes; ce qui m'avait bién tentée! aucontraire, je Lui dis, Que j'avais obtenu le consentement de mon Père, ét qu'il pouvaìt se présenter. Il me pria de Le conduire, n'en étant pas connu. Je remis au lendemain midi.

"Nous arrivames au moment où mon Père alaìt sortir. Guae m'avaìt pris le cùl dans l'escaliér, ét m'avaìt fait empoigner son Vit; ce qui me donnait un coloris brillant; j'étaìs ravissante! Je présentae Guae, comme mon Futur. Sa figure hideuse ét basse fit sourire mon Père, dont elle calma la jalousie. Il nous dit: "Mes Enfans, j'ai une affaire pressée: mais elle sera courte; attendéz mon retour". Aprês son depart, Guae me dit: "Il paraît, à son ton, qu'il vous tiéndra sa parole, de consentir? "Je le crois; car il ne se contraint pas, quand une chose Lui deplaît. "Ma Belle! (ajouta Guae, dont l'oeil noir petillait de luxure, permettéz de vous Le mettre icy, sur le piéd du Lit de votre Père?… Consentéz-y"? Je ne demandaìs pas mieux, à-cause de mon depucelage, ét parceque le Bijou me demangeàit, depuis que mon Père m'avàit perforée: Mais je repondis: "Hô-non! mon Père n'auràit qu'à rentrer! "Hé! quand il rentrerait? vous voir enfilée, ne feràit que hâter notre mariage".

"Il me renversa sur le piéd du Lit. Je me defeudis gaûchement. Il me mit le Vit entre les babines du Con, ét poussàit à m'enfondrer… Mais il ne put penetrer, quoiqu'il se mouillât le gland. Il redoubla d'efforts, qui aboutirent à me decharger une chopine de sperme sur la mote, le ventre ét les cuisses.

"Je me debarrassae, pour aler laver. "Hô! vous êtes bién Pucelle!, me disàit Guae, en se reculotant. Comme je m'essuyàis, j'aperçus mon Père caché… Je n'en fis pas semblant Un instant aprês mon retour vers Guae, ce Père rusé entra auprês de nous. Guae me demanda en mariage? Mon Père Lui repondit, Qu'il me laissaìt la maîtresse absolue. Et il signa les bans. Il dit ensuite à Guae, qu'il avàit à me parler, ét qu'il le priàit de s'en retourner seul; qu'il me remèneràit chéz ma Tante, à Laquelle il avàit à parler aussi. Guae s'en-ala.

"Dês qu'Il fut sorti, mon Père me dit: "As-tu été foutue"? Et il me prit le Con à la poignée. "Vous avéz bién entendu que non. "Où donc a-t-il dechargé? "Sur le poil. "Un-peu entre les lêvres? "Oui. "Il suffit: On peut devenir enceinte avec cela seulement, êt Tu n'äs plus rién à craindre. Mais va Le voir chéz Lui, ét qu'il ait toute-facilité. En attendant, je vais en frayer encore un peu-. Il me renversa, ét a-l'aîde du beurre-frais, il m'enfila… avec quelque facilité: ce qu'il repeta trois-fois, excité par ce qu'il venait de voir, ét parceque j'étais extrêmement bién chaussée, en soliérs de soie neufs. Je dechargeae trois fois a chaque enconnage, comme dísaìt mon Père. Cela fit neuf fois. Mon Père me dit, que j'avais beaucoup de temperament, ét que j'alàis être une bonne Fouteuse!… Je me lavae soigneusement, ét il me remena.

"Nous trouvâmes Guae chéz ma Tante. J'étaìs plütót mise en appêtit que rassasiée, par le triple fourgonnage de mon Père: Je dis bas à mon Prétendu: "Aléz chéz vous; j'ae à vous parler". Il y courut. Mon Père parlaìt à ma Tante, prenant des mesures pour accelerer: car il craignait, à la manière dont j'avais dechargé, que je ne devinsse grosse de Lui; ét il le desirait en-même-temps: Mais il falait que je fûsse mariée… Ma Tante sortit avec Lui.

"J'alais sortir aussi, pour laisser essayer à Guae un enconnage complet, lorsque mon Oncle rentra. J'étais si envoluptée, que je n'en fus pas fâchée, quoiqu'il me deplût. Il ferma la porte au verrouil, ét vint à moi: "Tu vas donc te marier? me dit-il: Alons, il faut en decoudre à nous-deux? Aussi-bién Guae a le Membre si gros, qu'il te feraìt souffrir le maryre". (Ceci acheva de me determiner)… Il me saisit. "Laisséz-moi! Laisséz-moi! dis-je faiblement). Mon Oncle ne m'écouta pas, ét voyant que je ne criais, ni n'égratignais, il me renversa sur le Lit, me troussa, ét dirigea son vit dans le vagin de mon Con. J'eüs l'art de paraître me defendre, en le secondant. Il me fit mal; je criae, ét m'apercevant que les cris Le facilitaient, je me mis à crier de toutes mes forces. Ce qui Le fit enfoncer jusqu'a la garde, avec tant de plaisir de ma part, que mes gemissemens étaient de volupté. Je me debattais, mais mon Con supait le gros Vit, donnant de si bons cups de cùl, que je dechargeae avec des convulsions terribles, et des contractions des trompes qui pinçoient le gland de mon Oncle. Il se recrîa,… ét se pâma de plaisir… "Hâ! pour une Pucelle, que Tu fous bién! me dit-il ensuite: Que sera-ce donc un.jour?… Recommençons"… Il me recommença trois-fois, malgré mes pleurs; car je sentis qu'il falait pleurer…

Quand il fut rassasié; il deconna. "O celeste Fouterie, me dit-il, si le merite de ton Con était connu, Il ferait ta fortune! "Oui! vous me L'avéz bién accomodé! répondis-je en sanglotant, sur un bidet préparé par mon Oncle. Il ôta le verrou, jeta l'eau mélée de sang ét de foutre; puis craignant le retour de sa Femme, il sortit, en disant: "Remerciéz-moi! sans cette préparation, Guae vous aurait estropiée; et revenéz à moi, s'il le faut"?

Je ne fus point effrayée de ce Langage. Dês qu'il fut sorti, j'essuyai bién-vite mes larmes, ét je pris un air riant. Ma Tante revint. Je La prévîns de l'attaque de son Mari, mais non du succês, pour Lui faire presser mon mariage; La priant de ne Lui en rién temoigner, depeur qu'Il ne levât le masque. Je promis de toujours bién me defendre, comme je venais de faire; ét tout en parlant, le Con étant venu à me redemanger, je courus chéz Guae, esperant que préparée comme je l'étais, il me L'enfoncerait enfin. Il m'attendait.

"J'ai bién des choses à vous dire"… Ce fut mon debut. Il ne me laissa pas continuer; il me prit la Motte: "Foutons dabord, me dit-il, en me renversant. Je n'en fus pas fâchée; car je ne savais trop que Lui dire de-nouveau. Je me defendis gaûchement, comme avec mon Oncle ét mon Père. Mais quoique je fusse élargie, ses tentatives furent encore inutiles. Je n'osais Lui dire de prendre du beurre, depeur de paraître instruite: Je m'attendais qu'il y songerait. Cela ne Lui vint point en pensée. "Tu ês diablement Pucelle! me dit-il, en me tutoyant… Il me tourna sur le ventre, me cracha au trou du derrière, ét m'y enfonça son engin, avec des efforts infinis. Je poussais des cris horribles! mais il me tenait si ferme, en m'empalant, que je ne pouvais remuer. Je Le secondae, pour souffrir moins, ét mes ripostes me firent decharger. Je croyais avoir un timon de carrosse dans le cùl… Le retiré ne fut pas sans plaisir… "Tu vaux ton pesant d'or! me dit Guae, même en cùl! Suffit"! Il me demanda ensuite pardon: "Votre beau Con, votre beau cùl, vos blancs tetins m'avaient mis comme un Enragé; ne pouvant vous enconer, je vous ai enculée: Pardon, ma belle Maîtresse! j'ae plüs d'un projet, pour vous dedomager". Le cùl me fesait mal: Guae me le mit dans l'eau tiéde; puis il me le baisa, me le lècha, alant quelquefois au Con. Il rebanda: mais je voulus m'en-aler. Il fut obligé de me remener en fiacre; je ne pouvais marcher qu'avec douleur. Ce qui n'empêcha pas qu'il ne me fit Le branler dans le carrosse, Lui ayant le néz dans une mule mignone, qu'il m'avait arrachée du piéd, ét dans laquelle Il dechargea. Dans le delire du plaisir, Il me dît: "Ma Reine: j'ae le Vit trop gros pour Toi; choisis de l'oeil un joli Jeunehomme pour Te depuceler, ét je trouverae le moyén de Te Le faìre avoir, sans Te compromettre". Ceci me fit plaisir…. Guae me descendit, ét me porta. Je me mis au Lit; le sommeil calma mon cùl.

"Le lendemain, j'alae chéz mon Père, auquel je racontae tout ce que Guae m'avait fait, ét dit. "Bon! me repondit-il: Tu as du temperament: Tu seras foutue, en con, en cùl, en bouche, ét Tu seras heureuse… Vous seréz mariés dans huit jours, ét je t'aurae un Fouteur plüs gros que moi. En attendant, je vais Te Le mettre; On ne saurait trop élargir un Connin si mignon". Mon père m'enconna, recomença trois fois. "Tu ês toujours Pucelle! me dit-il. "Et pourtant, m'écriae-je, mon vilain Oncle, avec son gros Membre, m'a hier violée trois fois! "Trois-fois! reprit mon Père: quel Connichonnet as-tu donc? On pourra vendre mille fois ton Pucelage!… Il faut que je Te refoute". Et il me refoutit…

"Tandis que je me rinçais le Con avec de l'eau tiéde, mon Père s'était mis à la fenêtre, ét causait avec un jeune Procureur son voisin, gros ét beau garson de 30 ans. Le Con lavé, j'alae regarder, en soulevant le rideau. Mais le jeune Procureur m'ayant aperçue, je me retirae. "Quelle est donc cette celeste Persone? demànda-t-il. Mon Père ne repondit que par un geste, qui, je crois, signifiait que j'étais sa Maîtresse. Ils gesticulèrent encore. Puis le Procureur disparut. Mon Père me dit aussitôt: "Veux-tu que ce bel Homme Te Le mette, en payant? "Hô! hô! mon Père! "Appelle-moi Monsieur, devant Lui"!… On frappa. Mon Père ouvrit; ét j'entendîs qu'il disait tout-bas au Jeunehomme: "Aportéz-vous les 50 Louis? "Les voilà. "Mademoiselle? me dit àlors mon Père; vous savéz que je vous aime pour vous même: Voici un bel Homme de mes Amis, qui veut vous faire un présent; je sors; temoignéz-Lui votre reconnaissance". Mon Père se cacha, ét le Procureur le crut sorti.

"As-tu été foutue aujourdhuy, me dit-il, en venant pour me prendre les Tetons. Je Le regalae d'un soufflet. "Apprenéz que je suis icy chéz mon Père. "Vous êtes Mademoiselle….. "Oui, Monsieur. Je dois être mariée dans huit jours. C'est un mariage de raison, ou d'interêt. Mais mon Père ayant été instruit que mon Futur est… monstrueux;… ce bon Père a… pris sur Lui de… me faire prépârer. Je vous ae cru son Ami; j'ae consenti, aprês vous avoir vu". Le Procureur était à mes genoux. Il me demanda mille pardons! "Soyéz donc honnête? repris-je. Alors il me caressa. Je Luy rendis enfin un baisér. Il me renversa. Il avait le Vit comme mon Oncle, mais il était moins adroit. "De la pomade! Luy criai-je: Mon Prétendu m'ayant fait entrer chéz Luy par surprise, il ferma les portes, ét voulut me violer… Ne le pouvant, il me pomada, ét ne réüssit pas encore. Vous, pomadéz-…moy"… En parlant ainsi, ses tentatives me fesaient decharger. Je soupirais de volupté. Mon Père crut que c'était de douleur. Il arriva; me pomada; dirigea le Vit de mon Fouteur dans mon Con, ét dit, à Lui: "Pousséz". A Moi: Soulève le cùl; étreins dans tes bras; seconde ton Depuceleur, à chaque coup, par un coup de croupe en-avant; passe tes jambes sur ses reins, ét serre, en remuant du cùl… Bon! Bon! Saccadéz, vous!… Bon"! "Hâ Dieu! quel plaisir! s'écriait le Fouteur: comme Elle a… le Con étrait!… le… mouvement… delicieux"! Je Lui dardae ma langue, en murmurant, "Mon coeur!.. Mon Roi!… Mon Dieu! je t'adore!… "Hâ! la chère Petite Amie! elle est tendre!… Je decharge! Je La fous… Hâh!… "Il me fout, mon Père!… Tous les Hommes foutent-ils?… Hâh!… Mon Père!… quel plaisir!… Mon âme… va sortir par… le trou qu'il me fait"!… Je dechargeais, en me roidissant. "Hô! la Petite Reine!… s'écria le jeune Procureur: Elle decharge!… Mon Pére… donnez La moi pòur Femme; je l'ae depucelée; je L'épouse"?…..

"Mon Pére, qui avait ses desseins sur Moí; refusa. Il en resulta que le Procureur enragé, s'acharna sur Moi, ét me foutit 18 fois… Mon Père fut obligé de l'ôter de sur Moi, ét de Le porter chéz Luy; il ne pouvait marcher… Quant à Moi, j'étais à-peine fatiguée. Mon Con lavé, rafraîchi, il n'y parut plus. Au retour de mon Père, Le voyant tout ému, à la vue de mes Tetons, je Lui dis: "Si vous bandéz, satisfaites-vous, en me foutant deux ou troìs fois?" O quelle scêne! s'écria-t-il: Mais Tu as un Con ét un temperament impayables! ils feront notre fortune… Voyons si Tu dechargeras encore: foutons"?… En m'enconnaut, il me loua fort de m'être avouée sa fille, ét du soufflet donné! "Les Fouteurs dedaignent les Foutues; mais ave Toi, ce sera le contraire; je veux te mettre audessus de ces Bougres-là! "Je decharge! m'écriae-je. "Et moì aussi! repondit-il en me saccadant. Il me re-enconna trois fois, ét toujours je dechargeae.. Je lavae, en Lui disant: "J'épuiserais dix Hommes". Je Lui recommandae d'instruire mon Futur de ce qu'il falait faire, pour m'enconner. Je Lui dardae ma langue, ét je partis.

"J'avaís été foutue 25 fois dans la journée, sept par mon Père. Je retournaís chéz ma Marchande. Mais tous les Hommes que je rencontrais, me tentaient. "Que les Putains sont heureuses! (pensae-je) elles attaquent qui elles veulent"! Tout-à-coup une idée me viént: "Alons chéz Guae; je Lui dirae de me pomader: Qu'il m'estropie; mais qu'il me foute". J'y volae.

Il était avèc un beau Jeunehomme, qu'il fit cacher, au bruit de mes talons. Mais j'entrevis par le trou de la serrure. Guae me reçut mysterieusement, ét me conduisit dans la Pièce-obscure, où je Luy avais vu cacher le Jeunehomme. "Ma Reine! ma belle Future (me dit-il), je crois que je pourrae vous enfiler aujourdhuy: Ayéz seulement de la complaisance? "Oui! mais, pomadéz… Ma Tante… "J'entens.. j'entens"… Je sentis qu'il me remettait à une main plüs douce. On me prit les Tetons, le Con; On me darda la langue. Je caressae. On me troussa. Je fis beau Con. L'On se mit sur Moi, je sentis qu'On m'ìnserait un morceau de beurre-fraìs à l'entrée de la vulve, ou trou du Con. On poussa. Je ripostae un-peu. L'On entra. Je secondae, m'apercevant avec étonnement, qu'On ne me fesait presque pas mal. Enfin l'On parvint au fond sans m'avoir blessée, ét l'On y dechargea. L'abondance ét la douce chaleur du foutre me firent partir aussi, mais avec un plaisir, des élans, des transports incroyables! Je m'écriais: "Chër Amant! divin Amant… j'expire… de bonheur… ét de volupté… Je t'adore"!…

"Le Jeunehomme deconna. Il me suça les Tetons, les Lêvres, me fit darder la Langue. Ce que je fis tendrement… Aussitôt Il me re-enconna avec fureur. J'eüs autant de plaisir que la première fois… Bref, il me recommençait sans-cesse, ét ce fut Guae qui Le renvoya: car pour Moi, deja foutue 25 fois dans la journée, je crois que j'aurais laìssé aler ces deux Hommes jusqu'à 50, si tousdeux avaient pu me Le mettre. Guae me voyant quelque difficulté à marcher, envoya chercher un fiacre, pendant que je me lavais le Con. "Hé-bién, ma charmante Reine, T'ai-je bién foutue? me dit-il. Je rougis. "Loin d'être épuisé, je me meurs encore d'envie de T'enculer? "Hô-non, non! (m'écriae-je avec effroy). "Hé-bién, branle-Moi des deux mains, comme te voilà, le cùl dans l'eau". Je branlae son Vit, qu'à-peine je pouvais empoigner. Quand le foutre fut prêt à venir, il heurlait de plaisir. "Ta bouche? (me disait-il), ta bouche… ou je T'encule"? Je decalotai le gland, je le pressai de mes lêvres. Le foutre arrive, ét depeur qu'il ne tombe dans mes Tetons, j'ouvre la bouche, ét il m'est lancé au fond du gosiér. Je l'avale comme un Laìt-de-poule. Il y en eüt une chopine: "Foutre! foutre… (s'écriait Guae), je me pâme,.. Hâ… celeste Garse… Tu vaux mieux que toute la Terre… Est-ce bon? "Ce qui fait tant de plaisir en-bas, doit faire du bién en-haut. "Hâ, divine Putain… je T'en nourrirae". Le fiacre arrivait; Guae m'y porta.

"On me L'avait mis 37 fois. Le Frère de ma Marchande se trouva seul à la maison, lors de mon retour. "Mademoiselle Convelouté! me dit-il, que vous êtes cruelle pour Moi?… On dit que vous aléz vous marier? Vous devriéz bién favoriser un Jeunehomme qui vous adore, aux dépens du Futur? C'est Un Veuf, Un Laìd… Vous ètes Pucelle, ét si jolie?… Dailleurs, il l'a três-gros (dit votre Oncle), ét il vous fera bién mal? Si un plûs menu que le sién vous préparait? Voyéz? (Il mit à l'àir un vit charmant); c'est un veritable croque-pucelage, sans faire mal…. Je sais m'y prendre: Le Mary de ma Soeur èst Un Bandàlaîse, ét elle se fait de-temps-en-temps ôter par Moi les Aràignées du Bijou". Ce langage me plut, ét son vit me tentàit: Je luy repondis, en riant: "Je n'ai pas d'Araignêes à ôter". Il vit, à mon àir que je n'étais pas de mauvaise-humeur. Il me prit les Tetons. "Finisséz donc, Libertin! (Luy dis-je doucement et sans presque Le repousser). Il me prit la Motte. "O c'est trop fort, ceci… Vouléz-vous bién finir"!… Il était deculoré; il bandait ròide; il me renversa sur le Lit de sa Soeur, me retroussa, ét se mit sur Moi tandis que je disais nonchalamment: Hé-mais… c'est donc une violence"! ét que je me defendais d'une maniére qui me lìvrait. Il me dit: "Hâ! celeste Innocente! je vous Le mettrae"!… Il m'enfila. Je ripostais, en haussant du cùl, comme pour Le repousser. Il n'en dardàit son vit que plüs fort. "Non! (s'écriàit-il en dechargeant), il n'êst rién tel que d'enconner l'Innocence"!… Cependant cràignant que je ne Me derobasse, il Me foutit trois-coups sans deconner, (ce qui fit mes 40 fois dans la journée), ét ne Me quítta, qu'en entendant du Monde…. Je courus Me laver.

"C'était la Marchande. Elle dît à son Frère: "Heureusement que c'êst avec Convelouté! Toute-autre aurait sauté le pas, Poliçon?… Mais L'as-Tu attaquée? "Oui. En ce cas, Tu dois n'en pouvoir plus… Viéns que je Te soulage"? Il y avait encore de l'huile dans la Lampe: Le Jeunehomé mit le verrouil, nous enfermant ainsi Tous-trois, ét il se jeta sur sa Soeur, qu'il enfila d'un seul traìt. Hâ! quels coups-de-cùls elle donnait! "Lime (Luy disait-elle)… je decha…arge… Sors à-moitié, ét… rentre… vivement… Fous-Moy vingt fois… en une"… Je Les voyais. Ranimée par-là, mon insatiable Connôt redesiraît un vìt, lorsqu'On frappa doucement. J'ouvris, en tirant le verrou plüs doucement encore. J'esperais que ce serait le Mari de ma Marchande, qui depuis longtemps brûlait de me Le mettre. Je me proposais de le pousser dans une autre Pièce. Point-du-tout! C'était un beau Jeunehomme, qui avait beaucoup d'air de Celui par quî Guae venait de Me faire foutre.

"Mademoiselle (me dit-il), se nomme Agnès-Convelouté? "Oui, Monsieur. "Mademoìselle êst la Prétendue de M. Guae? "Mais, oui, Monsieur. "Aiméz-vous, fort ce M. Guae? "Monsieur, la raison, ét non la passion, fait mon mariage. "En ce cas, Mademoiselle, je ne vous ferai pas de peine, en vous revelant un secret? "Quel êst-il, Monsieur? "C'êst que tout-à-l'heure, vous avéz cru être possedée par votre Futur… "Quel conte vous me faites-là, Monsieur? "J'étais présent, mais caché, Mademoiselle: son Timon de carrosse ne pouvant vous perforer, il m'a vendu votre Pucelage cent Louys, ét c'êst moy qui vous ai deflorée… Me préfereriéz-vous? "Ce que vous me dites êst impossible, Monsieur! "Cela êst: Il l'a trop gros; On viént de vous Le mettre, ét c'ést Moi. (Je le savais bién). "Il n'êst qu'un mot à dire, Monsieur: Pouvéz-vous m'épouser? "Mademoiselle, je suis marié à une Vieille de 78 ans, qui m'a fait ma fortune, ét je suis obligé d'attendre qu'elle soit morte. "Et si je devenais grosse, Monsieur?… J'épouserais M. Guae. "Vouléz-vous être ma maîtresse? "Cela ne conviéndrait pas. "De son consentement? "Comme vous m'avéz eüe dejà, ét que ce soit de son consentement, je m'y prêterais; pourvu qu'il ignorât que je le sais… "Hô! de tout mon coeur! Ceci marque votre honnêteté… Etes-vous seule? "Non; la Marchande êst là. "Pourrais-je vous avoir à coucher? "Hâ-ciel! Je ne saurais decoucher que sous le prétexte d'aler veiller mon Père, en Le supposant indisposé: Ainsi, cela êst impossible. "J'irae, si vous le permettéz, parler tout-unîment à votre Père: Je suis riche; il vaudrait mieux que je vous donnasse le prix de vos faveurs, qu'à Un vil Malheureux, comme Guae? "Hé-bién, parléz à mon Père. "Je reviéndrae vous chercher, s'il m'accorde ma demande? "Mais ne revenéz pas seul: Je veux voir Quelqu'un à Luy, ét que je connaisse? "Vous seréz tranquilisée".

Il ala chéz mon Père: Il luy raconta comment Guae n'ayant pu me depuceler, Lui avait vendu mon Pucelage cent Louys, en quatre seances, vingtcinq Louys par chaqu'une, dont la première était payée: Qu'il m'avait enconnée, en me pomadant. ét qu'il avait trouvé mon Bijou si delicieux, si satiné, qu'il n'en voulait plus d'autre; Qu'il m'avait demandé de coucher avec Moy, ét que c'était par mon conseil, qu'il s'adressait à Luy. Il offrit ensuite les 75 Louys restans pour les trois nuits suivantes. Mon Père repondit: "Puisque Guae a voulu être cócu, qu'ainsi soit. Je consens que vous couchiéz icy avec ma Fille, si vous avéz cueilli sa Rose; ce qu'elle me dira. Aléz La chercher, avec un Billet, par lequel je vais La demander". Et il écrivit. Puis il accompagna le Galánt jusqu'à la porte de ma Marchande, que son Frère foutait encore.

"Cependant je M'amusais à voir conniller le Frère ét la Soeur. J'étais en feu, quand le Jeunehomme reparut, avec le Billet de mon Père: je vis par la fenêtre, Celui-cì quì nous attendait dans le carrosse de mon Depuceleur prétendu. Je partis, en avertissant que j'alais veiller mon Père malade- A notre arrivée, le Galant pàya un heau soupér, ét remit vingtcinq écus-d'or à mon Père. On mangea; On but; puis je fus mise au Lit. Le Jeunehomme exigea que mon Père me deshabillât, ét me lavât la Motte. S'étant ensuite Lui-même mis nu, en un instànt, il entra dans une chemise, fort large, ét qu'il avait apportée, afin de me palper mieux. Il appela mon Père, pour qu'il Lui mît le vit dans le trou de mon Con; puis il poussa… Il eüt autant de peine que chéz Guae (ce qui m'étonna Moi-même!) Aussi dit-il: "Elle a reellement le Connin étroit: Elle se repucelerait en huit jours, si On La laissait tranquile". Il me foutit six coups; mon Père, couché à-côté de nous, Lui mettant tonjours le vit dans mon Con. Il s'endormit ensuite, ét Moy aussi.

"Le lendemain-matin, il fit faire d'excellent chocolat, qui Me refit. Je refusae la voiture pour retourner chéz ma Marchande. On ne se douterait pas pourquoi! J'avais ouï-dire, que le foutre avalé chaud, était excellent pour la poitrine, fortifiait, ét blanchissait le teint. Je voulais aler en avaler ma chopine en suçant le Vit de Guae. J'y courus, dês que je me vis libre. Il alait sortir. "Je viéns vous donner du plaisir (Luy dis-je), mais sans en prendre: vous m'avéz trop fatiguée hiër". Alons, ma Toute-belle, que faut-il faire? Vous enculer? vous encuisser, vous endosser, vous enaisseller, vous enoreiller, vous encoller, vous entetonner, vous decharger sur le nombril, me faire serrer le Vit entre vos deux mollets, faire un Con de votre solliér, ou de votre jolie mule: Tout, je ferae tout, hors vous enconner; je ne le saurais, parceque nous sommes, vous trop belle, ét Moi trop beau"? Aulieu de repondre à ce Langage, qui était de l'Arabe pour Moy, j'avais deboutonné sa culote, ét je Le branlais d'une main, ét chatouillant par instinct les couilles de l'autre. Il se recriait de plaisir; "Déesse!… Sacrée Garse!… Divine Putain!… Branle!… branle!… Chatouille! chatouille les couilles?… Hô! hô! quelles delices!… Bougresse!… Gueuse!… Putain!… Divinité! le foutre… viént"!… A ce mot, j'embouchae le gros Vit, le palpotant de ma Languè ét du Palaìs. Ce fut àlors que Guae en delire blasphêma; "Foutu Dieu! Bougre de Dieu! Sacré Con de la Vierge Marie! Con de la Magdelène connillé par Jesus! Con de Sainte Thècle, de Sainte Theodore, de Sainte Catherine, de Sainte Cecile, d'Agnès-Sorel, de Marion-Delorme, de Ninon, de La-Daubigné, de La-Vallière, de La-Pompadour, de La Duté, de La Lange, de La jolie Mars, de l'adorable et provocante Mèzéray, de la jeune et naïve Hopkins, de la belle Henry, vous ne valéz pas… cette Bouche-là… Je fou..ou..ous… Je.. decha..a..arge!… Ava..ale!… gorge-Toi de foutre, ma Reine"! Il deboucha vivement, quoique je Luy suçasse encore lé Vit. "C'êst trop de plaisir! (dit-il); On mourrait". Il me fit prendre quelques cuillerées de café. pour me rincer la bouché. Puis je me remis à Le branler. Il me suça les Tetons, me fit Luy darder ma Langue, ét voulut me gamahucher. Je m'y refusae, devant être foutue le soir…. Il rebandait. Je secouai, je chatouillai; le foutre revint, ét j'en avalai une nouvelle dose. Ce qui eüt lieu trois fois de-suite. Le manque de temps nous obligea seul de nous separer.

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