L'Anti-Justine; ou, Les Delices de l'amour
— Fais-y ce que tu pourras. Mais je doute du succès, avec ton poil gris. Il n'y a que les catins blasées, qui souffrent les barbons vigoureux et libertins; avec les pucelles sages, il faut être tendre; et tu as la figure d'un satyre, ou d'un réprouvé. Mais tente-z-y.
Après mon départ, Montencon essaya d'abord de la galanterie. Mais n'y gagnant rien, il culbuta Conquette à l'improviste sur le foutoir; et, comme il était vigoureux, il lui approcha, en la contenant d'une main, le vit des lèvres du con… Cependant il ne put l'enfiler; un coup de cul en arrière le débusquait… Il allait la menacer de la poignarder, lorsque je rentrai. Conquette se rajusta, sans marquer d'humeur. Je dis tout bas à Montencon:
— Le pucelage?
— C'est un diable! J'en serai réduit à me branler!
— Tu la foutras.
Nous nous mimes à table. Conquette parla comme à l'ordinaire à son vellivioleur, et rit même avec lui. Tout haut, devant moi, il lui demanda, d'où vient elle ne s'était pas laissée enconner?
— Fi donc! (répondit-elle). Eh! d'où vient l'aurais-je souffert?
— Parce que je bandais comme un carme.
— Vous parlez comme un Vitnègre…
Montencon ne m'en raconta pas moins ses entreprises, en termes savoureux. Il loua la beauté de la conque, le soyeux du poil, la blancheur des fesses, la fermeté des tétins, le rosé du bouton, l'éburnité ou l'ivoire du ventre et des cuisses: Il extolla le pied, la jambe de la belle… Conquette, ainsi louée, rougissait, et n'en était que plus modeste. Je répondis, Que j'étais le seul qui foutît ma fille, à laquelle j'avais sauvé la vie, et que j'avais déflorée, il y avait 8 jours. Et je racontai toute l'histoire.
— Vous la foutez?
— Eh! qui donc la foutra? Je suis deux fois son père…
Montencon se mordit les lèvres. Conquette m'embrassa.
Pendant tout le dîner, nous admirions le voluptueux tour de hanches de Mme Poilsoyeux, à chaque fois qu'elle se levait, pour aller demander un plat, ou qu'elle donnait des assiettes. Elle avait un joli soulier rose à talons verts, élevés, minces; des bas de soie blancs neufs, à coins roses. Je lui demandai si elle était jarretée au-dessus du genou?
— Certainement! (répondit-elle) toujours.
— En ce cas (repris-je), montrez-nous la plus jolie jambe qui soit au monde!
Elle refusait. Mais nous l'en pressâmes tant que, pour se débarrasser de nos prières, elle mit le pied sur une chaise, et nous montra, jusqu'au dessus du genoux, une jambe à faire bander un moribond… Nous entrâmes en rut, Montencon et moi; mais nous nous modérâmes. Cependant le grisonnant Ribaud, dans un moment où ma fille était sortie, me proposa de l'enivrer, en mettant du champagne, qu'il avait apporté, dans son vin rouge, au lieu d'eau. Je feignis d'y consentir. Mais, avant que Conquette rentrât, j'allai au devant d'elle, et l'avertit de tout. Puis j'ajoutai:
— Ma raisonnable fille, il faut qu'il te le mette; je l'ai amené exprès pour cela; mais je ne savais comment faire. J'y réfléchissais, quand sa proposition m'a tiré d'embarras. Tu feindras de t'enivrer. J'en ferai autant; et, par ce moyen, jamais il n'aura un pied sur toi. Il a l'engin assez gros, quoique moyen. Après lui, je t'aurai Traitdamour, mon ancien secrétaire, un joli garçon, qui achèvera de t'élargir suffisamment pour l'engin du Payeur que tu préfères… Il est averti de ton existence, et je n'ai demandé que quelques semaines pour lui procurer ta vue. Laisse-toi donc faire, ma reine; j'empêcherai tout ce qui ne conviendrait pas.
— Je vous suis soumise; disposez de moi (répondit-elle). Je me suis trop mal trouvée de vous avoir désobéi!…
Nous rentrâmes. Entre les deux portes, elle se découvrit un téton, et me le fit baiser.
Montencon avait arrangé la carafe en vin de Champagne. Conquette, prévenue, le remarqua; s'en procura une autre d'eau, et réserva le vin, pour griser Montencon lui-même. Mais le Ribaud était inenivrable, autrement que par les beaux yeux et les autres charmes de ma voluptueuse Conquette-Ingénue.
Chapitre XX Du, Ah, comme elle fut foutue!
Dès que Mme Poilsoyeux, qui affectait une ivresse aimable, parut dans l'état où le Montencon la désirait, je la saisis, la première fois qu'elle se leva, par la taille d'une main, et de l'autre, je lui pris le con (Outre que je désirais vivement sa possession, je la voulais enhardir, et préparer son bijou à l'admission d'un plus gros membre que le mien). Je la renversai, en demandant un morceau du beurre frais resté sur la table. Je lui en mis gros comme une noix à l'orifice; et je poussai.
— Laissez, laissez-moi donc! (me disait-elle doucement)
Cependant elle remuait admirablement de la charnière, et le foutoir craquait sous nous… Je déchargeai, en me récriant de plaisir!…
— A toi, bougre…
Montencon, debout, son gros vit bandant à la main, nous admirait!… J'eus à peine déconné qu'il se précipita sur ma fille, dont le connin oscillait encore; et, doublement favorisé par mon foutre et par le beurre frais, il pénétra. Conquette fit un cri! Je m'avançai, alarmé. Mais elle me sourit aussitôt.
— Enfonces-tu? (dis-je au fouteur)
— Oui, oui! sacredieu! (me répondit-il) et avec délices!.. Elle me pince le vit!… Mais… quel connin!… C'est un satin!… Ah!… Ah!… je fous!… Remue du cul, céleste houri!… Re..mue, divine bougresse!… Con délicieux! remue… sous moi!… saccade… saccade!… Je pa..ars!… je décha..arge!… Ahah!…!
Le grisonnant se pâma sur les tétons de ma fille, qui elle-même nageait dans le foutre et la volupté. J'avais craint qu'elle ne remuât pas assez avec un étranger; mais, dès qu'elle fut limée, elle se mit à remuer, à saccader, à osciller des reins, à décharger avec des soupirs et des cris… Montencon se remit à la fourgonner, sans déconner, criant, hurlant de luxure, et murmurant par intervalles:
— Divine garce!… fais-toi putain… et… je te réponds… de ta fortune!..
Il recommença ainsi trois fois sans désarçonner. Enfin, il déconna.
— Voilà un coup qui en vaut dix, et un con qui vaut cent, et mille fois tous ceux que je t'ai fait enconner, même ma petite hôtesse! On ne le quitte qu'à regret!… Mais refous-la, mon ami. Une femme vaut seize hommes au jeu couillard; ne la laissons ni refroidir, ni chômer.
A ce mot, Conquette-Ingénue, restée immobile, et se contractant seulement un peu, comme si on la tenait encore bourrée… d'un vit, sauta du foutoir, et courut se laver. Elle trouva de l'eau tiède préparée. Nous fumes aussitôt à genoux devant notre divinité, et nous lui épongeâmes l'un le cul, l'autre le con, les fesses et les cuisses, car elle était pleine de foutre et d'un peu de sang, prenant garde de mouiller ni sa chemise, ni ses bas; nous la faisions se tenir troussée au-dessus des reins…. Après une scrupuleuse ablution, nous l'avons admirée; car elle était ravissante à cul et à con découverts! Nous l'avons fait marcher ainsi, et nous avons vu la magie de son divin tour de cul…
— Moi (disait le Grison, en la regardant venir à nous), ce qui me transporte, c'est ce con noir, sur une peau de lis; ce poil soyeux, et cette raie de corail, qui le sépare en deux égales parties!…
La belle se retourna, et montra d'autres charmes:
— Ah! (s'écria Montencon ravi) le beau cul! il n'est pas inférieur à l'admirable connin!
Elle revenait.
— Ah! le beau con! Il est digne du divin cul!
Quand ma fille fut auprès de nous, il lui baisa le connin. Puis, se levant (car nous étions restés à genoux pour mieux voir), il l'emporta sur le foutoir, en me demandant la permission de gamahucher tous ces charmes-là, avant que je les refoutisse… Ah! comme elle fut gamahuchée!… Il lui chatouilla de sa langue la rosette, à la faire tressaillir. Puis il vint au con. La belle, chatouillée, se trémoussa, puis émettant, elle hennissait, comme une jeune cavale, dans la vulve de laquelle on insère pour la première fois l'engin terrible et perforant de l'étalon vigoureux; les fesses potelées de la jument pucelle tremblotent; elle frémit de tout son corps, et répond, par l'émission de son hippomanès, aux flots de sperme que lui lance le dominateur des haras… Telle était ma voluptueuse fille, seulement gamahuchée… Montencon déboucha, et moi, me précipitant sur ma fouterie, cambrée, tenant son cul à trois doigts du foutoir, je plongeai brutalement. Elle ne faisait que doucement osciller. Ce qui ne s'accordant pas avec ma ribaude impatience, je dis à Montencon:
— Arrache-lui sa chaussure, et chatouille-moi-la sous les pieds!
Il le fit. Mais le couillon s'amusait à les flairer, en disant:
— C'est Cypris, et le dedans de ses chaussures sent l'ambroisie.
— Chatouille donc, jean-foutre!
Il chatouilla; et, au second soubresaut, je déchargeai copieusement!… Dans mon extase de plaisir, j'élevai mon âme vers la divinité:
— Mon Dieu! je vous remercie de m'avoir donné une fille si parfaite, dont le connin trémoussant vient de me donner une idée du délice que vous éprouvez vous-même, en foutant votre fille la Nature!…
— Dieu de mon connin! (balbutia Conquette) sois béni! je re-décharge encore! le cri de mon père a fait entrer son vit plus avant!
— Oh! quel digne père! quelle pieuse fille! (s'écria Montencon édifié)…
Je déconnai.
— Mais d'où vient (me demanda le vigoureux grison, en se remettant sur ma fille, et l'enconnant sans laver), m'as-tu fait chatouiller le dessous des pieds de ta céleste fouteuse!
— Je tiens cette recette d'un imprimeur foutant la femme de son confrère de l'aveu du cocu.
— Que lui avez-vous donc fait, qu'elle m'a donné tant de plaisir à la fin?
— Vous avez bien vu qu'elle était déchaussée? Or j'ai ouï dire que les fils de mesdames Quillenpoche et Radball, âgés de huit ans, étant entrés dans la chambre où un avocat et un procureur vitoeuvraient mesdames leurs mères, les petits babouins, ne voulant pas les déranger, leurs ôtèrent à chacune une mule délicate, et leur chatouillèrent le dessous des pieds. Ce qui fit faire aux deux dames des soubresauts qui leur procurèrent autant de plaisir qu'elles en donnaient à leurs opérateurs. Aussi depuis se firent-elles toujours chatouiller les pieds en pareille circonstance.
— Tu vas me rendre la pareille…
Il saccadait.
— Allons, le foutre de ton père… ce foutre dont tu es faite, amalgamé au tien dans ton sacré connin de poupée, doit te le pommader! Et j'ai de la peine!…
Je vis à la rougeur de ma fille qu'elle souffrait.
— Déconne, bougre (dis-je à l'Enfonceur), ton vit d'âne, ton vit de mulet donne les bouchées trop grosses à ce connichonnet!
Il déconna, et je mis une boulette de beurre frais à l'orifice du bijou de ma fille.
— Oh! ça me le rafraîchit (dit l'aimable enfant)…
Montencon re-enconna avec fureur. Il entra mieux, et toucha le fond, Conquette ayant saqué du cul:
— Ah! je te sens, petit joli chien de pinçoir! Allons, Vitnégrette, encorne ton jean-foutre de Vitnègre! Pince.. et remue du cul, garce!
Ces mots grossiers me mirent en fureur érotique; je chatouillai sans pitié les pieds de ma fille, en lui disant:
— Fous, déesse! Donne-nous ton joli foutre!… Et toi, sacré bougre, inonde-la! As-tu jamais percé con ou connin, qui vaille le connin, le connichet de ma céleste, de cette divine putain?…
Conquette saccadait à désarçonner son enconneur (comme faisait Mlle Timon sous le grand homme Mirabeau). Mais Montencon se tenait ferme. Cependant elle eut une décharge si convulsive qu'il fut presque déconné. Mais, en retombant, le frottement serré du connin velouté le fit décharger avec ravissement…
Il lima quatre fois sans déconner, et, à la quatrième, lui ayant chatouillé les couilles, il émit aussi copieusement qu'à la première. Mais il fut épuisé. "Ah! comme Vitnègre est cocu! (disait-il en déconnant) car sa fouteuse de femme a déchargé le triple de moi.
Conquette sourit.
— Combien? (lui demandai-je).
— Oh! dans les neuf, trois fois neuf.
Je la baisai sur le front, et elle alla au bidet. Je vis par là qu'elle aurait un vigoureux tempérament. Ainsi, je résolus de la faire un peu blaser, avant de la livrer à son gros vit.
Mme Vitnègre, voulant se rafraîchir quelque temps le con dans sa cuvette à bidet, nous pria, avec une modeste rougeur, de la laisser libre. Nous la saluâmes aussi respectueusement qu'une déesse bienfaisante, et nous sortîmes. Montencon me dit:
— Je vous rends grâces. Je serais plus glorieux d'être son père que de la reine Marie-Antoinette. Elle est autant au-dessus des fouteries ordinaires, que Mlle Contat ou Mlle Lange sont au-dessus d'une putain des pauvres, qui branle les vits derrière les charrettes sur le quai du Louvre.
Nous nous séparâmes, à ces mots.
— Ah! (disait Montencon, s'éloignant), comme elle a été foutue!
Chapitre XXI Du ressouvenir, et de l'épisode.
Oh! que les puristes ont dû se récrier au chapitre précédent!… Eh bien, puristes, je m'en fous.
Le lendemain, je m'attendais à un peu de bouderie, ou de sérieux. Non. Ma Conquette me parla comme à l'ordinaire… Je fus huit jours, sans chercher à le lui mettre… Le samedi, son bijou bien rétabli des fatigues données par Sourcilsgris, dit Montencon, elle y sentit un chatouillement. Elle se ressouvint alors de ce que je lui avais dit, qu'elle pourrait se laisser enconner par Timori. Elle fit une toilette de volupté, se couvrit d'une calèche, et sortit le soir. Mais je l'observais, et la faisais soigneusement observer par Mme Brideconnin, ou comme je l'appelais en badinant, Mme Conbridé. Je fus averti; je la suivis, pour la préserver de malheur. Elle monta. J'écoutai à la porte; et j'entrevis même par une fente… Conquette se jeta dans les bras de Timori. Mais il était malade. La belle fut gamahuchée seulement. Timori, au lieu de la caresser, comme elle s'y attendait, se mit à lui raconter la suite des événements relatifs à Vitnègre, à Foutamort, et à Conillette:
— J'ai été voir Vitnègre aujourd'hui, au lieu de me rendre à mon bureau, étant malade. Je l'ai trouvé malade lui-même, tant il avait été hier effrayé des menaces de son moine. Celui-ci l'avait fait demander. Vitnègre est accouru. Il a trouvé toute la communauté à l'infirmerie. Parvenu au lit de Foutamort, celui-ci lui a dit:
— Gueux! si j'en avais la force, je t'étoufferais… Mais si je suis pour en mourir, comme On l'assure, je déclarerai tout au Lieutenant de Police, et tu seras pendu… Tu m'as vendu ta femme. Elle était si belle que j'ai eu un plaisir… infini… à la faire expirer dans des douleurs plus fortes que celles de l'accouchement… J'en bande encore, mais avec des douleurs insupportables… Elle était si belle que j'ai voulu en manger: je me suis fait accommoder son con, sa matrice, ses poumons ses tétons et sa tête, que j'avais déguisée. Nos moines ont mangé, sans le savoir, son cul, ses fesses, ses mollets, ses pieds, ses bras, ses mains, ses épaules, son coeur, son foie, etc… Tous, eux et moi, nous avons la vérole! Or, ta femme, belle, fraîche, pucelle encore, ne l'avait pas… Voici ce que tu as fait, coquin. Touché d'une fausse compassion, tu as fait évader ta femme, que je t'avais payée pour la foutre à mort, et tu lui as substitué une putain… C'est une insigne coquinerie… Si j'en reviens, j'aurai ta femme; si je meurs, tu seras pendu…
Vitnègre s'est donné à tous les diables que c'était vous qu'il avait livrée. Le moine, qui venait d'être frotté de mercure, et dont la langue enflait, a fait signe qu'il n'en croyait rien. Le chirurgien a tiré Vitnègre à part:
— Avez-vous quelque affaire à régler avec ce scélérat? il n'a pas 2 heures à vivre, à la manière dont enfle sa langue. Il a une vérole si terrible, que j'ai été obligé de le frotter au triple des autres, que voilà dans leurs lits, et qui commencent à saliver. Je le connais; c'est un monstre à ôter du monde, et tout à l'heure, il ne pourra parler.
— Empêchez qu'il n'écrive!
— Oh! ne craignez rien! l'enflure lui… gagne les yeux; il n'y voit plus, et la langue commence à lui sortir de la bouche… Il… souffre… (lui tâtant le pouls) comme un damné… et il n'a pas une demi-heure à vivre…
Alors, Vitnègre, enhardi, a dit au moine:
— Gueux! Infâme!… c'est la putain Conillette que je t'ai donnée, que tu as fait manger à tes moines, et dont tu as dévoré la matrice vérolée!
Le moine s'est soulevé, et a lancé à Vitnègre un si terrible coup de poing, qu'il l'aurait tué, si la colonne du lit n'avait pas amorti une partie du coup, qui cependant a renversé Vitnègre. On l'a fait sortir. Mais il a appris ce matin, par le chirurgien, que la langue du moine, devenue grosse comme celle d'un boeuf, l'avait étouffé un quart d'heure après… On a brûlé, sans lire, tout ce qu'il avait écrit durant sa maladie.
— Voilà ce que Vitnègre, tranquillisé, vient de me raconter. Il est tard; je ne saurais vous reconduire. Partez, ma belle amie.
Tel fut le récit de Timori, fait à ma fille, que j'entendis tout entier, et qu'elle me répétera. Elle s'en revint la tête remplie d'idées noires. Je la suivais à vingt pas, la couvant des yeux, pour la préserver de toute mauvaise rencontre. Je bandais comme un carme, en voyant son joli tour de hanches…
Elle rentra. Je la précédai dans mon magasin, et je me cachai. Elle revint avec de la lumière et de l'eau tiède. Elle se lava la motte, et soupira, en se disant à elle-même: "Il n'existe plus, le scélérat!… Je suis encore effrayée! Je frappai un petit coup sur une commode. Conquette leva les yeux, et me vit. Je lui contai tout ce qu'elle venait de faire. Je lui causai un effroi salutaire, qui la guérit de l'envie de retourner seule chez Timorì, en lui disant que j'avais aperçu Vitnègre sur le quai des Ormes. J'ajoutai:
— Vous alliez pour être baisée; vous le serez; car je couche avec vous.
Elle bégueulait, disant que le récit de Timori lui avait ôté ses désirs. Je ne l'écoutai pas; je me mis au lit, et elle vint se coucher auprès de moi.
Chapitre XXII De la fouteuse mise en appétit.
L'appétit vient en mangeant (dit le proverbe); et l'on va voir combien il a raison, pour Conquette!
Dès que ma fille fut à ma portée, je m'ancrai sur ses appas, lui suçai les tétons, et l'enconnai. Je ne sais par quel motif, humeur ou volupté, ma divine enfant ne remua pas. Je fis de même, et la tins emmanchée, sans me donner aucun mouvement… Je m'endormis, après m'être mis sur le côté, sans déconner. Conquette, qui s'y était prêtée, s'endormit comme moi, sans doute; puisqu'en m'éveillant, sur les 2 heures, je me retrouvai dans son bijou. Je m'agitai pour lors. Elle me serra dans ses bras, remua vivement du cul, et me dit:
— Cher amant! pou..ousse".
Et elle saccada de toute la force de ses reins… Elle déchargea… J'émis aussi…
— Ah… mon Dieu (dit-elle), c'est mon papa, qui me… caracole…
— Qui te fous, ma déesse.
— Ah… il n'y a que vous, pour ces choses-là… Je ne vous contrarierai plus; car vous avez plus d'esprit que moi… J'ai eu un plaisir… que je ne dois qu'à vous… Cher papa, recommencez; que je décharge à votre intention! Je vous adore…
Je la re-enconnai vigoureusement, en lui disant:
— Et fous comme tout à l'heure, à l'intention de ton amant…
Elle remua du cul comme Cléopâtre ou Messaline, et elle se mit à dire, en saccadant:
— Bougre de Timori… fous… fous… fous-moi… Fous ta garce… fais cocu mon sacré gueux de père… dont je suis la femme… la maîtresse… la putain… Ah… je sens ton vit, au fond de mon con… Ta langue… ta langue!… Je me pâme… je dé…cha.arge… Foutre… Ah-a-a-ah… je n'en puis plus…
Et, en finissant, elle alla se laver le con…
Dès qu'elle fut de retour, je remontai sur elle.
— Remue du cul, du con! (lui dis-je) Trémousse des fesses…
Je sens ton pinçoir… Oh! que tu fous bien, fille de mon vit,
pour une novice!… Ayez un mouvement encore plus rapide!…
Bon… excellent!… Quels reins élastiques!…
Elle fit trois soubresauts, et déchargea, en disant:
— O mon Dieu! mettez une tonne de foutre dans les couilles de mon père, et que son vit divin le décharge au fond de mon con!
Dieu l'exauça, car j'émis aussitôt, et nos foutres se mêlèrent. J'en espérai un Adonis… Elle resta ensuite immobile, et moi aussi. Elle fit une copieuse ablution. Je me rafraîchis le vit et les couilles; puis nous nous recouchâmes. Je la re-enconnai.
Je fus là plus d'une heure, lui suçotant ses boutons de roses, lui dardotant et lui faisant dardoter la langue; la faisant déchargeoter, pâmoter, chatouilloter mes couilles. Je ne pouvais me résoudre à déconner… Tout à coup ma fille, que je croyais épuisée, se met à trémousser du cul, à convulsionner du con, comme faisait autrefois sa mère, mais mieux que celle-ci… Je rebandai roide, mais loin de la décharge! De sorte que je la limai tant qu'elle voulut… Elle me disait:
— Papa! je ne parlerai pas d'un Vitnègre, qui n'a de plaisir sur une femme qu'autant qu'il brutalise sa monture; mais vous foutez plus tendrement, plus délicieusement, que Timori ne caresse. Vous limez mon con comme un dieu!… A votre intention cette décharge-ci… Papa! Papa, fourgonne! tu es dans le con de ta fille! Remue du cul, papa! Tu me fous… tu me fous… tu m'enco..onnes!… Fous, bougre! fous ta fille! incestue, jean-foutre!… Enfonce, enfon..once… dans le con..on de ta fi..ille… pâ..âmée!…
Et elle resta comme morte, pendant une longue décharge…
Je la relimai, voulant décharger aussi, pour la dernière fois de cette nuit-là. Elle se ranima:
— Fous, maquereau! Je suis ta putain, ta raccrocheuse… ta sacrée salope… ta passionnée fouteuse… ta tendre fille… Engrosse-moi! (remuant du cul avec fureur) mets-moi dans le con un garçon… une garce! si une fille, tu la… dépucelleras un jour… si un fils, il me foutra…
— Adorable fureur! (m'écriai-je)… Tiens, fille adorée, voilà du foutre.
J'émis délicieusement; et ma fouteuse déchargea plus délicieusement encore…
— Ah! quelle nuit! (me dit-elle)… Timori ne me l'aurait pas donnée si voluptueuse…
Elle s'ablua; je lavai, et nous endormîmes.
Chapitre XXIII De la tendresse filiale; amour paternel.
Etre réservée, modeste, ou voluptueuse et fouteuse à propos, c'est la véritable sagesse.
Je ne raconte pas les bagatelles… Montencon ne put le re-mettre à Mme Poilsoyeux, et il en fut très étonné! Elle était aussi modeste, aussi retenue avec lui, qu'avant qu'il l'eût foutue. C'est qu'elle suivait mon avis, de ne pas laisser prendre un pied sur elle, par les faveurs accordées, ou ravies…. Un jour qu'elle se baissait, pour arranger le feu, il lui prit le con. Elle lui donna un soufflet. Je dis à Montencon:
— Moi, qui la connais, je ne lui touche jamais les fesses, ou le poil du connin, sans sa permission, et sans qu'elle m'ait dit: "Eh bien, faites donc vite!" Quand je lui demande cette faveur, elle est parée, chaussée comme les Grâces… Je commence par lui demander à lui baiser le pied. Puis, lui glissant la main sur la jambe, je lui dis: "Tu l'as si jolie! que je la baise!…" Je pousse à la cuisse, en disant: "Quel satin!" Je lui passe délicatement la main sur la motte, et je m'écrie: "Ma reine! qu'en te voyant marcher dans la rue, et tortiller si joliment du cul! faire bander tous les hommes, bisquer de jalousie toutes les femmes, je puisse me dire: 'Je viens de patiner, de baiser ces foutatifs appas…' Je te suivrai; j'entendrai les hommes dire: 'Que je la foutrais bien!' Je verrai les femmes penser: 'Sacrée coquette! cette parure, ce goût, ce tour de cul signifient: Je veux être foutue! Vits, foutez-moi!' 'Bougresses! (leur répondrai-je tout bas), je méprise vos cons et vous! Je ne bande que pour le beau connin que vous jalousez'…"
Ma fille sourit à ces propos; se laisse patiner, puis baiser tétons, fesses et connin… Montencon m'admira, et demanda pardon à Conquette, qui n'avait entendu ce que je venais de dire, qu'avec une modeste rougeur.
Un jour de fête, que je l'avais conduite avec précaution chez une amie, et que j'étais retourné la chercher le soir, la suivant à quatre pas, son lubrique tour de fesses me fit bander si fort qu'en rentrant, je lui happai le con. Elle se défendit, parce qu'elle entendait aller et venir Mme Brideconnin.
— En ce moment, déesse, je suis si enragé de lubricité, par ta marche voluptueuse, que je te foutrais devant toute la Terre.
Et je grinçais des dents, lui tenant toujours le poil du con, ce poil soyeux qui lui formait une longue et superbe perruque à la Louis XIV.
— Eh bien! (me dit-elle), allons: Mais ne me chiffonnez donc pas?
— En déshabillé, reine.
Je lui tenais toujours le con, et je la suivais à chaque pas qu'elle faisait. Elle me donna un joli baiser à langue dardée, pour me remercier de ce que je lui permettais de se mettre en déshabillé.
— Ne me quittez pas le poil; ça me prépare.
Une pareille complaisance me la faisait adorer. En un instant, elle fut en corset, en court jupon piqué, les tétons bien découverts:
— Ma chaussure est-elle assez voluptueuse? ou voulez-vous des mules, avec d'autres bas?
— Des mules.
Je la déchaussai d'une main, lui chatouillant toujours le con. Ah! quelle jambe blanche! quelle propreté! Elle se chaussa debout. Je lui mis le pied dans une mule rose délicieuse, à talons roses aussi, minces, élevés, à falbalas d'or, ainsi que le bout du talon. Je lui quittai la motte, qu'elle lava. Ensuite elle fit par la chambre quelques tours, pour m'exciter davantage. Me voyant hors de moi:
— Je veux te griller! (me dit-elle).
Tandis que je déculottais, elle s'assit, croisa ses genoux, et fit badiner la mule du pied en l'air…
Je n'en pouvais plus… Me voyant prêt à m'élancer sur elle, Conquette vint sur moi troussée, me fit tenir ses jupes, appuya ses deux coudes sur mes épaules, et s'enfila doucement elle-même, sans toucher mon vit de sa main délicate. Elle descendit ainsi graduellement jusqu'à ce que je touchasse à son pincevit:
— Ne remue pas! (me dit ma reine) je veux me foutre moi-même!
Quand elle sentit le plaisir, la divine fouteuse, trop émue, s'abandonna de tout le poids de son corps, en me disant:
— Cher vit… pou..ousse!
Elle mit sa bouche brûlante sur la mienne, donna le mouvement intérieur à son con, me darda sa langue, et se pâma, en me lançant toute son âme… Je déchargeai, avec un si délicieux frémissement, qu'elle foutait encore, au bout de cinq minutes d'émission.
— Ah! Fouterie adorée, l'éclair du bonheur dure… et se… prolonge avec toi…
Je sentis, en cet instant, l'émotion de mes premières décharges, où je perdais connaissance, et je crus que j'allais expirer de volupté dans son con. Je le dis, en déchargeant. Mon enconnée n'en frétilla que plus vivement:
— Un fils?… une fille?… ou tous deux au fond de mon con (me disait-elle), cher vit de mon père!…
Je jurais, je sacrais, je divinisais ma fille:
— Con céleste… Con divin… Con de mon vit… est-ce moi?… est-ce un roi?… est-ce un prince?… est-ce le beau commis aux aides, qui t'avons foutue dans le con de ta putain de mère?… Ah, mon vit te rend ma fille, en mêlant mon foutre au tien… Divine, sacrée garce… Adorable bougresse enculée, il faut que je t'encule aussi?
— Non; ton foutre m'est trop précieux, pour que je le perde sciemment. Fous-moi en con, tant que tu le voudras; mais non en cul, en bouche ou en tétons.
Je l'approuvai avec respect.
Je lui dis ensuite pourquoi je la suivais toujours, en la menant chez son amie, ou en la ramenant:
— Mon premier motif est de mieux voir le danger. Le second, d'entendre les discours des hommes et des jeunes gens que tu fais bander. L'un dit: "Quel mouvement de cul!… O garce! si nous étions seuls ici, je me jetterais sur toi, et je t'enconnerais…"
— Je l'ai entendu (me dit en souriant Mme Poilsoyeux).
— Un autre (ce soir) se secoue le vit en pleine rue: "Maman… (dit-il) délicieuse maman… je me branle… je décharge… à ta divine intention."
— Je l'ai entendu; j'ai souri. Il a aussitôt ajouté: "Oh, si vous êtes putain… une divine putain? cinquante louis pour trois coups en une heure?… ou chez moi, ou chez vous?… Je demeure rue de Bussi au 3ème, n° 16."
— Un joli fat (repris-je), disait assez haut: "Mon vit dans sa bouche, et ma langue dans son con…" Et il se branlait, branlait, branlait.
— Je l'ai vu, et je lui ai donné un petit coup d'éventail sur le vit… Il m'a bien touchée! Il m'occupait. Peut-être est-il cause que j'ai montré un peu d'humeur, quand, à notre arrivée, vous m'avez pris le con.
A ces mots, nous recommençâmes une scène, comme celle que je viens de raconter; si ce n'est que je renversai ma fille sur le dos.
— Vit-papa… (me dit-elle) tu es le fat… c'est le fat qui me fout… Tu me fais foutre par tous ceux qui m'ont désirée… Je décharge à l'intention du fat… son vit dans ma bouche, ses couillettes sur mes tétons, et l'engin de mon père au fond de mon connin… J'avale son… joli foutre… (convulsivant du con)… Je déchar..ge…
Jamais elle n'avait eu autant de passion. Elle était même raisonnée; car, entre deux décharges, elle me dit:
— Vos lèvres sont appétissantes; elles me rappellent; au lieu que celles de Montencon… Je ne veux plus qu'il m'encon..o..o..ne (dit-elle en s'agitant). Langue en bouche; mon con pa..art… Ah, si j'avais là l'homme aux cinquante louis, moi qui ne suis pas effrontée, je crois que je ferais la putain, que je les exigerais d'avance, comme Vitnègre disait que c'est l'usage des filles, que je le déculotterais, et que mon con martyrisé gagnerait la somme!
Chapitre XXIV Du chef-d'oeuvre de tendresse paternelle.
Conquette était naturellement sage; elle n'éprouvait les emportements du libertinage que dans le délire de la jouissance, effet d'un vigoureux tempérament.
J'étais épuisé par deux coups foutus avec trop d'emportement. Cependant je la voyais haletante de volupté. Je courus au carrefour Bussi, n° 16, au 3ème. Je trouvai le jeune homme aux cinquante louis. Je le reconnus; il me remit.
— Je suis le père de la jeune dame à laquelle vous avez offert 50 louis.
— Je les lui tiens. Trois coups en une heure?
— Soit. En ma présence?
— Et de tout Paris, si vous voulez. Mais, bougre, ne va pas me jouer!
— Non. Mais une heure, sans bruit?
— Foi d'homme! Partons…
Il prit les 50 louis.
Arrivés tous deux, je dis à ma fille:
— Voici l'homme qui t'a plu. Tu as besoin de 50 louis. Il te les apporte. Il les faut gagner!
Conquette rougit, sans rien répondre. L'homme se déculotta, lui vint prendre les tétons, le con. Il me dit:
— Serrez les 50 louis; ce con satiné, ces tétons touchés les valent.
Je les serrai, tandis qu'il renversait ma fille sur le foutoir. Elle fit un cri:
— O monsieur… mon cher monsieur… ne me faites pas trop de mal!
— Seriez-vous donc pucelle?
— Hélas! oui…
Il l'enconna avec fureur. Elle soupira, criota, pinça du con, déchargea.
— Elle est adorable (disait le fouteur enragé; car il foutit, et re-foutit, sans pitié, comme sans déconner, ses trois coups de suite).
Ma fille, tantôt le caressait, tantôt lui demandait grâce: mais elle déchargeait toujours… Il déconna ravi… Et voyant quelques gouttes de sang, que ses brusques estocades avaient fait couler, il dit:
— Oui, vous êtes d'honnêtes gens. Un pareil pucelage n'est pas assez payé de 50 louis. Je vais en envoyer 50 autres, papa… (Ma fille était disparue pour s'abluer). Oui, si je n'étais pas marié (ajouta-t-il attendri), je l'épouserais, et pour son pucelage, et pour son amour… Vous allez recevoir 50 louis. Je la regretterai toujours, et ne la verrai jamais.
Il partit. Ma fille me remercia, et me dit qu'elle était rassasiée. Je lui remettais les 50 louis.
— Non (me dit-elle), cher papa, c'est pour nos dépenses.
Les 50 autres louis arrivèrent, et je ne pus jamais l'obliger à en mettre dans sa bourse plus de six. Je déposai les 94 autres à sa portée dans mon magasin.
Le Lendemain, à mon arrivée, ma fille me dit:
— Je brûle aujourd'hui. Savez-vous la demeure du fat, ou du vit découvert?
— Non; ce sont des sots.
— Eh bien, sortons. L'un ou l'autre me verra sans doute, et vous le suivrez.
— Divine fille… épuisé dans ton céleste connin, j'ai toujours les mêmes désirs; et, si je voulais mourir de plaisir, et dans le plaisir, je te prierais de remuer du cul, et de me laisser expirer au fond de ton con satiné… Foutons!…
— Un seul coup. Vous m'êtes trop cher et trop nécessaire pour que je ne vous ménage pas.
En montant sur le ventre de ma fille, et tandis qu'elle m'arrangeait le vit à l'entrée de son con, je lui disais:
— Te quitter, pour en suivre un, est trop scabreux, et malheur peut arriver…
Et comme elle ne s'agitait pas,
— Tu me ménages?… Remue du cul, mignonne! Saccade! Décharge!… C'est mon seul coup… Mais j'ai de quoi te satisfaire… Il le faut même, avant qu'un de tes trois gros vits te martyrise.
Elle remua du cul et du con, comme Marie-Antoinette foutue en levrette à la Conciergerie par un polisson de gendarme… Nous déchargeâmes, Conquette, comme la reine, moi, comme le gendarme… Je sortis. Elle lava.
Chapitre XXV Du bon père qui fait foutre sa fille.
Allez au but, et bravez le reste: c'est un con, qu'il s'agit d'élargir; il faut donc qu'il soit foutu…
On sait que j'avais à moi un certain Traitdamour, mon secrétaire, frère de Minone et amant de Connète, qu'il m'avait fait dépuceler, l'ayant trop gros. C'était un vigoureux garçon de vingt ans. Il demeurait à deux pas. Je l'allai chercher:
— Veux-tu foutre quatre ou cinq bons coups, avec une femme charmante, que je veux régaler, et à laquelle je veux donner haute opinion de moi? Ainsi, tu n'auras pas de jour. Mais tu l'auras vue avant de la foutre, pour la mieux servir.
— Bon, bon! il y a quinze jours que je ne l'ai mis, ni à
Connète, ni à ma soeur, et je n'en fous point d'autres…
Nous arrivâmes.
Je lui fis voir, par une portière, Conquette, qu'il ne connaissait pas.
— Oh… qu'elle est… provoquante… foutative!…
J'entrai seul:
— Dététonne-toi; trousse-toi toi-même (dis-je à Mme Poilsoyeux). Tu es vue par un jeune homme de vingt ans, beau comme l'Amour.
— Mon fat?
— Ton fat. Il se nomme Traitdamour. Ainsi, montre tout, en abluant. Je retourne auprès de lui.
De retour auprès de mon étalon, je lui dis:
— Regarde-la bien. Elle va s'abluer, et montrer con et cul…
L'âme de mon gendre momentané passa dans ses yeux. Conquette se découvrit les tétons, épongea légèrement les bouts d'eau-rose. Ensuite elle se troussa au-dessus des reins, se parfuma le cul et le con avec une autre fine éponge; tendit le cul, se faça bien le con. Puis elle se renversa sur le foutoir, avant de fermer les rideaux. Je les allai tirer, en disant à Traitdamour de me suivre dans un instant. Je me jetai sur la délicieuse Poilsoyeux; et l'enconnai. Traitdamour me chatouilla les couilles. J'émis avec fureur. Ma fouteuse se récriait de volupté… Je me hâtai de déconner.
Traitdamour attendait tout déculotté. Il se précipita sur ma fille, et je dis, en me penchant sur la tête de l'enconnant:
— Allons, allons, ma belle! les reins souples! j'ai repris une vigueur nouvelle!
Traitdamour cependant enfonçait à peine son beau vit dans cet étroit bijou, encore que mon foutre y servît de pommade. Conquette, de nouveau dépucelée, criotait en soupirotant, et néanmoins remuant vivement du cul, à chaque dardement de vit.
Je rebandais. Mais Traitdamour foutit trois coups, et fit trois copieuses éjaculations avant de déconner. Je le tirai, pour le forcer à reprendre haleine.
— Je vais pendant ce temps-là (lui dis-je très bas), faire une petite partie de Trou-Madame.
— Je vois (me dit-il de même), vous ne bandiez plus assez roide, et je suis votre Boutentrain! Mais elle a le con plein de foutre…
Ma fille se lavait… Je roidissais de plus en plus, par la vue des cuisses de neige, de la jambe fine, du pied parfait, du cul, du con, du ventre d'ivoire, du nombril bien fait, des tétons de ma fouteuse. Je dis tout haut à Traitdamour:
— Beau fouteur, montre-toi; que ma déesse voie le superbe vit dont je la régale!
Traitdamour parut son trait à la main. Ce n'était pas le fat; mais il était plus beau. Ma fille sourit. Puis, baissant la vue sur le vit majeur, la belle dit en soupirant, et le pressant de sa main blanche et potelée:
— C'est donc toi qui m'as fait tant de mal… et de plaisir!…
Traitdamour me la renversa; lui fit écarter les cuisses; me coucha sur elle; me mit l'engin dans la brèche, en disant:
— Votre belle a la main trop douce; elle pourrait vous mettre à nage, et il faut enconner roide… Poussez, mon maître… piquez des deux!… la cavale est belle… Allons, déesse enconnée, haussez le con… Remuez du cul… C'est un homme d'esprit qui va vous humecter la matrice de son foutre honorable…
Cette harangue fit sourire la foutue, qui, pour en déguiser la cause, s'écria:
— Ah, monsieur Vitnègre, que de cornes vous voilà!…
— Allons, déesse (reprit Traitdamour), songez qu'il faut que vous fassiez les trois quarts de l'ouvrage… Du mouvement!… Bon… Ah! ça va d'amitié… et… vous remuez du cul comme une princesse… Allons, des reins souples! Avec votre connin satiné, vous mettez votre fouteur aux anges!… Roide, mon maître! aidez-vous… votre jolie monture va comme une jument barbe… Gzee… gzee… Un coup de fouet… Ah! quels soubresauts… Ma foi, elle décharge… Piquez des deux… Comme elle trémousse des fesses, la céleste petite amie! comme elle en donne!… Que je vous chatouille les couilles, pour vous y faire correspondre!… Vous partez!… Quels coups de cul!… Quels soupirs!… Elle redécharge!…
Ma modeste fille ne jurait jamais que très émue, et dans le délire de la volupté. Aussi, en cette occasion, elle syncopa, en s'écriant:
— Bou..ougre!… fous..ous-moi! Mon… con a… toute… mon âme!… Je fous… je fonds… en foutre… je décha..arge… Que… n'ai-je… deux vits… dans… mon… sacré con!
— Il est trop étroit, ma belle (lui répondit Traitdamour); sans quoi l'on s'arrangerait à vous donner ce plaisir-là… Mais on pourra quelque jour vous enculer, pendant que votre fouteur vous enconnera…
Après une délicieuse décharge, je me crus épuisé. Je déconnai sur-le-champ. Ma fille trémoussait encore. Traitdamour sauta sur ce con fumant, et, tout en le re-enconnant, il me disait:
— Vous avez foutu ma petite soeur; je l'ai foutue aussi, après vous. Vous m'avez dépucelé Connète ma future. Dites-moi si leurs cons valent celui que votre bonté me fait enfiler? c'est un satin!….. Mais, à en juger par le soyeux du poil, j'augure que l'intérieur du con de ma jolie chapelière de la rue Bordet en approchera… Ma reine… vous fais-je mal?
— Et plaisir… Va… va..a va..a donc! je fous.
— Ahahahh, quel satin.. quelles délices!… J'enconne… je fous… je décha..arge… Remue… divine… sacrée… céleste enconnée!… Oh, l'aimable petite pincette qu'elle a au fond du connin!… Pince… serre… sacrée petite convulsionnaire… fais-moi… convulsiver dans ton joli con!… Tu veux du foutre… Déesse?… Quatre décharges de suite vont t'inonder le connin… connichon… connichonnet!… Voilà ma seconde…
— Fous… saccade (murmurait ma fille)… ne… me quitte… pas, cher vitdamour!
— Ne la quitte pas après avoir déchargé (dis-je à mon ancien secrétaire); qu'elle sente les dernières oscillations de ton gros vit!… Qu'elle est jolie, en foutant!… (disais-je à Traitdamour); je rebande… Elle a l'air d'une déesse!… Laisse-la achever… Farfouille… Lime.. lime-la!… Elle gigote encore… Bon… bon! Elle se pâme?!… Ah, qu'elle est jolie, pâmée!…..
— Elle n'émet plus?
— Elle a émis quatre fois dans le con, sans la désenconner.
— Quatre et trois, c'est sept (disait Traitdamour, en me la lavant); vous allez la refoutre; ça me reposera; j'irai à mes douze.
— Vous vous ferez mal (me dit Conquette); voilà quatre fois que vous m'enconnez aujourd'hui; le reste de ses 12 me suffira; ça fera mes 16!
Pour toute réponse, je me la fis renverser. Elle me darda sa langue, et je la foutis roide… Traitdamour la prit ensuite, et ne la quitta plus, quoiqu'elle l'en priât, qu'il n'eût arrosé de foutre cinq nouvelles fois ce beau con…. Elle se leva aussitôt qu'elle fut déconnée, en me disant:
— Emmenez cet impayable jeune homme, et me laissez libre. J'ai besoin de rafraîchir sur le bidet plus d'une demi-heure mon pauvre bijou martyrisé…
Nous la laissâmes; j'allai prendre et faire prendre à Traitdamour un bouillon chez Mme Brideconnin, que je priai d'en tenir un prêt pour Mme Poilsoyeux. Ce qui la surprit… Conquette rafraîchie arriva, et parut aussi décente, aussi modeste, que si elle n'avait pas foutu. Traitdamour partit, sans être instruit, Mme Brideconnin étant prévenue de ne jamais découvrir les relations entre ma fille et moi.
Chapitre XXVI D'avis très utile au lecteur, et à l'auteur.
Nous en sommes enfin au temps si souvent annoncé des fouteries majeures. Si je les avais rapportées sans préparation, elles auraient étonné. Mais qu'on sache que j'étais sûr, en les commençant, non seulement d'avoir pour mes filles deux des trois payeurs qui soldaient Vitnègre, mais encore de les faire précéder par la jolie chapelière de la rue Bordet, qui, vendue au plus douteux, devait m'instruire de la moralité de tous les trois. Il était donc essentiel, pour éviter qu'elles ne fussent estropiées, de les faire prodigieusement élargir, en évitant néanmoins de les prodiguer à trop de déchargeurs en con. L'on verra comme je m'y prendrai pour cela.
On trouvera dans le récit un épisode, à chaque séance, tant pour varier la scène, et reposer l'imagination, que pour raconter quelques aventures, que j'ai cru devoir supprimer au commencement. Chaque historiette lue ou racontée ne sortira pas du genre. Rien de plus déplacé, dans un ouvrage comme celui-ci, qu'une dissertation philosophique; elle y devient insipide, et par là même dégoûte de la philosophie. Mon but moral, qui en vaut bien un autre, est de donner à ceux qui ont le tempérament paresseux, un Erotikon épicé, qui les fasse servir convenablement une épouse qui n'est plus belle. C'est ce que j'ai vu faire à plusieurs hommes, qui se servaient pour cela du livre cruel et si dangereux de Justine, ou les Malheurs de la Vertu. J'en ai un plus important encore; je veux préserver les femmes du délire de la cruauté. L'Anti-Justine, non moins savoureuse, non moins emportée que la Justine, mais sans barbarie, empêchera désormais les hommes d'avoir recours à celle-ci. La publication de la concurrente antidotale est urgente, et je me déshonore volontiers aux yeux des sots, des puristes et des irréfléchis, pour la donner à mes concitoyens.
L'ouvrage aura deux parties. Après le récit formant la première, succéderont des lettres, non moins assaisonnées, composant la seconde. Les filles de Cupidonnet lui racontent les parties de plaisir que leur faisaient faire leurs entreteneurs; parties où, dans le délire de l'ivresse, leurs payeurs les faisaient quelquefois posséder par 12 hommes… Mais toutes ces lettres ne sont pas érotiques: il en est d'intéressantes par un autre motif; tel est celui d'une résurrection, avec la découverte importante de l'origine de Conquette-Ingénue, et de Victoire-Conquette, noms de deux filles que les miennes ont remplacées. Ce qui me justifiera d'une certaine chose, qui sans doute a déjà effarouché plus d'un lecteur… Je n'en dirai pas davantage là-dessus.
On ne peut trop multiplier les observations sur les scènes que je vais mettre sous la vue du lecteur. Pour remplacer la Justine, et faire préférer l'Anti-Justine, il faut que celle-ci surpasse l'autre en volupté, autant qu'elle lui cède en cruauté. Il faut qu'un seul chapitre lu par un homme, sur l'inspection de la table, lui fasse exploiter sa femme, jeune ou vieille, laide ou jolie, pourvu que la dame ait fait bidet, et qu'elle soit bien chaussée.
Chapitre XXVII Du commencement des grandes fouteries.
Egayée comme elle l'avait été hier, ma fille devait avoir besoin de repos le lendemain. Elle avait le bijou si fatigué qu'elle ne pouvait quitter sa chaise. Elle resta constamment auprès de Mme Brideconnin, de peur que personne ne vînt le lui patiner. Le reste de la semaine, elle évita également, quoique guérie dès le troisième jour, de se trouver seule avec moi. Elle amassait elle-même du tempérament; car elle ne s'était jamais branlée.
Le dimanche, à une heure, elle alla pour la dernière fois chez son amie… Avant de partir, elle me présenta son joli pied à baiser, et me livra sans bégueulerie le poil de son connin. Je la conduisis jusqu'à la porte, promettant de la revenir prendre avant 5 heures; ce qui la fit rougir; mais j'observai qu'en montant, me croyant parti, elle souriait.
Je fus exact. En la ramenant, je la fis marcher devant moi, m'apercevant qu'elle était observée par un homme, que je pris pour un des payeurs de Vitnègre. Mais il ne pouvait reconnaître que son joli tour de cul et sa marche provocante, tant elle était bien encaléchée. J'observais l'inconnu. Je demandai à ma fille si c'était là celui-ci qu'elle préférait?
— Oui (me dit-elle).
Alors, je la nommai, distinctement, ma fille. Et l'homme s'éloigna.
J'avais averti Traitdamour. Il avait une clef de mon magasin, et nous l'y trouvâmes. Je le crus seul, malgré la recommandation que je lui avais faite de m'amener quatre acteurs des deux sexes. Je lui dis, en riant, que je bandais, et que je voulais enconner.
— Quoi! (dit Conquette) est-ce que vous allez faire tous deux comme l'autre fois?… Je ne suis pas disposée, je vous en avertis.
— Nous vous disposerons, ma belle (lui dit ironiquement
Traitdamour, qui la crut ma putain); voyez-moi ce vit-là!…
Et il lui en montra un superbe…
— Laissez-moi d'abord vous lécher le connin, Ma'm'selle?… Mon maître vous enconnera, quand vous serez préparée! J'ai tout disposé, pour lui donner aujourd'hui, ainsi qu'à vous, un plaisir de fermier général.
Il la renversa brutalement, et la gamahucha, en lui disant, comme s'il l'avait menacée:
— Ne résistez pas! car je vous ferais mal…
Mais Mme Poilsoyeux, comme toutes les femmes à grand tempérament, aimait, dans la fouterie et ses accessoires, une sorte de brutalité. Ainsi, en croyant la contraindre, il la servait admirablement… La belle commençait à décharger…
Tandis que je roidissais avec oscillation, à la vue du systole et du diastole des fesses et du con de ma fille, j'aperçus derrière un rideau de l'alcôve quelque chose qui remuait. J'allai voir. C'étaient Minone et Connète, auxquelles deux garçons amis de Traitdamour, excités par ce qu'ils voyaient, léchaient le con. Je leur fis entendre, par signes, de ne pas bruire, et je les encourageai d'un geste.
Cependant Traitdamour fellait ou suçait le connin de Mme Poilsoyeux. Lorsqu'elle fut suffisamment en humeur, il se dérangea, me tira sur la belle, et inséra mon vit bandant en ce connin rempucelé par sept jours de repos.
— Qu'avez-vous à me donner à vous sucer? (dit-il à l'enconnée).
Elle lui présenta l'index de la main droite qu'il se mit à sucer, après néanmoins avoir appelé sa soeur et sa maîtresse, en leur disant:
— Ici, bougresses, et qu'on montre son savoir-faire!…
L'une (Minone), qui avait la main aussi douce que ma fille avait le con, me chatouilla les couilles; l'autre (Connète) fourrait un doigt pommadé dans le cul de ma fouteuse, pour la faire tressaillir sous moi… Mme Poilsoyeux hennissait de plaisir. Elle me dardait sa langue, en m'appelant son cher fat… son cher Centlouis… son cher payeur à gros vit… son cher Traitdamour… Enfin, enivrée de fureur érotique, elle s'écria:
— Vitnègre!… Jean-foutre… Fous-moi! Pince-moi!… Que ton gros vit de mulâtre me pourfende et m'encule!…
Et elle déchargea comme une énergumène. En ce moment, j'avais dans la bouche la langue frétillante de mon enconnée; une des deux filles me chatouillait de la sienne le trou du cul et les couilles; l'autre me suçait dans la raie du dos entre les deux épaules, précisément sur le sensorium… Je croyais connaître le plaisir de la décharge; mais je ne l'avais jamais éprouvé, comme cette fois-ci; et, de ce coup, je fus rendu…. — Quelles délices!
Traitdamour m'enleva de sur ma fille, et se précipita dans son con.
— Voilà un connin! (disait-il, en poussant et retirant, allant toujours plus avant, à chaque saccade) Il y a de la différence de ce connin aux autres cons, comme du satin à la tapisserie de Bergame… Les jeunes filles n'avaient plus besoin de chatouiller, quand Traitdamour foutait; il avait assez de feu pour lui-même, et ne faisait que trop bien trémousser sa monture. Je fis signe aux deux garçons, Brisemote et Cordaboyau, d'étaler les filles, l'une sur un vieux sofa, l'autre sur un lit de sangle ayant un simple matelas, et de les foutre à la portée du regard de la belle au con soyeux. Par un effet du hasard, ma fille émettait sous Traitdamour pour la seconde fois, et les deux enconnées déchargèrent au même instant, ainsi que les trois hommes. La belle Poilsoyeux, en roidissant les jarrets, faisait:
— Hi hi-hi-héhé!…
Minone:
— Han-han-hanh!…
Connète:
— Houhi-houhin houah-houah-houâh!…
Les trois hommes disaient ensemble: Traitdamour:
— Remue du cul, déesse!…
Cordaboyau:
— Remue du cul, garce!
Brisemote:
— Remue du cul, petite putain!…
En déchargeant, ils s'écriaient:
— Foutre…
— Foutre…
— Foutre…
Traitdamour:
— Ah, déesse…
Cordaboyau:
— Ah, bougresse…
Brisemote:
— Ah, mâtine!
chacun suivant son caractère et sa politesse…
Mme Poilsoyeux fut la plus longue à décharger; les deux autres étaient déconnées et lavées, qu'elle émettait encore. Enfin elle cessa. Traitdamour la lava. Et me voyant rebander:
— Vous la foutrez sans doute autant que la dernière fois? (me demanda-t-il).
— Très certainement! (répondis-je). Je ne suis vigoureux qu'avec cette jeune beauté. Je la foutrais jusqu'à extinction de vie et dessiccation de couilles; et tu vas voir ce que je vaux. Qu'on m'anime seulement par la vue d'enconnages redoublés!
Chapitre XXVIII De l'enculo-connillerie.
Ma réponse fit sourire Traitdamour, qui sans doute n'y ajouta aucune foi.
— Eh bien (reprit Traitdamour), je vais vous donner un plaisir, que vous n'avez jamais eu, ni ces bougres-là non plus. Je tiens cette pratique de l'abbé Chouanche, ancien Genovefain, qui m'a souvent enculé, avant que j'eusse de la barbe au menton et du poil au vit. Un jour, voyant que je m'ennuyais de son culetage, il me dit d'aller lui chercher la petite Culfrayé la cadette, jolie comme un coeur, et non encore vendue à un Lord. Il envoyait 12 francs à la mère, et la fille devait en recevoir autant. L'abbé la fit s'appuyer un coude sur une commode; il se mit derrière elle, et l'encula. J'étais devant, et il me la fit enconner. Nous limions; nos deux vits se sentaient, ou la jeune garce tortillait du cul de façon que nous croyions le sentir. Chouanche la faisait tantôt pousser du con sur moi, et alors son vit déculant à moitié, il avait l'agrément de la re-enculer quand elle foulait du cul sur lui. Je presque-déconnais alors, puis je re-enconnais. Ce joli jeu dura tant que Chouanche put retenir son foutre. Car il ne déchargeait pas; il se réservait pour mon cul. En conséquence, il fit mettre la jolie Culfrayé sur le dos; je l'enconnai; l'abbé m'encula, et nous déchargeâmes tous trois… Nous ne prendrons pas la manière du Genovefain; elle est trop fatigante pour la foutue. Mais il payait la jolie bougresse… Payez-vous, Madame?…
— Non certes: c'est une honnête femme.
— Je m'en suis aperçu à sa fouterie. Une putain ne fout pas comme Madame… En ce cas, je vais vous donner une expérience physique sur une de ces deux fillettes… Allons, Minone… Allons, Connète! laquelle des deux veut être enculée et enconnée tout à la fois et en même temps! Qu'elle se trousse!
Durant cet entretien, qui la laissait tranquille, Conquette s'était couvert le con et les tétons. Les deux filles étaient assises à côté d'elle, dététonnées. Elle leur baisa le boutonnet, et leur couvrit la gorge de sens-froid avec leurs fichus (Mme Poilsoyeux redevenait toujours modeste, dès qu'on ne la foutait plus)… Les deux filles répondirent ensemble:
— Moi… Moi!
— L'une après l'autre (dit Traitdamour)… Vous avez ici de la pommade, ou du beurre frais?
— Oui (répondit en rougissant la belle Consatiné). Tenez, ma pommade est là… et voici du beurre.
— Gardons ce beurre frais pour vous, belle dame, aussi belle au cul et au con qu'au visage (reprit Traitdamour).
Minone se pommadait la rosette.
— C'est donc toi qui passes la première, ma soeur?
— Oui, si c'est toi qui me dépucelles le cul?
— J'y suis pucelle aussi (s'écria Connète).
— Ce ne sera pas moi qui aurai ton pucelage d'arrière (répondit Traitdamour à sa soeur). Mon vit est aujourd'hui entièrement réservé à Madame. Et, quoique le culetage m'ait toujours fait peine, agent ou patient, le cul satiné de Madame me tente autant que l'étroit fourreau de son con, qui se rempucelle en une semaine, ou seulement en faisant bidet à l'eau froide. Je suis sûr que Madame n'a jamais été enculée (à genoux, il lui regardait au cul), et que c'est aussi un pucelage?
Conquette rougissait.
Les deux camarades de Traitdamour tirèrent au premier roi à qui dépucellerait le cul de Minone; car tous deux le voulaient avoir. Ce fut Cordaboyau (un bellot à vit moyen) que le sort favorisa. Il se pommada le vit jusqu'à la racine. Traitdamour fit coucher Minone sur le côté. Il mit Cordaboyau devant son cul, et Brisemote (un beau à gros vit) devant son con. Il la fit ainsi enfiler des deux côtés; les jeunes gens se la poussant l'un sur l'autre à qui mieux. Ce qui donnait un tel plaisir à Minone, qu'elle se récriait:
— Dieu… que j'ai de délices… c'est… une fouterie de princesse… On dit… que la Reine… fout ainsi entre… d'Artois et Vaudreuil… ce dernier a… le cul…
— Allons (dit Traitdamour), tachez de décharger tous trois en même temps!
Cordaboyau poussait; il retint la garce par les hanches, pour enfoncer plus avant; Brisemote en fit autant; de sorte que, rendue immobile, elle s'agitait néanmoins en tout sens.
— Examinez bien.. (dis je à Conquette-Ingénue) pour faire la même chose à votre tour; car il faut que vous expérimentiez tous les genres de fouterie.
Elle considéra le jeu, à travers les bâtons de son éventail. Minone haletait. Connète, ébahie, restait immobile à la contempler.
— Que fais-tu là, toi, bougresse? (lui dit Traitdamour, notre grand maître des cérémonies) Patine-nous Madame… Suce-lui le bout des tétins… Gamahuche-la; elle a le con propre comme un visage de mariée…
Ces mots, énergiquement prononcés, mirent en danse la reine de la fête, que je vais décrire.
Connète, tandis que Minone travaillait, et qu'elle était travaillée, découvrit les tétons de Mme Poilsoyeux, et les siens. Elle en suça les bouts; elle se les fit sucer. Ce chatouillement de la bouche de Conquette, aussi satinée que son con, mit la jeune Connète en fureur amoureuse. Elle trousse Mme Poilsoyeux; lui insère sa langue dans le con; lui chatouille le haut de la motte. La belle, émoustillée, regardait cependant Minone. Celle-ci avertit ses deux fouteurs qu'elle était prête à décharger. Ils redoublent le fourgonnage. Elle s'écrie:
— Vits de Dieu!
Et elle se pâme. L'enculeur et l'enconneur l'inondaient de foutre; il ruisselait des deux côtés… Ma fille, vivement gamahuchée par Connète, est hors d'elle-même, et cette modeste beauté dit à la jeune fille:
— Ote-toi, garce! Un fouteur! Un fouteur!… deux… cent fouteurs!…
Traitdamour l'entend. Il dérange Connète acharnée, en la tirant par la jolie crinière de son con blond. Il emplit le trou du cul de Mme Vitnègre de beurre frais; s'en frotte le vit décalotté; se met le bas-ventre sur ses fesses, enfile la rosette, sans écouter les petits cris de l'enculée; l'étreint vigoureusement, se retourne, en se mettant sur le dos, le vit dans le cul de la belle jusqu'à la garde, son con bien facé… Il crie à son maître:
— A ce con béant qui vous supe! Enconnez roide… Piquez des deux… la garce est enculée, et je vas vous donner les mouvements… Pardon, déesse! je ne me connais plus… Connète! boulonne, boulonne les couilles de mon maître…
Cependant j'enconnais ma délicieuse fille. Et, sentant le vit de Traitdamour qui m'étrécissait encore le passage, et qui donnait au connin des oscillations que jamais con n'a eues, je délirai, en m'écriant:
— Chien de Vitnègre! cocu tout à la fois du con et du cul.
Cette idée m'enflammait, et sa brutalité m'empêcha de décharger trop tôt. Je parvins au charmant pinçoir du fond du connin. Il me suça. Le vit de Traitdamour me communiquait tous ses mouvements, et en faisait faire d'insolites à mon adorable fouteuse. Déjà préparée par la langue de Connète, elle s'écrie:
— Ah-ah-ohh!… ze déça-arze…. Foutre!
— En voilà… du foutre… plein votre con… Reine des vits… et des dieux, s'écria Traitdamour!…
Et je sentais les oscillations de son gros vit qui éjaculait… Enfin, je déchargeai moi-même. Ma fille, inondée de foutre, trémoussait rapidement:
— Con satiné de mon vit (m'écriai-je), que tu es délicieux!…
Mme Vitnègre émettait encore, quand Traitdamour décula…
Ce mouvement la fit redécharger… Le bougre se lavait d'eau tiède. Conquette, dans le con de laquelle je laissais osciller mon vit après décharge, gigotait, trémoussait, tremblotait sous moi. Connète m'avait quitté les couilles. Traitdamour, toujours bandant, était revenu vers nous.
— Fous-la-moi tout chaud (lui dis-je); elle décharge encore… Et toi (dis-je à Connète), boulonne-lui la bouteille-à-miel du bourdon d'amour.
Elle m'obéit. Mais Minone, déculée, déconnée, lavée, était libre. Elle vint remplacer Connète, en me demandant si cela ne signifiait pas tout uniment de chatouiller les couilles de son frère pendant qu'il foutait ma maîtresse?… Cordaboyau cependant et Brisemote happaient Connète, le premier, cette fois enconnant, tandis que l'autre enculait, pour donner une perspective encourageante à ma fille.
Mais tout finit. Mme Vitnègre cessa de décharger. On la déconna. Traitdamour la mit au bidet. Elle se couvrit modestement le con et les tétons; puis elle dit aux deux fillettes:
— Mes bonnes amies, allons aider mon hôtesse, pour le souper!
Elles y coururent.
— Si vous n'avez préparé (dit ma fille) que pour notre souper ordinaire, je vous avertis qu'il faut le double.
— Je n'ai pas assez donc (répondit Mme Brideconnin).
— Vite au rôtisseur de vis-à-vis (reprit la belle Vitnègre); et du bon vin! ou je ne boirai que de l'eau. Un bon mariage paiera tout ça…
On alla chez le successeur d'Ellès, qui promit un copieux souper pour dans une heure.
Conquette rentra auprès de nous avec les deux jolies filles.
— Rebandez-vous? (me dit Traitdamour) Il ne faut pas laisser languir nos cons avec l'expectative d'un bon souper!
— Je brûle, à la vue du tour de cul et du pied de ma déesse; mais je ne suis pas roide, lui répondis-je.
Traitdamour:
— Je roule dans ma tête une idée, qui vous roidira.
Chapitre XXIX D'une nouvelle actrice. Danse nègre.
— Allons, garces, dit Traitdamour à sa soeur et à sa maîtresse, nues! Et vous, bougres, déshabillez-vous!…
Il se mettait nu lui-même.
— Mais il nous faut encore une actrice… Je viens de voir monter une jolie drôlesse, qui ferait notre affaire?
— C'est Mme Brideconnin, l'hôtesse de notre belle dame, dit
Connète.
— Non, non, mon amie. C'est une petite brune de fond de la cour, cadette d'une grande belle blonde, que nous aurons peut-être un jour, et qui se nomme Connindoré. La Cadette s'appelle Rosemauve, et passe pour très rusée. Mais on la dit amoureuse comme une chatte, quoiqu'elle soit peut-être pucelle encore; car sa mère la couve des yeux. Cependant, quand un homme l'embrasse, elle ne fait aucune difficulté de donner sa langue.
— Je la connais! dit modestement la belle Poilsoyeux; et elle m'a… m'a…
Traitdamour:
— Quoi? déesse?
— Mais, donné sa jolie langue, et…
— Et quoi?
— Gam*******.
— Gamahuchée… Va la chercher, Connète.
— Non! dit vivement Conquette, j'y vais moi-même.
Elle sortit, et, ayant rencontré Rosemauve qui redescendait, parce qu'elle n'avait pas trouvé un vieil oncle assez riche, dont elle recréait l'impotente lubricité, en lui chatouillant le croupion, le scrotum et les testicules; ce qui le faisait bandocher, la belle Poilsoyeux la mit au fait, obtint son aveu, et l'introduisit.
Les deux filles et les trois hommes étaient nus comme la main. Sans rien dire à la brune Rosemauve, ils se mirent tous cinq à la déshabiller. On lui enleva jusqu'à sa chemise. On lui baigna cul, con, cuisses, pieds… Puis Traitdamour lui dit:
— Ma belle, il faut, en tout, faire comme ma soeur et mon amie.
Aussitôt commença la danse nègre; où chaque fille faisait tous les mouvements d'une Noire ardente qui fuit le vit dont elle brûle d'être enconnée, que le vit attrape, et qui saccade alors en trémoussant du cul, comme si le vit la fourgonnait. Les garçons poursuivaient les garces le vit en main; et dès qu'ils les avaient attrapées, elles se retournaient pour l'enconnage, ou ils paraissaient les foutre en levrette; culetant, criotant, jurotant, comme s'ils eussent perforé les cons. La danseuse prenait le vit, au lieu de la main; l'homme la saisissait par la barbe du con. Ils se faisaient ainsi tourner de temps en temps.
Je bandais roide. Je fis trousser ma fille au-dessus des reins, et je lui dis:
— Conque de Vénus, imite tous les mouvements de cul et de con que tu vois…
Elle était excitée; elle se mit au milieu de la danse, et les exécuta rapidement… Traitdamour, me voyant en rut, et ses camarades bien disposés, leur dit:
— Au foutoir…
Il laissa Rosemauve, sa danseuse, qui en parut toute mortifiée!
— Votre tour va venir, ma belle danseuse.
Il étendit ma fille sur le sofa, dont il lui mit un des oreillers sous le cul:
— Allons, ma toute éveillée, dit-il à Rosemauve, gamahuchez-moi ce connin-là, pendant que je vous le mettrai en levrette, ou vous enculerai, à votre choix?
— On ne dépucelle pas une vierge en levrette (répondit-elle vivement): encule-moi, s'il le faut, tandis que je gamahucherai ce connin d'amour…
Elle gamahucha la belle épouse de M. Vitnègre avec fureur, et Traitdamour perça sans pitié, par des efforts redoublés, le cul virginal de la gamahuchante. La belle Poilsoyeux appela:
— le vit! le vit!
Je n'y pouvais plus tenir. Je dérangeai la Rosemauve enculée, pour me précipiter dans le con de ma fille haletante de volupté… J'enconnais vigoureusement, lorsque j'eus la délicieuse surprise de me sentir gamahucher le cul, ainsi que la racine des couilles, par la bouche et la langue veloutées de Rosemauve!… Je cocufiai Monsieur Vitnègre aussi copieusement que si j'avais eu les couilles d'un Dieu!… On abluait.
— Avec la permission de ma déesse (à Conquette), il faut que je m'acquitte avec Rosemauve!…
Tout le monde s'écria:
— Non, non, dimanche! Je ne les écoutai pas; j'enfilai la pucelle, qui criota, sanglotina, et ils furent témoins de ma nouvelle victoire. Mais Conquette me gronda sérieusement. On alla souper.
La conversation fut sage, rassise. Brideconnin, sa femme, en étaient édifiés… Mais je ne tarderai pas à les mettre de nos amusements… Au dessert, Traitdamour me demanda une histoire dans le genre de nos amusements! Je lui donnai à lire une lettre, adressée à Vitnègre, par un de ses trois payeurs, lettre que j'avais trouvée dans une des malles de ma fille. La voici:
Chapitre XXX De la Piochée, du Pioché, du Piochard.
Nous avons un de nos confrères, qui avait une maîtresse de seize ans, dont il jouissait à sa manière, comme je prétends jouir de ta femme à la mienne, quand une fois je l'aurai dévirginée. Tu seras alors présent à nos fouteries, à peu près comme le père dont je vais parler. J'aime à écrire ces histoires-là; elles me font bander. Le père de la jeune fille était un riche marchand, qui l'avait délicatement élevée; mais il était devenu si pauvre qu'il ne pouvait plus la nourrir, ni un fils de douze ans. La fille ayant plu à mon confrère, il la voulut acheter. Le père la lui vendit douze mille francs. Mais comme Piochencul (c'est le nom du confrère) est un libertin fort blasé, il lui faut un ragoût pour le ranimer. Ce ragoût est de faire trousser et laver la fille par son père, avant d'en jouir. Le père prend ensuite le vit du fouteur, et le dirige dans le con sans poil de la jolie Piochée. Son père l'avait pommadée la première fois. Pendant l'acte, il l'excite à remuer du cul, à serrer le fouteur dans ses bras, etc. Quand elle est déconnée, le père lave le vit de son gendre, le cul, le con de sa fille, et les essuie.
Dans la conversation, Piochencul apprit bientôt que Piochée avait un frère beau comme Adonis; c'est-à-dire parfaitement ressemblant à sa mère, qui avait été très jolie femme. Dès que mon confrère le sut, il l'acheta, comme sa soeur, et, pommadé par le père, il l'encula. Peu de jours après, voulant foutre la soeur avec plus de vigueur, il la fit laver par le père, gamahucher par le jeune frère, et il l'enconna, quand elle fut prête à décharger… Par la suite, il n'encula plus le joli enfant:
— Bougre! dit-il au père, je ne bande plus assez pour enconner ta fille, sans être excité; encule-moi là ton petit garçon; cela me fera roidir!
Le père est forcé, par son intérêt, d'obéir au blasé. Ce qui fait tellement bander le vieux satyre qu'il enconne, et même encule la jeune fille…
Il y a 4 ou 5 ans que cela dure. Quand le garçon a eu 15 ans, il lui a fait enconner sa soeur. Il la fout ensuite sans laver, pendant que le père encule le jeune homme. D'autres fois le frère encule sa soeur, tandis que le vieux bougre l'enconne… Voilà quelle est la vie que mène mon vieux confrère, et qu'il trouve délicieuse à son âge… La fille est délicate et jolie. Le garçon est beau. Le père est affreux. La fille est devenue grosse. Le financier croit, avec raison, que c'est du jeune frère. Il désire que ce soit une fille, espérant qu'elle sera jolie, comme tous les enfants incestueux. Car il faut savoir que ce joli garçon est fils d'un frère aîné, qui, devenu éperdument amoureux de sa mère, donna la courante à son père, en mettant de la manne dans son potage au lait du soir. Le père fut obligé de se lever souvent, et le fils, à chaque sortie, alla auprès de sa mère, qu'il enconna six fois au moins pendant la nuit… Voilà d'où provenait le beau garçon, ressemblance de sa mère avec une telle perfection, que, vêtu des habits de la belle, qui n'est plus, on le prend pour elle. C'est en conséquence qu'un amant, piocheur de la mère, entretint le jeune homme sur le même pied que sa feu maîtresse, à condition que, pour la jouissance, il prendrait les habits de sa mère, en porterait le nom, Mme Brouette-vit; qu'il ferait la petite voix, dirait mon con, au lieu de mon cul; tandis que lui, Vitacon, se ferait illusion, en disant à sa maîtresse:
— Allons, ma chère Brouettevit, venez que je vous le mette en levrette!
Chapitre XXXI Suite des mêmes. Piochète. Dix ans après.
Je vais donner la suite de cette aventure.
Piochée eut effectivement une fille, qui a 14 ans aujourd'hui, et qui est jolie comme sa grand'mère. Elle sert aux plaisirs du vieux traitant qui, ne pouvant plus enconner, s'en fait caresser, tandis que la mère lui suce le vit. C'est dans les extases de ce plaisir long et difficile, causé par le chatouillement que faisait éprouver à son vit paralytique le palais de Piochée, qu'il conçut le dessein de faire dépuceler Piochète à 14 ans, par Pioché l'Adonis, son père et son oncle, que justement la jeune enfant aimait incestueusement; puis enculer alternativement.
— Bande, bougre (dit-il à l'Adonis), et ne décharge pas! Tu me dépucelleras ta petite garce de fille… dès que ton grand-père t'aura déculé. La petite fut gamahuchée par le vieux singe; puis pommadée par sa mère. Son père, déculé, bien bandant, vint sur elle, et lui darda son vit dans le connin, dont la mère écartait les babines. Le fouteur n'entrait pas; la petite déchirée se récriait; le vieux satyre, émotionné, bandochait, en s'écriant:
— Oh! pousse donc, mâtin! ô pousse donc, bougre! Fends, pourfends le connichon de ta fille!… et mets-y une petite garce, que nous déflorerons un jour! Gzée, gzée, mon étalon! fais-moi des cavales!…
Et le vieux décharné, par un phénomène, émit quelques gouttes d'un foutre clair, dans la bouche de Piochée, au moment où Adonis, forçant toutes les barricades, malgré les cris de sa fille, lui déchargeait au fond de son connin ensanglanté! Le bélître en fut si glorieux qu'il fit à Piochette mille écus de rentes, et autant à Piochée, outre ce qu'elles avaient déjà. Son grand délice, pendant qu'il fait servir la bouche de la mère de con à son vit, qui ne décharge plus, est de voir piocher Piochette, non seulement par le vigoureux Adonis Pioché, qui pioche, soit en con, soit en cul, mais de faire alors enculer le père, qui fout sa fille, par le grand-père qu'encule un laquais, sur le cul duquel est assise Piochée, foutue par un autre laquais… Il a soin qu'on fasse suivre au vieux Piochard un régime échauffant, afin que ce monstre tantôt enconne sa fille, tantôt encule son fils. Pendant cette scène, l'impuissant Ribaud patine les tétons et le connin du tendron, ou bien la gamahuche. Il lui prend quelquefois des vertigôts de faire enconner la mère, enculer Adonis par douze de ses amis en une seule séance. La jeune personne est alors nue en perspective, montrant le cul aux enculeurs, et le con aux enconneurs… C'est le vieux Piochard qui insère les vits dans le con ou dans le cul.
Tu vois par-là quel parti nous pouvons tirer de ta femme, lorsqu'une fois elle sera dépucelée. Tu ne seras pas privé; tu mettras les vits dans le con et dans le cul de ta femme; tu en seras le maquereau, et quand elle sera bien élargie des deux trous, peut-être te permettra-t-on de la foutre en con ou même en cul. Lélargisseur.
P.-S. J'apprends par une dernière visite faite à Piochencul que Piochette a effectivement eu la plus jolie petite fille; on me l'a montrée; elle a 3 ans. Mais, ce qui est le comble du libertinage, le vieux Piochencul lui fait déjà téter son vit flasque, pendant que la jeune mère lui chatouille les couilles. Je lui en demandai la raison?
— Je profite, répondit-il, du temps où l'enfant n'a pas encore de discernement, ni de dégoût à me sucer.
Que dis-tu du vieux bougre?
Chapitre XXXII Du connin goûté.
— Voilà quel aurait été votre sort, Madame, dis-je à Conquette, si vous n'étiez pas décédée, et que vous fussiez restée l'épouse de Vitnègre.
Expressions qui étonnèrent tout le monde, hors ma fille, et les Brideconnin.
Cette lettre, qui avait été lue après le champagne, avait mis les jeunes gens en rut. On descendit au magasin, pendant que les hôtes serraient les débris du souper. Là, Traitdamour, demi-grisé, me dit, en me désignant ses camarades:
— Comment ces bougres-là peuvent-ils avoir une idée de notre bonheur, et de ce qu'est le connin de votre maîtresse, s'ils n'en tâtent pas?… Je n'entends nullement qu'ils y déchargent; mais seulement qu'ils y plongent rapidement leurs vits, pour en palper le satiné. Dès qu'un des enconneurs sera retiré, le mieux en état de nous deux, vous ou moi, achèvera Madame, et la fera décharger!
— Je le veux bien (répondis-je).
Cordaboyau, bandant roide, se présenta. Nous renversâmes ma fille sur le foutoir, nous la troussâmes, et nous déclarâmes que nous nous tenions prêts à le désarçonner, dès qu'il aurait senti le velouté de l'étroit connin de notre fouterie, et que le clignotement de ses yeux annoncerait l'éruption du foutre.
— En ce cas (s'écria le bougre), que l'une de ces trois garces se couche-là le con pommadé, pour que mon vit convulsivant s'y précipite et décharge!
On pommada Rosemauve. Cordaboyau enconna lentement Conquette, dont le satiné le fit se récrier… mais il plongea jusqu'au fond. On l'observait. Il clignota de l'oeil. Aussitôt Brisemote et Traitdamour l'enlevèrent comme une plume, en jurant:
— Le sacré bougre! il va partir…
Et ils le mirent sur la brune Rosemauve bien écartée, et Conette dirigea le vit. Cette fille, la plus chaude des garces, si Mme Vitnègre ne l'eût pas surpassée, engloutit le vit en trois coups de cul sans intervalle. Cordaboyau déchargea en hurlant de volupté, Rosemauve l'étreignant avec une délicieuse fureur.
Cependant, ce que je voyais m'avait roidi, et j'enfonçais dans le con humide de ma déesse qui, suffisamment limée, déchargea deux fois, avant que je l'humectasse de mon foutre paternel… Elle gigotait, criotait, soupirotait.
— Ah! (s'écria Traitdamour) vous êtes le dieu de son con, cher maître! il se fond en jus d'amour, quand vous le perforez! Voyez comme elle en donne, l'adorable enfant!… Allons, céleste coquine, trémousse, trémousse! Fous, divine garce! décharge…
Ce fut ensuite le tour de Brisemote. Conette, pommadée, fut étendue sur le foutoir… Il enconna ma fille. La grosseur du vit et sa roideur lui arrachaient de sourds gémissements; elle travaillait de toutes ses forces, mais le terrible engin avait encore plus de trois pouces pour toucher le fond. Tout à coup nous nous apercevons que le perfide Brisemote veut inonder, d'un torrent de sperme, le connin qu'il martyrise. Nous ne pouvions l'enlever et l'arracher, son vit lapait comme celui d'un gros dogue dans la vulve enflammée d'une grande levrette. En ce péril, nous implorâmes, Traidamour et moi, la pudeur de Conquette! L'adorable fouteuse, fidèle à nos vits, donna un coup de cul en arrière, et se déconna. Traitdamour plongea rapidement son braquemart en furie dans le con béant…
Brisemote, enragé, se jeta sur Rosemauve, qui ne s'y attendait pas, et la foutit en levrette, avec tant de brutalité qu'il la fit crier autant de douleur que de plaisir… Et, voyant Conette se lever:
— Reste-là, garce! lui cria-t-il. Je suis dans une rage, par ce con velouté que fout Traitdamour, que j'enconnerais la rue Maubué et celle de la Tannerie…
En effet, Rosemauve, déconnée, il fondit sur Conette, la fit crier; enfila Minone sans intervalle, et reprit Rosemauve…
— Que n'ai-je là notre putain d'hôtesse! la garce boite avec grâce, elle a de blancs tétons: qu'on me l'appelle!…
Nous lui préparions Rosemauve, qu'il encula.
Pendant ce temps-là, Traitdamour se délectait sur Mme Vitnègre, qui se plaignotait tendrement, et déchargeait sans cesse, parce que son enconneur ne la déconnait pas.
— Que la bougresse qui est libre (nous dit-il), chatouille les petons de ma déesse; ça la fera me secouer.
— Allons! m'écriai-je, que Minone lui chatouille le haut de la motte, la douce main de Conette les couilles du cruel pourfendeur, et moi je chatouillerai les pieds délicats de la belle enconnée!
Ce qui s'exécuta: de violents soubresauts, des cris, des blasphèmes de volupté, Foutu Dieu… Sacredieu… Dieu-con… Dieu-vit… marquaient l'égarement des deux conoeuvrants.
Cependant Cordaboyau flairait la chaussure mignonne de
Conquette-Ingénue, et allait y mettre son vit:
— Laisse donc! lui dit Rosemauve, tout enculée qu'elle était; cela est insensible; mon con est libre; que ne le fous-tu?
Le bougre lui mit le ventre en l'air, et, tandis que Brisemote la sousaccadait en cul, Cordaboyau lui saccada le con.
Je bandais si fort, en entendant et voyant tout cela, que j'allais enconner Minone ou Conette. Ma fille, qui déchargeait, me dit tendrement:
— Un autre con… que le mien… peut-il vous tenter?…
Cette tendresse vraiment filiale, me toucha au coeur.
— Ote-toi (dis-je à Traitdamour); tu dois avoir déchargé!
Il déconna. Et moi, ému d'un amour paternel sans bornes, j'enconnai ma fille, sans laver.
— Mêlons nos trois foutres (lui disais-je en enfonçant); que ton con filial engouffre le vit paternel avec délices!… Remue du cul, adorable enfant! Rends-moi tout le foutre que j'ai déchargé dans le con de ta mère… pour te faire!… Ah! comme la garce remuait du cul, oscillait du con, le jour où je l'engrossai de toi! Elle était chaussée, parée, un peu chiffonnée, et si chaude qu'elle se mit sur moi et s'enconna. Pour m'exciter davantage, elle me disait en saccadant: "Pousse… Enfonce… mon con est frayé… je viens d'être foutue par ce beau commis aux Aides, dont tu es si jaloux…" Et elle saccadait… Pour moi… je foutis avec fureur… comme je te fous à présent… C'est moi qui t'ai engendrée, enfoutrée dans son con satiné… quoique tu ressembles à Louis XV qui… dit-on, l'a aussi foutue…
— Mon cher père… ô vit divin! (répondit Ingénue, oppressée de foutre et de tendresse) je sens… à mon insatiable connin… que je suis votre fille… je le sens au plaisir… que me fait la céleste idée que mon… père me fout…. Décha—argeons ensemble, cher papa!… j'ai… plus de… foutre avec toi, qu'avec tout autre?… Ah! Ah!.. fourgonne… fourgonne, vit-papa… Le foutre… est long… à venir… J'ai tant foutu!… Mais je n'en ai que plus de plaisir… Ah! Ah!… foutre!… Dieu! Délices!… Vitnègre!… ô monstre, qui me déchirais, sans me pouvoir en—filer, que n'es-tu sur moi… ton vit noir me pourfendant le con… Foutamort… enfondre-moi… Cher papa… dieu-fouteur… je pars… je décha—a—arge… à l'intention… de… Foutamort…
Et elle se pâma, dans un égarement, un délire ineffables.
Cependant elle avait croisé ses jambes sur mes reins, et elle me faisait une jolie brouette de ses cuisses et de son con. Je dis qu'on la rechaussât, et, à chaque coup de cul, elle fit claquer l'un contre l'autre ses hauts talons, comme faisait sa mère, pour me rappeler en foutant la beauté de son pied. Ce spectacle parut si délicieux à mes trois drôles qu'ils enconnèrent en furieux, Traitdamour Rosemauve, Cordaboyau Conette, et Brisemote Minone, et qu'ils les firent crier comme des dépucelées.
Dès que j'eus émis, je dis à mon secrétaire de déconner, de m'enlever, et de me porter sur un fauteuil. Il m'obéit. Ma fille palpitait. Je la montrai se chatouillant elle-même le con. Traitdamour rebanda comme un enragé; il se précipita sur elle.
— Enculez-moi, s'il vous plaît, Monsieur (lui dit-elle), il me semble que ça me fera mieux…
— Décharger (s'écria le bougre). Vous avez le con trop fatigué.
Et il lui perça le cul sans mouiller.
— Je vais… redécharger (lui dit-elle, en continuant de se branler elle-même).
— Attendez! attendez! (lui cria le jeune et vigoureux perforeur); je vous branlerai, en vous enculant.
Conquette enculée et branlée, roucoulait de plaisir…
En ce moment, Brisemote, qui finissait Minone, se jeta sur Rosemauve, abandonnée par Traitdamour, pour ma fille. Elle se fit enculer et branler. Cordaboyau retourna Connète, et lui en fit autant. Minone, libre, alla gamahucher ma fille, que son frère tenait enculée; et moi, je branlai Minone. Les trois bougresses se récriaient que l'enculage branlé était divin.
Pour moi, j'étais sur mon fauteuil, un doigt dans le con de Minone, que j'avais à peine la force de branler, tombant de sommeil, et bandant encore pour toutes quatre; il me devenait indifférent laquelle j'enconnasse. Je le dis. Brisemote m'avança Rosemauve tout enculée. J'allais enconner la vive Brune. Minone se retourna, mit ses fesses d'albâtre sur ce con noir, et me présenta son con.
— Que je te voie! (s'écria Conquette, en s'arrachant du cul le vit de Traitdamour) si Cupidonnet doit mourir en rut, c'est dans mon con!…
Elle se mit sur Minone, m'étreignit dans ses bras et m'engouffra.
— Ah! (s'écria Brisemote, qui nous portait tous quatre) que n'ai-je le vit assez long pour les enculer toutes trois!
Ainsi finit cette belle soirée. La partie fut remise au dimanche suivant. Conquette, après avoir fait amplement bidet, se coucha modestement. Je ne pouvais marcher. Mes trois gaillards remenèrent leurs belles, et revinrent me prendre, pour me porter chez moi, où ils me mirent au lit.
Chapitre XXXIII De la fouteuse sensée. Histoire.
Le lendemain, après mon travail, je vins voir ma fille. Elle était dans mon magasin. Elle m'embrassa la première, et me dit:
— Au nom de Dieu, cher papa, ménagez-vous! j'ai besoin de votre tendresse paternelle plus que jamais… Que deviendrais-je si je vous perdais? Vous êtes le meilleur des pères; vous me donnez le nécessaire et la volupté. J'ai un bijou insatiable; mais votre Traitdamour l'emplit et le satisfait au delà de toute vraisemblance. Je suis bien sensible au don que vous m'en avez fait. Aussi la reconnaissance et la tendresse sont pour vous; je ne lui donne que du…
— Foutre, mon adorable fille… Tu es toujours également modeste.
— J'ai aussi beaucoup d'obligation à Traitdamour d'avoir amené sa petite soeur et sa jolie maîtresse; surtout d'avoir donné celle-ci à ses deux vaillants camarades pour me rester plus entier et vous soulager d'autant, vu mon extrême chaleur. Ces jeunes filles sont de bonnes petites créatures, et valent mieux que Rosemauve, qui cependant n'est pas sans mérite… Ménagez-vous, cher papa. Ne voyez que moi; c'est bien assez. Une partie, tous les huit jours, suffira pour vos forces. Traitdamour me donnera le surplus de ce qu'il me faut. En ne jouissant que les dimanches, les garçons, les petites, tout comme nous, l'appétit et le plaisir seront plus grands; nous passerons une demi-journée délicieuse… Mais je suis jalouse de vous et du beau Traitdamour; ne le mettez qu'à moi. Avertissez-les tous de cela. C'est mon caractère que la jalousie. Et puis, où trouveriez-vous une femme ou fille qui me vaille? Toujours propre, abluée à chaque pipi, autant par volupté que par délicatesse; car j'ai cet endroit, que vous avez la bonté de trouver charmant, toujours si chaud que je ne le mets jamais dans l'eau qu'avec une volupté qui approche de la jouissance. Ne me le mettez donc pas de la semaine, pour avoir plus de plaisir, sans vous tuer, le dimanche. Ne me touchez ni le bijou, ni le sein!
— Non (répondis-je); durant la semaine, je ne baiserai que ton joli pied. Et je veux toujours avoir une de tes chaussures au trumeau de ma cheminée!
— Rien de si flatteur, répondit-elle, que d'être ainsi adorée jusque dans sa parure. Aussi mon pied est-il soigné, comme vous l'adorez. Je le lave à l'eau-rose deux fois le jour matin et soir, et après avoir marché.
— Ah! céleste fouteuse, que je le baise, que je le baise!
— Point de ces mots-là! dans la semaine: ils vous excitent… Baisez votre idole! j'y ai autant de sensibilité qu'ailleurs; mais restez-en-là… Du reste, je suis à vous. Vendez-moi, livrez-moi, quand vous le voudrez; je me donnerai avec plaisir pour vous; comme une autre Ocyrhoé.
[lacune]
Je me privai donc, malgré moi; mais par nécessité; je me contraignais.
[autre lacune]
Mais j'avais à ma cheminée sa chaussure rose à talons verts, à laquelle je rendais mon hommage tous les jours en l'honneur de la fille la plus pieuse et la plus dévouée qui ait jamais existé. Conquette-Ingénue, à qui je le dis le samedi, en fut transportée de joie. Elle darda sa langue, me fit sucer ses tétons, palper son poil soyeux, se mit à genoux, et dit avec ferveur:
— Mon Dieu! je vous remercie de m'avoir fait naître d'un si bon père! Nous ne vous offensons pas; je rends à mon papa en plaisirs délicieux les soins qu'il a pris de mon enfance. Je suis le baume et le charme de sa vie; il est le baume et le charme de la mienne! Bénissez-nous!
Elle fit trois signes de croix, baisa la terre, et se releva, en disant:
— Doux Jésus, qui le mettiez à Madeleine, elle était aussi votre fille; et en amour, vous le savez par expérience, rien n'est si voluptueux que l'inceste!…
Je fus si édifié de cette prière que je me propose de la faire recommencer, à la fin de nos parties.
Un instant après, à 8 heures et demie, toute la petite société, Traitdamour, Minone sa soeur, Conette sa maîtresse, Rosemauve, Cordaboyau et Brisemote, vinrent prendre langue pour la réunion du lendemain. Je donnai le mot et les retins à souper. Il y avait un excellent gigot de 18 livres, et du vin de Bourgogne, avec un pâté chaud. Après le repas, voulant les émoustiller tous, et moi-même, je fis lire par Rosemauve, devant nos hôtes, l'histoire suivante:
Chapitre XXXIV De l'homme-à-queue.
— Vous aimez les histoires, dis-je, ne voulant pas manger de pâté; nous aurons demain toute autre chose à faire: je vais en conter une, pendant que vous achèverez de souper.
Un rire d'aise précéda le silence.
Il y avait à Sens, une veuve encore belle, quoique mère de six filles, dont l'aînée, qui atteignait vingt ans et se nommait Adélaïde. La seconde, Sophie, n'en comptait pas encore dix-neuf; la troisième, Julie, en avait près de dix-huit; Justine dix-sept; Aglaé seize, et enfin Emilie, la cadette, quinze ans. Quant à la maman, mariée à treize, accouchée de son aînée à quatorze, elle avait trente-quatre ans. Mme Linars (c'est son nom) avait en outre deux nièces de quinze et vingt-deux ans, Lucie et Annette-Bar, une jolie femme de chambre de dix-huit, outre une cuisinière, grande et belle fille de vingt ans. Le mari avait mal fait ses affaires, avant que de mourir. La veuve ne soutenait sa nombreuse famille qu'avec le revenu de sa dot, qui rapportait cinq à six mille livres. On était gêné; car les nièces n'avaient que quinze cents livres de rentes entre elles deux. C'était onze jeunes personnes à entretenir avec 7500 francs.
Il parut alors à Sens un gros et bel homme dont la physionomie annonçait trente ans, encore qu'il n'en eût que 20. Il passait pour très riche. Et, en effet, il l'était. Ses bras et sa poitrine étaient couverts de poils. Il avait le regard dur et presque féroce; mais son sourire l'adoucissait, et il souriait toujours en voyant de jolies femmes. L'aînée des demoiselles Linars était charmante; Fysitère la vit et en devint éperdument amoureux, quoiqu'il eût alors dans son sérail une femme mariée enlevée à Paris, de l'aveu du mari même; la soeur d'icelui, vendue par son père, et une superbe carmélite, leur cousine, qui s'était livrée elle-même, parce qu'elle était hystérique. Mais toutes ces maîtresses étaient alors enceintes, et Fysitère n'en jouissait que pour avoir des enfants. Il alla chez Mme Linars, pour lui demander en mariage Adélaïde.
Le velu, en voyant onze femmes dans une seule maison, tressaillit d'aise… Il étala sa fortune, et proposa d'épouser l'aînée. Trente mille francs de rente qu'il prouva (il en avait bien davantage!) le firent accepter sur-le-champ. Il rendit ensuite des visites jusqu'au mariage, et fit des présents, tant à sa prétendue qu'à la mère, aux belles-soeurs, à Lucie et Annette-Bar, les deux nièces, ainsi qu'à Geoline et à Marète, la femme de chambre et la cuisinière. Ce fut avec ces présents qu'il attaqua leur vertu… Mais il faut quelques préliminaires, qui fassent mieux connaître ce personnage.
Fysitère était un de ces hommes poilus qui descendent d'un mélange de notre espèce avec celle d'hommes-à-queue de l'isthme de Panama, et de l'île de Bornéo. Il était vigoureux comme dix hommes ordinaires; c'est-à-dire, qu'il en aurait battu dix à armes égales, et qu'il lui fallait, à lui seul, autant de femmes qu'à dix hommes.
A Paris, il avait acheté la femme d'un nommé Guae, un scélérat, qui la lui avait vendue et l'avait livrée. Fysitère la tenait exactement renfermée depuis. Il jouissait de cette infortunée, la plus provoquante des femmes, et qui avait beaucoup de tempérament, dix à 12 fois par jour. Ce qui la fatiguait tellement qu'elle lui avait donné le conseil d'acheter de leur père sa soeur cadette, nommée Doucète, qui partagerait le travail. Il le fit. Mais ces deux femmes avaient été bientôt sur les dents. Heureusement, un confesseur de nonnes découvrit alors pour le velu la religieuse hystérique, cousine des deux victimes; il la tira de son couvent, sous prétexte de lui faire prendre les eaux, et la livra au Fysitère, qu'elle occupa seule pendant quelques semaines. Ce qui avait reposé ses deux cousines.
C'est à cette époque que l'homme-à-queue était venu à Sens, et qu'il avait vu la famille Linars. Avant qu'il eût Mme Guae, on lui amenait trois filles couturières chaque matin. Mais les précautions qu'il était obligé de prendre pour sa santé, avec des créatures qu'il laissait libres, le dégoûtèrent de cette jouissance. D'ailleurs, comme il avait formé le projet de multiplier l'espèce des hommes-à-queue et d'en peupler l'île entière de Bornéo, pays originaire, il voulait pouvoir surveiller tous les enfants qui lui naîtraient. Ses trois femmes étant grosses, il ne voulait plus les fatiguer. Quand il fut lié avec Mme Linars, il aurait bien cherché à déflorer sa future, ou à se donner une des nièces; ou la cuisinière, ou la femme de chambre. Mais il trouva que tout cela avait ses inconvénients. Il réserva ce supplément de ressources pour après son mariage. La première qu'il attaqua, ce fut sa belle-mère future. Il lui fit un jour un présent de deux mille écus en espèces. Et, la voyant dans l'extase de la reconnaissance, il lui mit la main sous la jupe, en lui disant:
— Autant tous les six mois, si je vous le mets. Et ne craignez pas de faire du tort à votre fille! Elle n'en aura que trop de reste…
Comme il était extrêmement fort, tout en parlant, il la renversait, l'enfilait. La dame se trouva prise sans l'avoir prévu. Elle fut rabatelée une dizaine de fois, tant elle était vigoureusement contenue… Enfin devenue libre, elle lui dit:
— Oh, quel homme!
— Je suis tel (répondit-il) que votre fille et vous, quand vous m'aurez toutes deux, me donnerez vous-même des maîtresses, pour vous reposer.
La dame, qui aimait le jeu d'amour, sourit, en rougissant d'espérance et de plaisir.
Elle fut exploitée tous les jours, en attendant celui du mariage de sa fille. Quand ce jour fut arrivé, effrayée pour une jeune vierge, elle pria l'inépuisable Fysitère de la ménager!
— Six fois, répondit-il, pas plus, si vous me promettez de me recevoir ensuite, ou de me donner Lucie, l'aînée de vos nièces?
— Non; mais je vous donnerai Geoline, ou Marète, celle que je pourrai avoir le plus facilement…
Le soir des noces, Fysitère, quoiqu'il eût toutes les nuits fourbi Mme Linars, était impatient à trépigner, d'avoir sa mariée. Il l'enleva comme une plume, dès qu'on eut soupé, se jeta sur elle, et lui fit pousser des cris effrayants. La mère, alarmée, accourut avec Geoline, au moment où Fysitère, sans trop s'embarrasser des gémissements de la jeune personne, la recommençait. La mère le laissa l'achever. Puis, sur l'instante prière de sa fille, elle la retira du lit, pour laver le sang et le suc d'homme dont sa conque martyrisée était remplie. Fysitère saisit alors Geoline, et la viola, malgré ses clameurs. Il la retint sous lui quatre à cinq fois… Elle profita d'un intervalle pour s'échapper. Mais Fysitère menaça Mme Linars, si elle ne remplaçait pas sa fille, de tourmenter celle-ci jusqu'au jour… La dame était fatiguée. Elle alla chercher Marète, qu'elle enferma dans la chambre nuptiale. Fysitère la viola, et la contint sous lui quatre fois; puis il lui permit de dormir.
Dans le jour, il assoupit les plaintes des deux filles domestiques, et même il les gagna, en leur constituant douze cents francs de rente à chacune. Mais elles demandèrent du repos, pour la nuit suivante… Le soir, Fysitère ramona six fois sa nouvelle épouse, qui prit un peu de goût à la chose; puis sa mère, reposée, fut à son tour fourgonnée six autres fois. Ce qui suffit à l'homme-à-queue.
Le soir du troisième jour, il ne ramona sa femme qu'une fois; car elle demanda grâce. Il eut ensuite Geoline, six fois; puis Marète, cinq fois. Ce qui fut la dose à laquelle il se régla. Il eut, le quatrième soir, sa femme, une fois; sa belle-mère quatre; Geoline trois; Marète quatre: douze en tout. Il en agit ainsi pendant deux mois.
— Mais, lui dit Mme Linars, vous vous épuisez! A quoi bon nous le mettre tant de fois?
— Mon but est de faire des enfants, pour en repeupler une île des Indes, dont les hommes de mon espèce sont originaires. Dès que vous serez grosses, je ne vous le mettrai plus; vous m'en donnerez d'autres; mais surtout vos filles et vos nièces, parce que vous êtes toutes d'un beau sang. Je leur ferai à chacune six mille francs de revenu, et douze cents francs seulement aux étrangères que vous procurerez…
Mme Linars fut très étonnée de cette proposition! Mais les six mille francs de revenu pour ses filles et ses nièces la tentèrent.
Au bout des deux mois, et de six semaines de mariage, Mme Linars, la nouvelle épouse, Geoline et Marète se trouvèrent enceintes. Fysitère leur déclara qu'il ne les verrait plus qu'après leurs couches. Et il pressa Mme Linars de lui donner ses nièces, et deux de ses filles?… Elle fut obligée d'y consentir. Elle les conduisait elle-même, après les avoir instruites, et assistait à leur défloration, calmant leurs cris par ses discours et ses caresses.
— Ma raisonnable enfant, disait-elle à Lucie renversée sur le dos, et qu'on troussait, il est doux d'avoir 6 mille fr. de rente!… Cinq cents francs par mois! ajouta-t-elle en la pommadant… Et foncières, ma chère nièce! (dirigeant le gros membre dans sa fente).
Aussi la belle Lucie, quoique vierge, ne cria-t-elle pas.
Vint ensuite Annette, la seconde. Sa mère l'exhorta, la pommada, insérant son index onctué le plus profondément possible, pour frayer la route. Elle introduisit le membre dans la fente ainsi préparée. Cependant Annette, perforée, jeta les hauts cris. Mais ils n'arrêtèrent pas Fysitère, dont Mme Linars caressait la queue poilue, qui frétillait vivement.
— Ah! maman! (lui dit-il) mets-toi sur moi, et te l'enfonce dans ta conque; tu auras bien du plaisir!
Elle le fit, et fut si ravie qu'elle appela sa fille aînée et les chambrières, pour leur procurer les mêmes délices.
Annette suffisamment ramonée, et demandant grâce, Geoline la remmena, pour laver le sang et le sperme, dont son bijou était barbouillé; et Mme Linars alla chercher Sophie, sa seconde fille. Geoline et Marète l'apportèrent nue assise sur leurs mains jointes. Mme Linars la pommada; puis elle intromit. Geoline s'enfila avec la queue poilue, au refus d'Adélaïde, l'épouse. Sophie ne poussa que quelques gémissements au premier assaut; elle riposta aux deux autres. Elle fut cependant ensanglantée. Geoline se fourgonna de la queue à poil durant toute la séance.
Fysitère n'avait joui que neuf fois. Il lui en fallait trois encore. On alla lui quérir Julie, la troisième soeur, âgée de dix-sept ans. Sa mère la pommada. Ce qui ne l'empêcha pas de crier, parce qu'elle était fort étroite. Julie et sa cousine Annette furent les deux qui n'émirent pas dans le coït, les quinze premiers jours. Lucie fut prise tout de suite, et Sophie trois jours après. Mais elles n'en dirent rien, aimant le plaisir. Quant à Julie et Annette, il s'écoula trois mois avant qu'elles fussent enceintes… Marète se farfouillait avec la queue poilue pendant les assauts de Julie.
Lorsqu'il fut bien décidé que les quatre belles avaient le sac rempli, Mme Linars fut requise de donner ses trois dernières filles, et une cousine du côté gauche, fille hors mariage de son mari, nommée Naturelle-Linars! Elles lui furent livrées, et Justine, Aglaé, Emilie même, qui n'avait pas quatorze ans accomplis, se virent enfilées dans une seule nuit, malgré leurs cris et la déchirure de leurs jeunes appas. Naturelle avait vingt-et-un ans; ce fut une délicieuse jouissance, que l'homme-à-queue, fatigué, avait réservée pour la dernière. Celle-ci fut engrossée sur-le-champ; et les trois autres, malgré leur jeunesse, ne l'échappèrent pas dans le cours du mois. Elles étaient régulièrement fourgonnées trois fois par nuit; mais soit qu'elles eussent moins de tempérament, soit qu'étant plus étroites, elles souffrissent toujours, elles furent ravies lorsqu'elles furent déclarées enceintes. L'homme-à-queue avait en ce moment, de fécondées, 14 femelles, qui lui promettaient au moins 14 enfants.
A cette époque, Mme Linars accoucha d'une fille. Un mois et demi après, Adélaïde, ou Mme A-queue, mit également une fille au monde. Puis Geoline et Marète eurent chacune un garçon. Annette et Lucie chacune une fille. Toutes six voulurent nourrir. Ce qui fut exécuté dans une terre écartée, du côté de Seignelai, éloignée des routes, comme de l'Yonne, mais sur la petite rivière de Serin.
Cependant, comme les unes nourrissaient, et que les autres étaient encore enceintes, il fallait de nouvelles femmes à Fysitère. Il demanda permission à Mme Linars de reféconder ses trois premières concubines, Mme Guae, sa soeur Doucète, et la carmélite, qui n'était plus hystérique depuis ses couches. La belle-mère y consentit avec la plus grande joie; car elle était fort embarrassée pour trouver à son gendre des sujets fécondables. Elle avait déjà bien marqué les quatre pucelles les moins laides du village, et même une cinquième, la plus jolie, femme mariée, stérile avec son mari; elle les avait presque gagnées, au moyen des douze cents francs par année, mais elle n'était pas encore sûre de leur discrétion… Les trois concubines étaient mandées. Elles arrivèrent.
Dès le même soir, elles furent mises toutes trois dans un grand lit propre à cinq personnes; Fysitère s'y coucha au milieu: Il les palpa toutes; puis il prit Mme Guae, la plus voluptueuse, qu'il fourgonna trois fois avec fureur. Il saisit ensuite Doucette, que ses tendres gémissements lui firent ramoner en enragé. En la quittant, il sauta sur la carmélite, qu'il exploita six fois, sans désarçonner. Mais elle l'assura qu'elle était guérie de sa maladie, et elle le pria de se partager également entre elles trois! Ce qui fut arrêté.
Le lendemain, Mme Linars, qui avait tout écouté pendant la nuit, demanda aux trois parentes comment elles appartenaient à Fysitère! Mme Guae répondit:
— Nous allons vous faire notre histoire qui vous paraîtra singulière! En même temps qu'elle vous donnera une idée juste de notre mari à toutes, qui est un homme d'une nature particulière.
Mme Linars ne demanda pas mieux que de l'entendre. Mais elle fit observer à Mme Guae que ce récit ne seraì t pas moins agréable aux 12 autres femmes de Fysitère! Mme Guae en convint, et Adélaïde, Sophie, Julie, Justine, Aglaé, Emilie, Lucie, Annette, Geoline, Marète, Naturelle, appelées par Mme Linars, vinrent avec elle assister à la narration que fit la belle Mme Guae, en présence de Doucette sa soeur, et de Victoire, la carmélite leur cousine.
Chapitre XXXV De la garce insatiable.
— Vous me voyez; j'ai toujours été désirée des hommes. A huit ans, un ouvrier qui travaillait dans la maison à de la menuiserie me prit le bijou; et, comme je ne criai pas, il me mit son membre entre les cuisses, me les fit serrer, et me les inonda, en déchargeant. Je le dis à ma mère, qui me lava les fesses, alla menacer le menuisier, et le fit déguerpir… Ce début annonce que le récit sera un peu libre; mais il faut être sincère.
A dix ans, mon père déculotté m'asseyait à crû sur ses cuisses nues, faisait aller son membre entre les miennes, comme le battant d'une cloche, et, bien échauffé, il allait enfiler ma mère, une jeune tante soeur de celle-ci, ou ma gouvernante.
A treize ans, j'avais le bijou cotonné, et si joli que mon père venait me le lécher la nuit pendant mon sommeil. Enfin, il me sentit riposter à ses coups de langue, et comprit que j'avais du plaisir. Il dardait plus fort, et je partais… Aussitôt mon père se mettait sur moi, me suçait mes petits tétons naissants, posait son membre à l'orifice de ma petite conque, et me barbouillait toute la motte de sperme… Il me lavait à l'eau-rose.
A quinze ans, un jeune homme, frère de ma maîtresse de modes, me prit le con à la poignée, au moment où je regardais par la fenêtre, et voulut me chatouiller le clitoris avec son doigt; mais il me fit mal, et je lui donnai un soufflet.
A cette époque, mon père n'osait plus m'asseoir à cul nu sur ses genoux, ni me faire décharger en me léchant le con; il se retirait dès que je donnais le premier signe d'éveil. Mais comme j'ai le pied joli, et que M. Dardevit, ainsi que tous les hommes délicats, est infiniment sensible à cet attrait-là, il faisait faire mes chaussures par un habile cordonnier, celui de ma mère et de la Marquise de Marigni; le voluptueux ne me les donnait neuves que lorsque j'allais chez lui; il me les faisait mettre après un pédiluve, avec des bas de fin coton, me faisait marcher chaussée, mettre à la fenêtre, pour mieux voir ma jambe et mon pied, qu'il baisait; il me faisait ensuite asseoir, me tirait un soulier, s'en coiffait le vit, me faisait lui patiner les couilles avec mon pied chaussé, poussait de profonds soupirs, cognait au plancher, ce qui faisait monter Mme Mézières, voisine d'au-dessous. Elle lui arrachait mon soulier, ou ma mule. Elle se renversait sur le dos; il la troussait, et la fourgonnait, en me faisant relever ma jupe en perspective d'une glace jusqu'au genou.
— Votre père me fait ce qu'il ne peut vous faire, me disait la Mézières, parce que tu es sa fille; mais c'est toi qui le fais bander… Ah! si tu lui montrais ton joli connin, comme il me rabatellerait, et me donnerait des coups de vit en con!
Touchée de ce langage, souvent je me troussais, et montrais une motte à poil follet et soyeux, que mon père trouvait adorable! Je m'en apercevais aux vives estocades qu'il donnait à la dame… En la quittant, il venait me rechausser. Mais quelquefois la Mézières l'en empêchait, et, furieuse de luxure, elle me renversait, me léchait le connin, et mettait dans le sien la pointe de mon soulier, ou de ma mule, comme un godmiché… Pendant ce temps-là, mon père me palpait doucement les fesses ou les tétons.
— Tu la foutras, bougre (tu la dépucelleras, et bientôt! et elle deviendra grosse de toi, si tu ne la maries!
Ce propos, souvent répété, fit que je demandai vivement à me marier.
J'avais un oncle, mari de ma tante. L'escalier de leur demeure était obscur. Un jour que je le montais, mon oncle me suivait. Au beau milieu, il me glissa la main sous la jupe, et me happa ce qu'il nommait mon connôt. Je me récriai!
— Tais-toi donc (me dit-il); vas-tu troubler mon ménage?…
Je me tus. Et il me patina le connôt, le cul, d'une main, les tétons de l'autre; me mit son membre dans la main, me le fit serrer en jurant, et, tout en me suçant les tétons, me déchargea dans les doigts.
J'entrai toute rouge chez ma tante. Mais je ne dis mot. Quand je m'en retournai, mon oncle me guettait; il m'accompagna, et me dit:
— Tu veux te marier. J'ai un parti, et il n'y a que moi qui puis gagner ton père; je le gagnerai, si je te le mets seulement trois fois avant le mariage, et lorsqu'il sera bien sûr?
— Que me mettrez-vous? (je faisais l'ignorante, puisque j'avais vu mon père et la Mézières).
Nous étions dans l'allée. Il mit son vit à l'air, et m'empoigna le con:
— Ceci, dans ce que je te tiens.
Je me débarrassai, et ne répondis rien. J'étais à la porte de mon père. J'entrai. Il était absent: J'attendis.
Seule avec moi-même, je résolus de pressentir mon père, à son arrivée, sur mon mariage. Il arriva. Je fus moins sévère avec lui qu'à mon ordinaire, et, lorsque je l'embrassai, au lieu des yeux, j'appuyai sur ses lèvres. Il fut ravi. Je dardai la langue, comme je l'avais vu faire à la Mézières. Il me mit la main entre les cuisses, mais sur les jupes. Je m'abandonnai, en lui disant:
— Je voudrais me marier! Et comptez que vous serez bien caressé, si vous y consentez!
— De tout mon coeur, à cette condition… As-tu un parti?
— Mon oncle en a un, que je n'ai jamais vu.
— Bon! ce n'est pas une amourette… Il faut d'abord que je te gamahuche aujourd'hui?
— Qu'est-ce que c'est?
— Te lécher là (me prenant le bijou).
Je fis une petite grimace.
— Allons, prends cette éponge fine, et lave le bien, à cause du joli poil, qui commence à l'ombrager! Le plaisir que tu auras, te dédommagera de la contrainte que tu te fais!
Il me suça légèrement les bouts des tétons, pendant que mes fesses, mon cul et mon connin nageaient dans un bain tiède.
Mon amoureux père ne me donna pas le temps de réfléchir. Dès qu'une serviette fine eut pompé l'eau, il me renversa sur le pied de son lit, troussée au-dessus des reins, appliqua sa bouche sur la fente de mon connôt, qu'il lécha vivement, en dardant sa langue, jusqu'à ce que je donnasse des symptômes de décharge. Ce qui arriva au bout d'un demi-quart d'heure. En me sentant prête à émettre, mon père me quitta, me mit gros comme une noix de beurre frais dans le bas de la fente du connôt, m'y inséra son vit, avec beaucoup de peine. Il saccada. Je déchargeais, et j'avais tant de plaisir que je le secondai, malgré quelques douleurs. Heureusement, le vit de mon père n'était pas gros, mais il était long; il me donna un plaisir complet; car il pénétra si avant qu'il me chatouilla le fond; et au moyen de ce que j'étais très étroite, il m'emplissait le con, comme si j'y avais eu un vit de mulet… Voilà comme je fus dépucelée.
Je priai mon père, pendant qu'il me lavait le con, de ne pas différer son consentement, que je ne voulais pas devoir à mon oncle; et je lui en dis la raison.
— Il ne faut qu'il te le mette! me répondit-il vivement. Le bougre a le vit trop gros: il t'élargirait! Au lieu qu'après moi, ton futur, on tout autre fouteur, te trouvera comme pucelle.
Je promis qu'il n'obtiendrait rien.
— Des bagatelles cependant, reprit mon Père. Branle-le, quand il te prendra le con. Tu pourrais même te laisser enculer, s'il était assez raisonnable pour s'en tenir là.
— Comment fait-on ça?
— Je vais te le montrer.
Et il m'encula. J'eus du plaisir; car je déchargeai. Mon père me dit ensuite:
— Quant à mon consentement, envoie-moi ton prétendu: Si c'est un certain drôle que je soupçonne, tu n'en deviendras pas folle, et… Suffit.
Je m'en retournai contente chez mon oncle, où sa femme et lui me présentèrent leur protégé, une sorte de mulâtre, qu'ils nommèrent M. Guae.
Dès le même soir, ayant eu, avec ce M. Guae, un entretien très vif, pendant lequel je le vis prêt à me prendre le con, sa laideur et sa sottise ne me rebutèrent pas, attendu que mon oncle et ma tante m'avaient prévenue qu'il était terrible pour les femmes; ce qui m'avait bien tentée! Au contraire, je lui dis que j'avais obtenu le consentement de mon père, et qu'il pouvait se présenter. Il me pria de le conduire, n'en étant pas connu. Je remis au lendemain midi.
Nous arrivâmes au moment où mon père allait sortir. Guae m'avait pris le cul dans l'escalier, et m'avait fait empoigner son vit; ce qui me donnait un coloris brillant; j'étais ravissante! Je présentai Guae comme mon futur. Sa figure hideuse et basse fit sourire mon père, dont elle calma la jalousie. Il nous dit:
— Mes enfants, j'ai une affaire pressée; mais elle sera courte; attendez mon retour.
Après son départ, Guae me dit:
— Il paraît, à son ton, qu'il vous tiendra sa parole, de consentir?
— Je le crois; car il ne se contraint pas, quand une chose lui déplaît.
— Ma belle! (ajouta Guae, dont l'oeil noir pétillait de luxure) permettez de vous le mettre ici, sur le pied du lit de votre père!… Consentez-y!
Je ne demandais pas mieux, à cause de mon dépucelage, et parce que le bijou me démangeait, depuis que mon père m'avait perforée. Mais je répondis:
— Oh non! mon père n'aurait qu'à rentrer!
— Eh! quand il rentrerait? vous voir enfilée ne ferait que hâter notre mariage.
Il me renversa sur le pied du lit. Je me défendis gauchement. Il me mit le vit entre les babines du con, et poussait à m'enfondrer… Mais il ne put pénétrer, quoiqu'il se mouillât le gland. Il redoubla d'efforts, qui aboutirent à me décharger une chopine de sperme sur la motte, le ventre et les cuisses.
Je me débarrassai, pour aller laver.
— Oh! vous êtes bien pucelle! me disait Guae, en se reculottant. Comme je m'essuyais, j'aperçus mon père caché… Je n'en fis pas semblant. Un instant après mon retour vers Guae, ce père rusé entra auprès de nous. Guae me demanda en mariage. Mon père lui répondit qu'il me laissait la maîtresse absolue. Et il signa les bans. Il dit ensuite à Guae qu'il avait à me parler, et qu'il le priait de s'en retourner seul; qu'il me remènerait chez ma tante, à laquelle il avait à parler aussi. Guae s'en alla.
Dès qu'il fut sorti, mon père me dit:
— As-tu été foutue?
Et il me prit le con à la poignée.
— Vous avez bien entendu que non.
— Où donc a-t-il déchargé?
— Sur le poil.
— Un peu entre les lèvres?
— Oui.
— Il suffit. On peut devenir enceinte avec cela seulement, et tu n'as plus rien à craindre. Mais va le voir chez lui, et qu'il ait toute facilité. En attendant, je vais en frayer encore un peu.
Il me renversa, et à l'aide du beurre frais, il m'enfila… avec quelque facilité; ce qu'il répéta trois fois, excité par ce qu'il venait de voir, et parce que j'étais extrêmement bien chaussée, en souliers de soie neufs. Je déchargeai trois fois à chaque enconnage, comme disait mon père. Cela fit neuf fois. Mon père me dit que j'avais beaucoup de tempérament et que j'allais être une bonne fouteuse!… Je me lavai soigneusement, et il me remena.
Nous trouvâmes Guae chez ma tante. J'étais plutôt mise en appétit que rassasiée, par le triple fourgonnage de mon père. Je dis bas à mon prétendu:
— Allez chez vous; j'ai à vous parler.
Il y courut. Mon père parlait à ma tante, prenant des mesures pour accélérer; car il craignait, à la manière dont j'avais déchargé, que je ne devinsse grosse de lui; et il le désirait en même temps. Mais il fallait que je fusse mariée… Ma tante sortit avec lui.
J'allais sortir aussi, pour laisser essayer à Guae un enconnage complet, lorsque mon oncle rentra. J'étais si envoluptée que je n'en fus pas fâchée, quoiqu'il me déplût. Il ferma la porte au verrou et vint à moi:
— Tu vas donc te marier! me dit-il. Allons, il faut en découdre à nous deux! Aussi bien Guae a le membre si gros, qu'il te ferait souffrir le martyre (Ceci acheva de me déterminer)…
Il me saisit.
— Laissez-moi! Laissez-moi! (dis-je faiblement).
Mon oncle ne m'écouta pas, et, voyant que je ne criais, ni n'égratignais, il me renversa sur le lit, me troussa, et dirigea son vit dans le vagin de mon con. J'eus l'art de paraître me défendre, en le secondant. Il me fit mal; je criai, et, m'apercevant que les cris le facilitaient, je me mis à crier de toutes mes forces. Ce qui le fit enfoncer jusqu'à la garde, avec tant de plaisir de ma part que mes gémissements étaient de volupté. Je me débattais, mais mon con supait le gros vit, donnant de si bons coups de cul que je déchargeai avec des convulsions terribles et des contractions des trompes qui pinçaient le gland de mon oncle. Il se récria… et se pâma de plaisir…
— Ah! pour une pucelle, que tu fous bien! me dit-il ensuite.
Que sera-ce donc un jour?… Recommençons…
Il me recommença trois fois, malgré mes pleurs; car je sentis qu'il fallait pleurer…
Quand il fut rassasié, il déconna.
— O céleste fouterie, me dit-il, si le mérite de ton con était connu, il ferait ta fortune!
— Oui! vous me l'avez bien accommodé! répondis-je en sanglotant, sur un bidet préparé par mon oncle.
Il ôta le verrou, jeta l'eau mêlée de sang et de foutre; puis craignant le retour de sa femme, il sortit, en disant:
— Remerciez-moi! sans cette préparation, Guae vous aurait estropiée; et revenez à moi, s'il le faut!
Je ne fus point effrayée de ce langage. Dès qu'il fut sorti, j'essuyai bien vite mes larmes, et je pris un air riant. Ma tante revint. Je la prévins de l'attaque de son mari, mais non du succès, pour lui faire presser mon mariage; la priant de ne lui en rien témoigner, de peur qu'il ne levât le masque. Je promis de toujours bien me défendre, comme je venais de faire; et tout en parlant, le con étant venu à me redémanger, je courus chez Guae, espérant que, préparée comme je l'étais, il me l'enfoncerait enfin. Il m'attendait.
— J'ai bien des choses à vous dire…
Ce fut mon début. Il ne me laissa pas continuer; il me prit la motte.
— Foutons d'abord, me dit-il, en me renversant.
Je n'en fus pas fâchée; car je ne savais trop que lui dire de nouveau. Je me défendis gauchement, comme avec mon oncle et mon père. Mais, quoique je fusse élargie, ses tentatives furent encore inutiles. Je n'osais lui dire de prendre du beurre, de peur de paraître instruite. Je m'attendais qu'il y songerait. Cela ne lui vint point en pensée.
— Tu es diablement pucelle! me dit-il, en me tutoyant…
Il me tourna sur le ventre, me cracha au trou du derrière, et m'y enfonça son engin, avec des efforts infinis. Je poussais des cris horribles! mais il me tenait si ferme, en m'empalant, que je ne pouvais remuer. Je le secondai, pour souffrir moins, et mes ripostes me firent décharger. Je croyais avoir un timon de carrosse dans le cul… Le retirer ne fut pas sans plaisir…
— Tu vaux ton pesant d'or! me dit Guae, même en cul! Suffit!
Il me demanda ensuite pardon:
— Votre beau con, votre beau cul, vos blancs tétins m'avaient mis comme un enragé; ne pouvant vous enconner, je vous ai enculée. Pardon, ma belle maîtresse! j'ai plus d'un projet, pour vous dédommager.
Le cul me faisait mal. Guae me le mit dans l'eau tiède; puis il me le baisa, me le lécha, allant quelquefois au con. Il rebanda; mais je voulus m'en aller. Il fut obligé de me remener en fiacre; je ne pouvais marcher qu'avec douleur. Ce qui n'empêcha pas qu'il ne me fit le branler dans le carrosse, lui ayant le nez dans une mule mignonne, qu'il m'avait arrachée du pied, et dans laquelle il déchargea. Dans le délire du plaisir, il me dit:
— Ma reine: j'ai le vit trop gros pour toi; choisis de l'oeil un joli jeune homme pour te dépuceler, et je trouverai le moyen de te le faire avoir, sans te compromettre.
Ceci me fit plaisir… Guae me descendit, et me porta. Je me mis au lit; le sommeil calma mon cul.
Le lendemain, j'allai chez mon père, auquel je racontai tout ce que Guae m'avait fait, et dit.
— Bon! me répondit-il. Tu as du tempérament. Tu seras foutue, en con, en cul, en bouche, et tu seras heureuse… Vous serez mariés dans huit jours, et je t'aurai un fouteur plus gros que moi. En attendant, je vais te le mettre; on ne saurait trop élargir un connin si mignon.
Mon père m'enconna, recommença trois fois.
— Tu es toujours pucelle! me dit-il.
— Et pourtant, m'écriai-je, mon vilain oncle, avec son gros membre, m'a hier violée trois fois!
— Trois fois! reprit mon père; quel connichonnet as-tu donc? On pourra vendre mille fois ton pucelage!… Il faut que je te refoute. Et il me refoutit…
Tandis que je me rinçais le con avec de l'eau tiède, mon père s'était mis à la fenêtre, et causait avec un jeune procureur son voisin, gros et beau garçon de 30 ans. Le con lavé, j'allai regarder, en soulevant le rideau. Mais le jeune procureur m'ayant aperçue, je me retirai.
— Quelle est donc cette céleste personne? demanda-t-il.
Mon père ne répondit que par un geste qui, je crois, signifiait que j'étais sa maîtresse. Ils gesticulèrent encore. Puis le procureur disparut. Mon père me dit aussitôt:
— Veux-tu que ce bel homme te le mette, en payant?
— Oh! oh! mon père!
— Appelle-moi Monsieur, devant lui!…
On frappa. Mon père ouvrit; et j'entendis qu'il disait tout bas au jeune homme:
— Apportez-vous les 50 louis?
— Les voilà.
— Mademoiselle? me dit alors mon père; vous savez que je vous aime pour vous même: Voici un bel homme de mes amis, qui veut vous faire un présent; je sors; témoignez-lui votre reconnaissance.
Mon père se cacha, et le procureur le crut sorti.
As-tu été foutue aujourd'hui, me dit-il, en venant pour me prendre les tétons.
Je le régalai d'un soufflet.
— Apprenez que je suis ici chez mon père.
— Vous êtes Mademoiselle…
— Oui, Monsieur. Je dois être mariée dans huit jours. C'est un mariage de raison, ou d'intérêt. Mais mon père ayant été instruit que mon futur est… monstrueux… ce bon père a… pris sur lui de… me faire préparer. Je vous ai cru son ami; j'ai consenti, après vous avoir vu.
Le procureur était à mes genoux. Il me demanda mille pardons!
— Soyez donc honnête! repris-je.
Alors il me caressa. Je lui rendis enfin un baiser. Il me renversa. Il avait le vit comme mon oncle, mais il était moins adroit.
— De la pommade! lui criai-je. Mon prétendu m'ayant fait entrer chez lui par surprise, il ferma les portes, et voulut me violer… Ne le pouvant, il me pommada, et ne réussit pas encore. Vous, pommadez-…moi…
En parlant ainsi, ses tentatives me faisaient décharger. Je soupirais de volupté. Mon père crut que c'était de douleur. Il arriva; me pommada; dirigea le vit de mon fouteur dans mon con, et dit, à lui:
— Poussez. (A moi) Soulève le cul; étreins dans tes bras; seconde ton dépuceleur, à chaque coup, par un coup de croupe en avant; passe tes jambes sur ses reins, et serre, en remuant du cul… Bon! Bon! Saccadez, vous!… Bon!
— Ah Dieu! quel plaisir! s'écriait le fouteur; comme elle a… le con étroit!… le… mouvement… délicieux!
Je lui dardai ma langue, en murmurant:
— Mon coeur!.. Mon roi!… Mon Dieu! je t'adore!…
— Ah! la chère petite amie! elle est tendre!… Je décharge!
Je la fous… Ah!…
— Il me fout, mon père!… Tous les hommes foutent-ils?… Ahh!… Mon père!… quel plaisir!… Mon âme… va sortir par… le trou qu'il me fait!…
Je déchargeais en me roidissant.
— Oh! la petite reine!… s'écria le jeune procureur. Elle décharge!… Mon père… donnez-la-moi pour femme; je l'ai dépucelée; je l'épouse!…
Mon père, qui avait ses desseins sur moi, refusa. Il en résulta que le procureur enragé, s'acharna sur moi, et me foutit 18 fois… Mon père fut obligé de l'ôter de sur moi, et de le porter chez lui; il ne pouvait marcher… Quant à moi, j'étais à peine fatiguée. Mon con lavé, rafraîchi, il n'y parut plus. Au retour de mon père, le voyant tout ému, à la vue de mes tétons, je lui dis:
— Si vous bandez, satisfaites-vous, en me foutant deux ou trois fois!
— O quelle scène! s'écria-t-il. Mais tu as un con et un tempérament impayables! ils feront notre fortune… Voyons si tu déchargeras encore; foutons!…
En m'enconnant, il me loua fort de m'être avouée sa fille, et du soufflet donné!
— Les fouteurs dédaignent les foutues; mais avec toi, ce sera le contraire; je veux te mettre au-dessus de ces bougres-là!
— Je décharge! m'écriai-je.
— Et moi aussi! répondit-il en me saccadant.
Il me re-enconna trois fois, et toujours je déchargeai… Je lavai, en lui disant:
— J'épuiserais dix hommes.
Je lui recommandai d'instruire mon futur de ce qu'il fallait faire pour m'enconner. Je lui dardai ma langue, et je partis.
J'avais été foutue 25 fois dans la journée, sept par mon père. Je retournais chez ma marchande. Mais tous les hommes que je rencontrais me tentaient.
— Que les putains sont heureuses! (pensai-je) elles attaquent qui elles veulent!
Tout à coup une idée me vient:
— Allons chez Guae; je lui dirai de me pommader. Qu'il m'estropie; mais qu'il me foute.
J'y volai.
Il était avec un beau jeune homme, qu'il fit cacher, au bruit de mes talons. Mais j'entrevis par le trou de la serrure. Guae me reçut mystérieusement, et me conduisit dans la pièce obscure, où je lui avais vu cacher le jeune homme.
— Ma reine! ma belle future (me dit-il), je crois que je pourrai vous enfiler aujourd'hui. Ayez seulement de la complaisance!
— Oui! mais, pommadez… Ma tante…
— J'entends… j'entends…
Je sentis qu'il me remettait à une main plus douce. On me prit les tétons, le con; on me darda la langue. Je caressai. On me troussa. Je fis beau con. L'on se mit sur Moi, je sentis qu'on m'insérait un morceau de beurre frais à l'entrée de la vulve, ou trou du con. On poussa. Je ripostai un peu. L'on entra. Je secondai, m'apercevant, avec étonnement, qu'on ne me faisait presque pas mal. Enfin l'on parvint au fond sans m'avoir blessée, et l'on y déchargea. L'abondance et la douce chaleur du foutre me firent partir aussi, mais avec un plaisir, des élans, des transports incroyables! Je m'écriais:
— Cher amant! divin amant… j'expire… de bonheur… et de volupté… Je t'adore!…
Le jeune homme déconna. Il me suça les tétons, les lèvres, me fit darder la langue. Ce que je fis tendrement… Aussitôt il me re-enconna avec fureur. J'eus autant de plaisir que la première fois… Bref, il me recommençait sans cesse, et ce fut Guae qui le renvoya; car, pour moi, déjà foutue 25 fois dans la journée, je crois que j'aurais laissé aller ces deux hommes jusqu'à 50, si tous deux avaient pu me le mettre. Guae, me voyant quelque difficulté à marcher, envoya chercher un fiacre, pendant que je me lavais le con.
— Eh bien, ma charmante reine, t'ai-je bien foutue? me dit-il.
Je rougis.
— Loin d'être épuisé, je me meurs encore d'envie de t'enculer!
— Oh non, non! (m'écriai-je avec effroi).
— Eh bien, branle-moi des deux mains, comme te voilà, le cul dans l'eau.
Je branlai son vit, qu'à peine je pouvais empoigner. Quand le foutre fut prêt à venir, il hurlait de plaisir.
— Ta bouche! (me disait-il), ta bouche… ou je t'encule!
Je decalottai le gland, je le pressai de mes lèvres. Le foutre arrive, et, de peur qu'il ne tombe dans mes tétons, j'ouvre la bouche, et il m'est lancé au fond du gosier. Je l'avale comme un lait de poule. Il y en eut une chopine:
— Foutre! foutre… (s'écriait Guae) je me pâme… Ah… céleste garce… Tu vaux mieux que toute la Terre… Est-ce bon?
— Ce qui fait tant de plaisir en bas, doit faire du bien en haut.
— Ah, divine putain… je t'en nourrirai.
Le fiacre arrivait; Guae m'y porta.
On me l'avait mis 37 fois. Le frère de ma marchande se trouva seul à la maison, lors de mon retour.
— Mademoiselle Convelouté! me dit-il, que vous êtes cruelle pour moi!… On dit que vous allez vous marier? Vous devriez bien favoriser un jeune homme qui vous adore, aux dépens du futur! C'est un veuf, un laid… Vous êtes pucelle, et si jolie?… D'ailleurs, il l'a très gros (dit votre oncle), et il vous fera bien mal! Si un plus menu que le sien vous préparait? Voyez! (Il mit à l'air un vit charmant) c'est un véritable croque-pucelage, sans faire mal… Je sais m'y prendre. Le mari de ma soeur est un bandalaise, et elle se fait de temps en temps ôter par moi les araignées du bijou.
Ce langage me plut, et son vit me tentait: Je lui répondis, en riant:
— Je n'ai pas d'araignées à ôter.
Il vit, à mon air que je n'étais pas de mauvaise humeur. Il me prit les tétons.
— Finissez donc, libertin! (lui dis-je doucement et sans presque le repousser). Il me prit la motte.
— O c'est trop fort, ceci… Voulez-vous bien finir!…
Il était déculotté; il bandait roide; il me renversa sur le lit de sa soeur, me retroussa, et se mit sur moi tandis que je disais nonchalamment:
— Eh mais… c'est donc une violence!
et que je me défendais d'une manière qui me livrait. Il me dit:
— Ah! céleste innocente! je vous le mettrai!…
Il m'enfila. Je ripostais, en haussant du cul, comme pour le repousser. Il n'en dardait son vit que plus fort.
— Non! (s'écriait-il en déchargeant) il n'est rien tel que d'enconner l'innocence!…
Cependant, craignant que je ne me dérobasse, il me foutit trois coups sans déconner (ce qui fit mes 40 fois dans la journée), et ne me quitta qu'en entendant du monde… Je courus me laver.
C'était la marchande. Elle dit à son frère:
— Heureusement que c'est avec Convelouté! Toute autre aurait sauté le pas, polisson!… Mais l'as-tu attaquée?
— Oui. En ce cas, tu dois n'en pouvoir plus… Viens que je te soulage?
Il y avait encore de l'huile dans la lampe: Le jeune homme mit le verrou, nous enfermant ainsi tous trois, et il se jeta sur sa soeur, qu'il enfila d'un seul trait. Ah! quels coups de culs elle donnait!
— Lime (lui disait-elle)… je décha…arge… Sors à moitié, et… rentre… vivement… Fous-moi vingt fois… en une…
Je les voyais. Ranimée par là, mon insatiable connôt redésirait un vit, lorsqu'on frappa doucement. J'ouvris, en tirant le verrou plus doucement encore. J'espérais que ce serait le mari de ma marchande, qui depuis longtemps brûlait de me le mettre. Je me proposais de le pousser dans une autre pièce. Point du tout! C'était un beau jeune homme, qui avait beaucoup d'air de celui par qui Guae venait de me faire foutre.
— Mademoiselle (me dit-il) se nomme Agnès-Convelouté?
— Oui, Monsieur.
— Mademoiselle est la prétendue de M. Guae?
— Mais, oui, Monsieur.
— Aimez-vous, fort ce M. Guae?
— Monsieur, la raison, et non la passion, fait mon mariage.
— En ce cas, Mademoiselle, je ne vous ferai pas de peine en vous révélant un secret?
— Quel est-il, Monsieur?
— C'est que, tout à l'heure, vous avez cru être possédée par votre futur…
— Quel conte vous me faites-là, Monsieur?
— J'étais présent, mais caché, Mademoiselle; son timon de carrosse ne pouvant vous perforer, il m'a vendu votre pucelage cent louis, et c'est moi qui vous ai déflorée… Me préféreriez-vous?
— Ce que vous me dites est impossible, Monsieur!
— Cela est. Il l'a trop gros; on vient de vous le mettre, et c'est moi (Je le savais bien).
— Il n'est qu'un mot à dire, Monsieur. Pouvez-vous m'épouser?
— Mademoiselle, je suis marié à une vieille de 78 ans, qui m'a fait ma fortune, et je suis obligé d'attendre qu'elle soit morte.
— Et si je devenais grosse, Monsieur?… J'épouserais M. Guae.
— Voulez-vous être ma maîtresse?
— Cela ne conviendrait pas.
— De son consentement?
— Comme vous m'avez eue déjà, et que ce soit de son consentement, je m'y prêterais; pourvu qu'il ignorât que je le sais…
— Oh! de tout mon coeur! Ceci marque votre honnêteté…
Etes-vous seule?
— Non; la marchande est là.
— Pourrais-je vous avoir à coucher?
— Ah ciel! Je ne saurais découcher que sous le prétexte d'aller veiller mon père, en le supposant indisposé. Ainsi, cela est impossible.
— J'irai, si vous le permettez, parler tout uniment à votre père. Je suis riche; il vaudrait mieux que je vous donnasse le prix de vos faveurs, qu'à un vil malheureux, comme Guae?
— Hé bien, parlez à mon père.
— Je reviendrai vous chercher, s'il m'accorde ma demande!
— Mais ne revenez pas seul. Je veux voir quelqu'un à lui, et que je connaisse!
— Vous serez tranquillisée".
Il alla chez mon père. Il lui raconta comment Guae n'ayant pu me dépuceler, lui avait vendu mon pucelage cent louis, en quatre séances, vingt-cinq louis par chacune, dont la première était payée; qu'il m'avait enconnée, en me pommadant, et qu'il avait trouvé mon bijou si délicieux, si satiné, qu'il n'en voulait plus d'autre; qu'il m'avait demandé de coucher avec moi, et que c'était par mon conseil qu'il s'adressait à lui. Il offrit ensuite les 75 louis restants pour les trois nuits suivantes. Mon père répondit:
— Puisque Guae a voulu être cocu, qu'ainsi soit. Je consens que vous couchiez ici avec ma fille, si vous avez cueilli sa rose; ce qu'elle me dira. Allez la chercher, avec un billet, par lequel je vais la demander.
Et il écrivit. Puis il accompagna le galant jusqu'à la porte de ma marchande, que son frère foutait encore.
Cependant je m'amusais à voir conniller le frère et la soeur. J'étais en feu quand le jeune homme reparut, avec le billet de mon père; je vis, par la fenêtre, celui-ci qui nous attendait dans le carrosse de mon dépuceleur prétendu. Je partis, en avertissant que j'allais veiller mon père malade. A notre arrivée, le galant paya un beau souper, et remit vingt-cinq écus d'or à mon père. On mangea; on but; puis je fus mise au lit. Le jeune homme exigea que mon père me déshabillât, et me lavât la motte. S'étant ensuite lui-même mis nu, en un instant, il entra dans une chemise, fort large, et qu'il avait apportée, afin de me palper mieux. Il appela mon père, pour qu'il lui mît le vit dans le trou de mon con; puis il poussa… Il eut autant de peine que chez Guae (ce qui m'étonna moi-même!). Aussi dit-il:
— Elle a réellement le connin étroit. Elle se repucellerait en huit jours si on la laissait tranquille.
Il me foutit six coups; mon père, couché à côté de nous, lui mettant toujours le vit dans mon con. Il s'endormit ensuite, et moi aussi.
Le lendemain matin, il fit faire d'excellent chocolat, qui me refit. Je refusai la voiture pour retourner chez ma marchande. On ne se douterait pas pourquoi! J'avais ouï dire que le foutre, avalé chaud, était excellent pour la poitrine, fortifiait, et blanchissait le teint. Je voulais aller en avaler ma chopine en suçant le vit de Guae. J'y courus, dès que je me vis libre. Il allait sortir.
— Je viens vous donner du plaisir (lui dis-je), mais sans en prendre; vous m'avez trop fatiguée hier.
— Allons, ma toute belle, que faut-il faire? vous enculer? vous encuisser, vous endosser, vous enaisseller, vous enoreiller, vous encoller, vous entétonner, vous décharger sur le nombril, me faire serrer le vit entre vos deux mollets, faire un con de votre soulier, ou de votre jolie mule. Tout, je ferai tout, hors vous enconner; je ne le saurais, parce que nous sommes, vous trop belle, et moi trop beau!
Au lieu de répondre à ce langage, qui était de l'arabe pour moi, j'avais déboutonné sa culotte, et je le branlais d'une main, et chatouillant par instinct les couilles de l'autre. Il se récriait de plaisir:
— Déesse!… Sacrée garce!… Divine putain!… Branle!… branle!… Chatouille! chatouille les couilles!… Oh! oh! quelles délices!… Bougresse!… Gueuse!… Putain!… Divinité! le foutre… vient!…
A ce mot, j'embouchai le gros vit, le palpotant de ma langue et du palais. Ce fut alors que Guae en délire blasphéma:
— Foutu Dieu! Bougre de Dieu! Sacré con de la Vierge Marie! Con de la Madeleine connillé par Jésus! Con de Sainte Thècle, de Sainte Théodore, de Sainte Catherine, de Sainte Cécile, d'Agnès Sorel, de Marion Delorme, de Ninon, de la Daubigné, de la Vallière, de la Pompadour, de la Duté, de la Lange, de la jolie Mars, de l'adorable et provocante Mézéray, de la jeune et naïve Hopkins, de la belle Henry, vous ne valez pas… cette bouche-là… Je fou..ou..ous… Je… décha..a..arge!… Ava..ale!… gorge-toi de foutre, ma reine!
Il déboucha vivement, quoique je lui suçasse encore le vit.
— C'est trop de plaisir! (dit-il) on mourrait.
Il me fit prendre quelques cuillerées de café, pour me rincer la bouché. Puis je me remis à le branler. Il me suça les tétons, me fit lui darder ma langue, et voulut me gamahucher. Je m'y refusai, devant être foutue le soir… Il rebandait. Je secouai, je chatouillai; le foutre revint, et j'en avalai une nouvelle dose. Ce qui eut lieu trois fois de suite. Le manque de temps nous obligea seul de nous séparer.
Le soir, à 9 heures, une voiture vint me prendre, et me conduisit chez mon père. On y soupa, coucha et foutit comme la veille. Le lendemain, après le chocolat, j'allai faire mon déjeuner de foutre chez Guae. J'en pris quatre doses… De retour chez ma marchande, son mari. Sans doute instruit par le frère de sa femme, voulut me le mettre. Je m'y refusai absolument. Il s'en plaignit à sa femme, qui m'en fit des reproches. Mais, lui ayant dit que mon prétendu me l'avait mis six fois, en gardant mon père avec moi, elle fit mes excuses à son mari, en le priant d'attendre son tour.
"Le soir, on vint me prendre. Mme Viédase, ma marchande, me dit à l'oreille:
— Tâche de ne pas être foutue; afin que mon mari puisse te le mettre demain? Il s'en meurt!…
Je trouvai mon amant chez mon père. En soupant, on parla de Guae; mon amant dit qu'ayant été enconnée devant lui, je ne devais pas redouter la grossesse.
— C'est pourquoi (ajouta-t-il), j'enfourne à plein con, et décharge au fond.
— Je vous mets le vit dans le connin de ma fille avec plaisir (dit mon père); afin de mieux cocufier ce jean-foutre de Guae, qui vous a vendu son pucelage.
— C'est ce qui me met aussi en fureur érotique, quand je fous sa future (reprit mon galant). Je pense: encore une corne à ce bougre de Guae… et je me trouve intarissable… Il m'a même passé une idée par la tête. C'est de vous donner à chacun 50 louis, pour que vous foutiez ensemble tous deux; pour que le mâtin soit recocu, et surcocu!
— Top! (s'écria mon père) après votre affaire faite. Vous me mettrez le vit dans le con de ma fille…
— Non! non! (m'écriai-je).
— Vous me la tiendrez, si elle récalcitre.
— Je n'ai pas ces idées (leur dis-je). Si je remue du cul, comme je le fais, alors que mon amant me fout, c'est que je l'aime. Quant à M. Guae, je lui dois beaucoup de reconnaissance! il est ma nourrice, et c'est lui que je tète.
On ne comprit pas le sens de ce mot. On me coucha.
Au lit, mon amant me foutit six fois. A la sixième, mon fouteur dit à mon père:
— Mets-toi sur ta fille, et fous-la. Je vais t'introduire le vit.
Mon père me grimpa, le jeune homme lui mit le vit dans mon con, et il poussa. Comme j'étais amoureuse de lui plus que de tout autre homme, je remuai de la charnière, comme une princesse foutant avec un page… Le jeune homme, ranimé, entra dans un tel érotisme, en nous voyant décharger, qu'il nous fit mettre sur le côté, et il m'encula, tout enconnée que j'étais… J'allai laver, et nous dormîmes.
Le matin, au déjeuner, le jeune homme paraissait ivre de joie!
— Ah! qu'il est cocu, le bougre! (s'écriait-il.)… Bonhomme, voilà un effet de cent louis. Il faudra que tu la foutes, après le mariage, et il y aura vingt-cinq louis à chaque fois.
Il partit, et je courus chez Guae, que je commençais à aimer presque autant que mon père.
Il me reçut avec transport, me traitant de divine garce, de céleste putain… Il m'allaita de foutre six copieuses fois. Ce qui me mit dans un tel érotisme que je retournai chez mon père:
— Ton procureur? (lui dis-je essoufflée) Il doit être remis, depuis l'autre jour? Je brûle… Cours-y, si tu m'aimes.
Il y vola, en m'appelant:
— Cléopâtre! Cléopâtre!…
Il trouva le jeune procureur à la fenêtre, son vit bandant à la main.
— Je viens de voir entrer votre fille (lui dit-il), et j'allais me branler à son intention.
— Gardez-vous en bien! Apportez un petit présent, et venez le lui mettre!
— Vingt-cinq louis?
— C'est trop pour une pratique. Un louis par coup.
— Soit; mais je n'en remettrai pas. Elle gagnera peut-être la somme.
Il vint avec moi. En entrant, il jeta la bourse sur le pied du lit:
— Allons, ma fille (me dit mon père), tu es à tes pièces; autant de coups foutus, autant de louis. Mais il ne faut pas tuer un ami! Il allait se branler à ton intention, quand je suis entré.
A ce mot, je me jetai à son cou, et lui dardai ma langue, en disant:
— Cher! Cher ami!
— Ah je t'adore! (me répondit-il).
Et il me prit les tétons, le con. Je me renversai. Il se mit sur moi. Je me fourrai son vit dans le con, et, en quatre coups de cul, je le mis au fond. Il déchargea, en me sentant émettre… Il me foutit dix coups.
— J'ai quinze louis à compte (lui dit mon père, en le voyant laver et se reculotter). Vous reviendrez quand il vous plaira.
Nous en étions à l'avant-veille du mariage. Tous les matins, Guae m'avait allaitée, ou plutôt affoutrée; ce qui m'avait rendu la peau plus blanche, le teint plus brillant, le con plus satiné, et me donnait un tempérament si violent, que je n'étais à mon aise qu'un VIT au CON. Le jeune homme dit, en déjeunant:
— Guae doit être surpris de ne pas me revoir! Cela pourrait faire tort, dans son idée, au con de ma belle fouteuse. Ainsi, je veux lui acheter la première nuit de sa mariée, puisque l'impayable Agnès veut absolument l'épouser (Je le lui avais dit, en foutant).
Mon père applaudit. Mais, en me reconduisant chez Guae, que j'allais téter, ce bon père ajouta:
— Tu n'es pas une mariée ordinaire; ce qui éteindrait la soif d'une autre n'est qu'une goutte de foutre pour toi; j'ai une idée, c'est de m'arranger à te régaler, après-demain, en te le faisant mettre, jusqu'à extinction de forces, par tous ceux qui t'ont foutue; moi d'abord; ton oncle; ton procureur; le frère de ta marchande, et peut-être son mari. S'il se trouve quelques nouveaux bougres, ils t'enculeront, sous prétexte de réserver ton pucelage à ton époux; c'est un délice que d'enculer une mariée, le jour de ses noces, et ils le payeront bien. Je m'arrangerai avec Guae pour tout cela.
Nous arrivions. J'embrassai mon père transportée de reconnaissance, en le priant de tâcher de me suivre secrètement, pour me voir téter. J'entrai, puis je l'introduisis.
Guae courut à moi, en se déculottant. Il me baisa d'abord pied, jambe, cul, con et tétons: Il me fit ensuite lui darder ma langue; après quoi, il me mit son vit en main. Je le secouais vivement, lorsqu'il me dit:
— Garce, je suis raisonnable. Je ne t'enconne pas; il faut que ton père et ton oncle te foutent le jour du mariage. Je t'aurai ensuite, pour la nuit, trois vits frais, dont celui qui t'a dépucelée sera un… Ah! l'idée que ton père t'enconne va me faire te décharger une pinte de foutre, et te l'entonner dans le gosier… Allons, garce, je sens que ça vient; embouche-moi le vit… Ah-ah-ah… le bou…ougre fout… sa fille… Ton père te fout, garce! te fout, putain… Ah! je décharge, à cette divine idée!… Honh!…
Il se pâma presque… Pendant l'interruption forcée, j'allai prendre mon père à sa cachette:
— Fous-moi, lui dis-je; puisqu'il le faut pour le bonheur de mon cher prétendu!
— Ah! déesse! (s'écria Guae, en se précipitant à genoux), tu incestues pour moi! je t'adorerai toute ma vie…
Il intromit le vit paternel.
— Remue du cul! (me criait-il), saccade!
— Je dé..cha..arge (lui dis-je)… Viens, cher ami… que je te branle!
Guae blasphémait de plaisir, en sentant venir le foutre… Il m'emboucha, sans que mon père me quittât, et, en même temps, j'avalai du foutre, j'en reçus dans le con, et j'en donnai. Mon père me foutit quatre coups, et Guae m'avait embouchée quatre fois, quand on frappa. Guae courut ouvrir, tandis que je me rinçais bouche et con. C'était mon oncle.
— Vous arrivez à point (lui dit-il). On essaye ma future, et vous allez l'essayer.
Mon père expliqua la chose; Guae me renversa sur le foutoir, et mon oncle m'enconna. Il me foutit six coups, je tétai six nouvelles fois le vit de Guae; après quoi on me laissa respirer. Il fut ensuite convenu que douze fouteurs me passeraient sur le corps le jour de mon mariage, en con ou en cul, à mon choix, et que Guae, qui seul aurait la bouche, me ferait foutre la nuit, et dans l'obscurité, par trois vits nouveaux de son choix. Mon oncle émerveillé, s'écria:
— Mais elle sera putain!
— C'est ce qu'il me faut, pour que je l'adore…. Et ne vous en faites faute, ni son père, ni vous; puisque vous serez les seuls qui ne payerez pas.
En achevant ces mots, il se prosterna devant moi, en me traitant de déesse.
Je retournai chez ma marchande. Son mari et elle-même me tourmentaient pour que le premier m'eût une seule fois avant mariage. Ils me pressèrent plus fort que jamais; et je cédai. La femme me mit dans le con le vit de son mari. Je ne fus foutue qu'une fois, cet homme étant faible, et sa femme le voulant être après moi. Ce fut de ma main qu'elle reçut dans son con brûlant le vit marital… Cette opération faite, et répétée, je les quittais, en leur disant adieu. Ils pleuraient:
— Ce qui me console de ta perte (me disait ma marchande), c'est que mon cher mari t'a foutue… Ta voluptueuse idée me le fera mettre plus souvent.
Je partais, quand le frère entra. Sa soeur lui dit ce qui venait de se passer. Il ne répondit rien. Mais il me ramena du côté du lit, m'y renversa, et me foutit devant eux, sans prononcer une parole. Il voulait me recommencer. Je m'y refusai, en l'invitant, ainsi que son beau-frère, à venir me le mettre le surlendemain, jour de mon mariage. On me remercia.
Chapitre XXXVI De l'homme-poilu, la Convelouté, Linars etc.
A mon arrivée chez mon père, je lui con-racontai tout ce que je venais de faire.
— Il ne faut pas (me dit-il), quand on a tant d'ouvrage payé, en faire qui ne rapporte rien. Il vient de m'arriver un homme d'assez agréable figure, très vigoureux, car il est brun et tout poilu, qui offre une forte somme, pour t'avoir cette nuit!
— Que rien ne vous empêche de le prendre! (répondis-je en souriant) Je ne suis pas fatiguée par si peu de chose.
Mon père, rassuré, me fit déshabiller nue, prendre un bain tiède, puis un froid, mettre au lit, avec une chemise large; me fit avaler un excellent consommé; ensuite il me laissa dormir. Il était alors 5 heures du soir. A minuit, je m'éveillai, en me sentant lécher le con. Je priai l'homme de se montrer! Il leva la tète, et je vis un basané d'une fort belle figure. Je souris. Il me suça les tétons, en me disant des choses agréables:
— Vous avez un beau con… une superbe motte… un ventre de pucelle… un cul d'albâtre… des tétons blancs comme neige…. un col dégagé… des lèvres voluptueuses… de belles dents… les plus beaux yeux… les cils, les sourcils et les cheveux comme la déesse de la Beauté… la jambe parfaite… le pied le mieux fait… Quand je vous aurai foutue, je vous dirai le reste.
Mon père me dit de me lever pour souper. Le basané me porta toute nue dans ses bras auprès du feu. Là, je vis Guae avec grande surprise! Je mis mon corset souple; Fysitère (le basané) me laça, me priant de bien faire refluer mes tétons. Mon père me chaussa une jambe et un pied, Guae l'autre jambe et l'autre pied, en bas et en souliers de soie d'une éblouissante blancheur. On se mit à table. Mon fouteur voulut que je restasse les tétons découverts. Nous soupâmes. J'avais appétit, Le basané but et mangea comme un hercule. En sortant de table, il dit à mon père et à mon futur:
— Vous ne m'avez pas trompé; elle est au-dessus de vos éloges. Si l'intérieur du con ressemble à l'extérieur, elle est à moi, coûte qui coûte.
— Voyons votre vit (répondit Guae)… Elle ne sera que trop parfaite!… Voici le mien; et vous savez que je n'ai pu l'enconner, puisque c'est ce qui vous a fait parler à M. Convelouté mon beau-père.
— Je verrai si elle a le mérite de ce beau nom… Mais vous avez un vit épouvantable, M. Guae!… Empoignez-le, la belle, que je voie comme il est bien bandant!
Je saisis le vit de Guae, qui se récria de plaisir…
— Je bande (reprit Fysitère). Mais faites bander votre père, et comparons.
Je lui pris cependant le membre, qui grossit en le serrant dans ma main. On compara ensuite. Guae l'avait le triple de l'homme velu, qui lui-même était le double de mon père.
— Je voudrais lui dire un mot (demanda Guae furieux de luxure).
Il me poussa vers une fenêtre, me cacha derrière le rideau, et me déchargea dans la bouche. Mon père seul devina ce que Guae venait de me faire. Pour moi, je fus singulièrement fortifiée par cette bavaroise! Je brûlais… Aussi, je fus ravie, lorsque Fysitère dit: "
— Il faut d'abord que je la foute habillée.
Il me porta sur le pied du lit, ôta ses culottes, et nous laissa voir un corps velu, comme celui d'un singe. Il me fit lui prendre son braquemart, et me dit:
— Introduis-moi cela dans le trou de ton con, et lève du cul comme il faut, à chaque fois que je pousserai.
Je m'enconnai. Aussitôt il poussa. Je fis un cri; car il me déchirait, étant plus gros que mon oncle, et que tous les vits qui m'avaient foutue.
— Ce n'est rien (me disait-il); je te déflore… je te dépucelle. Remue du cul.
Je remuais de mon mieux, tout en soupirant, et lui rendant en coups de cul, tous ses coups de vits. Il parvint au fond. Mes trompes lui pincèrent la tête du gland. Il hurla de volupté.
— Garce adorable! (s'écriait-il) ton con satiné pince le vit! Ta fortune est faite, ainsi que celle de ton père et du futur, qui t'ont vendue à moi!… Allons, fous bien!…
Je remuai, je tortillai du cul, je soubresautai, de la manière dont me le disaient mon père, et Guae lui-même.
— Je suis ravi! (s'écriait le basané) Elle décharge!… Ah!
Elle me fera un petit bougre-à-queue!…
Il dit à mon futur:
— Viens-ça, jean-foutre. Passe-moi la main sous le croupion, et chatouille-moi d'une main ce que tu y trouveras, et les couilles de l'autre!
Guae obéit (J'ai su depuis qu'au croupion, le basané avait une queue, de la même forme qu'un vit, mais velue comme son corps, et que ce fut cette queue que mon futur chatouilla)….
— Je ne quitte pas d'une heure ce con céleste! (disait l'homme-à-queue, en me saccadant) chatouille, chatouille, bougre! les couilles et ma queue!
Il déchargea six fois, sans déconner… Je demandai alors à laver. Mon futur m'épongea le con, et me le baisa, en l'appelant Con d'Or. Mon père me suça les tétons. Guae dit au basané:
— Elle est à vous. Mais je bande comme un carme; permettez que je l'encule?…
— L'enculer, non; c'est du foutre perdu. Encore moins l'enconner; je veux qu'elle me fasse un petit-à-queue. Mais si elle avalait le foutre, comme j'ai vu certaines femmes tempéramenteuses, je consentirais que tu l'embouchasses.
A ce mot, je saisis le vit de mon futur, et je l'aurais avalé, s'il n'avait pas été si gros. Il me déchargea au fond du gosier, en rugissant, et le foutre me descendit bouillonnant dans l'estomac.
Ah! Elle aime le foutre! (s'écria le basané) Elle a toutes les perfections!… Et elle sera aussi longtemps belle, que féconde!….. Allons, papa, embouche-la aussi. De tous les foutres, le paternel est le meilleur.
Je me jetai sur mon père, le renversai sur le lit, saisit son vit bandant, que je fis aller et venir dans ma bouche, jusqu'à ce qu'il déchargeât. Je suçai son foutre avec délices…
— Bon! (s'écria le poilu) Elle est dans les bons principes; elle est impayable!
Le basané me déshabillait, me déchaussait: Mon Père et Guae lui aidaient. Je fus mise nue, patinée, baisée du haut en bas, tandis que je me rinçais la bouche. On me passa la grande chemise; l'homme-à-queue velu et tout nu y entra, me suça les tétons, me fit lui darder la langue, puis dit à mon futur de lui intromettre le vit dans mon con.
Le basané me foutit six nouveaux coups, sans déconner. Je me sentis fatiguée. Je voulus laver. Je restai une heure sur le bidet le con dans l'eau. Le basané, qui, pendant tout ce temps-là, s'était amusé à faire bander Guae, et à lui faire me décharger trois fois dans la bouche, m'appela, en me disant:
— Tu es assez rafraîchie; reviens sur le foutoir, que je te donne le bouquet!
Il se le fit introduire par mon père; qui me dit:
— Courage, mon enfant! Voici un fouteur qui en vaut dix. Mais je tâcherai de te faire soulager, si cela continue.
Je fus encore foutue six fois; mais avec tant de véhémence que je n'en pouvais plus. Sur ma plainte, le basané dit, que le bouquet était le double des autres assauts.
— Eh! combien donc l'allez-vous foutre de coups? (lui demanda mon père).
— Vingt-quatre est ma dose.
— C'est trop, et elle ne ferait pas d'enfants. Elle a une cadette, aussi jolie que l'aînée est belle; je vous la donnerai, pour soulager sa soeur!
— Je l'accepte! (s'écria Fysitère) Et il m'en faudra bien d'autres! car je ne les fous plus dès qu'elles sont pleines, ni pendant qu'elles allaitent leurs petits. La jeune garce est-elle là? (Or il me foutait toujours)…
— Non: Vous ne pouvez l'avoir que demain soir.
— En ce cas, j'achève de foutre celle-ci mes 24 coups. Je déconne; qu'elle lave. Elle n'en a plus que cinq. Si son futur se trouve en état, qu'il lui donne à téter du foutre, cela la fortifiera!
Aussitôt Guae m'apporta ses couilles à chatouiller, et son vit à branler. Je m'en acquittai si bien qu'il hennit au bout de quelques minutes, et qu'à peine eus-je embouché son vit qu'il déchargea, en sacrant:
— Elle a toutes les qualités… Elle est parfaite! (s'écriait le poilu, en me re-enconnant) Si sa petite soeur la vaut, ce sont deux connins impayables!
Il acheva de me foutre cinq fois, sans déconner. Je puis me rendre le témoignage que je déchargeai, à chaque assaut, plutôt deux et trois fois qu'une. Aussi Fysitère en était-il émerveillé! et me nommait-il la seule fouteuse digne de lui. Mon père lui dit alors:
— Ce ne sera pas encore assez de ma cadette. Mais j'ai votre affaire. Il me reste une nièce religieuse qui a des vapeurs hystériques; je vous la donnerai, pour reposer mes filles!
— Je leur ferai à toutes trois 12 mille francs de rentes (répondit le basané). Amenez-les-moi chaque soir, demain excepté, que j'ai à fourgonner une grande blonde qui a ouï parler de moi et qui veut en tâter. Il s'en alla.
Cette scène changea tous nos projets. Je dormis jusqu'à midi, qu'on m'habilla. Je fus mariée à une heure. La noce fut gaie. Ma soeur y était, ainsi que ma cousine la carmélite hystérique, mon père ayant trouvé le secret de l'avoir, au moyen d'une permission de prendre les eaux qu'il sollicitait depuis longtemps. J'eus réellement pitié du connichon de ma soeur Doucète, et je résolus de le voir dans la journée. Mon père me le montra, et le gamahucha devant moi, en alléguant le motif de prévenir une maladie. Ah! qu'il était mignon!… Je l'aurais gamahuché, à mon tour, sans ma coiffure d'épousée, car son joli petit foutre virginal me tentait… Notre père la prévint qu'il fallait qu'elle me soulageât la nuit de mes noces, et l'aimable enfant y consentit avec naïveté. Je vis aussi le con de ma cousine la carmélite, ou la belle Victoire-Londo. Il n'était pas si mignon, mais il avait une superbe perruque noire. Elle entra en fureur érotique dès qu'on le lui eut touché du bout du doigt, et mon pauvre père fut obligé de le lui mettre devant ma soeur, et devant moi. Ce qui ne la calma que pour un instant. Nous appelâmes mon oncle, qui la foutit trois fois. Puis le jeune homme fut introduit. Ensuite le procureur. Tous ceux qui devaient me le mettre ce jour-là. Les enculeurs vinrent après. Elle fut foutue, refoutue, enculée, re-enculée, et calmée. Mais on n'appela pas M. Guae; j'en étais jalouse… Pendant ce temps-là, mon père branlait ma soeur; l'enculage de la religieuse le fit entrer dans une telle érection qu'il la poussa dans un cabinet, où je les suivis, la renversa, et la dépucela. J'insérai le vit paternel dans le joli connin, en disant à Doucète que c'était une ponction nécessaire.
On lavait la religieuse. M'étant aperçue que Guae la convoitait, je lui témoignai une jalousie qui le flatta. Il me promit de réserver son foutre azuré et son gros vit pour ma bouche, en attendant que les enfants m'eussent élargi le con.
— Mais vous m'aviez vendue (lui dis-je), avant de m'avoir livrée à l'homme velu, pour être foutue et enculée ma nuit des noces. Combien de fouteurs et d'enculeurs devais-je avoir?
— Six, à 2 mille écus chacun.
— Vous voyez que je n'ai besoin que de repos. Mais il ne faut pas manquer une aussi jolie somme: Vous avez demandé le silence et l'obscurité?
— Oui, ma reine adorée. Je ne me suis engagé qu'à te faire voir toute nue sans chemise, comme en jouant avec toi, nu aussi, dans la chambre. Au reste, le silence et l'obscurité sont essentiels, puisqu'ils eussent passé pour moi. Les six bougres, placés chacun dans une chambre séparée, devaient repaître leurs regards de tes charmes, et t'espérer chacun comme possesseur unique, à un signal donné.
— Tout cela se fera. Je serai remplacée par 3 personnes. Nous donnerons le plus délicat et le plus petit vit à ma soeur. Le plus vigoureux et le plus brutal à la carmélite: Je vais vous avoir ma marchande, qui ne demandera pas mieux que d'être foutue, sans être compromise. Vous arrangerez tout pour qu'elles reçoivent chacune deux hommes; ce qui sera d'autant plus facile que vous n'aurez que les hommes à tromper; ce qui sera facile.
Guae admira mon entente et mon économie! Il me promit une soumission entière à mes ordres, et me demanda la permission d'appeler ma soeur, ou la religieuse, pour le branler. Je les appelai toutes deux. Je dis à la carmélite, en lui découvrant les tétons, de prendre le vit et les couilles de mon mari. Je mis ensuite ma soeur en position, troussée jusqu'au-dessus des reins, et, comme elle avait le plus joli cul du monde, elle montra le derrière. Je me mis à côté d'elle, troussée de même, je montrai le devant. Guae, chatouillé par une main douce, et jouissant d'une triple perspective aussi belle, en y comprenant la superbe gorge de la religieuse, ne tarda pas à hennir de plaisir. Bientôt il entra en fureur, et il allait enconner la religieuse si je ne lui avais sauté sur le vit, que j'embouchai. Il me déchargea dans le gosier, en rugissant. Nous sortîmes tous quatre, pour aller danser, et ma soeur, ma cousine et moi nous fumes reçues avec transport.
Mes 6 fouteurs pour la nuit suivante étaient de la noce. Guae, qui se fût bien gardé de me les montrer, si j'avais dû les avoir, s'en fit une fête quand ce furent d'autres qu'on leur allait livrer. Il me les désigna. C'étaient 6 monstres de laideur. Guae trouva le moyen de les faire mettre nus successivement dans une pièce isolée, sous le prétexte de les frotter d'un baume fortifiant. Le premier était un squelette décharné, ayant le vit comme mon père. Il avait un long nez qui touchait à son menton, les joues creuses, l'oeil vif, des verrues noires sur le corps. Je le réservai pour ma soeur, à cause de son vit, n'espérant pas mieux. Il se nommait Widevit.
Le second était un gros petit homme, très ventru, ayant le vit de mon oncle, la peau comme une écrevisse cuite, pour nez une grosse betterave, de gros sourcils gris, une bouche évasée, et les lèvres hâlées, gercées des gros mangeurs. Ce fut le second de Doucète, si je ne trouvais pas mieux. On l'appelait en russe Wivitencoff de la Cowilardière.
Le troisième était fait comme un héron et un dromadaire: Il était juché sur de longues jambes sans mollets; il portait sur ses épaules une colline en cône aigu; son visage était noir et sec; ses cuisses grêles n'étaient distinguées de ses jambes que par d'énormes genoux. Tout ce qui manquait à ces parties se retrouvait dans son vit, plus gros que celui de notre homme-à-queue, et moins que le double vit de Guae. Je destinai Towtenvit à ma marchande, qui était chaude, large et stérile.
Le quatrième était un gros marchand de blé, aussi large que haut, tout noir, tout bourgeonné, ayant quelques livres de couilles, et un vit très long, gros comme celui de mon oncle. Je destinai Vitplongeardow à ma cousine, à cause de ses couilles.
Le cinquième avait le visage de la teinte d'un ventre de crapaud, la tête monstrueuse, le ventre de Desessarts, le vit comme Guae (il devait m'enculer, de convention faite). Son regard était affreux, sa bouche dégoûtante, et son nez encore plus. Vitcrwel fut voué au large con de ma marchande.
Le sixième et dernier était grand, voûté, noir, bancroche, roux, chassieux; il avait un vit à bourrelet, tant il était long; aussi en avait-il apporté un, qu'il devait écarter, pour m'enculer. Perceawant fut le second de mon ardente cousine.
Le soir arrivé, l'on me mit au lit, et chacun des six monstres crut qu'il allait avoir le plaisir d'être mon bourreau. Guae me conduisit dans la chambre nuptiale, et parut me mettre au lit. Mais il nous distribua dans quatre pièces, et les lumières furent exactement retirées. Quant à moi, j'étais restée debout, faisant, à chacune des lieutenantes de mon con, le portrait et l'éloge du beau jeune homme qu'elles allaient presser dans leurs bras. Je me croyais obligée en conscience de leur donner des plaisirs imaginaires, à défaut de la réalité.
— Ma toute belle! (dis-je à ma soeur) avec quel plaisir tu me sacrifierais ton repos, si tu voyais le jeune homme charmant qui doit froisser tes appas! C'est un sylphe; c'est un amour…
J'allai ensuite à la religieuse:
— Tu vas sentir la différence de la couchette de ta cellule au lit d'un nouvelle mariée, ma chaude cousine. Un bel homme, un gros vit… Crie, mais ne parle pas, puisque tu vas passer pour moi…
Je me rendis ensuite auprès de ma marchande:
— Vous allez être rassasiée de ce que vous aimez tant, mon aimable maîtresse. Un jeune homme superbe, et… peut-être deux, qui me désirent avec emportement, vont me le mettre dans votre con brûlant, jusqu'à extinction de forces. Les vits sont gros! ainsi faites-vous pommader comme une pucelle, et remuez du cul, pour avaler plus vite ces énormes morceaux…
Ma marchande me remercia, en me priant de la mettre promptement aux prises. Je courus lui chercher Toutenvit, le troisième… Mais je vais mettre de l'ordre dans mes récits.
Guae m'attendait. Dès que je parus, il me fit parler, et conduisit par la main Wìdevit, le premier monstre, auprès de ma soeur.
— Mon cher mari (dis-je doucement, la tête appuyée sur l'oreiller de celle-ci), ménagez-moi!
— Oui, oui; mais ne parle pas; j'ai découvert que toute la noce nous écoutait, à cause de mon gros vit…
Durant ce court dialogue, Vitdevit, déshabillé d'avance, fourrageait déjà ma soeur. Guae, par mes ordres, prit ensuite Vitplongeardow, le quatrième, et le conduisit, avec les mêmes précautions, auprès de la religieuse. Je parlai sur son oreiller… Towtenvit, le troisième, fut le lot de ma marchande. Les 3 autres avaient rendez-vous quelques heures plus tard.. Il faut à présent donner chaque scène particulière, en 6 tableaux de la NUIT DE LA MARIEE.
Chapitre XXXVII Des six fouteurs pour trois foutues.
"Happée par le monstre, qu'elle croyait un ange, ma timide soeur soupirait. J'entendais qu'on la gamahuchait, qu'elle déchargeait.
— Je me meurs! (murmura-t-elle).
— Comme tu as la voix douce, belle mariée! (lui dit Widevit bien bas).
Et aussitôt il grimpa sur elle, et l'enconna. La pauvre petite, quoique dépucelée, fit un cri! Je parlai pour la déguiser. Le vieux monstre la ménageait et la caressait. Elle le secondait de tout son pouvoir, et redéchargea. Grâce à moi, elle avait le même plaisir que si elle eût foutu avec un beau garçon… La voyant bien enfilée, j'allai à la religieuse.
Vitplongeardow s'était avisé de ne pas mettre son bourrelet; je m'en doutai aux gémissements de la pauvre martyre. Je le dis à Guae, qui le désarçonna, et lui donna quelques soufflets. J'entendis qu'il lui disait bien bas:
— Bougre! vas-tu m'estropier ma femme? Ton bourrelet!
Le fouteur le prit, et la foutue n'eut plus que du plaisir.
Je courus à ma marchande, que Toutenvit ne pouvait enconner, par maladresse. Je mis la tête sur l'oreiller, et je dis en soupirant:
— Priez donc mon père de vous l'introduire!…
Guae, qui me suivait doucement, vint faire l'intromission, et tout alla bien.
Chacune des 3 belles fut foutue deux fois en con. Ensuite, comme de concert, les 3 bougres retournèrent la médaille. Toutes trois avaient leur pucelage de cul. Ma marchande crut qu'on allait le lui mettre en levrette; mais les deux autres ne s'attendaient à rien. On leur perça le cul à toutes trois au même instant, et elles s'écrièrent, malgré la défense, toutes à la fois:
— Doucète: Oh le fondement!
— La religieuse: Oh l'anus!
— La marchande: Oh le trou du cul!…
On n'y fit pas attention. Heureusement ma soeur avait le cul large; elle souffrit moins. Quant à la religieuse, que Vitplongeardow enculait sans bourrelet, elle avait une aune de vit dans ses entrailles, et elle sentait celui de son enculeur lui chatouiller le nombril. Elle souffrait beaucoup de son farfouillage; car il retirait et re-enfonçait brutalement. Elle n'eut de plaisir qu'à la décharge, par la douce chaleur du foutre, qui lui onctua le gros boyau. Ma marchande était la plus maltraitée, par Towtenvit. Elle avait le trou du cul aussi étroit qu'elle avait le con large; le vit énorme la pourfendait. Elle jurait entre ses dents. Enfin la décharge l'abreuva, et elle fut soulagée.
Les 3 vieillards en avaient autant qu'il leur en fallait. Guae vint les faire retirer, de sorte qu'ils ne se rencontrassent pas… On étuva les 3 cons et les 3 culs. On fit les lits, on changea les draps, recoucha la triple mariée, et Guae introduisit les trois nouveaux acteurs.
Il alla chercher Wivitencoff, que je mis dans les bras et sur le ventre de ma soeur. Un peu aguerrie, elle caressa tendrement le monstre, qui l'enconna, le vit introduit par Guae, qui profita de l'occasion pour patiner ma soeur, et la chatouiller. Ce qui fit tellement tressaillir la pauvre petite que son fouteur s'écria, croyant parler à moi:
— Ah! que tu es putain!…
Voyant Guae acharné sur ma soeur, j'introduisais les deux autres. Je donnais Perceawant à la religieuse, et j'eus soin qu'il eût son bourrelet.
— Voilà une main bien douce qui me touche
dit-il en voulant saisir la mienne; mais j'échappai.
— Remue du cul, bougresse, (disait-il à sa monture); je te tiens, je suis dans ton con; ainsi tu ne saurais m'échapper. Je ne suis pas ton mari; j'ai payé pour coucher avec toi, et te dépuceler; ainsi tu es ma putain. Fous, garce, et remue du cul; j'ai payé pour ça…
Guae l'entendit. Il vint à lui, le saisit à l'étouffer.
— Tu manques à nos conventions! (lui dit-il) je ne les tiendrai pas non plus; fous-moi le camp, malhonnête homme!
— Oui; mais quand je l'aurai enculée.
Et il encula la carmélite, malgré les coups de poing dont Guae le gourmait. La religieuse poussait des cris horribles… J'étais auprès de ma marchande, que j'accouplais avec le gros Vitcrwel. Il ne devait qu'enculer; mais la chaude coquine se dirigea elle-même le vit dans le con.
— Tu n'es donc pas pucelle, garce (crut-il me dire), que tu connais si bien la route des vits?… Allons, fous, putain, et comme il faut! j'ai payé ton maquereau de mari!
Comme elle ripostait bien, il allait disant:
— Oh! elle est putain! elle est putain! j'ai le reste des autres!
Et, tout en déchargeant, il la pinça, la souffleta. Elle se récria!
— En bouche, sacrée putain? (dit-il en déconnant) et tu avaleras mon foutre; sans quoi je t'assomme!
Guae, qui venait de laisser enculer la carmélite, et de chasser son brutal fouteur, entendit le grabuge; il accourut, apostropha le sale bougre d'un violent coup de poing, en lui disant:
— Lave-toi donc au moins, sacré mâtin, avant de l'emboucher! Je ne l'embouche jamais que je ne me sois lavé le vit à l'eau-rose, et que je ne l'aie ensuite trempé dans du lait. Exécrable bougre! vrai de Sade, tu veux lui faire soulever le coeur?… Mais tu as manqué aux conditions; tu ne mérites plus de l'avoir.
— Voilà cent louis…
— Ils seront pour elle. Lave-toi… Voilà de l'eau-rose… Voici du lait… Allons, souffre, m'amie. Voilà tes cent louis.
Le vieux reître, cru un beau jeune homme, emboucha, encula, entétonna tant qu'il voulut.
— Ah que tu es putain, sacrée chienne! (répétait-il)…
Guae se mourait d'envie de lui montrer qu'il ne m'avait pas eue. En le mettant à ta porte, il me fit trouver sur son passage toute habillée. Ce fut comme une vision; car je m'enfuis.
Ah je suis fait! (s'écria le monstre) le scélérat m'a donné une putain au lieu de sa femme!…
Et il jura, sacra… Quant à moi, pendant ces scènes, j'assistais à la fouterie de ma jeune soeur. La pauvre petite fut enconnée, embouchée, enculée comme les autres, par son adoré Vitvitencoff de la Cowillardière, qui alla jusqu'à extinction de forces. Il m'adorait. Ce qui le tua, c'est que, lorsqu'il se sentait épuisé, il se faisait sucer le vit bien approprié à l'eau chaude, et baiser les couilles par sa jolie monture. Il lui mettait encore couilles et vit sur le cul ou les tétons. Puis il se faisait donner au gland un suçon. Il bandait alors, et enculait. Au dernier culetage, il eut un priapisme, et crut ne faire que bander. Il fourgonna dans le cul de ma soeur jusqu'à ce qu'il s'évanouît. J'appelai Guae, qui la décula, en enlevant son enculeur. On le porta évanoui dans sa voiture. Arrivé chez lui, des cordiaux, que demanda Guae, ranimèrent le vieux libertin:
— Ah! (s'écria-t-il) je vis encore! je voulais mourir dans son cul!… je bande encore… Qu'on me la rende… que je l'enfile… et… que… j'expire… Et il expira…"
[Ah! la belle mort! s'écria Traitdamour, et toute la compagnie en dit autant…]
Mme Guae acheva.
"Voilà comme s'est passée la nuit de mon mariage. Guae, à son retour, était furieux de luxure: Il voulait toutes nous enculer, puis nous emboucher. On s'arrangea. Il m'emboucha; encula ma soeur et ma cousine, enconna ma marchande, qui en fut estropiée pour un mois, et l'engrossa, deux choses qui l'empêchèrent d'être achetée par Fysitère. Pour Guae, je suis sa maîtresse, et son gros vit me fortifie par son foutre qui me nourrit. Je serai enconnée par lui, de convention faite avec Fysitère, après mon douzième enfant."
Chap. XXXVIII De la conclusion de l'histoire des 3 garces.
"Personne ne sait comment l'homme-caud découvrit que Guae avait vendu la première nuit de ses noces. Il arriva furieux. Il me demanda. J'étais au lit. Ce fut la réponse de Guae.
— Je le crois! (répondit Fysitère), et un homme est mort d'épuisement dans ses bras.
— Elle a vaqué toute la nuit; mais c'est pour autre chose. Sa cousine la religieuse ayant été un peu courtisée dans le jour, ses vapeurs hystériques l'ont reprise la nuit, par un rêve, où elle croyait être foutue. J'ai été appelé. N'ayant pu l'enconner, je l'ai enculée.
— Je me fous de son cul. Mais si tu l'avais enconnée.
— Quant à ma femme, elle dort; et vous pouvez voir à la fraîcheur de son con et de son cul que je ne lui ai pas touché.
— Voyons d'abord la carmélite!
— Elle dort aussi.
Ils y allèrent. Guae la découvrit, sans l'éveiller. Elle était couchée sur le côté, ne pouvant se tenir sur le dos, à cause de son cul qui lui faisait mal. Elle l'avait en marmelade.
— Comme tu les accommodes!… Et le con?… Il n'est pas si maltraité…
— Je l'ai un peu fatiguée par mes inutiles efforts; et puis elle s'est branlée.
— Voyons la mariée!…
Ils vinrent à moi. On sait que je me repucelais par le bain et un peu de repos. Mon con et mon cul furent trouvés si appétissants, si jolis, que Fysitère les baisa tous deux. Puis il signifia au cupide Guae qu'il avait un logement cloîtré pour nous séquestrer pendant tout le temps que nous lui ferions des enfants, moi, ma soeur, et ma cousine. Il ne vit Doucète qu'habillée! et elle l'enchanta. Il nous emmena toutes trois, en disant que jusqu'à notre grossesse bien déclarée, on ne nous verrait qu'à un parloir.
Fysitère est extrêmement riche. Il donne 20 mille francs par an à Guae pour moi, 40 mille à mon père pour ma soeur et ma cousine. Le soir, après un excellent souper, il nous fit coucher toutes trois ensemble dans un large lit, où il se mit avec nous. Il me foutit d'abord. Puis ma soeur. Ensuite la carmélite, qui le fut deux fois sans déconner. Il me reprit. Puis ma soeur. Bref, nous fumes ainsi foutues 8 fois chacune dans la nuit. Ce qui faisait les 24 de Fysitère. Quand il en foutait une, les deux autres lui chatouillaient, une la queue du cul, la seconde les couilles.
Nous devînmes grosses toutes trois à la fois. Alors il nous déclara qu'il ne nous le mettrait plus qu'après nos couches et l'allaitement. Il vint ici. Il vous vit, Madame; il vous foutit. Il épousa votre fille aînée, enconna les 5 autres, fourbit vos deux nièces, ramona la bâtarde de votre mari, viola vos 2 chambrières, et vous engrossa toutes. Durant ce temps-là, nous accouchâmes, nous allaitâmes, nous nous trouvâmes libres, et il nous refout. Tâchez d'être libres aussi, quand nous serons prises, afin qu'il nous refoute alternativement.
Telle est notre histoire; voilà ce que nous savons sur l'homme à queue. J'ajouterai seulement que, dans le temps où M. Fysitère ne nous l'a plus mis, nous ayant des désirs, nous avons eu recours à mon père, à mon oncle, à Guae, au procureur, et à mon premier galant, qui nous ont fourbies, Guae en bouche, les autres en con. Cependant nous avons toutes voulu avoir Guae, à la première douleur pour l'accouchement; son vit, gros comme l'enfant, frayait le passage, et son foutre l'onctuait.
Après nos couches, nous avons prié mon père de nous choisir de jolis petits garçons non pubères, mais bandant roide, pour nous ramoner le con: ces enfants, dont les petits vits huilés entraient calottés, ne déchargeaient pas, et cependant farfouillaient agréablement dans le connôt".
Les 12 belles furent très excitées par ce récit, et quelques-unes allèrent sur-le-champ et successivement se faire ramoner par Fysitère, qui fut très étonné de cette boutade! Il se servit de ses 2 queues, en expédiant ainsi 2 à la fois, une dessous, une dessus.
Cette bourrasque apaisée, Fysitère revint à ses us et coutumes. Mais bientôt ses 3 coucheuses parurent enceintes. Il les pria, ainsi que Mme Linars, de lui en procurer 3 ou 4 autres, pour lui faire des enfants, en attendant leur liberté! Mme Guae seule en procura 3, une Tétonnette, son amie d'étant fille, et deux soeurs, Bienouverte, grande blonde, avec Dardenbouche, aimable et vive brunette, très caressante, déchargeant comme quatre. Tétonnette était une de ces brunes à peau blanche qui ont toujours une si belle gorge. Fysitère assura les 12 cents fr. de rentes à ces 3 filles, se chargea de leur ample entretien durant tout le temps de leur fécondité, les fit coucher au grand lit, et les dépucela 8 fois chacune la première nuit. Il commença par Dardenbouche, là plus jeune. Elle était si amoureuse, bien que pucelle, qu'elle riposta, dès le premier coup de vit. Elle soutint les 8 assauts de suite avec un courage héroïque… Fysitère prit ensuite Bienouverte. Elle fut plus modérée. Elle cria, quoique peu étroite; parce que, ne déchargeant pas d'abord, elle ne s'humectait que faiblement le connin. Elle était pucelle néanmoins. Malgré sa langueur, elle fut foutue 8 fois, comme Dardenbouche; Fysitère aurait eu peur d'en mortifier une… Il prit ensuite la belle Tétonnette. Il l'enfila plus difficilement que Bienouverte; mais elle remua si délicieusement du cul, ses tétons étaient si appétissants, elle avait le connin si étroit, qu'elle donna autant de plaisir que Dardenbouche…
Après les 24 assauts, Fysitère laissa dormir. Le lendemain matin, 3 valets de chambre entrèrent, pour lui demander ses ordres? Il s'éveilla; mais il feignit de dormir, là bouche sur là gorge de Tétonnette, et une main sur les tétons de chacune des 2 autres.
— Voilà un bougre bienheureux! (dit un des valets)
— Oui! (répondit un autre).
Et ils se mirent tous trois à se branler. Alors Fysitère, feignant de s'éveiller, leur dit:
— Je vous ai entendus, jean-foutres. Vous ne les enconnerez pas; je veux qu'elles ne soient grosses que de moi; mais tournez-les sur le ventre, et m'en enculez une chacun.
Il n'avait pas achevé que les 3 belles poussèrent un cri simultané, causé par les 3 vits qui leur entraient dans le cul. Fysitère les exhorta à là patience, par l'idée d'une bonne oeuvre; il les assura que ces 2 hommes allaient décharger par terre. Elles se rendirent à cette raison, et culetèrent à qui mieux mieux."
Explicit L'HOMME-A-QUEUE.
A cette longue histoire, tous et toutes se récrièrent:
— Nous ne sommes que de la Saint-Jean, auprès de ces fouteurs et de ces fouteuses-là! Que ne sommes-nous à demain!
— N'allez pas vous branler, bougres! (leur dis-je)
— Nous nous en garderons bien! notre foutre n'est pas à nous; il est à nos belles. Qui était étonné de nous entendre parler ainsi devant ma fille, c'étaient Brideconnin et sa femme… Mais ils en verront bien d'autres.