L'Anti-Justine; ou, Les Delices de l'amour
"Le soir, à 9 heures, une voiture vint me prendre, ét me conduisit chéz mon Père. On y soupa, coucha ét foutit comme la veille. Le lendemain, après le chocolat, j'alai faire mon déjeûner de foutre chéz Guae. J'en pris quatre doses… De-retour chéz ma Marchande, son Mary. sans-doute instruit par le Frère de sa Femme, voulut me le mettre. Je m'y refusae absolument. Il s'en plaignit à sa Femme, qui m'en fit des reproches. Mais Luy ayant dit que mon Prétendu me l'avait mis six fois, en gardant mon Père avec Moi, elle fit mes excuses à son Mary, en Le priant d'attendre son tour.
"Le soir, On vint me prendre. Mad. Viédase ma Marchande, Me dit à l'oreille: "Tâche de ne pas être foutue; afin que mon Mary puisse Te le mettre demain? il s'en meurt"?… Je trouvae mon Amant chéz mon Père. En soupant, On parla de Guae, Mon Amanr dit, qu'ayant été enconnée devant Luy, je ne devais pas redouter la grossesse. "C'êst pourquoi (ajouta-t-il, j'enfourne à plein Con, ét decharge au fond. "Je vous mets le vit dans le Connin de ma Fille avec plaisir (dit mon Père); afin de mieux cocufier ce Jean-foutre de Guae, qui vous a vendu son Pucelage. "C'êst ce qui me met aussi en fureur érotique, quand jé fous sa Future (reprìt mon Galant): Je pense: Encore une corne à ce bougre de Guae… ét je me trouve intarissable… Il m'a même passé une idée par la tête: C'êIt de vous donner à chaqu'un 50 Louys, pour que vous foutiéz ensemble tous-deux; pour que le Mâtin soit recocu, ét surcocu? "Top! (s'écria mon Père); àprès votre affaire faite. Vous me mettréz le vit dans le Con de ma Fille… "Non! non! (m'êcriai-je). "Vous me La tiéndréz, si elle recalcitre. "Je n'ai pas ces idées (Leur dis-je): Si je remue du cùl, comme je le fais, àlors que mon Amant Me fout, c'êst que je l'aime: Qüant à M. Guae, je Luy dois beaucoup de reconnaissance! il êst ma Nourrice, ét c'êst Luy que je téte". On ne comprit pas le sens de ce mot. On Me coucha.
"Au Lit, mon Amant me foutit six fois. A la sixiême, mon Fouteur dit à mon Père: "Mets-Toy sur ta Fille. ét fous.La: Je vais T'introduire le vit"? Mon Pére me grimpa, le Jeunehomme Luy mit le vit dans mon con, ét il poussa. Comme j'étais amoureuse de Luy plûsque de tout autre Homme, je remuai de la charnière, comme Une Princesse foutant avec un Page… Le Jeunehomme ranimé, entra dans un tel érotisme, en nous voyant decharger, qu'il nous fit mettre sur le côté, èt il m'encula, tout enconnée que j'étais… J'alai laver, ét nous dormîmes.
Le matin, au dejeûnér, le Jeunehomme paraissait yvre de joye! "Hâ! qu'il êst cocu, le Bougre! (s'écriait-il.)… Bonhomme, voilà un effet de cent Louys: Il faudra que Tu La foutes, àprês le Mariage, ét il y aura vingtcìnq Louys à chaque fois". Il partit, ét je courus chéz Guae, que je commençais à aimer presque autant que mon Père.
"Il Me reçut avec transport, Me traìtant de divine Garse, de celeste Putain… Il M'alaita de foutre six copieuses fòis. Ce qui me mit dans un tel érotisme, que je retournai chéz mon Père: "Ton Procureur? (Luy dis-je essoufflée): Il doit être remis, depuis l'autre jour? Je brûle… Cours-y, si Tu M'aimes". Il y vola, en M'appelant, Cleopâtre! Clepâtre!… Il trouva le Jeune Procureur à la fenêtre, son vit bandant à la main. "Je viéns de voir entrer votre Fille (Luy dit-il), ét j'alaìs Me branler à son intention. "Gardéz-vous en bién! Apportéz un petit présent, ét venéz le Luy mettre? "Vingtcinq Louis? "C'êst trop pour une Pratique: Un Louys par coup. "Soit: mais je n'en remettrai pas: Elle gâgnera peutêtre la somme". Il vint avec Moi. En entrant, il jeta la bourse sur le piéd du Lit. "Alons, ma Fille (Me dit mon Père), Tu ês à tes pièces; autant de coups foutus, autant de Louys: Mais il ne faut pas tuer Un Amy! Il alait se branler à ton intention, quand je suis entré". A ce mot, je Me jetai à son cou, ét Luy dardai ma langue) en dîsant: "Chër! Chër Amy! "Hâ je T'adore i (Me repondit-il). Et il Me prit les Tetons, le Con. Je Me renversai. Il se mit sur Moi. Je Me fourai son vit dans le Con, ét en quatre coups de cùl, je Le mis au fond. Il dechargea, en Me sentant émettre… Il Me foutit dix coups. "J'ai quinze Louys à-compte (Luy dit mon Père, en Le voyant laver ét se reculoter: Vous reviendréz quad il vous plaîra".
"Nous en étions à l'avantveille du Mariage. Tous les matins, Guae m'avait alaitée, ou plütôt affoutrée; ce qui M'avait rendu la peau plüs blanche, le teint plüs brìllant, le Con plüs satiné, ét me donnait un temperament si violent, que je n'étais à Mon aise, qu'un VIT au CON. Le Jeunehomme dit, en dejeûnant: "Guae doit être surpris de ne pas Me revoir! Cela pourrait faire tort dans son idée, au Con de ma belle Fouteuse: Ainsi, je veux Luy acheter la première nuit de sa Mariée, puisque l'impayable Agnès veut absolument l'épouser. (Je le Luy avàis dit, en foutant). Mon Père applaudit. Mais en Me reconduisant chéz Guae, que j'alàis teter, ce bon Père ajouta: "Tu n'ês pas une Mariée ordinaire: ce qui éteindràit la soìf d'Une-autre, n'êt qu'une goutte de foutre, pour Toy: J'ai une idée, C'ést de M'arranger à Te regaler, aprèsdemain, en Te Le fesant mettre jusqu'à extinction de forces, par Tous-ceux qui T'ont foutue; Moy dàbord; Ton Oncle; Ton Procureur; le Frère de Ta Marchande, ét peutêtre son Mary: S'il se trouve quelques nouveaux Bougres, ils T'enculeront, sous prétexte de reserver Ton Pucelage à Ton Epoux: c'êst un delice que d'enculer une Mariée, le jour de ses noces, ét ils le pàyeront bién. Je M'arrangerai avec Guae pour tout-cela". Nous arrivions. J'embrassai mon Père transportée de reconnaissance, en Le priant de tâcher de Me suivre secrêtement, pour Me voir teter. J'entrai, puìs je L'introduisis.
"Guae courut à Moy, en se deculotant. Il Me baisa dabord pied, jambe, cùl, con ét Tetons: Il Me fit ensuite Luy darder ma langue; àprês quoy, il Me mit son Vit en main. Je Le secouais vivement, lorsqu'il Me dit: "Garse, je suis raisonnable: Je ne T'enconne pas; il faut que Ton Père ét Ton Oncle te foutent le jour du Mariage: Je T'aurai ensuite, pour la nuit, trois vits frais, dont celuy qui T'a depucelée sera Un… Hâ! l'idée que Ton Père T'enconne va Me faire Te decharger une pinte de foutre, ét Te l'entonner dans le gosiér"… Alons, Garse, je sens que ça viént: embouche-Moi le Vit… Hâ-hâ-hâ… le Bou…ougre fout… sa Fille… Ton Père Te fout, Garse! Te fout, Putain… Hâ! je decharge, à cette divine Idée!… Hónh"!… Il se pâma presque… Pendant l'interruption forcée, j'alai prendre Mon Père à sa cachette: "Fous-Moy, Luy dis-je; puisqu'il le faut pour le bonheur de Mon chër Prétendu! "Hâ! Deesse! (s'écria Guae, en se précipìtant à genoux, Tu incestue pour Moy! je T'adorerai toute ma vie"… Il intromit le vit paternel. Remue du cùl! (Me criàit-il), saccade! "Je de..cha..arge (Luy dis-je)… Viéns, chër Amy.. que je Te branle"? Guae blasphêmaìt de plaisir, en sentant venir le foutre… Il M'emboucha, sans que Mon Père me quittât, ét en-même.temps, j'avalai du foutre, j'en reçus dans le Con, ét j'en donnai. Mon Père Me foutit quatre coups, èt Guae M'avàit embouchée quatre fois, quand On frappa. Guae courut ouvrir, tandis que je Me rinçaìs bouche ét con. C'était mon Oncle. "Vous arrivéz à point (Luy dit-il): On essàye Ma Future, ét vous aléz L'essàyer". Mon Père expliqua la chose; Guae Me renversa sur le foutoir, ét mon Oncle M'enconna. Il Me foutit six coups, je tetai six nouvelles foìs le VIT de Guae; aprês quoy, On Me làîssa respirer. Il fut ensuite convenu, que douze Fouteurs me passeràìent sur le corps le jour de mon Mariage, en con ou en cùl, à mon choix, ét que Guae, qui seul auràìt la bouche, Me feràit foutre la nuit, ét dans l'obscurité, par trois VITS nouveaux de son choix. Mon Oncle emerveillé, s'écria: "Mais elle sera Putain? "C'êst ce qu'il Me faut, pour que je l'adore…. Et ne vous en faîtes faute, ny son Père, ny vous; puisque vous seréz les seuls qui ne payeréz pas". En achevant ces Mots, il se prosterna devant Moy, en Me traîtant de Deesse.
"Je retournai chéz ma Marchande. Son Mary, ét elle-même Me tourmentaient, pour que le Premiér M'eût une seule foìs avant Mariage. Ils Me pressèrent plüs fort que jamaîs; ét je cédai. La Femme Me mit dans le con le VIT de son Mary. Je ne fus foutue qu'une fois, cet Homme étant faible, ét sa Femme le voulant être après Moy. Ce fut de ma main, qu'elle regut dans son Con brûlant le VIT Marital….. Cette operation faite, ét repetée, je Les quittais, en Leur disant Adieu. Ils pleuraient: "Ce qui Me console de ta perte (Me disait ma Marchande), c'est que mon chër Mary T'a foutue… Ta voluptueuse idée Me lé fera mettre plüs souvent". Je partais, quand le Frère entra. Sa Soeur Luy dit ce qui venait de se passer. Il ne repondit rién: Mais il Me ramena du-côté du Lit, M'y renversa, ét Me foutit devant eux, sans prononcer une parole. Il voulait Me recomencer. Je M'y refusai, en L'invitant, ainsi que son Beaufrère, à venir Me le mettre le surlendemain jour de mon Mariage. On Me remercia.
XXXVI Chapitre.
Chap. De l'Homme-Poilu, la Convelouté, Linars &c.
"A mon arrivée chéz mon Père, je Luy con-racontai Tout ce que je venais de faire. "Il ne faut pas (Me dit-il), quand On a tant d'ouvrage pàyé, en faire qui ne rapporte rién. Il viént de M'arriver Un Homme d'asséz agreable figure, três-vigoureux, car il êst brun ét tout poilu, qui offre une forte somme, pour t'avoir cette Nuyt? "Que rién ne vous empêche de Le prendre! (repondis-je en souriant): Je ne suis pas fatiguée par si peu de chose".
"Mon Père rassuré Me fit deshabiller nue, prendre un bain tiéde, puis un froid, mettre au Lit, avec une chemise large; Me fit avaler un excellent consommé: ensuite il Me laissa dormir. Il était àlors 5 heures du soir. A minuit, je M'éveillai, en Me sentant lècher le con. Je priai l'Homme de se montrer? Il leva la tète, et je vis un Basané d'une fort belle figure. Je souris. Il Me suça les Térons, en Me disant des choses agreables: "Vous avéz un beau Con… une superbe Motte… un Ventre de Pucelle… un Cùl d'albâtre… des Tétons blancs comme neige…. un col degagé… des lêvres voluptueuses… de belles dents… les plüs beaux ieux… les cils, les sourcils ét les cheveux comme la Deesse de la Beauté… la jambe parfaite… le pied le mieux fait… Quand je vous aurai foutue, je vous dirai le reste".
"Mon Père Me dit de Me lever pour souper. Le Basané Me porta toute-nue dans ses bras auprês du feu: Là, je vis Guae avec grande surprise! Je mis mon corpset souple; Fysitère (le Basané) Me laça, Me priant de bién faire refluer mes Tetons. Mon Père Me chaussa une Jambe ét un Piéd, Guae l'autre Jambe ét l'autre Piéd, en bas ét en solliérs de soye d'une éblouissante blancheur. On se mit à table. Mon Fouteur voulut que je restasse les Tetons decouverts. Nous soupâmes. J'avaís appêtit, Le Basané but ét mangea comme Un Hercule. En sortant de table, il dit à mon Père ét à mon Futur: "Vous ne M'avéz pas trompé; Elle êst audessus de vos éloges. Sí l'interieur du Con ressemble à l'exterieur, Elle êst à Moy, coûte qui coûte. "Voyons votre Vit (repondit Guae)…. Elle ne sera que trop parfaite!… Voici le mién; ét vous savez que je n'ai pu l'enconner, puisque c'êst ce qui vous a fait parler à M. Convelouté mon beaupère. "Je verrai si Elle a le merite de ce beau nom… Mais vous avéz un Vit épouvantable, M. Guae!… Empoignéz-le, la Belle, que je voye comme il êst bién bandant"? Je saisis le Vit de Guae, qui se recria de plaisir… "Je bande (reprit Fysitère): Mais faites bander votre Père, ét comparons". Je Luy prîs cependant le Membre, qui grossit en le serrant dans ma main. On compara ensuite. Guae l'avait le triple de l'Homme-velu, qui Luy-même était le double de mon Père. "Je voudrais Luy dire un mot"? (demanda Guae furieux de luxure). Il Me poussa vërs une fenêtre. Me cacha derrière le rideau, et me dechargea dans la bouche. Mon Pére seul devina ce que Guae venait de me faire. Pour Moy, je fus singulièrement fortifiée par cette bavaroise! Je brûlais… Aussi, je fus ravîe, lorsque Fysitère dit: "Il faut dabord que je la foute habillée". Il Me porta sur le piéd du Lit, ôta ses culores, ét nous laissa voir un corps velu, comme celuy d'un Singe. Il me fit Luy prendre son braquemart, ét Me dit: "Introduis-moi cela dans le trou de ton con, ét tève du cùl come il faut, à chaque fois que je pousserai". Je M'enconnai. Aussitôt il poussa. Je fis un cri: car il Me dechirait, étant plüs gros que mon Oncle, ét que tous les vits qui M'avaient foutue. "Ce n'est rién (Me disait-il): je te deflore… je te depucèle: Remue du cùl". Je remuais de mon mieux, tout en soupirant, ét Luy rendant en coups de cùl, tous ses coups de vits. Il parvint au fond. Mes trompes Luy pincèrent la tête du gland. Il heurla de volupté. "Garse adorable! (s'écriait-il), ton Con satiné pince le vit! Ta fortune est faite, ainsi que celle de ton Père ét du Futur, qui t'ont vendue à Moi!… Alons, fous bién"!… Je remuai, je tortillai du cùl, je soubresautai, de la manière dont Me le disaient mon Père, ét Guae Luy-même. "Je suis ravi! (s'écriait le Basané): Elle decharge!… Hâ! Elle me fera un petit Bougre-à-queûe!…. Il dit à mon Futur: "Viens-ça, Jean-foutre: Passe-moi la main sous le croupion, ét chatòuille-moi d'une main ce que tu y trouveras, ét les couiiles de l'autre"? Guae obéït. J'ai su depuis qu'au croupion, le Basané avait une queûe, de la même forme qu'un vit, mais velue comme son corps, ét que ce fut cette queûe que mon Futur chatouilla)…. "Je ne quite pas d'une heure ce con celeste! (disait l'Homme-à-queûe, en Me saccadant): chatouille, chatouille, Bougre! les couilles ét ma queûe"! Il dechargea six fois, sans deconner… Je demandai àlors à laver. Mon Futur M'épongea le con, ét Me le baisa, en l'appelant Con d'Or. Mon Père Me suça les Tetons. Guae dit au Basané: "Elle êst à vous: Mais je bande comme un Carme: permettéz que je L'encule?… "L'enculer, non; c'êst du foutre perdu. Encore moins l'enconner; je veux qu'Elle Me fasse un Petit-à-queûe: Mais si Elle avalait le foutre, comme j'ai vu certaines Femmes temperamenteuses, je consentirais que tu l'embouchasses". A ce mot, je saisis le Vit de mon Futur, ét je l'aurais avalé, s'il n'avait pas eté si gros. Il me dechargea au fond du gosiér, en rugissant, ét le foutre Me descendit bouillonnant dans l'estomac. "Hâ! Elle aime le foutre! (s'écria le Basane); Elle a toutes les perfections!… Et Elle sera aussi longtemps belle, que feconde!….. Alons, Papa, embouche-la aussi: De tous les foutres, le paternel est le meilleur". Je Me jetai sur mon Père, Le renversai sur le Lit, saisit son vit bandant, que je fis aler ét venir dans ma bouche, jusqu'à ce qu'il dechargeât. Je suçai son foutre avec delices… "Bon! (s'écria le Poilu); Elle est dans les bons principes; Elle est impayable"! Le Basané Me deshabillait, Me dechaussait: Mon Père ét Guae Luy aîdaient. Je fus mise nue, patinée, baisée du haut-en-bas, tandis que je Me rinçais la bouche: On Me passa la grande chemise; l'Homme-à-queûe velu ét tout-nu, y entra, Me suça les Tetons, Me fit Luy darder la Langue, puis dit à mon Futur de Luy intromettre le vit dans mon Con.
"Le Basané Me foutit six nouveaux coups, sans deconner. Je Me sentis fatiguée: Je voulus laver. Je restai une heure sur le bidet le Con dans l'eau. Le Basané qui, pendant tout ce emps-là s'était amusé à faire bander Guae, ét à Luy faire Me decharger trois fois dans la bouche, M'appela, en Me disant: "Tu es asséz rafraîchie; reviéns sur le foutoir, que je te donne le bouquet"? Il se le fit introduire par mon Père; qui Me dit: "Courage, mon Enfant! Voicy un Fouteur qui en vaut dix: Mais je tâcherai de Te faire soulager, si cela continue". Je fus encore foutue six fois; mais avec tant de véhémence, que je n'en pouvais plus. Sur ma plainte, le Basané dit, que le bouquet etait te double des autres assauts. "Hé! combién donc l'aléz-vous foutre de coups? (Luy demanda mon Père). "Vingtquatre est ma dose. "C'êt trop, ét Elle ne ferait pas d'Enfans: Elle a une Cadete, aussi jolie que l'Aînée est belle; je vous La donnerai, pour soulager sa Soeur? "Je l'accepte! (s'écria Fysitère): Et il m'en faudra bién d'Autres! car je ne les fout plus, dês qu'Elles sont plèínes, ni pendant qu'Elles alaitent leurs petits. La jeune Garse est-elle là? (Or il Me foutait toujours).. "Non: Vous ne pouvéz l'avoir que demain-soir. "En ce cas, j'achève de foutre Celle-ci mes 24 coups: Je déconne; qu'elle lave; Elle n'en a plus que cinq. Si son Futur se trouve en état, qu'il luy donne à teter du foutre cela la fortifiera"? Aussitôt Guae M'apporta ses couilles à chatouiller, ét son Vit à branler. Je M'en aquittai si bién, qu'il hennit aubout de quelques minutes, ét qu'à-peine eüs-je embouché son Vit, qu'Il dechargea, en sacrant. "Elle a toutes les qualités… Elle est parfaite! (s'écriait le Poilu, en Me re-enconnant): Si sa petite Soeur la vaut, ce sont deux connins impayables"! Il acheva de Me foutre cinq foîs, sans deconner. Je puis Me rendre le temoignage, que je dechargeai, à chaque assaut, plütôt deux ét trois-fois qu'une: Aussi Fysitère en était-il émerveillé! ét Me nommait-il la seule Fouteuse digne de luy. Mon Père Luy dit alors: "Cé ne sera pas encore asséz de ma Cadete: Mais j'ai votre affaire: Il Me reste une Nièce Religieuse, qui a des vapeurs hysteriques; je vous La donnerai, pour reposer mes Filles? "Je leur ferai à Toutes-trois 12 mille francs de rentes (repondit le Basané). Amenéz-les moi chaque soir, demain excepté, que j'ai à fourgonner une grande Blonde, qui a ouì parler de moy, ét qui veut en tâter. Il s'en-ala.
"Cette scêne changea tous nos projets. Je dormis jusqu'à midy, qu'On M'habilla. Je fus mariée à une heure. La noce fut gaye. Ma Soeur y était, ainsi que ma Cousine la Carmelite hysterique, mon Père ayant trouvé le secret de l'avoir, au moyén d'une permission de prendre les Eaux, qu'Il sollicitait depuis long-temps. J'eüs reellement pitié du Connichon de ma Soeur Doucette, ét je resolus de le voir dans la journée. Mon Père Me le montra, ét le gamahucha devant Moy, en allegant le motif de prévenir une maladie. Hâ! qu'il étaît mignon!… Je l'aurais gamahuché, à mon tour. sans ma coîfure d'Epousée, car son joly petit Foutre virginal Me tentait… Notre Père La prévint qu'il falait qu'Elle Me soulageât la nuit de mes noces, ét l'aimable Enfant y consentit avec naïveté. Je vis aussi le Con de ma Cousine la Carmelite, ou la belle Victoire-Londò. Il n'était pas si mignon, mais il avait une superbe perruque noire. Elle entra en fureur érotique dês qu'On le Luy eüt touché du bout du doigt, ét mon pauvre Père fut obligé de le Luy mettre devant ma Soeur, ét devant Moy. Ce qui ne La calma que pour un instant. Nous appelames mon Oncle, qui La foutit trois fois. Puis le Jeunehomme fut introduit. Ensuite le Procureur. Tous ceux qui devaient Me le mettre ce jour-là. Les Enculeurs vinrent aprês. Elle fut foutue, refoutue, enculée, re-enculée, ét calmée. Mais On n'appela pas M. Guae; j'en étais jalouse… Pendant ce temps-là, mon Père branlait ma Soeur; l'enculage de la Religieuse Le fit entrer dans une telle érection, qu'il La poussa dans un cabinet, où je Les suìvis, La renversa, et La depucela. J'insérai le vit paternel dans le joly Connin, en disant à Doucète, que c'était une ponction necessaire.
"On lavait la Religieuse. M'étant aperçue que Guae la convoitait, je Luy temoignai une jalousie qui le flata. Il Me promit de reserver son foutre azuré, ét son gros Vit pour ma bouche, en attendant que les Enfans M'eüssent élargi le Con. "Mais vous m'aviéz vendue )Luy dis-je), avant de m'avoir livrée à l'Homme velu, pour être foutue ét enculée ma nuit des noces: Combién de Fouteurs ét d'Enculeurs devais-je avoir? "Six, à 2 mille écus chaqu'un. "Vous voyéz que je n'ai besoin que de repos: Mais il ne faut pas manquer une aussi jolie somme: Vous avéz demandé le silence ét l'obscurité? "Ouy, ma Reyne adorée: Je ne me suis engagé qu'à te faire voir toute-nue sans chemise, comme en jouant avec Toy, nu aussi, dans la chambre. Au-reste, le silence ét l'obscurité sant essenciels, puisqu'ils eüssent passé pour Moy. Les six Bougres placés chaqu'un dans une chambre separée, devaient répàître leurs regards de tes charmes, ét t'esperer chaqu'un comme possesseur unique, à un signal donné. "Tout-cela se fera. Je serai remplacée par 3 Persones. Nous donnerons le plüs delicat ét le plüs petit vit à ma Soeur: Le plüs vigoureux ét le plüs brutal à la Carmelite: Je vaîs vous avoir ma Marchande, qui ne demandera pas mieux que d'être foutue, sans être compromise. Vous arrangeréz tout, pour qu'elles reçóivent chaqu'une deux Hommes; ce qui sera d'autant plüs facile, que vous n'auréz que les Hommes à tromper: ce qui sera facile". Guae admira mon entente ét mon économie! Il Me promit une soumission entière à mes ordres, ét Me demanda la permission d'appeler ma Soeur, ou la Religieuse, pour Le branler. Je Les appelai Toutes-deux. Je dis à la Carmelite, en Luy decouvrant les Tetons, de prendre le Vit ét les couilles de mon Mary. Je mis ensuite ma Soeur en position, troussée jusqu'audessus des reins, ét comme Elle avait le plüs joly cùl du monde, Elle montra le derrière. Je Me mis à côté d'Elle, troussé de-méme, je montrai le devant. Guae chatouillé par une main douce, ét jouissant d'une triple perspective aussi belle, en y comprenant la superbe gorge de la Religieuse, ne tarda pas à hennir de plaisir. Biéntôt il entra en fureur, ét il alait enconner la Religieuse, si je ne Luy avais sauté sur le Vit, que j'embouchai. Il Me dechargea dans le gosiér, en rugissant. Nous sortimes Tous-quatre, pour aler danser, ét ma Soeur, ma Cousine ét Moy nous fumes reçues avec transport.
"Mes 6 Fouteurs pour la nuit suivante, étaient de la noce: Guae qui se fût bién gardé de Me Les montrer, si j'avais dû Les avoir, s'en fit une fête, quand ce furent d'Autres qu'On Leur alait livrer. Il Me Les designa. C'étaient 6 Monstres de laìdeur. Guae trouva le moyén de Les faire mettre nue successivement dans une Pièce isolée, sous le prétexte de Les froter d'un baume fortifiant. Le Premiér était un squelete decharné, ayant le vit comme mon Père. Il avait un long néz qui touchalt à son menton, les joues creuses, l'oeil vif, des verrues noires sur le corps. Je te reservai pour ma Soeur, à-cause de son vit, n'esperant pas mieux. Il se nommait Widewit.
"Le Second était un gros petit Homme, três-ventru, ayant le vit de mon Oncle, la peau comme une Ecrevice cuite, pour néz une grosse bèterave, de gros sourcils gris, une bouche évasée, ét les lèvres hâlées, gersées des gros Mangeurs. Ce fut le second de Doucette, si je ne trouvais pas mieux. On l'appelait en russe Wiwitencoff de-la-Cowilardière.
"Le Troisième était fait come un Héron ét un Dromadaire: Il était juché sur de longues jambes sans mollets; il portait sur ses épaules une colline en cône aigü; son visage était noir ét sec; ses cuisses grêles n'étaient distinguées de ses jambes que par d'énorme genoux: Tout ce qui manquait à ces parties se retrouvait dans son Vit, plüs gros que celui de notre Homme-à-queûe, ét moins que le double Wit de Gwae. Je destinai Towtenwit à ma Marchande, qui était chaude, large ét sterile.
"Le Quatrième etait un gros Marchand de bléd, aussi large que haut, tout noir, tout bourgeanné, ayant quelques livres de cowilles, ét un vit trèslong, gros comme celui de mon Oncle. Je destinai Witplongeardow à ma Cousine, à-cause de ses couilles.
"Le Cinquième avait le visage de la teinte d'un ventre de Crapaud, la tête monstrueuse, le ventre de Desessarts, le vit come Gwae (il devait m'enculer, de convention faite): Son regard était affreux, sa bouche degoûtante, ét son néz encore plûs: Witcrwel fut voué au large Con de ma Marchande.
"Le sixième ét derniér était grand, voûté, noir, bancroche, roux, chassieux; il avait un wit à bourelet, tant il était long; aussi en avait-il apporté un, qu'il devait écarter, pour m'enculer. Perceawant fut le second de mon ardente Cousine.
"Le soir arrivé, l'On Me mit au Lit, ét chaqu'un des six Monstres crut qu'il alait avoir le plaisir d'être mon bourreau. Guae Me conduisit dans la chambre nuptiale, ét parut Me mettre au Lit: Mais il nous disrribua dans quatre Pieces, ét les lumières furent exactement retirées. Quant à Moy, j'étàis restée debout, fesaut à chaqu'une des Lieutenantes de mon Con, le portrait ét l'éloge du beau Jeunehomme qu'elles alaient presser dans leurs bras. Je me croyais obligée en conscience de Leur donner des plaìsirs imaginaires, à defaut de la realité. "Ma Toute-belle! (dis-je à ma Soeur), avec quel plaisir tu me sacrifierais ton repos, si tu voyais le jeunehomme charmant, qui doit froisser. tes appas? C'est un Sylphe; c'est un Amour"….. J'alai ensuite à la Religieuse: "Tu vas sentir le difference de la couchète de ta cellule, au lit d'un Nouvelle-mariée, ma chaude Cousine: Un Bel-homme, un gros vit… Crie, mais ne parle pas, puisque tu vas passer pour Moy"… Je me rendis ensuite auprês de ma Marchande; "Vous aléz être rassasiée de ce que vous aiméz tant, mon aimable Maitresse: Un Jeunehomme superbe, ét… peutètre deux, qui me desirent avèc emportement, vont me le mettre dans votre Con brûlant, jusqu'à-extinction de forces. Les Vits sont gros! ainsi faites-vous pomader comme une Pucelle, ét remuéz du cùl, pour avaler plüs vîte ces énormes morceaux"… Ma Marchande me remercia, en me priant de La mettre promptement aux prises. Je courus Luy chercher Toutenwit, le Troisiême… Mais je vais mettre de l'ordre dans mes recits.
"Guae m'attendait. Dês que je parus, il me fit parler, ét conduisit par la main Wìdewit, le premiér Monstre, auprês de ma Soeur. "Mon chër Mary (dis-je doucement, la tête appuyée sur l'oreiller de Celle-cy), menagéz-moy? "Oui, oui; mais ne parle pas: j'ai decouvert que toute la Noce nous écoutait, à-cause de mon gros Vit"….. Durant ce court Dialogue, Witdewit, deshabillé d'avance, fourageait deja ma Soeur. Guae par mes ordres, prit ensuite Witplongeardow le Quatriême, ét Le conduisit, avec les mêmes précautions, auprês de la Religieuse: Je parlai sur son oreillér… Towtenwit le Troisiême, fut le lot de ma Marchande. Les 3 Autres avaient rendéz-vous quelques heures plütard.. Il faut à-présent donner chaque scêne particulière, en 6 Tableaux de la NUIT DE LA MARIEE
XXXVII Chapitre.
Chap. Des six Fouteurs pour troìs Foutues.
"Hâpée par le Monstre, Qu'elle croyait un Ange, ma timide Soeur soupirait. J'entendais qu'On la gamahuchait, qu'elle dechargeait. "Je me meurs! (murmura-t-elle). "Comme tu as la voix douce, belle Mariée! (luy dit Widewit bién bas). Et aussitôt il grimpa sur elle, ét l'enconna. La pauvre Petite, quoique depucelée, fit un cri! Je parlai pour la deguiser. Le vieux Monstre la menageait ét la caressait. Elle le secondait de tout son pouvoir, ét redechargea. Grâces à moi, elle avait lé même plaisir que si elle eût foutu avec Un beau Garson…. La voyant bién enfilée, j'alai à la Religieuse.
"Witplongeardow s'était avisé de ne pas mettre son bourrelet: je m'en doutai aux gemissemens de la pauvre Martyre. Je le dis à Guae, qui le desarçonna, ét luy donva quelquec soufflets. J'entendis qu'il luy disait bién bas: "Bougre! vas-tu m'estropier ma Femme? Ton bovrrelet"? Le Fouteur le prit, ét la Foutue n'eüt plus que du plaisir.
"Je courus à ma Marchande, que Toutenwit ne pouvait enconner par maladresse. Je mis la tête sur l'oreillér, ét je dis en soupirant: "Priéz donc mon Père de vous l'introduire"?… Guae, qui me suivait doucement, vint faire l'intromission, ét tout ala bién.
"Chaqu'une des 3 Belles fut foutue deux-fois en con. Ensuite, comme de-concert, les 3 Bougres retournérent la medaille. Toutes-trois avaient leur pucelage de cùl. Ma Marchande crut qu'On alait le luy mettre en levrette; mais les deux Autres ne s'attendaient à rién. On leur perça le cùl à toutes-trois au même instant, ét elles s'écrièrent, malgré la defense, toutes-à-la-fois: DOUC. Hô le fondement! LA RELIG. Hô l'anus! LA MARCH. Hô le tròu du cùl!… On n'y fit pas attention. Heureusement ma Soeur avait le cùl large; elle souffrit moins. Quant à la Religieuse, que Witplongeardow enculait sans bourrelet, elle avait une aune de vit dans ses entrailles, ét elle sentait celui de son Enculeur luy chatouiller le nombril. Elle souffrait beaucoup de son farfouillage; car il retirait ét reenfonçait brutalement. Elle n'éüt de plaisir qu'à la decharge, par la douce chaleur du foutre, qui luy onctua le gros boyau. Ma Marchande était la plüs maltraitée par Towtenwit. Elle avait le trou-du-cùl aussi étroit, qu'elle avait le Con large: le Vit enorme la pourfendait. Elle jurait entre ses dents. Enfin la decharge l'abreuva, et elle fut soulagée.
"Les 3 Vieillards en avaient autant qu'il leur en falait. Guae vint les faire retirer, de-sorte qu'ils ne se rencontrassent pas… On étuva les 3 cons ét les 3 cùls: On fit les lîts, On changea les draps, recoucha la triple Mariée, ét Guae introduisit les trois nouveaux Acteurs.
"Il ala chercher Wiwitencoff, que je mis dans les bras ét sur le ventre de ma Soeur. Un peu agguerrie, elle caresse tendrement le Monstre, qui l'enconna, le vit introduit par Guae, qui profita de l'occasion, pour patiner ma Soeur, ét la chatouiller. Ce qui fit tellement tressaillir la pauvre Petite, que son Fouteur s'ecria, croyant parler à moi: "Hâ! que tu es putain"!… Voyant Guae acharné sur ma Soeur, j'întroduisais les deux Autres. Je donnais Perceawant à la Religieuse, ét j'eüs soin qu'il eût son bourrelet. "Voilà une main bién douce qui me touche", dit-il en voulant saisir la miénne); mais j'échappai. "Remue du cùl, Bougresse, (disait-il à sa Monture); je te tiéns, je suis dans ton con; ainsi tu ne saurais m'échaper. Je ne suis pas ton Mary; j'ai payé pour coucher avec toy, ét te depuceler; ainsi tu es ma Putain. Fous, Garse, ét remue du cul; j'ai payé pour ça"…. Guae l'entendit. Il vint à luy, le saisit à l'étouffer. "Tu manques à nos conventions! (luy dìt-il); je ne les tiéndrai pas non-plûs: fous-moy le camp, Malhonnête-homme! "Ouy; mais quand je l'aurai enculée". Et il encula la Carmelite, malgré les coups de poing dont Guae le gourmait. La Religieuse, poussait dés cris horribles… J'étais aupres de ma Marchande, que j'accouplais avec le gros Witerwel. Il ne devait qu'enculer: mais la chaude Coquine se dirigea elle-même le vit dans le con. "Tu n'es donc pas pucelle, Garse, crut-il me dire, que tu connais si bién la route des vits?… Alons, fous, Putain, ét comme il faut! j'ay payé ton Maquereau de Mary"! Comme elle ripostait bién, il alait disant: "Hô! elle est putain! elle est putain! j'ay le reste des autres"! Et tout en dechargeant, il la pinça, la souffleta. Elle se recria! "En bouche, sacree Putain? (dit-il en deconnant); ét tu avaleras mon foutre; sans quoy je t'assomme"! Guae, qui venait de laisser enculer la Carmelite, ét de chasser son brutal Fouteur, entendit le grabuge; il accourut, apostropha le sale Bougre d'un violent coup de poing, en luy disant: "Lave-toy donc au-moins, sacré Mâtin, avant de l'emboucher! Je ne l'embouche jamais que je ne me sois lavé le vit à l'eau-rose, ét que je ne l'aye ensuite trempé dans du lait. Execrable Bougre! vray Desades, tu veux luy faire soulever le coeur?… Mais tu as manqué aux conditions; tu ne merites plus de l'avoir. "Voila cent louys… "Ils seront pour elle. Lave-toy… Voilà de l'eau-rose… Voicy du lait….. Alons, souffre, m'Amie: Voilà tes cent louys". Le vieux Reître, cru Un beau Jeunehomme, emhoucha, encula, entetonna tant qu'il voulut. "Hâ que tu es putain, sacrée Chiénne"! (repetait-il)…. Guae se mourait d'envie de luy montrer qu'il ne m'avait pas eüe. En le mettant à ta porte, il me fit trouver sur son passage toute-habillée. Ce fut comme une vision; car je m'enfuis. "Hâ je suis fait! (s'ecria le Monstre): le Scelerat m'a donné une Putain, aulieu de sa Femme"!… Et il jura, sacra…. Quant à moy, pendant ces scènes, j'assistais à la fouterie de ma jeune Soeur. La pauvre Petite fut enconnée, embouchée, enculée comme les Autres, par son Adorè Witwitencoff de-la-Cowillardière, qui ala jusqu'à extinction de forces. Il m'adorait. Ce qui le tua, c'est que, lorsqu'i se sentait épuisé, il se fesait sucer le vit bien approprié à l'eau-chaude, et baiser les couilles par sa jolie Monture. Il luy mettait encore couilles èt vit sur le cùl ou les tetons: Puis il se fesait donner au gland un suçon. Il bandait alors, ét enculait. Au derniér culetage, il eüt un priapisme, et crut ne faire que bander. Il fourgonna dans le cùl de ma Soeur jusqu'à ce qu'il s'évanouît. J'appelai Guae, qui la decula, en enlevant son Enculeur. On le porta évanoni dans sa voiture. Arrivé chéz Luy, des cordiaux, que demanda Guae, ranimèrent le vieuu Libertin: "Hâ! (s'écria-t-il), je vis encore! je voulais mourir dans son cùl!…. je bande encore… Qu'On me La rende… que je L'enfile… ét.. que… j'expire."…. Et il expira……
["Hâ! la belle mort! (s'écria Traìtdamour ét toute la
Compagnie en dit autant)… Mad. Guae acheva.
"Voilà comme s'est passée la nuit de mon mariage. Gnae, à son retour, était furieux de Luxure: Il voulait toutes nous enculer, puis nous emboucher. On s'arrangea: Il m'emboucha; encula ma Soeur ét ma Cousine, enconna ma Marchande, qui en fut estropiée pour un mois, ét L'engrossa, deux choses qui L'empêchèrent d'être achetée par Fysitére. Pour Guae, je suis sa Maîtresse, ét son gros Vit me fortifie par son foutre qui me nourrit. Je serai enconnée par Luy, de convention faite avec Fysitère, apres mon douzième Enfant.
XXXVIII Chapitre.
Chap. De la Conclusion de l'Histoire des 3 Garses.
"Persone ne sait comment l'Homme-caud decouvrit que Guae avait vendu la première nuit de ses noces. Il arriva furieux. Il me demanda. J'étais au Lit. Ce fut la reponse de Guae. "Je le crois! (repondit Fysitère), ét Un Homme est mort d'épuisement dans ses bras. "Elle a vaqué toute la nuit: mais c'est pour autre chose: Sa Cousine la Religieuse ayant été un-peu courtisée dans le jour, ses vapeurs hysteriques l'ont reprise la nuit, par un rêve, où elle croyait être foutue. J'ai été appelé. N'ayant pu l'enconner, je l'ai enculée. "Je me fous de son cùl: Mais si Tu l'avait enconnée. "Quant à ma Femme. elle dort; ét vous pouvéz voir à la fraîcheur de son con ét de son cùl, que je ne luy ai pas touché. "Voyons dabord la Carmelite? "Elle dort aussi". Ils y alèrent. Guae la decouvrit, sans l'éveiller. Elle etait couchée sur le côté, ne pouvant se tenir sur le dos, à-cause de son cùl, qui luy fesait mal. Elle l'avait en marmelade. "Comme Tu les accomodes!… Et le con?…. Il n'êst pas si maltraité… "Je l'ai un-peu fatiguée par mes inutiles efforts; ét-puis elle s'êst branlée. "Voyons la Mariée"?… Ils vinrent à Moy. On sait que je me repucelais par le bain, ét un-peu de repos. Mon con ét mon cùl furent trouvés si appêtissans, si jolis, que Fysitère les baisa tous-deux. Puis Il signifia au cupide Guae qu'il avait un logement cloîtré, pour nous sequestrer, pendant tout le temps que nous Luy ferions des Enfans, Moy, ma Soeur, ét ma Cousine. Il ne vit Doucette qu'habillée! ét elle l'enchanta. Il nous emmena toutes-trois, en disant, que jusqu'à notre grossesse bién declarée, On ne nous verrait qu'à un parloir.
"Fysitère êst extrêmement riche. Il donne 20-mille francs par an à Guae pour Moy, 40-mille à mon Père pour ma Soeur ét ma Cousine. Le soir, aprês un excellent soupér, il nous fit coucher Toutes-trois ensemble dans un large Lit, où il se mit avec nous. Il me foutit dabord. Puis ma Soeur. Ensuite la Carmelite, qui le fut deux-fois sans deconner. Il me reprìt. Puis ma Soeur. Bref, nous fumes ainsi foutues 8-fois chaqu'une dans la nuit. Ce qui fesait les 24 de Fysitère. Quand il en foutait Une, les deux Autres luy chatouillaient, Une la queûe du cùl, la Seconde les couilles.
"Nous devinmes grosses Toutes-trois à-la-fois. Alors il nous declara, qu'il ne nous le mettrait plus qu'aprês nos coûches ét l'alaitement. Il vint icy. Il vous vit, Madame; il vous foutit. Il épousa votre Fille-Aînée, enconna les 5 Autres, fourbit vos deux Nièces, ramona la Bâtarde de votre Mary, viola vos 2 Chambrières, êt vous engrossa Toutes. Durant ce temps-là, nous accouchâmes, nous alaitâmes, nous nous trouvâmes libres, ét il nous refout. Tâchéz d'être libres aussi, quand nous serons prises afin qu'Il nous refoute alternativement.
"Telle èst notre Histoire: voìlà ce que nous savons sur l'Homme à-queûe. J'ajoûterai seulement, que dans le temps où M. Fysitère ne nous l'a plus mis, nous àyant des desirs, nous avons eü recours à mon Père, à mon Oncle, à Guae, au Procureur, ét à mon premiér Galant, qui nous ont fourbies, Guae en bouche, les Autres en con. Cependant nous avons Toutes voulu avoir Guae, à la première douleur pour l'accouchement; son Vit, gros comme l'Enfant, frayait le passage, ét son foutre l'onctuaìt.
"Après nos coûches, nous avons prié mon Père de nous choisir de jolis petits Garsons non pubères, mais bandans roide, pour nous ramoner le con: ces Enfans, dont les petits víts huilés entraient calotés, ne dechargeaient pas, ét cependant farfouillaient agreablement dans le connôt".
Les 12 BELLES furent très-excitées par ce Recit, ét QUELQUES-UNES alèrent surlechamp ét successivement se faire ramoner par Fysitère, qui fut trés-étonné de cette boutade! Il se servit de ses 2 Queûes, en expediant ainsi 2 à-la-fois, Une dessous, Une dessus.
Cette bourasque appaisée, Fysitère revint à ses Us ét coutûmes. Mais biéntôt ses 3 Coucheuses parurent enceintes. Il les pria, ainsi que Mad. Linars, de luy en procurer 3 ou 4 Autres, pour luy faire des Enfans, en attendant leur liberté? Mad. Guae seule en procura 3, Une Tetonnette, son Amie d'étant fille, ét deux Soeurs, Biénouverte, grande blonde, avec Dardenbauche, aimable ét vive brunette, três-caressante, dechargeant comme quatre. Tetonnette était Une de ces Brunes à peau blanche, qui ont toujours Une si belle gorge. Fysitère assura les 12-cents fr. de rentes à ces 3 Filles, se chargea de leur ample entretién durant tout le temps de leur fecondité, les fit coucher au grand Lit, ét les depucela 8 fois chaqu'une la première nuit. Il commença pàr Dardenbouche, là plüs jeune. Elle étàit si amoureuse, bién-que pucelle, qu'elle ripostà, dès le premiér coup de vit. Elle soutint les 8 Assauts de-suite avec Un couràge héroïque… Fysitère prit ensuite Biénouverte. Elle fut plüs modérée. Elle crià, quoique-peu étroite; pàrceque ne dechàrgeànt pàs dàbord, Elle ne s'humectait que fàiblement le Conin. Elle étàit pucelle neanmoins. Malgré sà langueur, elle fut foutue 8 fois, comme Dardenbòuche; Fysitère auràit eü peur d'en mortifier Une… Il prit ensuite la belle Tetonnette. Il l'enfilà plüs difficilement que Biénouverte: màis elle remuà si delicieusement du cùl, ses tetons étàient si appêtissans, Elle avàit le connin si étrait, qu'Elle donnà autant de plàisir que Dardenbouche….
Aprês les 24 Assauts, Fisitère làissà dormir. Le lendemain-màtin, 3 Valets-de-chàmbre entrèrent, pour lui demànder ses ordres? Il s'éveillà; màis il feignit de dormir, là bouche sur là gorge de Tetonnette, ét une màin sur les Tetons de chàqu'une des 2 Autres. "Voilà Un Bougre biénheureux! (dit Un des Vàlets). "Oui"! (repondit Un-Autre). Et ils se mirent Tous-trois à se brànler. Alors FYSITERE feignànt de s'éveiller, leur dit: "Je vous ai entendus, Jean-foutres: Vous ne les enconneréz pàs; je veux qu'elles ne soient grosses que de Moy: màis tournez-les sur le ventre, et m'en enculéz Une chaqu'un". Il n'avàit pàs achevé, que les 3 Belles poussèrent un cri simultàné, causé pàr les 3 vits, qui leur entràient dàns le cùl. FYSITERE les exhorta à là pàtience, pàr l'idée d'une bonne oeUVRE; il les assurà que ces 2 Hommes alàient dechàrger pàr tèrre. Elles se rendirent à cette Ràison, ét cùletèrent à Quî mieux mieux.
Explicit L'HOMME-A-QUEUE.
A cette longue Histoire, Tous & Toutes se recrièrent: — Nous ne sommes que de la Saint- Jean, auprês de ces Fouteurs & de ces Fouteuses-là! Que ne sommes-nous à demain-! — N'aléz pas vous branler, Bougres! (leur dis-je). — Nous nous en garderons bién! notre foutre n'est pas à nous; il est à nos Belles. Qui était étonné de nous entendre parler ainsi devant ma Fille, c'étaient Brideconnin & sa Femme… Mais ils en verront bién d'autres.
SUJETS DES ESTAMPES.
I. Cupidonet, & Jenovefette.
L'Adolescente à quatre, troussée, ét le jeune Cupidonnet à-genoux, la couvrant cynîquement, tâchant de l'enfiler. Elle se cambre les reins, pour être atteinte: "Hausse, hausse le cul". p. 5
II. Cupidonnet, & le Con soyeux.
Cupidonnet sur Madelène, âgee de díx-sept ans, dont il lèche le con poilu: Elle est sur le dos, les jambes ecartees, et se prête en poussant sur la bouche de son jeune Frère, qui la gamahuche. "Darde ta langue dedans, chër petit Ami". p. 9
III. La Mère foutue.
Cupidonnet enconnnant une Femme de quarante ans, au lit, les draps à-terre: Il enconne pour la prémière-fois, et parait se pâmer. La Femme: "Jamàis… jamais… vous ne m'avez donné tant de pláisir". p. 12
IV. Cupidonnet, & la belle Marie.
Cupidonnet evanoui, le vit en l'air après avoir decharge dans le con de sa Soeur la belle, mariée à Paris, & parée, un-jour de Vierge, Marie detetonnée, & con & cul visibles. Elle dit: "Hâ.. Grand-Dieu.. c'est Cupidonnet." p. 16
V. Cupidonnnet, & l'Orlogère.
Cupidonnet au lit, sans couvertures ni draps, foutant la belle O logère, à laquelle son Mari, couché de l'autre côte d'elle, dit: "Courage, ma Femme.. hausse le cul". p. 20
VI. Cupidonnet, avec sa Femme le cul decouvert. 20
Il est appele par sa Femme debout, mais courbée sur un lit, troussee audessus des reins, & montrant le plùs beau cul: Il court à elle, le vit bandant. "Si j'ai la verole (pense-t-elle), fous-moi en cul".
VII. Cupidonnet, & Conquette.
Cupidonnet gamahuchant Conquette la nuit, sa lampe sur un garde-sel: Elle est à-découvert, & se tremousse toute endormie, quand elle sent la langue entre les lèvres de son conin à poil naissant. "Hâ.. hâ.. hâ.. ça m'chatouille". p. 25
VIII. Conquette, et Cupidonnet.
Conquette qui vient d'être gamahuchée, & que Cupidonnet le vit bandant, tâche d'enconner. p. 30 "Hâ! ce joli gamahuchage, tant que vous voudriez".
IX. Cupidonnet, et Victoire.
Cupidonnet tenant Victoire troussée jusqu'aux dessus du genou, & se fesant empoigner le vit, qu'elle ne voit pas: "Mignone.. serre moi le doigt, fort… fort". p. 32
X. Conquette, Culant, Vitnegre.
Conqette assise devant le feu, entre Vitnègre & Culant deculotés, bandans; Elle troussée: p. 36 "Alons, Bougresse. branle-nous Tous-deux".
XI. Cupidonnet, Conqette, Vitnègre, le Moine.
Cupidonnet dans un cabinet obscur, voyant Vitnègre le vit à l'air, montrant à nu les appas de sa Femme: Un Moine debout dans le cabinet, vu par le Père de Conquette, caché derrière un Sofa, & qui n'est pas vu. Le Moine tenant en main son vit monstrueux, regarde la scène: "Troussee, Putain, audessus des reins". p. 39
XII. Cupidonnet, et Conquette en levrette.
Conquette le ventre appuyé sur le piéd d'un lit: Cupidonnet l'a troussée audessus des reins; elle cambre la tâille, & il l'enfile en levrette. "Remue du Croupion… mon Ange". p. 44
XIII. Conquette, Vitnègre, un Payeur.
Vitnègre debout à-côté du lit, caché par un rideau, tandis qu'Un-autre le remplace sur sa Femme. Le Mari dit à Celle-ci: "Decharges-tu"? p. 48
XIV. Cupidonet, Conquette, Vitnègre, le Jeunehomme.
Cupidonnet caché: Vitnègre une lumière en mains trouvant le Jeunehomme sur sa Femme troussée: "He-bien, est-elle enconnée". (dit-il). p. 53
XV. Le Fouteur à la Justine.
Le Moine Foutàmort, ayant mis Conillette nue, expirée & dechirée sur une table, lui cerne les Tetons avec un bistouri, &c: "Decharnons-la." p. 56
XVI. Cupidonnet, Conqette, Timorí.
Cupidonet caché dans le sofa, avançant la tête, pendant que Conquette gamahauchee par Timori, lève les jambes en l'air, & fait claquer ses talons: "Hâ.. Timori.. ta langue vaut un vit". p. 62
XVII. Conquette enculée.
Cupidonet sous un Sofa: Timorì enculant Conquettte, courbée, dont le cul est bien perfore: L'Enculeur s'ecrie: "Quel cul? quel plaisir des Dieux". p. 63
XVIII. Conquette s'enconnant du Vit paternel. 67
Cupidonnet au lit avec Conquette, deux flambeaux sur la
Table-de-nuit: Il est sur le côté, le vit bién bandant: Il dit à sa
Fille nue, cherchant à s'enfiler: "Appuie lentement, ma
Reine".
XIX. Montencon, Cupidonnet, Hochepine, Vitsuçete.
Montencon embouchant Adelaide Hochepine en presence de Cupidonnet & et de Vit suçète. "J'embouche la jolie Garse". p. 70
XX. Cupidonnet, Conquette, Montencou.
Cupidonnet sortant du con de Conquette: Montencon le vit en main, alant se mettre sur elle dont le con & les cuisses sont bien à-decouvert. "A toi, Bougre". p. 7
XXI. Les Moines verolés.
Tous les lits sont couverts de robes monacales: Vitnègre assis auprès du lit de Foutàmort, qui lui montre un tableau, représentant une Femme à laquelle il viént de ne faire qu'un trou du cul & de la mote, & dont il cerne les Tetons: "Je me suis fait accommoder son con". p. 81
XXII. Le Sommeil enconné.
Cupidonnet encormi, le vit dans le con de Conquette, qui dort également encounée. En commençant à s'éveiller, elle dit: "Hâ! Mon dieu! c'est mon Papa, qui me…" p. 83
XXIII. Cupidonet, Conquette.
Cupidonet devant Conquette assise, en court jupon, les tetons decouverts: Il vient de se mettre le vit à l'air: Elle joue avec sa mule mignone, qu'elle fait badiner avec le bout de son piéd: "Je veux te griller". p. 88
XXIV. Conquette, Cupidonnet, Centlouis.
Centlouis prenant les tetons & le con de Conquette, en présence de Cupidonet, auquel il dit de serrer les cinquante louis. p. 91 "Ce con satiné, ces tetons touchés les valent".
XXV. Conquet:, Cupidonnet, Traitdamour. p. 95
Conquette renversée, troussée audessus du nombril, & à laquelle Cupidonnet présente Traìtamour, qui tient à la main & montre son gros & superbe vit. Conquette avançant sa main, pour prendre le vit: "C'est donc toi qui m'as fait tant de mal… & de plaisir"…
XXVI. Cupidonnet, Conquette, Traitdamour, Minone, Connète.
Cupidonnet foutant Conquette, qui lui darde sa langue: Traitdamour tenant les tetons de sa Soeur, qui lèche le trou du cul du Fouteur; tandis que Connète le suce dans la raie du dos: "Quels delices!… Je suis rendu"… p. 100
XXVII. Minone, Connette, Cordàhoyau, Brisemotte (1 grouppe). 108
Connète chatouille les couilles de Cupidonet debout, tandis que Cordàboyau enconne Minone, que Brisemotte encule couchée sur le côté. "C'est une Fouterie de Princesse…".
XXVIII. Cupidonnet, Conquette, Traitamour. 110 (2 grouppe):
Conquette sur Traitdamour, qui la tient enculéé sur lui!: Cupidonnet dans le con de la Belle, ainsi limée entre deux feux: "Piquez… des deux: la Garse est enculée"….
XXIX. La Danse Negre. 114
Cupidonnet habillé, mais le vit à l'air, regardant la danse, dans laquelle il pousse Conquette nue par les fesses. Traitdamour danse avec Rosemauve, une nouvelle Actrice; Cordaboyau avec Connette; Brisemote avec Minone; Tous six nus de la tête aux piéds: Ils figurent les mouvemens voluptueux; un Couple paraît prêt d'enconner; Un-autre d'enculer; le Troisième, en se contournant, met les Tetons sous la bouche, le vit sous la main, & montre le con qui l'appète. "Alons! Du mouvement, Garses"?
XXX. La Piochée, & ses Piocheurs. 117
La Piochée sur le Foutoir; Piocheur-père enculant Piocheur-fils; Piochencul les excitant, & se fesant bander, à l'aîde de la main & des Tetons de la Jeunefille. "Bougre… encule ton petit Garson".
XXXI. Piochette. 119
Le vieux Piochencul patinant les Tetins de Piochette, âgée de 14 ans, & fille du Frère & de la Soeur, pendant que ces 2 Individus sont enconés, & que le vieux Piocheur grand-père encule son Fils. "Tu me depuceleras ta Fille, dès que ton Grand-père t'aura deculé".
XXXII. Les Gourmets de Con. 123
Conquette enconnée par Cordaboyau, seulement comme Gourmet du satiné de son con, est enlevé de sur elle, prêt à decharger, par Traitdamour & Brisemote, le vit bandant et decaloté, pour le plonger tout-brandi dans le Con de Rosemauve, étendue sur un Foutoir haussant du cul: "Le Sacrébougre alait partir"….
XXXIII. Honnête Entretién du Pere et de la Fille.
Cupidonnet prenant le con de sa Fille d'une main, les Tetons de l'autre: Elle dît: 133 "Mon Dieu: je vous remercie d'un si bon Père".
XXXIV. L'Homme enfilant deux cons d'une volte.
L'Homme-à-queûe foutant Sophie-Linars de son vit, tandis que
Geoline s'enconne avec la queûe velue qu'il a au croupion.
Celle-ci dit: 141 "Et moi, je vais me servir de cette queûe
raide".
XXXV. La Fouteuse insatiàble. 157
La belle Agnès, livrèe par son Père, enfilèe par le jeune Procureur, qui se loue de ses delicieux mouvemens: Elle s'ècrie, en dechargeant: "Hâ… mon âme va sortir… par le trou qu'il me fait".
XXXVI. Indicibles Fouteries! 175
Agnès, après souper, ayant un corpset refluant, cachèe derrière un rideau de fenêtre, desorte que l'Homme-à-queüe seul, qui lui prend le con, ne voit pas son visage: Elle tient d'une-main le vit de son Père; de l'autre, elle retient à l'entrèe de sa bouche, & presse de ses lêvres, le Gros Membre de Guae qui decharge, & lui lance le Fontre au fond du gosier. Fysitère leur dit: "Il faut dabord que je foute habillèe…….".
XXXVII. Les Six Fouteurs des Trois Foutues.
Agnès, Doucette, la Carmelite, & la Marchande-de-modes maîtresse d'Agnês-Conveloutè. La 1re en deshabiller de gaze transparente, avec le chapeau de Marièe; les 3 autres nues, sont instruites par Agnês, [] Coupure. Six Vieillards, le Vit en main, nus, endoctrinès separement par Guae, nu assi, â l'entrée d'une autre pièce, où il les attire les Uns aprês les Autres…. Le premier est Un grand, maigre, dont le nez touche au menton; vit ordinaire. Le second, gros, très-ventru; le nez comme une grosse betterave (le vit long. Le troisième monte sur de longues jambes sèches; ayanr un pain-de sucre sur les èpaules; le Vit gros comme celui de l'Homme-a-queûe aumoins. Le quatrième aussi large que haut, a le vit de l'Oncle d'Agnês. Le cinquième a la tête monstrueuse, le ventre comme un tonnneau, le Vit comme celui de Guae. Le sixième est grand, voûté, bancroche; ayant un bourelet à son long Vit. Quant au laid Guae, On voit son Vit, gros comme Un Timon de carrosse soulever sa chemise… "Chaqu'un des 6 monstres crut qu'il alait avoir le Plaisir d'être mon Bourreau". 183
XXXVIII. Fysitère au grand lit avec ses 3 Fouteuses.
Elles sont nues: Fysitère nu enconne Doucette; Agnès lui chatouille les couilles; la Carmelite lui branle le queûe velue, dont elle se dispose à s'enfiler. Le mot est pris de l'Histoire par Agnês "Nous fumes ainsi foutues 8 fois chaqu'une dans la nuit; ce qui fesait les 24, ordinaire de Fysitère" p. 192
Table des Chapitres
La Préface. 3
I. Chapitre De l'Enfant qui bande. 5
II. Chap. Du Con soyeux. 8
III. Chap. De la Mère foutue! 11
IV. Chap. D'un autre Beaufrére Cocu. 14
V. Chap. Du bon Mari spartiate. 18
VI. Chap. De l'Epouse qui se fait enculer. 20
VII. Chap. Du Conin au Poil-Follet. 25
VIII. Chap. Des Conditions de mariage. 28
IX. Chap. Des Dedommagemens. 31
X. Chap. De l'infame Mari. 33
XI. Chap. Pucelage destiné aux gros Vits, pris par un petit. 39
XII. Chap. Du plus delicieux des Incestes. 41
XIII. Chap. Du Con & du Cul vendus. 46
XIV. Chap. Le Jeunehomme, la Fille, le Moine. 51
XV. Chap. Du Fouteur à la Justine. 54
XV.I Chap. Foutoir: Petit Magasin: Enterrement: Amour. 58
XVII. Chap. Du Pucelage du Cul: Le Père enconneur. 63
XVIII. Chap. Des Avis paternels, tenant sa Fille enconnée. 67
XIX. Chap. Du Père juste, & du Vit grisonnant. 70
XX. Chap. Du, Hâ, comme elle fut foutue! 74
XXI. Chap. Du Ressouvenir, & De l'Episode. 80
XXII. Chap. De la Fouteuse mise en appêtit. 83
XXIII. Chap. De la Tendresse Filiale: & de l'Amour Paternel. 86
XXIV. Chap. Du Chefd'oeuvre de Tendresse-paternelle. 91
XXV. Chap. Du bon Pere qui fait foutre sa fille. 93
XXVI. Chap. d'AVIS três-utile au Lecteur, & à l'Auteur. 98
XXVII. Chap. Du commencement des grandes Fouteries. 101
XXVIII. Chap. De l'Enculo-connillerie. 106
XXIX. Chap. D'une nouvelle Actrice: Danse Nêgre. 112
XXX. Chap. Le Pioché, la Piochée, le Piochard. 116
XXXI. Chap. Suite des Mêmes, Piochette. 119
XXXII. Chap. Du Conin goûté. 122
XXXIII. Chap. La Fouteuse sensée. 130
XXXIV. Histoire de l'Homme-â-Queûe. 134
XXXV. Chap. de la Garse insatiable. 144
XXXVI. Chap. Des Fouteries de la Convelouté, &c. 174
XXXVII. Chap. Des six Fouteurs pour trois Foutues. 185
XXXVIII. Chap. Conclusinn de l'Histoire des trois Foutues. 191
XXXIX. Chap. Du Fauteuil. 207
Fin de la Table de la I Partie.
EPILOGUE de la Ire PARTIE.
Jaî lóngtemps hésité, si je publierais cet Ouvrage posthúme du trop fameux Avocat Lingüët. Tout consideré, le câsement deja commencé, j'ai resolú de ne tirer que quelques Exemplaires, pour mettre deux ou tròis Amîs éclaîrés, et autant de Femmes d'esprît, à-portée de juger sainement de son effet, et s'il ne fera pas autant de mal que l'oeuvre infernale à laquelle On veut le faire servìr de contre-pòison? Je ne suis pas asséz depouroú de sens, pour ne pas sentir que l'ANTI-JUSTINE est Un pòîson: màîs ce n'est pas là ce dont il s'agît. Serà-ce le côntre-pòîson de la fatale JUSTINE? Voilà ce que je veux consulter, à des Hommes, à des Femmes desinteressés, quì jugeront de l'effet que le Livre imprimé prodúîra súr eux et súr elles. L'Auteùr a prétendú élóîgner de la crüaúté, de la sòîf dú sàng et de la mort de la Femme pòssedées: A-t-il reüssi? Il a prétendú ranimer les Marîs blâsés, pour les faire joüïr de leurs Femmes avec goût, à l'aîde de la lecture d'ún demi-Chapître de son Ouvrage: A-t-il atteint ce bùt? C'est ce qu'On decidera.
On a vû, par la Table seule, combién cet Ouvrage est sálàce! mâîs il le falàìt pour produîre l'effet attendû. Jügéx-le, mes Amîs, et cràîgnéz de m'indüïre én erreur!
L'ANTI-JUSTINE aurà VII ou VIII Partîes comme celle-cy.
FIN de la I. Partie.
L'ANTI-JUSTINE,
OU
LES DELICES DE L'AMOUR.
Par M. LINGUET, Av. au et en Parlem.
Avec Figures.
[Seconde Partie.]
AU PALAIS-ROYAL
Chez feue la Veuve GIROUARD, très-connu
1798.
Je suis parvenu au IId Volume de cet Ouvrage, destiné à ranimer les Maris blasés, auxquels leurs Femmes n'inspirent plus rién: Tel est le but des nequices de cet excellente Production! que le nom de Lingüet rendra immortelle.
L'ANTI-JUSTINE.
XXXIX Chapitre.
Chap. Du Fauteuil.
Le Dimanche arrivé, il y eút un joli dînér, qui fut servi dans mon Magasin. J'y avais fait mettre, oûtre le Lît & le vîeux sofa, un 3me Foutoir commode, que j'avais trouvé par-hazard chéz un Serruriér de la ruë de-la-Parcheminerie, qui l'avait acheté pour le fér & l'aciér seulemt, à l'inventaire de certain Duc. J'en fis l'histoire à ma Société:
"Ce Fauteuil, ou Foutoir, se monte. Le Serruriér le monta un-jour, pour en voir le mecanisme. Il alait s'y asseoir, au 1er. La jeune Femme trè-potelée de son vîeux Voisin Aupetit le Perruquiér arriva. La jolie Voisine essoufflée, se jeta sur le diable de Fauteuil. Aussitôt elle fut saisie par les bras. Un ressort la troussa, & un-autre lui écarta les cuissee. Un-autre lui fit faire beau con; un troisième la fit osciller. — Hé! qu'est-ce donc que ce machin-là? s'écriait-elle. — Ma bonne-foi si je le savais! repondit le Serruriér: j'aí monté la Machine pour la connaître; maîs je voîs que c'est celle avec laquelle le Duc de-Fronsac essayait les Filles recalcitrantes, que des Parens maladroits lui avaient vendues. Si vous vouléz, ma Voisine, je vais vous essáyer? — Alons donc! Est-ce qu'On viole jamais Une Femme malgré elle? Je mordraîs-… L'Homme-de-forge se deculote; se met sur elle. La Traquenardée veut le mordre. Un ressort asséz doux lui fait ouvrir la bouche, & en l'angoissant un-peu, la force à darder sa langue. Le Suppôt de Vulcain profite de tout-cela, & enfile la Perruquière, qui ne put l'empêcher, ni même crier… L'operation faite, la machine se trouva aubout de ses rouleaux, & Mad. Aupetit ne fut plus contenue. C'est alors qu'elle se mit à pleurasser, à criasser, comme si elle avait été au-desespoir. — Grand'bête! (lui dit le Cyclope), je vous aí trop bién operée, pour que vous ne deveniéz pas grosse: vous auréz un Enfant, que votre vîeux Jeanfoutre ne vous aurait jamaîs fait. Maîs il faut un-peu de ruse: Dês aujourdhui dites-lui que vous achevéz une neuvaine à St Julién, qu'il vous travaille ç'te nuît, & que le Saint benîra ses travaux. Remuéz du cul, quand il vous le mettra; dites-lui des foutèses, & s'il dechargeote un-peu, pâméz-vous, en disant qu'il vous inonde-. Mad. Aupetit s'en-ala munie de ces instructions, qu'elle mit en pratique. Le Fauteuil me fut prêté le lendemain.
Le Cyclope m'áyant vu passer, m'appela, me montra la Machine, me la vanta, & me mit au-fait de son usage. Elle me fut donnée à-l'essaì, & je la destinaí aux Begueules, s'il nous en venait à nos Orgyes. Je remis à monter la machine, quand il seraît à-propos, afin de ne pas en éventer le secret. Nous nous y assimes trois en dînant, Mad. Poilsoyeux, une jolie Chapelière de la ruë Bordet ou Bordel, amenée par Traìtdamour, & nommée Tendrelys; j'étais au-milieu. In petto je reservais le Fauteuil monté à la jolie Tendrelys, encore pucelle, quoique Traìtdamour lui eût quelquefois dechargé entre cuisses; ou, si la Chapelière était docile, à Rosemauve, ou à sa Soeur Rosalbe la blonde, ou enfin à notre Hôtesse Mad. Brideconin, que je voulais mettre de nos fêtes, ainsi que son Mari, voulant le faire cocu en sa présence.. Nous dînames bién, mais sans trop manger, ni trop boire. Nous avions dailleurs de la volaîlle, & toutes choses de facile digestion. On ne tardera pas à voir comment j'executerai tous mes projets.
XL Chapitre.
Chap. Des Cons Rasés.
En sortant de table, Traìtdamour nous dit: — Toute la semaine, il m'a roulé dans la tête de rendre le connin de Mad. Conquette-Ingenue-Pòilsóyeux ce qu'il doit être; c'est-à-dire, PUCEL: car je suîs sûr que depuîs huit jours qu'elle n'a foutú, il s'est retréci en Diable!.. Brisemote, Cordaboyau, vîts implacables, trousséz-moi Minone & Conète; il ne serait pas seant qu'elles se troussassent elles-mêmes-. On les troussa jusqu'audessus du nombril. Pas un pòil! Je les ai rasées ce matin (dit Traìtdamour, pour voir l'effet, avant de proposer la même chose à notre Deesse. Vous voyéz comme elles sont propres? Tout le corps l'est de-même: Elles se sont baignées tous les jours, depuis qu'elles savent que la belle Fouteuse met tous les jours son Con dans l'onde limpide, & y plonge entiér son corps appêtissant. Elles m'ont assuré que, lorsqu'elles étaient en chaleur, l'eau-fraîche dans laquelle trempaient leurs Cons brûlans, leur donnait un plaîsir presque fouteùr… Maîs vôyéz-moi ces Cons-là? Ne dirait-On pas des connins de Fillètes de 12 à 13 ans? On en convint.
En-consequence, je priae ma Fille de se laisser raser la Mote. Elle se cacha le visage dans mon sein. Traìtdamour aussitôt la renversa sur un Foutòir, le Con au grand jour. — C'est pourtant domage! (dit-il eu le maniotant;; la perruque en est superbe!… Je vais dabord employer les cîseaux: Nous mettrons ce pòil sóyeux sous verre dans un câdre doré: ce seront de précieuses Reliques-. Il coupa. Ensuite il tira d'une jolîe boîte une savonnète parfumée, & savonna longtemps le Connin. Comme cette operation excitait Conquète, elle me pria d'appuyer mes lêvres sur sa bouche. Elle me dardota sa langue, pendant tout le temps qu'On fit la barbe à son Con, & lorsqu'il fut rasé, On le lui lava d'eau-rose; On lui sècha les cuisses avec des linges doux, & Tendrelys mit le beau pôil de la depouille sous le verre-à-câdre. Puis le Conin sans barbe fut livré à l'admiration de l'Assemblée. Tout le Monde, surtout les Filles, jusqu'à la modeste Tendrelys, qui, disait-elle, n'était venue que pour voir, & rougissait de tout, le trouvaient si appêtissant, qu'elles demandèrent à le baîser, & qu'elles se jetèrent dessus. La jolîe Chapeliére cola ses lêvres vermeilles sur le Con rasé, & sa langue ala dans la fente exciter la volupté: Rosemauve, qui arrivait, vint sur elle comme Une Enragée, la debusqua, & gamahucha si vivemt la Deesse, qu'elles émîrent toutes-deux. Les Hommes éurent leur tour; ils sucèrent le Conôt dechargeant, & le firent decharger encore.. Pour Mòi, j'admiraîs, les deux mains plongées dans les Tetîns de Tendrelys, qui les avait charmans, & n'ôsait se deffendre, — Hâ! quelle partie? me dit-elle. — Tu ne vòîs rién! lui repondit Minone.
En-effet, Traìtdamour áyant fait retirer les Gamahucheurs du Con de Conquette-Ingenue, qu'ils ne quittaîent pas, dit à ses Camarades: — Imitéz-mòi-? Aussitôt tous les vits en érection furent à l'aîr. — Alons! alons! au Con! au Con-! Tendrelys baissait ses beaux ieux: maîs Conquette ètendue sur le Foutóîr, la Mote legèremt branlée par Rosemauve, soulevait la tête pour vòîr les vîts. — Laquelle enconnéz-vous, me dit mon vigoureux Secretaire: Laquelle enconnéz-vous de la voluptieuse Conquette, de moi, ou de la pucelle Tendrelys-? J'hésitaîs pour ma reponse, lorsque tout-a-coup j'entendis ma Fille s'écrier faiblemt: "Le vît! le vît"? Traìtdamour se précipita sous elle, la prit sur son dós, me la présentant oscillante: — Enconnéz, me dit-il, la Fouteuse fait beau con-… J'enfonçae. Je bandaìs si ròide, que je la fis crîer en la perforant. Maîs elle foutit aussitôt, en me disant: — Bon… (haussant le cùl), bon!… Hâ! que tu bandes bién!…. Fous… fou—— fourgonne… Fou—-fourage, chër Pap.. je dech——a——a—— (Traìtdamour la secouait) arge-… Je dechargeaîs aussi. Son delicîeux Connin me pinçait. La Deesse m'enivrait. Traìtdamour la fesait osciller, comme le Corax de PETRONE son Maître Eumolpe… Cependant Brisemote avait mis sur son dos Rosemauve nue, que foutait Cordabóyau sans chemîse: Les 2 petites Enragées Mînone & Connette nues comme la maîn, venaîent de mettre Tendrelys nue comme elles, & la tenaîent entr'elles, se frotant le côn sur ses cuisses d'albâtre, en lui chatouillant l'Une la mòte, l'Autre le trou du cùl: Elles dechargérent Toutes-trôîs avec les 2 Foutûes: "Grand-Dieu! s'écîa la jolîe Chapelîére, comme vous savéz être heureux"!
XLI Chapitre.
Chap. Vit inatendu.
En ce moment, l'On entendit frapper des maîns à la porte. (C'était un signal que j'avaîs donné.) J'avaîs deconné; j'alaí ouvrir. C'était le Cyclope. Il ne devait pas entrer: maîs il me poussa Un Homme qui avait les îeux bandés & les maîns lîées derrière le dôs. Il était couvert d'un grand surtout de laine blanche, sous lequel îl était nú sans chemîse. Je le prîs par le corps: je le poussaí vërs le Foutòîr à Fronsac, sur lequel Traìtdamour jeta sa Soeur; On le monta, & dês que l'Enfant fut prîse, On fit tomber sur elle, en lúi arrachant son couvretout, l'Inconnu que je venaîs d'intrôdúire. Quand il fut nú, son grôs Vît épouvanta tout le Monde, & il se fit Un Hâ! universel. Conquette le reconnut, & pâlit. (Observéz que Tous pouvaîent parler, excepté Conquette & Môi). Minone (la Traquenardée), fut la seule que ce Vît, qui ne le cedait qu'à Foutamort, n'effráya pas. Elle le saisit courageusement, & lui mit la tête entre les lêvres de son Côn, en lúi dîsant: — Pousse, Bougre-. Il estocada, comme un Beliér de siége. Maîs il ne penetrait pas. — Soulève du cùl, Pútain! lúi dit le Brutal; je suîs trop-haut-. Minone souleva. Le Vît trouva l'ouvertúre; & quôîqu'elle ne fût que la môîtié de qu'il lùi falait, il la força. Minone souffrait le martyre. La sueur & les larmes sillonnaîent ses joues. Enfin, le grós Vît, parvenú au fond, injecta son baume-de-vîe, & adoucit, en les onctuant, les paròîs dilacerés: Mînone qui venait de clamer de douleur, s'exclama de plaîsir: — Hâh! hâh!.. il m'inonde!… je fous… je decharge… je me pâme-! Et la jolîe Petite remuait du cùl comme Une Garse, foutue par Un Moine au bordel.
Nous étions dabord tous stupefaits d'admiration! Puîs nous bandames tous comme des Enragés. Brîsemote le mit en levrette à Rosemauve; Cordaboyau enfila Conette par-devant; Traìtdamour consulta mes îeux, en me designant Conquette ou Tendrelys: je permis la Ire, ajoutant fort-bas: — Il fout ta Soeur; fous-mòi sa Femme. — C'est Vîtnègre-! Et îl se jeta comme Un Fúrieux sur l'Epouse du Jeanfoutre, si brutalemt enconnée, qu'elle en crîa… Maîs elle dechargea presqu'aussitôt: ce qui changea sa douleur en plaîsir. "Toute Femme qui decharge comme ça, balbúcîait Traìtdamour, en la fourgonnant, est bonne; il n'y a que Celles qui ne dechargent jamaîs, qui sont mechantes-.
Cependant Vîtnègre refoutait, sans deconner, & Mînone redechargeait: Rosemauve hennissait sous Brîsemote; Conette sous Cordaboyau; Tendrelys émue, appúyée sur mon épaule, me présentait sa jolîe bouche, & Conquette martyrisée par Traìtdamour, pleurant, cùletant, émettant, crîotant de doleur & de volúpté, envîait encore les tòurmens de Mînone. Son Fouteùr me crîa: — Sacre-Dieu! pomadéz donc,… & depúceléz-mòî… cette Garse de Tendrelys-? L'aîmable Enfant me lança Un lông regard, en se mettant la maîn devant le Còn, comme pour le deffendre. Nous avîons-là du beûrre-fraîs; j'onctúaí le Connîn, renversae la Vîerge sur Un Foutòîr, malgré ses tendre prîères, & mon vít pénetra. — Aumoîns, me dîsait-elle, en le sentant entrer, vous ne me lîvreréz pas au Bourreau de Mînone, nî à ces au——tres-là? —— Remue du cùl, Bougresse! lúi crîa l'împitòyable Traìtdamour. Est-ce comme ça qu'On fout? Regarde ma Belle, & ces… 3 autres —— Garses?… Tiéns, —— Putaîn —— pucelle, —— nous de——char——geons! —— La pauvre Petite, à cette exhortatîon énergique, gigota sous mòî comme elle put. Je pénetraîs doucemt; je caressaîs, dardotant la langue, dîsotant des tendresses… —— Vous la menéz tróp bellemt, s'écrîa Traìtdamour, fouragéz cómme mói, ou cómme ce Côcú, que voila sur le Fauteuil?… Tenéz? il mord les Tetôns qu'il ne saurait patiner?.. Ne va pas lúî faire trop de mal, Bougre! c'est —— ma Soeur, & —— je t'assommeraîs…. Je de—— charge….. —— Hâ! qu'il me devôre, s'écrîa Mînone; pourvû qu'il —— me foute!…. Je decha——arge-…. "Je fous..? je décha——arge! s'écrîa Rosemauve. —— Je dechârge!… crîa Conette. —— Hâhahah-! fit Conquette… Pour Tendrelys, dont j'ateignaîs le fond du Connin, elle dít: —— Ze suîs depúcelée! ze deçarze!… Que dìra Maman? —— Elle ne le verra pas, jolîe Fouteuse: Le vit de mon Maître conserve les púcelages (crîa Traitdam.)
En ce moment, Vîtnègre deconna Mînone trop fatiguée. On lúi pomada Rosemauve, que Brîsemote deconnait (car les tourmens de la courageuse Mînoue avaîent épouvanté toutes nos Bellles. Le Vît de Mulet l'enconna plüs vîte; maîs elle n'en souffrit pas moîns: Elle pleura, sanglota, & enfin… dechargea…. Elle fut ramonée 3-foîs sans deconner. Mînone l'avait été quatre.
C'était le tour de Conète. Elle fut pomadée avec plüs de soin que Rosemauve; & cependant elle jeta les hauts-crîs: Si elle n'avait pas été sur le Fronsac, elle aurait desarçonné son Bourreau…. Elle dechargea enfin, & les plaîsirs succedèrent. Maîs On ne s'attendait pas à l'effet qu'ils produisîrent!
C'est que Mad. Poilsoyeux eüt envîe du gros Vît de son Mari. Elle demanda tout-bas et voulàit qu'On la mît sur le Fronsac, aumoment où Vîtnègre deconna la Conète, quoique Celle-ci eût le Con aussi barbouillé de sang que de foutre. Maîs Traìtdamout la hâpant, la renversant & l'enconnant, lui dit tout-bas: —— Garse! je suîs jaloux de toî pour mon Maître & pour moî: je t'étrangleraîs plütôt, que de te laîsser foutre par ton Cocù de Mari en ma présence. — Pardon! Vît dívin! leurs douleurs m'ont tentée! Fourgonne-moi, à m'en ôter l'envie? Car je ne compte plus que sur toi: voila M. Lingüet qui donne son fou——outre… je decha——arge…. à la —— sacrée Ma——âtine… de Teudrelys… — Hâ! Reîne des Pútaîns, tu es jalouse! Tiéns, tiéns, voila des coups de Vît dans ton Connin-dieu… Hah!… hah!… ze redeza——arze-! murmura-t-elle…
Cependant, que fesait Vîtnègre? Il prenait du repos & quelques liqueûrs brûlantes, tout en patinant les Tetons de ses 3 Foutües, qui le branlaîent pour s'amuser. Tout-à-coup Mlle Lîngüet dit à son Foutant: "Maîs ce Bougre est Un-autre Guae? il faut qu'il me restaure? Qu'On lui lave bién le Vît à l'ëau-rose; je veux le teter, comme fesait Mad. Guae le gros Vît de son Mari-? Nous ne pouvions nous refuser à Une proposition aussi raîsonnable. On lava le Vît monstrüeux; 2 des 3 Garses soutinrent Vîtnègre de chaque côté, en lúi livrant leurs Tetons; Rosemauve lúi chatoüilla les covilles & le trou du cùl; Traìtd'amour se coucha par-terre sur le dos sous ma Fille à genoux qu'il enconna; Mlle Lîngüet baisa 5-à-6-foîs le gros Vit, tout en ripostant aux saccades de son Fouteûr: Prête à decharger, elle emboucha, fesant aler & venir l'énorme Wit du bord de ses lêvres de corail, au fond de son gosiér satiné. En dechargeant, elle mordit… Telle la voluptüeuse Femelle du Serpent-Geant écrase dans sa gueule, la tête de son Mâle trop amoureux… Vitnègre mordú se recria de volupté! Il émit Un torrent, quoiqu'il eût deja foutú 9 coups, & Mlle Lingüet fut inondée de foutre au même instant dans la bouche & dans le con… Elle voulut teter 3-foîs Vitnègre, que les 3 Garses qui le chatoüillaîent, secouaîent tellemt, qu'il rebandait aussitôt. Dailleurs, il s'écriait à tout-momt: — Ma Femme n'est pas morte! c'est elle que j'embouche; je le sens au veloûté de son palaîs-?… Et cette idée le fesait decharger à flots… Mlle Lingüet fut obligée de cesser ce jeù, dans lequel On voulait faire expirer Vitnègre; maîs Mlle Conquette-Lingüet avait sucé le double Wit avec tant de fureùr, qu'elle avait la bouche tout en feù… On obligea Winègre d'encùler ses 3 Foutües; ce qui lui fit 15 copieuses decharges, parceque les Belles de-relaîs lui manipulaîent impitoyablemt les covilles.. Les excessives douleurs de l'encùlage n'en effráyérent Auqu'Une; aucontraire, les tourmens de la Patiente excitaîent leur passion, & elles la pinçaîent; pour la forcer à s'agiter, & à faciliter ainsi l'intromission du gros Wit dans son cùl.
Vitnégre n'en pouvait plus. Ce fut précisémt ce qui excita Mlle Lingüet: Elle exigea de nous qu'il dechargeât Une 16me fois, & que ce fût dans son cùl, à elle? Traìtdamour se vit obligé de ceder. On manipula Vitnègre, On lúi chatoüilla les covilles; On l'assura qu'il alait encùler Mlle Lingüet sa Femme. A ne nom, il érectionna. On lui fit sucer les Tetons de Rosemauve, comme ceux de Conquette. Il banda roide. Aussitôt On coucha l'Encùlande sur le ventre; On lui beûrra la rosette, puîs le rectom avec Une grosse canule; Tendrelys prit délicatemt le gros Wit avec ses doîgts de rose; pour le diriger dans l'anùss, tandis-que Minone & Conéte écartaîent chaqu'Une Une Fesse: Rosemauve, prête à manipuler les covilles, fráyait avec son doîgt beûré l'entrée du Wit-monstre dans le cùl de la Patiente… Enfin, il penetra, en dechirant… Mad. Vitnègre poussait des cris sourds, que son Mari crut reconnaître. Ce qui lui fit redoubler ses estocades. Alors l'Encùlée jeta Un cri,… qui logea le Monstre tout-entiér dans son gros-boyau…. Vitnègre ne doutant presque plus, y fourgonnait avec rage.. Il ne decùla pas après avoir-dechargé; Rosemauve lui chatoüillait les couilles, l'anùs, & s'appûyant du con sur son cùl, foutait avec lui, en poussant à chaque-foîs… Vitnègre dechargea 3-ondées de foutre dans les boyaux de sa Femme; ce qui fesait 18 pour la seance. Il tomba en faiblesse à la dernière…
On le tîra du cûl de Mlle Lingüet, qui ala se le mettre dans l'eau-fraîche, pour se le raffermir. On jeta Vitnégre dans Une aûge d'eau-de-puîts qui était dans la cour, pour lui faire reprendre ses sens: Le Cyclope parut. On porta Vitnègre dans son Fiacre. Il le le remena. — Saís-tu quî j'aí foutu (lui dîsait-il en route), dans ton sacré Fronsac?….. Ah! comme elle fout!… Elle a bién appris, depuîs qu'elle m'a quitté!… Je l'aí foutúe 16-foîs, tant en con, qu'en bouche & eu cûl-… Le Serruriér, après avoir remis Vitnègre à sa Filleule, s'évada.
Vitnêgre rencontra le Serruriér quelques moîs aprês. — Veux-tu m'y remener? lui dit-il. — C'est l'impossible, répondit le Cyclope; tout est disparu. — Ah! la Garse! si je la retenaîs, je passeraîs le reste de ma vîe dans son cûl & dans son con-. Ainsi finit cette Aventúre.
XLII Chapitre.
Chap. La Jalousie de deux Connins.
Nous restions tous sept émerveillés des 16 enconnades-embouchades-enculades de Vitnègre! quand Traîtdamour regardant la jolie Chapelière, nüe comme toutes les Autres, lui dit: — Te voila depucelée, Mignone, & mon divin Maître a cueilli ta rose? C'est Un grand honneur & bonheur à toi & à moi! Je te regarde à-présent comme les Devôts regardent leur Vierge-Marîe, qui, foutûe par l'Ange-Gabriël, puîs par le Saintesprit, dont elle fut la Pûtain, n'en était que plûs vierge: Te voila consacree au vit de mon Maître; conserve-lui religieusemt ton Connin, ou ne le prête qu'avec sa permission… A-présent, celeste Mignone, votre jolie Mote va être savonnée & rasée-? Tendrelys objecta sa Mère, qui toutes les nuits lui visitait le Con, pour voir si l'On ne touchait pas à son pucelage, deja vendu, & qu'On devait biéntôt livrer. — Je m'en-fous, Deesse, repondit Traìtdamour, en me voyant monter le Fronsac; On lui dira tout-. Et il la poussa sur le Fauteuil, qui l'étreignit. Il la savonna, & prépara son rasoir.
En ce moment, artiva Mlle Conquette-Ingenue-Lingüet, qui venait de se laver le cùl à l'eau-de-puîts, pour se le raffermir. — On va donc aussi raser le con de Mlle? (dit-elle avéc un-peu d'humeur). — Ah! ma belle Deesse! empêchéz-en, à-cause de Maman, qui ne saura ce que ça veut dire? s'écria Tendrelys suppliante, en lui baisant une main, qu'elle était parvenue à saisir. — Non, Mlle, je ne m'y opposeraí pas! Votre con rasé laessera mieux voir à votre Maman que mon Infidèle vous a deflorée… Nous verrons aussi, aprês qu'On lui aura enlevé cette charmante perruque, si votre Bijou, Mlle, l'emporte sur le mién, tout fatigué qu'il est? — Ah! mon adorable Amie! il n'est pas besoin de cela: Rién ne vous égale. — Alons, Mr, raséz donc? Et je crois bién qu'aprês, mon infidèle Amant qui a depucelé cette jolie conque, vous permettra bién de vous y loger-? Traîtdamour tout en coupant la belle Toison-d'Or, représentait à Conquette-Ingénue, que tous les Pucelages m'étaient devolus, & que j'étais obligé en conscience de les prendre, sous peine de mortifier la Neophite. Conquette ne savait que repondre: mais elle bouda. Je m'approchaí d'elle, & comme elle était nue, je lui baisaí les Tetons, & lui mit mon vit en main. — Vous aimeriéz mieux qu'il fût entre les jolis doigts de Tendrelys! — Non: Persone ne me faît bander comme vous; mais aprês vous, Tendrelys. On lui rase la Mote; il le faut bién, pour comparer vos Cons celestes, abstraction faite de la fatigue du vôtre. On les gamahuchera dabord: Ensuite je verraí auquel des 2 mon Vit-Sultan donnera le mouchoir: Le mieux rempucelé l'obtiéndra.
Mlle Conquète fit une petite grimace de Jolie-femme sûre d'elle-même, & se tût. Le Rasemote acheva. Le Connin de Tendrelys fut lavé à l'eau-rose; Mlle Lingüet fit rafraîchir le sién, & les deux Cons furent comparés… Ils furent desinteressémt trouvés égaux. Ce qui était bién donner la supériorité au Conin de la belle Conquète, deja tant foutüe… Ce fut l'avis general. Rosemauve, Minone vinrent se comparer. Mais leurs Cons étaient loin d avoir cette physionomie virginale de ceux de ma Fille & de Tendrelys. — Vos Cons sont aimables (leur dit Traîtdamour), cent-fois audessus des Conasses de Putains; mais ils ne peuvent se comparer à ces 2 Connins de Houris-. Conquette se pavana. Mais genereuse comme elle l'était, elle prit vîte son parti. — Puisque nos Cons sont égaux, me dit-elle, en baisant Tendrelys sur la bouche, lui patinant le Con, redépuceléz la, & que votre Lieutenant me refoute, s'il en a la force-. Elle n'avait pas achevé la derniére sillabe, qu'elle était enconnée. — Fous-la! me cria-t-elle, fous la Garse-! J'enfilaí la jolie Nymphe… Mais prête à decharger, Mlle Conquéte-Ingenuë entra en fureur érotique (& je compris par-là comment les Héros de Dsds, sur-le-point d'émettre, deviénnent cruëls), l'Enconnée s'écriait: — Foutéz-moi tous cette Putain de Tendrelys!… Brisemote! ne fais qu'un trou de son cùl & de son con-!… Elle dechargea; & un-peu calméé, elle se mit à dire: — Pardon! pardon, ma petite Soeur!… c'est le foutre.. qui me portait à la tête, & me rendait cruelle!… Qu'On lui conserve son joli con… toujours pucel,… pour les plaisirs de mon… Papa- fouteur;… c'est bién asséz.. du mién qui est… martyrisé!… Alons pousse… fous… ne me ménage plus! (dit-elle à son Bourreau)….. Et elle se mit à coupdecùler plûs fort que jamais. Ce qui fit re-enconner Rosemauve & Conète, dont les cùls étaient moins malades que celui de Minone: Cette bonne Soeur de Traîtdamour vint me chatouiller les covilles, & j'émis.
XLIII Chapitre.
Chap. Minone et Conette jadis depucelées: Vieille.
Cette scène achevée, il y eút du répos. Nous avions legèremt dîné, exprês pour faire colation. Nous mangeames des fraîses au vin-muscat, avec des pains-mólets du Pont-Michel: Puis nous primes d'excellent café, fait par Traîtdamour, & nous goûtames aux liqueurs. Ensuite, nous jasames… — Mon Ami (me dit Conquète-Ingenue, en montrant Minone & Conète), vous avéz eú ces 2 jolies Compagnes, ainsi que Rosemauve, & vous venéz de depuceler Tendrelys sous nos ieux: Faites-nous le recit de votre première-fois, & dites-nous coment vous les avéz seduites? — Ah! oui, oui? s'écriérent Tendrelys, Rosemauve, & tout le Monde. — Je feraí ce recit très-volontiéts; mais à-condition qu'On ira chercher Mad. Brideconin notre hôtesse, pour qu'elle y assiste: Nous comencerons à l'apprivoiser par-là-? Mes 3 Sacripands, pour quî elle était un Morceau nouveau, ne demandérent pas mieux: Ils l'enlevérent à son Mari, qui en ce moment, lui tenait les tetons; sans même daigner lui repondre, l'assirent à-cru sur les mains jointes de deux, tandis que le 3me la soutenait par-derrière, & l'apportérent ainsi moitié troussée & detetonnée. On la pósa sur le Fronsac, & si je n'en avais empêché, On lui fesait une históire, aulieu d'écouter la miénne. Lórsque tout fut tranquille, je commençaí:
— Je m'étais mis en pension chéz la Bellemère de Traìtdamour, blanchisseuse, rue d'Ablon, pendant que ma Femme courait la Provînce avec un Galant; le même qui la foutait avec tant de passion, qu'il se mettait dans sa chemise, pour la palper & l'enconner mieux. Traìtdamour m'apportait á dînér les jours-ouvrables; maîs j'alais dîner à la maison de la bonne Mère-Wallon les Dimanches & Fêtes. Un-jour, que nous y alìons ensemble, il me pria de montrer à écrire à sa petite Soeur? Je le voulus bién. En montrant à Minone, J'avais souvent sous les ieux ses tetons naissans, blancs come lys… [— Faites entrer mon Mari; je suis bién-aise qu'il ait sa part de cette histoire-là-? interrompit la Brideconin. Aussitôt Traitdamour, sur un signe de mes ieux, l'ala chercher; tandis que sur un-autre signe, Brisemote & Cordaboyau prirent l'Un la mote, l'Autre les tetons de la Dame. Elle était ainsi ráyonnante entre 2 Mâles, quand son Mari parut. Brideconin fut dabord ébaubi: puis il n'en fit ni un ni deux, il ala s'emparer du con de Rosemauve, & des tetons de Conette; Traitdamour prit le con & les tetons de sa Soeur: Quant à moi, je fis asseoir Conquette & Tendrelys l'Une sur l'Autre entre mes jambes, laissant de-temps-en-temps tomber mes mains sur la gorge de ma Fille, oú de sa jolie Rivale… Je repris:]
"Je dis à Traitdamour, en-particuliér: — Il ne faut plus que je montre à la Petite; elle me fait tròp bander, & je la foutrais au Ier jour. — Ah! mon chër Maître! quel bonhr pour elle & pour moi, si vous la depuceliéz! La pauvre Orpheline! elle n'a aucun plaîsir! (c'est que leur Mère était morte, & que le Père, remarié à une Bonne-amie de feue son Epouse, à l'instante prière de Celle-ci, avait mourant lui-même, laissé pour bellemère aux 2 Orphelins la Bonne-amie de leur tendre Mère). Je repondis, Que cela était bién difficil!… que la petite Soeur parlerait. — Non, je vous en repous: Minone a deja des desirs pour vous. Elle m'a dit, qu'elle aimait bién quand vous lui tonchiéz le Chose par-dessus la jupe- Ce discours m'enhardit.
Un-Dimanche que j'étais seul avec Minone, à la faire écrire, je ne pus résister à l'envie de lui baiser sa jolie bouche; puis un tetin; & de-là má main descendit rapidemt à son Connichon sans pòil. J'éprouvaí une érection terrible! Mon vit me gênait. Je me deboutonnaí. Il s'élança audehors. — Qu'est-ce que c'est que ça? me dit la Petite. — Un vit, mon Enfant. — A quoi cela sert-il? — A mettre dans un Con. — Mais j'aí un Connin, à ce que dit mon Frère, & ma Bellemère a une Connasse. Depuis qu'il est grand, & qu'il a ce qu'il nomme du Foutre, il met son engin dans la Connasse de ma Bellemère, que ça fait tremousser & crioter… Il a voulu me le fourrer, à moi: mais j'ai le conin trop étroit, ou il a l'engin trop gros: jamais il n'a pu… Ma Bellemère l'a surpris, & elle l'a bién grondé! Il lui a dit: — Alons, foutéz-nous la paix: venéz que je vous enconne, vieille Truande: car je ne saurais m'en passer, en ce moment-. Et elle s'est aussitôt renversée sur son lit, en se troussant; il l'a, ce qu'il appelle foutue… Hô! comme elle gigotait! comme elle jurait des B. & des F. comme elle était contente!… Et il me disait: — Voi, Minone, comme c'est bon! Comme la vieille Garse se deméne, en supant le bâton de sucre-d'orge… Montre-moi ton petit connin, que je decharge à ton intension-…..
Ce recit de Minone acheva de me faire bander outre mesure. Je demandaí à la Petite, S'il y avait du beurre à la maison? Elle m'en donna. J'alais la beurrer, quand la Bellemère, bonne-femme au possible, rentra, áyant oublié son éventail. Elle vit mon trouble, & la rougeur de la Petite. Elle me dit: — Gage que vous alez la tourmenter?… Ça n'est pas mûre. Venéz-. La Vieille m'entraîna sur le piéd de son lit, se troussa, me tira sur elle, & m'engloutit, malgré ma defense….. Pour sauver le pucelage de sa Bellefille, elle me retint une heure à conâiller. Je ne dechargeaí cependant qu'une-fois, contre la Vieile une dizaine; car je m'aperçus qu'elle m'aimait. Ensuite elle s'en-ala, sans laver, en disant? — J'en marche mieux, la charnière graissée-.
Dès qu'elle fut partie, je fis mettre Minone, qui avait tout vu, à la fenêtre: je la troussaí audessus des reins; je lui beurraí le connin, & je rebandaí roide. Je dis à la Petite, en la commençant, de se cambrer la tâille, pour mettre son petit trou bién à la portée du vit qui l'alait percer? Elle le présenta de son mieux. Avec des peines infinies, à l'aîde des douloureuses oscillations de son joli cùl, & parceque la decharge était retardée par le degoût que m'avait causé le Con gris de la Vieille, je parvins en levrette jusques au fond; car je sentis sa celeste petite matrice me pincer… L'Enfant s'agitait par mes ordres, mais sans décharger.
Son Frére arriva dans ce moment. Il fut transporté de joie… — Ah! vous la depuceléz! quel honneur & quel bonheur, pour elle & pour moi!… Decharge-t-elle?… As-tu du plaisir, ma petite Soeur? — Elle ne decharge pas (repondis-je), la chère Mignone; elle souffre: mais c'est avec un courage!.. Voi ce tortillonnemt de croupion-… Traitdàmour touché, glissa une main sous le ventre de la Petite, & lui chatouilla le haut de la fente de sa motinette imberbe… Les ieux de l'Enfant se vîtrèrent; elle se roidit. & tournant sa j lie bouche de mon côté, elle me darda sa petite langue, déchargea pour la Ire_ fois, & se pâma… Je déchargeaí comme elle: je n'avais jamais eú tant de plaisir…
Quand j eús deconné, son Frère me demanda, Si j'en étais jalous? — Oui, de tout Autre que de toi — Hé-bien, votre foutre va servir de pomade à son joli conichet-. Cependant Minone voulut pisser. Son Frère la renversa sur le dos, au pi d du lit, & l'enconna vìgoureusemt, malgré la grosseur de son Membre. La Petite cria. — Remue du cùl, & decharge avec delices, pauvre Orpheline, lui disait-il, en la saccadant; tu es enconée avec amour-. La Petite dechargea 3-fois; mais elle n'en pouvait plus… Il me lava, & je la re-enconnaí… J'eús encore plûs de plaisir, parceque la Petite avait aquis de l'usage, & que le gros Vit de son Frère avait fráyé la route… Depuis ce jour-là, nous foutimes Minone tous les Dimanches & Fêtes. La Bellemère s'en-aperçut pour moi; mais elle ne dit mot.
Enfin un-jour Traitdamour me demanda, Si je voudrais aussi montrer à écrire à Conète, sa Maîtresse pour le mariage, depuis que la Mère de Tendrelys, qui craignait un depucelemt, lui avait absolumt ôté toute esperance. — Soit (lui repondis-je). Je montraí donc à Conète. Aubout de 2 mois, cette Jeunefille étant un-jour à la fenêtre, fort panchée en-dehors, & montrant une jambe fine, que mes ieux devoraient, Minone qui prenaìt son exemple d'écriture, le remarqua. Je lui tenais les tetins, & la priais de me prendre les couilles. Elle me quitte; va vers Connète; lui dít tout-bas, — Laisse-toi faire- …. La trousse; me mène sur elle; lui beurre le con & à moi le vit; lui dit: — Cambre-toi, ma Fille-… Et à moi: — Enfiléz jùste; vous voila dedans-… Conète se cambra, & suivit toutes les indications de son Amie: Desorte que quoique la Púcelle fût très-étroite, je penetrais. Traitdamour arriva. Il nous fit ôter de la fenêtre; se coucha sur le ventre au piéd du lit; fit étendre sa Maîtresse sur son dos, cùl sur cùl: Il me dit d'enconner, le vit dirigé par la màin de sa Soeur; et á chaque sacade que je donnais, il me repoussait d'un coup de son cùl le con de sa Maîtresse, à me faire avancer d'un pouce. Conète éprouvait des souffrances inouïes…. Mais étant parvenu au fond, par un violent coup-de-croupion de Traitdamour, qui ne donna plus que de petits coups de trot-de-cheval, Conète clignota de l'euil, et biéntôt émit avec d'ineffables delices…..
Je croyais que Traitdamour alait se jeter sur elle et l'enconner tout-chaud? — Non, me dit-il; c'est ma Future: si j'avais le bonheur qu'elle me fît un Petit de vous, cela ennoblirait ma Race-. Et il foutit sa Soeur, pendant que je refoutais sa Maîtresse. Aussi depuis aí-je partagé avec lui Ce que j'avais de plüs précieux-.
XLIV Chapitre.
Chap. Du Bouquet de Fouterie.
Il le merite! Il le merite! (s'écrièrent tous les Hommes, et surtout Brideconin, qui patinait à 2 mains le Con de Rosemauve, tandis que Brisemote et Cordaboyau maniaient l'Un le Con, l'Autre les tetons de sa Femme… Mon Recit fesait bander tous mes Droles comme des Carmes, malgré les fatigues de la journée. Les Belles, même Celles éconnées par Vìtnègre, étaient en rut. — Comme vous avéz su les rendre aimables! (me dit Conquette, en me dardant sa langue). — Ah-oui! (ajouta Tendrelys, en me baisant de-même)…. En cet instant, Mad. Brideconnin était tiraîllée par Brisemote et Cordaboyau, qui tous-2 la voulaient enfiler à-la-fóis. — Je n'aí qu'un chose, mes chërs Amis! si j'en avais 2, ils seraient bién à votre service; mais l'Un après l'Autre-… Elle fut empallée par tous-2, Cordaboyau en con, Brisemote en cùl. Brideconnin s'écrie: — On enconne, On encule ma Femme! Moi, je fous Celle-ci-. Et il renverse Rosemauve, qu'il empale. Traitdamour, le plüs furieux des Ribauds, saisit Conquette: Je crus qu'il l'alait enconer. Point! Il se coucha sur le dos, la tira sur son vit, tenue par-dessous les bras par Conête et Minone; elle se baissait avec lenteur sur le Vit bandant dirigé par la main de Tendrelys, Conquète s'enculant ainsi elle-même par le seul poids de son beau Corps. Lorsque le gros Vit fut enfoncé jusqu'à la garde, Traitdamour me dit: — Alons! le plüs beau des cons vous appelle-…. Je me précipitaí dans le bijou de ma Fille, la jolie Tendrelys me dirigeant le vit. Mad. Brideconnin, putaîn comme Persone, puisqu'à cet instant, On lui bourrait les 2 trous, fit 3 signes-de-croix. On luí demanda, Ce qu'elle avait: — On me fout devant mon Mari; mais je suis sur le Fauteuil à ressort, qui m'empêche de me defendre: Mon Mari voyant que je le fais coquú, me fait coquète; c'est dans l'ordre: Mais notre Maître, fout,… enconne sa Fille enculée! — Sa fille?… sa fille-!… (s'écria-t-On 5-fois). — Oui, sa Fille (balbucia Rosemauve, qui dechargeait sous Brideconnin): Aprês?… — Ah! dirent les 4 Fouteurs et les 4 Fouteuses, ceci nous met en rage de vit…. en rage de con… et nous foutrons jusqu'à extinction de forces-. Et les Enconeurs, les Enconnées; les Enculeurs, les Enculées, s'agitaient à quî mieux, dessus, dessous, comme des Diables & des Diablesses dans un benîtiér. Tendrelys me chatouillait les couilles & celles de Traìtdamour; Minone celles de Brisemote et de Cordaboyau; Conète celles de Brideconnin, et fourráit son index dans le trou du cùl de Rosemauve. Le Fouteur qui n'était pas accoutumé à ce rafinemt, se recriait de volupté: — Ah que vous foutéz bién ici! (disait-il en dechargeant); On ne fait que connailler ailleurs. — Oh! vous anéz bién raison, mon Mari? (lui repondit sa Femme en dechargeant aussi), onc je ne fus ramonée comme je le suis en ce moment, par les deux Vits qui Vous plantent chacun une corne, l'Vn dans mon con, l'Autre dans mon cul-.
Conquète remarquant que j'alais mieux, lorsque Tendrelys me chatouillait les couilles, l'en remercia tendremt: — Chère Amie?… ma main en fera… autant à ton Fouteur,… quand tu seras enconnée… Et Vous, ma chère Hotesse, Vous êtes donc bién foutue-?… Ce joli mot, foutue, avait tant de grâces dans la belle bouche de Conquète, que je l'alais refourgonner, si Traitdamour, qui la deculait et qui alait laver, ne m'avait pas prié instanment de la lui laisser enconner… Mais j'étais trop ému pour rester spectateur; j'ordonnaí à Tendrelys de me faire beau con? Minone et Conète la renversèrent sur le dos et lui écartèrent les cuisses. Ma Fille, avant d'être enconnée par son Fouteur, voulut inserer mon vit; elle baisa la Patiente sur la bouche, en lui disant: — Tendrelys! remue du cul, et donne bién du plaisir à mon Père-! Et comme elle avait remarqué que le mot foutue, m'avait fait beaucoup d'impression, dans sa bouche, elle s'écria, tout en secondant son Enconneur: — Fou…ou… outre!….. Sacré Vit!… perce-moi… dechire-moi le conot!… mon Père! poignarde… estropie ta Tendrelys!… ze decha… arge-!……….. Ah! cette Femme si modeste, s'écria la Bridecononin, comme elle fout-!… Ce fut le Bouquet. On ala souper.
XLV Chapitre.
Soupér d'Adieux; Graces que dit Mad. Vitnegre.
On soupa. Les tetons étaient couverts; les propos furent decens….. — Mais, me dìt Minone, On dit que vous avéz-eú 8 jolies Femmes connues, et On les nomme? — Hôh! Interrompit Conquète, ne faites plus lire de ces Histoires-là: La journée de volupté est finie, et nous sommes à-présent des Persones ordinaires. — Il faut donc les remettre, repondit Traitdamour, pour une interruption de seance-.
Comme on se disposait à sortir, et qu'il n'y avait plus de dangér de nous faire bandocher, On me pria d'exiger que nos 6 Cons et nos 12 Tetons fussent mis à l'air, et baisés à discrétion pour les Adieux? J'y consentis. Aussitôt Conquète, Tendrelys, Rosemauve, Minone, Conète et La-Brideconin, furent defichutées, troussées et renversées sur les foutoirs par les 4 Dernières, qui se defichutèrent, se troussèrent et se renversèrent elles-mêmes. On leur lecha le Con; Les 5 Hommes sucérent les 12 Tetons: Les Belles prirent, décalotérent et baisérent les 5 Vits, embouchérent seulemt le mién, en disant: Vit incomparable….. adieu… pour Huit jours…
On alait sortir, quand On vit la belle Epouse de Vitnègre se prosterner toute detetonnée, en s'écriant:
"Sainte & jolíe Vierge MARIE; que PANTHERE, branlait, gamahuchait, enculait, entetonnait, embouchait, & qu'il enconna enfin une nuit, à-côté du Cornard endormi le bon S. Joseph; duquel cocufiage provint le doux Jesus, ce bon fouteur de la Putain publique la belle Madelene, Marquise de Bethanie, dont le vagabond JESUS était en-outre le souteneur, autrement le maquereau, lequel, au grand regret de la sainte Garse, enculait encore S. Jean son giton: S.te & jolie MARIE, Vierge comme moi, nous vous remercions de cette heureuse journée de fouterie. Faites-nous la grâce, par les merites de votre Fils, d'en avoir une pareille Dimanche-prochain!…. Et vous, Sainte MADELENE, que foutait l'Abbé JESUS, ainsi que Jean l'enculé, Obtenéz-moi la grâce de foutre autant que vous, soit en con, soit en cul, 15 ou 20 fois par jour, sans être épuisée, mais toujours dechargeant…… Vous foutiéz avec des Pharisiens, avec Herode, & même avec Ponce-Pilate, pour avoir de-quoi nourrir le gourgandin JESUS, votre greluchon, & les Vagabonds qui lui servaient de Chouans: Obtenéz-moi de votre Maquereau JESUS, qui étant dieu, a sans-doute quelque pouvoir, d'avoir, sous peu, ce riche Entreteneur, qui est un-jour descendu de carrosse bandant à mon intension, comme je revenais de chéz mon Amie Mad. Congrêlé; à-celle-fin, qu'au-moyén de l'argent que je gâgnerai, à votre imitation, avec mon con, mon cùl, mes tetons & ma langue dardée, je puisse soulager mon digne Père, dans sa vieillesse; non-seulement en foutant avec lúi, pour lúi donner le plaisir, mais en me laissant vendre, comme la pieuse Fille d'Eresictton le famelique, ou la pieuse Ocyrhoé, fille du Centaure Chiròn, qui toutes-deux devinrent cavales, c'est-à-dire Montures d'Hommes ou saintes Putains!… Modèle des Maquereaux, doux JESUS! fouteur acharné, Greluchon complaisant de la brûlante & exemplaire Putain Madelène, qui était si amoureuse de votre Vit divin & de vos sacrées Couilles, maintenéz, par votre toutepuissance, mon conin toujours étroit & satiné, mes tetons toujours fermes, ma peau, mon cùl, mes fesses, mes bras, mes mains, mon cou, mes épaules, mon dos ou mes arrière-tetons, toujours blancs, mes reins toujours élastiques; les Vits de mes Amans, celui de mon Père compris, toujours roides, leurs couilles toujours pleines; car vous teniéz en cela du saint Roi David, si fort suivant le coeur de Dieu, parcequ'il était le premiér fouteur de son temps!… Faites, ô JESUS! que mes hauts talons, qui me prêtent tant de grâces, & font bander tant de monde, ne me donnent jamais de cores aux piéds, mais que ces piéds tentatifs restent toujours foutatifs, comme ils le sont!… Amen! — Amen! s'écria toute la Société, Vits et Cons.
Tout le monde sortit édifié de la piété éclairée de ma Fille, et en s'en-alant, on disait: — Voilà ce qui s'appelle connaitre la vraie religion, et prier Dieu comme il conviént, en Lui demandant des choses raisonnables! Hoh! c'est une Fille exemplaire-!
XLVI Chapitre.
Chapitre. Premiere Negociacion du con de ma Fille.
Le surlendemain, quand je vis Conquette [que j'avais évitée le Lundi], je La trouvai coîffée en batant-l'oeil: Ce qui, avec ses grands ieux à longs cils La rendait charmante… Elle avait des souliérs de coutil de soie neufs, qu'elle essayait. Je me jetai à ses genoux, en Lui disant: — Coquette: Ton piéd est le mieux-fait possible; mais il est un-peu grand, & ce soliér bién pointu, ces talons minces, très-élevés, le font paraître plüs petit de-moitié: Il est divin!…. & je bande… comme tu vois?…. — Mon cher Papa: comme je sais à quel point vous m'àdoréz, j'ai voulu consacrer cette chaussure, avant de vous la préter pour orner vòtre cheminée… Voici les blancs d'hiër, avec lesquels j'ai tant été….. ce que vous savéz……. Voyéz la jolie forme que leur a donnée mon piéd? Ils sont plûs voluptueux qu'avant d'avoir été mis… Je flairai avidemt le dedans de ces divins soliers: — Hah! je bande! m'écriai-je; Les sacrés-bougres sont embaumés… Je suis perdu… j'aurai la colique, si je ne t'enconne une pauvre fois?… Laisseras-tu decharger par-terre ce Vit-paternel? — Mon cher Papa, mettéz-vous le cùl & les couilles dáns cette grande terrine, préparée pour mon cón & mon cùl; l'eau froide vous ferait debander. C'est mon remède quand j'ai le còn brûlant-. Ce qu'elle me disait me parut raisonnable, et je Le fis: Elle cacha ses piéds comme une Dame Espagnole, et je fus calmé. — J'en ai fait autant tout-à-l'heure: Timori vìént de venir: J'étais encore au lit; Il m'a pris les tetons, puis le còn: La vue de son Vit, qui bandait ròide, m'a fait impression. Mais mon coeur n'a rién senti. Cependant il voulait me gamahucher, me priant de le branler après? — Je ne suis pas une Putain. — Tu es bien fròide-? (C'est que reellement je ne l'aime plus; vous êtes mon amant, cher Père? & Traìtdamour est votre lieutenant dans mon còn; il est votre double Vit, & c'est encore Vous qui me foutéz, quand il me l'enfonce)… J'ai cependant eú des remords de ma dúreté: Je lui ai saisi le Vit, & me le mettant dans la bouche bién decaloté, je l'y ai fait decharger, avalant son foutre avec delices. Ce qui m'a fortifiée. Mon chocolat m'a rincé la bouche…… Mais revenons. Si Vous vouléz que votre Fille cherie ait ún plaisir ineffable, caressez-La, quand on La fout. Langue en bouche, la siénne dans la vôtre… Vous prenant les couillètes, vous serrant le vit à la poignée, elle dechargerait au double? — Hoh! tu es trop adorable… Foutons un petit coup? — Je m'étais rafraichi le con: mais tu y remets le feu, cher Papa, et le foutre seul peut l'éteindre… Foutons… Enconne ta Fille… Mais va doucemt, que je decharge plusieurs-fois, tout en te racontant quelque-chose-.
Elle se renversa, me mit le vit dans son con, me fit entrer lentemt, par de petits coups-de-cul insensibles. La fraîcheur de l'eau m'avait fait roidir, ét retardait l'émission. Enfin, elle ne fut plus maîtresse de se retenir; elle coupdecula, elle saccada, en s'écriant: — Ze deça—arse-!… Elle resta ensuite immobile, en me disant: — J'ai oublié de vous remettre l'adresse que l'Entreteneur d'avant-hier m'a glissée, pour l'aler voir, ét… foutre avec Lui… Hah! fourgonne… je redeçarge… Tu pars… Hah divin Père!… Et elle se mit à soubresauter, en gigotant, comme jamais ne gigota Fouteuse… Après une copieuse decharge, elle reprit: — La voila. Dis-Lui, ou écris-Lui, Que je ne vais chéz Persone. Et laissez-Lui votre adresse. — "Oui, Deesse Fututrix", Lui repondis-je. La Brideconin nous apporta notre excellent chocolat; et je partis.
Aprês les affaires, j'alai chéz le futur Fouteur de ma Fille. Je Le trouvai: je Lui donnai un mot de Conquette-Ingenue, par lequel elle Lui marquait, Que s'il avait un mot a repondre, il pouvait tout dire a son Père… Je fus bién reçu. Le Richard me dit, Qu'il demandait une Maîtresse aimable, et qui sût donner, en foutant, bién du plaisir. — Monsieur (Lui repondis-je), ma Fille a été mal-mariée; elle peut vous apartenir, à-condition qu'elle gardera son logement voisin du mién. Vous y mangeréz, coucheréz avec elle, sans que je m'en mêle. Quant à la volupté, ét aux mouvemens. du cûl ou des reins, un Mari libertin ne Lui a donné que de trop douloureuses Leçons… Mais en vous La livrant, je veux que son sort soit assuré, qu'il s'améliore même un-peu chaque année… Je vous répons d'être alors le Gardién de sa fidelité. Dailleurs, elle est sage: L'assûrance d'un sort independant de son monstre de Mari, peut seule La déterminer-. Ceci convint fort! et la decision definitive fut remise après un voyage d'affaires et d'argent, dont il devait être de-retour dans 8 ou 10 jours.
Je revins apporter ces nouvelles à ma Conquette-Ingenue. — Mon Papa, repondit-elle, pour peu qu'il me foute, vous me sufiréz vous ét Lui; vous seréz mes deux pères. Je renoncerai même à votre beau Secrétaire, si vous me promettéz de n'enconner que Moi? Oû trouveréz-vous un Con qui vaille le mién?… Garde-moi tout ton foutre, comme tout ton coeur, ô le plûs ribaud des Papas-? Ie vis qu'elle était jalouse, ét je l'en aimai avantage. Mais j'étais encore trop libertin, pour me borner à foutre uniquemt Celle que j'aimais le mieux.
La Brideconin nous apporta de la limonade. Elle boitait de naissance, mais d'une maniére voluptueuse. Elle êtait coifée en cheveux, ét quoique grêlée, três-provoquante. Ie le dis à ma Fille. Conquète-Ingenue me repondit: — Dês avant nos parties, son Mari voulait me le mettre; mais il me deplaît. La Femme a demandé, depuis qu'ils ont tout vu, á me gamahucher. Tous-deux m'adorent. Je ne leur avais, jusqu'au boulevari d'hiër, laissé baîser que mon piéd. Le Mari enconne sa Femme dês que je le veux. C'est un amusement que je me donnais dans la semaine; je n'avais besoin que de m'asseoir en vue de Brideconin, les jupes troussées jusqu'au mollet; il est tellement excité par ma mi-jambe ét mon piéd, qu'il se jète sur la Putain, ét la fout tant que je veux; en haussant toujours un-peu la jupe. Enfin, s'il aperçoit un commencemt de la cuisse, il heurle de luxure. Un-jour, trop échauffée par ce que je voyais, je me donnai de l'air au con, en le découvrant. Le Fouteur s'est mis â braire, en fourgonnant avec fureur. Il dechargeait, refourgonnair, ét alait se tuer, quand sa Femme me regarda…. Elle se hâta de decharger, ét vint me baisser les jupes. Alors Brideconin épuisé se trouva mal-. A ce recit de Conquète, je rebandais. Mais je me remis le Vit et les Couilles dans l'eau, ét bién rafistolé, je sortis sans finaler. Nous fumes Tous sages le reste de la semaine.
XLVII Chapitre.
Chapitre du Rabachages á Faire bandocher.
Le Dimanche arrivé, tout notre Monde accourut, à-l'exception de Rosemauve, qui se dit malade. Tendrelys vint seule, & d'elle-même: Traîtdamour ne l'avait pas trouvée chéz elle, & il était déja fâché. Maîs il fut ravi, en entrant avec sa Soeur & sa Maîtresse, de la voir auprès d'Ingenue, qui lui suçait le sein decouvert!… Il l'en remercia, en lui baisant le cùl & le con. Cordaboyau & Brîsemote arrivèrent les derniérs. On se mit à Table, dês que Cordaboyau, envoyé chéz Rosemauve, eút annoncé, qu'elle ne viéndrait pas. Il remit en-même-temps un Billet de la Malade pour ma Fille. Ingenue le parcourut bas dabord: puis elle nous le passa. Traítdamour lut par mes ordres. Le voici:
Divine Amie! Reçoi les actions de grâces que je rens à ton Conin et à tes Soliérs… Hiër jeudi fêtedieu (la Lettre était du vendredi), j'avais mis la chaussure que tu m'as prêtée, pour faire bander un Clerc de No aire, amant de ma Soeur Rosalbe, à laquelle je le voulais enlever. J'avais aussi ton grand bonnet battantl'oeil, qui me va si bién, à cause de mes grands yeux noirs, la robe, la jupe blanches sur fond rose, comme toi. Je m'avisai de me donner ton joli tourdecùl. Dans la rüe des Cinqdiamans, j'entendis derrière moi: "C'est elle!… Oui, c'est elle! c'est ma Deesse"!… On m'aborde. "Hâ! ma Belle! vous voila si prês de chéz moi, que vous y monteréz, puisque votre Père y est venu"?… Il m'a pris le bras; je me suis laissée mener; pensant bién qu'en me reconnaissant, il me laisserait aler, surtout aprês m'avoir foutue. Point! il ne se desabuse pas!… Il est vrai qu'il m'avait introduite dans un appartement au premiér à très sombre jour. Il tombe à mes genoux, ou plütôt aux vôtres "Vos traìts, belle Saxancour, sont un peu differens de ce qu'ils m'avaient paru; mais vous n'en êtes pas moins une Brune adorable. C'est que j'ai toujours plûs regardé vos piéds, dont je suis fou, que votre visage, tout charmant qu'il est. Aussi les reconnais-je parfaitement, ainsi que tout le reste de votre parure… M'aimeréz-vous"? J'ai cru devoir repondre, "Ouî. "Hâ! je suis trop heureux"! Il m'a pris mille baisérs, en me fesant darder la langue, m'a patiné les tetons, saisi la mote, renversée sur un large sofa, troussée, foutue… J'ai remué du cùl! je lui ai donné du plaisir… hâ! vous me connaisséz?… Ça fait, il m'a présenté à laver, m'a fait lui verser de l'eau sur le vit, m'a essuyé còn et cùl, m'a baisé la mote et les fesses: puis a dit à sa Femme de charge: "Le dînér est-il prêt? "Dans un demi-quart d'heure. "Aprês le verre d'Alicaute, descendons, ma Belle"! Nous sommes descendus chéz le Notaire voisin. Six-mille francs par an, 500 francs par moi, d'avance…. J'ai signé la minute, ét je suîs remontée dotée, comme j'étaîs descendue foutue. Nous avons dîné tête-à-tête. Des que les Domestiques ont été retirés, il m'a fait mettre à nud mes tetons; puîs il m'a enyvrée de champagne. Il s'êst lavé le vit dans un verre mousseux. Je l'aí aussitôt avalé… Enchanté de ce traìt, il m'a mis son vit sur les lêvres. Je le lui aí embouché, suçé! Il s'êst recrié de plaîsir, en me dîsant: "Tu ês ma deesse, la putain faite pour moi. Je ne veux pas te decharger en bouche; je veux garder mon foutre pour ton Còn. Montre-le moi, que je le baîse; ét adieu jusqu'à demain… Mon carrosse? (a-t-il dit à sa Femmedecharge, qui m'épongeait le cùl ét le côn]. Il m'a remenée.
J'auraî mon apportement chéz lui ce soìr. Je suîs restée tard au lit, y étant toute embaumée, et envelopée dans deux peaux de veaux, qui m'ont été apportées hîër-soìr encore chaudes; afin d'avóír la peau des cuîsses ét des fesses presqu'aussi satinée que vous. Ainsi, belle Conquète! je vous dòis ma fortune. J'en remercie votre adorable Cón, ét surtout votre voluptueuse chaussure. En chemin, mon genereux Fouteur m'a promis que dans três-peu de temps, il me ferait enculer en sa présence, par un joli Jockey, auquel il s'êst deja fàit enculer Lui-même 2-fois, dans deux circonstances, où il avait ressenti au trou du cùl un violent prurit. C'a été son expression. Adieu… ou Avit, ô divine Fouteuse!
Nous fumes tous ébahis! Tendrelys embrassa Conquète-Ingenue, en s'écriant: — Hâ! si l'On vous connaîssait-!… Je voulais aler détromper mon Gendre volé. Ma Fille m'en empêcha: — Il n'était l'amant que de ma chaussure; il ne lui est pas infidèle; il a tout ce qu'il lui faut-. Tendrelys applaudit à cette réponse: — Je ne dis mot: mais je n'en pense pas moins-, ajouta-t-elle.
La Brideconin, pour être plûs à nos parties, qui lui donaient des plaisirs inconnus, avait fait venir chéz elle, ce jour-là, Une Soeur de son Mari, fort-grêlée; mais la plûs provocante Tetonnière de 18 ans qu'On puisse voir. La Garse ne croyait pas que la Laideron tenterait, toutes nos Dames étant jolies, & 2 parfaitemt belles. Ce fut cette Tetonière, faite-au-tour, à tâille guêpée, comme les Comtoises, qui nous servit. Mais dês qu'elle eüt fait bander, pour lui éviter de la peine, les Hommes alèrent chercher les assiètes…… Au dessert, On me somma de raconter l'histoire des Cons depucelés dont avait parlé Minone, & que Mad. Ingenue-Conquète m'avait empêché de faire à soupér, depeur qu'elles ne fussent trop savoureuses? J'y consentis.
HISTOIRE des Phénixs dénichés.
"Je vais (dis-je en m'essuyant la bouche, ét baisant les tetons de mon active Fouteuse, vous conter comment j'ai depucelé Victoire-Beauxtalons; Virginie-Moteblonde; Rosalie-Con-Rose, ainsi que Suzonète sa soeur-cadète; Manon-Aurore-Sourismignard; Léonor-Robé, femme de Margâne le Parfumeur; la Seconde ét la Troisième Consfriands, Saccadine ét Voixflûtée.
La première-fois que je vis la voluptueuse Beauxtalons, elle était en deshabillér brun, bas fins de coton, soliérs de maroquin noir; talons plüs hauts que ceux de Conquète. Elle me donna des desirs violens; je la suivis: c'était le soir: Elle entra dans l'alée à-côté de la boutique de sa Mère. L'escaliér était obscur. J'étais sur ses talons. Elle ouvrit le premiér, dont les volets étaient fermés. Nuit profonde. J étais entré avec elle. "Hâ! c'est vous, Monsieur Copahü, dit-elle en m'entendant réspirer… Je Lui mis la main sous la jupe. "Hô! voila toujours come vous faites!… Laissons donc les volets fermés". Je cherchais un Lit. Elle y recula. Je L'y renversai. "Mon dieu! aléz, que vous êtes tèrible"! Et elle s'arrangeàit néanmoins commodément pour tous-deux. J'insère. Elle riposte, en disant: "Il faut bién faire comme ça, sans quoi vous dites qu'On ne vous aime pas". La jouissance fut delicieuse, quoique simple ét sans accessoires. Mais Victoire était si belle, ét je L'avais tant desirée!… Je voulais sortir sans être connu. On frappa. Je suivis ma Monture effrayée qui courait ouvrir, quoique je La retînsse. en disant: "C'est mà Mère, ou mà Soeur: Restéz ou sortéz, come il vous conviéndra"? "Je sors". Elle
[ici s'arrête le volume imprimé]
Transcription en français moderne:
Quelle excuse peut se donner à lui-même, l'homme qui publie un ouvrage, tel que celui qu'on va lire? J'en ai cent, pour une. Un auteur doit avoir pour lui le bonheur de ses lecteurs.. Il n'est rien qui contribue autant au bonheur, qu'une lecture agréable. Fontenelle disait: "Il n'est point de chagrin qui tienne contre une heure de lecture". Or, de toutes les lectures la plus entraînante est celle des ouvrages érotiques, surtout lorsqu'ils sont accompagnés de figures expressives. Blasé sur les femmes depuis longtemps, la Justine de Dsds me tomba sous la main. Elle me mit en feu; je voulus jouir, et ce fut avec fureur: je mordis les seins de ma monture; je lui tordis la chair des bras… Honteux de ces excès, effets de ma lecture, je me fis moi-même un Erotikon savoureux, mais non cruel, qui m'excita au point de me faire enfiler une bossue bancroche, haute de deux pieds. Prenez, lisez, et vous en ferez autant.
L'ANTI-JUSTINE.
Personne n'a été plus indigné que moi des sales ouvrages de l'infâme DsDs; c'est-à-dire, de Justine, Aline, le Boudoir, la Théorie du Libertinage, que je lis dans ma prison. Ce scélérat ne présente les délices de l'amour, pour les hommes, qu'accompagnées de tourments, de la mort même, pour les femmes. Mon but est de faire un livre plus savoureux que les siens, et que les épouses pourront faire lire à leurs maris, pour en être mieux servies; un livre où les sens parleront au coeur; où le libertinage n'ait rien de cruel pour le sexe des Grâces, et lui rende plutôt la vie, que de lui causer la mort; où l'amour ramené à la nature, exempt de scrupules et de préjugés, ne présente que des images riantes et voluptueuses. On adorera les femmes, en le lisant: on les chérira, en les enconnant; mais l'on en abhorra davantage le vivodisséqueur, le même qui fut tiré de la Bastille avec une longue barbe blanche le 14 juillet 1789. Puisse l'ouvrage enchanteur que je publie, faire tomber les siens!
Mauvais livre fait dans de bonnes vues.
Moi, Jean-Pierre Linguet, maintenant détenu à la Conciergerie, déclare, que je n'ai composé cet ouvrage, tout savoureux qu'il est, que dans des vues utiles; l'inceste, par exemple, ne s'y trouve, que pour équivaloir, au goût corrompu des libertins, les affreuses cruautés, par lesquelles Dsds les stimule.
Floréal, an 2.
Chapitre I De l'enfant qui bande.
Je suis né dans un village près de Reims, et je me nomme
Cupidonet. Dès mon enfance, j'aimais les jolies filles.
J'avais surtout un faible pour les jolis pieds et les jolies
chaussures; en quoi je ressemblais au Grand-Dauphin, fils de
Louis XIV, et à Thevenard, acteur de l'Opéra.
La première fille qui me fit bander, fut une jolie paysanne, qui me portait à vêpres la main posée à nu sur mes fesses; elle me chatouillait les couillettes, et me sentant bander, elle me baisait sur la bouche avec un emportement virginal: car elle était chaude, parce qu'elle était sage.
La première fille à laquelle je fis des attouchements, en conséquence de mon goût pour une jolie chaussure, fut ma première puînée, qui s'appelait Jenovefette. J'avais huit soeurs, cinq aînées d'un premier lit, et trois puînées. La seconde de celles-là, était jolie au possible; il en sera question. La quatrième avait le poil du Bijou tellement soyeux, que c'était une volupté seulement de le toucher. Les autres étaient laides. Mes puînées étaient toutes trois provoquantes.
Or ma mère préférait Jenovefette, la plus voluptueusement jolie, et dans un voyage qu'elle fit à Paris, elle lui apporta des souliers délicats. Je les lui vis essayer, et j'eus une violente érection. Le lendemain dimanche, Jenovefette mit des bas fins blancs et neufs de coton, un corset qui lui pinçait la taille; et avec son lubrique tour de cul, elle faisait bander, quoique si jeune, mon père lui-même; car il dit à ma mère de la renvoyer. (J'étais caché sous le lit, pour mieux voir le soulier et le bas de la jambe de ma jolie cadette)… Dès que ma soeur fut sortie, mon père renversa ma mère, et la carillonna sur le pied du lit sous lequel j'étais, en lui disant:
— Oh! prenez garde à votre fille chérie! Elle aura un furieux tempérament, je vous en avertis… Mais elle a de qui tenir; car je baise bien! et voilà que vous m'en donnez, du jus de con, comme une princesse…
Je m'aperçus que Jenovefette écoutait et voyait… Mon père avait raison. Ma jolie cadette fut depuis dépucelée par son confesseur; ensuite foutue par tout le monde. Mais elle n'en est que plus sage à présent… Dans l'après-dîner, Jenovefette vint au jardin, où j'étais seul. Je l'admirai; je bandai. L'ayant abordée, je lui pressai la taille, sans parler; je lui touchai le pied, les cuisses, un connin imberbe et joli, s'il en fut jamais! Jenovefette ne disait mot. Alors, je la fis mettre à quatre; c'est-à-dire, sur les mains et sur les genoux, et, à l'imitation des chiens, je la voulais enfiler ainsi, en hennequinant et saccadant de toutes mes forces, comme fait le chien, et lui comprimant fortement les aines de mes deux mains: je lui faisais cambrer les reins, de sorte que son connin était aussi à ma portée que le trou de son cul: je l'atteignis donc et je mis le bout entre les lèvres, en disant:
— Hausse, hausse le cul, que j'entre.
Mais on sent aussi qu'un connichon aussi jeune, ne pouvait admettre un vit, qui ne décalottait pas encore (Il me fallait une connasse, comme je l'aurai bientôt). Je ne pus qu'entr'ouvrir un peu les lèvres de la fente. Je ne déchargeai point, je n'étais pas assez formé… Ne pouvant enfiler, je me mis, aussi à l'imitation de mes modèles, à lécher le jeune connin… Jenovefette sentit un chatouillement agréable sans doute; car elle ne s'ennuyait pas du jeu, et elle me donna cent baisers sur la bouche, lorsque je fus debout. On l'appela, et elle courut.
Comme elle n'avait pas encore de gorge, dès le lendemain elle se mit des tétons postiches, sans doute parce qu'elle avait ouï vanter ceux de sa mère, ou de ses aînées. Je les remarquai: je la fis chausser, et l'ayant placée commodément sur son lit, je m'escrimai près de deux heures. Je crois en vérité qu'elle émit; car elle s'agitait comme une petite enragée à mon lèchement de con… Dès le surlendemain, on l'envoya en apprentissage à Paris, où elle remplit l'horoscope tiré par mon père.
Chapitre II Du con soyeux.
Mes autres soeurs étaient l'une sérieuse; elle me retint dans les bornes; mais j'ai depuis foutu ses deux filles à Paris. Ma troisième était encore trop jeune: ç'a été une superbe fille à dix-huit ans! Je me rejetai néanmoins sur cette enfant, lorsque je m'aperçus que Cathos, jumelle de Jenovefette, était inabordable. Il me fallait un con, depuis que j'en avais palpé un: je patinai Babiche. Enfin un dimanche, qu'elle était bien arrangée, et que ma mère l'avait baignée, je la gamahuchai.
Ce fut à cette bénigne opération, que je fus surpris par l'ardente Madeleine au con soyeux. Elle nous examina longtemps avant de nous troubler, et voyant que la petite avait du plaisir, elle fut tentée. Elle parla. Nous nous remîmes décemment. Madeleine ne dit mot. Elle renvoya Babiche. Puis elle hasarda de badiner avec moi. Elle me renversa sur la paille de la grange, où j'avais attiré Babiche; et lorsque je fus par terre, elle me chatouilla, passant par-dessus moi, jambe de çà, jambe de là. Par hasard, je portai la main sous ses jupes, et j'y trouvai l'admirable con soyeux. Ce poil divin détermina mon goût pour elle. Je devins fou du con de Madeleine Linguet: je lui demandai à le baiser!
— Petit coquin! (me dit-elle), attends un moment.
Elle alla au puits, tira un seau d'eau, et s'accroupit dessus… Elle revint, et badina encore. Enflammé, hors de moi, je lui dis, dans ma petite fureur érotique:
— Il faut que je lèche ce joli trou.
Elle se mit sur le dos, les jambes écartées. Je léchai; la belle Madeleine hocha du cul.
— Darde ta langue dedans, cher petit ami! (me disait-elle).
Et je dardais, et elle haussait la motte. Je fourgonnais avec rage!… Elle eut tant de plaisir, qu'elle se récria. Je bandais comme un petit carme; et comme je ne déchargeais pas, j'avais toujours la même ardeur. Aussi m'adorait-elle. Obligée de me quitter, Madeleine me donna des friandises, que je mangeai avec Babiche.
Un soir, ma soeur au con soyeux me dit:
— Cupidonet! ta jolie broquette est toujours bien roide, quand tu me lèches! Il me semble que si nous étions dans le même lit, tu pourrais la faire entrer dans la bouche de ma petite marmotte, que tu aimes tant à sucer, et dont le poil est si doux! j'aurais sûrement bien du plaisir! et peut-être toi aussi? Viens c'te nuit…
Quand tout le monde fut endormi, je me glissai dans le lit de ma grande soeur. Elle me dit:
— J'ai vu mon père, un jour qu'il venait de caresser ma soeur la belle Marie, qui partait pour Paris, courir sur ta mère, sa grosse broche bien roide, et lui fendre la marmotte: je vas te montrer; tu feras comme lui.
— Et moi aussi, je l'ai vu.
— Bon! bon!
Elle se disposa, me plaça sur elle, me dit de pousser, et riposta. Mais elle était pucelle, et quoique bandant roide, je ne pus introduire; je me faisais mal. Pour Madeleine Linguet, elle déchargea sans doute; car elle se pâma.
Oh! que je regrettai ce joli con soyeux, que je léchais et fourgonnais depuis six mois! Mon père, Claude Linguet, qui ne me ressemblait pas, éloignait ses filles, dès qu'elles l'avaient fait bander. On prétend que Madeleine avait tenté de se le faire mettre par lui… Quoi qu'il en soit, trois jours après, elle partit pour la capitale, où notre frère aîné, l'ecclésiastique, lui avait trouvé une place de gouvernante d'un chanoine de Saint-Honoré. Ce cafard ne tarda pas à connaître ce qu'elle valait. Il y avait une porte dérobée, de lui seul connue, qui donnait dans la chambre de ses gouvernantes, qu'il allait patiner durant la nuit. Mais il n'avait jamais trouvé de con aussi joli, que le con soyeux de Mlle Linguet! Il voulut le voir. Sa beauté le ravit, et il n'eut plus de repos qu'il ne l'eût foutu. Une nuit, qu'elle dormait d'autant plus fort qu'elle en faisait semblant, il la gamahucha. Elle déchargea sensiblement. Aussitôt le chanoine monte sur elle, et l'enconne. Elle le pressa dans ses bras, en remuant du cul.
— Ha! Mignonne! (lui dit-il), que tu as le mouvement bon!…
Mais n'as-tu pas de mal? car je te crois un peu putain?…
Sa chemise et les draps ensanglantés lui prouvèrent qu'elle était pucelle. Il l'adora! Elle foutit saintement avec ce saint homme pendant deux ans, et le mit au tombeau. Cependant il la dota. Ce qui fit qu'elle épousa le fils du premier mari de ma mère.
Chapitre III De la mère foutue!
Comme après le mariage de Madeleine et son retour à Reims j'étais un peu plus formé, je désirai vivement de le lui mettre. Depuis plus de deux ans, j'en étais réduit à patiner et gamahucher ma soeur Babiche, avec quelques-unes de nos cousines germaines. Mais, ou mon vit grossissait, ou tous ces connins imberbes rétrécissaient… Je demandai un rendez-vous nocturne à la nouvelle Mme Bourgelat! Elle me l'accorda pour le soir même. Nous étions à notre ferme, et son mari venait de partir, pour se rendre à Reims, où une affaire l'appelait. Je ne sais par quelle aventure, cette même nuit, mon père se trouva incommodé. Ma mère, après l'avoir secouru, craignant de le gêner, alla se mettre auprès de sa bru. Celle-ci, la voyant endormie, se leva doucement, pour venir coucher avec moi, tandis que de mon côté, j'allais à elle. Nous ne nous rencontrâmes pas, malheureusement!… Je me mis à côté de la femme que je trouvai dans le lit. Elle était sur le dos: je la montai, toute endormie; et l'enconnai. J'étais surpris d'entrer aussi largement! Elle me serra dans ses bras, hocha quelques coups de cul, moitié assoupie, en disant:
— Jamais! jamais vous ne m'avez donné tant de plaisir!…
Je déchargeai aussi; mais je m'évanouis sur ses tétons encore fermes, parce qu'elle n'avait pas nourri, et qu'on ne les lui avait jamais patinés. Mme Bourgelat revint auprès de nous, au moment où je m'évanouissais.
Elle fut bien étonnée des mots que venait de prononcer sa doublement belle-mère! Elle comprit que je l'avais foutue, et elle me reporta dans mon lit encore évanoui… Ainsi donc c'est dans le con maternel que je venais d'émettre ma première semence!… Ma mère, entièrement éveillée, dit à Madeleine:
— Mais, que faites-vous donc, ma fille?
J'étais revenu à moi. Ma soeur retourna au lit de ma mère, qui lui dit tout bas:
— Ma bru! vous avez de drôles de façons?
— Mon mari (répondit Mme Bourgelat), me fait souvent mettre dessus; je rêvais, et je l'ai fait. Eveillée, je suis sautée du lit.
Ma mère crut cela.
Cependant le coup porta: Mme Linguet devint grosse, et accoucha secrètement d'un fils, beau comme Adonis; et elle eut l'adresse de le substituer à un garçon de son fils, cet enfant étant mort en naissant. C'est de lui dont il sera un jour question, sous le surnom de Cupidonnet, dit Petitcoq, mon neveu.
Huit jours s'écoulèrent. Après quoi, bien remis de mon évanouissement, j'eus un autre rendez-vous. Mais admirez mon malheur! Nous avions été entendus d'une grosse tétonnière, notre moissonneuse, qui dormait dans la grange. Comme Mme Bourgelat devait venir dans mon lit, Mammelasse, qui m'aimait, car elle se branlait souvent à mon intention, et qui d'ailleurs n'était pas méchante, se contenta de dire à mon frère, de fermer les nuits la porte de sa chambre à la clef, et de la cacher, pour cause… Il le fit. Mais jugez de mon étonnement, quand au lieu d'un con soyeux, et de tétons ronds et délicats, je patinai une connasse à crins de cheval, et deux gros ballons bien gonflés. Elle se le mit; je poussai, et j'eus assez de plaisir. Mais je fus encore prêt à m'évanouir.
Enfin, je le mis à Madeleine, dans le grenier à foin. J'allais comme un fou, en l'enconnant. Mais au troisième coup de cul qu'elle donna, je m'évanouis…
Chapitre IV D'un autre beau-frère cocu.
Madeleine évita de m'accorder des faveurs, dont les suites l'effrayaient! Mais je ne sentis pas longtemps cette privation. Huit jours après la dernière scène, je partis pour venir à Paris. J'y allais pour apprendre. Mais il ne sera pas ici question de mes études. Je fus logé chez la belle Marie, la seconde de mes aînées.
J'avais, pour mon pucelage, fait cocu mon père; j'avais cornifié mon frère utérin, en faisant décharger, et foutant enfin avec émission une soeur paternelle, qu'il avait épousée, et que j'engrossai: car Bourgelat n'a jamais eu que cet enfant, venu au monde neuf mois après ma fouterie au grenier à foin. Mais j'avais encore bien de l'ouvrage, avec huit soeurs, dont six, ou du moins cinq, étaient souverainement enconnables. Mais revenons à Marie, la plus belle de toutes… Un jour de Vierge, Marie était parée, chaussée avec ce goût particulier aux jolies femmes, et un superbe bouquet ombrageait ses blancs tétins. Elle me fit bander. J'avais quatorze ans; j'avais déjà foutu et engrossé trois femmes; car Mammelasse avait une fille, qu'elle se vantait que je lui avais faite, et qui ressemblait comme deux gouttes d'eau à Jenovefette Linguet. Ainsi, je n'eus pas des désirs vagues; je tendais directement au con de ma provoquante aînée. Après le dîner, elle alla dormir, dans une alcôve obscure, et s'étendit sur le lit conjugal. Elle avait vu bander son mari, dont la culotte blanche était juste, et elle voulait lui donner le plaisir de le lui mettre parée. Je me cachai pour les guetter. Mais mon beau-frère, après avoir pris les tétons et le con de ma soeur, avoir admiré ce dernier, en éclairant l'alcôve, se réserva sans doute pour la nuit suivante. Il se retira doucement. Je lui vis prendre sa canne, son chapeau, et sortir. J'allai pousser un verrou. En revenant, je refermai les rideaux; le mari les avait laissés ouverts, et sa femme troussée. Je me mis sur elle déculotté, bien bandant, et j'enfilai sa fente, suçant tantôt ses tétons découverts, tantôt ses lèvres entr'ouvertes. Elle me croyait son mari. Un bout de langue me chatouilla. J'étais entré tout calotté. Le filet, que je n'avais pas encore coupé, recourbait mon vit, et le faisait paraître gros comme celui de l'époux. Je poussai. Ma belle s'agita, et mon long vit atteignit le fond. Alors ma soeur, demi-pâmée, se trémoussa. Je déchargeai… et je m'évanouis…
Ce fut ce qui me fit reconnaître. La belle savoura les dernières oscillations de mon vit. Mais dès qu'elle eut éprouvé tout le charme d'une copieuse décharge, elle se déconna en me jetant sur le côté. Elle ouvrit les deux rideaux de l'alcôve; et, me regardant:
— Ha! Grand Dieu! c'est Cupidonet! Il m'a déchargé tout au fond! Il s'est évanoui de plaisir!…
Je revenais à moi. Elle me gronda, en me demandant qui m'avait appris cela?
— Ta beauté (lui dis-je), adorable soeur.
— Mais si jeune?
Je lui racontai alors toute ma vie: comme j'avais patiné, léché le connin de Jenovefette: comme j'avais gamahuché, enfin enfilé le con soyeux de Madeleine; foutu Mme Linguet, la croyant Mme Bourgelat: comment Mammelasse s'était fait enconner par moi; comment, ne pouvant me passer de con, je léchottais le connichon de Babiche; comment j'avais engrossé les trois femmes que j'avais enconnées.
— Ah ciel!… Mais tu es bien indiscret!
— Je ne le suis avec toi, que parce que tu es ma soeur aînée, que je t'ai foutue (le récit que je venais de débiter, les tétons de ma soeur, sa chaussure me faisaient rebander), et que je vais, divine Marie, te foutre encore.
— Mais mon mari…
— J'ai poussé le verrou…
Elle me pressa la tête contre son beau sein, en me disant tout bas:
— Petit coquin, fais-moi aussi un enfant?…
Je la re-enconnai, j'émis sans m'évanouir. La belle Marie n'avait pas encore eu d'enfants: je fus père de Mlle Beauconnin, fille unique de mon beau-frère de ce nom.
[Je passerai toutes les fouteries communes; ce n'est qu'à force de volupté, de tableaux libidineux, tels que les savoureuses jouissances qui vont suivre, qu'on peut combattre avantageusement dans le coeur et l'esprit des libertins blasés, les goûts atroces éveillés par les abominables productions de l'infâme et cruel de Dsds! Ainsi, je réserve toute ma chaleur pour décrire des jouissances ineffables, au-dessus de tout ce qu'a pu inventer l'imagination exquisement bourrelle de l'auteur de Justine.]
Chapitre V Du bon mari spartiate.
Il faut néanmoins, avant de passer aux tableaux que je viens de promettre, rapporter en peu de mots, une aventure extraordinaire, que j'eus, rue Saint-Honoré, à vingt ans accomplis, en faisant mon droit.
J'étais voisin vis-à-vis d'un vieil horloger, qui avait une femme jeune et charmante. C'était sa troisième. La première l'avait rendu parfaitement heureux pendant douze ans; c'était une ivresse. La seconde, durant dix-huit ans, à l'aide d'une soeur plus jeune, par laquelle la dame se faisait remplacer au lit dans ses moindres indispositions, pour que son mari ne foutît jamais avec dégoût. Cette excellente épouse ayant cessé de vivre, l'horloger avait épousé, âgé de soixante ans, la jolie, la délicieuse Fidelette, putative d'un architecte, et fille naturelle d'un marquis. La beauté de cette troisième femme n'avait pas d'égale, pour le moelleux et le provoquant. Son mari l'adorait; mais il n'était plus jeune! Cependant, comme il était riche, il lui prodiguait tout ce qu'elle paraissait désirer. Mais il n'atteignait pas le but, et Fidelette était chaque jour plus triste. Enfin, un soir, ce bon mari lui dit:
— Mon ange! je t'adore, tu le sais! Cependant tu es triste, et je crains pour tes jours précieux! Tout ce que je fais ne te flatte en rien? Parle! c'est un ami tendre qui t'en conjure! Dis-moi ce que tu désires? Tout, tout ce qui sera en mon pouvoir, va t'être accordé!
— Oh! tout (dit la jeune femme).
— Oui, tout, fût-ce… Est-ce à ton coeur? est-ce à ton divin connin, qu'il manque quelque chose?
— Tu remplis mon coeur, cher mari! Mais j'ai des sens trop chauds, et, quoique blonde cendrée, mon bijou a des démangeaisons… terribles!
— T'est-il indifférent qui le satisfasse; ou aurais-tu un goût?
— Sans aimer, j'ai un goût… un caprice… Mais je n'aime que toi.
— Qui excite ta main, que je vois en ce moment chercher ton gentil petit chose?
— Tiens! ce voisin… qui me regarde… et dont… je me suis déjà plainte…
— J'entends!… Tu as dû me trouver bien bouché!… Passe au bain, mon ange adoré.. je reviens dans l'instant.
Il courut me trouver.
— Jeune voisin! On dit que vous aimez Mme Folin l'horlogère?
— Ma foi, on dit vrai; je l'adore.
— Venez.
— Il en arrivera ce qu'il pourra. Allons.
Il me prit la main, et nous allâmes chez lui.
— Déshabillez-vous; passez dans ce bain, que ma femme quitte. Voilà de mon linge. Régalez-la en nouvelle mariée - ou ménagez-vous pour différentes nuits; à votre choix et au sien…. J'adore ma Fidelette; mais, pour cette épouse chérie, je suis content dès que je la vois satisfaite, heureuse. Quand vous l'aurez foutue, que son petit connin aura bien déchargé, je l'enconnerai à mon tour, pour lui porter mon petit présent.
Et il me fit entrer dans le lit où sa femme était depuis le bain. Il s'en allait.
— Mon cher mari! (s'écria cette timide Colombe), tu me laisses seule avec un inconnu! Oh! reste! et si tu m'aimes, sois témoin des plaisirs que je ne devrai qu'à toi!…
Et elle nous baisa tous deux sur la bouche… Le lit était vaste. Le bon Folin s'y mit avec nous… Je grimpai sur le ventre de la jeune épouse, aux flambeaux allumés, au vu du mari, et j'enconnai roide… Elle répercutait avec fureur.
— Courage, ma femme! (criait l'excellent mari, en me chatouillant les bourses) … Décharge, ma fille! Hausse le cul!.. darde ta langue… ton fouteur va t'inonder!… Toi, jeune vit, plonge… plonge!… Lime… Lime-la…
Nous déchargeâmes comme deux anges… Je la foutis six fois dans la nuit, et les deux époux furent très contents de moi… J'ai eu cette jouissance céleste, et plus qu'humaine, jusqu'aux couches de Fidelette, qui perdit la vie, en la donnant au fruit de notre fouterie.
Chapitre VI De l'épouse qui se fait enculer.
Je passerai sous silence mes connilleries avec ma femme clandestine, puisque je n'ai jamais avoué ce mariage. Conquette-Ellès était une jolie grêlée, faite au tour, ayant un con tellement insatiable, que je fus obligé de lui mettre la bride sur le cou, et de la laisser foutre avec qui elle voudrait. Elle était fille d'un traiteur de la rue Saint-Jacques, et soeur du libraire PetiteBeauté. Elle est morte syphilisée, longtemps après m'avoir donné deux filles… Ah! qu'elle foutait bien! jamais femme enconnée n'a brouetté son cavalier comme Conquette!… Elle est la seule créature que j'aie enculée, mais sur son invitation, quand sa santé fut douteuse. Elle me donna ensuite le cul de sa soeur cadette, en me disant que c'était encore le sien. Et je le croyais. Mais la jeune personne se faisant enconner, je m'aperçus de la tricherie, dont je ne témoignai rien… Cela fut délicieux! mais ce n'est que de la fouterie ordinaire… Quand ma belle-soeur fut mariée, ma femme séduisit sa coiffeuse, à laquelle elle recommanda bien de se faire enculer, alléguant que j'y étais accoutumé. Mais cette fille m'ayant averti dans la journée, je l'enconnai la nuit, sans que Conquette s'en aperçût. J'eus ainsi successivement six coiffeuses, toutes jolies, pendant douze ans, ma femme, qui les payait, croyant me cacher, par ce moyen, qu'elle avait la vérole. Ce fut ainsi que j'attendis les connins délicieux qui m'étaient destinés par la nature… C'est après la dernière coiffeuse, que Conquette mourante, ayant remarqué qu'un de mes cadets courtisait ma fille-nièce Beauconnin, qu'on ne voulait pas lui donner, et qu'il en était aimé, proposa à Mariette de se le laisser mettre par son amant! Mais, craignant que le jeune homme ne pût la dépuceler, elle me dit que la dernière coiffeuse m'envoyait une de ses élèves, qu'il fallait enconner, et sans parler, parce que, ma nièce couchant dans la chambre voisine, il y avait des raisons pour ne pas envoyer l'élève-coiffeuse dans la mienne… Pourvu que je foutisse un jeune con, que m'importait? J'allai nu au lit. Je trouvai des tétons naissants, un connin qui tressaillait. Je dépucelai… J'avais enconné trois fois, lorsqu'on vint me faire retirer. Je crus que c'était la convention. Mais, ayant écouté, je fus très étonné d'entendre éperonner de nouveau ma monture, et ma femme instruire, en les encourageant, son neveu et sa nièce!… Je me remis dans mon lit tout pensif… Le lendemain, je demandai une explication à Conquette.
— Eh bien, quoi? (me répondit-elle) vous avez dépucelé votre nièce Beauconnin avant que son cousin le lui mît parce que je craignais qu'il ne pût la déflorer…
Je fus enchanté! J'avais eu les prémices de la fille que j'avais implantée un jour de Vierge dans le con de la belle Marie Linguet. Mais je dissimulai ma joie. C'était un excellent pronostic pour les plaisirs dont je me flattais de jouir depuis longtemps! et dont le moment approchait. J'y touche enfin.
Chapitre VII Du connin au poil follet.
On sait que j'avais deux filles, ou que du moins ma clandestine les avait; car je me rappelle qu'elle prétendait que ses véritables filles étaient mortes en nourrice, et que… et que… Elle parlait du Roi… d'une princesse… Mais elle était si menteuse que c'eût été une folie de la croire.
Conquette-Ingénue, ma fille aînée, me causait des désirs dès l'âge de dix ans. Pendant que sa mère non encore vérolée couchait et foutait avec un galant, elle envoyait Conquette dans mon lit. Cette enfant avait la plus jolie conque. Je me fis une règle dès lors de la lui baiser tous les soirs, après lui avoir écarté les cuisses, durant son premier sommeil. J'introduisais légèrement la langue, mais sans lécher. Je m'endormais ensuite, elle remise sur le côté, ses fesses sur mes cuisses, et mon vit pressé entre les siennes. Dans le jour, j'enconnais, ou la maîtresse d'un certain Mivière, avocat, ou une jolie bossue toujours bien chaussée, qui demeurait dans la maison; ou une boiteuse des deux côtés, mais d'une délicieuse figure, et prête à se marier. Elle s'était laissée déflorer par son futur, et depuis ce temps-là, elle ne ménageait plus un très joli con blond. Quand ces trois fouteries me laissaient chômer trop longtemps, je fourgonnais, le vit serré entre les cuisses de Conquette-Ingénue, qui, se sentant gênée, l'empoignait toute endormie, et me faisait éjaculer. Elle avait onze ans. Elle sentit quelque chose, et parla. On la mit dans un cabinet fermé.
Elle apprit à dessiner. Lorsqu'elle eut treize à quatorze ans, après une interruption de plus de deux ans, je me trouvai veuf, et elle revint à la maison. Elle coucha dans une petite chambre à côté de la mienne. Elle était grandie, faite au tour; elle avait le pied le plus parfait. Je la fis chausser par l'artiste le plus habile, sur la forme de sa mère, qui était celle de la marquise de Marigni. Puis je devins éperdument amoureux de mon ouvrage.
Mais personne jamais ne fut plus chaste que cette céleste fille; quoique ses mères, soit réelle ou putative, fussent putains, et soient toutes deux mortes de la vérole. Conquette-Ingénue ne souffrait pas qu'on prît sur elle la moindre liberté… La Providence le voulut sans doute, pour qu'elle en fût un jour plus désirable et plus voluptueuse… Ainsi, je me trouvai réduit à la gamahucher pendant son sommeil, qu'elle avait profond, heureusement! Je profitais de son premier somme pour la découvrir, admirer son délicieux connin, qu'un joli poil follet commençait d'ombrager, et la gamahucher modérément. Ce ne fut qu'à la dixième nuit, que je la sentis me riposter. Je redoublai les coups de langue, et elle émit…. La lumière était éteinte, quand Ingénue s'éveilla, en disant:
— Ah! Ah! Ah! ça me chatouille! Ahh!…
Elle crut qu'elle avait rêvé. Cependant elle dagua sa jeune soeur, couchée avec elle, de plusieurs coups de coude, comme si elle eût pensé que cette enfant l'avait chatouillée.
Je me remis dans mon lit, enchanté que ma fille eût déchargé. Cette émission me fit espérer qu'ayant éveillé son tempérament, je pourrais l'enconner bientôt, en faire ma maîtresse, et me trouver le plus heureux des hommes. Mais que j'étais loin de compte! et combien de vits devaient tenter de martyriser ce divin connin avant le mien! Hélas! il fut prêt d'essuyer une Iliade de malheurs!….. Quoi qu'il en soit, ç'a été ma véritable inclination, la plus constante, la plus voluptueuse, que cette adorable fille, qui n'a eu de rivale que sa soeur… Non (je le dis, d'après l'expérience), il n'est pas au monde de plaisir comparable à celui de plonger son vit bandant, jusqu'au fond du con satiné d'une fille chérie, surtout si remuant du cul avec courage, elle décharge copieusement! Heureux! heureux qui cocufie, et fait cocufier un gendre également détesté de tous deux!
Conquette-Ingénue eut ses règles la semaine suivante de celle où elle avait enfin déchargé. Ainsi elle était parfaitement nubile. Mais, éveillée, je ne pouvais lui ravir aucune faveur essentielle. Ma soeur Marie, qui me connaissait, la mit en apprentissage de modes et du commerce de la bijouterie, chez une jolie marchande, dont le mari était chef de bureau; et le bijou de la belle Conprenant me dédommagea, mais sans m'en consoler, des rigueurs de celui de ma fille. Je le mis aussi à ma nièce Beauconnin, alors mariée à son cousin. Et, sans ce double soulagement, aurais-je pu m'empêcher de violer la provocante Conquette-Ingénue? Eperdument amoureux d'elle, n'osant lui prendre de jour son joli poil follet, et ne l'ayant pas la nuit, je me contentais de la faire regarder dans la rue, par une fenêtre à large rebord, ce qui lui mettait à découvert un pied exquisement chaussé, une partie de la plus belle jambe; de sorte qu'en me baissant, je voyais la cuisse, et le connin dans certains mouvements, ou lorsqu'elle se disposait à descendre. Je bandais comme un carme. Mais en ce moment arrivaient à point nommé, ou la maîtresse de Conquette-Ingénue, ou ma jolie nièce Beauconnin, que j'allais enfiler dans ma chambre, après avoir dit à ma fille de se remettre à la fenêtre, pour les voir arriver; et, au moyen de ma porte entr'ouverte, je voyais le pied provoquant, la jambe voluptueuse de celle qui me faisait bander, en foutant soit sa maîtresse, soit sa cousine.
Quatre ans s'écoulèrent ainsi; et je n'eus plus de fouteries. Alors, plus amoureux que jamais de Conquette-Ingénue, qui était superbe à dix-huit ans, je résolus de la faire coucher quelquefois chez moi, en la retenant tard, sous prétexte d'une indisposition subite. Elle avait toujours le sommeil aussi profond. Ainsi, dès qu'elle était endormie, je la gamahuchais, et je la faisais copieusement décharger. Elle avait une motte superbe, ombragée d'un poil noir doux et soyeux. Je brûlais d'envie de le lui mettre. Mais elle s'éveillait toujours en déchargeant. Aussi me disait-elle:
— Je ne fais que chez vous de singuliers rêves, qui me rendent toute je ne sais comment!…
La seule chose que je me permisse était de demander à baiser son joli pied chaussé; quelquefois sa jambe. J'allai un jour, en la tourmentant beaucoup, jusqu'à obtenir de toucher le poil satiné de son bijou. Mais elle fut ensuite si fort effarouchée, craignant que je ne parvinsse à la déflorer avant mariage, qu'elle précipita, aidée de sa maîtresse Mme Conprenant, un mauvais établissement avec un infâme. Ce fut ce que j'ai eu tant de peine à lui pardonner!… Mais la pauvre enfant en a trop souffert… elle s'en est assez repentie… son charmant connin a depuis trop bien mérité de moi, pour que des torts de jeunesse et d'inexpérience ne soient pas oubliés. J'y étais obligé d'ailleurs par un autre motif: c'est que je dois à cet exécrable mariage d'indicibles délices (comme on va le voir), ainsi que ma fortune présente.
Chapitre VIII Des conditions de mariage.
Le dimanche suivant, Conquette-Ingénue étant chez moi, suivant son usage, elle ne put s'empêcher de voir que je bandais à n'en pouvoir plus! Elle tremblait pour sa virginité!… Je lui avais baisé le pied, la jambe; mais elle avait défendu son connin. Tout à coup je me lève, et m'appuyant sur le dossier de sa chaise, je plonge les deux mains dans son corset; je lui prends les tétons…. Ah! qu'ils étaient jolis!… petits, mais fermes! et d'une blancheur… Elle ne put se dérober… Elle me déclara pour lors sérieusement, qu'elle voulait se marier. A ce mot, je passai devant elle, le vit à l'air et bien bandant. Elle devint rouge comme une cerise. Elle bouillait. Enflammé d'amour et de luxure, je lui notifiai, que je ne signerais rien, qu'à la condition de la dépuceler auparavant. Elle se récria!… Je lui pris le con par force. Elle se recueillit, et me dit:
— Signez du moins pour ceci!
— Oui; si je te gamahuche.
Elle ne m'entendait pas. Je m'expliquai, ajoutant:
— Et jusqu'à la décharge, ou le plaisir, de ta part, inclusivement!
Elle réfléchit… Puis soupirant:
— Ah! combien vous me l'avez fait! Mes rêves étaient causés par vous!…
Elle se mit à la renverse sur le lit, en me disant:
— Satisfaites-vous! et… ne me… trompez pas!… Gamahuchez… mais je veux être pucelle le jour de mon mariage avec M. Vitnègre; c'est un homme veuf, et Mme Conprenant dit qu'il s'y connaît.
Pendant ce discours, je rassasiais mes yeux d'abord de la vue du plus ravissant des connins; de celle d'un ventre uni comme l'ivoire; d'une cuisse d'albâtre; d'un cul de satin.
— Dépêchez-vous!
— J'inventorie ce que nous devons livrer à ce M. Vitnègre, et tout est bien conditionné, une chose que je te dirai exceptée. Gamahuchons.
J'étais enragé! Je la léchais avec fureur, guettant l'instant de l'émission de sa liqueur virginale, pour me jeter sur elle, et l'enfiler. Elle émit dès le sixième coup de langue; de sorte que je ne le pouvais croire. Mais bientôt ses trémoussements m'en convainquirent. Alors, quittant le connin, je me jetai sur elle. Enivrée de plaisir, il est certain qu'elle m'aurait laissé tout faire; mais son jeune connichon, quoique bien humecté de son foutre et de ma salive, ne put être pénétré. L'expérience qu'il faut, pour enfiler certaines pucelles, de la pommade ou du beurre frais, ne m'était pas encore acquise… A la fin, elle me saisit le vit, pour me débusquer. Pressé, de sa main douce et blanche, il déchargea, et couvrit d'un foutre azuré son con, son ventre, ses cuisses et sa main. Propre comme elle le fut toujours, elle se débarrasse, et court se laver.
— Qui ne dirait (m'écriai-je en la voyant s'éponger cul, cuisses et conniche), que je l'ai enconnée!…
— Ah! si vous étiez raisonnable! (répondit Conquette-Ingénue) ce joli gamahuchage, tant que vous voudriez; car j'ai eu bien du plaisir!
— Voilà un joli mot!
Et je lui fis darder la langue dans ma bouche, moi lui tenant le connin.
— Mais (reprit-elle), pas ce qui m'a salie, dans ce que je viens de laver! je veux être honnête femme.
— Tu dois ton joli con à ton père, ma charmante fille!
— Si vous étiez plus riche, je renoncerais au mariage, et je me dévouerais à vos plaisirs. Mais il me faut un mari, pour cesser de vous être à charge.
Touché, je la baisai des pieds à la tête, soulier, jambe, front, oeil, bouche, cou, tétons, cuisses, cul, enfin motte, jusqu'à ce qu'elle déchargeât… Ensuite, je signai tout ce qu'elle voulut… Elle était adorée, en ce moment.. Elle se maria, sans me revoir, et m'évita pendant trois mois. Une pareille conduite me rendit furieux contre elle, et je jurai de la foutre et faire foutre, si elle retombait entre mes mains, mille et une fois, avant que de lui pardonner!… Mais savais-je alors qu'elle était malheureuse?
Chapitre IX Des dédommagements.
Victoire-Conquette, ma seconde fille, était en province, depuis la mort de sa mère, chez sa tante Jenovefette, alors mariée avec son dernier entreteneur. N'ayant plus de con à ma dévotion, je redemandai Victoire. En attendant qu'elle arrivât, je m'accommodai de deux petits connins encore imberbes, ou du moins à poil follet, que je parvins à perforer, en les pommadant. C'étaient la soeur et la maîtresse de mon secrétaire, qui lui-même me les livra, comme on le verra par la suite. Nous foutions jusqu'à sa vieille belle-mère; ne voulant pas aller aux putains.
Dès que Victoire fut arrivée, je la fis chausser comme sa soeur, à talons minces élevés; et cette enfant, qui atteignait quinze ans, me fit autant bander que son aînée. Mais je ne cherchai pas à la déflorer; elle ne me servait qu'à me mettre en humeur, et à me faire enconner plus vigoureusement et Minone, et Conette, soeur et maîtresse de Traitdamour mon secrétaire, ou leur belle-mère. Pour cela, quand Victoire rentrait parée, chaussée, je la saisissais par la jupe, et je l'asseyais sur mes genoux, à crû, moi déculotté, quand je le pouvais; je me faisais caresser, donner de petits coups de langue. Si j'étais à crû, mon vit lui allait entre les cuisses comme le battant d'une cloche; si elle n'était pas troussée, comme elle était fort innocente, je me faisais empoigner le vit, en lui disant:
— Mignonne, serre-moi le doigt, fort! fort!
Minone, Conette, ou la belle-mère arrivaient toujours, Traitdamour en allant chercher une dès qu'il me voyait m'enfermer avec Victoire. En les entendant, je remettais la charmante enfant dans sa chambre par une porte dérobée; j'ouvrais, et je foutais délicieusement, les couilles chatouillées par Traitdamour. Il enconnait ensuite la même, soeur ou belle-mère, et je lui maniais les couilles.
Je me serais contenté de cette vie pendant longtemps, quoique toujours amoureux de Conquette-Ingénue, devenue Mme Vitnègre, si mes soeurs Marie et Jenovefette n'eussent trouvé indécent que je gardasse Victoire seule chez moi. Elles m'obligèrent à la mettre en apprentissage pour le linge chez des dévotes qu'elles m'indiquèrent. Mme Beauconnin l'y conduisit. Heureusement que la chère enfant m'avait, depuis quelques jours, donné la connaissance d'une grande et superbe femme séparée, son amoureuse éperdue, sans que la naïve Victoire s'en doutât, et que cette belle femme m'en croyant amoureux aussi, foutît sous moi avec fureur. Car elle m'appelait alors son papa, et me disait:
— Enconne; enconne… enconne ta… provocante Victoire! ta… passionnée, ta… tendre fille!
Chapitre X De l'infâme mari.
Mais le moment approche où je dois recouvrer Conquette-Ingénue. Mon désir le plus vif, même dans les bras de Mme Moresquin (l'amie de Victoire), était de faire Vitnègre cocu! Un jour, ma Conquette me rencontra sur le pont Notre-Dame. Elle était malheureuse; elle vint se jeter dans mes bras. Je fus si ému, que toute mon ancienne colère s'évapora. Ma délicieuse fille était encore embellie dans les douleurs. Mon premier mouvement fut de lui prendre le con. Mais nous étions dans la rue… J'allai la voir dès le lendemain soir, à l'heure où elle m'avait dit que son mari, ou plutôt son monstre, n'y était jamais. Je la trouvai seule en effet; et dès cette première visite, elle m'avoua qu'elle avait un amant. Ravi de cette confidence, qui m'annonçait le cocuage de Vitnègre, je la flattai, je l'amadouai; je l'engageai à se le laisser mettre par Timori (son galant). Mais je compris bientôt que c'était, des deux côtés, un amour absolument platonique, où Conquette-Ingénue se consolait, auprès d'un bandalaise, des brutalités d'un débauché. Elle aimait à parler de son amant. Et, comme j'étais le seul avec qui elle le pût en sûreté, que je promis de leur procurer des entrevues, je fus chéri.
A la seconde visite, Conquette me découvrit quelques infamies récentes de Vitnègre. Un jour qu'elle se baissait, pour ramasser quelque chose, il lui fit prendre le con par un de ses amis. Elle s'écria.
— Ce n'est rien qu'un con de pris (dit froidement Vitnègre)…
(à son ami):
— Ne t'avais-je pas bien dit qu'elle avait le poil du con plus satiné que de la soie?… Eh bien! le dedans est plus doux encore…
Conquette voulut se retirer. Il la retint brutalement, la fit mettre sur lui, la troussa jusqu'aux cuisses, et lui tint le con, s'efforçant de le faire voir, ou de la branler, pendant tout le temps qu'il fut à raconter combien, quand elle le voulait, elle donnait de plaisir à son caresseur.
— Mais (ajouta-t-il), elle est comme les putains; il faut la rosser, pour lui faire faire son devoir.
Il voulut ensuite lui découvrir la gorge. Elle s'échappa. Mais il l'atteignit d'un coup de pied… Quelques jours après, le même étant venu dîner, après le café, Vitnègre s'étant aperçu que sa femme, après avoir pissé, avait fait bidet, dit à Culant son ami:
— Voilà un con bien propre! il faut le gamahucher tous les deux, d'adresse ou de force! Mais, dans ce dernier cas, ne t'étonne pas du bruit!… Pour le premier, voilà une clef; elle ouvre la porte du cabinet qui donne sur le corridor. Tu entreras quand, lassé, je dirai très haut:
— Allons, Madame, faites-moi beau con, et recommençons. Et donne-t'en! car je voudrais que toute la Terre foutît la garce; elle n'est pas assez large…
Conquette fut rappelée. Le mari la fit asseoir au milieu devant le feu, mit à l'air son vit, ses couilles de mulâtre, et dit à son ami d'en faire autant. Comme il hésitait:
— Déculotte-le tout à l'instant, bougresse, ou je t'arrache les poils du con à la poignée!
Et il y porta la main. Elle fit un cri. Culant mit aussitôt à l'air son vit et ses couilles, en demandant grâce pour elle.
— Allons, bougresse, branle-nous tous deux, un de chaque main!…
— Je suis son maître (ajouta le scélérat); elle m'est abandonnée.
Conquette pleurait. L'ami demanda encore grâce pour elle…
— Eh bien, qu'elle me suce le vit, là, à genoux devant moi, que je lui décharge dans la bouche! Je déchargeais dans celle de ma première femme, qui en est morte, et c'était mon délice.
Culant observa, que ce serait gâter la plus jolie des bouches.
— Hé bien donc, je vais la gamahucher.
— Je banderais trop! (dit Culant) passez dans ce cabinet.
Vitnègre y poussa Conquette, et se substitua Culant. Puis il sortit pour aller jouer. Culant gamahucha, et n'osa foutre Conquette, ayant le vit si petit, qu'il ne pouvait être pris pour Vitnègre. Mais il déchargea six fois, et Conquette le double. Il se retira, en lui donnant un coup de poing, afin qu'elle fût persuadée que c'était Vitnègre. Mais le soir, à sa rentrée, le monstre dit à sa femme:
— Eh bien, bougresse? as-tu été assez gamahuchée? ce n'était pas moi; je ne t'aurais fait l'honneur de décharger six fois; c'était mon ami. Mais, garce, tu l'as reconnu, puisque tu en as déchargé douze, et que tu ne bandes pas pour moi. Et le bon coup de poing qu'il t'a donné, hein? l'as-tu senti? (l'infâme éclata de rire). Allons, garce de bâtarde d'avocat, te voilà putain; j'entends que ton con me rapporte.
Effrayée, Conquette se promit de le quitter. Ce fut le lendemain qu'elle me rencontra, et de ce moment elle prit de la fermeté contre le monstre.
Ce récit de ma fille, quoique plus gazé dans sa bouche, m'avait révolté! je lui promis un prompt secours… Mais en même temps il me faisait bander en carme, comme tous les récits de brutalités libidineuses. Je demandai des faveurs. On rougit; mais on me laissa baiser un joli soulier vert, qu'on portait pour la première fois. Je m'en tins là. Cependant, à la visite du lendemain, je glissai, en riant, une main dans son dos; insensiblement j'en vins aux tétons, qu'elle défendit, mais qui me restèrent enfin. Je me fis ensuite donner de ses cheveux; puis, voulant voir jusqu'où je pourrais la mener, sans l'effaroucher, je la tourmentai pour avoir une petite touffe des poils de son con soyeux. Elle me la donna; mais en tremblant que son mari ne s'en aperçût! Pour la remettre, je la fis parler de son amant; et pendant cet entretien, de libertés en libertés, je parvins au con. Elle était si parfaitement á son sujet, que je crois en vérité qu'elle s'imagina que c'était Timori qui lui tenait la motte!… Je lui dis, en la patinant, que je lui avais trouvé une pension, pour quand elle aurait quitté Vitnègre. Elle rougit de plaisir, et m'embrassa. Je lui dardai ma langue, et elle me fit sentir la sienne… Ravi, j'allais lui demander le récit de la manière dont elle avait été dépucelée, quand, Vitnègre s'étant fait entendre, je me jetai dans le cabinet obscur, me proposant de m'évader par la porte du corridor. Mais je fus étrangement surpris de voir un moine introduit par cette porte! Il ne m'aperçut pas; je me cachai derrière un grand sofa. Vitnègre entra aussitôt par la porte de la pièce que je quittais:
— Mon révérend Père, voulez-vous la foutre avant dîner?…
Le moine, qui dévorait des yeux la belle Conquette à travers les vitrages, parut concentré… Au bout d'un moment, il répondit:
Chapitre XI Pucelage destiné aux gros vits, pris par un petit.
— Non: comme nous en sommes convenus, passez dans la chambre éclairée; faites-moi voir, en badinant avec elle, tétons, cul et con; je me réserve pour la nuit.
— Oh! ce coup-ci serait par-dessus le marché.
— Non: j'aime à foutre au lit, à suçoter langue et tétons; à enconner, enculer, entétonner, etc., à mordre, arracher les bouts… Allez… Ayez le vit à l'air, et qu'elle soit bien chaussée… De la brutalité!
Vitnègre rentra déculotté auprès de sa femme toujours tremblante devant lui.
— Allons, bougresse, il me faut du plaisir! Vois comme je bande, à la vue de ce joli soulier vert!… J'ai entendu hier un jean-foutre derrière toi qui disait qu'il aurait voulu décharger dedans… A bas ce fichu, que je voie tes tétons… Comme ils sont jolis! blancs!… fermes! Ah! garce! j'arracherais ce joli bouton, si je ne craignais de les gâter!… Marche…. Quel tour de croupion foutatif!… Troussée, putain, au-dessus des reins et du nombril, que je voie ce mécanisme-là!… Marche en avant, présentant le con… Retourne-t'en montrant le cul… Ah! le joli mouvement!… Continue, garce à cul et à con, jusqu'à ce que je te dise, Holà… (Elle fit ainsi cent tours, montrant alternativement son cul, son con)…
Cependant le moine disait:
— Ce bougre-là n'a pas le vit si gros que moi, et il n'a pu la dépuceler! Oh! comme elle criera cette nuit!… Mais je n'y tiendrais pas; je la tuerais; elle crierait à faire venir le voisinage… Je m'en vais.
Et il sortit doucement, en murmurant:
— Elle est à tuer; elle le sera!…
Au même instant, Vitnègre dit:
— Holà, garce engarcée.
Et il vint dans le cabinet…
— Qu'en dites-vous? (dit-il) la voulez-vous essayer?
Je bandais à n'en pouvoir plus. Je répondis bien bas pour le moine:
— Oui.
Vitnègre alla chercher sa femme; et, la poussant brutalement:
— Allons, de par Dieu, garce, putain, que je te foute… Ah! comme tu vas crier! Mais songe, sacré connin de poupée, à ne pas faire venir ici les voisines! ou je les laisse tous entrer, sans me déranger de sur ton sacré ventre!…
En achevant ces mots, il me la renversa troussée sur le foutoir mis là exprès, et se retira. Je me précipitai sur ma fille, qui se sentant enfilée presque sans douleur, ne criait pas.
— Crie donc! (lui dis-je bien bas).
Et elle cria à tue-tête, en se reconnaissant enconnée par un étranger. Dès que j'eus déchargé délicieusement, en lui faisant osciller le con, je m'échappai, avant que les voisines arrivassent; et comme elle continuait à crier, je les envoyai à son secours. On la trouva debout.
— C'est ma femme que je baisais (dit Vitnègre). Regardez-y; il en est encore tout barbouillé. Mais elle est du naturel des chattes; elle mord et crie, quand on la fait bien aise.
Les voisines rirent, et se retirèrent. Vitnègre dîna, et fut assez honnête; il craignait que sa femme n'eût connu qu'elle était foutue par un moine, et qu'elle ne parlât. Je dînais dans un cabaret en face. Je le vis sortir, et aussitôt je retournai chez ma fille, qui me conta tout. Je me tus d'abord.
Je lui fis raconter la manière dont je croyais qu'elle avait été dépucelée; parce que ce récit avait du haut goût pour moi, et qu'il me ranimerait assez, pour me la faire foutre encore. Elle le fit, dès que je l'eus mise en goût, en lui rappelant de son amant.
— Notre première nuit et les trois suivantes ont valu chacune cinq cents louis à Vitnègre, à ce qu'il m'a dit par la suite. Dès que nous fumes arrivés à sa demeure, il alluma quatre bougies, qu'il mit autour du lit, sur lequel il me renversa troussée jusqu'aux reins. Il me tourna, retourna, m'examinant, me baisant partout. Il me faisait lever les jambes en l'air, puis mettre debout sur le lit.
— Remue du cul (me disait-il), ainsi, ainsi (me montrant), comme si je te foutais.
Je lui observai que cela était indécent.
— Bast! une femme est la putain de son mari…
Il me gamahucha. Il s'écria de toutes ses forces:
— Elle décharge!
Et il me fit empoigner son gros membre, de la couleur et de la grosseur de celui d'un cheval.
— Allons! allons, que je te foute, à présent.
Il se jeta sur moi. Mais il ne put rien.
— Foutre! Celles qui disent que ton père t'a dépucelée sont des garces! tu es pucelle comme quatre. Je voudrais que tout le monde fût là, pour en être témoin…
Il me pommada… devant, derrière. Il éteignit les bougies (mon pucelage était vendu), et il parut se coucher. Mais ce fut un autre; car toute la nuit je fus tourmentée par un gros membre, qui ne put rien…
Depuis le mot de son récit, Elle décharge! elle décharge! j'avais glissé une main entre les cuisses de ma fille, sans qu'elle s'en plaignît. Ici, je lui happais le con.
— Ah! Papa! ne me ménagerez-vous donc pas plus que les autres, un jour où… j'ai été dépucelée!
— Dépucelée! Ah! céleste fille!… Est-il bien vrai?
— Jamais on n'est entré… dans ce que vous me tenez… qu'aujourd'hui!
— O fille adorée! je suis un dieu, et non pas un homme… Mais tu m'as fait trop bander: ta précieuse faveur!… ou… j'aurais… une colique spermatique épouvantable!
Et je l'enlevai vivement dans mes bras; je la portai dans le cabinet obscur.
Chapitre XII Du plus délicieux des incestes.
— Vous voilà tous! (me dit-elle); et mon papa lui-même ne me recherche que pour ce trou-là!
— Et pour ton cul, tes tétons, ta bouche, tes yeux, ta taille voluptueuse, ton tour provocant, ta jambe, ton pied foutatif, ton âme naïve et virginale, malgré tout ce qu'on a fait, pour te rendre putain.
En parlant ainsi, je la troussais par derrière, courbée qu'elle était sur le foutoir, et je me disposais à le lui mettre en levrette; mais il la fallut pommader. Elle reprit:
— Mais c'est ma faute! ces récits-là enflamment tous les hommes. Timori n'a été prêt à me déflorer qu'une seule fois; et ce fut après ce même récit moins détaillé.
Cependant elle faufuyait, pour que je ne l'enfilasse pas. Je m'en plaignis tendrement:
— Tu veux donc me rendre malade, ma chère enfant?
Elle s'attendrit; ses beaux grands yeux bleus devinrent humides; elle se cambra, pour me l'insérer elle-même, et me dit, en me secondant, malgré quelque douleur, adoucie par la pommade:
— Quand ma soeur et moi nous vous l'avons vu tant de fois mettre ainsi à ma mère, sur le pied de votre lit, vous criiez de plaisir!…. n'allez pas en faire autant! Vitnègre peut revenir!
Je lui promis le silence, telles délices que j'éprouvasse… J'enconnais. Ma belle faisait de petits mouvements de contraction du connin. Jamais satin ne fut aussi doux que l'intérieur de ce connin céleste; connin encore imberbe n'est pas plus étroit!
— Ah! si ton gueux avait connu le prix de ton divin con, il t'aurait défoncée, eusses-tu dû en périr!
— Non: comme il l'a trop gros, il craignait de m'avachir. Il se branle, ou me fait le branler, en me tenant le poil, ou une fesse, et décharge… en… blasphémant (Elle se contracta, et déchargea).
Je partis alors délicieusement, en me récriant, malgré ma promesse.
— Remue du croupion (ne cessais-je de dire), remue du connin, mon ange!… Bon… bon!… encore! encore!…
Et elle se contractait, en redéchargeant, au point que le fond de son con me pinçait, et me suçait le bout du vit… Je déchargeai trois fois sans déconner; et elle, peut-être dix fois. Ce que je sentais à ses trémoussements convulsifs. Enfin, elle se pâma… Je déconnai, dès qu'elle cessa d'émettre. Elle se lava aussitôt, craignant que Vitnègre, en arrivant, ne lui prît et ne lui flairât le con, suivant son usage, même devant le monde qu'il amenait.
Pour nous reposer, nous allâmes causer à la lumière. Je lui révélai là toute l'aventure du moine, pour lequel Vitnègre lui avait fait si longtemps tenir en vue tétons, cul, connin. Je lui peignis la grosseur du vit du moine, le double de celui de son monstre; la joie barbare qu'avait marquée l'exécrable moine, à côté duquel j'étais caché, de la pourfendre et de la tuer, la nuit prochaine, avec son vit comme un timon de carrosse… Elle se jeta dans mes bras:
— O mon cher papa? sauve-moi! et je te suis dévouée à jamais!
— Je te sauverai…
Je lui expliquai comment et pourquoi le gros moine s'en était allé; l'assurant que je l'aurais poignardé, s'il avait entrepris de la violer sur-le-champ. Je lui détaillai comment son abominable mari me l'avait livrée, comptant la donner au moine, auquel elle était vendue.
— Tu sais, ma ravissante fille comme je te l'ai mis? c'est moi, contre tout espoir et toute vraisemblance, qui ai ravi à nos ennemis, ton céleste pucelage!
Conquette me donna un joli baiser sur la bouche.
— Mais comment me sauveras-tu?
— Je viendrai te prendre dans une heure; je t'emmènerai; tu coucheras dans ta pension. Aussitôt que tu seras en sûreté, je ferai entrer dans le cabinet obscur, avec ta clef, et coucher dans ton lit, la jolie putain du Port-au-Blé, déjà prévenue, comme pour y coucher avec moi. Je guetterai. Dès que Vitnègre et le moine seront arrivés, je m'échapperai. J'écouterai; et nous verrons demain.
Ma fille fut ravie. Je la sauverai: mais j'aurais dû l'emmener au moment même. Au lieu de cela, je m'amusai à lui faire raconter la seconde et la troisième nuit de son mariage.
Chapitre XIII Du con et du cul vendus.
Voici comme ma céleste fille reprit la narration que je désirais:
— Le second soir, Vitnègre recommença les mêmes choses. Il me prenait légèrement la gorge:
— Ferme comme un gland! (disait-il)…
Il me plaçait comme s'il m'avait montrée à quelqu'un (ce qui n'était que trop réel!). Après avoir mis en vue ma conque, il me tournait pour faire voir mes fesses.
— Elle est encore pucelle (dit-il, comme s'il se fût parlé à lui-même); pour la perforer, il faudrait la pommader en diable, et se pommader à soi-même le v…
Il me gamahucha violemment; et quand j'eus émis suffisamment, selon lui, il me laissa reposer. Après un court sommeil, je m'éveillai couchée sur le ventre, ayant sur moi un homme, qui s'efforçait de m'introduire dans le fondement un fort gros membre. Mais quoiqu'il n'eût aucun égard à mes soupirs douloureux, il ne put jamais s'ouvrir le passage par la rosette de mon anus (ce fut son expression, prononcée très bas à quelqu'un). J'entendis ensuite, dans cette pièce-ci:
— Il faudrait qu'un v… moins gros que le mien me la fraye…
Voyons, toi! Trop gros, de beaucoup!…
Je n'y comprenais rien. Je m'endormis, et ne m'éveillai plus.
Le lendemain, dans la journée, Vitnègre m'ayant beurré la rosette, et plongé son membre dans l'huile d'olive, me fit coucher sur le ventre et retrousser. Il se mit sur moi, en disant:
— Il faut que j'en tâte de ce ragoût de bougre.
Je lui représentai, qu'il m'avait essayée toute la nuit.
— Ça va jusqu'à toi (me répondit-il), et ça te passe…. Ah! que d'argent me vaudraient ces deux bijoux-là, s'ils étaient connus!
Il fit tous ses efforts, me martyrisa deux heures durant sans succès, et finit, parce qu'une copieuse déch—ge… lui ôta sa roideur et ses forces…
Le troisième soir, il répéta encore tout ce qu'il m'avait fait… A mon réveil, dans mon premier somme, je me trouvai sur le dos, ayant un homme sur moi, qui m'attaquait le bijou de toutes ses forces. Je m'écriai! Vitnègre me dit:
— Décharges tu, ma fille?
On me quitta, et Vitnègre ajouta:
— Si tu cries comme au feu dès que je voudrai te le mettre, nous voilà bien!.. Allons, empoigne-moi le vit, que je déch— ge… Chatouille-moi les couilles de l'autre main… Tiens, comme je fais à ton c-n. Va, va, va… vaah (Il ne m'appelait encore ni putain, ni garce; ce ne fut qu'au bout de six semaines).
Mais ce n'était pas lui que je maniais; j'en ai fait l'observation depuis. On émit six fois de suite, je secouai cet homme plus d'une heure. Il en fut une autre à me gamahucher. Je n'en pouvais plus!… Il me fit ensuite lui pisser dans la bouche, et n'en perdit pas une goutte, il avala tout. Il me laissa enfin…. Si je n'avais pas été dans une sécurité parfaite, je me serais bien aperçue, que Vitnègre le reconduisait, en disant:
— L'opération, l'opération!
Mais me doutais-je de rien?…
Je rebandais, malgré quatre décharges, et déjà je disais à ma fille:
— Connin céleste, je n'en puis plus!… Je ne te cacherai pas, ma délicieuse amie, qu'outre ma passion pour toi, qui est inexprimable comme ta beauté, j'ai un excitatif puissant: c'est de faire cocu Vitnègre. Je voudrais, s'il était possible sans triturer tes charmes divins, que toute la Terre te passât par le con, pour qu'il fût le cornard universel… Viens me donner le bonheur!
Et je l'emportais, quand nous entendîmes tourner la clef. Je me cachai aussitôt dans le cabinet obscur… C'était Vitnègre, qui rentrait avec un jeune homme. Nous entendîmes clairement, qu'il lui disait avant d'entrer:
— Tu as le vit comme il le faut; c'est ce qui me fait te donner pour six bougres de louis un pucelage qui en vaut mille. Il est essentiel que je te surprenne, et veuille la tuer. Tu me supplieras, et je n'accorderai sa grâce, qu'autant qu'elle te secondera, pour l'enconner. Mes gros vits s'ennuient de ne pouvoir la foutre ou l'enculer. Ils me paient une grosse pension. Aussi je la nourris bien, et tu vois comme elle est mise. Tu me l'enconneras d'abord: c'est le plus pressé. Demain, tu l'enculeras. Sache que son mari l'adore; s'il la rudoie, c'est pour la rendre souple à toutes ses volontés. Elle me vaut trente mille francs, en trois mois de mariage. Entrons; elle va te ravir: mais point de pitié!
Tel fut le discours du monstre…. Je poussai Conquette devant moi; je la conduisis à sa pension, d'où elle revint avec moi. Il était nuit. Je pris Conillette, la putain, arrangée, appétissante. Conquette nous précédait. Rassurée par ma présence, elle ouvrit le cabinet obscur. Elle entra. Nous la suivions. Je dis à Conillette de s'étendre foutativement sur le pied du lit… Cependant ma fille se présentait. Elle fut reçue avec transport. Le jeune homme, appelé Lenfonceur, et Vitnègre lui-même, la couvrirent de louanges. On ne lui baisa que la main. Vitnègre, néanmoins, qui (de même que les trois fouteurs à gros vits, et le moine), était fou de sa chaussure à talons minces élevés, lui baisa le pied. Il lui dit ensuite:
— Ah ça, ma fille, allons-y par la douceur. Il serait malheureux pour moi de renoncer à te le mettre; il faut se faire une raison: mon vit est trop gros; non préparée, il te déchirerait. Voici un vit mieux proportionné, qui va te perforer, sans décharger; ainsi percée, mon gros vit pénétrera cette nuit au fond de ton con. Vois-moi ce vit-là!…
Et il mit à l'air le vit de l'Enfonceur, ou plutôt de Timori… Il fallait que Vitnègre eût découvert, on ne sait comment, l'inclination de sa femme inspirée par le beau blond, pour en user comme on va le voir.
Chapitre XIV Le jeune homme, la fille, le moine.
Ma fille, en reconnaissant son amant, que son mari lui amenait pour l'enconner, avait rougi de pudeur, ou de désir. Elle trouva moyen de venir à moi, pour me dire:
— Faites disparaître la fille; on ne l'emploiera que cette nuit.
Je vis bien qu'elle voulait être foutue par son galant. Je cachai la putain. Voici maintenant le récit de ce qui va se passer.
Dès que Conillette se fut commodément arrangée derrière le grand sofa, Conquette retourna auprès des deux hommes, qui la rapportèrent au foutoir, assise à cul nu sur leurs mains unies.
— Allons, ma petite garce de femme (lui disait Vitnègre), tu vas pourtant être dépucelée, foutue! Mais ce n'est rien! c'est quand tu auras un gros vit, cette nuit!…
Il la troussait, l'arrangeait.
— Lenfonceur, que je te mette le vit dedans!
— Non, non; ma belle se le mettra elle-même.
— Tu as raison. Il faut qu'elle s'y accoutume.
Vitnègre sortit, et j'observai qu'il laissait la porte ouverte. J'en augurai quelque noirceur. Mais j'étais là… Timori, bien bas, dit à ma fille:
— Vous le mettrai-je, ma bonne amie?
— Non, non! il est allé chercher des écoutants [ce mot glaça
Timori].
— Mais il vous estropiera?
— Je ne couche pas ici.
Alors l'amant satisfait, se mit à la gamahucher doucement.
Cependant la Voluptueuse déchargea…
Elle était aux anges, quand j'entendis Vitnègre revenir. Je crus qu'il amenait le moine. Il entra, passa rapidement, suivi de trois voisines, auxquelles il disait:
— Je vas vous montrer ça.
Effectivement, il leur montra quelque chose dans sa chambre… Cependant mon amoureuse fille, gamahuchée par un amant aimé, fit un profond soupir. Les trois voisines prêtèrent l'oreille.
— Ce n'est rien (dit Vitnègre); ma femme est rentrée, et je ne le savais pas. C'est pour elle cette étoffe-là.
— Oh! il faut la lui montrer! (s'écrièrent les trois voisines).
Le monstre retint celle qui allait la chercher. Il prit la lumière, en disant:
— Je vais auparavant voir si elle ne dort pas.
Il ne fut qu'à la porte, où il s'arrêta d'un air de surprise et d'horreur!… Il recula. Mais les trois voisines avaient vu comme lui, par-dessus son épaule, Conquette troussée, étendue à la renverse sur le pied du lit, la tête d'un homme entre ses cuisses… Il les fit sortir par le corridor, en se frappant le front…
Il avait rempli son but. Si sa femme criait pendant la nuit, les trois voisines, qui se croyaient bien au fait, y mettraient les autres. Si Mme Vitnègre périssait écalventrée par le timon du moine (qui, étant extrêmement riche, devait la payer 60 mille francs, et qui en avait déjà tué plusieurs, choisissant toujours les plus étroites), ce serait la morte qui aurait tort… Cependant Vitnègre rentrait auprès des deux amants, qui avaient changé de position: Lenfonceur, après avoir déchargé par terre, s'était remis sur le ventre de ma fille:
— Eh bien? (dit l'infâme mari) est-elle enfilée? bien enconnée?… Déchargez-vous? décharge-t-elle?
Nous avons déchargé (répondit Timori-Lenfonceur).
— Je vas sortir (reprit Vitnègre). Ramone-la-moi encore pendant une bonne demi-heure, que je serai dehors… Et ne vous étonnez pas de ce que vous allez entendre. J'ai mes raisons.
Il alla dans le corridor, dont il ouvrit doucement la porte, et se mit à crier sourdement, comme s'il avait bourré sa femme à coups de pieds:
— Ah garce! ah putain!… Tu fous, sacrée salope! Quand je suis sorti, tu raccroches!… Je vais chez le commissaire!
Il ouvrit la porte bruyamment, et la referma de même. Mais il dit tout bas, avant de s'éloigner:
— Remue du cul, ma petite femme!… Courage, Lenfonceur! fraye-moi la bien!
— Voilà un rusé scélérat! (dis-je à ma fille, pendant que Timori observait la sortie de Vitnègre) Le moine t'aurait tuée, et il ne néglige rien pour motiver ta mort.
— Sauvons-nous! (me dit-elle).
— Non, non; nous sommes assez pour te défendre. Feins à Timori que j'arrive…
Le jeune homme rentra.
— Voici mon papa, arrivé à propos!
— Ah oui! (répondit Timori), sa présence pare à tout; car j'allais proposer de nous enfuir. Mais, à présent, voyons ce qui arrivera.
Je lui montrai Conillette, et je lui fis entrevoir notre plan, que Timori trouva merveilleux!… Le temps s'écoula vite. Nous entendîmes revenir. Timori reporta la lumière dans la chambre; nous nous cachâmes ma fille et moi; tandis que le jeune homme s'étendait sur le ventre de Conillette troussée…
— Que ton vit ne m'approche pas! (lui dit-elle) je suis gâtée; que tes couilles ne me touchent pas le poil; j'ai des morpions!…
Vitnègre entrait, suivi du moine, que le voisinage aux fenêtres prit pour le commissaire.
Chapitre XV Du fouteur à la Justine.
Le moine ôta d'abord sa robe. Mais nous l'avions tous vu. Il mit ensuite à l'air un vit, si monstrueux que ma fille tremblante m'étreignit dans ses bras.
— Oh! qu'il est gros (dit Vitnègre).
— Il a tué deux de mes soeurs religieuses, qui avaient fait chacune deux enfants de notre Prieur. J'ai tué toutes les femmes que j'ai enconnées; il n'y a que ma mère que je n'ai pas écalventrée; mais je n'eus pas de plaisir; la vieille garce ne saigna presque pas! j'eus peu de plaisir… Pour ta femme… Ah, quelle rage!… Mais elle est foutue… elle sera morte avant que j'aie achevé de l'enconner… Je l'enculerai expirée… Je t'en apporte le prix: 60 mille francs en billets de la caisse…
Vitnègre le compta; les serra.
— Si je pouvais l'enconner une pauvre fois!
— Tu te fous de moi!… Après, après; elle sera encore chaude…
Je frémissais! et comme j'avais deux pistolets chargés, je fus tenté de brûler la cervelle à ce monstre; mais il allait avoir la vérole…
— Voulez-vous, avant qu'elle soit abîmée, lui voir le con? sa jolie figure?
— Non! cela m'amollirait le vit…. Conduis-moi sans lumière.
Ils vinrent à tâtons.
Vitnègre précédait, pour éloigner Lenfonceur. Trouvant une femme seule, et troussée, il voulut lui mettre, en soupirant, sa langue dans le con. Elle l'en empêchait, quand le moine faillit de l'écraser, en tombant sur la fille. Vitnègre fut obligé de se retirer a quatre. Le premier acte du Père Foutamort (comme Vitnègre le nomma), ce fut de mordre le bout des tétons de sa monture, en lui dardant son engin, qui ne pouvait entrer dans ce vaste con, encore élargi par une éponge, que la fille venait d'en ôter. Conillette fit un cri perçant! Et, se sentant déchirer le con, elle voulut se dérober, en égratignant des deux mains. Foutamort, qui savait bien qu'elle ne pouvait en échapper, et dont le plaisir était d'autant plus grand à tuer une femme, qu'elle était plus belle et plus étroite, ne la ménagea pas; tout en l'écartelant, il lui arracha le bout des seins avec ses dents. Un profond évanouissement, ou la mort, fit cesser ses cris… Je me repentis de n'avoir pas d'abord tiré un coup de pistolet à bout portant dans la tête du moine… Mais les voisins au bruit auraient peut-être enfoncé les portes; ce fut ce qui me retint… Foutamort, parvenu au fond du con de la fille écalventrée, déchargea enfin en jurant et rugissant.
— Fous un coup (dit-il à Vitnègre), avant que j'encule la garce!
Le scélérat vint; mais, sentant un cadavre plein de sang, il se retira.
— Elle est morte! (dit-il).
Foutamort la tâta:
— Non; le coeur bat encore; vite que je l'encule.
Le cul de Conillette était bien plus étroit que son con; le moine haletait. Il en vint cependant à bout, car il dit à Vitnègre:
— Je n'ai fait qu'un trou des deux.
Et il déchargea horriblement!…
Ma fille, épouvantée, m'étreignait par le milieu du corps.
Vitnègre pleurait:
— Ma pauvre femme! je t'ai livrée à ton bourreau!
— Ne te l'ai-je pas payée? (dit le moine) Elle est bien à moi… Ainsi, va te coucher, et fous tes 60 mille livres; tu me gênes. Pour moi, pendant qu'elle est encore chaude, je vas, pour mon argent, foutre cinq à six fois le cul et le con de ma putain.
Vitnègre alla se coucher dans un petit cabinet, où il s'enferma.
Aussitôt Foutamort s'acharna inépuisablement sur sa victime expirée… Enfin, épuisé, il alla chercher la lumière, pour en repaître ses cruels regards… J'ai dit que la fille était jolie.
Elle est belle encore! (dit le monstre) Mais la figure de la putain est toute bouleversée; elle ne se ressemble plus à elle-même…
Il lui regarda le con, en lui soulevant le cul… Il la laissa retomber, en éclatant de rire:
— Ma foi, la gueuse n'a plus qu'un cul, ou qu'un con… je ne sais lequel… Mais est-elle bien morte?
Il la déshabilla, l'emporta nue dans l'autre pièce, la mit sur une grande table; alla prendre un vaste saladier; tira un bistouri [Nous le voyions par la cloison vitrée].
— Décharnons-la.
Il lui cerna la partie charnue des seins, la motte tout entière, la chair des cuisses; lui fendit le ventre, lui arracha le coeur, les poumons, le foie, la vessie, la matrice; la retourna, lui enleva la chair des fesses, lui coupa les pieds chaussés, qu'il mit dans une poche, les mains, qu'il serra dans l'autre. Il la retourna encore; lui coupa la langue, la tête, ôta la chair des bras. Il vint ensuite chercher sa chemise et un drap du lit, en disant:
— Voilà un bon régal pour nos moines et pour moi.
Le terrible anthropophage mit le saladier dans la chemise; ensevelit le corps dans le drap; fit lever Vitnègre pour le coudre; puis il lui dit de publier le lendemain que sa femme se mourait; de la mettre le soir dans une bière, et que lui moine se chargeait de la faire enterrer. Et, après lui avoir recommandé de bien effacer au grand jour toutes les traces de sang, il sortit vers les 3 heures du matin, emportant son saladier de chair humaine.
Vitnègre pleura d'abord. Mais, nous ayant entendu remuer pour sortir, le lâche eut une frayeur si grande qu'il alla s'enclore dans son petit cabinet. Nous sortîmes donc tout à notre aise. Comme nous traversions la petite cour, nous entendîmes les voisins qui disaient fort bas:
— Il ne l'a pas tuée; voilà qu'on l'emmène!…
Nous nous mimes à fuir par de petites rues, dès que nous fumes dehors, de peur d'être suivis. Et bien à-propos! nous entendîmes courir. Mais on ne prenait pas notre chemin. Je remenai ma fille à sa pension, laissant là Timori, pour observer, et lui promettant de revenir dans une demi-heure.
— Voilà donc (me dit-elle), quel serait à présent mon sort, si, en vous accordant mes faveurs, je n'avais pas reculé votre départ! O mon cher papa! tout mon corps est à vous, pour en faire ce que vous voudrez!
Je lui demandai sa bouche. Elle me darda sa langue; et nous arrivâmes. Je lui dis de se coucher.
— Non, non! et mes malles.. mes bijoux; si nous pouvions les avoir?
J'admirai sa présence d'esprit!… Il était près de 5 heures.
Je courus rejoindre Timori, qui se promenait devant la porte.
— Rien encore (me dit-il).
Un instant après, nous vîmes sortir Vitnègre. Timori le suivit, et j'allai chercher ma fille, sa présence nous étant nécessaire, si d'officieux voisins nous arrêtaient. A mon retour avec ma fille et deux crocheteurs, je retrouvai Timori, qui nous dit que Vitnègre avait passé le boulevard. Ma fille ouvrit. Nous chargeâmes quatre malles préparées, mais cachées; nous sortîmes sans être vus, et nous allâmes par des rues détournées, chez mes affidés.
Ce fut alors que ma Conquette fut tranquille! Elle se coucha, et nous allâmes reposer chacun chez nous, Timori et moi.
Chapitre XVI Foutoir; petit magasin; enterrement; amour.
Nous en sommes aux fouteries par excellence; à celles qui vont aguerrir ma délicieuse Conquette-Ingénue, ma ravissante Victoire-Conquette, faire leur fortune, la mienne, en leur ôtant une fausse délicatesse, et découvrir une chose admirable, qu'on ne verra qu'à la fin. La route que je vais prendre, pour former ces deux belles et leurs compagnes, étonnera d'abord! mais en toutes choses, il faut attendre le dernier résultat… Reprenons ce charmant récit, en faisant précéder quelques fouteries préparatoires, qui amèneront les grandes. Mais il n'y aura plus, dans le reste de l'ouvrage, aucune horreur qui ressemble à celle du moine Foutamort. Les horreurs à la Dsds sont aisées à présenter; c'est la peinture de la douce volupté qui est le chef-d'oeuvre du génie.
La première visite que reçut Conquette, le lendemain, jour de son enterrement, et à la même heure, fut celle de Timori. Il la trouva chez ses hôtes. Il venait lui raconter comment, après être morte la nuit précédente, elle venait d'être enterrée. Mais Il ne pouvait parler devant le monde. Or, j'avais dans cette même maison, à quelques marches au-dessous, mais sur le derrière, un petit magasin, où je cachais chaque numéro de mes Annales, que supprimait le gouvernement d'alors. Ma fille y devait faire mettre son lit, le soir même. Il y aurait sans doute été déjà; mais elle ne faisait que de se lever. J'y avais placé pour mon usage, celui de mon secrétaire, de sa soeur, de sa maîtresse et de sa belle-mère, un foutoir commode, dans le ventre duquel on pouvait parfaitement se cacher. [Vitnègre en avait un tout pareil, dans lequel il se mussait, quand un de ses trois payeurs venait, pour essayer de dépuceler le con ou le cul de sa femme, qu'il appelait, sa poule aux oeufs d'or; il voulait tout voir, craignant qu'un des trois ne la lui enlevât. C'était aussi par volupté; il était passionné pour la chaussure de sa femme. Lors donc que, tendrement gamahuchée par un des trois bougres (car ils l'adoraient, et ils vont bien la regretter), elle émettait, il lui tirait un soulier qui, se trouvant étroit vers la pointe, lui servait de con. Aussi disait-il à ses intimes:
— Je n'ai jamais foutu ma femme qu'en soulier.
Conquette, sentant bien que Timori avait bien des choses à lui dire, et qu'il ne pouvait parler, prétexta qu'elle avait laissé dans mon magasin une lettre à lui montrer. Elle avait une double clef. Ils y descendirent ensemble.
Je venais d'y arriver. J'entendis la marche de ma fille, sa voix basse, et celle de Timori. Je me cachai dans le foutoir. Ils entrèrent. Conquette ferma soigneusement la porte, la couvrit du matelassement qui empêchait qu'on ne fût entendu au dehors, et ils s'assirent sur moi.
"Ah! Madame (dit Timori), quelles scènes!… Il avait découvert que je vous aimais, à mes regards, et parce qu'un jour étant avec lui chez vous, pendant qu'un de vos acheteurs vous caressait sous son nom, il me vit baiser à la dérobée une de vos chaussures. Mais il paraissait ignorer non seulement que vous m'aimiez, mais que je vous fusse connu. Hier, à 3 heures, m'ayant trouvé au café, il me dit:
— Je ne saurais dépuceler ma femme; j'ai le vit trop gros. Tu es beau garçon; je t'ai choisi, pour la dépuceler aujourd'hui, à l'instant; je te demande seulement six louis, qu'elle aura pour ses épingles.
Je les lui donnai sur-le-champ, et nous partîmes… Vous savez le reste… Ce matin, après vous avoir quittée, j'ai été me reposer jusqu'à 10 heures, que j'ai été à mon bureau. Mais, passant devant sa porte, j'y ai frappé. J'ai entendu deux voisines qui se disaient fort bas:
— Le confesseur y est! ce n'est donc pas elle qu'on a emmenée cette nuit…
L'infâme m'a ouvert. L'horrible moine était avec lui. Un frère avait apporté la bière bien enveloppée, et il récitait tout haut des prières auprès du cadavre dans le cabinet obscur.
— C'est un ami (a dit Vitnègre)… Ma pauvre femme est morte!
— Morte! (ai-je dit)
— Elle est expirée dans les bras du révérend père.
J'ai frémi de l'expression!… Le moine a dit:
— J'ai fait toutes les démarches; nous avons la permission de l'enterrer sans bruit; ce sera pour 3 ou 4 heures.
Je suis sorti…
En revenant de dîner, vers les 4 heures, je suis repassé. Deux prêtres, quatre porteurs, le moine et le frère, ont emporté le corps, sans chanter. Il est inhumé. Nous verrons la suite des événements… Je les observerai.
— Ma belle amie! On vous croit morte: vous êtes libre.
M'accorderez-vous vos précieuses faveurs?
— Mon ami! (répondit modestement Conquette) je commence par vous remercier de l'important service que vous m'avez rendu! mais un autre m'en a rendu un plus important encore. Seul il m'aurait sauvée. Si mes faveurs étaient encore à moi, elles seraient à vous. Mais elles sont à mon premier amant, qui, caché, a découvert toute la trame. Il venait de me déflorer; il me l'a mis encore après. C'est votre unique rival: mais il est adoré; son nom, que je vais vous dire, va vous prouver toute mon estime, et que vous avez toute ma confiance. C'est mon papa…
A ce mot, Timori tomba aux genoux de son amante:
— Fille angélique! Fille divine! (lui dit-il) je reconnais là votre piété filiale et la beauté de votre âme! Foutez avec votre père; que lui seul vous enconne! Vous seriez digne de foutre avec Dieu, si Dieu foutait!… Mais je demande à vous gamahucher, et, si votre papa le permet, à vous enculer!
— Mon aimable ami! (lui répondit Conquette, en le caressant de la main) vous êtes bien raisonnable!
Timor se déculotta, lui mit dans la main un vit à pucelage, plus petit que le mien, se fit chatouiller les couilles, et la voulut branler. Elle s'y refusa. Alors Timori la renversa, la troussa, et lui supa savoureusement le con… Non, jamais l'on n'entendit de pareils soupirs!…
— Ah! Timori… ta langue vaut un vit.
Elle avait émis dès le troisième coup de langue, et, dans son délire, elle élevait ses jambes en l'air, faisait claquer ses jolis talons, haussait du cul, pour favoriser l'application de la bouche de son gamahucheur, et l'intromission de la langue qui lui chatouillait le clitoris. Elle imitait sa mère, dans ce claquement de talons; car je ne foutais celle-ci que de jour, soit en con, soit en cul, soit en bouche, pour être excité par ce qu'elle avait de mieux, la jambe et le pied. Je lui demandais le claquement des talons, parce qu'il imitait la marche de femme, son qui me faisait toujours bander… Lorsque ma fille eut amplement déchargé, elle écarta Timori.
Chapitre XVII Du pucelage du cul: le père enconneur.
La céleste Conquette-Ingénue fut toujours aussi juste que belle et sensible: qu'on ne soit donc pas surpris de ce qui va suivre.
Elle se mit sur le ventre, et lui dit:
— Mon second ami! pommade-moi. Mon premier ami a eu le pucelage de mon bijou; il est juste que tu aies celui de ma rosette; mon papa sûrement m'approuvera!
— O déesse! (répondit Timori, en lui insérant de la pommade dans l'anus avec une canule) que tu es raisonnable! Il aura le connin, moi la rosette, et nous jouirons chacun d'une fouterie à nous seuls.
Timori enfonça, malgré quelques petits cris de ma chère fille, et après de vives saccades, il déchargea, en s'écriant:
— Foutre! foutre! quel cul.. quel plaisir des Dieux!
Et il se pâma… Il fut épuisé, et de sperme et de forces, par ce coup seul… Aussi se rappela-t-il, à mon grand contentement, qu'il était attendu à 7 heures. Il laissa l'amoureuse Conquette-Ingénue étendue sur le lit, après l'avoir remise sur le dos, afin de lui donner quelques coups de langue au con, pour baiser d'adieu. Il alluma sa bougie, sortit, et tira la porte.
Aussitôt je quittai ma cachette, et je m'élançai sur mon adorable fille, que les trois dardements de langue avaient émue, et dont le con oscillait vivement.
— Quoi! vous étiez là?
— Oui, ma divine. Il encule; moi j'enconne. Tu me causes une érection terrible!
— Adoré Papa, foutez… foutez-moi! (et c'est la première fois de sa vie qu'elle prononçait ce mot) je n'en puis plus moi-même…
Elle me saisit le vit, et se le mit dans le connin:
— Pousse! (me disait-elle) Il entre.. Pousse! vit de Dieu! vit paternel! émets du foutre dans le con de ta fille!…
En parlant ainsi, elle remuait tellement du cul, que je me trouvai bientôt au fond de son connin. Vive la fouterie ordinaire! c'est la meilleure manière des quarante! J'avais la bouche, la langue, les blancs tétins de ma fille, ses caresses, la vue de son charmant visage, toujours joli au double dans une femme qu'on fout, ses doux propos:
— Cher vit! vit divin! comme il me chatouille le con!… Pousse!… Ah! bougre! je me pâme… Je déchar…arge du fou…outre!… Ta langue! cher amant! Enconneur adoré!… Oh je redécharge! Fous, sacré bougre! Suce… mordille-moi les tétons!…
Je déchargeai délicieusement à la seconde émission de ma céleste fille. Au fond de son étroit connin, je me sentis adorablement pincé par ce que le vulgaire appelle le clitoris, et les gens de l'art, le bas du conceptoire ou de la matrice; cet organe de volupté, qui n'est atteint que par un vit long, me suçait le bout de l'engin déchargeant… Et cette idée délirante, en me voyant sur la plus belle des femmes, renversée sur le dos, bien enconnée, se pâmant de plaisir,
— Je fous ma fille… Je lui décharge dans le con… Nos foutres mêlés peuvent lui faire un enfant tout de moi… Je fais cocu le gueux, le scélérat de Vitnègre! Je fous sa femme, qu'il croit morte, qu'il n'a jamais foutue… Nous la foutons, Timori et moi, l'un en con, l'autre en cul, tandis que le vil jean-foutre se branle le vit à sa divine intention… Il la croit écartelée par le vit-timon de son exécrable moine… et son étroit connin décharge avec nous, comme celui d'une princesse, foutue par un jeune garde du corps!…
Ces idées, rapidement roulées dans mon imagination, doublaient, triplaient ma volupté…
Ma fille me fit déconner:
— J'en suis pleine, me dit-elle; le devant, le derrière; il faut que je me purifie.
Je courus lui chercher de l'eau tiède chez son hôtesse, Mme Brideconnin, que je trouvai seule auprès du feu, des tétons blancs comme neige découverts. Je les baisai, pris l'eau qui chauffait pour elle. Son mari me dit:
— Je viens de le lui mettre, à l'intention de votre fille, la charmante Mme Poilsoyeux (nom que je lui avais donné, pour qu'elle ne portât pas celui de son infâme mari).
Je rentrai. Je lavai moi-même avec une fine éponge les charmes secrets de ma déité. Il y avait un peu de sang à la rosette, et même au connin.
— Eh! quoi, ma délicieuse, tu as donc encore souffert?
— Oui, mon cher bourreau; mais le plaisir l'a toujours emporté, même en cul…
Conquette, purifiée, me dit:
— J'étais si pressée de jouir avec vous que je n'ai pas pris le temps, papa-sauveur, de vous demander votre sentiment sur ce qui s'est passé entre moi et Timor?
— J'ai aussi bien des choses à vous dire là-dessus, mon ange; mais nous allons souper. Vous avez besoin de repos, et moi aussi; ce sera pour demain…
Je lui donnai la langue; elle me darda la sienne; je baisai les boutons rose de ses tétons, et nous allâmes nous mettre à table.
Pendant le souper, je racontai à M. et Mme Brideconnin ce qu'il fallait qu'ils sussent de la prétendue mort de Mme Poilsoyeux afin qu'ils ne la compromissent jamais. Pendant le repas, notre porteur d'eau et sa femme placèrent le lit de ma fille dans mon magasin; et, dès qu'il fut arrangé, nous y descendîmes ensemble. Ma belle amie me dit:
— Je crois que j'aurai peur; priez Mme Brideconnin de venir coucher avec moi!
— Je vais rester, ma reine.
— Ah! j'aime bien mieux cela! non pour jouir; mais pour que mon amant-papa s'endorme sur les tétons de la femme de Vitnègre, pendant qu'il se morfondra, ou qu'il ne … qu'un de mes vieux souliers.
— Ma divine fille? (repris-je) je vais, dès ce soir, te dire ce que je voulais remettre à demain. Couchons-nous.
Je déshabillai ma déesse comme une nouvelle-mariée, baisant tout ce que je découvrais. Tous deux au lit, je l'assis sur mon vit.
Chapitre XVIII Des avis paternels, tenant sa fille enconnée.
Ami lecteur! j'éprouve encore les oscillations de la plus savoureuse volupté, en me rappelant ces moments enchanteurs, que m'a procurés ma Conquette-Ingénue-L**!
— Appuie lentement, ma reine; que je t'enfile sans limer!
Elle le fit. Lorsqu'elle fut parfaitement enconnée, je lui dis:
— Tu sais, très chérie fille, que j'ai tout vu, tout entendu. Tes sentiments divins à mon égard, m'ont pénétré de reconnaissance et d'admiration… J'approuve entièrement que tu aies donné à Timori le pucelage de ton beau cul. J'accepte avec transport ton dévouement pour moi. Mais, céleste fille! c'est à ton intérêt, à ton bonheur, que je me propose de le faire servir. Je ne prétends pas, tel qu'un sultan, te garder pour mes plaisirs exclusifs. Tu auras un payeur. Lequel des trois hommes auxquels ton pucelage était vendu aurais-tu préféré?
— Le plus honnête, incomparable papa; mais c'est justement celui qui l'a le plus gros.
— Je te ferai donc élargir le bijou par un gros homme de ma connaissance. Il n'est pas aimable; mais un homme aimable pourrait t'épuiser, en te faisant trop décharger; outre qu'il pourrait te prendre le coeur; ce qu'il ne faut pas; un fouteur préparatoire ne doit te prendre que le con… Ni moi, ni Timori ne te suffirions point; nous n'avons pas le vit assez gros; ce ne sont que des vits à pucelage. Mais j'ai plusieurs ressources… Je sonderai celui que tu préfères; puis les deux autres, s'il ne fait pas ton affaire. Je les ai épiés. Je sais leur adresse; je ne nous compromettrai pas. Je ne te demande que de la soumission!
— Entière! divin papa.
Elle se trémoussa un peu, et déchargea.
— S'il te survient beaucoup de tempérament, comme je crois l'entrevoir, j'aurai soin que tu ne manques pas de vits. Tu verras comme tu seras régalée!… Je ne suis plus d'un âge à te rassasier de volupté. Ainsi, je te le ferai mettre par de jolis jeunes gens, graduant la grosseur des vits.
Ici, ma provocante fille s'agita, en me disant:
— Mon cher vit-papa! permets que je foute en con à l'intention de Timori, le vit de mon cul! Tu m'as convertie; il m'enconnera, mais en ta présence.
— Oui. oui…
Je la saccadai. Elle s'écria:
— Fourgonne.. vit de mon cher Timori! fourgonne mon con!
Fais-moi pâmer! bougre.. foutre.. Ramone.. ramone!… ze déçarze!
Et elle déchargeait, en se roidissant:
— Ahahah, mon papa! Ahahah! Ahahahh! (avec un long soupir)…
Je n'ai jamais eu tant de plaisir qu'à cette décharge… Nous avions de la lumière; ma fille se mit sur le bidet pour se rafraîchir le bijou, tandis que je me mettais le vit et les couilles dans l'eau froide, pour me faire débander. Je demandai à ma fille, Qui lui avait appris les expressions dont elle s'était servie, en déchargeant? "Dès la troisième semaine de notre mariage (me répondit-elle), Vitnègre fit coucher avec lui sa filleule, femme d'un espion de police; cette femme, par les ordres de son parrain, feignait de délirer, quand il l'enfilait; et voilà quels étaient ses propos, avec beaucoup d'autres, qui n'auraient pas été placés pour nous, comme gros-bondon, chien de vit de mulet, Foutamort le cadet! etc. Nous nous remîmes au lit, et nous nous endormîmes enlacés.
Le matin, je renouvelai mes instructions à ma fille. On frappa. C'était Mme Brideconnin, qui parla. Je me cachai dans le foutoir. Elle apportait le déjeuner de Mme Poilsoyeux.
— On cherche une fille du Port-au-Blé (dit-elle), disparue depuis avant-hier soir. Une de ses pareilles a dit, qu'elle devait aller coucher avec un homme de 40 ans, qu'elle avait dit avocat, mais qui est chirurgien; qu'ils l'ont tuée à deux pendant la nuit, et disséquée. C'est peut-être votre histoire, qu'on dénature comme ça? Mon mari doit aller s'informer.
Elle sortit; et je vins déjeuner avec Conquette. Je la laissai, en promettant de la voir à dîner.
Je fus exact. Brideconnin était sorti. C'était effectivement de Conillette dont il était question. Le commissaire et les mouchards visitaient toutes les maisons de la rue; mais on ne trouvait rien. Je changeai de costume par précaution… Je revins le soir, et ne couchai pas. Je me reposai trois nuits, et laissai reposer Conquette-Ingénue.
On sait que j'aimais ma fille autant pour elle-même, que pour mon plaisir, et que je n'entendais pas régler son appétit de 19 ans, sur mes forces de 40. Mais j'avais encore d'autres raisons. Je vais me conduire en conséquence.
Chapitre XIX Du père juste, et du vit grisonnant.
On sera sans doute surpris de ce qu'on va lire, d'après les sentiments que je viens de professer!… Ne me préjuge pas, téméraire! Pour me connaître et prononcer, attends.
Je connaissais un de ces gourmets de plaisir, gros homme vigoureux, lubrique à l'excès, nommé Montencon. Il m'avait donné souvent à dîner, rue Troussevaché, où il demeurait, m'y avait fait enconner la petite Vitsucette, sa maîtresse, en me la tenant lui-même. Il m'avait même procuré la fille de son hôtesse, Petit Bijou, séduite par un noble, appelé de Foutâne, qui l'avait ensuite rendue putain. Elle nous amusa toute une après-dîner; Montencon ayant grisé la jolie Adélaïde Hochepine, il eut la politesse de me la faire enconner le premier, et chatouiller les couilles par sa maîtresse. Ensuite il l'encula, également chatouillé par Vitsucette. Je la refoutis, après que la Vitsucette de Montencon me l'eut lavée. Mais celui-ci nous dit:
— J'ai mes raisons. J'embouche la jolie garce.
L'ayant embouchée, et lui ayant fait avaler son foutre, en haine de Foutâne, j'en fus dégoûté, ainsi que de la Vitsucette, dite la Baiseuse, à laquelle il en faisait autant. Je n'y étais plus retourné. Ce fut cet homme que j'invitai à dîner dans mon petit magasin, pour aguerrir et m'élargir un peu ma fille (car j'avais fait donner séparément aux trois payeurs à gros vits de Vitnègre, MM. Lélargisseur, Percecul et Cognefort, l'espoir de la retrouver, ou sa pareille).
Montencon était connu de Conquette, dont il avait foutu la mère avant la vérole. Il n'en avait que plus envie de le mettre à la fille. Je le trouvai dans l'escalier, en arrivant moi-même. Je l'introduisis. Il demeura immobile de joie et d'admiration, en voyant une femme si belle!… J'avais affaire; je ne restai qu'un moment, en lui disant, que je lui laissais ma fille pour compagnie. Il balbutia, en me reconduisant:
— Elle est ravissante! Quel goût dans sa parure! Comme elle est chaussée! et quel dommage qu'un Vitnègre ait eu ce pucelage-là!
— Vitnègre? Elle est pucelle.
— O mon ami! puis-je y tenter? et tâcher de mettre au moins une corne à ce gredin-là?