Lettres de Mmes. de Villars, de Coulanges et de La Fayette, de Ninon de L'Enclos et de Mademoiselle Aïssé: accompagnées de notices bibliographiques, de notes explicatives par Louis-Simon Auger
NOTES:
[1] Voyez le numéro du journal des Débats du 3 messidor an XIII.
[2] Depuis plusieurs années, on a réuni aux Lettres de madame de Sévigné celles de mesdames de Coulanges et de la Fayette. Cette partie de notre collection fera un double emploi peu considérable pour ceux qui ont des éditions récentes de madame de Sévigné; et ceux qui n'ont que des éditions antérieures, seront sans doute bien aises de pouvoir les compléter au moyen de notre recueil.
[3] Caractères de La Bruyère, chap. Ier. des Ouvrages de l'Esprit.
[4] Abrégé Chronologique de l'Histoire de France, tom. 3, p. 846.
[5] Lettre de madame de Sévigné à madame de Grignan, du 8 octobre 1679.
[6] Cette phrase est une preuve que toutes les Lettres de madame de Villars à madame de Coulanges n'ont pas été conservées; elle ne se trouve dans aucune de celles qui nous restent.
[7] Lettre de madame de Sévigné à madame de Grignan, du 28 février 1680.
[8] Littéralement, prendre le soleil.
[9] Gouverneur du Milanais, conseiller d'état, président du conseil des ordres et grand écuyer de la reine.
[10] Père de la princesse d'Harcourt.
[11] C'est une espèce de panier.
[12] Coussin.
[13] La marquise del Carpio, femme du marquis de Liche, alors ambassadeur à Rome.
[14] Apparitions.
[15] Les ambassadrices d'Allemagne et de Danemarck.
[16] Fille de madame de Sévigné.
[17] Donner ou faire place.
[18] François, duc de la Rochefoucauld, prince de Marsillac, etc. auteur des Maximes et des Mémoires, etc. mort le 17 mars 1680. Il a eu cinq garçons et trois filles.
[19] Les quatre Rois sont:
Charles-Quint, Empereur.
Philippe II.
Philippe III.
Philippe IV.[20] Le marquis de Ligneville.
[21] Charlotte-Elisabeth de Bavière, princesse palatine, seconde femme de Monsieur.
[22] M. et madame de Villars avoient tous deux 55 ans. Il mourut en 1698; elle en 1706.
[23] Madame de Coulanges avoit pourtant 49 ans.
[24] Le maréchal son fils étoit âgé de 28 à 29 ans.
[25] Fille aînée de Henri II et de Catherine de Médicis, femme de Philippe II, roi d'Espagne. Elle mourut le 3 octobre 1568, en couche, non sans soupçon de poison.
[26] Fils de Philippe II, exécuté le 24 juillet 1568. Il avoit demandé et obtenu la princesse Elisabeth; mais le roi, étant devenu veuf, la prit pour lui.
[27] De la maison de Portugal.
[28] Château royal de Ségovie.
[29] Selon le proverbe, que ce qui est violent ne dure pas.
[30] Place publique de la ville de Lyon.
[31] François de Neuville, marquis, puis duc de Villeroi, pair et maréchal de France.
[32] De la charge de grand-maître de la Garde-robe.
[33] Château de la maison de Villeroi, à quatre lieues de Lyon.
[34] M. de Louvois, ministre.
[35] A M. de Corbinelli.
[36] Le prince d'Orange fut obligé de lever le siége de Charleroi le 22 décembre 1672.
[37] Madame de Coulanges étoit nièce de la femme de M. le Tellier, depuis chancelier de France.
[38] Charles de Brancas, père de la princesse d'Harcourt, et chevalier d'honneur de la reine Anne d'Autriche.
[39] Madame de Richelieu.
[40] Capitaine des Gendarmes Dauphin.
[41] M. de Sévigné étoit guidon des Gendarmes Dauphin.
[42] Tragédie de Racine, représentée, pour la première fois, en janvier 1673.
[43] De Retz.
[44] Selon la manière de prononcer de madame de Ludre.
[45] Madame de Sévigné nommoit ainsi la fille de madame de Grignan, qui étoit née le 15 novembre 1670.
[46] Madame de Montespan.
[47] Le roi.
[48] M. de Sévigné.
[49] Madame de Coulanges étoit cousine-germaine de M. de Louvois.
[50] Héros de roman.
[51] Il étoit question du mariage du marquis de Grignan, petit-fils de madame de Sévigné, avec mademoiselle de Saint-Amant, qu'il épousa peu de temps après.
[52] Fille de madame de Grignan, depuis marquise de Simiane.
[53] Mort le 5 décembre 1694, âgé de 64 ans.
[54] François de Clermont-Tonnerre, évêque et comte de Noyon.
[55] L'abbé Testu avoit fait des stances chrétiennes sur divers passages de l'Écriture et des Pères.
[56] C'est-à-dire, le mariage du marquis de Grignan avec mademoiselle de Saint-Amant.
[57] Marie Stuard, fille de Jacques II, roi d'Angleterre, et femme de Guillaume III, roi d'Angleterre, lequel n'étoit connu alors en France que sous le nom de prince d'Orange.
[58] Mort le 4 janvier 1695, âgé de 67 ans.
[59] Morte le 7 janvier 1695.
[60] M. de Coulanges appeloit madame de Louvois sa seconde femme.
[61] Pour sa charge de capitaine des gardes du corps de S. M.
[62] C'étoit M. de Coulanges.
[63] Ce mariage ne se fit point. Mademoiselle de Croissi fut mariée, en 1696, au marquis de Bouzoles; et le comte de Tillières épousa, en 1699, mademoiselle du Gué de Bagnols, nièce de madame de Coulanges.
[64] De l'archevêché de Cambrai.
[65] Madame de Sévigné étoit la marraine du chevalier de Sanzei.
[66] Cette lettre et la précédente étoient écrites sur des feuilles volantes d'un très-petit papier.
[67] Le gouvernement de Bretagne fut donné à feu M. le comte de Toulouse, et celui de Guyenne à M. le duc de Chaulnes.
[68] M. de Poissi n'épousa point mademoiselle de Beaumelet, et ne se maria qu'en 1698 avee mademoiselle de Varangeville.
[69] L'abbé Duguet, auteur de l'Institution d'un Prince.
[70] A cause de l'extrême dévotion de madame de la Sablière, à qui cette maison appartenoit auparavant.
[71] Par le P. de la Rue, jésuite.
[72] Guillaume III, roi d'Angleterre.
[73] La marquise de Grignan.
[74] Le duc du Lude.
[75] L'abbé de Rancé.
[76] Intendant de l'armée de Flandre.
[77] Anne-Françoise de Loménie, femme de Louis Boucherat, chancelier de France.
[78] Allusion au père de la Chaise, confesseur du roi.
[79] Achilles de Harlai, premier président du parlement de Paris.
[80] Madame du Gué-Bagnols.
[81] François de Harlai de Chanvalon, archevêque de Paris, mort à Conflans près de Paris, le 6 d'août 1698, âgé de 70 ans.
[82] M. de Fénélon.
[83] C'étoit le maréchal de Villeroi qui commandoit l'armée en ce temps-là.
[84] Sœur de madame de Montespan.
[85] Allusion à ces vers du Menteur: Mais, puisque nous voici dedans les Tuileries, Le séjour du beau monde et des galanteries.
[86] Louis-Antoine de Noailles, évêque de Châlons, depuis cardinal.
[87] M. de Sanzei, neveu de M. de Coulanges.
[88] Marguerite le Tellier, fille du marquis de Louvois, ministre de la guerre.
[89] Ce mariage ne se fit point avec mademoiselle de Clérembault, mais avec mademoiselle de Duras, fille du maréchal de ce nom, en 1696.
[90] Ce mariage ne se fit que le premier avril 1698.
[91] Madame la comtesse de Grignan.
[92] Depuis marquise de Simiane.
[93] C'est à l'occasion du mariage de mademoiselle de Grignan, qui devoit bientôt épouser le marquis de Simiane.
[94] Louis-Marie-Armand de Simiane de Gordes, évêque de Langres, mort le 21 novembre 1695.
[95] Catherine de Rougé du Plessis-Bellière.
[96] Nicolas-Charles de Créqui, marquis de Blanchefort, mort à Tournai le 16 mars 1696, âgé de 27 ans.
[97] Claude de Longueil, marquis de Poissi et de Maisons, président à mortier au parlement de Paris.
[98] Louise de Fieubet, mère de M. de Poissi.
[99] Elle fut mariée, en 1699, au comte de Tillières.
[100] Sœur de madame de Montespan.
[101] Pauline Adhémar de Monteil, marquise de Simiane, et petite-fille de madame de Sévigné.
[102] Madame de Sévigné, morte à Grignan peu de jours auparavant.
[103] De madame de Sévigné, grand'mère de madame de Simiane, et bonne amie de madame de Coulanges, morte depuis environ six semaines.
[104] A cause de l'extrême tendresse de madame de Sévigné pour madame de Grignan, sa fille.
[105] La princesse de Savoie, qui devoit être dans peu duchesse de Bourgogne, est appelée ici la voisine de madame de Simiane, parce qu'alors madame de Simiane demeuroit en Provence.
[106] Il a déjà été remarqué que M. de Coulanges appeloit madame de Louvois sa seconde femme.
[107] A cause de la proximité du Piémont et de la Provence.
[108] Dame d'honneur de madame la duchesse de Bourgogne.
[109] Madame du Lude n'avoit point d'enfans.
[110] La mort de Charles II, roi d'Espagne, appela, par son testament, M. le duc d'Anjou à la succession entière de la monarchie d'Espagne.
[111] M. le duc de Bourgogne et M. le duc de Berri, après avoir accompagné le roi d'Espagne, leur frère, sur la frontière d'Espagne, firent le voyage de Provence.
[112] Philippe, fils de France, frère unique de Louis XIV, mort à Saint-Cloud le 9 de juin 1701, âgé de soixante ans et huit mois.
[113] Louise-Marie de la Grange d'Acquien, femme du marquis de Béthune, et sœur de Marie-Casimire de la Grange, reine de Pologne.
[114] Madame de Bracciane étoit fort vieille.
[115] Au combat de Chiari.
[116] Allusion à madame de Bracciane, qui, malgré son âge avancé, conduisoit la reine d'Espagne.
[117] Marie-Antoinette Servien, morte le 26 janvier 1702.
[118] Madame de Simiane n'avoit alors que 26 à 27 ans.
[119] Armand-Jean du Plessis, duc de Richelieu, épousa en troisièmes noces, le 20 mars 1702, Marguerite-Thérèse Rouillé, veuve du marquis de Noailles.
[120] Marie-Henriette le Hardi, fille unique du marquis de la Trousse, lieutenant-général des armées du roi, chevalier des ordres de sa majesté, et de Marguerite de la Fond, étoit veuve d'Amédée-Alphonse del Pozzo, prince de la Cisterne.
[121] Terre située en Provence, sur le bord de la mer, et qui appartenoit alors à la maison de Grignan.
[122] Jeanne de Brehan, marquise de Sévigné.
[123] Prêtre de l'Oratoire, d'un très grand mérite, qui demeuroit au séminaire de Saint-Magloire.
[124] De M. de Saci, de l'académie françoise.
[125] Charles d'Aubigné, gouverneur de Berri, chevalier des ordres du roi, frère de madame de Maintenon.
[126] Le combat d'Ekeren, donné le 30 juin 1704.
[127] M. de Catinat.
[128] M. de Catinat s'étoit retiré à Saint-Gratien dans le voisinage d'Ormesson.
[129] Célèbre prédicateur de l'Oratoire, depuis évêque de Clermont.
[130] Les mémoires dont il s'agit furent enfin imprimés à Paris en 1724, avec privilège; 2 vol. in-12, et sans doute après la mort du neveu de Gourville.
[131] A cause du maréchal de Catinat.
[132] Lieutenant de roi de la Bastille.
[133] La marquise de Sévigné.
[134] Maréchal de Catinat.
[135] Le a février.
[136] Marie-Charlotte de Romillei de la Chesnelaye.
[137] Allusion au livre du marquis de l'Hôpital, sur les infiniment petits.
[138] Jean-François-Paul de Créqui, duc de Lesdiguières, mort à Modène le 6 octobre 1703, âgé de 25 ans.
[139] A Ormesson.
[140] Mademoiselle de Montalais, fille d'honneur de madame Henriette-Anne d'Angleterre.
[141] Henriette-Anne d'Angleterre, morte le 29 juin 1670.
[142] Elisabeth-Charlotte, palatine du Rhin, que Monsieur, frère unique de Louis XIV, épousa en secondes noces le 21 novembre 1671.
[143] Gouvernante des enfans de Monsieur.
[144] Marie-Louise le Loup de Bellenave, veuve d'Alexandre de Choiseul, comte du Plessis; et remariée depuis à René Gillier de Puygarreau, marquis de Clérembault, premier écuyer de Madame, duchesse d'Orléans.
[145] Madame de Northumberland.
[146] Gabrielle-Louise de Saint-Simon, duchesse de Brissac.
[147] Colombe le Charron, femme de César, duc de Choiseul, pair et maréchal de France, et première dame d'honneur de Madame.
[148] Il ne faut pas confondre l'abbé Testu, dont il est parlé dans ces lettres, avec un autre abbé Testu qui avoit été aumônier ordinaire de Madame, et qui étoit comme le premier de l'académie françoise: celui dont il s'agit étoit un homme de beaucoup d'esprit et de très-bonne compagnie.
[149] Les religieuses du Calvaire ont leur voile baissé au parloir, excepté pour leurs proches parens, ou dans des cas particuliers.
[150] Madame de Schomberg et madame de Marans étoient logées dans la même maison.
[151] Terre de madame de Sévigné, en Bretagne.
[152] C'est ce que madame de Sévigné appeloit l'approbation de ses docteurs.
[153] Frère du maréchal de Catinat.
[154] François d'Aubusson, duc de la Feuillade; pair et maréchal de France, gouverneur du Dauphiné, et père du dernier maréchal de ce nom.
[155] Tué au combat de Leuze, le 20 septembre 1691.
[156] Derniers vers de la pompe funèbre de Voiture, par Sarrasin.
[157] L'enfer des femmes c'est la vieillesse, disoit un jour le duc de la Rochefoucauld à mademoiselle de l'Enclos.
[158] M. Turretin, professeur en histoire ecclésiastique à Genève.
[159] Malherbe, dans l'ode à la reine-mère, sur sa bien-venue en France.
[160] Le grand Condé qui avoit été son amant.
[161] Le comte de Guiche.
[162] Saint-Evremont étoit né le premier avril 1613, et mademoiselle de l'Enclos en mai 1616; il avoit trois ans plus qu'elle.
[163] Elle l'étoit en effet. Le comte de Grammont ne mourut que le 10 janvier 1707, âgé de quatre-vingt-six ans.
[164] M. le comte de Grammont.
[165] Guillaume, cardinal Dubois, archevêque, duc de Cambrai, prince du Saint-Empire, premier ministre sous la régence du duc d'Orléans, né le 6 septembre 1656, et mort à Paris le 10 août 1723, âgé de soixante-six ans, onze mois et quatre jours.
N'étant encore que l'abbé Dubois, il fut envoyé, en 1698, en Angleterre, pour quelque négociation secrète de la cour de France avec celle de Londres.
[166] M. l'abbé de Hautefeuille.
[167] La duchesse de Mazarin.
[168] Sur la mort de madame la duchesse de Mazarin, morte à Chelsey, près de Londres, le 21 Juillet 1699, âgée de 76 ans.
[169] Ces lettres vont de l'année 1725 à l'anné 1733.
[170] Ablons, campagne près Paris.
[171] Pont-de-Vesle, terre en Bourgogne.
[172] Fils de madame de Ferriol.
[173] Autre fils de cette dame.
[174] Excellente actrice pour les pièces de Marivaux. (Note de M. de Voltaire).
[175] Mademoiselle Aïssé se trompe. Il étoit caissier de la compagnie de la mer du Sud, et il se retira en France avec la caisse; il y a vécu long-temps, avec plus de magnificence que de bonne réputation. (G...)
[176] La demoiselle en étoit folle. Ce mariage s'est fait contre l'aveu des parens. (Note de M. de Voltaire).
[177] L'histoire est très-vraie. (Note de M. de Voltaire).
[178] Madame de Prie étoit très-galante.
[179] M. d'Argental.
[180] La fille de mademoiselle Aïssé.
[181] M. Tronchin, conseiller d'état à Genève.
[182] Martine, Génevois, envoyé du Landgrave de Hesse, à Paris.
[183] Un parent vieux et riche dont madame Saladin devoit hériter.
[184] M. de Pont-de-Vesle, lecteur du roi.
[185] Prédiction qui s'est confirmée. C'étoit une femme de beaucoup de génie, d'esprit, et très-instruite. Elle parloit plusieurs langues; elle étoit sœur du fameux milord Bolingbrocke. (Note de M. de Voltaire).
[186] L'archevêque de Tencin, frère de madame de Tencin.
[187] M. Bertie, conseiller au parlement.
[188] Gentilhomme provençal.
[189] Villars-Chandieu, officier général en France, ayant un régiment Suisse.
[190] Le cardinal de Fleury imagina, sous de certains prétextes, de retrancher les rentes viagères. Cette opération ne fut pas faite impartialement; plusieurs trouvèrent le moyen, avec de l'argent, d'en être exempts.
(Note de M. de Voltaire).
[191] Le cardinal de Tencin, qui présida le concile d'Embrun.
[192] Le cardinal de Tencin et sa sœur.
[193] Frère de M. d'Argental.
[194] La Fresnaye, amant de madame de Tencin, qui, dit-on, l'avoit ruiné; il se tua dans son cabinet. Il disoit dans son testament, que s'il mouroit de mort violente, c'étoit elle qu'on devoit en accuser: elle fut mise au châtelet, d'où elle sortit justifiée.(Note de M. de Voltaire).
[195] Elle mourut entre mes bras, d'une inflammation d'entrailles; et ce fut moi qui la fis ouvrir. Tout ce que dit mademoiselle Aïssé, sont des bruits populaires qui n'ont aucun fondement. (Note de l'écriture même de M. de Voltaire et signée de lui).
[196] Le cardinal de Tencin, archevêque de Lyon.
[197] Sa petite fille, au couvent.
[198] M. de Bellegarde, cadet sans fortune, fut ensuite en Pologne, où il épousa la sœur du maréchal de Saxe, fille d'Aurore de Konigsmark. Rien de plus vrai. (Note de M. de Voltaire).
Voltaire a commis ici une petite erreur que nous allons rectifier. La femme qu'épousa M. de Bellegarde, étoit bien sœur du maréchal de Saxe, puisqu'ils avoient tous deux pour père Auguste II, roi de Pologne; mais elle n'étoit point fille d'Aurore de Konigsmark, la mère du maréchal: la sienne étoit une turque, dont Auguste II eut aussi un fils nommé le comte de Rutowski.
[199] Capitaine aux Gardes Suisses.
[200] M. de Ferriol, ambassadeur. Aga, mot turc qui signifie gardien.
[201] M. Carré de Montgeron, conseiller au parlement.
[202] Sophie, à la mort de demoiselle Aïssé, s'est mise dans un couvent.