Robert Burns. Vol. 2, Les Oeuvres
Footnote 416: Thomson to Robert Burns, Oct. 1794.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 417: Allusion à la tragédie de Douglas.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 418: Scots Prologue for Mr Sutherland, on his benefit-night, at the theater, Dumfries.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 419: Sur la vie légendaire de Wallace, voir le poème de Henry l'Aveugle ou Henry le Ménestrel.—Pour l'histoire, lire le chapitre vii, the Story of Sir William Wallace, dans les Tales of a Grand Father, de Walter Scott,—le chapitre ii du tom I de the History of Scotland de Tytler, p. 48-82,—les chapitres XX, XXI, XXII, de Hill Burton.—Voir aussi une vie populaire, Wallace, the hero of Scotland, par James Paterson. C'est une lecture intéressante et assez nourrie de citations.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 420: On trouvera les aventures de Robert Bruce dans le poème de John Barbour,—dans les chapitres VIII, IX, X, XI des Tales of a Grand Father de Walter Scott,—dans les chapitres III et iv du tom I de l'histoire de Tytler,—dans les chapitres XXII, XXIII et XXIV de Hill Burton.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 421: Son fils Édouard II le fit ensevelir à Westminster et fit écrire sur sa tombe: «Edwardus longus Scotorom Malleus hic est». (Walter Scott, Tales of a Grand Father, chap. IX).[Retour au Texte Principal.]
Footnote 422: Extrait d'une lettre de Ramsay of Ochtertyre au Dr Currie.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 423: A. Mézières. Shakspeare, ses œuvres et ses critiques, Chap. III, § 1.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 424: To Lady Glencairn, Dec. 1789.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 425: To Robert Graham of Fintry, Sep. 10th, 1788.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 426: Lord Cockburn. Memorial of His Time, pages 50 et suivantes.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 427: Walter Scott Quarterly Review, no I, p. 33. On trouvera d'ailleurs cet essai sur Burns, dans le recueil des œuvres critiques de Walter Scott.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 428: Lockhart. Life of Burns, p. 318.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 429: Shairp. Burns, p. 125-26.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 430: R. Chambers. Domestic Annals of Scotland, tom I, p. 307.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 431: R. Chambers. Domestic Annals of Scotland, tom III, p. 398.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 432: R. Chambers. Domestic Annals of Scotland, tom III, p. 399.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 433: Allan Ramsay. A Prologue spoken by Anthony Aston, the first night of his Acting in Winter 1726.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 434: Voir sur ces points Hugo Arnot. History of Edinburgh. Book iii, chap. II, p. 280-81.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 435: R. Chambers. Domestic Annals of Scotland, p. 519-20.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 436: Hugo Arnot. History of Edinburgh. Book III, chap. II, p. 281.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 437: R. Chambers. Domestic Annals of Scotland, p. 544.—Voir aussi p. 550 sur les résistances des presbytériens.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 438: Voir les titres de ces pamphlets dans The Life of Allan Ramsay, en tête de l'édition d'Alex. Gardner, p. XXXII-XXXIII. On trouvera également dans cette biographie des détails sur les difficultés des représentations théâtrales.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 439: Hugo Arnot. History of Edinburgh. Book III, chap. II, p. 282.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 440: Dr Alex. Carlyle. Autobiography, chap. VIII, p. 312.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 441: Voir le récit détaillé de cet événement dans l'Autobiography du Dr Alex. Carlyle. Le chapitre VIII y est consacré en entier.—Voir aussi Hugo Arnot, History of Edinburgh. Book III, chap. II, p. 289-90.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 442: J. Grant. Old and New Edinburgh, tom I, p. 341.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 443: Voir la gravure représentant cet édifice dans A Graphic and Historical Description of the City of Edinburgh.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 444: Dr Alex. Carlyle. Autobiography, chap. VIII, p. 322-23.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 445: To William Dunbar, April 30th 1786.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 446: Tam Samson's Elegy.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 447: Epistle to Dr Blacklock.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 448: Poem on sensibility.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 449: To Miss Graham of Fintry.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 450: Her Flowing Locks.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 451: The Lass that made the Bed to me.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 452: She says she lo'es me best of a'.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 453: My Lady's Gown, there's Gairs upon it.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 454: A red, red rose.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 455: Voir les riches tableaux d'Endymion.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 456: Blooming Nelly.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 457: Bess and her spinning wheel.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 458: Les deux curieux tableaux de Sir Noël Paton, à la National Gallery d'Édimbourg, représentant Le Songe d'une nuit d'été, d'une invention si ingénieuse et si touffue.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 459: Halloween.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 460: The Brigs of Ayr.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 461: The Brigs of Ayr.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 462: On peut lire sur ce mouvement le beau livre de M. Stopford Brooke, Theology in the English Poets.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 463: Cowper. The Task; The Time-Piece, vers 1-2-5.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 464: Cowper. The Task; The Time-Piece, v. 29-36.[Retour au Texte Principal.]
Il me plut davantage
De demeurer dans la grande Cité, où je trouvai
L'air général encore troublé de l'agitation
De ce premier assaut mémorable tenté
Par une puissante levée de l'humanité
Contre les trafiquants de sang nègre;
Effort qui, bien que vaincu, avait rappelé
Aux esprits de vieux principes oubliés,
Et, à travers la nation, répandu une chaleur nouvelle.
De sentiments vertueux.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 466: Cowper. The Task; The Winter Morning Walk, vers 379 et suivants.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 467: Cowper. On the Receipt of my Mother's Picture out of Norfolk.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 468: Cowper. The Task; the Garden, v. 195-209.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 469: Bourdaloue. Pensées sur divers sujets de Religion et de Morale; De la charité chrétienne et des amitiés humaines.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 470: Voir, avec des conclusions différentes, mais inspiré par les mêmes catastrophes, le poème de Voltaire Sur le désastre de Lisbonne.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 471: Allusion aux calamités de la Jamaïque (note de la Globe Edition).[Retour au Texte Principal.]
Footnote 472: Cowper. The Task; the Time Piece, v. 53-65. Ces derniers vers, dit la Globe Edition, font allusion au brouillard qui a couvert l'Europe et l'Asie, pendant tout l'été de 1783.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 473: Cowper. The Task; the Winter Walk at Noon. Lire les vers de 729 à 817.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 474: Wordsworth. The Prelude, Book vi.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 475: Wordsworth. The Prelude, Book XI.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 476: Voir The Prelude, Book IX.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 477: Voir tout ce beau voyage de Wordsworth, si plein d'enthousiasme et du frémissement de tous, The Prelude, Book VI.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 478: Wordsworth. The Prelude, Book VI.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 479: Wordsworth. The Prelude, Book VI, les derniers vers.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 480: Wordsworth. The Excursion, Book III.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 481: Coleridge. France, an Ode.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 482: Coleridge. Fears in Solitude.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 483: Richard II, act. II, scène 1.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 484: Wordsworth. The Prelude, Book X.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 485: Wordsworth. The Prelude, Book X.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 486: Coleridge. France, an Ode.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 487: Wordsworth. The Prelude, Book X.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 488: Coleridge. France, an Ode.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 489: Wordsworth. The Prelude, Book X.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 490: Wordsworth. The Prelude, Book xi.[Retour au Texte Principal.]
Pardonne-moi, Liberté! Ô pardonne ces rêves!
J'entends ta voix, j'entends tes perçantes lamentations
Sortir de la caverne de glace de la froide Helvétie,
J'entends tes gémissements sur ses ruisseaux teints de son sang!
Héros, qui êtes morts pour votre paisible patrie,
Et vous qui, dans votre fuite, tachez la neige de vos montagnes
De vos blessures saignantes; pardonnez-moi d'avoir accueilli
Une seule pensée pour bénir vos ennemis cruels!
Répandre la rage, la trahison, le crime,
En des lieux où la Paix avait jalousement établi sa demeure;
Arracher à une race patriotique son héritage;
Tout ce qui lui avait rendu chers ces déserts orageux;
Et, avec une audace inexpiable,
Souiller la liberté inoffensive du montagnard.
Ô France, qui te railles du ciel; fausse, aveugle,
Patriote seulement pour des labeurs pernicieux,
Est-ce là ton orgueil, Champion du genre humain.
Il est curieux de rapprocher de ces vers un passage d'un écrit de Carnot, qui a pour titre: Réponse de L. N. M. Carnot, citoyen français, l'un des fondateurs de la République et membre constitutionnel du Directoire exécutif, au Rapport fait sur la conjuration du 18 fructidor, au Conseil des Cinq-Cents; par J.-Ch. Bailleul, au nom d'une commission spéciale (6 floréal an VI de la République). Ce passage porte également sur la violence faite à la Suisse, et on peut dire que l'accent en est de tout point semblable à celui de la strophe de Coleridge, et le développement presque pareil: «Le système du Directoire n'est pas équivoque pour quiconque a observé sa marche avec quelque attention. C'est de fonder la puissance nationale, moins sur la grandeur réelle de la République, que sur l'affaiblissement et la destruction de ses voisins... On peut voir sa conduite envers les petits cantons de la Suisse. Ce n'étoit plus l'olygarchie bernoise, ce n'étoient plus ceux contre lesquels s'élevoient un si grand nombre de griefs...; c'étaient les pauvres enfants de Guillaume Tell, démocrates, pauvres, sans rapport presque avec leurs voisins. N'importe, on veut révolutionner; en conséquence, la liberté qui les rend heureux depuis cinq cents ans, cette liberté qui faisoit autrefois l'envie des Français, n'est pas celle qu'il leur faut. Cependant cette poignée d'hommes simples, qui depuis trois cents ans ignore les combats, ose résister; leur sang républicain est mêlé à celui des républicains français, non pour défendre en commun les droits sacrés des peuples, mais pour s'égorger les uns les autres.
«Ô guerre impie! dans laquelle il semble que le Directoire ait eu pour objet de savoir combien il pouvait immoler, à son caprice, de victimes choisies parmi les hommes libres, les plus pauvres et les plus vertueux; d'égorger la liberté dans son propre berceau, de punir les rochers helvétiques pour lui avoir donné le jour. Dignes émules de Guesler, les triumvirs ont voulu aussi exterminer la race de Guillaume Tell; la mort du tyran a été vengée par eux; les chefs des familles démocratiques lui ont été offerts en expiation; ils sont morts en défendant l'entrée de leur petit territoire et la violation de leurs foyers; leurs troupeaux effrayés ont fui dans le désert; les glaciers ont retenti du cri des orphelins que la faim dévore; et les sources du Rhin, du Rhône et de l'Adda, ont porté à toutes les mers les larmes des veuves désolées.—Puissent les suites politiques de ces événements n'être jamais fatales à la France.» (p. 75-77).
Nous avons cité longuement ce passage parce qu'il est tellement semblable à celui de Coleridge qu'on croirait presque que celui-ci l'avait lu, si l'ode France n'était de février 1797.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 492: Voir, sur cette désespérance de Wordsworth, toute la fin du livre xi du Prélude. M. Shairp a bien marqué ce moment, dans son étude sur Wordsworth en son volume: Studies in Poetry and Philosophy; mais rien ne vaut les confessions du poète, d'une si profonde et si exacte psychologie.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 493: David Masson. Essays chiefly on English Poets dans l'Essai sur Wordsworth, p. 384.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 494: A Vision.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 495: The tree of Liberty.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 496: The tree of Liberty.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 497: The tree of Liberty.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 498: Scott Douglas ne donne pas cette pièce, sans expliquer ses motifs.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 499: Voir à ce sujet les très justes réflexions de R. Chambers. Life of Burns, tom IV, p. 78.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 500: Impromptu on General Dumourier's desertion from the French Republican Army.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 501: Voir la Biographie, p. 508.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 502: Does haughty Gaul invasion threat.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 503: To Mrs Dunlop, 4th March 1789.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 504: To Peter Hill, Jan. 17th, 1791.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 505: The twa Dogs.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 506: The twa Dogs.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 507: Id. Voir aussi sur la passion du jeu chez les dames au XVIIIe siècle, dans les Letters from a Citizen of the World, de Goldsmith, la lettre ci, The passion of Gaming among ladies ridiculed.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 508: The Twa Dogs.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 509: The Brigs of Ayr.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 510: Second Epistle to Lapraik.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 511: Willie Chalmers.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 512: Ballad on Mr Héron's Election.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 513: Verses on the destruction of the woods near Drumlanrig.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 514: Address of Beelzebub.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 515: Lines on meeting with lord Daer.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 516: To Mrs Dunlop, 16th Aug. 1788.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 517: To Mrs Dunlop, 27th May 1788.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 518: Man was made to Mourn.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 519: Is there for honest Poverty.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 520: M. J.-A. Symonds a justement remarqué que les tentatives de Shelley «pour composer de courtes chansons populaires qui eussent réveillé le peuple d'Angleterre et lui eussent fait sentir ce qu'il regardait comme sa dégradation» n'avaient pas les qualités nécessaires. Voir sa biographie de Shelley dans la collection des English Men of Letters, p. 120.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 521: Robert Browning. The Lost Leader.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 522: Epistle to Davie.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 523: Béranger. Les Bohémiens.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 524: The twa Dogs.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 525: The Twa Dogs.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 526: Dugald Stewart. Reminiscences.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 527: Epistle to James Smith.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 528: Stanzas, in the Prospect of Death.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 529: Man was made to Mourn.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 530: Man was made to Mourn.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 531: The lazy Mist.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 532: Edgar Poe. For Annie.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 533: Byron.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 534: Ode to Ruin.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 535: To Colonel de Peyster.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 536: Voir dans l'édition de Hately Waddell l'appendice: Héroines of Burns.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 537: Autobiographical Letter to Dr Moore.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 538: Scott Douglas, tom III, p. 141.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 539: Lockhart. Life of Burns, p. 152.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 540: Glenriddell Manuscript.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 541: To J. Johnson, Nov. 15th, 1788.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 542: Common-place Book.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 543: To Alex. Cunningham, 24th Jan. 1789.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 544: Cotter's Saturday night.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 545: To Alex. Cunningham, 24th Jan. 1789.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 546: Green grow the Rashes, O![Retour au Texte Principal.]
Footnote 547: Let not woman e'er complain.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 548: Thomas Campbell. Song: How delicious is the winning.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 549: Shakspeare. The two Gentlemen of Verona, act. II, sc. 4.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 550: As I was a-wandering.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 551: On the Seas and Far away.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 552: The Highland Widow Lament.[Retour au Texte Principal.]
Vous chantez sous ces feuillages,
Doux rossignols pleins d'amour;
Et de vos tendres ramages
Vous réveillez tour à tour
Les échos de ces bocages;
Hélas! petits oiseaux, hélas!
Si vous aviez mes maux vous ne chanteriez pas
(Les Amants magnifiques. Troisième Intermède).[Retour au Texte Principal.]
Footnote 554: The Banks of Doon.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 555: The Ruined Maid's Lament.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 556: When rosy May comes in wi' Flowers.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 557: Katherine Jaffray.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 558: My Lady's Gown, there's Gairs upon it.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 559: Voir ce morceau, plus haut, dans le chapitre sur les vieilles Ballades.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 560: Open the Door to Me, oh.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 561: Lady Mary Ann.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 562: O Philly, Happy be that Day.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 563: The Soldier's Return.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 564: There was a Lass, and She was Fair.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 565: En français dans le texte.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 566: Notes in an interleaved Copy of Johnson's Musical Museum.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 567: V. Hugo. Les Contemplations; Écrit sur la Plinthe d'un bas-relief antique.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 568: John Anderson, my Jo, John.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 569: Voir dans The Miller's Daughter de Tennyson, comment un motif vieux comme le monde peut être repris, retouché, par une main d'artiste, jusqu'à reprendre place dans la vie contemporaine.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 570: Oh, were my Love yon Lilac Fair.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 571: Cymbeline, Act. IV, scène 2.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 572: Milton. Lycidas, vers 140-48.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 573: Shelley. The Sensitive Plant, voir surtout les strophes de la I et III parties.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 574: Oh, Luve will Venture in.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 575: Ronsard. Les Amours, Marie.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 576: Ronsard. Les Amours, Marie.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 577: To Miss Cruikshank, Written on the Blank Leaf of a Book, presented to her by the Author.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 578: A Rosebud by my Early Walk.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 579: Philis the Fair.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 580: O boine was yon rosy Brier.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 581: Ronsard. Les Amours, Marie.[Retour au Texte Principal.]
Ce rossignol qui pleure, d'une façon si suave, peut-être ses petits ou sa chère compagne, remplit de douceur le ciel et les campagnes de tant de notes mélancoliques et tendres!
Et toute la nuit, il semble m'accompagner et me rappeler ma cruelle destinée; car je n'ai pas à me plaindre d'un autre que moi; car je ne croyais pas que la mort eût pouvoir sur les divinités....
Sonnet LXXXIX. Le chant triste d'un petit oiseau lui rappelle ses propres chagrins.
Bel oiselet qui vas chantant ou pleurant tes jours passés, en voyant la nuit et l'hiver à tes côtés, et le jour ainsi que les mois joyeux derrière tes épaules!
Si, comme tu connais tes maux pesants, tu connaissais mon état semblable au tien, tu viendrais dans le sein de cet inconsolé pour partager avec lui les douloureuses plaintes.
Je ne sais si les parts seraient égales; car celle que tu pleures est peut-être en vie, tandis que la Mort et le Ciel sont tant avares pour moi.
Mais la saison et l'heure moins propice, ainsi que le souvenir des
douces années et des années amères, m'invitent à te parler avec pitié.
(Sonnets et canzones après la mort de Madame Laure).
Nous empruntons ces sonnets à la très belle traduction de M. Francisque Reynard, si poétique, si colorée, et qui rend si bien l'étonnant sentiment pittoresque et les qualités de peintre de primitives fresques italiennes, qu'il y a dans Pétrarque.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 583: Address to the Woodlark.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 584: Fair Eliza.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 585: Edmond Arnould. Sonnets et Poèmes, sonnet XXI.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 586: Fair Jenny.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 587: O wat ye wha's in yon Town.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 588: Henri Heine. Le Retour, XXX.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 589: Id. Mer du Nord. Dans la cabine. Pendant la nuit.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 590: Intermezzo, XIII.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 591: Le Retour, LVI.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 592: Nocturnes. Le Chevalier Olaf.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 593: Le Retour, LVI.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 594: Pétrarque. Sonnets et canzones pendant la vie de Madame Laure. Sonnet XLVII. (Traduction de Francisque Reynard).[Retour au Texte Principal.]
Footnote 595: Cette souveraineté du regard dans les amours idéalistes, où l'élément intellectuel est prévalent, apparaît très clairement dans Pétrarque. On peut lire ses sonnets XXXII et XLVII, dans les Sonnets et Canzones pendant la vie de Madame Laure, et surtout les canzones VI, Il fait grand éloge des yeux de Laure et avoue la difficulté qu'il y a à les louer; VII, Les yeux de Laure s'élèvent à contempler les chemins du ciel; VIII, Il trouve tout son bonheur dans les yeux de Laure et proteste qu'il ne cessera jamais de les louer. On y rencontre des passages qui rappellent quelques-uns de ceux de Heine: «Beaux yeux, où Amour fait son nid, c'est à vous que je consacre mon faible style... Principe de mon doux martyre, je sais bien que personne autre que vous ne me comprend... Je ne me plains pas de vous, ô yeux plus doux qu'aucun regard mortel, ni d'amour qui me tient ainsi lié» (Canzone vi).—«Ma gente Dame, je vois, dans le mouvement de vos yeux, une douce lumière qui me montre la voie qui conduit au ciel; et par suite d'une longue habitude, je vois à travers eux, où j'habite seul avec Amour, reluire quasi-visiblement votre cœur... Depuis ce jour, j'ai été content de moi, emplissant d'une haute et suave pensée, ce cœur dont les beaux yeux de Laure ont la clef.... Brillantes, angéliques, heureuses étincelles de ma vie, où s'allume le plaisir qui doucement me consume et me ronge, de même que disparaît et fuit toute autre lumière là où la vôtre vient à resplendir, ainsi, quand une si grande douceur y descend, toute autre chose, toute autre pensée sort de mon cœur, et seul Amour y reste avec vous... Aussi combien il me fait tort, le voile et la main qui se mettent si souvent entre mon suprême plaisir et les yeux d'où, jour et nuit, découle le grand désir apaisant mon cœur, dont l'état varie selon l'aspect de Laure.» (Canzone VII).—(Traduction Francisque Reynard).[Retour au Texte Principal.]
Footnote 596: The Lass of Cessnock Banks.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 597: This is no my ain Lassie.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 598: Blithe was she.[Retour au Texte Principal.]
Ce n'est pas à moi qu'elle parle:
Deux des plus belles étoiles dans tout le firmament,
Ayant quelque chose qui les appelle, supplient ses yeux
De briller à leur place jusqu'à ce qu'elles reviennent.
Quoi! Si ses yeux étaient là-haut, et les étoiles dans sa tête,
L'éclat de sa joue effacerait ces astres,
Comme la lueur du jour efface une lampe; ses yeux dans le ciel
Répandraient une telle lumière dans les régions aériennes
Que les oiseaux se mettraient à chanter, pensant que ce n'est plus la nuit.
Roméo, Acte II, scène 2.
Et pour l'image du navire sauvé, voir celle qui est dans Othello, quand Cassio raconte que le navire a été épargné parce qu'il portait Desdémona.
Les tempêtes elles-mêmes, la mer enflée et les vents hurlants,
Les rochers déchirés, les sables amoncelés,
Tous traîtres cachés pour saisir la carène innocente,
Comme s'ils avaient conscience de la beauté, oublient
Leur nature destructive, et laissent passer en toute sûreté
La divine Desdémona.
(Othello, Acte II, scène 1).
L'image de Burns n'est d'ailleurs pas très éloignée de la métaphore de Pétrarque: «De même que le nocher fatigué est contraint, par la fureur des vents, à lever les yeux vers les deux lumières qui brillent sans cesse au pôle, ainsi, dans la tempête d'amour que j'essuie, les yeux brillants de Laure sont mon guide et mon seul confort.» (Sonnets et Canzones pendant la vie de Madame Laure). Canzone VIII (Traduction de Francisque Reynard).[Retour au Texte Principal.]
Footnote 600: O Molly's meek.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 601: The Blue-eyed Lassie.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 602: Nouveau Printemps, XIX.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 603: Song, composed in Spring.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 604: Mer du Nord. Le Naufrage. Voir aussi Le Retour, VIII.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 605: My Heart was ance as blithe and free.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 606: Coming through the Rye.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 607: There was a Lass, they ca'd her Meg.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 608: Ca' the Ewes.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 609: My ain kind Dearie, O.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 610: I'll aye ca' in by yon Town.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 611: Bonny Peg.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 612: Lassie wi' the Lint white Locks.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 613: The Lass of Ballochmyle.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 614: Sweet Afton.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 615: Yon wild mossy Mountains.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 616: My Nannie's Away.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 617: Lament, occasioned by the unfortunate issue of a Friend's Amour.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 618: She says she lo'es me best of All.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 619: Peggy.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 620: The Rigs of Barley.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 621: Shakspeare. The Merchant of Venice. Act V, Scène 1.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 622: Edgard Poe. Helen.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 623: The Bonny wee Thing.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 624: Oh, lay thy Loof in mine, Lass.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 625: Voir les deux petites pièces ad Lesbiam: «Vivamus, mea Lesbia, atque Amenus» et «Quæris quot mihi basiationes».[Retour au Texte Principal.]
Footnote 626: Bonny Peggy Alison.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 627: Lovely Polly Stewart.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 628: My Jean.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 629: Mary Morison.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 630: The Day returns.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 631: Blithe have I been.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 632: For the Sake of Somebady.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 633: Canst thou leave me thus, my Katy.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 634: The Mirk Night of December, voir pag. 472 de la Biographie[Retour au Texte Principal.]
Footnote 635: Behold the Hour, voir pag. 472, id.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 636: Ae Fond Kiss, voir pag. 473, id.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 637: Tibbie Dunbar.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 638: Ronsard. Les Amours, Marie.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 639: André Chénier. Élégies. Livre II. 7.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 640: V. Hugo. Les Contemplations. La Fête chez Thérèse.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 641: Eppie Adair.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 642: Tennyson. Maud. XII.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 643: Had I a Cave.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 644: Stay, my charmer.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 645: Thou has Left me ever.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 646: Voir la Biographie, page 42.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 647: Id. page 433.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 648: Id. page 519-527.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 649: Id. page 543-545.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 650: Id. page 388, 398.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 651: Id. page 136-138.[Retour au Texte Principal.]
Il est curieux de retrouver dans le noble Pétrarque, une pièce qui rappelle tout à fait celle À Marie dans les cieux. L'idée en est la même, sauf ce qui semble se mêler de remords au chagrin de Burns. C'est le sonnet XXXVII, Après la mort de Madame Laure. Le titre seul suffirait à marquer la similitude des deux morceaux: «Il la prie pour que, de là-haut, elle lui jette un regard de pitié».
«Belle âme, délivrée de ce nœud le plus beau que sut jamais ourdir la nature, tourne du haut du ciel ton esprit sur ma vie obscure, jetée de pensers si joyeux dans les pleurs.
Elle est sortie de ton cœur, la fausse opinion qui pendant un temps te fit paraître acerbe et dure pour moi; rassurée désormais, tourne vers moi les yeux, et écoute mes soupirs.
Regarde le grand rocher d'où naît la Soigne, et tu y verras quelqu'un qui, seul au milieu des herbes et des eaux, se repaît, de ton souvenir et de douleur». (Traduction de Francisque Reynard).[Retour au Texte Principal.]
Footnote 653: Voir la Biographie, p. 504.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 654: Il est inutile de faire remarquer que la situation de Lamartine envers Graziella ressemble, à quelques égards, à celle de Burns envers Mary Campbell.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 655: «Indeed will I» Quo' Findlay.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 656: The Discreet Hint.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 657: Whistle and I'll come to you, my lad.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 658: Robin shure in Hairst.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 659: Weary fa' you, Duncan Gray.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 660: To the Weaver's gin ye go.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 661: Ye hae lien wrang, Lassie.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 662: Voir première partie, page 39.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 663: A Lass wi a Tocher.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 664: My Tocher's the Jewel.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 665: How cruel are the Parents.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 666: Tam Glen.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 667: The Country Lass.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 668: To Daunton me.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 669: O wat ye what my Minnie did.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 670: What can a young Lassie do wi' an auld Man.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 671: The Braw Wooer.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 672: C'est une petite île rocheuse non loin d'Ayr.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 673: Duncan Gray.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 674: The last Braw Bridal.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 675: Meg o' the Mill.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 676: Voir première partie, p. 398.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 677: I hae a Wife o' my ain.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 678: Oh, that I had ne'er been married.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 679: Oh, aye my Wife she dang me; Shelah O' Neil; My spouse Nancy.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 680: The weary Pund o' Tow.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 681: The Deuk's dang o'er my Daddie, O.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 682: Whistle o'er the Lave o't.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 683: The Carl of Kellyburn Braes.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 684: Béranger. De Profundis, à l'usage de deux ou trois maris.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 685: The Joyful Widower.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 686: The weary Pund o' Tow.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 687: Oh, merry has I been teethin' a Heckle.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 688: Tennyson. The Idylls of the King, Guinevere.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 689: Dante. L'Enfer. Chant V.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 690: Had I the Wyte.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 691: Hey, the dusty Miller.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 692: Bonny Peg-a-Ramsay.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 693: The Piper.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 694: There's News, Lasses, News.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 695: Guid E'en to You, Kimmer.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 696: Come rede me, Dame.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 697: The Tailor.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 698: The Cooper of Cuddie.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 699: R. Stevenson. Familiar Studies of Men and Books. Some aspects of Robert Burns.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 700: Pétrarque. Sonnets et Canzones pendant la vie de Madame Laure. Sonnet CCV. (Traduction Francisque Reynard).[Retour au Texte Principal.]
Footnote 701: Bossuet. Relation sur le Quiétisme. IIme section. Par 5.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 702: My lovely Nancy.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 703: Shakspeare. Love's Labour Lost, Acte IV, Scène III.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 704: Virgile. Georgiques.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 705: Voir les belles pages de John Wilson, dans ses Remarks on the Scenery of Scotland.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 706: Le strath est une vallée large, traversée par un cours d'eau.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 707: My Heart's is the Highlands.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 708: Voir sur Duncan Ban, le livre vraiment épris de poésie de John Stuart Blackie: The Language and Literature of the Scottish Highlands, chap. III, p. 156-187. Le poème sur le mont Ben Dorain y est cité en entier. Ce Duncan Ban, après avoir été garde-chasse dans les Highlands, avait fini par obtenir une place dans la garde civique d'Édimbourg, principalement composée de Gaëls. Il était né en 1724 et mourut en 1812.—Voir aussi, sur Duncan Ban, quelques pages de Robert Buchanan: The Hebrid Isles, p. 42-53, où Buchanan cite quelques autres pièces de lui, et le compare à Burns.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 709: Emerson. English Traits. XIV. Literature.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 710: Voir, sur cette île, le livre du duc d'Argyle: Iona, en particulier le chapitre II.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 711: Sur ce paysage des côtes ouest de l'Écosse, voir les Recollections of a Tour in Scotland de Dorothy Wordsworth, Third Week.—On en trouvera quelques traits essentiels et choisis par Wordsworth, dans ses Memorials of a Tour in Scotland, 1803, The Blind Highland Boy, et dans son Yarrow Revisited and Other Poems, en particulier dans la pièce Composed in the glen of loch Etive.—Pour les renseignements géologiques, voir le livre de Archibald Geikie: The Scenery of Scotland, viewed in connection with its Physical Geology, le chapitre III: The Sea and its work on the Scottish Coast Line.—On trouvera de beaux paysages dans A Summer in Skye de Alexander Smith, et quelques jolies descriptions dans A Princess of Thule de William Black.—Mais le livre qui a rendu les aspects et l'âme de cette mystérieuse côte, est le livre de Robert Buchanan: The Hebrid Isles. Il y a des pages absolument admirables et écrites par un grand poète. C'est l'ouvrage qu'il faut lire là-bas. Nous lui devons d'avoir profondément ressenti cette contrée, et nous lui gardons la reconnaissance que nous devons aux esprits qui nous ont ainsi fait un présent.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 712: The Vision.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 713: Lament written at a Time when the Poet was about to leave Scotland.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 714: Smiling Spring come's in rejoicing.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 715: Oh, open the Door.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 716: Behold the Hour.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 717: Address to the Unco' Good.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 718: Epistle to James Smith.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 719: Keats. Letter to Thomas Keats, 10-14 July 1818.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 720: Philis the Fair.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 721: The Lazy Mist.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 722: Caledonia.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 723: Yon wild mossy Mountains.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 724: Washington Irving. The Sketch book, Rural Life in England.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 725: Recollections of a Tour in Scotland, by Dorothy Wordsworth, August 22nd, et Friday, Sept. 2nd.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 726: La présence de cette plante frappait les voyageurs. Voir Recollections of a Tour in Scotland de Dorothy Wordsworth, August 17th, 20th, 1803.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 727: Wordsworth. The Wishing Gate.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 728: Id. The Primrose of the Rock.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 729: Ce travail a été fait. Voir the English Lake District as interpreted in the Poems of Wordsworth, by William Knight.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 730: Epistle to William Simpson.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 731: Cowper. The Sofa, vers 160-180.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 732: Oh, Wat ye wha's in yon Town?[Retour au Texte Principal.]
Footnote 733: Man was made to mourn.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 734: My Nannie, O.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 735: Elegy on the Death of Sir James Hunter Blair.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 736: Lament of Mary Queen of Scots.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 737: War Song.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 738: Elegy on the Death of Sir James Hunter Blair.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 739: O Philly, happy be that Day.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 740: Tam o' Shanter.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 741: O Lassie, art thou sleeping yet.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 742: Smiling Spring comes in rejoicing.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 743: The Bonny Banks of Ayr.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 744: Epistle to William Simpson.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 745: The Holy Fair.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 746: A Vision.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 747: Lament for James Earl of Glencairn.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 748: A Winter Night.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 749: Smiling Spring comes in rejoicing.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 750: Lament on the unfortunate Issue of a Friend's amour.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 751: Macaulay. Essay on Milton.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 752: Lament of Mary Queen of Scots.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 753: Lament of Mary Queen of Scots.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 754: The Humble Petition of Bruar Water.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 755: Peggy.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 756: To Thomson, 7th April 1793.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 757: Countrie Lassie.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 758: Second Epistle to Lapraik. Voir ce passage plus bas.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 759: Third Epistle to Lapraik.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 760: Lament written at a time when the Poet was about to leave Scotland.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 761: The Fete Champetre.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 762: Ca' the Yowes.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 763: She says she lo'es me best of a'.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 764: The Jolly Beggars.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 765: The Brigs of Ayr.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 766: Young Peggy.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 767: There was a Lass and she was fair.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 768: On Cessnock Banks.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 769: Tam o' Shanter.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 770: Epistle to William Simpson.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 771: The twa Dogs.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 772: The Banks of Nith.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 773: Elegy on the Death of Robert Dundas.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 774: Epistle to John Lapraik.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 775: My own kind Dearie, O.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 776: Second Epistle to John Lapraik.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 777: Recollections of a Tour made in Scotland, by Dorothy Wordsworth, Friday, August 19th, 1803.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 778: The Brigs of Ayr.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 779: The Vision.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 780: My Nannie's awa'.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 781: Epistle to the Rev John Mac Math.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 782: Third Epistle to John Lapraik.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 783: Menie.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 784: Tam Samson's Elegy.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 785: Poem on Pastoral Poetry.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 786: The Vision.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 787: Lines on a Merry Ploughman.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 788: When Rosy May comes in wi' Flowers.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 789: The Cotter's Saturday Night.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 790: The Death and Dying Words of Poor Mailie.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 791: The Death and Dying Words of Poor Mailie.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 792: Carlyle. Essay on Burns.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 793: Poor Mailie's Elegy.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 794: John Brown. Rab and his Friends.—Voir aussi, dans ce genre, le livre de Léon Cladel, Ma Kyrielle de Chiens.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 795: The Twa Dogs.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 796: The Twa Dogs.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 797: The Death and Dying Words of Poor Mailie.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 798: The Twa Dogs.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 799: To Collector Mitchell, Sept. 1790.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 800: The Auld Farmer's New Year Morning Salutation to his auld Mare Maggie.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 801: Sterne. Tristram Shandy, vol. VII, chap. XXXII.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 802: Elegy on Willie Nicol's Mare.[Retour au Texte Principal.]
Le cerf désespéré paravant qu'il endure
La mort, tant de ses pieds que de sa teste dure
Donne encor' à travers et, voulant se venger,
De doux il se fait voir cruel en tel danger,
Et aux chiens plus hardis en ceste part et ceste,
Battant la terre aux pieds, il oppose sa teste...
Le cerf sentant le fer
Luy traverser le flanc, pour, pauvret, se sauver,
Du bras qui, relançant la sanglante allumelle,
Veult le blesser encor' d'une playe nouvelle,
Se remet à fuyr; mais blessé et lassé,
Il ne peut courir loin qu'il ne soit terrassé.
Alors le pauvre cerf voyant sa dernière heure,
Non sans faire pitié, à grosses larmes pleure;
Puis estant derechef de l'estoc transpercé
Chancelle, quatre pas et tombe renversé.
(L'Esté, page 207 de l'édition Prosper Blanchemain).
Sur la tendresse de certains poètes de l'Antiquité, en particulier de Lucrèce et de Virgile pour les animaux et les plantes, voir Histoire du Sentiment Poétique de la Nature dans l'Antiquité, par Ém. Gebhart, p. 111-12 et 132-34.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 804: As You Like it, Acte II, scène I.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 805: Le mot exact de Mr Renan est «bien éloigné de la férocité du faux spiritualisme cartésien». Nouvelles études d'histoire religieuse, p. 332.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 806: Pope. Windsor Forest, vers 111-118.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 807: Cowper. The Garden, vers 326-331. Voir encore, dans the Winter Walk at Noon, un autre très beau passage sur la chasse, vers 386-96.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 808: Peggy.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 809: The Brigs of Ayr. Voir aussi les vers On Scaring some Water-Fowl on Loch Turrit.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 810: To Alex. Cunningham, 4th May 1789.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 811: Verses on Seeing a Wounded Hare limp by me which a Fellow had just shot.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 812: Allan Cunningham. Life of Burns, p. 285.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 813: Cowper. The Winter Morning Walk, vers 80-95.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 814: Cowper. The Winter Walk at Noon, vers 560-68.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 815: A Winter Night.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 816: The Humble Petition of Bruar Water.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 817: Shairp. Studies in Poetry.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 818: Victor Hugo. Les Contemplations, livre I. À ma fille.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 819: R. Chambers. Life of Burns, tom I, p. 147.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 820: To a Mouse.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 821: Michelet. L'Oiseau, Les Migrations.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 822: To a Mountain Daisy.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 823: Wordsworth. To the Daisy, Epitaphs and Elegiac Pieces.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 824: Dans les Poems of the Fancy: to the Daisy; to the Same Flower.—Dans les Poems of Sentiment and Reflection: to the Daisy.—Dans les Epitaphs and Elegiac Pieces: to the Daisy.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 825: La pièce intitulée: to the Same Flower, dans les Poems of the Fancy.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 826: Chaucer. Prologue to the Legend of Good Women.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 827: Chaucer. Prologue to the Legend of Good Women.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 828: To Miss Wilhelmina Alexander, 18th Nov. 1786.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 829: Renan. Nouvelles études d'Histoire Religieuse. François d'Assise.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 830: Mathieu, chap. XII.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 831: Common-place Book.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 832: The Vision.[Retour au Texte Principal.]
Je suis récompensé, et j'estime que les labeurs
De la poésie ne sont pas perdus, si mes vers
Peuvent s'interposer entre un animal et une souffrance,
Et enseigner à un seul tyran la pitié pour son esclave.
Winter Walk at Noon, vers 725-29.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 834: Wordsworth. Elegiac Stanzas, suggested by a Picture of Peele Castle, in a Storm, painted by Sir George Beaumont.[Retour au Texte Principal.]
On peut voir dans Bossuet lui-même comment la Nature s'introduit dans cette manière d'interpréter le monde et l'enrichit. Il n'y a pas, dans la poésie moderne, de page plus admirable, plus précise, on dirait presque plus moderne, si ce mot avait un sens en face de la beauté éternelle, que ce passage qui éclate en plein XVIIe siècle. Il est bon de le lire, ne fût-ce que pour se garder des affirmations absolues: «Le soleil s'avançait et son approche se faisait connaître par une céleste blancheur qui se répandait de tous côtés: les étoiles étaient disparues, et la lune s'était levée avec son croissant d'argent si beau et si vif que les yeux en étaient charmés. Elle semblait vouloir honorer le soleil en paraissant claire et illuminée par le côté qu'elle tournait vers lui: tout le reste était obscur et ténébreux; et un petit demi-cercle recevait seulement dans cet endroit-là un ravissant éclat par les rayons du soleil, comme du père de la lumière. Quand il la voit de ce côté, elle reçoit une teinte de lumière: plus elle la voit, plus sa lumière s'accroît: quand il la voit tout entière, elle est dans son plein, et plus elle a de lumière, plus elle fait honneur à celui d'où elle lui vient. Mais voici un nouvel hommage qu'elle rend à son céleste illuminateur. À mesure qu'il approchait, je la voyais disparaître; le faible croissant diminuait peu à peu, et quand le soleil se fut montré tout à fait, sa pâle et débile lumière s'évanouissant, se perdit dans celle du grand astre qui paraissait, dans laquelle elle fut comme absorbée: on voyait bien qu'elle ne pouvait avoir perdu sa lumière par l'approche du soleil qui l'éclairait, mais un petit astre cédait au grand, une petite lumière se confondait avec la grande; et la place du croissant ne parut plus dans le ciel, où il tenait auparavant un si beau rang, parmi les étoiles (Traité sur la Concupiscence, chap. XXXII). Il n'y a pas dans Rousseau, ni dans Bernardin de Saint-Pierre, ni dans Chateaubriand, ni dans Victor Hugo, une description d'aurore comparable à celle-là. C'est aussi beau que les plus belles pages de ciel de Wordsworth. Il ne se rencontre probablement pas, parmi les descriptifs de ce siècle-ci, un tableau d'une lumière pareille, sans parler de la majesté et de la grâce. On trouve un grand nombre d'exemples charmants du mélange de nature et de morale dans saint François de Sales. Si l'on veut voir ce que peut donner ce système, lorsqu'il lui manque l'élément vivifiant et rajeunissant de l'observation naturelle, on n'a qu'à parcourir le livre de Mgr de la Bouillerie: Le Symbolisme de la Nature.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 836: Nous avons été aidé dans l'ensemble de cette étude par deux livres de haute et noble pensée: Theology in the English Poets par le Rev. Stopford Brooke—et On the Poetic Interpretation of Nature par le Principal Shairp.—Chez nous les livres de M. de Laprade, avec toute leur éloquence, sont vagues et sans étreinte.—On lira avec fruit le grand ouvrage de Ruskin: Modern Painters, qui porte presque uniquement sur la manière de rendre la nature, et qui est une œuvre d'ordre très haut.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 837: Wordsworth.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 838: Id. Evening Voluntaries VI.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 839: Id. Excursion, Book I.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 840: Id. Poems written in Youth: an Evening Walk.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 841: Shelley. Prometheus, Acte III.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 842: Id. Alastor.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 843: Id. Alastor.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 844: Id. The Sunset.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 845: Coleridge. The Three Graves.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 846: Id. Inscription for a Fountain on a Heath.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 847: Id. Frost at Midnight.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 848: Id. An ode to the Rain.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 849: Id. Hymn before Sunrise in the vale of Chamouni.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 850: Keats. Imitation of Spenser.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 851: Tennyson. Locksley Hall.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 852: On trouvera des exemples de ces descriptions souterraines dans l'Alastor de Shelley; et de merveilleuses descriptions sous-marines dans l'acte IV du Prometheus Unbound et dans maints autres passages de Shelley, et aussi dans le livre III de l'Endymion de Keats. Ils avaient, du reste, été précédés par Shakspeare dans sa puissante vision de Clarence (Richard III, Acte I, scène 4).[Retour au Texte Principal.]
Footnote 853: Renan. Souvenirs de Jeunesse. Issy.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 854: Voir un exemple de ces demandes dans Maud de Tennyson, et dans un poème, qui est d'ailleurs une imitation de Maud, dans Gwen de Lewis Morris.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 855: Lamartine. Le Lac.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 856: Virgile. Egloga X, v. 53.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 857: V. Hugo. Tristesse d'Olympio.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 858: Wordsworth. Poems of Sentiment and Reflexion. Lines Written in Early Spring.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 859: Tennyson. Maud. Part. I. XII.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 860: Voir M. Stopford Brook dans sa Theology in the English Poets, Lecture VI, et M. Shairp dans On the Poetic Interpretation of Nature, Chap. VIII. Cependant M. Shairp fait quelques objections et réserve les droits du poète dramatique ou épique.[Retour au Texte Principal.]
Les Poètes, dans leurs élégies et leurs chants
Où ils pleurent les disparus, demandent aux bosquets,
Demandent aux collines, aux ruisseaux de partager leur deuil,
Et aux insensibles rochers; cela n'est pas vain, car ils parlent
Dans ces invocations, avec une voix
Qui obéit à la puissante force créatrice de la passion humaine. Il y a des sympathies
Plus paisibles, et cependant de même race,
Qui pénètrent dans les esprits méditatifs
Et grandissent avec la réflexion. J'étais debout près de cette source
Et je regardai son onde, tant que nous parûmes ressentir
Une même tristesse, elle et moi..., etc.
The Excursion, Book I.
Il parle d'une fontaine abandonnée, que des mains humaines activaient et faisaient courir, maintenant abandonnée et croupissante.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 862: Voir les Élégies de Bion, et de Moschus, et celle de Virgile.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 863: Voir la pièce, page 270.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 864: The Banks of Doon.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 865: Amas de pierres.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 866: Coleridge. The Nightingale.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 867: Shelley. The Sensitive Plant.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 868: Wordsworth. Poems of Sentiment and Reflection. To my Sister.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 869: Wordsworth. Poems of Sentiment and Reflection. Lines written in Early Spring.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 870: Notre ami le Professeur Bertrand nous a permis de soumettre nos opinions sur ce point au contrôle de sa profonde connaissance de la vie des plantes. Nous l'en remercions sincèrement.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 871: Voir les articles de M. Thoulet sur la vie des minéraux, dans la Revue Scientifique.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 872: Wordsworth. The Prelude, Book XII.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 873: To a Skylark.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 874: Ode to a Nightingale.[Retour au Texte Principal.]
Avec des pâles primevères qui penchent leur tête pensive.
et les vers de Shakspeare dans:
Les asphodèles
Qui viennent avant les hirondelles, et séduisent
Les vents de mars par leur beauté. Les violettes sombres,
Mais plus douces que les paupières des yeux de Junon,
Ou l'haleine de Cythérée; les pâles primevères
Qui meurent sans être mariées, avant qu'elles puissent voir
Le brillant Phœbus, dans sa force, maladie
Très propre aux jeunes filles.
Et il ajoute: «Observez comme, dans ces derniers vers, l'imagination pénètre au fond de l'âme de chaque fleur» (Modern Painters, Part. III. Section ii. Chapter iii. Of Imagination Penetrative). Mais cette pénétration ne peut se faire que parce que l'esprit humain entre dans les choses et y dépose un peu de lui-même. Il fait des conjectures sur elles au moyen de ses passions et en son propre langage. Si l'on veut éviter cela, il n'y a que le silence. On est étonné, d'autre part, lorsqu'on lit les pages sur le «pathetic fallacy», de trouver comme exemples de ce défaut, des images du genre de celles qu'on vient d'admirer comme exemples d'«imagination pénétrative». Ainsi ces vers de Kingsley:
Ils l'emportèrent, ramant, à travers l'écume roulante,
La cruelle, la rampante écume.
Ou ceux de Tennyson:
Le vent, comme un mondain déchu, gémissait,
Et l'or volant des bois ruinés était emporté à travers l'air.
(Modern Painters, Part. IV. Chap. XII).
L'écart n'est pas très grand entre ces personnifications. D'ailleurs, il est impossible de faire dix pas dans l'œuvre de Ruskin lui-même sans rencontrer des cas de «pathetic fallacy». Décrivant la vieille tour de l'église de Calais, il parle de son «insouciance de ce qu'on pense ou de ce qu'on ressent sur elle», «elle ne demande pas pitié»; elle continue son travail quotidien et se tient debout sans se plaindre de sa jeunesse passée». La vraie différence entre ces deux modes d'humanisation est donc que dans le premier, la «pathetic fallacy», les choses s'occupent de l'homme; et que, dans le second, l'homme s'occupe des choses et essaye de pénétrer leur vie; dans le premier, la sympathie vient à lui, dans le second elle sort de lui. Une seule remarque fera sentir ce qu il y a d'humain dans l'imagination pénétrative. M. Ruskin, qui est si strict pour la vérité scientifique et qui lui est si souvent fidèle, aurait dû se souvenir que les «têtes pensives» que penchent si gracieusement les pâles primevères de Milton ne sont en réalité autre chose que des organes de reproduction.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 876: Logan Braes.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 877: Afton water.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 878: Sleepest thou or wakest thou.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 879: Dainty Davie.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 880: Oh, Luve will venture in.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 881: Stream that Glide.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 882: La fin de l'Homme; La Prière; Dieu.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 883: Voir l'Hymne qui termine les Saisons de Thomson. Lire, dans Cowper, les 170 derniers vers de The Winter Morning Walk.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 884: George Eliot. Essay on Young.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 885: De Vigny. La Maison du Berger.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 886: Mme Ackermann. L'Homme à la nature.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 887: Shelley. To a Skylark. The Sensitive Plant.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 888: Shelley. To a Skylark. The Sensitive Plant.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 889: Id. Autumn a Dirge.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 890: Id. Ode to the West Wind.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 891: Id. The Cloud.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 892: Wordsworth. Introduction à l'Excursion.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 893: The Excursion, Book IV.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 894: Wordsworth. The Prelude, Book I.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 895: Wordsworth. Poems of the Imagination. There was a Boy.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 896: Wordsworth. Poems of Sentiment and Reflection. Expostulation and Reply.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 897: Wordsworth. The Excursion, Book IV.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 898: Wordsworth. The Tables turned.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 899: Id. Poems of the Imagination. There was a Boy.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 900: Wordsworth. The Prelude, Book ii.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 901: Id. Poems of the Imagination. Nutting.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 902: Id. The Prelude.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 903: Id. Lines composed a few miles above Tintern Abbey.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 904: Wordsworth. Lines written a few miles above Tintern Abbey.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 905: Wordsworth. Poems of Sentiment and Reflection. Lines written in Early Spring.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 906: Id. Poems of Sentiment and Reflection. To my Sister.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 907: Id. The Excursion, Book II.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 908: Id. Lines composed a few miles above Tintern Abbey.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 909: Carlyle. Sartor Resartus.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 910: E. Gebhart. Histoire du Sentiment Poétique de la Nature dans l'Antiquité Grecque et Romaine, p. 292-93.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 911: Voir la Paix.[Retour au Texte Principal.]
«Burns et Béranger furent tous deux grands et populaires, et tous deux exercèrent une grande influence sur les esprits de leurs compatriotes. Burns trouva la littérature lyrique de l'Écosse corrompue et licencieuse, et la laissa pure. Béranger trouva la littérature lyrique de la France tout ensemble impure et frivole, et la laissa encore plus impure et plus frivole. Tous deux ont chanté l'amour; mais l'amour qui trouva faveur auprès de Burns était naturel, sincère et sortait franchement du cœur. Celui qui fut célébré par Béranger était impudique et théâtral et dépendait entièrement d'un prurit de l'imagination. Il était impossible à l'Écosse de produire un Béranger; il était également impossible à la France de produire un Burns. Tous deux étaient patriotes et empruntèrent leur inspiration au souvenir des gloires passées de leurs pays. Burns entretint dans l'esprit de ses compatriotes un amour intense de l'Écosse, sans haine d'un autre pays; tandis que Béranger, bien qu'il ait inculqué l'amour de la France, a inculqué encore plus fortement l'amour de la gloire militaire qui ne peut s'acquérir que par un état de guerre avec les autres nations. Plus de trois quarts de siècle se sont écoulés depuis la mort de Burns et sa renommée, petite à cette époque et à peine parvenue en Angleterre, a augmenté graduellement jusqu'à faire le tour du globe. Chaque année, le 25 janvier, l'anniversaire de sa naissance est célébré comme s'il était le saint et le patron de l'Écosse. Un quart de siècle s'est à peine écoulé depuis les funérailles publiques de Béranger, sa renommée qui alors ombrageait la terre a été en diminuant graduellement. De nos jours elle est presque entièrement confinée en France et à une petite portion de ses concitoyens».
Est-il nécessaire de faire remarquer au moyen de quelles violations de la vérité, de quelle ignorance des faits, de quel oubli des circonstances, de quelles affirmations stupéfiantes, on élabore de pareils rapprochements. Que l'auteur de cet article connaisse mal Béranger; qu'il oublie que lorsqu'un peuple est envahi et meurtri par l'étranger il n'y a pas de patriotisme sans haine de l'étranger et que le Vieux Drapeau, le Cinq Mai, le Violon Brisé, le Vieux Sergent, les Souvenirs du Peuple sont des poèmes de sentiment national aussi légitimes et plus poignants que l'Ode de Bruce ou les Volontaires de Dumfries; qu'il ignore qu'à côté de cela Béranger a chanté le patriotisme pur dans le Retour dans la Patrie et les Hirondelles, la liberté des autres nations dans le Pigeon Messager, et la paix du monde dans la Sainte Alliance des Peuples; qu'il ignore la belle pitié qui a inspiré le Vieux Vagabond; qu'il n'ait pas compris la sincérité de sentiment qui vit dans Le Grenier, et dans cette charmante pièce de la Bonne Vieille; qu'il ne sache pas que les pièces anticléricales de Béranger ne sont pas si loin des satires de Burns; qu'il n'ait pas aperçu qu'une des causes de la popularité de Béranger a été précisément d'avoir mis de hauts et nobles sentiments à la portée du peuple, et d'avoir donné un des rares exemples de poésie populaire; qu'il ne se doute pas de mille autres nuances; cela n'a rien d'étonnant. Il a seulement eu le tort de parler d'un sujet qu'il avait insuffisamment étudié. Mais on croirait qu'il ne connaît pas beaucoup plus Burns, si l'on ne se rappelait ses autres travaux et sa compétence dans les choses d'Écosse. Où a-t-il pu prendre cette singulière affirmation que la littérature lyrique de l'Écosse était, avant Burns, corrompue et licencieuse? Il s'y trouvait des chansons grossières, comme dans toutes les littératures populaires, mais ni la collection des ballades, ni celle des chansons, avec leurs pièces pures et exquises, ni celle des petits poèmes, ni les morceaux de Ramsay ou de Fergusson ne constituent rien de corrompu ni de licencieux. Où a-t-il vu que Burns avait laissé pure cette même littérature? Il a retouché quelques chansons, il leur a enlevé des mots trop grossiers, il a fait leur toilette pour qu'elles pussent entrer dans les salons et être chantées par les dames au piano-forte, mais il en a laissé pour son compte qui valent bien celles de Béranger. La pièce à Anna Park vaut bien les pièces à Lisette; ni la Bonne Fille, ni Madame Grégoire, ni la Double Chasse n'ont rien qui n'ait plus que leur équivalent dans Burns, sans parler des Merry Muses of Caledonia. Rien ne reste debout de ces étranges affirmations quand on les examine de près. Et voilà comment un homme judicieux, pour vouloir accoler deux sujets qui ne vont pas ensemble, essaye de les faire gauchir et ne rapproche en réalité que des faussetés, des erreurs, et des niaiseries. Il ferait croire qu il ne connaît ni l'un ni l'autre des poètes dont il parle, si ses travaux d'autre part ne nous persuadaient qu'il doit en connaître un.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 913: Now Spring has clad the Grove in Green.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 914: Shelley. To a Skylark.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 915: Songs from the Dramatists, edited by Robert Bell.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 916: Carlyle. Essay on Burns.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 917: Milton. L'Allegro.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 918: Shairp. Studies on Poetry, p. 8.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 919: Shairp. Studies in Poetry and Philosophy, p. 3.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 920: Wordsworth. At the grave of Burns.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 921: Cowper. The Sofa, vers 534-56.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 922: Id. Id., vers 556-90.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 923: Id. Winter Evening, V. 340-370.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 924: Id. Id., p. 373-430.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 925: C'est l'avis de M. Boucher. Voir William Cowper, chap. XVII.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 926: Charles Kingsley. Burns and his School, dans ses Literary and General Lectures and Essays.[Retour au Texte Principal.]
Footnote 927: Dean Stanley le cite plusieurs fois dans ses Lectures on the History of the Church of Scotland.[Retour au Texte Principal.]