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Dieudonat: Roman

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ÉPILOGUE

OU LE DÉFUNT APPREND QU'IL POSSÉDAIT TREIZE SENS ET QU'IL PRATIQUA DEUX VERTUS

Feu le Prince Dieudonat, en la trente-neuvième année de son âge, arriva fort perplexe à la porte du Paradis: sans doute il n'aurait pas eu spontanément la présomption de se diriger par là, si quelque force occulte ne l'y avait conduit; même, il fit ce trajet avec tant de lenteur que Noiraud eut loisir de le rattraper en route.

En les voyant venir, si hésitants et si penauds, Saint Pierre en eut pitié et sortit de sa loge. Debout sur le seuil, il souriait, un peu narquois mais bénévole, en hochant la tête avec un air de réprobation attendrie, comme ferait un vieux grand-père en face du bambin qui n'a pas été sage.

Dieudonat le reconnut aussitôt, à sa barbe de marin, à sa calvitie couronnée de frisons, surtout à ses clefs: devant cette apparition colossale, et bien qu'il eût lui-même récupéré par la mort l'intégrité de sa personne, il se sentit infirme plus encore que sur terre, et plus chargé de fautes:

—Excusez-moi, grand saint; je vois que je me suis trompé de chemin. Je cherchais le Purgatoire.

—Derrière vous, mon ami.

Le défunt se retourna et n'aperçut que la terre.

—C'était là: vous en sortez. N'y avez-vous pas fait un séjour suffisant?

—Suffisant pour les autres, à qui je n'ai cessé de nuire! Mon père, je me confesse à vous. Tous ceux que j'approchais ont souffert par mon geste.

—J'aime à vous entendre parler de la sorte, mon fils, mais n'exagérons rien, je vous prie: il y a de l'orgueil à exagérer quoi que ce soit, même le sentiment de vos responsabilités, puisque c'est, du même coup, amplifier votre importance. N'y persévérez plus.

—Tout au long du chemin, j'ai vu mes œuvres se lever contre moi. Partout j'ai répandu la douleur et la mort!

—Comme toute créature, par cela seul qu'elle existe et qu'elle se meut.

—J'ai fait plus de mal qu'un autre!

—Parce que vous pouviez davantage, mon enfant. La moindre nocivité coïncide avec la moindre action. Pouvoir plus qu'un autre homme, c'est pouvoir plus de mal. Le Diable y songeait bien, quand il vous concéda la possibilité d'agir par-delà les bornes humaines.

—La douleur guettait tous mes gestes! Du bien que j'ai voulu, il ne sortait que du mal...

—Les effets ne sont pas votre ouvrage, mais l'œuvre totale des innombrables forces que votre mouvement suffit à déclancher: ils sont la coopération de l'univers. Que deviendrions-nous, grand Dieu, s'il nous fallait exiger que les bons vouloirs n'eussent produit que de bons résultats? Le Paradis serait désert. Pas un saint, que je sache, ne résisterait à l'examen des suites que son rêve et son rôle ont suscitées derrière lui. Serais-je ici, moi qui vous parle? Notre-Seigneur lui-même y pourrait-il entrer, tant il advint souvent que l'on fit du mal en son nom?

—Oh!

—Par le seul fait d'être remis aux mains des foules et des siècles, tout idéal se déprave et cesse d'être compris, et cesse d'être admirable, ou même désirable. Il faut savoir le confesser, jeune homme: vouloir le bien est un beau rêve, mais servir est une chimère.

—J'ai mal vécu!

—Pour mieux vivre, il vous aurait tout bonnement suffi d'épouser une brave fille, de faire des enfants, et de bêcher votre champ afin de les nourrir. Tout le secret est là, et aussi la morale de votre histoire.

—Pourtant, le ciel m'avait comblé de présents magnifiques...

—Magnifiques? Magnifiques! Évidemment, nous vous avions comblé, comme vous dites, mais à l'excès. En vous voyant sortir des Limbes, lorsque chacun vous chargeait de ses dons, et quand vous vous acheminiez vers la planète, si menu, si écrasé sous le fardeau de vos capacités futures, Dieu m'est témoin que je vous plaignais par avance: «Ah, pauvre petit, qu'est-ce que vous lui donnez là? Qu'est-ce qu'il va devenir, le pauvre petit?» Une victime! Et vous le fûtes, beaucoup plus que coupable.

—Si quelquefois...

—L'être d'exception est toujours une victime! On vous avait doté? Eh, là! Les dotations superficielles sont des causes de joie, je vous le concède, mais les dotations profondes sont des sources de peine.

—Il est bien vrai que j'ai souffert en mon cœur du mal que je faisais, et que j'ai souffert en mon esprit du bien que je concevais; à cause de la puissance qu'on avait mise en moi tout mon cœur a saigné, et sur mon impuissance tout mon esprit s'est lamenté.

—Le champ de bataille où se heurtaient les forces du Ciel et de l'Enfer, voilà ce que vous fûtes. Aux présents dont nous avions accablé un pitoyable prince, Satan a mis le comble en lui disant: «Tes vœux se réaliseront.» Dieu vous avait donné la conscience, c'est-à-dire la notion de votre incapacité humaine, et le Malin, là-dessus, vous octroyait le pouvoir surhumain: en sorte que vous deveniez la créature hybride, toute-puissante et avertie de son impuissance, le dérisoire chevalier d'amour qui parmi les désolations de la terre promène cette devise décevante: «Pouvoir tout et savoir qu'on ne pourra rien.»

—La souffrance est-elle donc l'inéluctable loi du monde? O mon père, tandis que je résumais ma vie, sous le porche de l'église, dans l'apparente humilité où je croupissais alors, plus misérable que Job, j'ai consommé l'acte suprême de l'orgueil: en même temps que je me jugeais, j'ai jugé Dieu, et je l'ai condamné! Pourquoi Dieu a-t-il mis la douleur sur la terre?

—Par pitié, mon enfant, pour vous sauver.

—L'inutile et cruelle douleur?

—L'attentive et très bienveillante douleur! Vous croyez n'avoir que cinq sens, et cette erreur par trop naïve vient de ce que vous n'avez pas compris à quoi ils servent. Comme des enfants, vous avez cru qu'on vous les octroyait en guise de jouets, et pour votre agrément. Leur rôle est bien plus vaste: on vous les a donnés, en apparence, pour votre joie, et, en réalité, pour les besoins de l'univers.

—Mes sens?

—Eh oui! La vie vous est concédée comme un dépôt transmissible: il importe donc à la fois que vous la préserviez en vous et que vous la transmettiez. Dans ce double dessein, la nature munit ses enfants d'avertisseurs qui les rappelleront à leur double devoir: ces gardiens sont vos sens. Mais, afin d'animer davantage votre attention, on a voulu qu'ils fussent pour vous des éléments de volupté, en même temps que des conseillers de prudence, et certes cela est fort ingénieux, puisqu'en vous promettant un plaisir on excite vos égoïsmes individuels à l'accomplissement de la mission commune.

—J'entrevois...

—Exposés comme vous l'êtes à des périls ambiants et à des périls extérieurs, vous avez pour toute éventualité vos informateurs spéciaux: contre ce qui vous menace de loin, la vue et l'ouïe; contre ce qui vous blesserait, le toucher; contre ce qui vous empoisonnerait, l'odorat et le goût; afin de réveiller votre vigilance contre le connu ou l'inconnu, vous avez la peur, et contre les inconvénients de la gravitation, vous avez le vertige. Ainsi garés de vos alentours, il ne s'agissait plus que de vous défendre contre vous: la faim, la soif et la suffocation vous avisent des dépenses internes, avec injonction d'y pourvoir, et voilà les dix sens qui veillent sur la créature. Mais s'il convient à l'univers de sauvegarder l'individu, bien qu'en somme il le tienne pour négligeable en soi, c'est surtout parce qu'il a besoin de perpétuer l'espèce: en conséquence, la Nature vous a pourvus d'un sens propagateur, l'amour, auquel elle attacha pour vous le maximum de volupté, puisqu'il comportait pour elle le maximum d'utilité: si bien que, en vue de satisfaire à ce sens impérieux, vous passerez outre à toute considération de sagesse personnelle.

—Palais d'Armide, ô mon péché...

—Mais ce n'était point assez de vous inciter par des joies; afin de vous prémunir contre les dangers de votre incurie, outrances ou défaillances, une sollicitude vraiment tutélaire a pris soin de vous enrichir encore d'un sens suprême qui totalisât tous les autres, en vous admonestant d'une voix plus pressante: la douleur. Ce sens-là, c'est l'avertisseur par excellence, le manomètre à sonnerie d'alarme, celui qui jette l'alerte en cas d'urgence, et qui vous décèle vos ennemis, avérés ou sournois, ceux du dedans comme ceux du dehors, et qui vous indique la limite de votre résistance: brutalement, violemment, il sonne, fort, de plus en plus fort. La sonnerie est pénible? Il la fallait telle pour vous décider à entendre, et à obéir; contre votre apathie, il fallait la rigueur de cette sommation inexorable, qui vous contraint à combattre le mal pour que l'avertisseur se taise.

—Et puisque nous découvrions, en chacun de nos organes, la possibilité d'un abus, c'est-à-dire d'un vice, il en fut de la douleur comme des autres sens; ainsi nous pûmes concevoir ce forfait monstrueux de la cultiver pour elle-même ou de la mettre en branle, dans l'unique désir d'entendre son beau cri d'appel, le cri de ce qui souffre!

—Le goût est inné, dans les créatures, de martyriser la faiblesse.

—A tel point que nous inventâmes des supplices, des instruments, et même des professions, pour obtenir de la Douleur en soi!

—Est-ce tout, mon enfant? Allez-vous oublier que les appétits de torture sont si morbidement invétérés dans l'homme qu'il osa les prêter à Dieu, en imaginant un Enfer où des victimes sans défense sont déchirées sans fin par des bourreaux en joie?

Le défunt s'était retourné vers la terre, et il l'apercevait, déplorablement seule, ronde dans l'espace. Alors, Pierre lui dit:

—S'il est vrai que l'humanité s'égara plus loin que la bête, dans les voies de la dépravation, elle a du moins eu cet honneur de s'imposer des bornes, et c'est celles-là que Satan vous sollicitait à franchir, mon prince, lorsque, par une faveur perfide, il vous donna l'omnipotence.

—Je ne l'ai su que trop.

—Jamais assez, les hommes ne sauront quel intérêt ils ont à craindre le pouvoir! Jamais assez, on ne leur répétera que pouvoir davantage est le plus sûr moyen de multiplier non seulement les occasions de se tromper, mais celles aussi de déchoir.

—Hélas...

—La Conscience humaine n'est pas assez solide pour qu'elle se risque impunément au danger de détenir une force sans contrôle: inévitablement, dans l'homme, le pouvoir amoindrit son ennemie, la conscience, et ce qui vous fait grands, c'est votre conscience.

—Mon père...

—Vous étiez tout petit, ô Dieudonat, à cause de ce pouvoir immense; mais vous avez grandi à force de vous amoindrir.

—Mon père...

—Devenir grand, mon fils, ce n'est pas atteindre aux grandeurs, c'est accroître sa conscience, et vous l'avez compris.

L'apôtre parlait d'un verbe sûr. Dieudonat qui l'écoutait, en baissant le front sous l'éloge, releva la tête et s'aperçut avec stupeur que le saint et lui se trouvaient maintenant face à face, et de taille pareille. Pierre lui souriait et dit:

—Tu l'as compris et tu t'es délivré! Comme moi tu étais aux Liens, et, comme moi, tu es sorti des griffes d'Hérode. Viens, mon frère, que je t'embrasse.

Le grand vieillard ouvrait les bras, le mort s'y jeta en pleurant; l'ancien pêcheur de Galilée caressait doucement l'épaule de l'ancien cul-de-jatte:

—Le même Ange nous a tirés, moi et toi, de la même geôle, et il avait deux ailes: l'Effort et la Pitié. En dépit de Satan, comme moi tu as résisté, pour célébrer l'Effort-quand-même et la Pitié-quand-même. Comme moi aussi, tu as failli, et c'était le jour où, comme moi, tu renonças l'Effort et la Pitié.

—Je me souviens: c'était le soir, au bord d'un fleuve; lâchement j'ai abdiqué mon âme et j'ai renié mon devoir...

—Le coq m'a parlé par trois fois. Tu as eu pitié de toi-même, comme moi, et c'est là le péché.

—Alors j'ai cheminé par les routes, et je ne pensais plus... Et je me souviens encore de ceci: ce fut le temps heureux de ma vie.

—Voilà la vérité qu'il ne faut point leur dire, pour ne pas ôter le courage à ceux qui n'en ont guère. Ce temps-là est celui où tu appliquais la théorie du moindre effort, si chère à Satan, aux brutes, et à la généralité des humains. Tu ne fis alors rien de bon, que ton bonheur. C'est beaucoup pour une bête. Ce n'est rien pour un homme.

—Oui, j'ai failli!

—Tu t'es racheté. La tâche en était rude, parce que nous l'avons mise à la limite de nos forces. Faire son devoir vis-à-vis de soi-même, c'est faire tout ce qu'on peut; faire son devoir vis-à-vis des autres, c'est faire plus qu'on ne peut.

—Plus qu'on ne peut...

—C'est pourquoi, en récompense du long effort accompli par la race au cours des siècles laborieux, nous avons réussi à ajouter en nous une faculté que n'ont pas les autres espèces. Je t'affirmais tantôt la suprématie d'un douzième sens, la Douleur, qui avise tous les animaux de ce qu'ils doivent craindre pour eux-mêmes. Il en est un treizième, chargé de vous révéler ce qu'il faut craindre pour autrui: et celui-là est le propre de l'homme. Vous seuls le possédez. Il est votre conquête et votre noblesse: il est votre œuvre. C'est le frère spirituel du toucher; il s'appelle le Tact. Car le Tact est un sens, mais un sens moral: il est le don de percevoir ce qui serait douloureux au prochain, avec l'attention à lui éviter un surcroît de misère; il est l'antenne de vos âmes, ce qui vous avertit de la détresse ambiante, et par quoi vous prenez souci d'épargner les âmes voisines: il est le sens d'autrui.

—Les Autres...

—Tu l'as entrevue, cette vérité, dans la clairière des Insectes, le jour où tu disais aux bêtes: «Quand chacune de vous ne connaît que son droit, j'ai inventé le droit des autres, et je l'appelle mon devoir».

—Les Autres...

—C'est du cerveau humain que cette conception-là s'est lancée sur la terre, et jusque vers le ciel: les Autres! Et ce mot-là est le plus beau de tous ceux qui ont frissonné dans l'espace! A l'immolation des Autres, que nous prêchait l'universelle loi de vie, nous avons opposé l'immolation de soi-même. Nous, hommes, seuls contre la nature et contre tous les dieux, nous l'avons érigée en dogme, et ce fut la Bonne-Nouvelle, l'Évangile: l'Homme s'est fait Dieu!

—Mais pour être compris par ceux qui ne comprendraient pas, vous avez dit: Dieu s'est fait Homme!

Une aube d'infini se levait doucement sur les jardins de la paix éternelle; la lumière chantait. Saint Pierre étendit la main droite:

—Mon frère, la double sainteté de l'Homme, c'est l'Effort et la Pitié. Tu as pratiqué l'une et l'autre. Entre, tu es chez toi.

FIN


TABLE

PREMIÈRE PARTIE
I. Comment Dieudonat vint au monde et quelles
circonstances étranges accompagnèrent sa
naissance
1
II. Le petit Dieudonat se montre supérieurement
doué
9
III. Premier contact avec les classes dirigeables 15
IV. Premier contact avec les classes dirigeantes 25
V. Comment le petit prince quitta le château de
ses pères
34
VI. Dieudonat fait le tour de la science humaine et
revient de ce long voyage
40
VII. L'héritier présomptif d'un trône découvre une
meilleure carrière
50
VIII. Dieudonat se reconnaît doué d'une vertu qui
l'empêchera d'en avoir aucune
58
IX. Fâcheuses conséquences d'une bonne action 65
X. Dieudonat refuse de se croire indispensable 77
XI. Il rencontre, au coin d'un bois, les deux souverains
de ce monde
83
DEUXIÈME PARTIE
XII. L'anachorète obtient, des petites bêtes et des
grosses, quelques renseignements sur lui-même
97
XIII. Dieudonat exécute deux chefs-d'œuvre, l'un avec
talent, l'autre avec génie, ce qui le dégoûte
des beaux-arts
112
XIV. Il est rejoint par son passé 122
XV. Et il fabrique de l'avenir 128
XVI. Où l'on voit le tableau d'un peuple fortuné 139
XVII. Dieudonat se décide à ne plus rien donner que
de lui-même
147
TROISIÈME PARTIE
XVIII. Stupéfaction d'un ascète qui rentre dans le siècle 153
XIX. Il découvre un aspect de la bonté divine et devient
optimiste
163
XX. Il multiplie avec excès les dons gracieux de sa
personne
171
XXI. Où se montrent les inconvénients de la futilité 182
XXII. Il se dessaisit, en faveur du prochain, de quelques
menus avantages
197
XXIII. Le plus puissant des hommes entreprend une
tâche qui rencontre divers obstacles
208
XXIV. L'homme supérieur se débarrasse de ce qu'il
avait dans la tête
220
QUATRIÈME PARTIE
XXV. Débuts de Dieudonat dans la carrière d'homme
inférieur
231
XXVI. Il rencontre la charité 243
XXVII. Il est en proie à la justice 254
XXVIII. Il noue connaissance avec l'âme des foules 263
XXIX. Il fréquente les deux douleurs 270
XXX. Il se prend d'amitié pour la misère de l'esprit 279
XXXI. Il décide d'aller enfin vivre la bonne vie 290
CINQUIÈME PARTIE
XXXII. Le prince connaît enfin les bonnes gens, et la
douceur d'une amitié
297
XXXIII. Il expérimente la gratitude 309
XXXIV. Le saint homme est dans le pétrin 320
XXXV. Ayant déjà perdu ses jambes, il se dispose à
perdre pied
335
XXXVI. Le cœur va devant! 349
XXXVII. Où Dieudonat perd le peu de confiance qui lui
restait encore
354
Épilogue. Où le défunt apprend qu'il possédait
treize sens et qu'il pratiqua deux vertus
369

E. GREVIN—IMPRIMERIE DE LAGNY


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