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Histoire de la Révolution française, Tome 10

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FIN DE LA TABLE.




TABLE ALPHABÉTIQUE
DES MATIÈRES
CONTENUES DANS CET OUVRAGE

Les chiffres romains indiquent le tome, et les chiffres arabes la page.

(Les numéros de pages réfèrent à l'édition originale. Ils ont été retenus ici, bien que la présente édition n'ait pas de pagination)

ABBAYE. Le peuple enfonce les portes de l'Abbaye pour délivrer

les soldats des gardes-françaises. I, 80.

Les Suisses faits prisonniers le 10 août y sont transférés. II, 270.

Vingt-quatre prêtres sont égorgés dans la cour de l'Abbaye, 316-318.

ABOUKIR. Bataille navale de ce nom. X, 51-57.

Ses conséquences funestes. 61 et suiv.

Autre bataille sanglante livrée par Bonaparte dans ce village;

détails militaires. 304-310.

ACRE (Saint-Jean d'). Siège de cette ville. (Voyez Égypte.)

ADIGE. Raisons qui déterminent Bonaparte à placer ses lignes

sur ce fleuve. VIII, 206-207.

Description du cours de ce fleuve. 273 et suiv.

Arrivée de Wurmser sur ce fleuve. 276 et suiv.

ADMINISTRATION. Réorganisation nouvelle de l'administration

des vivres. III, 130 et suiv.

AGIOTAGE. Ce qui l'amène et sur quoi il s'exerce en 93. IV, 334

et suiv.

Quelques députés s'y livrent ou sont accusés de s'y livrer. 340-341.

On les regarde comme agens de la faction étrangère. 341-342.

Il se ranime en mai et avril 95. Ses causes. VII, 191 et suiv.

Réunion des agioteurs au café de Chartres. Vaines précautions pour

parer aux inconvéniens de ce trafic. 193.

AGRICULTURE. Réglemens du gouvernement révolutionnaire pour

l'amélioration de l'agriculture. VI, 87-88.

AMI DU PEUPLE (l'), journal rédigé par Marat, II. 84.

AMI DU ROI (l'). L'auteur de ce journal est mis en accusation. II, 84.

ANGLETERRE. Politique de l'Angleterre à l'égard de la France, à l'époque

de la révolution. I, 216-217.

Sa guerre avec la France et sa prépondérance en Europe. VI, 34-48.

Elle reste seule ennemie de la France après la soumission de la

Vendée.

Sa position politique. VII, 164 et suiv.

Alarmes et détresse de l'Angleterre après nos victoires en Italie et

au nord, et l'alliance avec l'Espagne. VIII, 266 et suiv.

Situation embarrassante de l'Angleterre après les préliminaires de

Léoben, Nouvelles négociations de paix. IX, 141-145.

Conférences de Lille. 235-245.

Projet de descente en Angleterre. 360 et suiv.

Ses efforts pour organiser une nouvelle coalition contre la France. X,

61 et suiv.

AOÛT (10). Détails circonstanciés de cette journée. II, 234-257, 258 et

suiv.

Fête de l'anniversaire de cette journée. IV, 353-357.

APPEL AU PEUPLE. Il est proposé et discuté dans la convention lors du

procès du roi. III, 230 et suiv.

APPROVISIONNEMENT. Difficultés qui empêchent l'approvisionnement

de Paris. I, 108-109.

ARCOLE. Détails de cette bataille. VIII, 367-374.

ARGONNE. Divers combats sont livrés dans cette forêt. II, 352 et suiv.

ARISTOCRATIE. Sa politique après le 14 juillet. I, 116-117.

ARMÉE. État de l'armée et révoltes des troupes dans diverses provinces.

I, 245 et suiv.

ARMÉE RÉVOLUTIONNAIRE (l') est organisée. V, 58-60.

Est licenciée. VI, 9.

ARMÉES. Dispositions de nos armées pour s'opposer à l'invasion

étrangère. II, 294 et suiv.

ARMOIRE DE FER. III, 197-198.

ARTOIS (le comte d') accueilli par des murmures. I, 16. Quitte la

France. 105.

ASSEMBLÉE CENTRALE de résistance à l'oppression, formée à Caen

par des députés des départemens. IV, 206 et suiv.

ASSEMBLÉE CONSTITUANTE. (Voy. Assemblée nationale.)

ASSEMBLÉE LÉGISLATIVE. Hommes qui la composent. II, 10 et suiv.

Elle abolit les titres de sire et de majesté. 17.

Elle fait un décret contre les émigrés. 23 et suiv.

Rend un décret contre les prêtres qui ne prêtaient pas le serment

civique. 27-28.

Suites de cette mesure. 28 et suiv.

Requiert les électeurs et princes de l'empire de désarmer les émigrés.

34-36.

Met en accusation Monsieur et plusieurs autres émigrés. 58.

Fait un décret pour prévenir toute modification de la constitution. 51.

Décrète que la guerre est déclarée. 52 et suiv.

Se déclare en permanence. 88.

Décrète la déportation des prêtres. 89.

Débats relatifs à une lettre écrite par Lafayette. 111 et suiv.

Fait défiler devant elle les attroupemens armés du 20 juin. 131-132.

Débats relatifs à l'affaire du 20 juin. 142 et suiv.

Reçoit diverses pétitions relatives aux événemens du 20 juin. 146 et

suiv.

Fait un décret relatif à la levée des départemens. 156.

Autre décret sur les gardes nationales. 157.

Séance où elle délibère sur le projet de la commission des Douze, qui

est adopté. 159-172.

Séance du 7 juillet 1792. 173 et suiv.

Elle déclare que la patrie est en danger. Suite de cette mesure.

179 et suiv.

Elle rend le décret de la suspension provisoire du roi. 257.

Mesures qu'elle prend après le 10 août. 263 et suiv.

Décrète la formation d'un camp sous Paris. 265.

Organise la police, dite de sûreté générale. 276 et suiv.

Elle décrète la formation d'un tribunal extraordinaire pour juger les

crimes du 10 août. 283.

Ordonne une levée de trente mille hommes. 304-305.

Est dissoute, III, 23.

ASSEMBLÉE NATIONALE. L'assemblée des députés du tiers-état prend

ce titre, sur la proposition de Legrand. I, 56.

Les communes se constituent en assemblée nationale. 56-57.

Elle refuse de se séparer, d'après l'ordre du roi. 67.

Déclare l'inviolabilité de ses membres. 68.

Délibère sur les mandats impératifs. 73.

Nomme un comité des subsistances. 77.

Difficultés de sa position. 78.

Elle vote une adresse au roi pour le renvoi des troupes. 84-85.

Propose diverses mesures après les événemens des 12 et 13 juillet,

et demande au roi le renvoi des troupes. 92.

Continue le 14 juillet à s'occuper de la constitution,

et nomme un comité pour préparer les questions. 93.

Envoie, sur la proposition de Mirabeau, une députation au roi,

Envoie une dernière députation au roi. Discours de Mirabeau.

94-95-101.

Elle envoie à l'Hôtel-de-Ville une députation annonçant

la réunion du roi avec la nation. 103.

Fait une proclamation au peuple, sans résultat. 122.

Discute la déclaration des droits de l'homme. 125.

Abolit les privilèges féodaux et les privilèges des villes, ibid.

et suiv. Adopte l'emprunt de trente millions. 135.

Fait la déclaration des droits de l'homme. 136 et suiv.

Vote l'unité et la permanence de l'assemblée. 146.

Vote le veto suspensif. 147-148-149.

Vote l'hérédité de la couronne et l'inviolabilité du roi. 150.

Adopte un plan de Necker sur un impôt. 157.

Débats relatifs à un message du roi. 166-167.

Elle déclare qu'elle est inséparable du roi et qu'elle sera transportée

à Paris. 177.

Décrète que les biens du clergé sont à la disposition de l'état. 187 et

suiv.

Divise le royaume en départemens. 190.

Discussion importante pour déterminer à qui appartient le droit de

faire la paix et la guerre. 221 et suiv.

Elle rend un décret relatif à ce droit. 225.

Décrète l'émission de 400 millions d'assignats. 230.

Abolit les titres féodaux. 236.

Prend des mesures pour empêcher l'émigration. 265 et suiv.

Mesures qu'elle prend relativement à la fuite du roi. 283 et suiv.

Partis qui s'y forment et suite de ses travaux. Opposition qu'elle a à

vaincre. 298-299.

Elle rend un décret relatif à l'inviolabilité du roi. 301.

Décrète qu'aucun de ses membres ne sera réélu. 305.

Achève le travail de la constitution. 306.

Déclare, le 30 septembre 1791, que ses séances sont terminées. 308.

Réflexions sur ses travaux. Justification de ses actes.

Récapitulation des objections présentées contre la constituante, et

réfutation. II, 1-10.

ASSIGNATS. Causes de leur création. Réflexions sur la nature du

numéraire et du papier-monnaie. I, 226-227 et suiv.

400 millions d'assignats forcés sont décrétés. 230.

Une nouvelle création d'assignats est ordonnée. III, 27.

Leur dépréciation en 93. IV, 327-329 et suiv.

Conséquences de leur dépréciation sur le commerce et causes de leur

avilissement. 329-330-332-333-334 et suiv.

Moyens qu'on prend pour en amener la diminution. 379-380 et suiv.

Nouvelle création d'assignats en 1794. VI, 89 et suiv.

Leur dépréciation augmente. Leur état après le 9 thermidor. 270 et

suiv.

Continuent à se déprécier en 1795. Divers moyens proposés pour les

retirer de la circulation. VII, 66-73.

Ils continuent à baisser. Leur état en avril et en mai 1795. 191-193.

Divers projets sont proposés pour les retirer et les relever. 194 et

suiv.

Projet de Bourdon (de l'Oise). Il est adopté. 199-202.

Nouvelles mesures prises pour remédier à leur dépréciation. 242-247.

Projet du directoire pour la rentrée des assignats et pour subvenir

aux besoins du trésor public; ce projet est rejeté. Détails

financiers à ce sujet. VIII, 51 et suiv. 40-45.

Un projet d'emprunt forcé est adopté. 41 et suiv.

La valeur des assignats est presque nulle. 107 et suiv.

La planche en est brisée le 30 pluviôse. 109.

AUGEREAU. Un des généraux de l'armée d'Italie. VIII, 143.

Est envoyé à Paris par Bonaparte. Le directoire lui donne le

commandement de la division militaire de Paris. IX, 226-228.

Il s'empare des Tuileries le 18 fructidor. 275-278.

Est nommé commandant de l'armée dite d'Allemagne, après la

mort de Hoche. 302.

Est dépossédé de son commandement de l'armée d'Allemagne.

370-371.

AUTRICHE. Causes qui empêchent cette puissance de songer à la paix.

VII, 135-136.

BABOEUF. Fait un journal (le Tribun du peuple). Caractère et

projets de ce démagogue. VIII, 97-98.

Sa conspiration. Il est arrête. 115 et suiv.

Est condamné à mort et exécuté. IX, 33.

BAILLY. Il est nommé député. I, 37.

Est chargé par le tiers-état de remettre une adresse au roi.

Son caractère. 51.

Il est arrêté à la porte de la salle des communes par les

gardes-françaises. 61.

Prête le premier le serment du Jeu de Paume. 62-63.

Il se maintient à la présidence. 72.

Est nommé successeur de Flesselles, sous le titre de maire de Paris.

103.

Difficultés qu'il éprouve pour l'approvisionnement de Paris. 108-109.

Il propose un projet pour vendre les biens du clergé à la fois

sans les discréditer. 226-227 et suiv.

Détails de son procès et de son supplice. V, 170-171.

BAPTISTE RENARD, domestique de Dumouriez, présenté à la

convention. III, 121.

BARBAROUX. Son portrait. Ses plans de république dans le Midi. II, 120

et suiv.

BARBETS. Nom donné à des bandes de partisans piémontais. VIII, 210.

BARNAVE. Son esprit, son union avec les Lameth et Duport. I, 119.

Son discours sur le droit de faire la paix et la guerre. 222-223.

Accompagne la famille royale de Varennes à Paris. 289-290.

S'entend avec la cour. 293 et suiv.

BARRAS. Est nommé général de l'armée de l'intérieur, le 12 vendémiaire.

VII, 359.

Son caractère. Sa conduite vis-à-vis des autres membres du directoire.

IX, 3-4.

Il nuisait à la considération du gouvernement par son luxe et sa

prodigalité. 9 et suiv.

Est seul épargné dans les accusations dont le directoire était l'objet.

Pourquoi. X, 180 et suiv.

BARRÈRE. Il est mis en état d'accusation. VI, 394, Est décrété

d'arrestation. VII, 76.

Est condamné à la déportation. 116.

Est nommé député en l'an V. IX, 148.

Sa nomination est abolie. 153.

BARTHÉLEMY. Il est nommé directeur à la place de Letourneur. IX, 155 et

suiv.

Est arrêté le 18 fructidor et conduit au Temple. 278.

Est condamné à la déportation. 285.

BASSANO et SAINT-GEORGES. Batailles de ce nom. VIII, 309-312-315.

BASTILLE (La). Le peuple, secondé par les gardes-françaises, s'empare

de la Bastille. I, 95-98.

BELGIQUE. Divisée en plusieurs partis après la bataille de Jemmapes.

III, 125 et suiv.

Des agens du pouvoir exécutif vont l'organiser révolutionnairement.

294-295.

Les Belges murmurent et se révoltent contre l'administration française.

327-328.

BERNADOTTE. Il est nommé général en chef de l'armée du Rhin. X, 140.

Donne un plan de campagne au directoire. Ses défauts. 251-252.

Il est renvoyé du ministère de la guerre. 280-281.

BERTHIER. Général à l'armée d'Italie. VIII, 143.

BEZENVAL. Son billet au commandant de la Bastille. I, 97.

Il est incarcéré: on ordonne sa liberté, et presque aussitôt sa

détention est maintenue. 116.

BICÊTRE. Les massacres. II, 336-337.

BIENS DU CLERGÉ. L'assemblée nationale décrète la vente de 400

millions de biens du clergé. I, 206.

BIENS NATIONAUX, Projet de Bourdon (de l'Oise) pour faciliter leur vente.

Il est adopté. VII, 199-202.

On commence à le mettre à exécution. Ses résultats. 242 et suiv.

BILLAUD-VARENNES. Un des exécuteurs du 2 septembre. II, 318-319,

328-329.

Il donne sa démission de membre du comité de salut public. VI, 289.

Est mis en état d'accusation. 394.

Fait aux Jacobins de violentes menaces contre les thermidoriens.

376-377.

Est décrété d'arrestation. VII, 76.

Est condamné à la déportation. 116.

BONAPARTE. Officier au siège de Toulon. Propose d'attaquer le fort

de l'Éguillette. V, 255 et suiv.

Nommé général de brigade. Plan qu'il donne et fait adopter. VI, 52 et

suiv.

Nommé commandant en second de l'armée de l'intérieur, la nuit du 12

vendémiaire. VII, 360-361.

Ses opérations militaires dans la journée du 13. 361-367 et suiv.

Chargé du commandement de l'armée de l'intérieur. VIII, 49.

Il est nommé commandant de l'armée d'Italie. 125-126.

Principales circonstances de la conquête du Piémont. 141-161.

Ses négociations avec la cour de Turin. Il accorde un armistice au

roi de Piémont. 155-157 et suiv.

Sa proclamation aux soldats après les premières victoires d'Italie. 159.

Conquête de la Lombardie. 173 et suiv.

Son entrée à Milan. 181 et suiv.

Nouvelle proclamation aux soldats à Milan. 188-189.

Il reprend Pavie tombée au pouvoir de quelques bandes de paysans.

191-193.

Entre dans le territoire vénitien. 193 et suiv.

Son entrevue avec divers envoyés vénitiens. 202 et suiv.

Il signe un armistice avec Naples. 212-213.

Pénètre dans les États romains et en Toscane. 214 et suiv.

Perd la ligne de l'Adige. Ses combinaisons pour réparer cet échec.

278 et suiv.

Sa victoire de Lonato. 283-286.

De Castiglione. 288 et suiv.

Suite de ses opérations militaires et politiques en Italie. 293 et suiv.

Bataille de Roveredo. 307-308. Sa marche sur la Brenta.

Victoires de Bassano et de Saint-Georges. 308-312-315.

Il fait conclure la paix avec Naples et Gènes. Ses négociations avec

le pape. 345-351.

Il organise la république cispadane. 352 et suiv.

Sa position périlleuse à l'approche d'Alvinzy. Bataille d'Arcole.

Détails militaires. 255-364-367-379.

Sa conduite à l'armée contre les fournisseurs. Sa politique à

l'égard des puissances italiennes. 407-408 et suiv.

Ses dispositions militaires à la bataille de Rivoli. 411-414-423.

Il prend Mantoue. 425 et suiv.

Réflexions sur sa campagne en Italie. 428 et suiv.

Sa conduite politique et militaire en Italie après l'affaire de

Rivoli. Il marche contre les États romains et fait signer au pape

le traité de Tolentino, IX, 50-55.

Sa conduite envers les prêtres français retirés en Italie. 55-56.

Il négocie inutilement avec Venise. 58-60.

Son plan de campagne contre l'Autriche. Il passe le Tagliamento.

60-67.

Se rend maître du sommet des Alpes. 68-71.

Son entrevue avec les envoyés vénitiens. Il écrit à leur gouvernement

une lettre menaçante. 79-86.

Marche sur Vienne. Sa lettre à l'archiduc Charles. Son entrée à

Léoben. 86-90.

Il signe les préliminaires de paix à Léoben. 91-102.

Retourne en Italie et détruit la république de Venise. Détails de sa

conduite politique et militaire. 116-131.

Il propose le secours de son armée au directoire menacé. 193-194.

Donne, le 14 juillet 1797, une fête aux armées. Envoie au directoire

les adresses de toutes les divisions. 222-226 et suiv.

Ses négociations avec l'Autriche après les préliminaires de Léoben.

230-235.

Ses négociations à Udine sont entravées par le directoire. Son

mécontentement. 311 et suiv.

Ses travaux en Italie. Il fonde la république cisalpine. 314-318.

Se rend l'arbitre des différends entre les pays de la Valteline et

les Grisons. 321-322.

Conseils qu'il donne aux Génois sur leur constitution. 322-323.

Il forme divers établissemens dans la Méditerranée. 323-326.

Suite de ses négociations avec l'Autriche à Udine. Ses entrevues

avec M. de Cobentzel. Il signe le traité de Campo-Formio. 328-335.

Il est nommé général en chef de l'armée d'Angleterre. 338-339.

Se dispose à quitter l'Italie. Ses dernières dispositions pour les

affaires de ce pays. 339 et suiv.

Il arrive à Paris. Réception qu'on lui fait. Ses paroles au directoire.

Fête. 343-350.

Suite de son séjour à Paris. Ses relations avec le directoire. 351-360.

Il est chargé de la descente en Angleterre. Sa répugnance pour

cette expédition. 362 et suiv.

Il propose un projet d'expédition en Égypte. Le directoire l'agrée.

Détails sur les préparatifs. 408-419.

Il s'embarque à Toulon. Sa proclamation aux soldats. X, 1 et suiv.

Il s'empare de l'île de Malte. 4-8.

Arrive à Alexandrie et s'en rend maître. 11-13.

Ses plans pour effectuer la conquête. Sa lettre au pacha. Discours

à ses soldats. 23-27.

Ses premières opérations politiques et militaires. 27 et suiv.

Il s'établit au Caire après la bataille. Suite de ses opérations

politiques et militaires. 42 et suiv.

Il fonde l'Institut d'Égypte. 48 et suiv.

Proclamation aux soldats, après la défaite d'Aboukir. 58.

Il se met en marche pour la Syrie, prend Gaza et le fort d'El-Arisch,

et commence le siége de Saint-Jean-d'Acre. 286-290-292.

Remporte une grande victoire au mont Thabor. 295-297.

Revient en Égypte. Va de là à Aboukir, où il remporte une sanglante

victoire sur les Turcs. 300-304-310.

Reçoit des nouvelles d'Europe, et part secrètement pour la France.

311-312.

Son retour en France. Enthousiasme qu'il inspire. Agitation de tous

les partis à son arrivée à Paris. 336 et suiv.

Sa conduite politique à Paris. Il se coalise avec Sièyes pour

renverser la constitution directoriale. 345-350.

Son entrevue avec Sièyes pour convenir de l'exécution de leur plan.

353-356 et suiv.

Il fait le 18 brumaire. 358-359-373. (Voy. Brumaire. )

Est nommé consul provisoire. 383-384.

BONCHAMPS (De). Chef vendéen. IV, 90-91.

Il est blessé à mort. V, 121.

Fait délivrer les prisonniers. 122.

BORDEAUX. Les fédéralistes y sont soumis. V, 132-133.

BOUCHOTTE. Est nommé ministre de la guerre. IV, 44.

BOUILLÉ. Sa position au milieu des partis. Son caractère. I, 201-202.

Il soumet des régimens révoltés. Ses projets. 246-248.

Il arrive trop tard à Varennes pour sauver le roi. 288-289.

Il écrit à l'assemblée, et prend sur lui-même le projet de

Fuite du roi. 294-295.

BOZE. Peintre du roi. Suscite une lettre des girondins. II, 208.

BRETAGNE (La). Est contraire à la révolution. IV, 78-79.

État de ce pays en 1795. VII, 34 et suiv.

Plusieurs chefs signent leur soumission à la république. 159-160

et suiv.

État de ce pays après la première pacification. De nouveaux

Troubles s'y préparent. 263 et suiv.

Expédition de Quiberon. 269-275-318.

BRÉZÉ. (Le marquis de). Apporte les ordres du roi. I, 67.

BRIENNE (De). Il est nommé ministre. I, 12.

Mande le parlement à Versailles pour un lit de justice. 16.

Il négocie avec le parlement. 17.

Ses embarras. 19.

Se retire du ministère. 23.

On brûle son effigie. 35.

BRIGANDS. Terreur mal fondée que leur nom répand dans toute

la France. I, 122-123.

BROGLIE (Le maréchal de). Reçoit le commandement des

troupes. I, 82.

BROTTIER. (Voy. Royalistes.)

BRUEYS. Amiral de l'escadre d'Égypte. X, 3.

Ses fautes et son courage à la bataille d'Aboukir. Il est tué. 51-57.

BRUMAIRE (18). Préparatifs et journée du 18 brumaire. X.

353-356-359-373.

BRUNE. Nommé général en chef de l'armée de Hollande. X, 140.

BRUNSWICK (Le prince de). On répand un manifeste de ce

prince. II, 217.

CALENDRIER. Il est réformé. V, 188-190.

CALONNE (De). Arrive au ministère. I, 10.

Son caractère, la confiance aveugle qu'il inspire. Il réunit les

notables. 11.

Écrit au roi pour justifier l'Angleterre accusée d'exciter des

troubles. 220.

CAMBON (de Montpellier), adversaire des fournisseurs. III, 131-132.

Il en fait décréter trois par l'assemblée. 136.

CAMP DE CÉSAR. Il est évacué par les Français. IV, 352.

CAMPO-FORMIO. Traité de ce nom. Joie qu'il inspire en France.

IX, 334 et suiv.

CAMUS. Propose de réduire toutes les pensions du clergé à un

taux infiniment modique. I, 189.

CARNOT. Il est membre du comité de salut public. IV, 391.

Dirige toutes les opérations militaires. V, 100 et suiv.

Justifie sa conduite comme membre de l'ancien comité de salut public.

VII, 99 et suiv.

On n'ose pas le décréter à cause de ses services. 234.

Est nommé directeur à la place de Sièyes, qui avait refusé.

VIII, 10 et suiv.

Vices de son plan d'opérations militaires en Italie. 185 et suiv.

Son plan de campagne sur le Danube et sur le Rhin. 219 et suiv.

Caractère de ce directeur. IX, 2-3-12 et suiv.

Il se rend suspect à tous les partis et à ses collègues du

directoire. 259-261.

Prend la fuite le 18 fructidor. 278.

Est condamné à la déportation. 285.

CARRIER. Atroces exécutions qu'il fait faire à Nantes. VI, 144-148.

Il est mis en accusation et envoyé au tribunal révolutionnaire. 373-374.

Est condamné à mort. 394-395.

CATHELINEAU. Coopère à la première insurrection vendéenne. IV, 84 et

suiv.

Il est nommé généralissime de l'armée vendéenne. 252.

CATHERINE THÉOT. Cette femme fanatique institue une secte. VI,

109-111.

Elle est arrêtée ainsi que presque toute sa secte. 129 et suiv.

CAZALÈS. Défenseur éloquent de la noblesse. I, 117.

CERCLES CONSTITUTIONNELS formés par les patriotes en l'an V, pour

s'opposer à l'influence des Clichyens. IX, 189 et suiv.

CHALIER. Il se fait remarquer à la tête du club central, à Lyon. IV, 75.

Il demande un tribunal révolutionnaire pour Lyon. 76.

CHAMPIONNET. Général à l'armée d'Italie. Ses opérations militaires

dans les États-Romains contre l'armée de Naples. X, 106-113.

Il s'empare du royaume de Naples. 113-115-121.

Résiste aux ordres du directoire. Est destitué. 129.

Est nommé général d'une nouvelle armée des Alpes par le

Nouveau directoire. 242.

CHABOT. Accepte l'offre de Grangeneuve de s'immoler tous deux pour

enflammer les esprits contre la cour. Il ne se rend pas à l'endroit

convenu. II, 191-192.

Il demande que les Suisses soient conduits à l'Abbaye. 270.

CHARETTE, chef vendéen. Son caractère. Il hésite d'abord et se rend aux

instances des insurgés. S'empare de l'île de Noirmoutiers. IV,

89-90.

Il est amené à négocier avec les républicains pour la paix.

VII, 139-142-145.

Sa réception triomphale à Nantes. 146.

Il continue à préparer la guerre, après sa soumission. Ses relations

avec les princes et les émigrés. 162-163.

Il se déclare de nouveau en guerre. VIII, 26.

Fait d'inutiles efforts pour soutenir la guerre contre Hoche. 66 et

suiv.

Est poursuivi dans les bois et les montagnes. 130.

Est pris et fusillé. 135-136.

CHARLES (L'archiduc). Il remplace Clerfayt dans le commandement de

l'armée du Bas-Rhin. VIII, 123.

Son plan de campagne après sa retraite à Neresheim. 298 et suiv.

Sa marche contre Jourdan. 300.

CHÂTEAU. Le château des Tuileries est attaqué par le peuple. II, 134 et

suiv.

CHAUMETTE. Procureur-général de la commune. Organise la législature

municipale. IV, 279.

Il est arrêté. V, 372 et suiv.

Sa condamnation et sa mort. 415.

CHÉBREÏSS. (Combat de) en Égypte. X, 31-33.

CHÉNIER (André). Sa mort. VI, 200.

CHÉNIER (Marie-Joseph). Il fait un rapport sur les mesures les plus

capables de réprimer les royalistes, après les événemens du 9

thermidor. VII, 185-188.

CHOLET. Bataille de ce nom en Vendée. V, 318-322.

CHOUANS. Leur situation en Bretagne, leur chef. VI, 322-324.

CISALPINE (République). Organisée par Bonaparte. IX, 314-318.

Situation de cette république en l'an VI. 376 et suiv.

Triste état de cette république après le départ de Bonaparte. X, 84-86.

Changemens faits à sa constitution. 89 et suiv.

CISPADANE (République). Sa fondation. VIII, 352 et suiv.

CLARKE. Mission de ce général à Vienne. VIII, 359.

Sa négociation, avec le cabinet autrichien. Le projet d'armistice

qu'il proposait est rejeté. 380-382 et suiv.

CLERGÉ. Il s'oppose à la vérification des pouvoirs des communes. I, 45.

(Voyez Tiers-État et Vérification.)

Vote sa réunion aux communes. 59.

La majorité du clergé se réunit aux communes. 65.

Il abdique ses priviléges. 125.

Son rôle dans l'assemblée. 192.

Ses manoeuvres au commencement de 1790. 204 et suiv.

Il s'oppose par divers moyens à l'exécution de la constitution civile.

233 et suiv.

Une partie du clergé refuse de prêter le serment civique. Suite de ce

refus. 257-238.

CLICHY. CLICHYENS. Club de ce nom, formé par les députés de

l'opposition du corps législatif. IX, 16-17.

Ses manoeuvres pour obtenir un nouveau directeur de son choix.

Diverses propositions faites au corps législatif. 151 et suiv.

Plans de contre-révolution formés par les clichyens. 156 et suiv.

Leur lutte avec le directoire dans les conseils. 158 et suiv.

Leurs propositions financières aux cinq-cents. 165 et suiv.

Motion d'ordre de l'un d'eux sur les événemens de Venise. 176 et suiv.

(Voyez Royalistes.)

Ils tâchent de s'opposer aux changemens dans le ministère projetés

par le directoire. 203 et suiv.

Leurs craintes après la nomination des ministres et la marche de Hoche.

213 et suiv.

Autres plans d'opposition. Leurs craintes sur les préparatifs du

directoire. 266 et suiv.

Résolutions désespérées qu'ils proposent. 271 et suiv.

CLOOTZ. (Anacharsis), Prussien de naissance, est admis par l'assemblée

à faire partie de la fédération. I, 235.

Prêche la république universelle et le culte de la Raison. V, 195 et

suiv.

Il est exclu de la société des jacobins. 228.

Est arrêté. 372.

Son procès et son supplice. 374-379.

CLUBS. Diverses assemblées se forment sous ce nom. I, 33.

Club breton. 119.

Leur importance augmente. 213.

Ils deviennent dominateurs. II, 12.

Les cinq-cents décrètent qu'aucune assemblée politique ne serait

permise. IX, 218-219.

CLUB ÉLECTORAL. Comment il se compose après le 9 thermidor. VI,

264-265.

Il fait une adresse à la convention, pour demander la reconstitution

de la municipalité de Paris, etc. 343-345.

CLUB FRANÇAIS. Ce que c'était. II, 204.

COALITION. Elle commence à agir avec activité. II, 210 et suiv.

Envahit toutes nos frontières, en 93. IV, 214 et suiv.

Le défaut d'union des coalisés paralyse leurs forces. 238

État de la coalition au commencement de 1794. VI, 34-40-48.

Tiédeur des puissances coalisées pour les intérêts des princes

français. 326 et suiv.

Plans de guerre de la nouvelle coalition, en 1799. Leurs défauts.

X, 141 et suiv.

COBENTZEL (M. de). Ce qu'il demande au nom de sa cour. II, 70.

Suite de cette communication. 71.

COBLENTZ. Les émigrés se transportent de Turin en cette ville. I, 263.

Projets de la noblesse. 263-264 et suiv.

COBOURG (Le prince de) Commandant en chef des coalisés dans le

nord. VI, 62.

COLLOT-D'HERBOIS. Il harangue Dumouriez aux Jacobins. III, 73-75.

Cherche à sauver les ultra-révolutionnaires arrêtés. V. 302 et suiv.

Fait avorter l'insurrection des ultra-révolutionnaires les 15

et 16 ventôse. 362 et suiv. 370.

Tentative d'assassinat sur lui. Elle échoue. Ses conséquences. VI, 96

et suiv.

Il donne sa démission de membre du comité de salut public, 289.

Est mis en état d'accusation. 394.

Est décrété d'arrestation. VII, 76.

Est condamné à la déportation. 116.

COMITÉ CENTRAL RÉVOLUTIONNAIRE. L'assemblée de la mairie

prend ce nom. Elle s'occupe, dans plusieurs séances, des suspects

et de l'enlèvement des députés. IV, 116 et suiv.

COMITÉ DE DÉFENSE GÉNÉRALE. Il se réunit pour délibérer sur les

moyens de salut public. II, 307-308.

Pourquoi il fut établi. III, 296.

COMITÉ CENTRAL DE SALUT PUBLIC. Nécessité de sa création. Ce

que c'était: l'étendue de ses attributions. IV, 46-48.

Il se réunit le 1er juin 1793. Divers avis y sont ouverts pour

remédier à l'insurrection. Proposition de Garat. 167-169.

Est chargé, après le 31 mai, de présenter un projet de constitution.

194.

Propose des moyens pour arrêter l'insurrection des départemens.

202-203.

Ses attributions. 276-277.

Il perd sa popularité. 281-282.

On lui adjoint Saint-Just, Couthon et Jean-Bon-Saint-André. 282.

Est attaqué par divers partis après les échecs de nos armées. V, 51

et suiv.

La convention déclare qu'il conserve sa confiance. 54-55.

Sa politique en décembre 93. 231 et suiv.

Il fait arrêter des ultrà-révolutionnaires et des agioteurs. 238 et

suiv.

Rend des décrets relatifs aux détenus. 359.

Sa politique au milieu des factions. 380 et suiv.

Projets des membres du comité contre Danton. 383 et suiv.

Sa politique après la mort de Danton et des hébertistes. Il concentre

en ses mains tous les pouvoirs. VI, 2-5-9 et suiv.

Abolit l'armée révolutionnaire, les ministères, les sociétés

sectionnaires, etc. 9 et suiv.

Sa dictature et sa position en 94. 104-107 et suiv.

Il se partage en plusieurs groupes. Sa rivalité avec le comité de

sûreté générale. 111 et suiv.

Les divisions continuent. 128-131 et suiv.

Les membres ennemis de Robespierre cherchent à s'emparer du

pouvoir. 157-159.

Feinte réconciliation des comités divisés. 161-164.

Il est réorganisé après le 9 thermidor. 238-239.

Nouvelle épuration. 289-290.

COMITÉ INSURRECTIONNEL. II, 190.

En communication avec Pétion. 191.

COMITÉ DE SÛRETÉ GÉNÉRALE. Il est recomposé après le 9 thermidor.

VI, 238.

COMITÉ DE SURVEILLANCE. Ce que c'était. II, 275-276.

Il fait exécuter des arrestations. 306-307.

On y arrête le projet de massacrer les prisonniers. 310 et suiv.

Il envoie une circulaire aux départemens pour recommander le

meurtre des prisonniers. 337 et suiv.

Ordonne des arrestations. III, 4.

COMITÉS RÉVOLUTIONNAIRES. Leur nombre est réduit dans Paris et

les départemens. VI, 258.

COMITÉS. On décide qu'ils seront renouvelés par quart tous les mois. VI,

237-238.

Inconvéniens de cette mesure. 256 et suiv.

Seize comités sont établis après le 9 thermidor. 257 et suiv.

COMMERCE. État fâcheux du commerce en 1794. VI, 271-273-279.

COMMISSAIRES. Les commissaires des assemblées primaires de toute

la France arrivent à Paris. Leur réception. IV, 343 et suiv.

COMMISSION DES DOUZE (La). Elle propose à l'assemblée un projet de

salut public. II, 159 et suiv.

COMMISSIONS. Douze commissions sont instituées par le comité de salut

public en remplacement des ministères. VI, 10 et suiv.

COMMUNE. Son pouvoir après le 10 août. II, 274-275.

Elle est chargée de la garde de la famille royale. 278 et suiv.

Mesures qu'elle prend contre les suspects. 305-306 et suiv.

Sa puissance et ses exactions. III, 4 et suiv.

Son opposition avec la convention. Elle est réprimée. 48-49-50.

Ses membres sont renouvelés. 82.

Elle s'oppose à une nouvelle insurrection. 344-345.

Demande à la convention, au nom de trente-cinq sections, l'expulsion

de vingt-deux de ses membres. IV, 61 et suiv.

Soumet ses registres à la convention. 64.

Ordonne une levée de douze mille hommes dans Paris et une taxe sur

les riches. Troubles à ce sujet. 95 et suiv.

Se plaint à la convention de l'arrestation d'Hébert et des calomnies

dont elle est l'objet. 126-127.

Hébert y est couronné. 138-139.

Elle est destituée par le comité central révolutionnaire, le 31 mai.

147 et suiv.

Une députation de la commune insurrectionnelle est introduite à la

convention. 156 et suiv.

Elle se trouve chargée, après le 31 mai, de toute l'administration

intérieure. 279.

CONDÉ. (Le prince de). Il se met à la tête de six mille émigrés. II, 294.

CONSCRIPTION. Loi sur la conscription décrétée en septembre 1798. X,

98-101.

CONSCRITS. La levée de toutes les classes est ordonnée après le 30

prairial an VII. X, 350.

CONSEIL EXÉCUTIF. Nom que prend le ministère après le 10 août. II,

263.

Il seconde les plans militaires de Dumouriez. 350.

Sa nouvelle organisation. III, 50-52.

Il est aboli. VI, 10.

CONSEIL DES ANCIENS. Nouveau pouvoir institué par la constitution de

l'an III. VII, 334-335.

CONSEIL DES CINQ-CENTS. Création de cette assemblée par la

constitution de l'an III. VII, 334.

Discussion violente au sujet de la loi du 3 brumaire. VIII, 87 et

suiv.

Premières opérations législatives en l'an V. Mesures adoptées

ou proposées sur les émigrés, le culte et les finances, etc. IX,

158-162 et suiv.

Il rejette la proposition de Jourdan de déclarer la patrie en

danger. X, 279-281.

CONSEILS. Ils se plaignent au directoire de l'agglomération des troupes

de Hoche près de Paris. IX, 248 et suiv.

Les conseils sont dispersés le 18 fructidor. On leur refuse l'entrée

du lieu de leurs séances. 279-280.

Les députés attachés au directoire se réunissent à l'Odéon et à

l'École de Médecine. Le directoire leur fait part de la conspiration

royaliste. Les nouveaux conseils cassent plusieurs élections, et

condamnent à la déportation plusieurs députés, deux directeurs, des

journalistes, etc. 280-281-284-285.

Les deux conseils sont dissous le 18 brumaire. (Voy. Brumaire.)

CONSPIRATEURS DU 10 AOÛT. Ce qu'on entendait par là. II, 280.

CONSTANT (Benjamin). Il publie une brochure qui produit de la sensation.

VIII, 105-106.

CONSTITUTION. Nécessité d'une constitution, exprimée par les cahiers;

obstacles à vaincre pour l'établir. I, 74 et suiv.

Discussions relatives à l'établissement de la constitution. 138 et suiv.

CONSTITUTION CIVILE DU CLERGÉ. Les principales dispositions de ce

projet sont adoptées. Réflexions. I, 232-233.

CONSTITUTION DE L'AN II. Ses principaux articles. IV, 241-243.

Une pétition contre cette constitution est repoussée par la convention.

243-244.

CONSTITUTION DIRECTORIALE OU DE L'AN III. Ses auteurs, ses

principales dispositions. VII, 332-337.

Elle est acceptée par les votes des sections de toute la France.

346-347.

État des esprits à l'époque de son établissement. VIII, 2 et suiv.

Installation du nouveau gouvernement le 5 brumaire. 5 et suiv.

Elle est détruite le 18 brumaire. (Voy. Brumaire. )

CONTRE-RÉVOLUTIONNAIRES. Hardiesse de ce parti. Leurs tentatives

dans le midi de la France. VII, 178-182 et suiv.

CONVENTION. La convention nationale se constitue. III, 22 et suiv.

Elle déclare la royauté abolie en France. 25.

Séance du 24 septembre 1792. 28 et suiv.

Elle se divise en côté droit et en côté gauche. 45-46.

Se partage en divers comités. 52-53.

Débats relatifs à l'accusation de Robespierre. 84 et suiv.

Elle ordonne au comité de législation de donner son avis sur les

formes du jugement de Louis XVI. 107-108.

Longues discussions relatives à la mise en jugement de Louis XVI. 159

et suiv.

Elle déclare que le roi sera jugé par elle. 195.

Discussions sur les formes du procès. Ibid. et suiv.

Violens débats après la défense du roi. 226 et suiv.

Séances du 14 au 17 janvier, où fut décrétée la mort du roi.

247-248-256.

Elle décrète qu'il ne sera pas sursis à l'exécution du roi. 258.

Déclare la guerre à la Hollande et à l'Angleterre. 286.

Mesures qu'elle prend pour faire face aux besoins de la guerre. 298

et suiv.

Elle rend divers décrets. 333-334.

Débats relatifs à l'établissement du tribunal extraordinaire. 336 et

suiv.

Terreur de ses membres, menacés d'une insurrection. 342-343.

Terribles mesures qu'elle prend pour la sûreté intérieure et

extérieure. IV, 23 et suiv.

Elle rend divers décrets relatifs aux événemens de la Belgique et à la

famille d'Orléans. 38-39.

Discussion au sujet des pétitions des sections et des divers actes

de la commune. 61 et suiv.

Divers décrets relatifs à des pétitions de Bordeaux, de Marseille et

de Lyon. 108-109.

Tumulte à l'occasion d'une femme des tribunes. 110 et suiv.

Elle nomme une commission de douze membres pour observer les

actes de la commune et protéger la représentation nationale. 114.

Cette commission informe contre la commune et fait quelques

arrestations. 122-125.

Scènes violentes le 27 mai, à cause de l'attroupement et des pétitions

des sections armées. 128 et suiv.

Elle casse sa commission des Douze et annule ses actes. 134.

Violente discussion à ce sujet le lendemain. 135 et suiv.

Elle rapporte son décret relatif aux Douze. 137.

Séance du 31 mai 1793. 147, 150 et suiv.

Elle supprime la commission des Douze et décrète plusieurs mesures le

3l mai. 164.

Courte séance du 1er juin. 173.

Séance du dimanche 2 juin 1793. 175-183.

Elle vote l'ordre du jour sur les demandes des insurgés. 177.

Plusieurs députés sont maltraités. 180.

Elle est arrêtée par la force armée le 2 juin. 181-182.

Vote l'arrestation des députés désignés par la commune. 183.

Renouvelle tous les comités après le 31 mai. 194.

Rend d'énergiques décrets contre les départemens insurgés. 204-205.

Moyens qu'elle emploie contre les ennemis du dehors et contre les

fédéralistes. 240-241.

Elle décrète la constitution de l'an II. 242-243.

Le 7 août 93 la convention admet les commissaires des départemens et

les embrasse en signe de réconciliation. 246 et suiv.

Elle décrète la levée en masse. 261-262.

Décrets contre la Vendée, les suspects, les étrangers et contre les

Bourbons. 288-391-394-395.

Elle institue le gouvernement révolutionnaire. V, 56-57.

Mesures qu'elle prend pour la guerre de la Vendée. 66-68.

Débats relatifs à l'arrestation de Danton. 389 et suiv.

Elle décrète la mise en accusation de Desmoulins, Danton et autres.

394.

Laisse tout faire aux comités. VI, 88-96.

Commencement d'opposition contre Robespierre et les chefs du comité

de salut public. 113-122 et suiv.

Plusieurs membres se liguent contre les triumvirs. Dangers qui les

menacent. 158-160.

Séance du 9 thermidor. 203-211.

Suite de la séance. 217 et suiv.

Rapport de la loi du 22 prairial. 240.

Débats relatifs à l'élargissement des suspects. 247 et suiv.

Discussions au sujet de l'accusation portée par Lecointre (de

Versailles). 281 et suiv.

Elle ordonne qu'il lui sera fait un rapport général sur l'état de la

république. 291-292.

Séance du 20 septembre 1794. Rapport de Robert Lindet. 293 et suiv.

Elle rend plusieurs décrets relatifs au commerce. 297 et suiv.

Débats relatifs aux sociétés populaires. 346 et suiv.

Vive discussion sur le même sujet. Un décret est rendu. 351-357.

Querelles entre les thermidoriens et les membres de l'ancien

gouvernement. 360 et suiv.

Elle prend diverses mesures financières et politiques pour remédier à

l'état fâcheux des affaires après la terreur. 364 et suiv.

Décret réglant les formalités à remplir pour accuser un membre de la

convention. 371-372.

Querelles suscitées par les menaces de Billaud-Varennes aux jacobins.

376 et suiv.

Scènes violentes au sujet des événemens du 19 brumaire 1794,

383-386 et suiv.

Elle rappelle dans son sein plusieurs députés proscrits. Scène violente

à ce sujet. VII, 77 et suiv.

Séances orageuses au sujet de la mise en accusation des anciens

membres du comité de salut public, Carnot, Collot-d'Herbois, etc. 96 et

suiv.

Le 7 germinal, une troupe de femmes furieuses envahit la convention en

demandant du pain. 102 et suiv.

Journée du 12 germinal. Dangers de la Convention. Décret de

déportation contre Billaud-Varennes, Collot-d'Herbois, Barrère, etc.

Désarmement des patriotes. 108-116 et suiv.

Elle prend diverses mesures pour comprimer la réaction royaliste

amenée par le 9 thermidor. Questions financières. 184-185 et suiv.

Le lieu de ses séances est envahi le 1er prairial an III. Scènes

diverses, etc. (Voy. Prairial.) Elle ordonne l'arrestation de

plusieurs députés montagnards. 204-207-221 et suiv.

Scène funèbre à l'occasion de la mort de Féraud. 256 et suiv.

Elle décrète la constitution de l'an III. 332-337.

Décrète que les deux tiers de ses membres feront partie du nouveau

corps législatif, et que les assemblées électorales feraient le choix.

338. (Voy. Décrets.)

Décret indiquant l'époque des assemblées primaires et électorales pour

l'élection des nouveaux représentans. 347.

Elle se déclare en permanence le 12 vendémiaire. Attaquée par les

sections le 13, elle sort victorieuse. 355-370.

Dernière lutte entre les partis de la convention après le 13

vendémiaire. La convention déclare que sa session est terminée.

379-385.

Récapitulation des principaux actes de cette assemblée. Réflexions.

385-388.

CORDAY (Charlotte). Son histoire. Ses opinions républicaines. Son

enthousiasme pour les girondins. Dévouement. IV, 260-262.

Elle choisit Marat pour but de son dévouement, comme chef des

anarchistes. 262.

Le 13 juillet, elle se présente chez lui, etc. Elle tue Marat. 264-266.

On répand que ce sont les girondins qui l'ont armée. 266.

Détails de son procès. Son interrogatoire. Condamnation. Lettre à

Barbaroux. Son supplice. 269-272.

CORDELIERS. Le club de ce nom rivalise de violence avec celui des

jacobins. II, 14.

Ils projettent une insurrection contre la Convention. IV, 120.

CORMATIN (Desotteux, baron de). Aventurier laissé par Puysaye en

Bretagne, en qualité de major-général dans les provinces révoltées.

VII, 34-35.

Ses intrigues politiques. 225 et suiv.

Il travaille à la pacification générale. 140 et suiv.

Son rôle dans les négociations avec la Vendée. 144 et suiv.

Il engage les chefs chouans de la Bretagne à se soumettre, et signe la

paix. Son entrée à Rennes. 159-161.

Suite de ses manoeuvres en Bretagne. 265 et suiv.

Il est arrêté par ordre de Hoche et mis en prison. 268-269.

Est déporté. VIII, 51.

CORPS LÉGISLATIF. Son organisation dans les deux conseils après les

élections de l'an V. IX, 153 et suiv.

CÔTÉ DROIT. Ce que c'était. Qui sont les hommes qui le composaient

dans l'assemblée législative. II, 10-11.

Parti qui l'occupait dans la convention. III, 45.

COUR (La). Elle presse la convocation des états-généraux, et fixe leur

ouverture au 1er mai 1789. I. 23.

Fait approcher des troupes de Paris. 82-83.

Projette de conduire le roi à Metz. 159.

Sa conduite inhabile et imprudente. 201 et suiv.

Ses plans de contre-révolution. 206-207.

COUTHON. Ses paroles à la tribune le 31 mai. IV, 182.

Est nommé membre du comité de salut public. 296.

Est envoyé en Auvergne par la convention pour soulever les populations

contre Lyon. V, 85.

Sa conduite au siége de cette ville. 88 et suiv.

S'unit étroitement avec Robespierre et Saint-Just. VI, 111.

Défend à la tribune les actes du comité. 125.

Demande, de concert avec Robespierre, le sacrifice d'un grand nombre

de députés. Dément à la tribune le projet qu'on leur suppose contre

soixante membres de la Convention. 133-134.

Ses paroles aux Jacobins. 185.

Réclame et obtient l'impression du discours prononcé à la tribune par

Robespierre, le 8 thermidor. 194.

Sa proposition aux Jacobins. 198.

Est décrété d'arrestation le 9 thermidor. 210.

Est mis hors la loi avec ses complices. 219.

Son supplice. 227-228.

CULTE. L'ancien culte est aboli. Le culte de la Raison est

institué. Détails à ce sujet. V, 197-199-200-203 et suiv.

La commune modifie son arrêté sur le culte. Le culte de la Raison

est aboli. 230.

Le comité de salut public songe à l'établissement d'une religion.

Réflexions à ce sujet. VI, 17-21.

Reconnaissance de l'Être-Suprême. 29 et suiv.

La restitution des églises est accordée aux catholiques. VII, 249.

CUSTINES. Nommé général de l'armée du Nord. IV, 103.

Il est battu en mai 93. 220-221.

Détails de son procès. Il est condamné à mort et exécuté. V,

69-72-77-78.

DAMPIERRE. Est nommé commandant en chef de l'armée du Nord après

la défection de Dumouriez. IV, 43-44.

DANTON. Principal orateur de la multitude. II, 202-203.

Son caractère et ses moyens d'influence sur la multitude. 204.

Le 10 août, il excite le peuple à l'insurrection. 235.

Il est un des acteurs du 10 août. 262.

Est nommé ministre de la justice. 264.

Exposition de ses plans après le 10 août. 273.

Sa prépondérance dans le conseil exécutif et son influence à Paris.

303 et suiv.

Résolu d'empêcher toute translation au-delà de la Loire. 304.

Résolu de périr dans la capitale, mais en exterminant d'abord ses

ennemis. Ibid.

Il veut faire peur aux royalistes. 309.

A la nouvelle de la prise de Verdun, il fait décréter que l'on

sonnera le tocsin. 312-313.

Il est nommé député à la Convention. III, 9.

Fait diverses motions à la convention. 32-33.

Quitte le ministère sur la décision que les ministres ne seront plus

pris dans le sein de la convention. 50.

Propose et fait adopter une levée de 30,000 hommes à Paris. 330.

Excuse Dumouriez à la Convention. IV, 21-22.

Propose de former deux armées, de sans-culottes, l'une pour Paris,

l'autre pour la Vendée. 99.

On le croit l'auteur caché du mouvement contre les girondins.

Sa conversation avec Meilhan. Réflexions sur son caractère. 143 et

suiv.

Ses paroles à la convention le 31 mai. 153 et suiv.

Détails sur son caractère politique. Il commence à perdre sa

popularité; il attire les défiances sur son caractère. 284 et suiv.

Refuse de faire partie du comité de salut public. V, 64-66.

Retourne à Paris; soupçonné par les révolutionnaires ardens. 210-211.

Essaie de se justifier aux Jacobins. 222 et suiv.

Devient l'objet de la haine des membres du comité de salut public.

383-386.

Il est arrêté. Suites de son arrestation. 388-389.

Débats à la convention relatifs à son arrestation. 389 et suiv.

Décrété de mise en accusation. Scènes au Luxembourg avec ses amis

prisonniers. 394 et suiv.

Il est transféré à la Conciergerie avec ses amis. 395 et suiv.

Détails de son procès et sa mort. 394-412.

DANTONISTES. Lutte des dantonistes et des hébertistes. V, 394-412.

DAVID. Ordonnateur de la fête anniversaire du 10 août, IV, 353-354.

Il boira la ciguë avec Robespierre. VI, 198.

Il est arrêté. VII, 235.

DÉCRETS (des 5 et 13 fructidor an III) soulèvent divers partis contre

la convention. Mouvement dans les sections. VII, 338-339.

DELESSART. Ce ministre est accusé par Brissot et Vergniaud. II, 55-S6.

D'ENTRAIGUES (Le comte). Il est arrêté. Ses papiers et ses révélations à

Bonaparte dévoilent les projets des royalistes. IX, 182-183.

DÉPARTEMENS. Division de la France en départemens. I, 190.

Divers départemens lèvent des hommes pour l'exécution du décret du

camp de 20,000 hommes. II, 156.

Opinion de divers départemens sur la marche du gouvernement et les

divisions de la convention. Ce qui s'y passa. IV, 72 et suiv.

Plusieurs départemens lèvent des hommes contre les Vendéens. 95.

Presque tous sont près de prendre les armes contre la convention après

le 31 mai. 196 et suiv.

Mesures qu'on y prend dans ce but. 197-199.

Suite du même sujet. 206 et suiv.

Nouveaux détails sur l'insurrection. 222-223.

Plusieurs départemens se désistent de l'insurrection. Échecs des

fédéralistes. 246-249.

Ils sont presque tous soumis. 259-260.

DÉPUTATION. Liste des membres de la députation de Paris à la

convention. III, 9-10.

DÉPUTÉS. Les députés décrétés d'arrestation après le 31 mai, se

répandent dans les départemens. IV, 198-199.

DÉSARMEMENT de tous les citoyens suspects. IV, 25.

DÉSERTION. Lois sur la désertion. VIII, 45-46.

DESÈZE. Adjoint à la défense de Louis XVI. III, 219-220.

Sa plaidoirie pour Louis XVI. 220 et suiv.

DESMOULINS (Camille). Il ameute le peuple au Palais-Royal. I, 86-87.

Son influence au Palais-Royal. 144-145.

Il présente une pétition très hardie. II, 31.

Nommé député à la convention par les électeurs de Paris. III, 9.

Passe pour un modéré. IV, 286.

Censure le comité de salut public dans un pamphlet, et prend la

défense du général Dillon, en disant des vérités à tout le monde.

287-288.

Se justifie aux Jacobins et n'est pas exclu de la Société. V, 228-229.

Il fait son journal, le Vieux Cordelier. 307-308.

Il présente sa défense dans ce journal. 321 et suiv.

Il est accusé aux jacobins. 333 et suiv.

Continue à attaquer ses adversaires dans son journal. 351-355 et suiv.

Il est arrêté. 388-389.

Détails de son procès. Sa condamnation et son supplice. 394-398-411.

D'ESPRÉMÉNIL. Son caractère. I, 15.

Il dénonce au parlement un projet ministériel qui tendait à

restreindre sa juridiction, 19-20.

Il est arrêté en plein parlement. 22.

Il propose de faire décréter le tiers-état. 70.

Hué et poursuivi sur la terrasse des Feuillans. II, 214-215.

D'ESTAING. Commandant de la garde nationale de Versailles. Son

caractère. Sa lettre à la reine. I, 160.

DETTE PUBLIQUE. Le remboursement des deux tiers de la dette est

décrété par les conseils, après le 18 fructidor. IX, 504-509.

DILLON. Son projet de retraite. II, 341.

DÎMES. Discussions relatives à l'abolition des dîmes. I, 130 et suiv.

L'abolition est décrétée. 132.

DIRECTOIRE. Pouvoir exécutif créé par la constitution de l'an III, VII,

335.

Nomination des cinq directeurs. Détails à ce sujet. VIII, 7-9-11.

Situation dangereuse du directoire au commencement de son

administration. 12 et suiv.

Prend diverses mesures pour remédier à la disette et aux malheurs

financiers. 13-15 et suiv.

Il est chargé de la nomination aux fonctions publiques. 47-48.

Manière dont il use de son pouvoir et dont les directeurs se le

partagent. 48 et suiv.

Continuation de ses travaux administratifs. VIII, 82 et suiv.

Ses plans militaires. 123 et suiv.

Il négocie avec l'Angleterre. 340 et suiv.

Suite. 356 et suiv.

Il envoie Clarke en mission à Vienne. 359.

Rompt les négociations commencées avec le cabinet anglais. 390.

Son message aux conseils le 25 frimaire. 398 et suiv.

Caractère des cinq directeurs; leurs divisions entre eux. IX, 2 et

suiv.

Situation du gouvernement dans l'hiver de l'an V. 1-17.

Discussions relatives au tirage au sort du nouveau directeur pour

l'an V. 150-151 et suiv.

Sa lutte avec les conseils après les élections de l'an V, d'où résulte

le coup d'état du 18 fructidor. 158 et suiv.

Il commence à redouter un vaste complot d'après l'arrestation du comte

d'Entraigues. 182-183 et suiv.

Division des cinq directeurs au moment de leur lutte avec les factieux

des conseils. 184 et suiv.

Trois membres, Larévellière, Rewbell et Barras, prennent la résolution

de faire un coup d'état. 185-188 et suiv.

Leurs moyens d'appui pour ce projet, dans les patriotes de Paris.

188 et suiv.; dans les armées. 190.

Dispositions politiques de celle d'Italie. 191 et suiv.;

de celle du Rhin 194 et suiv.;

de celle de Sambre-et-Meuse. 195 et suiv.

Résistance des directeurs contre l'opposition des clichyens au sujet

de la réorganisation du ministère. 200 et suiv.

Son embarras sur la décision à prendre au sujet des négociations

commencées avec l'Angleterre et l'Autriche, 242 et suiv.

Ses périls augmentent par l'opposition des conseils. Il prend des

mesures pour réunir à Paris la force armée. 246 et suiv.

Répond d'une manière énergique aux réclamations des conseils au sujet

de la marche de Hoche. 250 et suiv.

Trois des directeurs font les préparatifs du coup d'état du 18

fructidor. 270-272 et suiv.

Ils se réunissent chez Rewbell avec les ministres, en attendant le

résultat de la journée. Leur plan. 273-274 et suiv.

Exécution de ce plan le 18 fructidor. 275 et suiv.

Il fait rendre aux conseils plusieurs lois qui lui restituent une

puissance révolutionnaire. Journée du 18 fructidor. 282-285 et suiv.

Réformes qu'il introduit dans l'administration. Deux nouveaux

directeurs sont nommés à la place des déportés. 294 et suiv.

Il destitue Moreau de son commandement. 296-297.

Projette une descente en Angleterre. 360 et suiv.

Déclare prendre les Vaudois sous sa protection, et envoie une armée en

Suisse. 393 et suiv.

Ses dispositions pour remédier aux désordres des républiques

italiennes. X, 87-88 et suiv.

Il propose et fait décréter la loi sur la conscription. 98-101. (Voyez

Conscription.)

Ses moyens et ses plans de guerre pour la campagne de 1793. 123 et

suiv.

Ses dispositions pour s'opposer à la spoliation des pays alliés en

Italie. 126 et suiv.

Suite de ses plans pour la guerre. 132-134 et suiv.

Généraux qu'il nomme. 138 et suiv.

Accusations dont il est l'objet après nos premiers revers en 1759.

Raisons qui le justifient. 172-175 et suiv.

Nomination de Sièyes à la place de Rewbell. 187.

Tous les partis se réunissent contre lui après nos défaites en Italie.

(An VII.) 220 et suiv.

Division entre les directeurs. 223-224.

Révolution du 30 prairial. Destruction de l'ancien directoire.

Treilhard, Larévellière et Merlin en sortent. 228-232-238.

Formation du nouveau directoire. 239 et suiv.

Ses premiers actes. 242 et suiv.

Mesures prises par les conseils pour lui donner une nouvelle force.

245-250.

Ses plans de guerre. 251 et suiv.

Sa lutte avec les patriotes. (Voyez Patriotes.)

DISETTE. Désordre qu'elle amène le 4 octobre. I, 165-166.

Après la seconde loi du maximum la disette continue. Mesures

que prend la commune pour y pourvoir. Désordres. V, 344-348 et suiv.

Pendant l'affreux hiver de 1795 les grains et les bois de chauffage

manquent à Paris. VII, 51 et suiv.

Suite du même sujet. 73 et suiv.

Les habitans de Paris sont mis à la ration. Violentes scènes et

soulèvemens populaires. 79 et suiv.

DIX AOÛT. II, 234 et suiv.

DROITS FÉODAUX. Ils sont abolis. I, 125-126 et suiv.

Difficultés et discussion qu'entraîné la proposition de leur

abolition. 128-129.

DROITS DE L'HOMME. Déclaration des droits de l'homme, I, 136 et suiv.

DROUET. Reconnaît le roi à Sainte-Menehould et le fait arrêter à

Varennes. I. 285-286.

DUBOIS DE CRANCÉ. Il remplace Bernadotte au ministère de la guerre.

X, 281.

DUCHASTEL. Malade, vote dans le procès de Louis XVI, pour le

bannissement. III, 254.

DUCHÊNE (Le père). Journal rédigé par Hébert. IV, 425.

DUMOURIEZ. Son caractère. Ses plans militaires. Il est nommé ministre.

II, 58 et suiv.

Il prend le bonnet rouge en arrivant au ministère. 60.

Son entrevue avec la reine. 65 et suiv.

Extrait de ses mémoires, Ibid.

Il devient suspect à la Gironde et est soupçonné de dilapidations.

82-85.

Conseille au roi de sanctionner deux décrets. 91.

Sa fermeté dans l'assemblée nationale. 104-105.

Il donne sa démission. 105-106.

Est nommé général en chef des armées du Nord et du Centre. 291.

Cherche à s'opposer à l'invasion des Prussiens. 297.

Son plan de campagne contre les Prussiens. 341 et suiv.

Commencement d'exécution de son plan. Les Thermopyles de la

France. 345 et suiv.

Nouvelles dispositions qu'il prend après les affaires de l'Argonne.

356 et suiv.

Il écrit à l'assemblée nationale. 359.

Ses dispositions après la retraite des Prussiens. 373 et suiv.

Conjectures sur sa mollesse après avoir sauvé le territoire. 375-376.

Il se rend à Paris, à la convention et aux Jacobins. III, 69-73-75.

Est fêté par les artistes, et reçoit la visite de Marat. 76-78-79.

Repart pour l'armée. 81.

Ses plans militaires. 109 et suiv.

Il gagne la bataille de Jemmapes. 116-120.

Ses projets politiques sur la Belgique. 123 et suiv.

Suite de ses actes militaires et administratifs. 125 et suiv. 129.

Il se plaint vivement du nouveau mode d'administration des vivres.

134 et suiv.

Suite de sa campagne en Belgique; ses succès et ses fautes. 138 et

suiv.

Son plan de campagne et commencement d'exécution. 298 et suiv.

Il fait arrêter des agens du pouvoir exécutif. Ses menaces contre le

gouvernement. 328-329.

Il écrit une lettre audacieuse à la Convention. Suite de ses actes

militaires. IV, 2.

Il négocie avec l'ennemi. 13.

Ses projets politiques. 14-16.

Son traité avec l'ennemi. 18 et suiv.

Il dévoile entièrement ses projets politiques. 27 et suiv.

Est mandé à la barre de la convention. 31.

Six volontaires font sur Dumouriez une tentative d'arrestation. 32-33.

Plusieurs de ses projets échouent. 33.

Il fait arrêter quatre députés de la Convention. 34-35.

Sa tête est mise à prix. Troubles à Paris. 36-37.

Il est abandonné par ses troupes, et se retire en Suisse. 39-42.

Considérations sur son caractère et son rôle politique. 42-43.

DUPORT. Son caractère. I, 15.

DUPORTAIL. Ministre de la guerre. Désigné par Lafayette. I, 251.

DUVERNE DE PRESLE. (Voy. Royalistes.)

EDGEWORTH DE FIRMONT. Confesseur de Louis XVI. III, 263.

Ses paroles sur l'échafaud. 270.

ÉGYPTE. Projet d'une expédition en Égypte proposé par Bonaparte au

directoire. Préparatifs secrets. IX, 408-414-419.

État de l'escadre destinée à porter les troupes. X, 1-3.

Route de Toulon à Alexandrie. Prise de Malte. 4-8.

Entrée à Alexandrie. 12-13.

Description de l'Égypte. Sa géographie. Ses habitans. 13-22.

Route dans le désert d'Alexandrie au Caire. Mécontentement des

soldats.

Combat sur le fleuve et sur terre contre Mourad-Bey. Dispositions de

l'ennemi près du Caire. 28-31-36.

Bataille des Pyramides. 36-41.

Fondation de l'Institut d'Égypte. Ses travaux. 48-50.

Bataille navale d'Aboukir. Destruction de notre escadre. 51-57.

Conquête de la Haute-Égypte par Desaix. Bataille de Sédiman.

286-288.

Expédition en Syrie par Bonaparte. Prise du fort d'El-Arisch et Gaza.

290-291 et suiv.

Commencement du siége de Saint-Jean-d'Acre. Bataille du

Mont-Thabor. 292-297.

Retour de l'armée en Égypte. Bataille d'Aboukir. 300-306-310.

ELBÉE (d'). Chef vendéen. IV, 90.

Il est tué à Cholet. V, 121-124.

ÉLECTEURS. Réunis à l'Hôtel-de-Ville, ils livrent des armes au peuple.

I, 87.

Ordonnent la convocation des districts. 88.

Composent une municipalité. Ibid.

Composent une milice bourgeoise de 48,000 hommes. 88-89.

Un électeur distribue au peuple des bateaux de poudre. 90.

Les électeurs se partagent en divers comités. I, 108.

ÉLECTIONS. Elles se font à Paris et dans les provinces. I, 37.

Travaux de l'assemblée nationale sur les élections. 191-192.

—Mouvemens à Paris et en France à l'époque des élections de la

convention. III, 8 et suiv.

—Préparatifs des élections de l'an IV. Effervescence des partis. IX,

33-36.

—De l'an V. 146 et suiv.

—De l'an VI. 404 et suiv.

—De l'an VII. X, 183.

ÉMIGRATION. Prend une attitude inquiétante. I, 263-264.

Loi portée sur l'émigration. 268-269.

ÉMIGRÉS. Époque où l'émigration commence à devenir considérable.

I, 178.

Ils lèvent des corps au nom du roi. 295.

Se préparent obstinément à la guerre à Coblentz. Leur connivence

avec la cour. II, 20-21 et suiv.

Leurs manoeuvres sont dénoncées à l'assemblée législative. 33 et suiv.

Débats dans les conseils sur la loi de la convention relative aux

biens des émigrés. VIII, 89-90

EMPRUNT FORCÉ. Mesures avisées pour son recouvrement. IV, 377

et suiv.

Un nouvel emprunt forcé est proposé par le directoire et décrété. Mode

de cet emprunt; ses effets. VIII, 41-42 et suiv.

Il est fermé, 401.

Un nouvel emprunt forcé est établi après la révolution de prairial. X,

246.

ÉPAULETIERS (les). Ce que c'était. V, 318.

ESPAGNE. La paix est signée avec cette puissance. VII, 318-319.

Traité d'alliance offensive et défensive avec la France. VIII, 263-264.

ÉTATS-GÉNÉRAUX. Provoqués par un jeu de mots. I, 14.

Renvoyés à cinq ans. 17.

Convoqués. 23.

Leur ouverture. 44.

ÉTRANGERS. Ils sont décrétés d'arrestation. IV, 394.

ÊTRE-SUPRÊME. Fête à l'Être-Suprême, le 8 juin 1794. Description et

détails. VI, 115-118.

ETTLINGEN. (Voy. Rastadt.)

EUROPE. Situation politique de l'Europe et état des puissances

étrangères au commencement de 1790. I, 215, 216 et suiv.

Dispositions des souverains de l'Europe à l'égard de la France, après

la fuite du roi à Varennes. 295-296.

—Dispositions des souverains étrangers à l'égard de la France. II,

18-19.

—Projets des puissances étrangères à l'égard de la France après le 10

août. II, 292 et suiv.

—Dispositions des puissances étrangères après le 21 janvier. III, 271

et suiv.

Réflexions sur la politique de l'Europe. 280 et suiv.

—État de l'Europe au commencement de 1794. VI, 34 et suiv.

—Situation des états de l'Europe après la campagne de 1795. VIII, 122

et suiv.

—État de l'Europe en 1795. IX, 36 et suiv.

—Mouvement dans les diverses cours, pour former une nouvelle

coalition contre la France. X, 62 et suiv.

ÉVÊCHÉ. Réunion de ce nom. Son but. IV, 47-48.

Il s'y tient une assemblée. 138.

On y nomme une commission de six membres chargés de trouver des

moyens de salut public. 139.

On y délibère sur une insurrection. 141-142.

Les commissaires des sections s'y réunissent le 30 mai. 145.

Ce comité d'insurrection est dénoncé après le 31 mai. 195.

EXÉCUTIONS. Grandes exécutions des détenus, en juin 1794. VI,

134-138 et suiv.

Commandées à Nantes par Carrier. 144-148;

à Lyon, à Toulon, à Orange, à Bordeaux, à Marseille, par Fréron, Barras

et Maignet. 148-149;

dans le Nord, par Lebon. 149 et suiv.

Ressentiment et indignation que la terreur fait naître. 153.

FAVORITE. Bataille de ce nom devant Mantoue. VIII, 424-425.

FAVRAS (le marquis de). Il est soupçonné de comploter contre

l'assemblée.

Il est regardé comme l'agent de Monsieur. Son procès. I, 195 et suiv.

Il est condamné à être pendu. Sa mort, 203-204.

FÉDÉRALISME. Origine de ce mot. III, 17-18.

FÉDÉRATION. Une fédération générale de la France est décidée à la

municipalité. I, 234.

La réunion générale des fédérés a lieu au Champ-de-Mars. 237 et suiv.

Description de la fête. Ibid.

Seconde fête de la fédération. II, 184 et suiv.

FÉRAUD. Ce député est assassiné au sein même de la convention par les

révoltés du 1er prairial. VII, 209-211.

Son assassin est arraché au supplice par les patriotes. Suite de cet

événement. 229 et suiv.

Honneurs que la convention rend à sa mémoire. Séance funèbre. Son

éloge est prononcé par Louvet. 236 et suiv.

FEUILLANS. Origine du club de ce nom. I, 213.

Le club des feuillans opposé aux jacobins. II, 13-14.

Faiblesse de ce parti. 109 et suiv.

FÉVRIER (25) 1793. On pille les boutiques de quelques épiciers. IV, 313

et suiv.

FINANCES. État malheureux des finances. I, 226 et suiv.

État des finances en 93. Mesures prises pour remédier à leur désordre.

IV, 369 et suiv. 383.

État des finances à la fin de 93. V, 180 et suiv.

État et organisation des finances au commencement de 1794. VI,

88-90 et suiv.

État des finances après le 9 thermidor. 270 et suiv.

Détresse financière et commerciale en 1795. Diverses mesures prises

par la convention pour y remédier. VII, 59-66 et suiv.

Embarras des finances à l'avènement du directoire (1795). VII, 13 et

suiv.

Nouveaux détails sur les assignats. Création des mandats. Réflexions

sur diverses questions des finances. 106 et suiv.

Plan de finances pour l'an V. 400 et suiv.

Coup d'oeil sur les finances en l'an V. Projets de l'opposition pour

entraver le directoire dans ses moyens de pourvoir aux besoins du

trésor public. IX, 165 et suiv.

Le conseil des cinq-cents décrète diverses mesures favorable à ce

projet. Les anciens les rejettent. 172-173.

Mesures financières provoquées par le directoire, après le 18 fructidor.

Remboursement des deux tiers de la dette. 303-309.

Finances de l'an VII. X, 96 et suiv. 101-102.

Moyens employés pour fournir aux dépenses, prochaines de la

campagne de 1799. 130-131.

FLESSELLES (Le prévôt). Il promet au peuple 12,000 fusils. I, 89-90.

Est accusé de trahison, traîné au Palais-Royal et tué d'un coup de

pistolet. 98-99.

FLEURUS. Victoire de ce nom. Événemens militaires avant et après la

bataille. VI, 169-175 et suiv.

FOUCHÉ. Envoyé en l'an VI à Milan par le directoire. X, 92-93.

Nommé ministre de la police. 272.

Se tourne du côté de Bonaparte. 354-355.

Il tait la conjuration aux directeurs. 359.

FOULON et BERTHIER. Ils sont tués par le peuple malgré l'opposition de

Lafayette. I, 113-114.

FOUQUIER-TINVILLE. Idées sanguinaires de cet accusateur public. VI,

137-138 et suiv.

Il est mis en accusation. 240.

FRANCE. Situation politique et morale de la France sous Louis XVI et à

l'époque de la révolution. I, 3 et suiv., 33 et suiv.

Troubles et désordres en France après le 14 juillet. 122-123.

État alarmant de la France en août 1789. 133 et suiv.

État des esprits et situation politique au commencement de l'année

1790. 192 et suiv.

Troubles dans le Midi, en avril 1790. 212.

Situation intérieure, les premiers mois de 1794. VI, 83 et suiv.

État intérieur de la république dans l'été de 1796. VIII, 242 et suiv.

Situation intérieure et rapports politiques avec l'Europe, après la

retraite de nos armées d'Allemagne. 330 et suiv.

Rapports de la France avec le continent en l'an VI. IX, 371 et suiv.

Sa situation intérieure dans l'hiver de l'an VI. 400 et suiv.

FRÉDÉRIC-GUILLAUME. Sa ligue anglo-prussienne. I, 216.

FRUCTIDOR (18). Journée de ce nom. Principaux détails des événemens.

IX, 270-287.

Augereau s'empare des Tuileries. 275-278.

Les conseils sont repoussés du lieu de leurs séances. 280.

Les conseils se forment de nouveau, et rendent tous les décrets que

demande le directoire. Des députés et deux directeurs sont condamnés

à la déportation. 280-288.

Nécessité de ce coup d'état. Ses conséquences. 291 et suiv.

GARAT. Il cherche à rassurer la convention sur ses craintes. Son

discours IV, 130 et suiv.

GARDES-DU-CORPS. Ils donnent un repas aux officiers de la garnison à

Versailles. Suite de cette fête. I, 162 et suiv.

GARDE-MEUBLE. Il est volé. Bruits qui coururent sur ce vol et sa

destination. III, 6-7.

GARDE NATIONALE. La milice bourgeoise prend le nom de garde

nationale, et adopte la cocarde tricolore. I, 109-110.

Débats au conseil des cinq-cents sur une nouvelle organisation de la

garde nationale. IX, 276 et suiv.

GÊNES. Paix avec cette république. VIII, 348.

GENSONNÉ. Son rapport à l'assemblée législative sur les troubles de

l'Ouest. II, 26-27.

GEORGES (Saint-). Voy Bassano.

GERLE (dom.) Chartreux, propose de déclarer la religion catholique la

seule religion de l'État. I, 208.

Il retire sa proposition. 209.

GERMINAL (journée du 12). Les patriotes envahissent la convention. Ils en

sont chassés, et ensuite désarmés en exécution d'un décret. VII,

106-124.

GIRONDINS. Origine de ce nom. Leur rôle dans l'assemblée législative.

II, 11-13.

Ils dominent dans le ministère. 62-82.

Accusations dont ils sont l'objet, 302 et suiv.

Leur position à la convention. III, 19 et suiv.

Portraits de plusieurs d'entre eux. 12 et suiv.

Sont accusés de fédéralisme, et de vouloir sacrifier Paris. 17-19.

Essai de rapprochement et rupture. 21-22.

Embarras et fâcheuse position des girondins après le 25 février. 320 et

suiv.

Menacés le 31 mai, se rendent tous armés à la convention. IV, 147.

Se réunissent le 1er juin pour se concerter. 171-172.

Sont mis en état d'arrestation. 189-190.

Plusieurs sont envoyés devant le tribunal révolutionnaire, et d'autres

sont mis en état d'arrestation. V, 78-79.

Circonstances de leur procès. Un décret de circonstance leur ôte la

parole. 152-163.

Ils sont condamnés et exécutés. 164-167.

GOHIER. Nommé directeur à la place de Treilhard. X, 232.

Représentant des patriotes et président du directoire. 337-338.

Il complimente Bonaparte à son retour d'Égypte. 338.

Sa femme est liée avec Joséphine Bonaparte. 346.

Il est sondé par Bonaparte, qui voudrait être directeur, et qui n'a

pas l'âge nécessaire. 348.

Altercation avec Bonaparte. 371-372.

GORSAS. Son arrestation. III, 305.

GOUVERNEMENT RÉVOLUTIONNAIRE. Effets des lois révolutionnaires.

V, 128 et suiv.

GRANGENEUVE. Sa proposition à Chabot. II, 191-192.

GRAND-LIVRE DE LA DETTE PUBLIQUE. Comment il fut institué en 93.

Ses avantages financiers. IV, 371 et suiv.

GRÉGOIRE (l'abbé). Se présente aux communes. I, 55.

GRENELLE. La poudrière de Grenelle prend feu. VI, 290.

Les patriotes attaquent le camp de Grenelle. VIII, 259 et suiv.

GUADET. Fait une application historique aux circonstances du moment.

IV, 109-110.

Propose la destitution des autorités de Paris, et le transfert de la

convention à Bourges. 112-113.

Son courage à la convention le 31 mai. 157-158.

GUERRE. Premières dispositions des armées. II, 76-78.

Échec du général Rochambeau. 78 et suiv.

État des affaires militaires âpres le 10 août. 283 et suiv.

Situation militaire de la France en octobre 1792, III, 55 et suiv.

Affaires militaires en octobre et novembre 1792. 109 et suiv.

Situation de nos armées sur le Rhin et aux Alpes à la fin de 1792. 142

et suiv.

Événemens militaires en Belgique. 289 et suiv.

Nos armées éprouvent plusieurs revers. 324 et suiv.

Dispositions de la convention pour trouver des hommes et de l'argent.

IV, 103 et suiv.

Situation militaire de la France en 93. 214 et suiv.

État de l'armée du Nord: ibid.;

de l'armée de la Moselle: 218;

du Rhin: ibid.;

d'Italie: 223-224;

des Pyrénées: 226 et suiv.;

de la Vendée. 229 et suiv.

Victoire en Espagne en juillet 93. 256-257.

Siége de Mayence. 309-320.

Siége de Valenciennes par les ennemis. 320-323.

Le camp de César est évacué par les Français. 351-352.

Mouvement des armées en août 1793. V, 1 et suiv.

État de l'armée du Rhin. 3-6.

Commencement du siége de Lyon 6-10.

Marche des troupes ennemies en août et septembre 1793. 21 et suiv.

Victoire de Hondschoote. 24-25.

Revers dans le Nord. 27-29.

Échec de l'armée des Pyrénées. 32 et suiv.

Organisation de l'armée de l'Ouest. 68.

L'armée des Alpes repousse les Sardes. 86-87.

Progrès de l'art de la guerre. Réflexions à ce sujet. 97 et suiv.

Suite des opérations militaires à a frontière du Nord. 101-107.

Victoire de Wattignies. 108-109.

Les lignes de Wissembourg sont prises par l'ennemi. 124 et suiv.

Jonction des armées du Rhin et de la Moselle. Les Autrichiens sont

chassés des frontières. 146-251.

Siége et prise de Toulon par les républicains. 252-261.

Réflexions sur cette campagne, et récapitulation des principaux faits.

292 et suiv.

Préparatifs en France, de 1793 à 1794, pour la levée, l'équipement et

l'armement des armées de terre et de mer. VI, 48-49.

Premiers événemens de la campagne de 1794 aux Pyrénées: 54-56:

aux Alpes et vers l'Italie: 56-60;

au Nord. 60-73.

Victoire de Turcoing. 71 et suiv.;

en Vendée: 74 et suiv.;

en Bretagne contre les chouans: 75-76;

aux colonies. Révoltes à Saint-Domingue. 76 et suiv.

Sur mer, combat du 13 prairial an II, destruction du vaisseau

le Vengeur. 78-82.

Reprise des opérations militaires en août 1794. 166 et suiv.

Victoire de Fleurus. Événemens militaires avant et après la bataille.

169-175.

Reprise de Condé, Valenciennes, Landrecies et le Quesnoy. 301-304.

Mouvemens de l'armée du Nord.

Bataille de l'Ourthe. 306-308.

Bataille de la Roër. 309 et suiv.

Passage de la Meuse par Pichegru. 315 et suiv.

Mouvemens et succès des armées de la Moselle et du Haut-Rhin,

commandées par Michaud. 317-318.

Situation de l'armée des Alpes et des Pyrénées. 318-320.

Suite de la guerre de la Vendée. 320 et suiv.

Situation de l'armée en Belgique à la fin de 1794. Prise de Nimègue.

VII, 1-7.

Projets pour la conquête de la Hollande. 7 et suiv.

Notre armée se répand en Hollande par divers points, et occupe tout

le pays. 20 et suiv.

Suite des opérations militaires en Espagne, en Catalogue et aux

Pyrénées. 27-29.

État des armées après les événemens de prairial an III. 253 et suiv.

Opérations de Jourdan, de Moreau, de Pichegru et de Kléber dans le

Nord. 253-254.

Situation de l'armée des Alpes sous Kellermann. 255 et suiv.

Position militaire en Espagne. 257.

Expédition de Quiberon. (Voy. Quiberon). 269-311.

Passage du Rhin par Jourdan et Pichegru. 320 et suiv.

Marche rétrograde de l'armée de Sambre-et-Meuse. 377-378.

Jourdan repasse le Rhin. VIII, 19.

Perte des lignes de Mayence. 20-22.

Situation des armées du Rhin, des Alpes et des Pyrénées vers la fin

de l'an IV. 55 et suiv.

Détails de la bataille de Loano. 58-61.

Expédition de l'Ile-Dieu. 62 et suiv.

Réflexions sur la campagne de 1795. 76.

Campagne de 1796. 140-241-278-326.

État de l'armée d'Italie au commencement de la campagne de 1796.

141 et suiv.

Conquête du Piémont. 141-161.

Conquête de la Lombardie. 173 et suiv.

Bataille de Lodi. 178 et suiv.

Passage du Mincio. 198-200.

Entrée des Français dans les États-Romains et en Toscane. 214-217.

Suite de la guerre sur le Danube et sur le Rhin. 218-219 et suiv.

Passage du Rhin par Moreau, et suite des opérations militaires. 226 et

suiv.

Batailles de Rastadt et d'Ettlingen. 230 et suiv.

État de nos armées en Allemagne et en Italie en août 1796. 241.

Reprise des hostilités en Italie. État de notre armée. 272.

Notre ligne sur l'Adige est forcée. 278-279.

Bataille de Lonato. 283-286.

Bataille de Castiglione. 288 et suiv.

Opérations sur le Danube. Bataille de Neresheim. 297-298.

L'armée de Sambre-de-Meuse est repoussée par l'archiduc. 300-301.

Suite de la guerre d'Italie. Bataille de Roveredo. 303-307.

Marche de Bonaparte sur la Brenta. Bataille de Bassano et de

Saint-Georges. 308-312-315.

Nouvel échec de l'armée de Sambre et Meuse a Wurtzbourg.

Retraite. 316-317 et suiv.

Retraite de Moreau. 321-326.

Extrême danger de l'armée d'Italie. Bataille d'Arcole.

355-364-367-370-395.

Expédition d'Irlande. 379.

Reddition du fort de Kelb. 404.

Reprise des hostilités en Italie. 405 et suiv.

Description du champ de bataille de Rivoli. Bataille de Rivoli.

411-414-423.

Bataille devant Mantoue ou de la Favorite. 424-425.

Prise de Mantoue. 425 et suiv.

Réflexions sur la campagne de 1796 en Italie. 428 et suiv.

Reprise de la campagne en l'an V. État de l'armée de

Sambre-et-Meuse: IX, 45 et suiv.; de l'armée du Haut-Rhin. 46-47.

L'armée d'Italie est renforcée. 47-48.

Nouvelle campagne contre l'Autriche. Passage du Tagliamento. 60-67.

Combat de Tarwis. 68-72.

Marche sur Vienne. 86 et suiv.

Passage du Rhin à Neuwied par Hoche, à Diersheim par Desaix. 103.

L'armée de Sambre-et-Meuse et celle du Rhin sont réunies en une

seule, et le commandement en est donné à Hoche. 298.

Expédition en Suisse, Brune s'empare de Berne. 395-398.

Expédition d'Égypte. (Voy. Égypte). Reprise des hostilités en

l'an VII. Une armée napolitaine envahit les États Romains. X, 109 et

suiv.

Manoeuvres de Championnet. Ibid. et suiv.

Les Napolitains sont battus. Championnet rentre dans Rome. 111-113.

Conquête du royaume de Naples. 113-119.

Campagne de 1799. État de nos forces militaires et plans de guerre.

122 et suiv., 132 et suiv., 135-137.

Invasion des Grisons par Masséna. 144-145.

Bataille de Stockach. Retraite de Jourdan. 149-153-157.

Distribution de nos armées en Italie. Forces ennemies. Premières

opérations de Schérer. Combats sanglans sous Vérone. 157-166.

Bataille de Magnano. Retraite de Schérer. 164-167.

Masséna réunit le commandement de l'armée du Danube et d'Helvétie,

et occupe la ligne de la Limmat. 189-192 et suiv.

Suite de la guerre en Italie. Arrivée de Suwarow. 193 et suiv.

Moreau remplace Schérer dans le commandement. Bataille de

Cassano. 195-197.

Retraite de Moreau au-delà du Pô et de l'Apennin. Détails de cette

belle opération. 197-204.

Combat sur la Limmat en Suisse (prairial an VII). 206 et suiv.

Essai de jonction entre l'armée de Naples et celle de Moreau. 210 et

suiv.

Bataille de la Trebbia. 213-215 et suiv.

Ses suites funestes. Retraite de Macdonald. 217-218.

Reprise de la campagne. Mouvemens de Masséna vers les

Grandes-Alpes (juillet 1799). 253-254.

Suite des affaires en Italie. 254 et suiv.

Joubert arrive à l'armée d'Italie pour remplacer Moreau. État de ses

forces. Bataille de Novi. 256-265.

Débarquement des Anglo-Russes en Hollande. Échec de Brune.

266-268.

Nouveau plan du conseil aulique. Description du théâtre de la guerre en

Suisse. Bataille de Zurich. 313 et suiv. 330.

Désastre et retraite de Suwarow en Suisse. 327-330.

Défaite des Anglo-Russes en Hollande par Brune. 330-331.

Fin de la campagne de 1799. Ses résultats heureux. 331-332.

HÉBERT. Journaliste. Il est arrêté. IV, 126.

Ses cruautés à l'égard des prisonniers du Temple. V, 144 et suiv.

Il est arrêté avec Ronsin, Vincent et autres. 371.

Son procès et sa mort. 374-377-378-379.

HÉBERTISTES. Lutte des hébertistes et des dantonistes. V.

301-324-379-416.

Manoeuvres et caractères de ce parti. 337-338 et suiv.

Plusieurs d'entre eux sont arrêtés. 371 et suiv.

Procès et supplice des principaux chefs. 374-379.

HELVÉTIQUE (République). (Voy. Suisse).

HENRIOT. Il est nommé commandant de la garde parisienne le 31 mai. IV,

148.

Fait tirer le canon d'alarme. 150.

Barre le passage à la convention le 2 juin. 181-182.

HÉRAULT-SÉCHELLES. Il est décrété de mise en accusation. V, 394.

Son procès et sa mort. 398-412.

HÉRÉDITÉ. L'hérédité du trône est votée. I, 150.

Discussions relatives à l'hérédité de la couronne. Ibid. et

suiv.

HOCHE. Est nommé général de l'armée de la Moselle. V, 97.

Sa manoeuvre dans les Vosges. 246-249.

Il est nommé commandant en chef des armées du Rhin et de la Moselle.

249.

Est remplacé dans son commandement par Pichegru, et jeté en prison

par ordre de Saint-Just. VI, 60.

Est élargi. 243.

Ses opérations militaires et politiques en Vendée (1795). VII, 37 et

suiv.

Suite de ses opérations en Bretagne. 149 et suiv.

Il cherche à déjouer les projets des royalistes en Bretagne. 267 et

suiv.

Est nommé commandant de l'armée de l'Ouest. Ses dispositions pour

s'opposer à la nouvelle expédition anglaise. VIII, 25 et suiv.

Il cherche à amener la pacification définitive de la Vendée. Son plan.

68-69 et suiv.

Exécution de ses projets. 72 et suiv.

Il est nommé commandant de l'armée dite des côtes de l'Océan. 126.

Le directoire approuve tous ses plans sur la Vendée, et il continue à

les exécuter. 126-127 et suiv.

Par ses soins la Vendée et la Bretagne sont entièrement soumises.

138-139.

Il publie une lettre pour démentir certains bruits qu'on répandait sur

lui et sur Bonaparte. 244-247.

Conseille une expédition en Irlande. 265.

Son expédition en Irlande. 390-395.

Est nommé général de l'armée de Sambre-et-Meuse après la démission

de Jourdan. 404.

Il passe le Rhin à Neuwied. IX, 103.

Ses dispositions politiques favorables au directoire menacé. Barras

s'adresse à lui pour obtenir des troupes en cas de besoin. Détails de

ses relations avec le directoire et de ses préparatifs pour cet objet.

196 et suiv.

Il est nommé ministre de la guerre en l'an V. 209.

Suite de ses préparatifs pour soutenir le directoire. 210 et suiv.

Suite de ses relations avec quelques membres du directoire pour le

même objet. 219 et suiv.

Ses opérations militaires dans l'affaire de Quiberon. (Voy. Quiberon).

Sa mort. Réflexions sur sa carrière politique et militaire. 298-302.

HOLLANDE. Conquête de ce pays. VII, 1-23.

Esprit public en Hollande à l'arrivée des Français. 9-13 et suiv.

Mesures politiques prises par la convention pour le gouvernement de la

Hollande. 24 et suiv.

La paix est signée avec cette puissance. Principales conditions du

traité. 130-133.

Sa situation en 1797. IX, 37 et suiv.

Révolution dans ce royaume, qui se donne une constitution semblable à

la constitution française. 372-375.

Nouvelles commotions politiques dans l'hiver de l'an VI. X, 76.

Débarquement des Anglo-Russes. 266-267.

Les Anglo-Russes y sont défaits par Brune et évacuent le pays.

330-331.

HONDSCHOOTE. Récit de cette victoire, et opérations militaires qui la

précédèrent. V. 24-26.

HÔTEL-DE-VILLE. Les électeurs s'y réunissent. I, 78.

Confusion qui y règne dans les journées du 13 et du 14 juillet. 90.

Arrivée de ceux qui avaient pris la Bastille. 98.

Embarras de l'Hôtel-de-Ville après le 14 juillet. 108-109.

Il est forcé le 4 octobre par des femmes et des hommes armés de

piques. 165.

HOUCHARD. Envoyé au tribunal révolutionnaire. V. 96.

ILE-DIEU. Expédition de ce nom. VIII, 62 et suiv.

INSTITUT d'Égypte. (Voy. Égypte).

INSTITUTIONS anglaises. Qui sont ceux qui les désiraient. I, 118 et suiv.

INSURRECTION. Projet d'insurrection dans les faubourgs. II, 203 et suiv.

Une grande insurrection est fixée pour le 10 août. 231-232.

Celle du 31 mai est arrêtée. Par qui. IV, 145.

Principaux détails sur cette insurrection. 146 et suiv., 158-159 et

suiv.

Événemens des 1er et 2 juin. IV, 166-170-171-173 et suiv.,

176-180-183-184.

IRLANDE. Expédition française dans ce pays. Elle échoue. VIII, 390-395.

Léger échec des Français en Irlande. X, 102.

ISNARD. Son discours à l'occasion d'un projet de décret relatif aux

émigrés. II, 34-36.

Sa réponse à la pétition de la section de la Fraternité. IV, 127.

ITALIE. Tableau géographique et politique de cette contrée, à l'époque

de la conquête par les Français. VIII, 161-169.

Coup d'oeil sur l'état de l'opinion publique après la conquête de la

Lombardie. 209 et suiv.

Négociations avec divers états de ce pays. 268 et suiv.

Insurrections révolutionnaires dans plusieurs villes. Perfidie des

Vénitiens après le départ de Bonaparte. IX, 72 et suiv., 85.

La révolution se propage après les préliminaires de Léoben.

Soulèvement à Gènes. 134 et suiv.

Fondation de la république cisalpine. Affaires de la Valteline.

314-318-321.

Événemens militaires de la campagne de 1799. (Voy. Guerre.)

Fermentation des états italiens en l'an VI. 380 et suiv.

Révolution à Rome, 381-388.

Conquête de Naples. (Voy. Naples.) Désordres des républiques

italiennes alliées. Changemens opérés dans la constitution cisalpine. X,

83-89-94.

Envahissement des États romains par les Napolitains. (Voy. Guerre.)

Révolution du Piémont. 119 et suiv.

JACOBINS. Club de ce nom. Son influence. I, 213.

Ils adressent à l'assemblée une pétition demandant la déchéance du roi.

302.

Organisation du club de ce nom. II, 13.

Robespierre se retranche aux Jacobins. Ils se prononcent contre les

projets de guerre. 47-48.

Leur projet de déposer le roi de vive force. 190-191 et suiv.

Leur puissance après le 10 août. 272-274.

Grande puissance de leur club. Les riches équipages qui se pressent à

la porte. Affiliations nombreuses. Marat y paraît encore étrange. III,

70-73.

Agitation qui y règne après l'accusation de Robespierre, par Louvet, à

la convention. 91 et suiv.

Font divers projets pour remédier à la disette. 310.

Vive discussion au sujet du pillage du 25 février. 315-16.

Une populace armée se présente à ce club. 341-342.

Se prononcent contre les agitateurs. 348 et suiv.

Projets des jacobins à la suite de la chute des girondins. Mesures

qu'ils prennent pour profiter de la victoire du 31 mai. IV, 191.

Leur rôle après le 31 mai. 279 280.

Discussion au sujet du renouvellement et de la prorogation du comité de

salut public. 293-296.

Séance du 7 août 179, à laquelle assistent les commissaires des

départemens. Discours de Robespierre. 348-349.

Décident, sur la motion de Robespierre, que leur société sera épurée.

V, 221-222.

Plusieurs membres sont exclus. 228-229.

Séance du 6 prairial an II, après la tentative d'assassinat sur

Robespierre et Collot-d'Herbois. VI, 102-107.

Font une pétition à la convention, dirigée indirectement contre les

comités. 185 et suiv.

Le club est ouvert de nouveau et épuré après le 9 thermidor. 363.

Sont réprimés dans les provinces. 334 et suiv.

Ceux de Paris tâchent de se défendre après la réaction du 9 thermidor.

335 et suiv.

Rumeur au club de Paris, menacé d'épuration par la convention. 348 et

suiv.

Mesures qu'ils prennent pour éluder le décret rendu contre les

sociétés populaires. 258-259.

Séances orageuses au club de Paris au sujet du procès de Carrier.

374-375 et suiv.

Leur salle est investie par un attroupement. Tumulte et scènes

violentes dans Paris. 383 et suiv.

Leurs séances sont suspendues. Réflexions sur ce club. 388 et suiv.

Leur société étant dissoute, ils se réfugient au club électoral.

390-391. (Voy. Club électoral.)

JANVIER (21). Une fête anniversaire de la mort de Louis XVI est

instituée par les conseils. La première se célèbre le 1er pluviôse an

IV. VIII, 92-93.

JEAN DE BRY. Propose de juger à la fois Marat et Robespierre. III, 107.

JEMMAPES. Bataille de ce nom. Événemens militaires qui y ont rapport.

III, 114 et suiv.

JEU DE PAUME. La salle du Jeu de Paume devient le lieu des séances

de l'assemblée nationale. Les députés assemblés dans le Jeu de

Paume prêtent le serment de ne pas se séparer avant l'établissement

d'une constitution. I, 62-63.

On fait louer la salle pour empêcher une nouvelle séance. 64-65.

JEUNESSE DORÉE. Parti auquel on donna ce nom. VI, 338.

JORDAN (Camille). Son rapport aux cinq-cents sur la liberté des cultes.

IX, 162 et suiv.

JOUBERT. Est nommé par le nouveau directoire commandant de l'armée

d'Italie, et remplace Moreau. X, 243.

Est tué à la bataille de Novi. 260.

JOUR DE L'AN. Cérémonial aboli par l'assemblée législative à propos

des hommages rendus au roi dans ce jour. II, 44.

JOURDAN. Est nommé général en chef de l'armée du Nord. V, 97.

Gagne les batailles de l'Ourthe et de la Roër. VI, 309 et suiv.

Manoeuvres du général pour favoriser le passage du Rhin par Moreau.

VIII, 221 et suiv.

Passe le Rhin. 228-238 et suiv.

Est repoussé sur le Mein par l'archiduc Charles. 300-301.

Est battu à Wurtzbourg, et bat en retraite. VIII, 318-319.

Nommé député en l'an V. IX, 147-148.

Est appelé au commandement de l'armée du Danube. X, 140.

Ses opérations militaires dans la campagne de 1799. (Voy. Guerre.)

Propose aux cinq-cents de déclarer la patrie en danger (17 fructidor

an VII). Sa proposition est rejetée. 279-281.

JOURNAUX. Divers journaux, représentant les opinions des partis, sont

publiés au commencement du directoire. VIII, 54.

Licence des journalistes., VIII, 396-397.

JUILLET (12, 13, 14). Le peuple parcourt les rues avec les bustes de

Necker et du duc d'Orléans. Le régiment de Royal-Allemand le disperse.

I, 87.

Les gardes-françaises font feu sur le Royal-Allemand. Ibid. Le

peuple force les barrières, pille les greniers de Saint-Lazare, et

prend des armes au Garde-Meuble. 89.

Divers bruits se répandent sur les projets hostiles de la cour. 93-94.

Le peuple enlève les canons de l'Hôtel des Invalides, et court à la

Bastille. 95-96.

Suites de ces journées. 98-99.

JUIN (20). Événemens de cette journée. Ses causes. II, 124-140.

Suites de cette journée. 141 et suiv.

KAIRE (Le). (Voy. Égypte.)

KELH. Reddition de ce fort par Moreau. VIII, 404.

KERSAINT. Donne sa démission à la convention nationale, pour ne pas

s'asseoir avec des hommes de sang. III, 258-259.

KLÉBER. Ses opérations militaires en Bretagne. V, 265-268-271-280-282

et suiv.

Bonaparte lui confie le commandement de l'armée d'Égypte. X. 312.

KLINGLIN. Correspondance de Pichegru avec les princes émigrés,

trouvée dans un fourgon du général Klinglin. IX, 194-195.

LADMIRAL. Il tente d'assassiner Robespierre ou Collot-d'Herbois, et

échoue. VI, 96-98.

LAFAYETTE (Le marquis de). Vice-président de l'assemblée constituante.

I, 92.

Il est nommé commandant de la milice bourgeoise de Paris. 104.

Détails sur sa vie et son caractère. I, 110 et suiv.

Il donne sa démission, et reprend aussitôt le commandement. 114.

Déclaration des droits. 136 et suiv.

Traité de Cromwell. 144.

Arrête le peuple sur la route de Versailles. 172.

Arrive à Versailles dans la nuit du 4 octobre. Ses efforts pour

contenir le peuple à Paris. Il tranquillise le roi, et prend diverses

mesures pour maintenir l'ordre. Fatigue de vingt-quatre heures et repos.

172 et suiv.

Défend le château attaqué par les brigands. Montre la reine au peuple.

175 et suiv. (Voy. Versailles.)

Traité par Mirabeau de Cromwell-Grandisson. Engage le duc d'Orléans

à quitter Paris. 179-180.

Punit quelques soldats mutinés pour une augmentation de paie.

194-195.

Conseille au roi de s'attacher démonstrativement et sincèrement au

parti populaire. 199.

Dénonce à la tribune l'influence secrète de l'Angleterre dans les

affaires de la révolution. 219-220.

Comprime diverses émeutes. 267-268.

Disperse les jacobins attroupés au Champ-de-Mars. 302 et suiv.

Envoyé à l'armée du Rhin avec Luckner et Rochambeau. II, 40.

Prend le commandement de l'armée du Centre. 44.

Dumouriez s'oppose à ce qu'il ait le commandement général. 77.

Sa position au milieu des partis à la fin de 1792. 110 et suiv.

Il écrit une lettre à l'assemblée. 112 et suiv.

Se rend à l'assemblée et y expose divers griefs. 146; et suiv.

S'assied au banc des pétitionnaires. Ses projets en faveur du roi

échouent. Il repart pour l'armée. 149 et suiv.

Il propose au roi un projet de fuite. 206.

Est mis hors d'accusation par l'assemblée. 231.

Il fait arrêter des commissaires envoyés par l'assemblée. On demande

son accusation. Ses projets. 286-287.

Il est déclaré traître à la patrie et décrété d'accusation. 287.

Il est abandonné par Dumouriez. Se retire dans les Pays-Bas, et est

fait prisonnier par les Autrichiens, 289-291.

Son élargissement des prisons d'Olmutz, par suite du traité de

Campo-Formio. IX, 334.

LAMBALLE (La princesse de). Elle est massacrée. II, 334-335.

LAMETH. Les deux frères Lameth se liguent avec Barnave et Duport.

I, 117.

Ils s'entendent avec la cour. I. 293.

LAMOURETTE. Évêque constitutionnel de Lyon et député à l'assemblée

législative. Motion de ce député. II, 173-174.

Effet produit par cette motion. 175.

LANJUINAIS. Il soutient que le décret qui casse la commission des douze

est nul. Tumulte et menaces à ce sujet. IV, 155 et suiv.

Son courage à la tribune le 2 juin. 178-179.

LARÉVELLIÈRE-LÉPAUX. Il sort du directoire dans la révolution de

prairial an VII. Sa conduite dans cette circonstance. X, 232-238.

(Voy. Directoire.)

LAROCHE-JAQUELIN. Chef Vendéen. IV, 90-91.

LAVILLE-HEURNOIS. (Voy. Royalistes.)

LECOINTRE (de Versailles). Il accuse à la convention les membres des

anciens comités. VI, 281 et suiv.

Son accusation est déclarée fausse et calomnieuse. 288 et 289.

LEMAITRE. Chef des agens royalistes. Il est arrêté après le 13

vendémiaire. Sa correspondance. VII, 373 378.

LÉOBEN. Préliminaires de paix avec l'Autriche, signés dans cette ville.

Principaux articles. IX, 91-95 et suiv.

LÉOPOLD. Intentions de ce prince envers la France et Louis XVI. II, 40

et suiv.

LEPELLETIER-SAINT-FARGEAU. Il est tué par un garde-du-corps. III,

265-266.

LESCURE (De). Chef vendéen. IV, 91.

Il est tué dans un combat. V, 123.

LETOURNEUR. Son caractère et sa conduite au directoire. IX, 5-6.

Le tirage au sort le fait sortir du directoire. 154.

LEVÉE EN MASSE. Elle est décrétée. IV, 362.

Moyen qu'on emploie pour l'exécution de cette mesure. 363 et suiv.

LIDO. Massacre des Français dans le port de ce nom à Venise. IX, 114 et

suiv.

LIEUTAUD. Entretient une troupe pour parler en faveur du roi. II, 205.

LILLE. Bombardement de cette ville par le duc de Saxe-Teschen.

L'archiduchesse Christine y assiste. III, 56.

Négociations entamées en cette ville entre la France et l'Angleterre,

en messidor an V. IX, 235-243.

Rupture de cette conférence par le directoire. 310-311 et suiv.

LINDET (Robert). Il fait à la convention un rapport sur l'état de la

France (20 septembre 1794). VI, 293 et suiv.

LIVRE ROUGE. Louis XVI fait cacheter les feuillets où sont marquées les

dépenses de Louis XV. I, 230-231.

LOANO. Bataille de ce nom. VIII, 58-61.

LODI. Bataille et passage du pont de Lodi. VIII, 178 et suiv.

LOMBARDIE. Conquête de ce pays. VIII. 173 et suiv.

LONATO. Bataille de ce nom. VIII, 283-285.

LOUIS XVI. Il monte sur le trône. Sou caractère. Ascendant de la reine.

I, 6-7.

Sa position et ses incertitudes. L'initiative qu'il pouvait prendre.

29 et suiv.

Il assiste à l'ouverture des états-généraux et prononce un discours. 44.

Dans la séance du 23 juin, il prononce un discours qui irrite les

esprits. 65-66.

Ordonne à l'assemblée de se séparer sur-le-champ. 66.

Répond froidement à l'assemblée nationale qui demandait le renvoi des

troupes. 92.

Déclare à la députation de l'assemblée qu'il a ordonné l'éloignement

des troupes. 95.

Ses inquiétudes. Conversation avec le duc de Liancourt. 100.

Il se rend à l'assemblée nationale et y est reçu avec enthousiasme. 102.

Se rend à Paris, escorté de deux cents députés, et fait un discours à

l'Hôtel-de-Ville. 105-106.

Est proclamé restaurateur de la liberté française. 127.

Sa réponse à l'assemblée, qui lui demandait acceptation et promesse

de promulgation des articles constitutionnels et de la déclaration des

droits. 167.

Il accepte purement et simplement les articles et la déclaration des

droits. 171.

Revient à Paris. 177.

Se présente à l'assemblée le 4 février 1790, et fait un discours. Est

reconduit aux Tuileries par le peuple. 196 et suiv.

Sa liste civile est fixée à 25 millions. 231.

Assiste à la fête de la fédération avec la reine, et prête le serment de

maintenir la constitution. 240-241.

Frappé du sort de Charles Ier. 252.

Ses projets de fuite. 266.

Le peuple arrête sa voiture. 276-277.

Ses négociations avec des princes étrangers. Projet de fuite. 277 et

suiv.

Sa fuite avec la famille royale. 280 et suiv.

Circonstances de son arrestation à Varennes. 285 et suiv.

Circonstances de son retour à Paris. 289 et suiv.

Une sentinelle s'oppose à ses sorties. 293.

Il accepte la constitution. 307.

Se rend à l'assemblée législative, et est blessé par le cérémonial.

II, 17.

Appose son veto à un décret contre les émigrés. 24.

Adresse une proclamation aux émigrés. 25-26.

Rend compte à l'assemblée législative de ses mesures contre

l'émigration. 37 et suiv.

Il songe à se lier avec la Gironde, républicaine par défiance du roi.

57.

Fait à l'assemblée des propositions de guerre. 72 et suiv.

Ne veut sanctionner que le décret de vingt mille hommes et non celui

contre les prêtres. 105.

Ses hésitations. Ses contradictions. Son abattement. 106.

Demande secrètement le secours de l'étranger. 107 et suiv.

Attaqué dans les Tuileries le 20 juin. Diverses réponses qu'il fait au

peuple. 135 et suiv.

Fait une proclamation au peuple après le 20 juin. 144 et suiv.

Se rend à l'assemblée, qui le reçoit avec enthousiasme. 175-176.

Consternation du roi et de la cour. 181 et suiv.

Il assiste à la deuxième fête de la fédération. 186-187.

Divers projets d'évasion lui sont proposés. 206 et suiv.

Il se prépare à fuir et y renonce ensuite. 229.-230.

Est jeté avec sa famille dans la loge d'un journaliste dans l'assemblée.

251.

Est suspendu de la royauté. 257.

Est gardé prisonnier aux Feuillans. 268.

Est transporté au Temple avec la famille royale. 278.

On commence à agiter la question de son jugement. III, 105 et suiv.

Détails sur sa captivité au Temple. 153 et suiv.

L'éducation de son fils. 154.

Précautions de la commune. 158-159.

Son procès et détails qui y ont rapport. 159 et suiv.

Il est conduit à la barre de la convention pour être jugé. 202 et suiv.

Répond aux diverses questions qui lui sont faites. 204.

Se choisit des défenseurs. 205 et suiv.

Nouveaux détails sur sa captivité pendant son procès. 219 et suiv.

Il est déclaré coupable de conspiration contre la liberté. 248.

Est condamné à mort. 256.

Circonstances et détails de son exécution. 262-265-266-270.

LOUVET. Rédige la Sentinelle. II, 119.

Il dénonce Robespierre à la convention. III, 84 et suiv.

Il court chez Pétion donner l'alerte aux girondins. 342-343.

LOZÈRE. Trente mille révoltés sont soumis dans ce département. IV,

255-256.

LYON. Un club jacobin s'y établit. Troubles politiques en 1793. IV, 75-76.

Combat sanglant dans cette ville. 196-197.

Troubles en juillet 93. Riard et Châlier sont mis à mort. 323-324.

Il est mis en état de siége par Dubois-Crancé, conformément au décret

de la convention. V, 7 et suiv.

Le siége se poursuit. 32.

Principales opérations militaires du siége. 81 et suiv.

Les promesses de l'émigration. 84.

Couthon propose de l'inonder avec des masses, et fait destituer

Dubois-Crancé qui s'y refuse. 90-91.

Suite. Prise de la ville. 91-94.

Décret de la convention contre cette ville. 94-95.

Le terrible décret de la convention contre cette ville est mis à

exécution. 131 et suiv.

Démolition des plus belles rues. La mine pour détruire les édifices, la

mitraille pour immoler les proscrits. 132.

Cette ville est déclarée n'être plus en état de rébellion. VI, 368.

Les contre-révolutionnaires y égorgent soixante-dix prisonniers le 5

floréal an III. VII, 184.

MACDONALD. Il est nommé commandant de l'armée de Naples. X, 140.

Ses opérations militaires dans la campagne de 1799. (Voy. Guerre.)

MAGNANO. Bataille de ce nom. X, 164 et suiv.

MAI (1793). Troubles dans Paris à l'occasion des nouvelles de

l'insurrection vendéenne les premiers jours du mois. Détails sur les

craintes des partis à cette époque. IV, 100 et suiv. 107.

31 mai. Circonstances de cette journée, depuis le 30 mai jusqu'au 2

juin. 147 et suiv. 183-184. (Voy. Insurrection.)

Réflexions sur cette journée et ses conséquences. 184 et suiv.

Comment on en parle aux Jacobins. 191-193.

Distribution des pouvoirs et des influences après cette journée. 275-281.

MAILLARD. Un citoyen de ce nom conduit à Versailles une troupe de

femmes furieuses. I, 166.

Il se présente avec ces femmes devant l'assemblée, et expose le

désespoir du peuple à cause de la disette, 168-169.

Principal acteur dans les massacres du 2 septembre.

(Voyez Septembre.)

Ses préparatifs, suivant une relation toute récente. II, 310-311.

Sa présence à l'Abbaye. 317.

MAISON MILITAIRE. Formation de la maison militaire du roi. II, 86 et suiv.

MALESHERBES. Se dévoue à la défense de Louis XVI. III, 206.

MALMESBURY (Lord), ambassadeur anglais envoyé à Paris. Ses

négociations avec le directoire. VIII, 340-344.

Suite de ses négociations. 356 et suiv.

Suite de sa négociation avec le directoire. Elle est rompue. Il repart

pour l'Angleterre. 386-390.

Est de nouveau chargé par l'Angleterre de négocier la paix. IX, 145.

Conférences de Lille. 235-245.

MALTE (Ile de). Prise de cette île par les Français. X, 6-8.

MANDAT. Général en chef de la garde nationale au 10 août. Ses

préparatifs. II, 239.

Il est sommé de comparaître à l'Hôtel-de-Ville. 242.

Tué et jeté à l'eau. 243.

MANDATS. Nouveau papier créé le 25 ventôse an IV. VIII, 109-111.

Ce papier tombe. Causes de sa chute. 247 et suiv.

MANIFESTE DE BRUNSWICK. II, 217 et suiv.

Effet qu'il produit en France. 224 et suiv.

MANTOUE. Commencement du blocus de cette ville. VIII, 211.

Prise de cette ville par les Français. 425 et suiv.

MANUEL. Procureur-syndic de la commune, propose de loger le président

de la convention aux Tuileries. III, 23.

MARAT. Son caractère, ses principes. II, 194-196.

Son entrevue avec Barbaroux. 196 et suiv.

Il est chef du comité de surveillance de Paris. 277.

Se fait rendre les presses enlevées par Lafayette. 278.

Est élu député à la convention. III, 9.

Justifie sa conduite et ses écrits dans la convention. 38 et suiv.

Rappelle ses ennemis à la pudeur, et montre le pistolet avec lequel il

se serait tué si on l'eût décrété d'accusation. 43-44.

Va trouver Dumouriez au milieu d'une fête. 78-79.

Dispute qui s'élève aux Jacobins au sujet de Marat et de Robespierre.

209 et suiv.

Les partisans de Marat. Sa justification par ses maximes. Il surfait au

peuple parce qu'on le marchande. 210-211.

Il est déféré aux tribunaux comme un des auteurs du 25 février. 317.

Se défend dans son journal. 318-320.

Il s'élève contre une pétition de la section Poissonnière et dénonce

Fournier. 347.

Est mis en arrestation par la convention. IV, 60.

Est acquitté par le tribunal révolutionnaire. Honneurs qu'il reçoit à

la convention et aux Jacobins. 66-68.

Sommé de s'expliquer sur ses opinions sur la nécessité d'une dictature.

192.

Il est assassiné dans son bain. 265.

Honneurs qu'il reçoit après sa mort. 267-269-272-273.

Le 21 septembre 1794, ses restes sont transportés au Panthéon à la

place de ceux de Mirabeau. VI, 299-300.

Ses bustes sont brisés en 1795. VII, 56 et suiv.

Ils sont enlevés de la convention. Scènes tumultueuses à ce sujet.

59.

MARCEAU. Il est nommé général en chef en Vendée. V, 287.

Est tué sur le champ de bataille. VIII, 320.

MARIE-ANTOINETTE. Elle est transférée à la Conciergerie, pour être

jugée par le tribunal révolutionnaire. IV, 395.

Un ami imprudent, et la correspondance dans un oeillet. V, 143.

Hébert et ses dépositions révoltantes dans ce procès. 146-148-149.

Réponse admirable à ces accusations. 149.

Détails de son procès. Elle est condamnée et mise à mort. 149-151.

MARSEILLE. Ville dévouée à la Gironde. IV, 76-77.

MARTIN D'AUCH. S'oppose à la déclaration du jeu de Paume. I, 63.

MASSÉNA. Un des généraux de l'armée d'Italie. VIII, 142-143.

Il s'empare du col de Tarwis. IX, 67-71.

Est nommé commandant de l'armée d'Helvétie. X, 140.

Remplace Jourdan dans le commandement de l'armée du Danube.

Manière dont il dispose ses forces. 188-189 et suiv. (Voy. Guerre.)

Il remporte une grande victoire à Zurich. 318-321 et suiv.

MAURY. (L'abbé). Principal orateur du clergé. Caractère de son esprit.

I, 117.

Il tâche de s'opposer à la saisie des biens du clergé. 188 et suiv.

Demande que l'assemblée se sépare, et qu'on procède à de nouvelles

élections. 210-211.

MAXIMUM. Il est établi sur tous les grains. IV, 330-331;

sur toutes les marchandises. 332-385.

Effets malheureux de cette mesure. V. 173 et suiv.

Effets désastreux du maximum.

Détails économiques. VI, 270 et suiv.

Cette mesure subit une réforme. 364-365 et suiv.

Il est aboli. VII, 244-248.

MAYENCE. Description de cette place forte. IV, 309.

Détails militaires du siége de cette ville. Disette effroyable.

Ignorance de la garnison sur les événemens qui se passent en France,

et faux Moniteurs que les Prussiens font imprimer. Les Français

l'évacuent. 312-320.

Admiration des assiégeans pour la résistance des Français. 320.

MENOU. Général de l'armée de l'intérieur. Son rôle dans la journée du 12

vendémiaire. VII, 355 et suiv.

MERLIN. Il est nommé ministre de la justice en l'an V. IX, 209.

Est nommé directeur. 294.

Sort du directoire par la révolution du 30 prairial an VII. X, 238.

(Voy. Larévellière et Directoire.)

MESNAI. Seigneur de Quincey; explosion dans son château qui cause une

effervescence universelle. I, 124.

MILAN. Prise de cette ville. VIII, 181-182.

Une révolte se manifeste après le départ de Bonaparte. Elle est

étouffée. 189-191.

MILLESIMO. Bataille de ce nom. VIII, 144-150.

MINCIO. Passage de ce fleuve par Bonaparte. VIII, 198-200 et suiv.

MINISTÈRE. État du ministère après la retraite de Necker. Les ministres

se retirent successivement. I, 250-251.

Nouvelle organisation du ministère. II, 32 et suiv.

Discussions parmi les membres du ministère. 53-55.

Renouvellement du ministère. 62-63.

La division s'y établit. 80 et suiv.

Roland, Clavière et Servan sont renvoyés. 103.

Des ministres feuillans le composent. 106.

Sa réorganisation après le 10 août. 263-264.

Il est l'objet de beaucoup de plaintes après le 31 mai. IV, 283-284.

Organisation du ministère par le directoire. Cinq ministres sont

nommés. VIII, 17.

Changemens projetés par le directoire. Les clichyens s'y opposent.

Détails à ce sujet. Le directoire nomme les ministres désignés par sa

majorité. IX, 200-211.

Changemens opérés à la suite de la révolution de prairial an VII. X,

347-348.

MIRABEAU. Est élu député en Provence. I, 37-38.

Propose de sommer le clergé de se réunir aux communes. 49.

Il déclare que l'assemblée nationale ne se séparera que par la force.

67.

Il propose de demander au roi le renvoi des troupes. 83-84.

Paroles mémorables de Mirabeau à l'occasion d'une dernière

députation envoyée au roi. 101.

Il réclame contre la mise en liberté de Besenval. 116.

Son caractère, son influence, idée de son génie. 119-120 et suiv.

Fait une proposition relative à l'hérédité du trône. 150-151.

Appuie une proposition d'impôt faite par Necker. Ses paroles sur la

banqueroute. 155-156;

Soupçonné d'être un des agens du duc d'Orléans. 179 et suiv.

Son entrevue avec Necker. 182.

Ses communications avec la cour. Réflexions à ce sujet. 200-201.

Paroles de Mirabeau à propos de la proposition relative à la religion

de l'état. 209.

Il s'oppose à la réélection des représentans. 211-212.

Réponse au discours de Barnave sur le droit de faire la paix et la

guerre. 223-224.

Se justifie de l'accusation portée contre lui d'être un des auteurs des

5 et 6 octobre. 244.

Traite avec la cour. Ses plans pour défendre la cause de la monarchie.

253 et suiv.

Il combat un projet de loi contre l'émigration. 269 et suiv.

Sa mort. 272-275.

Réflexions sur son caractère et sa carrière politique. 275-276.

MIRABEAU (Le vicomte). Adversaire de son frère. I, 212,

A la tête de 600 hommes dans l'évêché de Strasbourg. II, 33.

MIROMÉNIL. Garde-des-sceaux, conspirait avec les parlemens. Il est

destitué. I, 12.

MONSIEUR (frère du roi). Sa popularité. I, 16.

Le bureau qu'il préside vote pour le doublement du tiers. 28.

Se rend à l'Hôtel-de-Ville pour expliquer ses rapports avec Favras.

195.

Fuite en Flandre. 281-282.

Décret qui lui enjoint de rentrer sous deux mois. II, 23.

MONTAGNARDS. Leur position et leurs incertitudes après le 25 février.

III, 322 et suiv.

Un grand nombre d'anciens membres du gouvernement révolutionnaire

et de montagnards sont décrétés d'arrestation après le 1er prairial. VII,

228-233 et suiv.

Procès de plusieurs d'entre eux. Quelques-uns se tuent dans la prison.

Supplice des autres. 237 et suiv.

MONTAGNE (La). Nom donné à une portion de l'assemblée législative. II,

15-16.

Nom donné au côté gauche de la convention. III, 46-47.

Sa situation après le 9 thermidor. VI, 245 et suiv.

MONTENOTTE. Bataille de ce nom. VIII, 146-148.

MONTESQUIOU. Sur le point d'être destitué. Son entrée en Savoie. On lui

continue le commandement des troupes. III, 62.

Il intimide Genève. 66.

Il s'y réfugie devant la menace d'un décret. 144-145.

MONT-THABOR. Bataille de ce nom. X, 295-297.

MOREAU. Il est nommé commandant de l'armée du Rhin à la place de

Pichegru. VIII, 125.

Passe le Rhin. 226 et suiv.

Suite de ses opérations sur le Danube. Bataille de Neresheim. 297-298.

Il entre en Bavière. 302.

Sa belle retraite. 321-326.

Ses dispositions politiques avant le 18 fructidor. Preuves qu'il ne

trahissait point à cette époque. IX, 194 et suiv.

Ses révélations tardives. Il perd son commandement. 296-297.

Prend le commandement de l'armée d'Italie, dont Schérer se démet.

Ses premières opérations. X, 195 et suiv. (Voy. Guerre.)

Sa retraite au-delà du Pô et de l'Apennin. 197 et suiv. (Voyez

Guerre.)

MOREAU DE SAINT-MÉRY (électeur). Défend l'Hôtel-de-Ville. I, 91.

Il se maintient à l'Hôtel-de-Ville, et signe près de. 3,000 ordres en

quelques heures. 99.

Il désigne Lafayette pour être commandant de la milice. 104.

MOULINS. Nommé directeur après le 30 prairial. (Voy. Roger-Ducos.)

MOUNIER. Chef du parti de la constitution anglaise. I, 142.

Il se présente au roi accompagné de quelques-unes des femmes

entraînées à Versailles par Maillard. 169-170. (Voy. Maillard.)

Donne sa démission, perd sa popularité. 185.

MUNICIPALITÉ. Elle fait une proclamation au peuple après le 20 juin.

II, 144.

MUSCADINS. Origine de ce nom. VI, 292-293.

NAPLES. Terreur de la cour à l'approche de Bonaparte. Un armistice est

conclu. VIII, 212-213.

La paix avec le royaume de Naples est signée. 347-348.

Projets insensés de la cour de Naples contre la France. X, 103 et

suiv. (Voy. Guerre.)

Conquête de ce royaume par les Français. 113-119.

NARBONNE. Ce ministre propose divers plans de guerre. II, 38.

Organise trois armées sur la frontière. 44 et suiv.

NECKER. Caractère et talens de ce ministre, I, 8.

Il est exilé. 11.

Rentre au ministère. 25.

Propose, au nom du roi, un plan de conciliation aux commissaires de la

noblesse. 52-53.

Propose au roi des plans de réforme. 60.

Reçoit un billet du roi qui le presse de partir. 86.

Part. Ibid. Son retour est ordonné par le roi. 106.

Il retourne en France, traîné en triomphe, se rend à l'Hôtel-de-Ville,

et est accueilli avec transport par la multitude; Demande aux électeurs

la liberté de Besenval, qu'ils accordent. 115-116.

Embarras financiers de ce ministre. 133 et suiv.

Il demande un emprunt de 30 millions. 135.

Sa plainte à l'assemblée. Il demande une contribution du quart du

revenu. 155.

S'abouche avec Mirabeau. 182.

Nouveaux détails sur son caractère. Il donne sa démission. 249-250.

NELSON. Cet amiral anglais ne peut joindre le convoi français d'Égypte.

X, 8-9.

Il bat l'escadre française à Aboukir. 52-57.

NERWINDE. Bataille de ce nom. Ses suites. IV, 4 et suiv.

NEUFCHÂTEAU (François de). Il est nommé directeur. IX, 294.

NOBLES. Les ex-nobles sont bannis par un décret de la convention. VI,

8-9.

Une loi sur les ci-devant nobles est rendue après le 18 fructidor. IX,

309-310.

NOBLESSE. La noblesse se refuse à la vérification des pouvoirs en

commun. (Voy. Tiers-État et Vérification.) Quarante-sept

de ses membres se réunissent à l'assemblée nationale. I, 70

La majorité se réunit le 27 juin. 71-72.

Elle continue à se réunir en ordre séparé. 81-82.

Abdique ses priviléges. 125-126.

Son rôle dans l'assemblée. 191-192.

Se divise dans ses plans en deux partis. 206.

NORMANDIE. Elle est contraire à la révolution, IV, 78.

NOTABLES (Assemblée des). Sa convocation. I, 11.

Elle est convoquée de nouveau. 27.

NOVI. Bataille de ce nom. Détails militaires. X, 257-264.

ORANGE. On institue dans cette ville un tribunal révolutionnaire pour tout

le Midi. VI, 148-149.

ORLÉANS (Le duc d'). Il est exilé à Villers-Cotterets. I, 18.

Accusé de cabales. 38.

Son caractère. 39-40.

Il se mêle aux députés du tiers, 43.

Réunion au Palais-Royal des gens qu'on lui Suppose dévoués. 79.

Il est accusé d'être un des auteurs des 5 et 6 octobre, et mis hors

d'accusation. 243 et suiv.

Refuse la régence. 300 et suiv.

Est insulté au château. II, 49-50.

Est nommé député à la convention. III, 9.

Sa position équivoque dans la convention. On délibère sur son

bannissement. 214 et suiv.

Il vote la mort de son parent. 253.

Il est décrété d'accusation avec sa famille. IV, 38-39.

Est condamné à mort et exécuté. V, 167-168.

ORDRES. Conduite des premiers ordres à la convocation des états

généraux. I, 41-42.

OTAGES (Loi des). Rendue le 30 prairial an VII. Ses conséquences.

X, 247 et suiv.

PACHE. Il est nommé ministre de la guerre. Sa sobriété, sa modération,

son activité. III, 111-112.

Son penchant pour les jacobins. 133.

Ses bureaux. 150.

Disgracié. 275.

Nommé maire de Paris. 305.

Il signe une pétition pour exclure les girondins de l'assemblée. IV, 62.

PALAIS-ROYAL. Le jardin du Palais-Royal devient le centre des plus

grands rassemblemens populaires. I, 79.

Il continue à être le centre de réunion des agitateurs. 143-144.

Fait une adresse à la commune. 145.

PÂQUES VÉRONAISES. Nom donné au massacre des Français à

Vérone le 15 avril 1797. Détails de cet événement. IX, 107-114.

PARLEMENT. Sa résistance à l'égale répartition des impôts et à

l'abolition des restes de la barbarie féodale. I, 9.

Position du parlement après l'assemblée des notables. 15.

Il est mandé à Versailles. 16.

Exilé à Troyes. Ibid. Rappelé le 10 septembre. 17.

Enregistre l'édit portant la création de l'emprunt successif, et la

convocation des états-généraux dans cinq ans. 18.

Fait, le 5 mai 1788, une déclaration de quelques-unes des lois

constitutives de l'état. 20-21.

PARIS, garde-du-corps, venge Louis XVI sur un de ses juges. III,

265-266.

PARTI POPULAIRE. Ses chefs et son influence vers la fin de 1792. II,

117-118.

PARTIS. État des partis après le 5 octobre. I, 178 et suiv.

État de dissidence des partis après la seconde fédération. II, 192 et

suiv.

Exigence des partis après le 10 août, 270-271.

Leur état au moment du procès de Louis XVI. III, 148 et suiv.

Situation des partis après la mort de Louis XVI. 271 et suiv.

Leurs différens moyens d'influence et d'action. IV, 70 et suiv.

Leur division en décembre 93. V, 241 et suiv.

Leur division et situation après le 9 thermidor. VI, 268-267-280 et

suiv.

Lutte des deux partis qui se formèrent après la terreur. 332 et suiv.

343 et suiv.

Grande agitation des partis révolutionnaire et modéré après la

réaction de thermidor. VII, 55 et suiv.

Lutte des patriotes et des révolutionnaires dans la réaction amenée par

le 9 thermidor. 178 et suiv.

Leurs plaintes contre le directoire. VIII, 95 et suiv.

Leur état en messidor an V. IX, 253 et suiv. 265.

Ils se coalisent tous contre le directoire après nos défaites en

Italie (an VII). X, 220 et suiv.

Leur agitation après le retour de Bonaparte d'Égypte. Tous se

réunissent à lui par des motifs divers. 338-342 et suiv.

PATRIE EN DANGER. La patrie déclarée en danger le 11 juillet 1792.

Conséquence de cette déclaration. II, 180.

Séances permanentes. Enrôlemens volontaires. Les fédérés arrivent de

toutes parts. 188 et suiv.

On propose, le 27 fructidor an VII, de renouveler cette déclaration.

X, 279 et suiv.

PATRIOTES. État de ce parti en germinal an III. VII, 84 et suiv.

Échecs qu'ils éprouvent dans les insurrections du 1er germinal. 86-96;

du 12 germinal. 107 et suiv.

Ils sont désarmés et renvoyés dans leurs communes. 122 et suiv.

Projets de révolte et d'insurrection en floréal (1795). Ils échouent.

182 et suiv.

Envahissent la convention le 1er prairial an III. Suite de leur

insurrection les 2, 3 et 4 du même mois. Ils sont soumis. 204 et suiv.

231.

Leur révolte à Toulon, en floréal. 232-233.

Réflexions sur la ruine de ce parti par les événemens de prairial.

249 et suiv.

La convention, menacée en vendémiaire, leur donne des armes. 353.

Ils se réunissent au Panthéon et forment une espèce de club (1795).

VIII, 52-53.

Leurs plaintes et récriminations contre le directoire. 71-95 et suiv.

Leur réunion au Panthéon devient un vrai club jacobin. 97-99.

Leur société est dissoute. 99.

Ils se montrent mécontens du directoire. Attaquent le camp de Grenelle.

L'insurrection échoue. 257-261-262.

Ils forment l'opposition contre le directoire après le 18 fructidor.

IX, 401 et suiv.

Leur déchaînement après le désastre de Novi et les événemens de

Hollande. Mesures qu'ils conseillent. Leur force dans les conseils. V,

268-269 et suiv.

Le directoire fait fermer plusieurs de leurs sociétés. 273-275.

Leurs plaintes et accusations contre le directoire dans leurs

journaux. Leurs presses sont saisies. 275 et suiv.

Les députés patriotes et leurs adversaires se réunissent pour essayer,

d'une réconciliation. 277-279.

PAVIE. Des paysans révoltés s'emparent de cette ville. Bonaparte la

reprend. VIII, 190-192.

PÉTION. Nommé par l'assemblée l'un des trois commissaires

pour reconduire Louis XVI à Paris après son arrestation à Varennes. I,

289.

Il est nommé maire de Paris. Ses principes républicains et sa conduite.

II, 122 et suiv.

Sa conduite dans la journée du 20 juin. 124-127-139-140.

Sa conversation avec le roi. 143.

Il est suspendu de ses fonctions, 177.

Est réintégré par l'assemblée. 184.

La foule crie: Vive Pétion! Pétion ou la mort! 186.

Demande la déchéance du roi au nom des quarante-huit sections de

Paris. 226-227.

Tâche de retarder l'insurrection du 10 août. 223-234.

Place lui-même des sentinelles à sa porte pour être en état

d'arrestation. 244.

Rend compte à l'assemblée de l'état de Paris. 270.

Regardé par Danton comme un honnête homme inutile. 274.

Tâche de s'opposer aux massacres du 2 septembre. 333-334.

Il est arrêté. IV, 190.

PHILIPPEAUX. Son écrit contre Ronsin et les ultra-révolutionnaires. V,

306-307.

Il est accusé devant les jacobins. 314 et suiv.

Suite de son accusation 329 et suiv.

Il est arrêté. 389.

Son procès et sa mort. 398-411.

PICHEGRU. Commandant en chef de l'armée du Nord. VI, 60.

Il passe la Meuse. 315.

Envahit la Hollande; prend l'île de Bommel. VII, 11 et suiv.

Nommé général de la force armée à Paris. Apaise l'insurrection du 12

germinal. 117-119 et suiv.

Commandant de l'armée du Rhin. 253.

Sa trahison. Détails de ses négociations avec le prince de Condé. 259

et suiv.

Perd son commandement. VIII, 125.

Ses relations avec les émigrés. 23 et suiv.

Nommé député en l'an V par le Jura. 147.

Continue ses projets de trahison. 156.

Son rapport aux cinq-cents sur l'organisation de la garde nationale.

216 et suiv.

Est arrêté le 18 fructidor et conduit au Temple. 276-278.

Il est condamné à la déportation. 285.

PIÉMONT. Conquête du Piémont par Bonaparte. VIII, 141-161.

Traité de paix avec ce royaume. 268.

Abdication du roi. La France reprend en main le gouvernement. X, 120

et suiv.

PILNITZ. Déclaration de Pilnitz. I, 296-297.

PITT. Sa politique à l'égard de la France. On l'accuse de payer des

troubles. Il excite l'Espagne contre la France. III, 277 et suiv.

Il a une entrevue avec Maret, envoyé du gouvernement français;

entrevue qui n'amène rien. 283 et suiv.

Est soupçonné d'être le moteur d'une conspiration étrangère, et est

déclaré l'ennemi du genre humain par la convention. IV, 393-394.

Sa politique au commencement de 1794. VI, 54-55 et suiv.

Politique de ce ministre. Il continue à soutenir la

guerre contre la France. Ses projets. VII, 164-167 et suiv.

S'attire la haine des Anglais après la campagne de 1795.

Sa politique. VIII, 77-80 et suiv.

Ses négociations illusoires avec la France. 120-121.

Ses combinaisons. Ouverture d'une négociation avec le directoire. 336\

et suiv.

POIDS ET MESURES. Le système en est renouvelé. V, 187-188.

POLICE. Elle est érigée en ministère spécial sur la proposition du

directoire. VIII, 101.

PORTE (La). Elle déclare la guerre à la France. X, 61-62.

PRAIRIAL (1, 2, 3 et 4) an III. Insurrection des patriotes. Envahissement

de la convention. Combats. Meurtre d'un député. Détails de cette

journée. VII, 205-225.

Journée du lendemain, 2. Les patriotes échouent de nouveau. 224 et

suiv.

Le 4 prairial les révoltés se retranchent dans le faubourg

Saint-Antoine. Ils sont soumis. 229-231.

30 prairial. Révolution dans le gouvernement directorial. Trois

directeurs sont changés. X, 228-232-238. (Voy. Directoire.)

PRESSE. La liberté de la presse est établie après le 9 thermidor. VI, 261

et suiv.

Discussion sur la liberté de la presse en prairial. (Voy. Prairial,

Directoire.)

PRINCES. Fâcheuse situation des princes français émigrés en 1794.

VI, 326 et suiv.

PRISONNIERS. Cinquante-deux prisonniers sont égorgés à Versailles. III,

3 et suiv.

PRISONS. Elles deviennent insuffisantes lors de la loi des suspects.

Leur intérieur à cette époque. V, 136 et suiv.

Jeux, simulacres de tribunaux, bizarrerie française. 141-142.

Le régime des prisons devient plus rigoureux en 94. VI, 94.

PROCESSION. Le roi et les trois ordres se rendent en procession à

Notre-Dame. I, 43.

PRUSSE. Elle rompt la neutralité et marche contre la France. II, 154.

Négocie pour la paix. VII, 29-30.

La paix est signée avec cette puissance. Conditions du traité. 134-135.

Conserve sa neutralité malgré les efforts de Pitt. VIII, 122.

PRUSSIENS. Leurs premiers succès. II, 297.

Leur armée se retire. 372.

Faux bruits sur la vraie cause de leur retraite. 375-376.

PUYSAIE (De). Chef secret des chouans. VI, 324 et suiv.

Suite de ses menées politiques en Bretagne. VII, 153 et suiv.

Suite de l'expédition de Quiberon. Détails de ses opérations

militaires dans cette affaire. 269-275-276-312.

Il se prépare de nouveau à la guerre en Bretagne après l'affaire de

Quiberon, VIII, 23 et suiv.

PYRAMIDES. Bataille de ce nom. X, 36 et suiv.

QUIBERON. Expédition de Quiberon. Détails militaires. VII, 269 et suiv.

311.

Cause de non-réussite des émigrés. Conséquences de l'affaire de

Quiberon. VII, 312 et suiv.

RADSTADT. Congrès de ce nom. Détails des négociations qui y eurent

lieu en pluviôse an VI. X, 365 et suiv.

Progrès des négociations dans l'été de l'an VI. 71 et suiv.

Assassinat des plénipotentiaires français. Motifs et détails de cette

catastrophe. 169-172.

RADSTADT ET ETTLINGEN. Bataille de ce nom. VIII, 147 et suiv.

RAISON (Culte de la). Abolition de ce culte. V, 231.

REBECQUI. Il accuse Robespierre de tyrannie. III, 32 et suiv.

RÉFORMES. Changement dans les moeurs et réformes diverses en 1795.

VII, 46-51.

RELIGION CATHOLIQUE. Débats à l'assemblée sur la proposition de

déclarer la religion catholique religion de l'état. I, 208 et suiv.

RÉPUBLIQUE. On date de l'an 1er de la république, le 22 novembre 1792.

III, 26.

Dangers de la république en août 1793. IV, 325 et suiv.

RESCRIPTIONS. Sorte de bons au porteur émis sous ce nom par le

directoire. VIII, 84.

Mauvais succès de ce papier. 106.

RÉVEIL DU PEUPLE. Air chanté par la jeunesse dorée (voy. ce mot). VI,

383.

RÉVEILLON. La maison de ce fabricant de papiers est brûlée. I, 38-39.

RÉVELLIÈRE-LÉPADX (La). Son caractère. Sa conduite à l'égard de ses

collègues du directoire. IX, 6-7 et suiv.

RÉVOLTES. Des révoltes contre-révolutionnaires se déclarent dans

plusieurs départemens. IV, 19.

RÉVOLUTION. Réflexions sur la marche des révolutions. II, 6-7.

RÉVOLUTION FRANÇAISE. Causes qui la préparèrent. I, 33-35 et suiv.

Elle commence à donner des inquiétudes aux souverains étrangers.

215.

Différemment embrassée par Paris et les provinces. V, 359 et suiv.

REWBELL. Caractère de ce membre du directoire. Sa position vis-à-vis

des autres directeurs. IX, 4-5.

Calomnieuses accusations contre sa probité. X, 182-185.

Il est exclus du directoire par le sort. 185.

RHIN. Passage de ce fleuve par Moreau. VIII, 226 et suiv.;

par Jourdan. 238;

par Masséna le 16 ventôse an VII. X, 145-146.

RIVOLI. Bataille de ce nom. VIII, 411-423.

ROBESPIERRE. Il s'élève contre la critique de la déclaration des droits.

I, 167.

Combat la proposition de la loi martiale. 186.

Il se prononce contre le principe de l'inviolabilité du roi. 301.

Son influence au club des jacobins. II, 14 et suiv.

Se déclare contre la guerre dans les séances aux jacobins. 48-49.

Buzot et Roland lui offrent un asile. 198.

Entrevue avec Barbaroux. 201-202.

Sa position après le 10 août. 273.

Il adresse à l'assemblée une pétition au nom de la municipalité. 281

et suiv.

Il est nommé député à la convention. III, 9.

Est accusé de tyrannie à la convention. Sa défense. Débats à ce sujet.

31-32.

Il est accusé de nouveau par Louvet. 84 et suiv.

Se défend à la convention. 98 et suiv.

Veut que Louis XVI soit condamné sans procès. 192 et suiv.

Dispute qui s'engage aux Jacobins au sujet de Robespierre et de Marat.

209 et suiv.

Combat l'appel au peuple et demande la condamnation du roi. 234

et suiv.

—Fait un long discours contre Dumouriez et les girondins. IV, 51 suiv.

—Sa popularité, ses projets, et détails sur son caractère. 289 et suiv.

Parle aux Jacobins en faveur du comité de salut public. 291-294 et suiv.

Sa politique. 296-299.

Il devient membre du comité de salut public. 591.

—Improuve aux Jacobins la destruction du culte, et se prononce contre

les agitateurs. 218 et suiv.

Justifie Danton. 224 et suiv.

Son opinion sur la nature du gouvernement révolutionnaire. 352 et suiv.

Il parle contre Danton à la convention. 390 et suiv.

Fait décréter la reconnaissance de l'Être-Suprême. Son discours. VI,

22-29.

On tente de l'assassiner. 100-102.

Son discours aux Jacobins après cette tentative d'assassinat. 105 et

suiv.

Son influence en 94. Sa politique. Détails de son caractère. 107 et

suiv.

Propose et fait adopter une nouvelle organisation du tribunal

révolutionnaire. 119-123.

Commence à éprouver de la résistance dans les comités. 128-129 et

suiv.

Ses projets contre les comités et sa conduite politique à cette

époque. 154-158.

Suite du même sujet. 180 et suiv.

Prononce le 8 thermidor un discours à la convention. Il se justifie

de certaines accusations, et ensuite attaque ses adversaires des

comités. Il conclut à une épuration des comités de sûreté générale et

de salut public. 187-193.

Débats à ce sujet; il est à son tour vivement accusé. 193-197.

Va aux Jacobins, et fait décider une nouvelle insurrection contre la

convention. 197-198.

Est accusé violemment le 9 thermidor à la convention. Détails de cette

scène. Il est décrété d'arrestation. 205-210.

Se tire un coup de pistolet. Son supplice. 225-228.

ROEDERER. Engage Louis XVI à se retirer dans le sein de l'assemblée

législative. Discussion avec la reine. II, 249-250.

Il rend compte à l'assemblée dès préliminaires de l'insurrection. 251.

ROGER-DUCOS et MOULINS. Ils succèdent à Larévellière et à Merlin au

directoire. X, 240 et suiv.

ROGER-DUCOS. Il est nommé consul provisoire, le 18 brumaire. X,

383-384.

ROLAND. Nommé ministre de l'intérieur. II, 62.

Il lit au roi une lettre. 92 et suiv.

Communique à l'assemblée la lettre qu'il avait lue au roi. 103.

Attaque les auteurs du 2 septembre. 330-331.

Fait son rapport sur l'état de Paris. III, 83.

Son inflexibilité vis-à-vis de la commune. 150-151.

Donne sa démission. 273.

ROLAND. (Mad.). Son influence sur les girondins. II, 63.

Haine des jacobins contre elle. III, 12-13.

Elle est arrêtée. IV, 190-191.

Est condamnée et exécutée. V. 168-469.

ROME. Agitation des démocrates dans les États-Romains. La légation

française est insultée. IX, 381-383.

Berthier entre à Rome, en chasse le pape. 384-386.

Les Romains se constituent en république, 385 et suiv.

État de son gouvernement après sa révolution. X, 86 et suiv.

Entrée des Napolitains dans les États-Romains. Ils sont repoussés par

Championnet. 109-113.

ROMEUF. Aide-de-camp de Lafayette; il part sur les traces de Louis XVI.

I, 283.

Il arrive à Varennes. 288.

RONSIN. Il sort de prison. Son caractère. V, 338-339.

Il est de nouveau arrêté. 370.

Son procès et sa mort. 374-379.

ROSSIGNOL. Il est nommé général de l'armée des côtes de La Rochelle.

IV. 389.

ROVEREDO. Bataille de ce nom. VIII, 303-307.

ROYALISTES. Situation du parti royaliste en 1794. VI, 326-327.

Intrigues diverses et projets des agens royalistes. VII, 153 et suiv.

Triomphe de ce parti après les événemens de prairial. 249 et suiv.

Menées de ce parti dans les sections après les journées de prairial.

VII, 323 et suiv.

Leur désappointement après le 13 vendémiaire. 373 et suiv.

Les agens de la royauté continuent leurs secrètes menées. VIII, 114 et

suiv.

État de cette faction dans l'hiver de l'an V. Suite de ses intrigues

et de ses projets. IX, 18 et suiv.

Complot découvert de Broitier, Laviller-Heurnois et Duverne de

Presle. 28 et suiv.

Leurs espérances après les élections de l'an V. Leur joie à Paris, où

se réunissent beaucoup d'émigrés et de chouans. 179-181.

Leur terreur après le 18 fructidor. 293 et suiv.

ROYOU. Rédacteur de l'Ami du Roi, mis en accusation. II, 84.

SAINT-HURUGUES. Ancien marquis, détenu à la Bastille. I, 444.

Il se porte sur Versailles avec plusieurs exaltés. 144-145.

SAINT-JUST. Son opinion sur l'inviolabilité du roi et sur sa mise en

accusation. III, 172 et suiv.

Il provoque et fait décréter l'institution du gouvernement

révolutionnaire. V, 56 et suiv.

Est envoyé par le comité de salut public à l'armée du Rhin. Ce qu'il y

fait. 245-246-249.

Il fait un rapport contre les hébertistes et les dantonistes. 369 et

suiv.

Accuse Danton à la convention. 393 et suiv.

Il est décrété d'arrestation par la convention, dans la séance du 9

thermidor. VI, 210.

Son supplice. 227-228.

SALLES. Propose et soutient le système de l'appel au peuple dans le

procès de Louis XVI. III, 230 et suiv.

SANTERRE. Son influence sur les faubourgs. II, 118.

Ses opérations au 20 juin. 124-126-127-132-133.

SCHÉRER. Il est nommé général en chef de l'armée d'Italie. X, 139.

Il abandonne le commandement de l'armée d'Italie à Moreau. 195.

SECTIONS. Les sections de Paris chargent Pétion de demander la

déchéance de Louis XVI. II, 226.

Fanatisme des assemblées des sections. III, 308-310.

Mesures qu'elles demandent pour assurer le repos public. 331-333.

La section Poissonnière demande un acte d'accusation contre

Dumouriez. Scène à la convention à ce sujet. 346 et suiv.

La section de la Halle-au-Blé fait une pétition contre plusieurs

membres de la convention. IV, 50.

Leur influence dans toute la France. 75 et suiv.

La section de la Fraternité dénonce les projets de l'assemblée

de la mairie. 121.

D'autres l'imitent. 123.

Tumulte vers la fin de mai au sujet de l'accusation d'Hébert. 128 et

suiv.

Les 48 sections se réunissent pour décider l'insurrection du 31 mai.

146.

Les assemblées sectionnaires détruites par le comité de salut public.

VI. 12-15.

On décide qu'elles n'auront plus lieu qu'une fois par décade. 259.

Les sections de Montreuil et des Quinze-Vingts présentent une pétition

à la convention le 1er germinal. Leurs attroupemens insurrectionnels.

VII, 86 et suiv.

Elles sont agitées par les menées du parti royaliste. 324 et suiv.

Elles se soulèvent contre les décrets des 5 et 13 fructidor. Pétitions.

Celles de Paris rejettent ces décrets. 339-544.

Celles du reste de la France les acceptent. 345 et suiv.

Elles font la journée du 15 vendémiaire (voy. Vendémiaire).

348-369.

La section Lepelletier résiste aux troupes du général Menou le 12

vendémiaire. 354 et suiv.

Les sectionnaires forment diverses sociétés en 1795. VIII, 53.

SELZ. Lieu choisi pour les conférences entre l'Autriche et la France.

Négociations qui s'y font. X, 67 et suiv.

SEPTEMBRE (2, 3, 4 et 5). Détails de ces journées. Massacre des

prisonniers. II, 312-340.

SEPTEUIL. Trésorier de la liste civile. Sommes trouvées chez lui. III, 4.

On les évalue à dix millions. 94.

SERMENT CIVIQUE. Origine de ce serment. I, 138.

Il est prêté par l'assemblée nationale et par tous les corps

constitués de Paris et de la France. 198-199.

Il est prêté par les fédérés au Champ-de-Mars. 240-241.

L'assemblée étend l'obligation de ce serment au clergé. 259-260. (Voy.

Clergé.)

SERRURIER. Un des généraux de l'armée d'Italie. VIII, 143.

SERVAN. Ce ministre propose la réunion d'un camp de vingt mille

fédérés. Débats à l'assemblée sur cette motion. II, 90 et suiv.

SIÈYES (l'abbé) publie une brochure sur le tiers-état. I, 26.

Propose aux communes de faire une nouvelle sommation aux deux

autres ordres relativement à la vérification des pouvoirs. Il motive la

décision des communes qui se constituent assemblée nationale. 54 et

suiv.

Idées de Sièyes sur la constitution. 141.

Il propose l'anéantissement des démarcations provinciales. 190.

Il propose et fait adopter le projet d'un décret destiné à protéger la

convention contre les insurrections. VII, 82 et suiv.

Son projet de loi est voté; 93-95.

Refuse d'être directeur. VIII, 10.

Il est envoyé par le directoire en ambassade à Berlin. X, 156 et suiv.

Il est élu directeur en remplacement de Rewbell. 187.

Sa coopération au 18 brumaire. 351-353-356-359 et suiv.

Il est nommé consul provisoire le même jour. 383-384.

SOCIÉTÉ. Peinture de la société et des moeurs à la fin de l'an IV. VIII,

103 et suiv.

SOCIÉTÉS PATRIOTIQUES. Nom que prennent les assemblées de

sections. IV, 139.

SOCIÉTÉS POPULAIRES. Décret rendu contre elles après la terreur. VI,

351-357.

Diverses réunions de la jeunesse dorée et le club du Panthéon sont

fermés. VIII, 99.

SOIXANTE-TREIZE députés prisonniers depuis le 31 mai sont réintégrés

dans leurs fonctions. VI, 392.

SOMBREUIL. Le dévouement de sa fille. II, 325.

STAEL (Mad. de). Son influence à Paris. VII, 329.

Elle essaie de rapprocher les constitutionnels et les clichyens. Son

influence dans la société de Paris. IX, 254-257.

STOCKACH. Bataille de ce nom. Détails militaires. X, 148-155.

STOFFLET. Un des premiers chefs de l'insurrection vendéenne. IV, 84-90.

Il continue la guerre après la soumission de Charette. VII, 147 et

suiv.

Il signe la paix à Saint-Florent. 161.

Il est pris et fusillé. VIII, 131-132.

SUBSISTANCES. Embarras à Paris pour les subsistances en 1792.

III, 182 et suiv.

Les embarras augmentent. 307 et suiv.

Leur déplorable état en 93. IV. 326 et suiv.

Décrets de la convention à ce sujet. Détresse des Parisiens. 331 et

suiv.

Mesures prises par la commune et par la convention pour se pourvoir en

octobre 93. V, 175-177-178 et suiv.

Lois et règlemens sur les subsistances dans les premiers mois de 1794.

VI, 84 et suiv.

Nouveaux décrets sur les subsistances après le 1er prairial. VII,

241-242.

Le directoire les rend au commerce libre. VIII, 85 et suiv.

SUISSE. Elle conserve sa neutralité au milieu de la guerre générale. Ses

dispositions à l'égard de la république. VII, 137-138.

Révolution en Suisse. Ses causes. Insurrection du pays de Vaud.

Arrivée des Français avec Brune. Ils s'emparent de Berne. La Suisse se

constitue en république. IX, 389-399.

Nouveaux troubles politiques. Divisions entre les cantons.

Intervention de la France. Un traité d'alliance est conclu. X, 72-82.

Vraie importance de la Suisse dans une guerre sur le continent. 132 et

suiv.

SUISSES. Massacrés au 10 août. II, 253-254.

SUSPECTS. Quels ils étaient. IV, 25.

Leur arrestation est décrétée. 359-360.

La loi des suspects est décrétée. V, 60 et suiv.

Comment Chaumette les désigne. 134 et suiv.

Détails sur leur détention. 136 et suiv.—

Leur nombre augmente. On change l'administration intérieure des

détenus. VI, 92 et suiv.

Ils sont conduits en foule à la mort en juin 1794. 136-143.

Ils sont élargis. 241 et suiv.

SUWAROW. Il arrive en Italie. Caractère de ce général. Sa capacité. X,

193 et suiv.

Il empêche la jonction de l'armée de Naples à celle de Moreau. 209 et

suiv.

Est battu partout en Suisse et forcé à la retraite. 327 et suiv.

SYRIE. Expédition en Syrie. (Voy. Égypte et Bonaparte.)

TAGLIAMENTO. Passage de ce fleuve et bataille de ce nom. IX, 60-67.

TALLEYRAND (M. de). Nommé ministre des affaires étrangères en l'an V.

IX, 209.

TALLIEN. Son rôle dans la journée du 9 thermidor. (Voy. Thermidor.)

Est blessé par un assassin. VI, 290.

TALLIEN (Mad.). Son rôle dans la société à Paris, après la terreur. VI,

340 et suiv.

TARGET. Refuse de servir de conseil à Louis XVI. III, 206.

TARWIS. Combats de ce nom. IX, 68-72.

THÉOPHILANTHROPE. Société de ce nom. IX, 8.

THERMIDOR (9). Événemens de cette journée. VI, 203-228.

Conséquences de ce jour. Réflexions sur la marche de la révolution

depuis le 14 juillet jusqu'au 9 thermidor. 228-232.

Conséquences de cette journée. 233 et suiv.

THERMIDORIENS. Leur position et leurs projets. VI, 247-248.

Ils demeurent les maîtres après le 1er prairial. Conséquences de cette

réaction. VII, 249-251.

Leurs craintes sur les progrès de la réaction royaliste. Ils tâchent

de s'y opposer par diverses mesures. 328 et suiv.

THOURET. Dernier président de la constituante. I, 308.

TIERS-ÉTAT. Arrêt du Conseil, du 27 décembre 1788, ordonnant le

doublement des députés du tiers état. I, 28 et suiv.

Le tiers-état se couvre ainsi que les autres ordres malgré l'usage

établi. 44.

Lutte du tiers-état avec les deux autres ordres au sujet du mode de

leur réunion. 45 et suiv., 47 et suiv.

Rapidité de sa puissance. 50-51.

TOLENTINO. Traité de ce nom, signé par Bonaparte et le pape. Ses

conditions, ses avantages. IX, 50-55.

TOMBES ROYALES. Un décret ordonne de les détruire. IV, 393.

TOSCANE. Traité de paix avec ce pays. VII, 138-139.

TOULON. Les modérés l'emportent dans les sections. Se livre aux Anglais.

V, 10 et suiv.

Ils arment le petit Gibraltar. 253.

Premiers faits d'armes de Bonaparte. 255.

Évacuation des Anglais et incendie de l'arsenal. 259.

Les forçats éteignent l'incendie. 261.

Les patriotes se révoltent. VII, 232 et suiv.

TREBBIA. Bataille de ce nom. Principales circonstances. X, 213 et suiv.

Ses suites. 218 et suiv.

TREILHARD. Nommé directeur à la place de François de Neufchâteau. IX,

407.

Il sort du directoire en prairial an VII. 232.

TRIBUNAL CRIMINEL EXTRAORDINAIRE. Il est décrété par la convention.

III, 333 et suiv.

On en règle les formes. 338-339.

TRIBUNAL DU 17 AOÛT. A quelle occasion il fut institué. II, 283.

TRIBUNAL RÉVOLUTIONNAIRE. Premier essai, à l'occasion du 10 août.

II, 283.

Il est installé. IV, 25-26.

Le tribunal criminel extraordinaire prend ce nom. V, 163.

Procès des dantonistes, des quatres accusés de faux et autres.

398-412.

Il continue à ordonner les exécutions. VI, 94 et suiv.

Est réorganisé d'après un projet de Robespierre. 119 et suiv.

Terribles exécutions en juin et en juillet 1794. Détails sur les

procédures de ce temps. 136 et suiv.

Il est suspendu de ses fonctions. 235.

Est remis en activité. 260.

Est définitivement aboli. VII, 240.

TRONCHET. Accepte la défense de Louis XVI. III, 206.

TROUVÉ. (Voy. Cisalpine.)

TURGOT. Appelé au ministère. Son caractère. I, 7.

Il échoue dans ses réformes. Ibid. et suiv.

ULTRA-RÉVOLUTIONNAIRES. Nom qu'on donna aux révolutionnaires

exagérés. V, 236.

Plusieurs d'entre-eux sont arrêtés par décret de la convention. 238.

Ils préparent une insurrection contre la convention. Ils échouent.

360-371.

VALENCIENNES. Cette ville est assiégée et prise par les ennemis. IV,

320-323.

VALMI. Circonstances de l'affaire de ce nom. II, 363-367.

VARLET. Est déclaré suspect par Billaud-Varennes. III, 348.

La réunion Corrazza. 351.

Propose aux cordeliers un plan d'insurrection. IV, 120.

Il est arrêté. 126.

Arrête dans le comité d'exécution le plan définitif de la seconde

insurrection. 170.

Il rédige une pétition contre les accapareurs. 243-244.

VAUBLANC (de). Porte au roi le décret sur le désarmement des émigrés.

II, 36.

VENDÉE. Description de ce pays et des départemens voisins. Théâtre de

la guerre civile et causes de sa haine contre la révolution. IV, 79 et

suiv.

Insurrection des paysans vendéens à cause de la levée des 300,000

hommes et pour ne pas quitter leurs foyers Cathelineau et Stofflet se

mettent à la tête des insurgés. 83 et suiv., 86-88.

L'insurrection devient générale. 89 et suiv.

Un décret ordonne que la Vendée sera ravagée. IV, 387-388 et suiv.

Un décret d'amnistie est rendu en sa faveur. VII, 17-18.

État de ce pays après la première pacification. 263-263.

Nouveaux préparatifs de guerre après l'affaire de Quiberon. VIII, 23

et suiv.

La pacification du pays commence à se faire définitivement. 71-72 et

suiv.

Pacification définitive des pays connus sous ce nom, en germinal an

IV. 126-132-136.

VENDÉENS. Pourquoi ce nom fut donné et conservé aux insurgés

français. IV, 88.

Ils s'emparent de Thouars et brûlent l'arbre de la liberté. 92-93.

Suite de leurs succès. 229 et suiv.

Ils organisent leur insurrection. S'emparent de Doué et de Saumur.

234-236.

Ils sont repoussés à Nantes. 252-254.

Suite de leur guerre. 300 et suiv.

Ils sont défaits à Luçon. V, 14-15.

Divers plans sont proposés pour les réduire. 16-19.

Premières opérations de Canclaux contre eux, d'après le plan du 2

septembre. 36 et suiv.

Divisions parmi les chefs. 39-40.

Suite de la guerre. 40 et suiv.

Canclaux se replie sur Nantes. Causes de ses échecs en Vendée.

46-47.

Continuation de la guerre. 66 et suiv.

Ils sont défaits à Cholet. 118-121.

Différens combats en octobre, novembre et décembre 93.

Leur grande armée est entièrement détruite. 264-292.

État de leur armée après leur défaite à Cholet. 273 et suiv.

Ils sont battus au Mans. Leur déroute complète. 287 et suiv.

Ils continuent à se défendre. Leurs chefs. VI, 320-322.

Leur peu de ressources en 1795. Division entre leurs chefs. VII,

32-34.

Négociations diverses entre les chefs révoltés et les généraux de la

république. 40-45.

Négociations avec leurs chefs pour la pacification du pays. 139-142

et suiv.

Quelques chefs signent la paix. 145-146.

VENDÉMIAIRE (Journée du 13). Événemens préparatoires du 11 et du 12.

Insurrection des sections, le 13. Combat dans les rues. Victoire de la

Convention. VII, 348-369.

Suites de cette journée. 370 et suiv.

VENISE. Inquiétude du gouvernement vénitien à l'approche de l'armée

française. VIII, 196 et suiv.

Invasion du territoire vénitien par Bonaparte. 196 et suiv.

Perfidie du gouvernement vénitien après le départ de Bonaparte. IX,

72-85.

Articles des préliminaires de paix de Léoben qui concernent les états

vénitiens. 94 et suiv.

Suite des manoeuvres perfides des Vénitiens contre les Français. 105

et suiv.

Chute de la république de Venise. Détails sur les événemens qui

l'amènent. 116-131.

VENTRE. Dénomination donnée à un certain parti de l'assemblée

législative. II, 12.

VERGNIAUD. Principal orateur des girondins. II, 11.

Il accuse Delessart. Son discours. 55-56.

Fragmens de son discours à l'occasion du projet de la commission des

Douze. 164 et suiv.

Il propose un message au roi qui l'oblige à opter entre la France et

l'étranger. 470.

Il harangue le peuple le 2 septembre. 313 et suiv.

Son discours en faveur de Louis XVI. III, 236-246.

Il répond aux accusations de Robespierre contre les girondins. IV, 55

et suiv.

Il fait décréter, le 31 mai, que Paris a bien mérité de la patrie.

158-159.

Il est arrêté. 190.

Son procès, sa mise à mort. V, 156-162-167.

VÉRIFICATION. Débats dans les états-généraux relativement à la

vérification des pouvoirs. I, 44 et suiv.

VERMONT (l'abbé de). Il propose et fait accepter à la reine M. de

Brienne pour ministre. I, 12.

VÉRONE. Massacre des Français dans cette ville. Elle est prise par le

général Chabran. IX, 107-113.

VERSAILLES. De nouvelles troupes s'établissent, à Versailles.

Conséquences du séjour de la famille royale dans cette ville. I, 160 et

suiv.

Scènes qui s'y passent les 5 et 6 octobre. 168 et suiv.

Massacre de 52 prisonniers après les journées de septembre. III, 5.

VETO. Discussions relatives au veto suspensif ou absolu. II,

142-143-146 et suiv.

Le veto suspensif est déclaré. 148-149.

Le veto suspensif est étendu à deux législatures. 153.

VIENNE. Scènes tumultueuses à Vienne entre la légation française et

l'empereur. X, 76-77 et suiv.

VIEUX CORDELIER (Le). Journal rédigé par Camille Desmoulins.

Morceaux cités. V, 307 et suiv.

Autres morceaux cités. 322 et suiv.

Autres passages, 355 et suiv.

VINCENNES. Le donjon est attaqué par le peuple le 28 février 1790. I,

267.

VINCENT. Cet ultra-révolutionnaire sort de prison. Détails sur son

caractère. V, 338-339.

Il est de nouveau arrêté. 370 et suiv.

Son procès et son supplice. 374-379.

VURTZBOURG. Bataille de ce nom. VIII, 318-320.

WATIGNIES. Victoire de ce nom. V, 108-109.

WESTERMANN. A la tête d'une légion en Vendée. IV, 302-303.

Ses exploits et ses revers en Vendée. 303 et suiv.

ZURICH. Victoire de ce nom, remportée sur les Russes par Masséna.

Détails sur cette bataille mémorable. X, 313 et suiv. 330.

FIN DE LA TABLE DES MATIÈRES.

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