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La vie et la mort de M. de Tournèves
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A A.-FERDINAND HEROLD
C’est au lycée, mon cher ami, — et voici bien cinq ans, déjà, — que j’écrivis M. de Tournèves. Il y paraît, peut-être, mais je n’en chéris pas moins ce premier né. Vous en fûtes quelque peu le parrain, puisque, dès cette époque, une excellente revue me fit, grâce à vous, la joie de l’accueillir. Il vous revient, par conséquent, de droit. Mais je voudrais aussi que votre nom placé en tête de ce petit conte signifiât l’estime où je tiens un lettré charmant et l’affection que je porte à un ami parfait.
Ch. D.
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