L'Architecture Gothique

[1] Proposée par la Société des antiquaires de Normandie. (Voir l’Architecture romane.)

[2] L’Architecture romane, par Éd. Corroyer.—A. Picard & Kaan, éditeurs.

[3] L’Architecture romane, par Éd. Corroyer.—A. Picard & Kaan, éditeurs.

[4] Les documents recueillis récemment par l’auteur permettent d’affirmer que l’église à cinq coupoles de Saint-Front existait entièrement lors de l’incendie de 1120.

[5] L’Architecture romane, par Éd. Corroyer.—A. Picard & Kaan, éditeurs.

[6] La disposition primitive des voûtes de l’église, bâtie vers 1160, est indiquée par les naissances des arcs au-dessus des chapiteaux et par le plan des bases des piliers principaux.—Les voûtes actuelles sur plan rectangulaire ont été faites selon le mode du temps depuis l’incendie de 1238.

[7] Voir la curieuse église de Montagne (Gironde), signalée par l’archiviste de la Gironde. (Correspondance historique et archéologique. Paris, 1896.)

[8] L’Architecture romane, par Éd. Corroyer.—A. Picard & Kaan, éditeurs.

[9] L’Architecture romane, par Éd. Corroyer.—A. Picard & Kaan, éditeurs.

[10] L’Architecture romane, par Éd. Corroyer.—A. Picard & Kaan.—Chapitres Iᵉʳ, III et IV.

[11] L’Architecture romane, par Éd. Corroyer.—A. Picard & Kaan, éditeurs.—Chapitre XVII.

[12] Ces arcs-boutants dont la pierre était usée par l’action destructive des intempéries, insuffisants pour contrebuter les voûtes, s’étaient déformés par le travail incessant de leurs poussées, plus actives en raison de la forme semi-circulaire de l’édifice dont les voûtes intérieures s’étaient disloquées parce qu’elles n’étaient pas suffisamment contrebutées. Ils ont dû être reconstruits en 1880 pour arrêter la ruine totale du transsept sud.

La réfection de ces arcs-boutants, de même que celles qui ont été faites sur un grand nombre d’édifices du même temps, est la critique ad hominem de ce système de construction.

[13] Il est possible, sinon facile, de suivre les progrès architectoniques des édifices du moyen âge sur un grand nombre d’églises ou cathédrales construites pendant les XIIᵉ et XIIIᵉ siècles; cependant, pour faire la synthèse que nous voulons établir, nous avons pris comme types des églises ou cathédrales du domaine royal et principalement de l’Ile-de-France, parce que ce sont elles qui ont servi d’exemples aux constructeurs de ces temps et celles qui réunissent, au plus haut degré, les caractères des diverses transformations que nous voulons étudier.

[14] Voir le chapitre Iᵉʳ, Influence de la coupole sur l’architecture dite gothique.

[15] Voir chapitre XI, Sculpture, statuaire et ornements.

[16] Voir chapitre XII, Statuaire et ornements.

[17] Anthyme Saint-Paul, Histoire monumentale de la France.—Paris, Hachette et Cᵉ. 1884.

[18] W. Lübke, Essai d’histoire de l’art.

[19] Ch. Lucas, les Architectes français à l’étranger. (Extrait du journal l’Architecture.)

[20] Voir au chapitre IX, Albi, etc.

[21] Viollet-le-Duc, Dictionnaire raisonné de l’architecture française, etc., t. Iᵉʳ.

[22] Chapitre XII, Peinture décorative sur mur et sur verre.

[23] L’Architecture romane, par Éd. Corroyer.—A. Picard & Kaan, éditeurs.—Chapitres III et VII.

[24] Voir l’Architecture civile, chapitre II.

[25] Description de l’abbaye du Mont-Saint-Michel et de ses abords, par Éd. Corroyer.—Paris, 1877.

[26] Voir la 2ᵐᵉ partie, l’Architecture monastique.

[27] Anthyme Saint-Paul, Histoire monumentale de la France.—Paris, 1884.

[28] Melchior de Vogüé, les Églises de la terre sainte.

[29] Melchior de Vogüé, les Églises de la terre sainte.

[30] Melchior de Vogüé, les Églises de la terre sainte.

[31] Encyclopédie de l’architecture et de la construction, article Clocher, par Éd. Corroyer.

[32] Voir l’Architecture civile, quatrième partie.

[33] L’Architecture romane, par Éd. Corroyer.—A. Picard & Kaan, éditeurs.

[34] L’Architecture romane, par Éd. Corroyer.—A. Picard & Kaan, éditeurs.

[35] Chapitre IX.

[36] L’Architecture romane, par Éd. Corroyer.—A. Picard & Kaan, éditeurs.

[37] Encyclopédie de l’architecture et de la construction, article Chœur-Chapelle, par Éd. Corroyer.

[38] L’Architecture romane, par Éd. Corroyer.—A. Picard & Kaan, éditeurs.

[39] L’Architecture romane, par Éd. Corroyer.—A. Picard & Kaan, éditeurs.

[40] Les plans et les élévations de ces saintes-chapelles sont si connus et ont été publiés tant de fois, que nous croyons inutile de les reproduire ici de nouveau.

[41] M. A. de Montaiglon, professeur à l’École des chartes.

[42] Voir fig. 106.—Les motifs sculptés qui ornent les arcatures du cloître de l’abbaye du Mont-Saint-Michel en sont un exemple frappant; les plantes qui ont inspiré les sculpteurs-imagiers du XIIIᵉ siècle se trouvent encore au pied même des bâtiments de la célèbre abbaye.

[43] Anthyme Saint-Paul, Histoire monumentale de la France.—Paris, Hachette et Cᵉ, 1884.

[44] Les statuettes, diptyques, etc., en bois, en ivoire et en vermeil, désignés sous les numéros 107 à 115, appartiennent à l’auteur.

[45] Viollet-le-Duc, Dictionnaire raisonné, t. VII.

[46] M. Gaïda, artiste peintre, chargé par M. le ministre de la justice et des cultes de relever les dessins de la coupole, nous a communiqué ceux des figures 116, 117 et 118.

[47] D’après les notes techniques de M. Gaïda, artiste peintre.

[48] Raymond Panchelli, ou Raymond II, fit commencer en 1303 le pont de Valentré à Cahors.

[49] Dessins comm. par M. Ed. Didron, artiste peintre verrier.

[50] Le Vitrail à l’Exposition de 1889, par Ed. Didron.—Paris, 1890.

[51] Les émaux dessinés sous les figures 128 à 131 appartiennent à l’auteur.

[52] Voir Iʳᵉ partie, l’Architecture religieuse.

[53] Pélagianisme.—Doctrine du moine Pélage, qui vivait au Vᵉ siècle, enseignant que le péché d’Adam n’a point été imputé à sa race et que la grâce de Dieu nous est donnée en proportion de nos mérites.—Semi-pélagianisme, opinion d’après laquelle l’homme peut commencer, il est vrai, son amélioration par soi-même, mais non l’achever sans le secours de Dieu.—E. Littré, 1873.

[54] Albert Lenoir, l’Architecture monastique.—Collection des documents inédits sur l’histoire de France.—Paris, 1856.

[55] Voir la Iʳᵉ partie, l’Architecture religieuse.

[56] D’après Viollet-le-Duc, Dictionnaire, t. VII, p. 268.

[57] Voir l’Architecture religieuse, 1ʳᵉ partie, chap. VIII.

[58] Anthyme Saint-Paul, Histoire monumentale de la France.

[59] Anthyme Saint-Paul, Histoire monumentale de la France.

[60] L’Architecture romane, par Éd. Corroyer, chap. III, 2ᵉ partie.—A. Picard & Kaan, éditeurs.

[61] Anthyme Saint-Paul, Histoire monumentale de la France.

[62] Anthyme Saint-Paul, Histoire monumentale de la France.

[63] Voir Iʳᵉ partie, la Sculpture.

[64] Voir l’Architecture militaire.—Abbaye du Mont-Saint-Michel.

[65] Description de l’abbaye du Mont-Saint-Michel, par Éd. Corroyer.—Paris, 1877.—Ouvrage couronné par l’Institut en 1879, Concours des antiquités nationales.

[66] L’Architecture romane, par Éd. Corroyer.—A. Picard & Kaan, éditeurs.

[67] Description de l’abbaye du Mont-Saint-Michel et de ses abords, par Éd. Corroyer.—Paris, 1877.

[68] Description de l’abbaye du Mont-Saint-Michel et de ses abords, par Éd. Corroyer.—Paris, 1877.

[69] Voir IIIᵉ partie, l’Architecture militaire.

[70] L’Art à l’Exposition.—L’Architecture, par Éd. Corroyer.—Paris, l’Illustration du 25 mai 1889.

[71] La partie des murs comprise entre les tours.

[72] Viollet-le-Duc, la Cité de Carcassonne.

[73] Étude sur les monuments de l’architecture militaire des croisés en Syrie, par G. Rey.—Paris, 1871.

[74] Étude sur les monuments de l’architecture militaire des croisés en Syrie, par G. Rey.—Paris, 1871.

[75] Viollet-le-Duc, la Cité de Carcassonne.

[76] Viollet-le-Duc, Dictionnaire, t. Iᵉʳ.

[77] Éd. Corroyer, Description de l’abbaye du Mont-Saint-Michel, etc.—Paris, 1877.

[78] Éd. Corroyer, Description de l’abbaye du Mont-Saint-Michel, etc.—Paris, 1877.

[79] Anthyme Saint-Paul, Histoire monumentale de la France.

[80] Viollet-le-Duc, Dictionnaire, t, V.

[81] Anthyme Saint-Paul, Histoire monumentale de la France.

[82] Éd. Corroyer, Description de l’abbaye du Mont-Saint-Michel et de ses abords.—Paris, 1877.

[83] Éd. Corroyer, Description de l’abbaye du Mont-Saint-Michel et de ses abords.—Paris, 1877.

[84] Idem.

[85] Ch. Garnier, membre de l’Institut, dont on se rappelle les études savantes présentées sous une forme pittoresque par ses maisons de tous les temps, depuis l’époque lacustre jusqu’à nos jours et qui ont eu un si grand succès à l’Exposition de 1889.

[86] Voir la IIᵉ partie, l’Architecture militaire.

[87] Anthyme Saint-Paul, Histoire monumentale de la France.

[88] Voir l’Architecture monastique, les cloîtres du Puy-en-Velay et d’Elne en Roussillon.

[89] Le siège de l’évêché a été transféré à Soissons depuis 1809.

[90] Iʳᵉ partie, Cathédrale d’Albi, fig. 70 à 73.

[91] Pour le palais des papes, voir Albert Lenoir et Viollet-le-Duc.