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Le château de Coucy

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NOTES:

[1] Monumenta Germaniæ historica, Scriptores, t. III, p. 256, 307, 322 et 343.

[2] Flodoardus, Historia ecclesiæ Remensis, lib. IV, c. 13 (M. G. hist., Scriptores, t. XIII, p. 576).

[3] L. Delisle, La Commémoration du Domesday-book, à Londres, en 1886, dans l'Annuaire-Bulletin de la Société de l'histoire de France, 1886, p. 179-180 et 183.

[4] A. Luchaire, Louis VI le Gros, annales de sa vie et de son règne, nos 26, 183, 189, 203, 220, 266, 309, 379, 461 et 491.

[5] Histoire littéraire, t. XXIII, p. 370; Ch.-V. Langlois, La Société française, au XIIIe siècle, p. 188.

[6] G. Bourgin, La commune de Soissons et le groupe communal soissonnais, p. 20.

[7] Élie Berger, Histoire de Blanche de Castille, reine de France, p. 121.

[8] L. Mirot, Les insurrections urbaines au début du règne de Charles VI. Paris, 1906, pp. 130, 137, 138, 145, 152, 154, 155 et 181.

[9] Delaville le Roux, La France en Orient au XIVe siècle, pp. 257, 262, 270 et suiv., et p. 313.—Mangin, Enguerrand VII, sire de Coucy, dans le Bulletin de la Société académique de Laon, t. XXIV, p. 40.

[10] Le fait est aussi rapporté par Pierre de Fenin, Jean Lefebvre de Saint-Remy et Monstrelet.

[11] Germain Lefèvre-Pontalis, La Guerre de partisans dans la Haute-Normandie dans la Bibliothèque de l'École des Chartes, t. LVI, 1895, p. 455. L'anecdote est racontée par Fenin et Monstrelet.

[12] Arch. nat. O{1}3, fol. 288 vo. Clément Métezeau mourut le 28 novembre 1652.

[13] Dictionnaire d'architecture, t. VII, p. 322-335.

[14] On en voit trois arcades en tiers-point dans le verger du commandant Mangard.

[15] Cf. Mandat de paiement du 2 janvier 1552, publié par De L'Epinois, Histoire de la ville et des sires de Coucy, p. 374.

[16] Un pilier central soulageait la portée des poutres.

[17] M. Champion, propriétaire de l'hôtel de la Pomme d'Or, possède deux curieuses faitières en terre cuite vernissée de couleur verte qui proviennent de la toiture de la porte de Laon.

[18] Le compte de 1386-1387 mentionne la construction d'une étable dans la basse-cour, avec de vieux matériaux.

[19] Ce registre, en assez mauvais état, se composait de 168 feuillets, mais il en manque 20. Sa cote provisoire est E. 672.

[20] Ce cachot se trouvait sous le trésor.

[21] Huit charpentiers, deux menuisiers, un couvreur, un verrier, un plombier et deux serruriers, cités dans les comptes, furent employés à ces travaux. Ils étaient originaires de Coucy, de La Fère, de Laon et de Soissons.

[22] Viollet-le-Duc a mal planté les latrines de cette tour.

[23] La coupe de cette tour N, dessinée par Viollet-le-Duc, est très inexacte. Cf. Dictionnaire d'architecture, t. IX, p. 83. Son diamètre est de 17m,50.

[24] Sa hauteur est de 44m,50 et son diamètre extérieur de 18 mètres.

[25] Notre savant confrère, M. Mâle, est d'avis que ce combat n'a aucun rapport avec la lutte de Samson et du lion ou avec l'iconographie religieuse. Le sujet a pu en être fourni aux sculpteurs romans par des motifs orientaux.

[26] Aujourd'hui le puits ne mesure plus que 30 mètres de profondeur.

[27] Viollet-le-Duc. Dictionnaire d'architecture, t. IV. p. 269.

[28] Nous remercions vivement M. Eggimann de nous avoir autorisé à reproduire aux pages 35 et 87 des figures extraites du Dictionnaire d'architecture de Viollet-le-Duc et M. Emile Lévy de nous avoir permis d'exécuter nos reproductions des pages 9, 55 et 62 d'après sa belle réimpression de Les plus excellents bastiments de France de Jacques Androuet du Cerceau.

ÉVREUX, IMPRIMERIE CH. HÉRISSEY ET FILS

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