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Mémoires touchant la vie et les écrits de Marie de Rabutin-Chantal, (6/6)

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NOTES:

[1] SÉVIGNÉ, Lettres (18 avril 1676), t. IV, p. 243, édition de M. Monmerqué.

[2] SÉVIGNÉ, Lettres (22 avril 1676), t. IV, p. 267, éd. Monmerqué.

[3] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 245.

[4] SÉVIGNÉ, Lettres, t IV, p. 248 et 270.

[5] SÉVIGNÉ, Lettres (10 avril 1676), t. IV, p. 250.

[6] SÉVIGNÉ, Lettres (15 avril, 1676), t. IV, p. 256.

[7] SÉVIGNÉ, Lettres (22 avril), t. IV, p. 265.

[8] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 252.

[9] SÉVIGNÉ, Lettres (10 avril 1676), t. IV, p. 244.

[10] Conférez M. Walckenaer, Mémoires touchant la vie et les écrits de madame de Sévigné, t. V, p. 247.

[11] SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 346.

[12] C'est Bossuet, on le sait, qui avait eu l'honneur de la conversion de Turenne.

[13] Le Marais.

[14] Le prince de Condé et son fils.

[15] Turenne: on pourrait confondre.

[16] SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 347.

[17] Neveu de Turenne.

[18] Le cardinal de Retz.

[19] SÉVIGNÉ, Lettres (2 août 1675), t. III, p. 352 et 354.

[20] Madame d'Heudicourt (mademoiselle de Pons).

[21] Versailles.

[22] SÉVIGNÉ, Lettres (7 août 1675), t. III, p. 361 et 363.

[23] SÉVIGNÉ, Lettres (6 août 1675), t. III, p. 372.—Correspondance de Roger de Rabutin, comte de Bussy, édit. de M. Ludovic Lalanne; Paris, 1858, chez Charpentier, t. III, p. 69.

[24] Mélanges inédits de l'abbé de Choisy, cités par M. Monmerqué dans une note à la lettre du 31 juillet 1675 (t. III, p. 349 de son édition).

[25] BUSSY-RABUTIN, Lettres, t. III, p. 66, édit. Ludovic Lalanne.

[26] Ibid., p. 67.

[27] BUSSY-RABUTIN, Lettres, t. III, p. 77, éd. L. Lalanne.—SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 377.

[28] SÉVIGNÉ, Lettres (27 août 1675), t. III, p. 431.

[29] SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 388.

[30] A la fois son curé et son confesseur.

[31] Neveu de Turenne, par sa mère.

[32] SÉVIGNÉ, t. III, p. 391.

[33] Le comte de Beringhen, premier écuyer.

[34] SÉVIGNÉ, Lettres (16 août 1675), t. III, p. 397.

[35] Charles-Martel, Hugues le Grand, Bertrand du Guesclin et le connétable de Sancerre.

[36] SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 409.

[37] SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 438-441.

[38] SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 443.

[39] On sait que ce mot veut dire toute la maison militaire et civile, bien plus que le personnel de la domesticité.

[40] SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 445.

[41] SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 447.

[42] SÉVIGNÉ, Lettres (9 septembre 1675), t. III, p. 461.

[43] Mémoires du marquis de La Fare, Collection de MM. Michaud et Poujoulat, t. XXXII, p. 282.

[44] SÉVIGNÉ, Lettres (13 août 1675), t. III, p. 396.

[45] SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 401.

[46] SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 433.

[47] SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 457.

[48] SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 475.

[49] SÉVIGNÉ, Lettres (7 août 1675), t. III, p. 358.

[50] SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 365.

[51] Mémoires du chevalier Temple, ministre d'Angleterre, en Hollande, Coll. de MM. Michaud et Poujoulat, t. XXXII, p. 97.

[52] SÉVIGNÉ, Lettres (21 août 1675), t. III, p. 414.

[53] SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 386 et 389.

[54] SÉVIGNÉ, Lettres (12 août), t. III, p. 393.

[55] SÉVIGNÉ, Lettres (17 novembre 1675), t. IV, p. 89.

[56] Mémoires du marquis de La Fare, Coll. Michaud et Ponjoulat, t. XXXII, p. 282.

[57] SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 460.

[58] SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 386.

[59] SÉVIGNÉ, Lettres (16 août 1675), t. III, p. 403.

[60] SÉVIGNÉ, Lettres (19 août 1675), t. III p. 407.

[61] Procès-verbaux des assemblées du clergé, t. V, p. 220, et Pièces justificatives, à fin du volume, p. 131.

[62] SÉVIGNÉ, Lettres (19 août 1675), t. III, p. 405.

[63] SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 404.

[64] SAINT-SIMON, édition de MM. Chéruel et Sainte-Beuve, t. X, p. 341.

[65] Cf. SAINT-SIMON, t. VI, p. 37; VII, p. 263; et La Fare, Coll. Michaud, t. XXXII, p. 281.

[66] SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 389 et 392.

[67] SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 451.

[68] Mémoires du chevalier Temple, ambassadeur d'Angleterre en Hollande; Coll. Michaud et Poujoulat, t. XXXII, p. 92.

[69] SÉVIGNÉ, Lettres (20 septembre 1675), t. III, p. 477; Mémoires du chevalier Temple, Coll. Michaud et Poujoulat, t. XXXII, p. 100 et 104.—Mémoires de La Fare, ibid., p. 283.

[70] SÉVIGNÉ, Lettres (10 avril 1675), t. IV, p. 250.

[71] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 223.

[72] Valet de chambre de madame de Sévigné.

[73] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 255. Ceci est une allusion à la scène IX du troisième acte du Médecin malgré lui. Sganarelle, en passe d'être pendu, dit à sa femme: Retire-toi de là, tu me fends le cœur! Martine lui répond: Non, je veux demeurer pour encourager à la mort, et je ne te quitterai point que je ne t'aie vu pendu.

[74] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 206.

[75] SÉVIGNÉ, Lettres (15 avril 1676), t. IV, p. 256.

[76] SÉVIGNÉ, Lettres (17 avril 1676), t. IV, p. 263.

[77] SÉVIGNÉ, Lettres (29 avril 1676), t. IV, p. 271-274.

[78] Voy. Lettres de la Palatine (duchesse d'Orléans), p. 121.

[79] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 277.

[80] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 303.

[81] Mémoires du chevalier Temple, Collection Michaud, t. XXXII, p. 82.

[82] Mémoires du chevalier Temple, p. 84.

[83] Mémoires du chevalier Temple, p. 108.

[84] Mémoires du chevalier Temple, p. 106.

[85] SÉVIGNÉ, lettre du 28 mai 1676, t. IV, p. 319.

[86] Correspondance de Bussy-Rabutin, t. III, p. 205.

[87] Correspondance de Bussy-Rabutin, t. III, p. 157.

[88] Mémoires de M. de La Fare, Coll. Michaud, t. XXXII, p. 284.

[89] Voy. aussi, sur le même fait, les Mémoires de Temple, p. 102 et 119, et ceux de l'abbé de Choisy, t. XXX, p. 559.

[90] Correspondance de Bussy, t. III, p. 149. (Lettre du 23 avril 1676.)

[91] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 351.

[92] Conférez WALCKENAER, t. IV, p. 286.

[93] Correspondance de Bussy-Rabutin, t. III, p. 165.

[94] Lettre du maréchal de Schomberg au comte de BUSSY-RABUTIN dans la Correspondance de celui-ci, t. III, p. 166.

[95] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 377.

[96] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 367 et 385.

[97] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 367.

[98] SÉVIGNÉ, Lettres (6 juillet 1676), t. IV, p. 366.

[99] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 389.

[100] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 403.

[101] Fils aîné du surintendant Fouquet.

[102] SÉVIGNÉ, lettre du 5 août 1676, t. IV, p. 409.

[103] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 414.

[104] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 415.

[105] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 427.

[106] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 415.

[107] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 407.

[108] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 413.

[109] SÉVIGNÉ, lettre du 7 août, t. IV, p. 418.

[110] SÉVIGNÉ, Lettres, p. 421.

[111] SÉVIGNÉ, lettre du 19 août, t. IV, p. 427.

[112] SÉVIGNÉ, lettre du 19 août, t. IV, p. 433.

[113] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 439.

[114] SÉVIGNÉ, Lettres, p. 444.

[115] SÉVIGNÉ, lettre du 28 août, t. IV. p. 445.

[116] SÉVIGNÉ, lettre du 2 septembre 1676, t. IV, p. 448-453.

[117] SÉVIGNÉ, lettre du 21 septembre 1676, t. IV, p. 478.

[118] Mémoires du marquis de La Fare, coll. Michaud, t. XXXII, p. 284.

[119] Correspondance du comte de Bussy (lettre du 19 septembre 1676), t. III, p. 185.

[120] SÉVIGNÉ, lettre du 23 octobre 1676, t. V, p. 46.

[121] Historiettes de Tallemant des Réaux; éd. in-12, t. V, p. 232.

[122] SÉVIGNÉ, Lettres (24 avril et 6 mai 1676), t. IV, p. 269 et 287.

[123] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p 295.

[124] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 296.

[125] SÉVIGNÉ (lettre du 24 juin 1676), t. IV, p. 319.

[126] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p 298.

[127] Mémoires touchant la vie et les écrits de madame de Sévigné, etc., t. Ier, chap. Ier, p. 3.

[128] Vie de sainte Chantal, par la marquise de COLIGNY, en tête des Lettres de madame de CHANTAL. Paris, 1823. Ed. de Blaise.

Cette vie abrégée résume heureusement les principaux faits de la biographie de la baronne de Chantal. Elle est l'œuvre de la fille de Bussy-Rabutin, petite fille, par sa mère, de la sainte. Elle a surtout été composée avec le secours des Mémoires contemporains de la mère de Chaugy, du même ordre, sur la vie de madame de Chantal. Madame de Chaugy était fille de la sœur du comte de Toulongeon, qui épousa mademoiselle de Chantal, l'une des tantes de madame de Sévigné (Lettres de madame de Chantal; Paris, 1860, t. 1er, p. 522; note). Ces remarquables et très-curieux Mémoires ont été publiés en 1842 par M. l'abbé Boulangé. Ils furent connus et consultés par les deux principaux biographes de la mère de Chantal, le père Fichet, jésuite, qui fit paraître sur la fondatrice de l'ordre de la Visitation une Histoire in-4o, deux ans seulement après sa mort, et M. Henri de Maupas du Tour, évêque du Puy, plus tard d'Évreux, auteur également d'une vie très-détaillée. Il n'y a aucune estime à faire de la Vie de madame de Chantal par Marsollier, que le dernier et heureux historien de saint François de Sales, M. Hamon, appelle avec raison «le plus infidèle des biographes.» Une abondante source d'informations, pour l'histoire de l'aïeule de madame de Sévigné, et que nous n'avons point négligée, se trouve dans la collection de ses lettres, publiée depuis peu d'une manière très-complète par M. de Barthélemy, à laquelle il faut joindre aussi la précieuse correspondance de l'évêque de Genève.

[129] Détails historiques sur les ancêtres, le lieu de naissance, les possessions et les descendants de madame de Sévigné par M. Girault, en tête des Lettres inédites de madame de Sévigné; Paris, 1814, chez Klostermann. Introduction, p. XXV.

[130] Vie de la vénérable mère Jeanne-Françoise Frémiot de Chantal, première mère et religieuse de la Visitation de Sainte-Marie, par Henri de Maupas du Tour, évêque et comte du Puy; 2e édition, Paris, 1658, p. 72.—V. Aussi l'Histoire des ordres monastiques, religieux et militaires, par le père Hélyot, t. IV, p. 318.

[131] Vie de la sainte mère de Chantal, par le P. Alexandre Fichet, jésuite; Paris, 1643, p. 161.

[132] Vie de saint François de Sales, d'après les manuscrits et les auteurs contemporains, par M. Hamon, curé de Saint-Sulpice; Paris, 1858, 3e édition, t. Ier, p. 480.

[133] Vie de la mère de Chantal, par Alexandre Fichet, p. 132.

[134] Abrégé de la vie de la B. de Chantal; Paris, 1752, chez Claude Herissant, p. 10.—Cet excellent abrégé, en grande partie emprunté à la Vie de madame de Coligny, est l'œuvre d'une religieuse de la Visitation. Il mérite d'être cité.

[135] Vie de la vénérable mère Jeanne Françoise Frémiot, etc., par Henri de Maupas, p. 84.

[136] Abrégé de la vie de la B. de Chantal, etc., p. 13.

[137] ALEX. FICHET, p. 140.—Abrégé, etc., p. 13.

[138] HÉLYOT, Histoire des ordres monastiques, etc., t. IV, p. 313.

[139] Histoire de saint François de Sales, par M. Hamon; 3e éd., 1858, t. Ier, p. 513, et t. II, p. 11.

[140] Mémoires de madame de Chaugy. Ed. de M. Boulangé, p. 84.

[141] Abrégé de la vie de la B. de Chantal, p. 15.—HENRI DE MAUPAS, p. 151.

[142] HENRI DE MAUPAS, p. 155.

[143] Voici la lettre que l'évêque de Genève écrivit au vieux baron de Chantal au sujet de ce mariage. Elle a été publiée pour la première fois par M. le chevalier Datta, sous-archiviste aux archives de la cour de Turin, dans le recueil intitulé: Nouvelles lettres inédites de saint François de Sales; Paris, chez Blaise, 1835, t. Ier, p. 291.

A M. de Chantal, capitaine de 50 hommes d'armes, chevalier de l'ordre de Sa Majesté.

Monsieur,

J'ai bien assez de cognoissance de la grandeur de la courtoisie avec laquelle vous avez agréable le dessein du mariage de mademoiselle vostre fille aynée avec mon frère; mais il ne m'est pas advis que jamais j'en puisse faire aucune sorte de digne recognoissance et remercîment. Seulement vous supplié-je bien humblement de croire que vous ne pouviez obliger de cet honneur des gens qui le receussent avec plus de ressentiment que nous faisons, mes proches et moy, qui touts en sommes remplis de consolation; et bien, monsieur, que nous soyons fort esloignés des mérites que vous pouviez justement requérir pour nous faire cette faveur, et nous recevoir à une sy estroite alliance avec vous, sy espérerons-nous de tellement y correspondre par une entière, sincère et humble affection à vostre service, que vous en aurez contentement. En mon particulier, monsieur, permettez-moi que je dise que l'amitié non-seulement fraternelle, mais encore paternelle que je portois à ma petite sœur, m'est demeurée en l'esprit pour la donner à cette autre encore plus petite sœur que, ce me semble, me prépare [144-a]; et sy cela, lui donneray avec un surcroît de respect et d'estime tout singulier, et considération de l'honneur extrême que je vous porte, monsieur, et à M. de Bourges, et à M. le Président, sans y comprendre ce que je pense de la dilection que je dois à madame sa mère, vostre chère fille. Or j'espère que Dieu bénira le tout, et se rendra le protecteur de ce projet que je lui recommande de tout mon cœur, et qu'il vous conserve et comble de ses grandes grâces et faveurs; c'est le souhait perpétuel,

Monsieur,
De vostre plus humble et
très-affectionné serviteur,
FRANÇOIS, évêque de Genève

.

[144-a]: L'évêque venait de perdre une sœur qu'il aimait beaucoup.

[144] Abrégé de la Vie, etc., p. 18.

[145] Mémoires de madame de Chaugy, p. 94.

[146] MAUPAS, p. 169.—Abrégé de la Vie, etc., p. 16.

[147] Mémoires de madame de Chaugy, p. 96.

[148] Abrégé de la vie, etc., p. 20.

[149] Abrégé de la vie, etc.

[150] HENRI DE MAUPAS, p. 181.

[151] Ibid., p. 175.

[152] Abrégé de la vie, etc., p. 21, d'après les Mémoires de madame de Chaugy.—Histoire de saint François de Sales, par M. Hamon, t. II, p. 25.

[153] P. FICHET, p. 199.

[154] MADAME DE COLIGNY, Vie de sainte Chantal.

[155] Mémoires de madame de Chaugy.—HAMON, Hist. de saint François de Sales, t. II, p. 30.

[156] HENRI DE MAUPAS, p. 203.—Conf. aussi Lettres de saint François de Sales (éd. de Blaise), no CXCVIII.—FICHET, p. 208.—Mémoires de madame de Chaugy dans HAMON, t. II, p. 32.—COLIGNY, Vie de la B. de Chantal.

[157] HENRI DE MAUPAS, p. 204.

[158] Abrégé, etc., p. 26.—MARQUISE DE COLIGNY, Vie, etc.

[159] HENRI DE MAUPAS, p. 211.

[160] Abrégé de la Vie, etc., p. 26.

[161] Abrégé de la vie, etc., p. 27.

[162] Ibid., p. 30.

[163] Mémoires de madame de Chaugy, p. 141.

[164] MADAME DE COLIGNY, Vie de sainte Chantal.

[165] Abrégé de la vie, etc., p. 32.

[166] COLIGNY, Vie de sainte Chantal.

[167] HENRI DE MAUPAS, p. 298.

[168] COLIGNY, Vie, etc.—Lettres de madame de Rabutin Chantal. Ed. nouvelle par M. Édouard de Barthélemy, auditeur au conseil d'État. Paris, 1860, chez J. Lecoffre, t. Ier, p. 7.

[169] Les premières religieuses séjournèrent quelque temps rue Saint-Michel avant d'aller s'installer définitivement sur l'emplacement des écuries de l'hôtel Zamet, situé près de la Bastille. (P. FICHET, p. 333.)

[170] HENRI DE MAUPAS, p. 337.

[171] P. FICHET, p. 334.—Abrégé, etc., p. 37.

[172] Port-Royal, par M. Sainte-Beuve, t. Ier, p. 220.

[173] SAINTE-BEUVE, ibid., p. 221.

[174] P. FICHET, p. 338.—HENRI DE MAUPAS, p. 346.

[175] Lettres inédites de saint François de Sales, publiées par M. le chevalier DATTA. Paris, 1835, t. II, p. 120.—SAINTE-BEUVE, Port-Royal, t. Ier, p. 221.

[176] SAINTE-BEUVE, tome Ier, p. 249.

[177] HENRI DE MAUPAS, p. 345.

[178] SAINTE-BEUVE, Port-Royal, t. Ier, p. 224.

[179] HENRI DE MAUPAS, p. 344.

[180] MADAME DE CHAUGY, p. 180.—P. Fichet, p. 340.

[181] MADAME DE CHANTAL, lettre à la supérieure de Paris: Lettres, t. Ier, p. 473.—P. Fichet, p. 351.

[182] MADAME DE CHANTAL, Lettres, t. II, p. 94.

[183] Abrégé, etc., p. 40.

[184] HENRI DE MAUPAS, p. 364.

[185] Id., ibid., p. 365.

[186] MADAME DE CHANTAL Lettres, t. II, p. 251, 377 et 471.

[187] HENRI DE MAUPAS, p. 370.—Abrégé, etc., p. 42. Dans les lettres inédites données récemment par M. de Barthélemy, on voit bien toute la sollicitude de madame de Chantal pour la publication des œuvres de son ami. (Conf. t. II, p. 119, 120, 121, 151, 164, 184, 303 et 353. Ce deuxième volume est entièrement inédit.)

[188] HENRI DE MAUPAS, p. 371.

[189] HENRI DE MAUPAS, p. 366.

[190] Abrégé, etc., p. 42.

[191] HENRI DE MAUPAS, p. 359.

[192] Abrégé, etc., p. 42.

[193] Cf. WALCKENAER, Mémoires sur madame de Sévigné, t. Ier, p. 4-7. Cf. encore Notice sur la même, éd. Monmerqué, t. Ier, p. 55.

[194] Montmorency-Boutteville.

[195] HENRI DE MAUPAS, p. 383.—Mémoires de mad. de Chaugy, p. 211.

[196] HENRI DE MAUPAS, p. 385, d'après les Mémoires de madame de Chaugy.

[197] Mémoires de madame de Chaugy, p. 211.

[198] P. 38.

[199] Vie de sainte Chantal, par madame de Coligny, en tête des Lettres de sainte Chantal, éd. de Blaise, Paris, 1823.

[200] MADAME DE CHAUGY, p. 233.

[201] Nous reproduisons dans les notes placées à la fin du volume des fragments de la correspondance de madame de Chantal qui prouvent toute sa sollicitude pour l'enfance de madame de Sévigné, et sa grande affection pour la famille maternelle de celle-ci.

[202] Mémoires, p. 233.

[203] Madame de Montmorency, mœurs et caractères du dix-septième siècle, par Amédée Renée, 2e éd. Paris, 1858. MM. Didot frères, p. 161.

[204] Madame de Montmorency, p. 170.

[205] MADAME DE COLIGNY, Vie de sainte Chantal.

[206] V. Lettres de madame de Chantal, t. Ier, p. 109 et 114. Elle l'appelle le bon, le très-bon M. Vincent.

[207] MADAME DE COLIGNY, Vie de sainte Chantal.—Lettres de madame de Chantal, t. Ier, p. 70.

[208] MADAME DE CHANTAL, Lettres, t. Ier, p. 109.—MADAME DE COLIGNY, Abrégé, etc., p. 51.

[209] MADAME DE CHANTAL, Lettres, t. Ier, p. 559.—MADAME DE COLIGNY, Vie de sainte Chantal.

[210] Abrégé, etc., p. 52.

[211] AMÉDÉE RENÉE, Madame de Montmorency, p. 185.

[212] AMÉDÉE RENÉE, p. 189.

[213] HENRI DE MAUPAS, p. 484.

[214] Id., ibid., p. 471.

[215] Abrégé, etc., p. 53.

[216] HENRI DE MAUPAS, p. 484.—MADAME DE CHAUGY, p. 276.

[217] HENRI DE MAUPAS, p. 485. Le P. Fichet l'appelle alors le miracle de ce siècle (p. 451).

[218] HENRI DE MAUPAS, p. 747.

[219] Abrégé, etc., p. 53.

[220] HENRI DE MAUPAS, p. 489.

[221] Id., ibid., p. 492.

[222] MADAME DE COLIGNY, Vie de sainte Chantal.

[223] AMÉDÉE RENÉE, p. 190.

[224] Abrégé, etc., p. 54.

[225] Détails recueillis par la mère de Musy, supérieure du couvent de Moulins.—V. aussi le P. Fichet, p. 455.

[226] HENRI DE MAUPAS, p. 508.—Mémoires de madame de Chaugy, p. 283.

[227] MADAME DE COLIGNY, Vie de sainte Chantal.

[228] Oraison funèbre de la vénérable mère de Chantal, prononcée à Paris, aux religieuses de la Visitation.

[229] Mémoires de madame de Chaugy, p. 291.

[230] Voir, sur les derniers temps de madame de Chantal, ses Lettres (éd. de M. de Barthélemy), t. Ier, p. 557-579.

[231] Le premier biographe en date de madame de Chantal, le P. Fichet, qui au lendemain de sa mort écrivait une histoire de la sainte, publiée deux ans après, parle en deux endroits de Marie de Rabutin, alors sur le point d'épouser le marquis de Sévigné. Page 66, il l'appelle «une héritière belle, riche et très-vertueuse;» et p. 108, «la perle des demoiselles et un rare parti.»

[232] Oraison funèbre de la mère de Chantal, par le père de Lingendes.

[233] Sentiment de saint Vincent de Paul, de la sainteté de la mère de Chantal, dans l'Abrégé de la vie, etc., p. 57.

[234] Abrégé, etc., p. 56.

A la mort de madame de Chantal on comptait quatre-vingt-sept monastères de la Visitation, et en 1792, à l'époque de la suppression des ordres religieux, cent soixante-sept. Il en existe aujourd'hui cent huit, tant en France qu'à l'étranger. (Tableau placé par M. l'abbé Boulangé à la fin de son édition des Mémoires de madame de Chaugy, sur l'histoire de la mère de Chantal.)

[235] SÉVIGNÉ, Lettres (17 mai, 1676), t. IV, p. 298.

[236] Conf. WALCKENAER, Mémoires sur madame de Sévigné, t. III, p. 325. Voy. la description de ce tombeau dans AMÉDÉE RENÉE, Madame de Montmorency, p. 321.

[237] Lettres, t. IV, p. 299.

[238] Conf. WALCKENAER, t. III, p. 324.

[239] Voy. sur la marquise de Valençay et ses filles, SAINT-SIMON, t. VII, p. 110, et Mémoires de Dangeau, t. Ier, p. 48 (éd. Didot).

[240] Lettres (1676), t. IV, p. 298.

[241] Lettres, t. IV, p. 303.

[242] Lettres, t. IV, p. 305 et 355.—Sur M. de Saint-Hérem, voir Mémoires du duc de Saint-Simon, t. III, p. 206; XII, p. 396, et XIX, p. 307.

[243] Sur madame de Longueval, conf. SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 308, 314, 322 et 431; VI, p. 476; VII, p. 419, et VIII, p. 117 et 135.

[244] Mémoires, t. Ier, p. 115, et II, p. 230.

[245] Lettres (16 mars 1672), t. II, p. 365. Voy. aussi même volume, p. 296 et 414.

[246] Ibid., p. 292.

[247] SAINT-SIMON, t. III, p. 206.

[248] Citée aussi pour sa beauté.

[249] SÉVIGNÉ, Lettres (12 octobre 1677), t. V, p. 253.

[250] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 306, 325.

[251] SÉVIGNÉ, Lettres (1676), t. IV, p. 304.

[252] SÉVIGNÉ, Lettres (24 mai 1676), ibid., p. 310.

[253] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 309 et 323.

[254] Histoire et Topographie de Vichy et de ses environs, par le docteur Barthez. Vichy, 1856, p. 17.

[255] Paroles de Fléchier, dans M. Barthez, p. 19.

[256] Histoire et Topographie de Vichy et de ses environs, par M. Barthez, p. 39-50.

[257] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 337.

[258] SÉVIGNÉ, Lettres (26 mai 1676), t. IV, p. 314.

[259] SÉVIGNÉ, Lettres (8 juin 1676), t IV, p. 331.

[260] SÉVIGNÉ, Lettres (12 juin 1676), t. IV, p. 337.

[261] SÉVIGNÉ, Lettres (11 juin 1676), ibid., p. 333.

[262] SÉVIGNÉ, Lettres, ibid., p. 334.

[263] SÉVIGNÉ, Lettres (4 juin 1676), t. IV, p. 325.—Sur cette famille de la Baroir, voir Tallemant des Réaux, t. IX, p. 69.

[264] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 325 et 331.

[265] SÉVIGNÉ, Lettres (11 juin 1676), t. IV, p. 333.

[266] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 306 et 310.

[267] C'était la promenade du bel air, à Aix.

[268] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 314 et 322.

[269] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 335.

[270] SÉVIGNÉ, Lettres, ibid., p. 304 et 305.

[271] SÉVIGNÉ, Lettres, ibid., p. 324.

[272] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 307.

[273] Renommé pour sa beauté.

[274] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 316.

[275] SÉVIGNÉ, ibid., p. 322.

[276] SÉVIGNÉ, ibid., p. 324.

[277] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 331.

[278] SÉVIGNÉ, Lettres, ibid., p. 316 et 338.

[279] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 371 et 412.

[280] SÉVIGNÉ, ibid., p. 339 et 342.

[281] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p 342.

[282] SÉVIGNÉ, Lettres, ibid.

[283] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 342 et 345.

[284] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 300.

[285] Mémoires, t. XIII, p. 193. On a même publié en un gros volume les recettes de madame Fouquet.

[286] SAINT-SIMON, ibid., p. 194.

[287] SAINT-SIMON, t. XIII, p. 195; t. XIV, p. 112.

[288] SAINT-SIMON, t. XIII, p. 196.

[289] SAINT-SIMON, t. XIII, p. 196.

[290] SAINT-SIMON, ibid.

[291] SÉVIGNÉ, lettre du 21 juin 1676, t. IV, p. 346.

[292] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p 350.

[293] SÉVIGNÉ, ibid., p. 356.

[294] Voy. surtout Causes célèbres de Richer, t. Ier, p. 362.

[295] Billet de Corbinelli dans les Lettres de madame de Sévigné, t. IV, p. 259. Conf. aussi t. VI, p. 259 et 277.

[296] T. IV, p. 272. Afin de ne rien oublier de ses crimes, la marquise de Brinvilliers avait pris la précaution de les écrire. Son avocat (voir Richer, Causes célèbres) analyse cette confession, qui servit de base à la condamnation, et cherche à prouver qu'elle ne doit point être invoquée contre l'accusée.—Voir aussi les notes de ce volume.

[297] Celui qui l'avait instruite dans l'art des poisons.

[298] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 277.

[299] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 274.

[300] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 375.

[301] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 358 et 375.

[302] SÉVIGNÉ, Lettres (17 et 22 juillet 1676), t. IV, p. 378 et 383.

[303] Conférez Mémoires sur madame de Sévigné, t. V, p. 190 et suiv.

[304] Histoire de madame de Maintenon et des principaux événements du règne de Louis XIV, par M. le duc de Noailles, de l'Académie française. 2e édition. Paris, 1849, t. Ier, p. 516-520.

[305] Lettre à l'abbé Gobelin, Histoire de madame de Maintenon, t. Ier, p. 518.

[306] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 284.

[307] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 372.

[308] SÉVIGNÉ, Lettres (10 juillet 1676), t. IV, p. 375.

[309] Allusion à l'une des féeries du roman d'Amadis de Gaule.

[310] SÉVIGNÉ, Lettres (29 juillet 1676), t. IV, p. 394.

[311] SÉVIGNÉ, Lettres (7 août 1676), t. IV, p. 415.

[312] Même lettre, p. 416.

[313] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 432.

[314] SÉVIGNÉ, Lettres, ibid., p. 429.

[315] SÉVIGNÉ, Lettres (21 août 1676), t. IV, p. 436.

[316] M. Monmerqué nous apprend qu'on désignait ainsi mademoiselle de Montgeron. (Note de la lettre citée.)

[317] SÉVIGNÉ, Lettres (26 août 1676), t. IV, p. 441.

[318] SÉVIGNÉ, Lettres, ibid., p. 462.

[319] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 453.

[320] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 455.

[321] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 460.

[322] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 463.

[323] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 467.

[324] Madame de Grignan objectait sans doute à sa mère les trente ans de madame de Soubise et ses huit enfants.

[325] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 7.

[326] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 11.

[327] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 14 et 19.

[328] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 20.

[329] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 30.

[330] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 34.

[331] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 53.

[332] Mémoires de madame de Caylus, coll. Michaud, t. XXXII, p. 486.

[333] Sur madame de Soubise conférez Mémoires du duc de Saint-Simon, t. XIII, p. 104. Voir aussi t. II, p. 155-167, 387, 309; t. V, p. 280, 431 et 433; t. VI, p. 151, 436; VII, p. 60; X, p. 219, 258; XI, p. 237; XIII, p. 5; XVIII, p. 4.

[334] SÉVIGNÉ, Lettres (6 novembre 1676), t. V, p. 54.

[335] Terre achetée par madame de Montespan.

[336] T. V, p. 66, lettre du 18 novembre 1676. Dans une lettre du 29 septembre de l'année précédente on trouve le mot de cette comparaison. «Le bon abbé (écrit madame de Sévigné parlant de son oncle de Coulanges) est fort en colère contre M. de Grignan; il espéroit qu'il lui manderoit si le voyage de Jacob a été heureux, s'il est arrivé à bon port dans la terre promise, s'il y est bien placé, bien établi, lui et ses femmes, ses enfants, ses moutons, ses chameaux.» C'était une collection de figurines en cire ou en bois, représentant le voyage du patriarche en Égypte.

[337] Mémoires, etc., t. V, p. 138, 160-167.

[338] Pour ces citations, V. SÉVIGNÉ, t. IV, p. 30, 45, 54 et 55.—Sur la démission du cardinal de Retz, voir ses Mémoires (coll. Michaud, t. XXV, p. 612).

[339] Nièce à la mode de Bretagne. (Conf. WALCKENAER, t. V, p. 167.)

[340] SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 357.

[341] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 320.

[342] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 327.

[343] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 405.

[344] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 410.

[345] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 443.

[346] SÉVIGNÉ, lettre du 7 octobre 1676, t. V, p. 17.

[347] Note de M. Monmerqué à la lettre du 7 octobre.

[348] Mémoires de Coulanges, formant le t. XI de l'édition de M. Monmerqué, p. 65.—Mémoires du cardinal de Retz, p. 614.

[349] Lettres, t. V, p. 64 et 68.

[350] V. Lettres de madame de Sévigné, t. IV, p. 477; V, p. 19, 25, 32, 45, 47, 48, 59 et 62.

[351] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 39.

[352] SÉVIGNÉ, Lettres (28 octobre 1676), t. V, p. 43.

[353] Vie de Colbert par M. Pierre Clément, p. 106.

[354] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 63.

[355] Biographie Michaud, art. Colbert, par M. Villenave.

[356] SÉVIGNÉ, lettre du 18 novembre, t. V, p. 66.

[357] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 70.

[358] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 71.

[359] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 73.

[360] Allusion au langage de la philosophie cartésienne, familière à madame de Grignan.

[361] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 74.

[362] Mémoires sur madame de Sévigné, t. V, p. 147.

[363] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 147.

[364] Correspondance de Bussy-Rabutin (lettre du 16 août 1674), t. II, p. 385.

[365] Corr. de Bussy, t. II, p. 396 (lettre du 19 septembre 1674).

[366] Corr. de Bussy, t. III, p. 401.

[367] Correspondance de Bussy-Rabutin (lettres des 16 août et 5 septembre 1674), t. III, p. 385 et 393.

[368] SÉVIGNÉ (lettre du 8 octobre 1675), t. IV, p. 28.

[369] Correspondance de Bussy-Rabutin, t. III, p. 108.

[370] Corr. de Bussy, t. III, p. 67.

[371] Correspondance de Bussy, t. III, p. 72.

[372] Correspondance de Bussy, t. III, p. 73.

[373] Corr. de Bussy, t. III, p. 78.

[374] Corr. de Bussy, t. III, p. 155.

[375] Corr. de Bussy, t. III, p. 101.

[376] Correspondance de Bussy-Rabutin, t. III, p. 161.

[377] Correspondance de Bussy, t. III., p. 163.

[378] Correspondance de Bussy, t. III., p. 165.

[379] SÉVIGNÉ, Lettres (6 août 1675), t. III, p. 276.

[380] SÉVIGNÉ, lettre du 27 août 1675, t. III, p. 433.—Conf. WALCKENAER, t. IV, p. 279.

[381] SÉVIGNÉ, lettre du 9 janvier 1676, t. IV, p. 176.

[382] Correspondance de Bussy (20 octobre 1675), t. III, p. 111.

[383] SÉVIGNÉ, Lettres (20 décembre 1675), t. IV, p. 136.

[384] Correspondance de Bussy-Rabutin, t. III, p. 129.

[385] Correspondance de Bussy-Rabutin, t. III, p. 459.

[386] Correspondance de Bussy, t. II, p. 436.

[387] Correspondance de Bussy, t. II, p. 437.

[388] Correspondance de Bussy, t. II, p. 438.

[389] Correspondance de Bussy, t. II, p. 442.

[390] Placet du 9 juin 1674, Correspondance, t. II, p. 444.

[391] Conf. WALCKENAER, t. V, p. 60.

[392] Correspondance de Bussy, t. III, p. 150.

[393] Conf. WALCKENAER, t. I et II, passim.

[394] Correspondance de Bussy, t. III, p. 169.

[395] SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 474.

[396] Correspondance de Bussy, t. III, p. 184.

[397] Voy. la nouvelle et plus complète édition de ces Mémoires donnée en 1857 par M. Ludovic Lalanne.

[398] Corresp. de Bussy-Rabutin (31 octobre 1676), t. III, p. 189.

[399] Mercure galant, Ier volume de 1677, contenant en un seul tome les mois de janvier, février et mars, p. 26. A partir d'avril chaque mois forme un volume.

[400] T. Ier, p. 46.

[401] Mercure galant, t. Ier p. 46.

[402] Mercure galant (1677), t. Ier, p. 49.

[403] Marie-Élisabeth de Ludre avait d'abord été placée comme fille d'honneur auprès de la première duchesse d'Orléans, la belle Henriette d'Angleterre. A la mort de cette princesse, elle entra dans la maison de la reine, et, lors de la suppression des filles d'honneur de Marie-Thérèse, MONSIEUR la mit auprès de sa deuxième femme.

[404] Correspondance de Bussy-Rabutin, t. III, p. 205; lettre du 30 janvier 1677.

[405] Correspondance de Bussy-Rabutin, t. III, p. 209.

[406] Correspondance de Bussy-Rabutin, t. III, p. 211, lettre du 7 février 1677.

[407] Correspondance de Bussy-Rabutin, t. III, p. 212.

[408] Mercure galant, Ier vol. de 1677, p. 66.

[409] Ibid., p. 67.

[410] Ibid., p. 170.

[411] Mercure galant (1677), t. Ier, p. 177.

[412] Ibid., p. 180.

[413] Mercure galant (1677), t. Ier, p. 202, et Mémoires de la Fare, coll. Michaud, t. XXXII, p. 285.

[414] Mémoires de la Fare, coll. Michaud, t. XXXII, p. 285. Voy. aussi sur cette campagne, même collection, t. XXX, p. 559, et Mémoires du maréchal de Villars, t. XXXIII, p. 14.

[415] Mercure, janvier 1678, p. 1.

[416] Ces vers ont été donnés pour la première fois dans le Mercure de juillet 1677, p. 166.

[417] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 81. Voy. aussi Lettres inédites de madame de Sévigné, 1814, éd. Klostermann, p. 74.

[418] Correspondance de Bussy-Rabutin, t. III, p. 197.

[419] Collection Michaud, t. XXXII, p. 285.

[420] Lettres inédites, éd. Bossange (1819), p. 72.

[421] Conf. Réflexion sur les Lettres de madame de Sévigné, par M. l'abbé de Vauxcelles, réimprimées en tête de l'édition des Lettres choisies, Paris, 1817, chez Bossange et Masson.

[422] SÉVIGNÉ, Lettres (juin 1677), t. V, p. 83.

[423] SÉVIGNÉ, Lettres (11 juin 1677), t. V, p. 87.

[424] SÉVIGNÉ, Lettres (14 juin 1677), t. V, p. 89.

[425] Ibid. (15 juin 1677), t. V, p. 92.

[426] SÉVIGNÉ, Lettres (16 juin 1679), t. V, p. 94.

[427] SÉVIGNÉ, Lettres (30 juin 1677), t. V, 109.

[428] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 136.

[429] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 145 et 152.

[430] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 183.

[431] SÉVIGNÉ, Lettres (9 juillet 1677), t. V, p. 121.

[432] SÉVIGNÉ, Lettres (16 juillet 1677), t. V, p. 130.

[433] SÉVIGNÉ, Lettres (16 juillet), t. V, p. 130.

[434] SÉVIGNÉ, Lettres (15 juin), t. V, p. 106.

[435] SÉVIGNÉ, Lettres (19 juillet), t. V, p. 135.

[436] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 98.

[437] SÉVIGNÉ, Lettres (18 juin 1677), t. V, p. 99.

[438] SÉVIGNÉ, Lettres (23 juin), t. V, p. 104.

[439] SÉVIGNÉ, Lettres (25 juin), t. V, p. 106.

[440] Sur les années précédentes Conf. WALCKENAER, t. V, p. 162.

[441] Retz avait déjà quitté Saint-Mihiel pour Commercy.

[442] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 96.

[443] SÉVIGNÉ, Lettres (2 juillet 1677), t. V, p. 112.

[444] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 116.

[445] SÉVIGNÉ, Lettres (7 juillet), t. V, p. 118.

[446] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 120.

[447] SÉVIGNÉ, Lettres (14 juillet), t. V, p. 128.

[448] SÉVIGNÉ, Lettres (28 juillet), t. V, p. 156.

[449] Peut-être était-ce là l'objet de la mission de Corbinelli.

[450] SÉVIGNÉ, Lettres (28 août 1677), t. V, p. 209.

[451] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 252.

[452] Son aumônier.

[453] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 270.

[454] Voy. la notice sur Retz en tête de ses Mémoires, coll. M, t. XXVI.

[455] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 81.

[456] Allusion à la puissante et longue faveur de Diane de Poitiers.

[457] SÉVIGNÉ, Lettres (11 juin 1677), t. V, p. 88.

[458] SÉVIGNÉ, Lettres (24 février 1673) t. III, p. 72.

[459] SÉVIGNÉ (lettre de madame de la Fayette du 19 mai 1673), t. III, p. 81.

[460] SÉVIGNÉ, Lettres (24 avril 1671), t. II, p. 32.

[461] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 104.

[462] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 93.

[463] Lettre de madame de Montmorency du 18 juin 1677, Corr. de Bussy, t. III, p. 280.

[464] Correspondance de Bussy, t. III, p. 209.

[465] Correspondance de Bussy-Rabutin, t. III, p. 269 et 277.

[466] Correspondance de Bussy-Rabutin (lettre du 19 juin 1677), t. III, p. 281.

[467] Correspondance de Bussy-Rabutin (lettre du 23 juin), p. 285.

[468] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 104.

[469] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 111.

[470] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 113.

[471] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 167.

[472] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 119.

[473] SÉVIGNÉ, Lettres (28 juillet), t. V, p. 157.

[474] SÉVIGNÉ, Lettres (12 octobre), t. V, p. 254.

[475] SÉVIGNÉ, Lettres (4 et 6 septembre), t. V, p. 219 et 221.

[476] Lettre de madame de Scudéry du 28 janvier 1678. (Corresp. de Bussy, t. IV, p. 21).

[477] Corresp. de MADAME, duchesse d'Orléans. Ed. G. Brunet, t. Ier, 457.

[478] Corresp. de Bussy-Rabutin (10 février 1678), t. IV, p. 32.

[479] Corresp. de Bussy-Rabutin, t. IV, p. 43.

[480] SÉVIGNÉ, Lettres (2 octobre 1680), t. VII, p. 11.

[481] Corresp. de MADAME, duchesse d'Orléans, t. 1er, p. 457.

[482] Mercure galant, juillet 1677, p. 142.

[483] Voir ces détails dans le Mercure galant, juillet 1677, p. 143 et suiv.

[484] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 105.

[485] Conf. Mémoires, etc., t. V, p. 360-369.

[486] SÉVIGNÉ, Lettres, (26 juillet 1677), t. V, p. 150.

[487] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 150.

[488] SÉVIGNÉ, Lettres (25 juin 1677), t. V, p. 108.

[489] SÉVIGNÉ, Lettres (21 juillet 1677), t. V, p. 143.

[490] SÉVIGNÉ, Lettres (5 août 1677), t. V, p. 174.

[491] SÉVIGNÉ, Lettres (5 août 1677), t. V, p. 117.

[492] Conf. lettre du 16 juillet 1677, t. V, p. 133.

[493] SÉVIGNÉ, Lettres (28 Juillet 1677), t. V, p. 154.

[494] SÉVIGNÉ, Lettres (5 août), t. V, p. 173.

[495] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 178.

[496] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 184.

[497] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 188.

[498] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 189-217.

[499] Correspond. de Bussy-Rabutin (1er sept. 1677), t. III, p. 340.

[500] Voir supra, p. 139 et suiv.

[501] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 231, 234 et 245.

[502] Conf. WALCKENAER, t. IV, p. 68 et 334.

[503] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 127 et 162.

[504] SÉVIGNÉ, Lettres (14 juillet), t. V, p. 129.

[505] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 222.

[506] SÉVIGNÉ, Lettres (13 septembre 1677), t. V, p. 224.

[507] SÉVIGNÉ, Lettres (16 septembre 1677), t. V, p. 228.

[508] SÉVIGNÉ, Lettres (19 septembre), t. V, p. 220.

[509] Lettres inédites de madame de Sévigné, p. 21.

[510] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 232.

[511] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 234.

[512] SÉVIGNÉ, Lettres (24 septembre 1677), t. V, p. 236.

[513] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 239.

[514] SÉVIGNÉ, Lettres (4 octobre), t. V, p. 245.

[515] SÉVIGNÉ, Lettres (7 octobre 1677), t. V, p. 249.

[516] Madame de Sévigné veut parler de l'église du couvent des religieuses de l'Annonciade, nommées Filles bleues, de leur costume, qui se trouvait dans la rue Culture-Sainte-Catherine même.

[517] SÉVIGNÉ, Lettres (7 octobre 1677), t. V, p. 248.

[518] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 265.

[519] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 272.

[520] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 278.

[521] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 281.

[522] Lettres inédites de madame de Sévigné. Ed. Klostermann, p. 113.

[523] Ce nom, on le sait, était donné à madame de Grignan par Bussy en souvenir de la belle héroïne de Pierre de Provence.

[524] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 285.

[525] Correspondance de Bussy-Rabutin (lettre du 13 décembre 1677), t. III, p. 438.

[526] SÉVIGNÉ, Lettres (2 janvier 1678), t. V, p. 295.

[527] C'est le nom que donnait Bussy à mademoiselle de Sévigné.

[528] Correspondance de Bussy-Rabutin (lettre du 5 janvier 1678), t. IV, p. 2.

[529] Corr. de Bussy-Rabutin (lettre du 20 mars 1675), t. III, p. 11.

[530] Ibid. p. 360.

[531] Correspondance inédite de Bussy-Rabutin, lettre du 17 juillet 1668, citée par Mr le baron WALCKENAER, t. III, p. 92.

[532] Correspondance de Bussy-Rabutin, t. III, p. 18.

[533] VOLTAIRE: Siècle de Louis XIV, chap. XVI.

[534] Correspondance de Bussy, t. IV, p. 99.

[535] Corresp. de Bussy, t. IV, p. 101 (lettre du 28 avril).

[536] Corr. de Bussy (lettre de madame de Scudéry du 14 juillet 1678), t. IV, p. 152.

[537] Correspondance de Bussy, t. IV, p. 153.

[538] Note de M. Ludovic Lalanne à la lettre de Bussy du 28 avril.

[539] Elle se compose de quarante trois lettres. Ce sont les deux années qui en fournissent le plus pendant toute la durée des relations de Bussy avec sa cousine.

[540] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 60.

[541] SÉVIGNÉ, Lettres (19 mars 1678), t. V, p. 317. Correspondance de Bussy-Rabutin, t. IV, p. 61.

[542] SÉVIGNÉ, Lettres (13 octobre 1677), t. V, p. 262.—Correspondance de Bussy, t. III, p. 388.

[543] Correspondance de Bussy-Rabutin, t. III, p. 390.

[544] Correspondance de Bussy-Rabutin, t. III, p. 424.

[545] Correspondance de Bussy-Rabutin, t. III, p. 330.

[546] SÉVIGNÉ, Lettres (3 novembre 1677), t. V, p. 281, et Bussy, t. III, p. 405.

[547] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 300.—Correspondance de Bussy, t. IV, p. 14 et 15.

[548] Personnages de comédie.

[549] SÉVIGNÉ, Lettres (19 mars), t. V, p. 318. Corr. Bussy, t. IV, p. 61.

[550] Mémoires sur la vie de Jean Racine, par Louis Racine, son fils, p. 108, cités par M. le duc de Noailles, Histoire de madame de Maintenon, t. Ier, p. 126.

[551] Correspondance de Bussy-Rabutin, t. III, p. 399, 401, 414 et 417.

[552] Mémoires de l'abbé de Choisy. (Coll. Michaud., t. XXX, p. 553.)

[553] Correspondance de Boileau, Despréaux et Brossette publiée par M. Laverdet; Paris, 1858, p. 231, 232, 233, 367 et 387.

[554] Correspondance de Bussy-Rabutin, t. IV, p. 355.

[555] Corresp. de Bussy-Rabutin (23 déc. 1676) t. III, p. 355.

[556] Correspondance de Bussy-Rabutin (lettre du 30 avril 1679), t. IV, p. 356.

[557] Correspondance de Bussy-Rabutin (lettre du 16 mai 1679), t. IV, p. 364.

[558] SÉVIGNÉ, Lettres (27 juin 1679), t. V, p. 408.—Correspondance de Bussy-Rabutin, t. IV, p. 396.

[559] Correspondance de Bussy-Rabutin (lettre du 4 juillet 1679), t. IV, p. 400.

[560] Ibid. Cette dernière phrase ne sa trouve point dans le texte publié par M. L. Lalanne, mais on la lit dans l'édition des Lettres de Madame de Sévigné par M. Monmerqué, t. V, p. 412.

[561] Art de vérifier les dates, éd. in 8o, 2e partie, t. VI, p. 289. Correspondance de Bussy-Rabutin, t. IV, p. 80.—Nous ajoutons ici un passage d'une lettre de Pellisson, datée du camp devant Ypres, le 19 mars 1678, qui vient à l'appui de ce que nous avons déjà dit (chap. II, p. 61) sur le calme et le sang-froid de Louis XIV à la guerre: «.... Comme le roi regardoit la place avec les excellentes lunettes du capucin de Paris, un boulet de canon passa sur sa tête, mais assez haut. Il remarqua qu'on chargeoit la pièce pour pointer plus bas, et le dit: on n'y manqua pas, et le coup donna à côté et fort proche. Il vit pointer une troisième fois, et dit à ceux qui le suivoient: Otons-nous d'ici; et, un peu après, le coup porta sur l'endroit où il avoit été longtemps arrêté.» (Lettres historiques de Pellisson, année 1678.)

[562] SÉVIGNÉ, Lettres (23 août 1678), t. V, p. 352. Correspondance de Bussy, t. IV, p. 176.

[563] Conf. SAINT-SIMON, t. X, p. 207.

[564] Mercure galant, vol. de septembre 1678, p. 312.

[565] Mémoires du chevalier Temple. (Coll. Michaud, t. XXXII, p. 158.)

[566] Mémoires du chevalier Temple (Coll. Michaud, t. XXXII, p. 158.)

[567] V. le Mercure galant. Les volumes de janvier, février, mars, juin et juillet sont remplis des détails de ces fêtes.

[568] Mercure galant, volume de janvier 1679.

[569] Mercure galant, vol. de mars 1678, p. 359.

[570] Portraits de femmes, par SAINTE-BEUVE (Madame de La Fayette), 2e édition; Paris, 1857, chez Didier et Cie.

[571] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 319, 343 et 346.

[572] Correspondance de Bussy-Rabutin, t. IV, p. 101.

[573] Corr. de Bussy (Lettre du 5 mai 1678), t. IV, p. 104.

[574] M. MONMERQUÉ les trouve d'un trop mince intérêt.

[575] SÉVIGNÉ, Lettres inédites (28 avril 1678); Paris, 1814, p. 17.

[576] Honnêtes gens, personnes de distinction.

[577] Corr. de Bussy, t. IV, p. 126.

[578] SÉVIGNÉ, Lettres (27 juin 1678), t. V, p. 339.

[579] Corr. de Bussy-Rabutin, t. IV, p. 140.

[580] SÉVIGNÉ, Lettres (19 juin 1675), t. III, p. 299.

[581] SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 80 et 458; IV, p. 43, 74, 132, 268, 269, 411 et 432; t. V, passim.

[582] Note de M. Monmerqué à la Lettre du 24 juillet 1680.

[583] Connu par son zèle pour l'histoire et la Collection qui porte son nom à la Bibliothèque impériale.

[584] Corr. de Bussy, t. IV, p. 169.

[585] Corr. de Bussy, t. IV, p. 173.

[586] La première mention, réellement, se lit dans une lettre de madame de Scudéry à Bussy, à propos de la mort de madame de Monaco: «On l'a crue empoisonnée, dit-elle; mais on n'accuse pas son mari quoique Italien.» Bussy est ou plus crédule, ou plus juste, ou plus cruel; il ne doute pas que madame de Monaco n'ait été empoisonnée: «Elle méritoit de l'être, ajoute-t-il, et son mari est Italien.» (T. IV, p. 124 et 129.)

[587] Mémoires de l'abbé Blache dans la Revue rétrospective, t. Ier, p. 5 et suiv.—Conf. Corresp. de Bussy-Rabutin, note de l'éditeur, t. IV, p. 488.

[588] Conf. sur d'Hacqueville WALCKENAER, t. I, p. 219; II, p. 8 et 121; III, p. 339.

[589] Siècle de Louis XIV. Chap. XXVI.

[590] SÉVIGNÉ (Lettre du 2 septemb. 1676), t. IV, p. 452.

[591] Ibid.

[592] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 333, 335 et 340. Corr. de Bussy-Rabutin, t. IV, p. 112, 123, 133, 138 et 140.

[593] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 383.

[594] Correspondance de Bussy-Rabutin, t. IV, p. 269.

[595] Mémoires de Bussy, t. Ier, passim.

[596] Histoire généalogique de la maison de Gondi, par Corbinelli et Pezay, Paris, 1705.

[597] Mercure galant, volume de décembre 1678, p. 266.

[598] Ibid., janvier, 1679, p. 300.

[599] Voir dans ce volume, chap. Ier p. 38.

[600] Volume de décembre, p. 252.

[601] Mercure galant, vol. de janvier 1679, p. 161.

[602] Conf. WALCKENAER, t. III, p. 137.

[603] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 371.

[604] Siècle de Louis XIV, chap. XXVIII.

[605] SÉVIGNÉ, Lettres (18 décembre 1678 et 27 février 1679), t. V, p. 385 et 393.

[606] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 393.

[607] Correspondance de Bussy-Rabutin, t. IV, p. 280.

[608] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 394.

[609] Ibid.

[610] Conf. Mémoires sur madame de Sévigné, t. III, p. 241: M. le baron Walckenaer y a traité d'une manière aussi heureuse que complète tout cet épisode des amours de Lauzun et de mademoiselle de Montpensier.

[611] Conf. WALCKENAER, t. II, p. 277.—Delort, Histoire de la détention des philosophes et des gens de lettres, t. Ier, p. 286.—Notice sur Fouquet, par M. P. Clément, en tête de sa Vie de Colbert; Paris, 1846, p. 67.

[612] Toutes les biographies disent de Rouergue.

[613] Mercure galant, oct. 1678, p. 338.

[614] Correspondance de madame la duchesse d'Orléans. Éd. de M. G. Brunet; Paris, Charpentier, 1859, t. Ier, p. 198, 254 et 390.

[615] Ibid., t. II, p. 221.

[616] Correspondance de Bussy-Rabutin, t. IV, p. 239.

[617] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 401.—Corr. de Bussy, t. IV, p. 371.

[618] SÉVIGNÉ, t. V, p. 409.

[619] Conf. WALCKENAER, t. Ier, p. 20.

[620] Lettre sans date de madame de Scudéry à Bussy, Corresp. de Bussy-Rabutin, t. III, Appendice, p. 435.

[621] Correspondance de Bussy-Rabutin, t. IV, p. 240.

[622] Correspondance de Bussy, t. IV, p. 244.

[623] Correspondance de Bussy, t. IV, p. 247. Anne Marie, fille de Louis de la Trémouille, duc de Noirmoutier, veuve en première noces de Talleyrand, prince de Chalais, épousa en 1675 Flavio des Ursins, duc de Bracciano. Connue d'abord sous ce dernier nom, elle prit, vers 1698, celui de des Ursins qu'elle a rendu fameux.

[624] SÉVIGNÉ, Lettres du 14 juin 1675, t. III, p. 312.

[625] Mémoires sur madame de Sévigné, tom. V, p. 167.

[626] SÉVIGNÉ, Lettres (26 juin 1675), tom. III, p. 307.

[627] SÉVIGNÉ, Lettres, tom. III, p. 336.

[628] SÉVIGNÉ, Lettres (9 sept. 1675), p. 460.

[629] V. supra, p. 247.

[630] Lettres inédites de madame de Sévigné, éd. Klostermann, p. 202, année 1679.—Le second éditeur des Lettres inédites, Bossange, donne à celle-ci la date de 1678; mais nous adoptons de préférence la date de 1679 indiquée par MM. le comte Germain et de Monmerqué sur un exemplaire de M. de La Porte.

[631] SÉVIGNÉ, Lettres (27 mai 1679), t. V, p. 400.

[632] Lettres inédites de madame de Sévigné, éd. Klostermann, p. 204.

[633] SÉVIGNÉ, Lettres inédites (25 août 1679), éd. Klostermann, p. 35.

[634] SÉVIGNÉ, Lettres (25 août 1679), t. V, p. 421.

[635] SÉVIGNÉ, Lettres (28 août), p. 423.—Corresp. de Bussy-Rabutin, t. IV, p. 440.

[636] Mercure galant de septembre 1679, p. 194.

[637] Oraison funèbre du chancelier Le Tellier, prononcée dans l'église de Saint-Gervais le 2 janvier 1686.

[638] SÉVIGNÉ, Lettres (19 juin 1675), t. III, p. 301.

[639] SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 302. M. Walckenaer (Mémoires sur madame de Sévigné, t. V, p. 164) a parlé de ce portrait, dont il n'a donné que la dernière phrase, que, pour cette raison, nous avons omise. Elle a trait au départ du cardinal pour Saint-Mihiel, départ dont l'auteur ne se montre point la dupe.

[640] SÉVIGNÉ, Lettres (3 juillet 1675), t. III, p. 318.

[641] Mémoires du cardinal de Retz, t. II, Appendice (édition faisant partie de la Bibliothèque variée publiée par le Comptoir des Imprimeurs-unis, sous la direction de Charles Nodier.)

[642] SÉVIGNÉ, Lettres (25 août 1679), t. V, p. 421.

[643] Corresp. de Bussy-Rabutin, t. IV, p. 440.

[644] SÉVIGNÉ, Lettres, t. VI, p. 269.

[645] Deuxième édition des Lettres inédites (Paris, Bossange), note à la lettre Ve, p. 204.—Notes de M. Monmerqué, Lettres de madame de Sévigné, t. V, p. 422 et VI, p. 269.

[646] SÉVIGNÉ, Lettres, t. VI, p. 433.

[647] T. VI, p. 423. A la fin de l'édition nouvelle des Mémoires du cardinal de Retz, donnée par MM. Champollion-Figeac dans la collection Michaud et Poujoulat (t. XXV), on trouve d'intéressantes pièces relatives à la seconde partie de sa vie. Dans le tome III des Lettres d'Antoine Arnauld, docteur de Sorbonne (Nancy, 1727, p. 153 et 155) il faut recueillir aussi deux lettres de condoléance adressées par le célèbre docteur à madame de Lesdiguières et à la mère du Fargis de Port-Royal, autre parente du cardinal de Retz. Le père Lelong a remarqué avec raison que les Lettres d'Arnauld «renfermaient bien des faits depuis 1640 jusqu'en 1694.» Elles peuvent être très-utilement consultées par l'histoire.

[648] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 474.

[649] On peut lire des détails curieux et entièrement nouveaux sur les moyens de voyager alors, par les Coches d'eau et les Diligences, nouvellement établies, dans le savant ouvrage de M. Eugène d'Auriac, intitulé: Histoire anecdotique de l'Industrie française, in-12; Paris, Dentu, 1861, p. 107, 200 et suiv.

[650] Conférez Mémoires sur madame de Sévigné, t. V, p. 140-142.

[651] Ceci se rapporte à Corbinelli.

[652] SÉVIGNÉ, Lettres (18 septembre 1679), t. V, p. 427-429.

[653] SÉVIGNÉ, Lettres (20 septembre 1679), t. V, p. 433.

[654] SÉVIGNÉ, Lettres (22 septembre 1679), t. V, p 435.

[655] SÉVIGNÉ, Lettres (27 septembre 1679), t. V, p. 439.

[656] SÉVIGNÉ, Lettres (4 octobre 1679), t. V, p. 449.

[657] Il est ici question d'une nouvelle et fort ridicule campagne amoureuse du baron de Sévigné.

[658] SÉVIGNÉ, Lettres (5 novembre 1680), t. VII, p 38.

[659] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 414.

[660] Mémoires de mademoiselle de Montpensier, 4e partie, année 1679 (coll. Michaud, t. XXVIII, p. 488).

[661] VOLTAIRE, Siècle de Louis XIV, chap XXVI, p. 296.

[662] Mémoires, ibid. Sur les cérémonies du mariage de Louise d'Orléans, voir Correspondance de Bussy, t. IV, p. 444, et surtout le Mercure Galant (2e vol. de septembre), ainsi que le no 73 de la Gazette de France.

[663] SÉVIGNÉ, Lettres (15 septembre 1679), t. V, p. 426.

[664] SÉVIGNÉ, Lettres, ibid., p. 432.

[665] SÉVIGNÉ, Lettres, t. V, p. 434.

[666] Ibid., p. 438.

[667] SÉVIGNÉ, Lettres (27 septembre 1679), t. V, p. 443.

[668] Conf. WALCKENAER, t. V, p. 271.—Sur la maréchale de Clérembault, conf. SAINT-SIMON, III, p. 383; VI, 110, et IX, 425-427.

[669] Conf. WALCKENAER, t. V, p. 349-351; Saint-Simon, t. I, p. 49, et III, p. 158.

[670] V. Lettres de mesdames de Villars, de la Fayette, de Tencin, etc., accompagnées de notices biographiques et de notes explicatives; Paris, 1805, chez Léopold Collin, 1 vol. in-12.

[671] SÉVIGNÉ, Lettres, t. VI, p. 16.

[672] MADAME DE VILLARS, Lettres (2 novembre 1679), p. 1.

[673] SÉVIGNÉ, Lettres (6 décembre 1679), t. VI, p. 52.

[674] Mémoires, etc. (coll. Michaud), t. XXVIII.

[675] SÉVIGNÉ, t. VI, p. 53.

[676] SÉVIGNÉ, Lettres (6 et 8 décembre 1679), t. VI, p. 53 et 56.

[677] SÉVIGNÉ, Lettres (5 janvier 1680), t. VI, p. 95.

[678] MADAME DE VILLARS, Lettres, p. 17.

[679] Ibid., Lettre du 12 janvier 1680, p. 25.

[680] Conf. WALCKENAER, t. V, p. 34. Mémoires de Saint-Simon, t. XV, p. 352.

[681] SÉVIGNÉ, Lettres (28 janvier 1680), t. VI, p. 181.

[682] MADAME DE VILLARS, Lettres, p. 59.

[683] MADAME DE VILLARS, Lettres (6 mars 1680), p. 40.

[684] MADAME DE VILLARS, Lettres (28 mai 1680), p. 54.

[685] MADAME DE VILLARS, Lettres (3 avril 1681), p. 101.

[686] Ibid. Voy. notamment la lettre du 8 août 1680.

[687] Mémoires de la cour de France, par madame de La Fayette (Coll. Michaud, t. XXXII, p. 232).

[688] SÉVIGNÉ, Lettres, t. VI, p. 22.

[689] SÉVIGNÉ, Lettres (24 novembre 1679), t. VI, p. 30.

[690] Ibid. (29 décembre), t. VI, p. 86.

[691] SÉVIGNÉ, Lettres (29 novembre et 29 décembre), t. VI, p. 36 et 86.

[692] Ibid., p. 59.

[693] Lettres inédites. Éd. Klostermann, p. 40.

[694] SÉVIGNÉ, Lettres, t. VI, p. 36.

[695] Ibid., p. 30.

[696] Ibid., p. 36.

[697] Ibid., p. 36 et 75.

[698] SÉVIGNÉ, Lettres, t. VI, p. 30 et 37.

[699] Ibid., p. 36.

[700] SÉVIGNÉ, Lettres, t. VI, p. 86.

[701] SÉVIGNÉ, Lettres, t. VI, p. 59.

[702] Lettres de madame de Sévigné, t. VI, p. 70.

[703] SÉVIGNÉ, t. VI, p. 75.

[704] SÉVIGNÉ, Lettres (13 décembre 1679), t. VI, p. 61.

[705] T. VI, p. 59.

[706] Ibid., p. 30 et 49.

[707] Terme du jeu de Brelan.

[708] SÉVIGNÉ, t. VI, p. 60.

[709] SÉVIGNÉ, Lettres (29 novembre 1679), t. VI, p. 36.

[710] Ibid. (12 janvier), p. 102.

[711] Ibid. p. 39.

[712] SÉVIGNÉ, Lettres, t. VI, p. 40. Déjà, le 4 août 1677, madame de Sévigné, avait raconté cette anecdote: «Vous savez ce que dit l'abbé d'Effiat (exilé dans sa maison de Veret); il a épousé sa maîtresse; il aimoit Veret quand il n'étoit pas obligé d'y demeurer; il ne peut plus y durer parce qu'il n'ose en sortir.» (T. V, p. 170.)

[713] SÉVIGNÉ, Lettres (7 février 1680), t. VI, p. 154.

[714] Mémoires de Gourville (collection Michaud, t. XXX, p. 591).

[715] Ibid., p. 592.

[716] Mémoires de Gourville (collection Michaud, t. XXX, p. 591.)

[717] Corresp. de Bussy, t. V, p. 18.

[718] Mémoires de l'abbé de Choisy (coll. Michaud, t. XXXII, p. 644).

[719] Port-Royal, par M. Sainte-Beuve, Paris, 1859, t. V, p. 49.

[720] Mémoires complets et authentiques du duc de Saint-Simon, etc., collationnés sur le manuscrit original par M. Chéruel, et précédés d'une notice par M. Sainte-Beuve, de l'Académie française. Paris, 1856-58, chez Hachette et Cie, t. IV, p. 160.

[721] SAINT-SIMON, Mémoires, t. II, p. 320.

[722] Mémoires de Brienne.

[723] SAINT-SIMON, Mémoires, t. II, p. 326.

[724] SAINT-SIMON, Mémoires.

[725] Mémoires de Gourville. (Coll. Michaud, t. XXX, p. 592).—La nouvelle édition de la Biographie Michaud attribue à madame de Sévigné un jugement sur ces Mémoires de Gourville, tiré d'une lettre de madame de Coulanges du 7 juillet 1703. (Voy. t. X, p. 290 des Lettres de madame de Sévigné, éd. Monmerqué).

[726] Voy. MÉMOIRES de Louis XIV, pour l'instruction du Dauphin, première édition complète, d'après les textes originaux, avec une étude sur leur composition, des notes et des éclaircissements, par M. Charles Dreyss, 2 vol. in-8o. Paris, 1860, chez Didier et compagnie.

[727] Lettre de remercîment à M. de Noailles, du mois d'octobre 1749.

[728] Nous reproduisons, entre crochets (parenthèses), les notes de M. Dreyss et les variantes et corrections relevées par lui.

(On lit d'abord ici de la main de Louis XIV: A débrouiller»; il a corrigé aussitôt.)

[729] (On lit d'abord: «à ne rien executer ny ordonner.»)

[730] (Louis XIV avait écrit: «un temps honneste aux affaires.» Les mots définitifs sont de la main qui corrige) (M. Dreyss attribue les corrections du premier jet de Louis XIV à M. de Périgny.)

[731] (Louis XIV, primitivement, continuait et finissait la phrase avec ces mots: «qu'on croit le meilleur pour l'Estat,» quand l'idée de la phrase suivante lui est venue.)

[732] (Ce mot «par», que Louis XIV avait oublié est de la main qui corrige.)

[733] (Louis XIV avait mis: «restablir.»)

[734] (On lit d'abord de la main du roi: «un homme.»)

[735] (Louis XIV avait mis: «que Pompone.»)

[736](Louis XIV avait mis: «que je luy avois donné, dont il s'estoit bien acquitté.»)

[737] (Louis XIV avait d'abord ajouté, et il a effacé ces mots: «et enfin de son manque de dignité.» Je ne suis pas sûr du dernier mot: l'idée reparaît plus loin.)

[738] (Nous gardons ici le temps du présent dont s'est servi Louis XIV; ce n'est qu'en corrigeant qu'on a mis dans cette phrase le passé ou l'imparfait partout où il y avait d'abord le présent.)

[739] Mémoires de Louis XIV, t. II, p. 418-421.

[740] Voy. supra, p. 413.

[741] Sur cette chute de M. de Pomponne, conférez encore: VOLTAIRE, Siècle de Louis XIV, chap. XXVI; SAINTE-BEUVE, Port-Royal, t. IV, p. 160 et 402; t. V, p. 49 et 136. Pour les relations de madame de Sévigné avec son ami, conférez WALCKENAER, Mémoires, etc., t. II, p. 206 et 265; III, p. 387, et V, p. 467.

Mais un ouvrage, entre tous, destiné à faire apprécier M. de Pomponne, ce sont ses Mémoires nouvellement imprimés, et que nous ne pouvons que mentionner ici. En voici le titre: Mémoires du marquis de Pomponne, ministre secrétaire d'État au département des affaires étrangères, publiés d'après un manuscrit inédit de la bibliothèque du Corps législatif; précédés d'une introduction et de la vie du marquis de Pomponne par J. Mavidal. Paris, 1861, chez Benjamin Duprat.

[742] MADAME, duchesse d'Orléans (la Palatine), dit, dans une lettre du 21 janvier 1700: «Ce n'est pas une fable que le roi de Maroc ait fait demander en mariage la princesse de Conti; mais le roi a nettement repoussé cette proposition.» (Lettres, éd. de M. G. Brunet, t. 1er, p. 45.) Voir à ce sujet la curieuse brochure de M. Raymond Thomassy, intitulée: De la politique maritime de la France sous Louis XIV, et de la demande de Muley-Ismaël pour obtenir en mariage la princesse de Conti. Paris, 1841.

[743] SAINT-SIMON, Mémoires, t. II, p. 39.

[744] SAINT-SIMON, t. Ier, p. 192, et II, p. 77.

[745] Lettre du 29 décembre, t. VI, p. 83.

[746] On sait qu'il affectait l'originalité et la familiarité dans ses discours.

[747] SÉVIGNÉ, Lettres, t. VI, p. 76.

[748] Expression de madame de Sévigné.

[749] SÉVIGNÉ, Lettres (29 décembre 1679), t. VI, p. 83.

[750] Ibid.

[751] Mademoiselle de Bellefonds, sœur de madame de Villars.

[752] Anne-Louise-Christine de Foix de Lavalette-Épernon.

[753] SÉVIGNÉ, Lettres (5 janvier 1680) t. VI, p. 92.

[754] Lettres des 17 et 24 janvier, t. VI, p. 109, 113 et 120.—Le Mercure galant a consacré un volume entier (2e tome de janvier 1680), aux cérémonies et aux fêtes qui eurent lieu à cette occasion.

[755] Lettres des 7 et 14 juillet, t. VI, p. 361 et 369.—Bussy, dans une lettre du 25 mars 1680 (t. V, p. 94), donne les premiers détails sur cette brouille précoce.

[756] SÉVIGNÉ, Lettres (24 novembre 1685), t. VII, p. 356.

[757] Caractères, chap. XI, de l'homme.

[758] SÉVIGNÉ, Lettres, t. VII, p. 356.

[759] Conf. MADAME DE CAYLUS (coll. Michaud, t. XXXII); SAINT-SIMON, t. III.

[760] Nouvelles Causes célèbres, publiées par M. Fouquier (97e livraison), la Chambre ardente. Paris, 1860, p. 12 et 14.

[761] FOUQUIER, La Chambre ardente, p. 15.

[762] Veuve du prince de Savoie-Carignan, et belle-mère de la comtesse de Soissons.

[763] SÉVIGNÉ, Lettres, t. VI, p. 125.

[764] SÉVIGNÉ, Lettres, t. VI, p. 130.

[765] SAINT-SIMON, t. I, p. 136.

[766] SÉVIGNÉ, Lettres, t. VI, p. 140.

[767] SÉVIGNÉ, Lettres, t. VI, p. 132.

[768] Correspondance de Bussy-Rabutin (lettre du 27 janvier 1680), t. V, p. 44.

[769] Ces mots manquent, et doivent évidemment, dit l'éditeur, être supplées.

[770] Correspondance de Bussy-Rabutin (lettre du 27 janvier 1680), t. V, p. 45.

[771] Corr. de Bussy, t. V, p. 48.

[772] Ibid., p. 47.

[773] Corresp. de Bussy, t. V, p. 49.—Dans une lettre adressée à M. de Guitaud, de celles qui ne se trouvent encore que dans le volume de Millevoye, lettre écrite à la même date, madame de Sévigné résumant avec quelques variantes ce qu'elle a déjà mandé à sa fille, écrit ceci qui semble monté au ton de son cousin: «Mais à propos de justice et d'injustice, ne vous paroît-il pas de loin que nous ne respirons tous ici que du poison, que nous sommes dans les sacriléges et les avortements? En vérité, cela fait horreur à toute l'Europe, et ceux qui nous liront dans cent ans, plaindront ceux qui auront été témoins de ces accusations. Vous savez que ce pauvre Luxembourg s'est remis de son bon gré à la Bastille: il a été l'officier qui s'y est mené, il a lui-même montré l'ordre à Bezemaux. Il vint de Saint-Germain, il rencontra madame de Montespan en chemin; ils descendirent tous deux de leurs carrosses pour parler plus en liberté; il pleura fort: il vint aux Jésuites, il demanda plusieurs pères, il pria Dieu dans l'église, et toujours des larmes. Il paroissoit un peu qu'il ne savoit à quel saint se vouer; il rencontra Mlle de Vauvineux, il lui dit qu'il s'en alloit à la Bastille, qu'il en sortiroit innocent; mais qu'après un tel malheur il ne reverroit jamais le monde. Il fut d'abord mis dans une chambre assez belle; deux heures après, il est venu un ordre de le renfermer. Il est donc dans une chambre d'en haut très-désagréable; il ne voit personne; il a été interrogé quatre heures par M. de Bezons et M. de la Reynie. Pour madame la comtesse de Soissons, c'est une autre manière de peindre, elle a porté son innocence au grand air; elle partit la nuit, et dit qu'elle ne pouvoit envisager la prison, ni la honte d'être confrontée à des gueuses et à des coquines. La marquise d'Alluye est avec elle: ils prennent le chemin de Namur; on n'a pas dessein de les suivre. Il y a quelque chose d'assez naturel et d'assez noble à ce procédé; pour moi, je l'approuve. On dit cependant que les choses dont elle est accusée ne sont que de pures sottises qu'elle a redites mille fois, comme on fait toujours quand on revient de chez ces sorcières ou soi-disantes. Il y a beaucoup à raisonner sur toutes ces choses: on ne fait autre chose; mais je crois que l'on n'écrit pas ce que l'on pense.» (Édition Klostermann, p. 50.)

[774] SÉVIGNÉ, Lettres (31 janvier 1680), t. VI, p. 140.

[775] VOLTAIRE: Siècle de Louis XIV, chap. XXVI.

[776] La maréchale de La Ferté était renommée pour ses galanteries.

[777] A l'Abbaye-aux-Bois.

[778] SÉVIGNÉ, Lettres (31 janvier 1680), t. VI, p. 136.

[779] SÉVIGNÉ, Lettres, t. VI, p. 137.

[780] Ibid., p. 144.

[781] Gilles de Laval, seigneur de Raiz, exécuté sous Charles VII.

[782] Corr. de Bussy (lettre du 22 février, 1680, t. V, p. 64).

[783] Lettre du 26 janvier, Corresp. de Bussy, t. V, p. 47.

[784] SÉVIGNÉ, Lettres, t. VI, p. 151.

[785] SÉVIGNÉ, Lettres, t. VI, p. 150.

[786] SÉVIGNÉ, Lettres, t. VI, p. 154.

[787] SÉVIGNÉ, Lettres, t. VI, p. 158.

[788] SÉVIGNÉ, Lettres, t. VI, p. 160, 164 et 167.

[789] Corresp. de Bussy, Lettre du 23 février, t. V, p. 69.

[790] SÉVIGNÉ, Lettres, t. VI, p. 150.

[791] Corresp. de Bussy, t. V, p. 55.

[792] SÉVIGNÉ, Lettres (16 février 1680), t. VI, p. 166.

[793] SÉVIGNÉ, Lettres, p. 171.

[794] SÉVIGNÉ, Lettres, p. 172.

[795] SÉVIGNÉ, Lettres, p. 180.

[796] SÉVIGNÉ, Lettre du 23 février, t. VI, p. 175-177.

[797] SÉVIGNÉ, Lettres, t. VI, p. 242 et 244.

[798] SÉVIGNÉ, Lettres, 279.

[799] Lettres inédites, éd. Klostermann, p. 61.

[800] M. Miller, de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres.

[801] Voy. Causes célèbres de tous les peuples, par A. Fouquier, continuateur de l'Annuaire historique dit de Lesur (La Chambre Ardente, 1679-1682). Paris, 1860, chez Lebrun et compagnie.

[802] «Une grande partie des pièces originales de ce procès, disait-il, est conservée parmi les manuscrits de la bibliothèque de l'Arsenal. L'éditeur y a puisé des éclaircissements. (Note à la lettre du 26 janvier 1680, t. VI, p. 130.)

[803] La Bastille, ou Mémoires pour servir à l'histoire secrète du gouvernement français depuis le quatorzième siècle jusqu'en 1789.

[804] La Chambre ardente, p. 9.

[805] MICHELET, Procès de la Brinvilliers (Revue des Deux Mondes, avril 1860). CAMILLE ROUSSET, Histoire de Louvois et de son administration politique et judiciaire. Paris, 1861.

Voici ce que dit M. Fouquier de l'excellent sommaire du procès des Poisons qu'il lui a été donné de consulter:

«C'est un manuscrit conservé à la bibliothèque du Corps législatif sous les lettres et numéros suivants: B 105/577 g de 200 pages environ, non toutes remplies entièrement, mais couvertes en partie de résumés écrits d'une écriture très-fine et serrée. Ce manuscrit a pour titre: CHAMBRE ARDENTE, tenue les années 1679, 80, 81, 82. Extrait fait par Me Brunet, notaire, de 12 cartons remis entre les mains de M. le chancelier garde des sceaux, par les héritiers de La Reynie. Voilà donc, enfin, une source authentique, abondante. Le registre s'ouvre par une liste alphabétique de 226 décrétés, dont 138 femmes. Parmi ces noms brillent, presque à chaque page, ceux de ces seigneurs, de ces grandes dames, de ces parlementaires, de ces prêtres qu'on avait, disait-on, prudemment soustraits à la juridiction de la Chambre. Les révélations les plus inattendues y sollicitent le regard, et on y entrevoit de singuliers et sinistres jours sur l'histoire secrète de la cour de Louis XIV. Comme Me Brunet, le patient et véridique notaire, nous nous contenterons du rôle effacé de greffier et d'abréviateur, nous permettant seulement de mettre en ordre et en œuvre ces notes précieuses.» (La Chambre ardente, p. 10.)

[806] SÉVIGNÉ, Lettres, t. VI, p. 139. Extrait de la procédure de l'Arsenal.

[807] FOUQUIER, la Chambre ardente.

[808] SÉVIGNÉ, notes de la Lettre 707, t. VI, p. 141.

[809] Conf. AMÉDÉE RENÉE, les Nièces de Mazarin (chapitre d'Olympe Mancini); Paris, chez MM. Firmin Didot, 1858, un vol. in-8o.

[810] Extraits de la procédure de l'Arsenal. (SÉVIGNÉ, t. VI, 137.)

[811] SÉVIGNÉ, t. VI.

[812] Ibid.

[813] VOLTAIRE, Siècle de Louis XIV, chap. XXVI; Fouquier, la Chambre ardente.

[814] Conf. surtout la Notice sur Fouquet placée par M. P. Clément en tête de son Histoire de Colbert.

L'équité veut toutefois qu'on n'accepte qu'avec la plus extrême prudence les révélations, les allégations de misérables, accusés et surtout convaincus de grands crimes, et qui peut-être pensaient pouvoir se sauver en impliquant dans leurs soi-disants aveux des personnages éminents ou des noms fameux. M. de Monmerqué n'a-t-il pas lu à la bibliothèque de l'Arsenal un interrogatoire de La Voisin, où celle-ci déclare «qu'elle a connu la demoiselle du Parc, comédienne, et l'a fréquentée pendant quatorze ans, que sa belle-mère, nommée de Gordo, lui avoit dit que c'étoit Racine qui l'avoit empoisonnée?» (SÉVIGNÉ, Lettres, t. VI, p. 176.) Racine un empoisonneur! cette accusation est d'un grand prix pour toutes les personnes compromises par La Voisin. Mademoiselle du Parc était morte en 1668, après avoir créé avec éclat, l'année précédente, le rôle d'Andromaque.

[815] VOLTAIRE, Siècle de Louis XIV, chap. XXVI.

[816] SÉVIGNÉ, Lettres, t. VI, p. 33.

[817] SÉVIGNÉ, Lettres, t. VI, p. 65.

[818] Souvenirs de madame de Caylus. (Coll. Michaud, t. XXXIII, p. 487.)

[819] Souvenirs de madame de Caylus. (Coll. Michaud, t. XXXIII, p. 487.)

[820] Id., p. 490.

[821] MADAME DE CAYLUS, p. 492.

[822] MADAME DE CAYLUS, p. 492.

[823] Id., p. 494.

[824] MADAME DE SÉVIGNÉ, Lettres (2 février 1680), t. VI, p. 147. MADAME DE CAYLUS, Mémoires, p. 495.

[825] Mémoires. (Coll. Michaud, t. XXXIII.)

[826] Sur cet épisode de la duchesse de Soubise, conf. SÉVIGNÉ, Lettres des 29 décembre 1679, 3, 5, 10, 17, 19 et 28 janvier, et 2 février 1680, t. VI, p. 82, 88, 94, 99, 108, 117, 130 et 145.

FIN DU TOME SIXIÈME.

NOTE DE LA P. 117.

Sainte Chantal écrivait à Marie de Coulanges: «O ma très-chère fille, je ne doute point que votre pauvre cœur ne soit en peine de sentir votre mari dans les hasards de la guerre... Je supplie Dieu vous conserver avec votre petite bien-aimée.» C'était Marie de Rabutin-Chantal.

Après la mort du baron de Chantal, sainte Chantal écrivait à sa belle-fille Marie de Coulanges: «Conservez-vous, ma très-chère fille, pour élever en la crainte du Seigneur ce cher gage qu'il nous a donné de ce saint mariage, et le tenez seulement comme un dépôt, sans y attacher par trop votre affection, afin que la divine bonté en prenne un plus grand soin, et soit elle-même toute chose à ce cher petit enfant.» (Lettres publiées par M. Ed. Barthélemy.)

Sainte Chantal écrit encore à Philippe de Coulanges et à sa femme qui avaient recueilli leur fille et leur petite-fille après la mort du baron de Chantal et les remercie «de l'incomparable amour» qu'ils avoient eu pour lui, mais aussi «des soins qu'ils donnent si paternellement et si maternellement à cette pauvre petite orpheline.»

Mme de Chantal écrivait à la mère de Puylaurens: «Je vous remercie de tout mon cœur, des prières que vous avez offertes à Dieu pour feu ma très-chère fille, le départ de laquelle je pense que j'ai rassenti, aussi vivement que sauroit faire une mère, le trépas de sa fille qu'elle aimoit uniquement. Mais qu'y a-t-il à dire quand Dieu parle?... Espérons que sa douce bonté sera père, mère, et toutes choses, à la petite que cette chère défunte a laissée.»

A Mme de Coulanges, sainte Chantal écrivait: «Pour notre petite orpheline, je ne la plains pas, tandis qu'il plaira à Dieu de conserver mon très-honoré frère, et vous, ma très-chère sœur, car je sais que plus que jamais vous lui serez vrais père et mère, et que messieurs vos enfants la chériront toujours.»

«Le cœur m'attendrit fort quand je la regarde dans ce dépouillement de père et de mère; mais je la remets de bon cœur entre les mains de Dieu et de sa sainte Mère.»

Dans une autre lettre à Philippe de Coulanges, elle le remercie «de sa singulière amitié et de sa tendresse d'amour pour la pauvre petite orpheline.»

Finissons ces citations par ce fragment d'une lettre de sainte Chantal à M. de Coulanges:

«D'une façon ou d'autre avant le trépas de notre très-chère fille, vous eûtes beaucoup de plaisir et de contentement, et voilà que Dieu a fait retourner les afflictions... Les larmes me sont venues aux yeux voyant la grande affliction où est ma pauvre très-chère sœur. Si par mon sang et martyre je le pouvois soulager en son mal et vous en vos douleurs de cœur, croyez, mon très-cher frère, que j'en fournirois d'un grand cœur ce qui en seroit requis et en mon pouvoir. Nous commençâmes, dès le lendemain que nous eûmes reçu vos lettres, une neuvaine qui finira demain... Je communie journellement à cette intention, car j'ai un grand désir que cette âme soit soulagée pour plusieurs raisons qui me touchent le cœur, entre lesquelles celle de l'éducation de notre chère petite tient un bon rang. Vous me consolez bien des nouvelles que vous me dites de cette petite orpheline. Qu'elle sera heureuse si Dieu vous conserve et ma pauvre très-chère sœur, pour lui continuer votre sage et pieuse conduite! C'est la vérité que j'aime cette enfant, comme j'aimais son père, et tout pour le ciel. Je me réjouis de la grâce qu'elle aura à communier à Pâques, j'en aurai bien mémoire, et prie Dieu qu'à cette réception de notre doux Sauveur il lui plaise de prendre une si entière possession de cette petite âme qu'à jamais elle soit sienne. Que je vous suis obligée en cette petite créature! Notre-Seigneur en sera votre récompense.»

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