Œuvres de P. Corneille, Tome 02
[1350-a] [Toutefois qu'as-tu fait qui te rende coupable?] (1644-57)
[1351]
Var. Oublions les projets de sa flamme maudite,
[Et laissons-le jouir du bonheur qu'il mérite.]
Que de pensers divers en mon cœur amoureux,
Et que je sens dans l'âme un combat rigoureux!
Perdre qui me chérit! épargner qui m'affronte!
Ruiner ce que j'aime! aimer qui veut ma honte!
L'amour produira-t-il un si cruel effet?
L'impudent rira-t-il de l'affront qu'il m'a fait[1351-a]?
Mon amour me séduit, et ma haine m'emporte,
L'une peut tout sur moi, l'autre n'est pas moins forte:
N'écoutons plus l'amour pour un tel suborneur,
Et laissons à la haine assurer mon honneur. (1639-57)
[1351-a] L'insolent rira-t-il de l'affront qu'il m'a fait? (1644-57)
[1352] Var. Puisque ton faux espoir n'a fait qu'aigrir ma peine. (1660)
[1353] Var. Coulons-nous en faveur des ombres de la nuit. (1639-60)
[1354] Var. J'ai le corps tout glacé, je ne saurois courir. (1639-60)
[1355] Cette indication manque dans l'édition de 1639 et dans celles de 1648-60.
[1356]
Var. Notre baron d'ailleurs est devenu jaloux,
Et c'est aussi pourquoi je vous ai fait descendre;
Dedans mon cabinet ils nous pourroient surprendre;
Ici nous causerons en plus de sûreté. (1639-57)
[1357]
Var. Je n'en puis prendre trop pour conserver un bien
Sans qui tout l'univers ensemble ne m'est rien:
Oui, je fais plus d'état d'avoir gagné votre âme,
Que si tout l'univers me connoissoit pour dame.
[Un rival par mon père attaque en vain ma foi.] (1639-57)
Var. Je n'en puis prendre trop pour m'assurer un bien. (1660-68)
[1358] Var. Mais pour vous je me plais à être mal traitée[1358-a]. (1639)
[1358-a] Nous avons vu déjà des exemples d'hiatus au tome I, p. 173, note 3, et à la page 188, nota 2, de ce volume.
[1359]
Var. Il n'est point de tourments qui ne me semblent doux,
Si ma fidélité les endure pour vous. (1639-57)
[1360] Var. Vous verrez que ce choix n'est pas tant inégal. (1639-57)
[1361] Var. Et que, tout balancé, je vaux bien un rival. (1639)
[1362] Var. Cependant, mon souci, permettez-moi de craindre. (1639-57)
[1363] Var. J'en sais bien le remède, et croyez qu'en ce cas. (1639-57)
[1364] Var. Il suffit que sur moi je me rende absolue. (1639)
[1365]
Var. Que leurs plus grands efforts sont des efforts en l'air,
Et que.... MAT. C'est trop souffrir: il est temps de parler. (1639-57)
Var. Ainsi tous leurs projets sont des projets en l'air. (1660-63)
[1366] Dans l'édition de 1692, on lit à la suite de ce vers: Isabelle rentre.
[1367] Var. Le tirant à un coin du théâtre. (1644-60)—Cette indication ne se trouve pas dans l'édition de 1639.
[1368] Var. Oui, j'ai pris votre place, et vous ai mis dehors. (1639-57)
[1369] Var. Choisis donc promptement, et songe à tes affaires. (1639-57)
[1370] On lit ses valets dans les éditions de 1644, de 1652 et de 1654.
[1371] Par une erreur singulière, on a imprimé dans les éditions de 1652-57: J'ai déjà massacré dix hommes en cette nuit.
[1372]
Var. Demande-moi pardon, et quitte cet objet,
Dont les perfections m'ont rendu son sujet. (1639-57)
[1373]
Var. Commandez que sa foi soit d'un baiser suivie.
MAT. Je le veux.
SCÈNE XI.
GÉRONTE, ADRASTE, ETC.
ADR. Ce baiser te va coûter la vie. (1639-57)
[1374] Var. TROUPES DE DOMESTIQUES. (1639)
[1375] Ce jeu de scène manque dans l'édition de 1639.
[1376] Var. GÉRONTE, survenant. (1660)
[1377] Var. Hélas! je cède au nombre. Adieu, chère Isabelle. (1639-64)
[1378] Var. Doit faire agir demain un pouvoir tyrannique[1378-a]. (1639-57)
[1378-a] On lit dans l'édition de 1654: Doit faire agir pour moi un pouvoir tyrannique,
ce qui fait un non-sens et un hiatus.
[1379] Var. La faveur du pays, l'autorité du mort. (1639-57)
[1380] Var. C'est de m'avoir aimée et d'être trop parfait! (1639)
[1381]
Var. [T'ayant acquis mon cœur, ont fait aussi ton crime.]
Contre elles un jaloux fit son traître dessein[1381-a],
Et reçut le trépas qu'il portoit dans ton sein.
Qu'il eût valu bien mieux à ta valeur trompée
Offrir ton estomac ouvert à son épée,
Puisque, loin de punir ceux qui t'ont attaqué,
Les lois vont achever le coup qu'ils ont manqué!
Tu fusses mort alors, mais sans ignominie:
Ta mort n'eût point laissé ta mémoire ternie;
On n'eût point vu le foible opprimé du puissant,
Ni mon pays souillé du sang d'un innocent,
Ni Thémis endurer l'indigne violence
Qui pour l'assassiner emprunte sa balance[1381-b].
Hélas! et de quoi sert à mon cœur enflammé[1381-c]
D'avoir fait un beau choix et d'avoir bien aimé,
Si mon amour fatal te conduit au supplice
Et m'apprête à moi-même un mortel précipice?
Car en vain après toi l'on me laisse le jour. (1639-60)
[1381-a] Contre elles un jaloux forma son noir dessein. (1660)
[1381-b] Qui pour t'assassiner emprunte sa balance. (1648 et 60)
[1381-c] De quoi sert à mon cœur si vivement charmé. (1660)
[1382]
Var. Et remet plus avant dans ma triste pensée
L'aimable souvenir de mon amour passée. (1639-57)
[1383] Var. L'un est mort, et demain l'autre perdra la vie. (1639-57)
[1384] Var. Impudente, oses-tu me tenir ces paroles? (1639-57)
[1385] Var. Et puis après cela jugez si je vous aime. (1639-57)
[1386] Var. Va, ne m'informe[1386-a] plus si je suivrois sa fuite. (1639-57)
[1386-a] Voyez tome I, p. 472, note 1532.
[1387] Var. La prison est fort proche. (1639-64)
[1388] Les éditions de 1664-82 donnent mourrois, pour mourois, ce qui ne nous paraît pas offrir de sens.
[1389] Var. Moi de prendre mon temps, que sa bonne fortune. (1639-57)
[1390] Var. Ç'ai-je, dit; tu peux tout, et ton frère est absent. (1639-57)
[1391] Var. Lui faire offre en ce cas de tout ce que j'avois. (1639-60)
[1392]
Var.J'ai bien fait encor pire:
J'ai dit que c'est pour vous que ce captif soupire,
Que vous l'aimiez de même et fuiriez avec nous. (1639-57)
[1393] L'édition de 1639 porte fantasie.
[1394]
Var. Et que tous ces délais provenoient seulement. (1639, 44 et 52-57)
Var. Et que tous ses délais provenoient seulement. (1648)
[1395] L'édition de 1682 donne à tort: pour moi, au lieu de: par moi.
[1396]
Var. Qu'il alloit y pourvoir, et que vers la mi-nuit
Vous fussiez toute prête à déloger sans bruit. (1639-57)
[1397]
Var. Allez, ployez bagage, et n'épargnez en somme
Ni votre cabinet, ni celui du bonhomme. (1639-57)
[1398] Var. Allons faire le coup ensemble. (1639-57)
[1399]
Var. [J'espère aussi, Clindor, que pour reconnoissance,]
Tu réduiras pour moi tes vœux dans l'innocence,
Qu'un mari me tenant en sa possession,
Sa présence vaincra ta folle passion,
Ou que, si cette ardeur encore te possède,
Ma maîtresse avertie y mettra bon remède[1399-a]. (1639-57)
[1399-a] La scène III finit là dans les éditions indiquées.
[1400]
Var. Qu'il s'est caché de peur dans la chambre aux fagots.
MAT. De peur? (1639-57)
[1401] A ce vers, et un peu plus bas au vers 1177, toutes les éditions portent ambrosie, excepté celle de 1639, où on lit ambroisie.
[1402] Var. Je le vais réparer. (1639-57)
[1403] Var. Madame, grâce aux Dieux, tout va le mieux du monde. (1639-57)
[1404]
Var. Ah! que tu me ravis! et quel digne salaire
Pourrai-je présenter à mon dieu tutélaire?
LE GEÔL. Voici la récompense où mon desir prétend.
ISAB. Lyse, il faut se résoudre à le rendre content. (1639-57)
[1405] Var. LE GEÔLIER, montrant Lyse. (1660)
[1406] L'édition de 1639 porte: «par ces ruines;» celle de 1657: «de ses ruines.» Ce sont vraisemblablement deux fautes.
[1407] Var. Il est en prison. (1663, en marge.)
[1408] Var. Vous avez de douceurs et de charmes pour moi! (1639-57)
[1409] Var. Viendront en mon esprit figurer mes malheurs. (1648)
[1410]
Var. Pour déguiser la honte et l'horreur d'un supplice!
Il faut mourir enfin, et quitter ces beaux yeux. (1639-57)
[1411] Var. L'ombre d'un meurtrier cause encor ma ruine. (1639-57)
[1412] Dans l'édition de 1682, on lit ainsi ce vers:
De qui les passions s'arment d'autorité.
C'est sans doute encore une faute. Au vers 1259 il y a, autre erreur, prenant, pour prennent.
[1413] Var. Demain de mon courage ils doivent faire un crime. (1639-57)
[1414] Var. Je frémis au penser de ma triste aventure[1414-a]. (1639-57)
[1414-a] L'édition de 1657 porte, évidemment par erreur: «d'une triste aventure.»
[1415] Var. De l'amas insolent du peuple qui me suit. (1648)
[1416] Var. Je ne découvre rien propre à me secourir. (1639-57)
[1417] Var. Aussitôt que je pense à tes divins attraits. (1639-57)
[1418] Voyez tome I, p. 205, note 687.
[1419] Var. Isabelle et Lyse paroissent à quartier. (1663, en marge.)—Cette indication manque dans les éditions de 1639-57.—A quartier, à l'écart. Voyez tome I, p. 93, note 382.
[1420] Var. ISABELLE, cependant que le Geôlier, etc. (1660)—Ce jeu de scène manque dans les éditions de 1639-57.
[1421] Var. Ma chère âme, est-ce vous? surprises adorables! (1639-57)
[1422]
Var. Mon heur! [LE GEÔL. Ne perdons point le temps à ces caresses.] (1639-54)
Var. Mon heur! LE GEÔL. Ne perdons point de temps à ces caresses. (1657)
[1423] Var. Nous aurons tout loisir de baiser nos maîtresses. (1639-57)
[1424]
Var. Sur un gage si bon j'ose tout hasarder.
LE GEÔL. Nous nous amusons trop, hâtons-nous d'évader. (1639-57)
[1425] Ce vers a été omis par erreur dans l'édition de 1682.—L'édition de 1639, également par erreur, porte leurs amours et leurs fuites: la rime s'oppose à ce pluriel.
[1426] Var. Cette condition m'en ôtera l'envie. (1639-60)
[1427] En tête de cette scène et des suivantes, les indications placées après les noms des personnages ont été omises dans l'édition de 1639.
[1428] L'édition de 1682 porte seule: «que mon âme en ressent.»
[1429] Var. Vous feriez beaucoup mieux de tout dissimuler. (1639-60)
[1430] Var. Ce n'est pas bien à nous d'avoir des jalousies. (1639-57)
[1431] Ici, comme plus haut, l'édition de 1639 porte fantasies. Voyez le vers 1110 (p. 500).
[1432] Var. Il est toujours le maître, et tout votre discours. (1639)
[1433] Var. Un autre aura son cœur, et moi le nom de femme. (1639 et 57)
[1434]
Var. Madame, leur honneur a des règles à part,
Où le votre se perd, le leur est sans hasard[1434-a],
Et la même action entre eux et nous commune
Est pour nous déshonneur, pour eux bonne fortune.
La chasteté n'est plus la vertu d'un mari;
La princesse du vôtre a fait son favori:
Sa réputation croîtra par ses caresses;
[L'honneur d'un galant homme est d'avoir des maîtresses.] (1639-57)
[1434-a] Où le nôtre se perd, le leur est sans hasard. (1644-57)
[1435] Var. Un homme comme lui tombe dans l'infamie. (1639-60)
[1436]
Var. Sont-ce là les faveurs que vous m'aviez promises?
Où sont tant de baisers dont votre affection
Devoit être prodigue à ma réception?
Voici l'heure et le lieu, l'occasion est belle:
Je suis seul, vous n'avez que cette damoiselle,
Dont la dextérité ménagea nos amours;
Le temps est précieux, et vous fuyez toujours.
Vous voulez, je m'assure, avec ces artifices,
Que les difficultés augmentent nos délices.
A la fin je vous tiens. Quoi! vous me repoussez!
Que craignez-vous encor? Mauvaise, c'est assez:
[Florilame est absent, ma jalouse endormie.] (1639-57)
[1437] L'édition de 1682 porte, par erreur, jalousie, pour jalouse.
[1438] Var. Je l'ai quitté pourtant pour suivre ta misère. (1639)
[1439] Var. Ne pouvant être à toi de son consentement. (1639-57)
[1440]
Var. Rends-moi dedans le sein dont tu m'as arrachée.
Je t'aime, et mon amour m'a fait tout hasarder. (1639-57)
[1441] Var. Non pas pour tes grandeurs, mais pour te posséder. (1639-60)
[1442] Voyez tome 1, p. 148, note 485.
[1443] Var. L'autre exposa ma tête en cent et cent dangers. (1639-57)
[1444]
Var. Retourne en ton pays avecque tous tes biens
Chercher un rang pareil à celui que tu tiens.
Qui te manque après tout? de quoi peux-tu te plaindre? (1639-57)
[1445] Var. Qu'un mari les adore, et qu'une amour extrême. (1639-54)
[1446] Voici les différentes manières dont ce vers a été imprimé dans les différentes éditions:
A leur bigearre humeur ce soumette lui-même. (1639)
A leur bigearre humeur le soumettre lui-même. (1644)
A leur bigearre humeur se soumette lui-même. (1648-54)
A leur bizarre humeur se soumettre lui-même. (1657)
A leur bigearre humeur le soumette lui-même. (1660)
A leur bizarre humeur le soumettre lui-même. (1663-82)
Nous avons cru devoir adopter la leçon de 1660, en substituant bizarre à bigearre, comme l'ont fait les éditions suivantes.
[1447] Var. Fait-il la moindre brèche à la foi conjugale. (1639-57)
[1448] Var. Laisse mon intérêt: songe à qui tu le dois. (1639)
[1449] Var. Par ces soins redoublés n'es-tu pas aujourd'hui. (1648)
[1450]
Var. Et pour remercîment tu vas souiller sa couche!
Dans ta brutalité trouve quelque raison,
Et contre ses faveurs défends ta trahison. (1639-57)
[1451] Les éditions de 1639 et de 1663 écrivent: les biens faits.
[1452] Var. Je t'aime, et si l'amour qui m'a surpris le cœur. (1639-57)
[1453] Var. Mais en vain contre lui l'on tâche à résister. (1639-57)
[1454]
Var. Ce dieu même à présent malgré moi m'a réduit[1454-a]
A te faire un larcin des plaisirs d'une nuit.
A mes sens déréglés souffre cette licence:
Une pareille amour meurt dans la jouissance,
Celle dont la vertu n'est point le fondement. (1639-57)
[1454-a] Ce dieu même à présent malgré moi me réduit. (1644-57)
[1455] Var. Mais celle qui nous joint est une amour solide. (1639-57)
[1456]
Var. Dont les fermes liens durent jusqu'au trépas,
Et dont la jouissance a de nouveaux appas. (1639-57)
[1457] Le participe est au féminin dans toutes les éditions antérieures à 1664; dans les impressions de 1664, 1668, 1682, et même encore dans celle de 1692, il y a fait, sans accord.
[1458] Var. Et n'affoiblit en rien un conjugal amour. (1639-57)
[1459] Var. Je vois qu'on me trahit, et je crois que l'on m'aime.(1639-57)
[1460] Var. Pourvu qu'à tout le moins tu changes sans danger. (1639-57)
[1461] Var. Attire encor sur moi les restes de ta peine. (1639-57)
[1462] Var. Adieu: je vais du moins, en mourant devant toi. (1639-57)
[1463] Var. Conspirent désormais à lui faire la guerre. (1639)
[1464] Voyez au Complément des variantes, p. 524.
[1465] Le concierge et le portier avaient des attributions fort différentes, que Chapuzeau nous fait connaître en ces termes, en 1674, dans son Théâtre françois: «Le concierge a soin d'ouvrir l'hôtel et de le fermer, de le tenir propre et en bon ordre, et après la comédie de visiter exactement partout, de peur d'accident du feu.» (P. 237.)—«Les portiers, en pareil nombre que les contrôleurs et aux mêmes portes, sont commis pour empêcher les désordres qui pourroient survenir; et pour cette fonction, avant les défenses étroites du Roi d'entrer sans payer, on faisoit choix d'un brave, mais qui d'ailleurs sût discerner les honnêtes gens d'avec ceux qui n'en portent pas la mine. Ils arrêtent ceux qui voudroient passer outre sans billet, et les avertissent d'en aller prendre au bureau, ce qu'ils font avec civilité, ayant ordre d'en user envers tout le monde, pourvu qu'on n'en vienne à aucune violence. L'Hôtel de Bourgogne ne s'en sert plus, à la réserve de la porte du théâtre; et en vertu de la déclaration du Roi, elle prend des soldats du régiment de ses gardes autant qu'il est nécessaire: ce que l'autre troupe qui a des portiers peut faire aussi au besoin. C'est ainsi que tous les désordres ont été bannis, et que le bourgeois peut venir avec plus de plaisir à la comédie.» (P. 242.)—Quant à la manière dont on partageait la recette, voyez la Notice, p. 427.
[1466] Var. On tire un rideau, et on voit tous les comédiens qui partagent leur argent. (1639)
[1467]
Var. Je vois Clindor, Rosine! ah, Dieux! quelle surprise!
Je vois leur assassin, je vois sa femme et Lyse! (1639-57)
[1468] Var. Leurs vers font leur combat[1468-a], leur mort suit leurs paroles. (1654-57)
[1468-a] L'édition de 1639 porte leur combats. Faut-il lire leur combat, ou leurs combats?
[1469] Var. Tous les quatre, au besoin, en ont fait leur asile. (1639-59)
[1470] Var. Son adultère amour, son trépas impourvu[1470-a]. (1639)
[1470-a] Voyez tome I, p. 183, note 613.
[1471] Var. Par où ses compagnons et lui dans leur métier. (1639-57)
[1472] Var. Ravissant dans Paris un peuple tout entier. (1639)
[1473] Var. Est en un point si haut qu'un chacun l'idolâtre. (1639-57)
[1474] Var. Parmi leurs passe-temps il tient les premiers rangs. (1639-64)
[1475] Var. S'il faut par la richesse estimer les personnes. (1639-57)
[1476] Var. Plus de biens et d'honneur qu'il n'eût trouvé chez vous. (1639-57)
[1477] Var. A banni cette erreur avecque la tristesse. (1639)
[1478] Var. Quelles grâces ici ne vous dois-je pas rendre? (1652-57)
[1479] CLINDOR, représentant Théagène. (1644-57)
[1480] Tu l'offensois alors, aujourd'hui tu m'offenses. (1644-57)
[1481] Crois-tu donc à mon cœur donner toujours la loi. (1644-57)
[1482] CLINDOR, représentant Théagène. (1644-57)
[1483] ISABELLE, représentant Hippolyte. (1644-57)
[1484] LYSE, représentant Clarine. (1644-57)
[1485] Troupe de domestiques de Florilame. (1644-57)
[1486] Ce juste châtiment de vos lubriques feux. (1644-57)
[1487] Ce jeu de scène manque dans l'édition de 1639.