Histoire de la peinture en Italie
ÉPILOGUE
COURS DE CINQUANTE HEURES
Il n'est pas impossible qu'après avoir lu ce livre quelqu'un se dise: «Ce sujet, quoique mal traité, est pourtant intéressant.—Je veux connaître les styles des diverses écoles, et les grands peintres.» Il ira demander avis à quelque amateur. On lui proposera Vasari, 16 vol. in-8o; Baldinucci, 15 ou 20 vol. in-4o; les livres de Félibien, de Cochin, de Reynolds, de Richardson, etc., etc.
Je suppose qu'il se fixe à quelque ouvrage en 3 vol. in-4o, où il trouvera à peu près une idée par feuille d'impression. Trois in-4o font cinquante heures de lecture. Or je prétends, pour peu que ce lecteur ait la faculté de penser par lui-même, qu'il peut, en cinquante heures, devenir presque artiste.
| 1o Pour prendre une idée du coloris, il ira passer en diverses fois 10 heures à l'école de natation. | 10 | h. |
| 2o Il ira au palais des Arts et à la Sorbonne, où, moyennant une légère rétribution, il sera admis à l'école du nu. Il ira quatre fois dessiner, une demi-heure chaque fois[549]. | 2 | |
| 12 | h. | |
| 3o Il achètera des gravures médiocres, d'après Raphaël et Michel-Ange, les Sacrements du Poussin, par exemple, fera arranger une glace en forme de table, placera un miroir au-dessous réfléchissant contre la glace la lumière d'une fenêtre. Il attachera une feuille de papier à l'estampe par quatre épingles, et, armé d'un crayon, il suivra au calque les contours de chaque figure. | ||
| 4o Il est essentiel qu'avant d'aller voir la Transfiguration, la Communion de saint Jérôme, ou le Martyre de saint Pierre, le jeune adepte les dessine ainsi sur sa table de glace: Il n'est pas moins essentiel qu'il se livre à cet exercice seul, et sans se laisser empoisonner par les avis d'aucun amateur, quelque éclairé qu'on le suppose. On sent qu'il ne s'agit pas d'apprendre à dessiner, mais bien d'apprendre à penser. L'ennui le portera à une foule de petites remarques insignifiantes pour tout autre, très-profitables pour lui, parce qu'elles seront de lui. Je voudrais consacrer au calque des estampes quarante séances de demi-heure chacune. | 20 | |
| 5o Il achètera le Gladiateur (muscles disséqués), par Sauvage; il le calquera. | 2 | |
| 6o Il apprendra par cœur le nom des principaux muscles, le deltoïde, les pectoraux, les gémeaux, le tendon d'Achille, etc., etc. | 1 | |
| Il comprendra que si le deltoïde est contracté, il faut que le biceps soit étendu. Beaucoup de peintres manquent à cette règle, et cherchent tout simplement, non pas une belle position, mais un beau contour. | ||
| 35 | h. | |
| 7o S'il en a le courage, il ira au jardin des Plantes se faire montrer ces vingt muscles dont il sait les noms. A l'amphithéâtre, deux séances de demi-heure chacune[550]. | 1 | |
| 36 | h. | |
| 8o Si le jeune amateur veut sacrifier trente louis à cette fantaisie, il ôtera les gravures, cartes géographiques, portraits, qui meublent sa chambre à coucher, et y placera vingt gravures[551] avec des cadres noirs et des glaces parfaitement pures. Il mettra dans un angle le plâtre entier de la Vénus de Médicis, recouvert d'une cloche de gaze. Il aura soin de prendre ce plâtre à la fabrique du Musée, sous peine de se gâter l'œil en admirant de faux contours. Il se procurera les bustes de l'Apollon, de la Diane de Velletri, du Jupiter Mansuetus. Il achètera au péristyle du Théâtre-Français une cinquantaine de médailles antiques en soufre. Tout cela restera étalé dans sa chambre pendant six mois. Je suppose qu'il perdra 4 heures à considérer cet attirail[552]. | 4 | |
| Il n'a encore employé que 40 heures à son étude de la peinture. | ||
| 9o Il emploiera les 10 heures qui lui restent à calquer la nature elle-même. Il se procurera une glace légèrement dépolie à l'acide fluorique, qui remplacera un carreau d'une fenêtre d'où l'on ait une belle vue. Un demi-cercle en gros fil de fer, fixé par un bout dans la croisée, portera à l'autre une petite plaque de fer-blanc, doublée de velours noir, avec un très-petit trou au milieu. Je prétends que l'amateur qui veut suivre mon traitement applique l'œil contre ce lorgnon, et, soutenu par le dos d'une chaise, dessine le paysage sur sa glace dépolie. En vingt séances, de demi-heure chacune, il prendra l'habitude de se figurer, entre tout ce qu'il regardera avec des yeux de peintre et lui, une glace sur laquelle, en idée, il tracera des contours. Rien ne lui sera plus aisé, après cela, que de voir les raccourcis, autrement si difficiles. | 10 | |
| Total | 50 | h. |
Il verra plusieurs des apôtres du Corrége à la coupole de Parme, qui, de grandeur colossale pour le spectateur, n'ont pas deux pieds de hauteur effective. Tendre le bras nu et armé d'une épée contre une glace donne une première idée du raccourci.
Ce cours de cinquante heures fini, mais de cette manière et non autrement, et avec le soin de se sevrer totalement de toute lecture sur les arts, fût-ce les lettres qui nous restent de Raphaël, de Michel-Ange ou d'Annibal Carrache[553], je prétends que mon amateur aura toutes les idées élémentaires de la peinture. Il ne lui restera plus qu'à s'accoutumer aux phrases par lesquelles les auteurs désignent ces idées, et il ne pourra s'accoutumer aux phrases qui n'ont point d'idées.
Je ne puis rien lui dire des auteurs français que je n'ai pas lus. Il trouvera le grand goût des arts dans les Lettres de Debrosses sur l'Italie. S'il sait l'italien, je lui conseille la Felsina pittrice de Malvasia, qu'il faut lire en présence des tableaux de Bologne que nous avons à Paris; ensuite Zanetti, della Pittura veneziana, toujours avec la même précaution; ensuite le volume de Bellori. Pour l'historique, la Vie anonyme de Raphaël, publiée à Rome en 1790; la Vie de Michel-Ange, par Condivi: les Vies des peintres vénitiens, par Ridolfi; la Vie de Léonard, par Amoretti. Il en saura assez alors pour n'être pas endormi par la Philosophie platonicienne, de Mengs, et pour profiter de ce qu'il y a de juste dans ses Réflexions sur Raphaël, le Corrége et le Titien[554]; mais toujours aller vérifier sur les tableaux ce que tous ces auteurs en disent, et ne le croire qu'autant qu'on le voit.
C'est là la règle sans exception. Il vaut infiniment mieux ne pas voir tout ce qui est que de voir sur parole[555]. Le voile qui est sur les yeux peut tomber; mais l'homme qui croit sur parole restera toute sa vie un triste perroquet brillant à l'académie, et cruellement ennuyeux dans un salon. Il ne voit plus les petites circonstances de ses idées; il ne peut plus les comparer et s'en faire de nouvelles, du moment qu'il prend la funeste habitude de croire que Michel-Ange est un grand dessinateur, uniquement parce que c'est un lieu commun de toutes les brochures sur les arts.
C'est à l'école de natation et aux ballets de l'Opéra qu'il doit trouver que Michel-Ange a rendu avec une vérité énergique les singuliers raccourcis qu'il aperçoit. Les livres ne doivent être que des indicateurs. Le curieux qui prend les vérités telles qu'elles sont dans l'auteur n'a qu'une très-petite partie même de l'idée de cet auteur. Par exemple, Mengs admire le Corrége et déteste le Tintoret. Si l'amateur se jette en aveugle dans l'admiration de Mengs, il ne verra plus dans les coupoles de Parme ce que le Tintoret y admirait, la vérité et la force des mouvements. Après ce cours de cinquante heures, si le lecteur a encore de la patience, il faut recommencer dans le même ordre.
Je répéterai à mon amateur le conseil de l'homme rare qui commença mon éducation pittoresque à Florence. Je n'étais pas sans un secret orgueil pour certains premiers prix d'académie d'après nature que j'avais remportés dans une école assez bonne, mais française. Il me fit promettre de ne parler de peinture à qui que ce fût d'un an entier, et me conseilla les exercices précédents. Cet arrangement fait, quand je lui parlais des arts, il ne me répondait guère que par monosyllabes: «Il faut laisser naître vos idées.—J'aime bien cette image d'un de vos grands écrivains, qui peint un enfant semant une fève, et allant gratter la terre une heure après pour voir si elle a germé.»
Je n'en obtins rien de mieux pendant plus d'un an; et lorsque enfin il rompit le silence, il fut enchanté de me voir en état de disputer contre lui, et, sur plusieurs points, d'un avis extrêmement différent. «C'est sans doute par ces précautions, me disait-il, que le sage Louis Carrache formait le Guide, et le Dominiquin, et tant de peintres de son école, tous bons, et, ce qui fait peut-être encore plus d'honneur au maître, tous différents entre eux.»
Un génie élevé se méfie de ses découvertes; il y pense souvent. Dans une chose qui intéresse de si près son bonheur, il se fait une objection de tout.
Ainsi un homme de génie ne peut faire qu'un certain nombre de découvertes. Il est rare qu'il ose partir de ses découvertes comme de bases inattaquables. On a vu Descartes déserter une méthode sublime, et, dès le second pas, raisonner comme un moine.
Ghirlandajo devait sans cesse trembler de se tromper dans la perspective aérienne, et d'outrer sa découverte. Au contraire, l'artiste qui naît dans une bonne école est averti des effets de la nature; il apprend à les voir, il apprend à les rendre, et n'y songe plus. La force de son esprit est employée à faire des découvertes au delà.
Aujourd'hui l'esprit humain prend une marche contraire. Il s'éteignait faute de secours, il est étouffé par les exemples. Ce serait un avantage pour les artistes que demain il ne restât plus qu'un tableau de chaque grand maître.
Dès qu'ils font autre chose qu'avertir le génie qu'il y a telle beauté possible, ils nuisent. Mais ils servent au public, en produisant des plaisirs, et des plaisirs variés comme le caractère des lieux où ils sont répandus.
Les alliés nous ont pris onze cent cinquante tableaux. J'espère qu'il me sera permis de faire observer que nous avions acquis les meilleurs par un traité, celui de Tolentino. Je trouve dans un livre anglais, et dans un livre qui n'a pas la réputation d'être fait par des niais, ou des gens vendus à l'autorité:
«The indulgence he showed to the Pope at Tolentino, when Rome was completely at his mercy, procured him no friends, and excited against him many enemies at home.» (Edinburg Review, décembre 1816, page 471.)
J'écris ceci à Rome, le 9 avril 1817. Plus de vingt personnes respectables m'ont confirmé ces jours-ci qu'à Rome l'opinion trouva le vainqueur généreux de s'être contenté de ce traité. Les alliés, au contraire, nous ont pris nos tableaux sans traité.
[549] A l'instant où un modèle quitte ses vêtements, ses membres sont d'accord, si l'on peut parler ainsi. Dans la nature, si un homme serre le poing droit, par un mouvement de colère, la main gauche change de physionomie, et, sans nous en rendre compte, nous sommes très-sensibles à ces sortes de changements, à ce que je crois, un peu par instinct. Saint Bernard fit de grandes conversions en Allemagne en parlant aux Germains le latin qu'ils n'entendaient pas.
L'étude du modèle peut ôter au peintre le sentiment de l'accord des membres; il y a des choses qu'il faut savoir ne pas imiter. Copier le modèle sans savoir l'anatomie, c'est transcrire un langage qu'on n'entend pas. Mais, dira-t-on, l'anatomie ne paraît pas dans les tableaux des grands peintres; elle paraissait dans leurs esquisses.
[550] Le meilleur livre d'anatomie pour les artistes est celui de Charles Bell. Londres, 1806, in-4o de cent quatre-vingt-cinq pages.
[551] La Cène, de Léonard, gravée par Raphaël Morghen; la Transfiguration, du même, cent vingt francs la nouvelle, quarante francs l'ancienne. Les Jeux de Diane, du Dominiquin; le Martyre de saint André, fresque du Dominiquin; Saint André allant au supplice, du Guide. Les portraits de Raphaël et de la Fornarina, de Morghen; l'Aurore du Guide; l'Aurore du Guerchin. La Léda, du Corrége, par Porporati; la Déjanire, de Bervic; la Sainte Cécile, de Massart; la Madeleine, du Corrége, par Longhi; le Mariage de la Vierge, du même. La Famille en Égypte et l'Arcadie, du Poussin. Quelques paysages du Lorrain; quelques gravures des chambres du Vatican, par Volpato, quoique la pureté virgilienne de Raphaël y soit cruellement ornée. Huit Prophètes ou Sibylles, de Michel-Ange, au bistre; le Jugement dernier, de Michel-Ange, gravé par Metz. Le Saint Jean et la Madone de Saint-Sisto, de Müller; quelques gravures de Bartolozzi, d'après un auteur classique; quelques gravures de Strange. La Danse, de l'Albane, par Rosaspina; la Madone, du Guide, par Gandolfo; la Madone alla Seggiola, par Morghen; la Madone del Sacco, par le même; le Laocoon, de Bervic[xl].
[xl] Il faut acheter deux de ces gravures par semaine, celles pour lesquelles on se sentira du goût, et les changer souvent de place.
[552] Je ne porte pas en compte le temps qu'il gagnera dans le monde à étudier la distribution de la lumière, ou le génie de Rembrandt et du Guerchin, sur la figure des ennuyeux qu'il faut quelquefois faire semblant d'écouter.
[553] Lettere Pittoriche, recueil en six volumes.
[554] Œuvres de Mengs, trad. par Jansen.
[555] Ainsi, ne pas lire ce qu'on ne peut pas vérifier. C'est ce qui m'empêcherait de conseiller à un jeune amateur, à Paris, la judicieuse Histoire de la peinture par le jésuite Lanzi, six volumes in-8o. C'est un guide sûr.
APPENDICE
TABLE CHRONOLOGIQUE
DES ARTISTES LES PLUS CÉLÈBRES.
| PEINTRES ET DESSINATEURS. | SCULPTEURS ET GRAVEURS |
| IXe SIÈCLE AVANT JÉSUS-CHRIST. | |
895. Dibutade, Grec, mort en 895. |
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| VIIIe SIÈCLE AVANT JÉSUS-CHRIST. | |
765. Ludius, Grec. |
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| VIIe SIÈCLE AVANT JÉSUS-CHRIST. | |
654. Cléophante, Grec. |
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| VIe SIÈCLE AVANT JÉSUS-CHRIST. | |
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590. Turianus, d'Étrurie. 568. Dipaenus, Grec. 569. Scyllis, Grec. 560. Mnésarque, graveur, Grec. 538. Bupale, Grec. 539. Antermus, Grec. |
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| Ve SIÈCLE AVANT JÉSUS-CHRIST. | |
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480. Agatharque, Grec. 457. Panacus, Grec. 439. Apollodore, Grec. 424. Damophile, Grec. 423. Gorgasus, Grec. 422. Polignote, Grec. 420. Timarète, Grecque. 420. Parrhasius, Grec. 400. Micon, Grec. |
487. Téléphanès, Grec. 453. Sophroniscus, Grec. 445. Phidias, Grec. 444. Alcamène, Grec. 430. Scopas, Grec. 410. Myron, Grec. |
| IVe SIÈCLE AVANT JÉSUS-CHRIST. | |
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380. Zeuxis, Grec. 360. Pamphile, Grec. 352. Pausias, Grec. 350. Timanthe, Grec. 331. Antiphile, Grec. 330. Apelle, Grec. 329. Melantius, Grec. 328. Amphion, Grec. 327. Asclépiodore, Grec. 320. Protogène, Grec. 303. Nicias, Grec. 300. Aristide, Grec. |
399. Socrate, Grec. 355. Briaxis, Grec. 354. Timothée, Grec. 353. Léocharès, Grec. 352. Echion, Grec. 351. Thérimachus, Grec. 350. Lysippe, Grec. 340. Praxitèle, Grec. 329. Céphisodote, Grec. 327. Lysistrate, Grec. 326. Eutycrate, Grec. 325. Pyrgotelès, Grec. |
| IIIe SIÈCLE AVANT JÉSUS-CHRIST. | |
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269. Fabius Pictor. |
289. Charès, Grec. 232. Polyctète, Grec. |
| IIe SIÈCLE AVANT JÉSUS-CHRIST. | |
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111. Euphranor, Grec. |
176. Euphranor, Grec. |
| 1er SIÈCLE AVANT JÉSUS-CHRIST. | |
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61. Timomaque, Grec. |
72. Arcésilaüs, Grec. 70. Posis, Romain. 57. Praxitèle, grav. et sculpt., Romain. 28. Diogène, Grec. |
| 1er SIÈCLE DEPUIS JÉSUS-CHRIST. | |
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14. Dioscoride, graveur, Grec. 15. Apollonide, graveur, Grec. 17. Solon, graveur, Grec. 18. Cronius, graveur, Grec. 40. Archélaüs, Grec. 66. Zénodore, Gaulois. 76. Agésandre, Grec. 77. Polydore, Grec. 78. Athénodore, Grec. |
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| IIe SIÈCLE DEPUIS JÉSUS-CHRIST. | |
138. Maxalas, graveur, Grec. |
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| XIIIe SIÈCLE DEPUIS JÉSUS-CHRIST. | |
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1294. Taffi (André), Ital. 1300. Cimabué, Ital. |
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| XIVe SIÈCLE DEPUIS JÉSUS-CHRIST. | |
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1312. Gaddo Gaddi, Ital. 1340. Lorenzetti (Ambrozio), Ital. 1350. Gaddi (Taddeo), Ital. 1389. Pisani (André), Ital. |
1360. Calendario (Phil.), Italien. 1389. Pisani (André), Italien. |
| XVe SIÈCLE DEPUIS JÉSUS-CHRIST. | |
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1426. Eych (Hub. Van), Flamand. 1427. Eych (Jean Van) ou Bruges (J. de), Flamand. 1433. Antoine de Messine, Ital. 1443. Francesca (Pietro della), It. 1488. Verrochio (André), Ital. |
1466. Donato, dit le Donatello, Italien. |
| XVIe SIÈCLE DEPUIS JÉSUS-CHRIST. | |
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1501. Bellin (Gentil), Ital. 1511. Giorgion (le), Ital. 1512. Bellin (Jean), Ital. 1517. Mantegna (André), Ital. 1518. Vinci (Léonard de), Ital. 1518. Francia (François), Ital. 1520. Raphael (d'Urbin), Ital. 1521. Cosimo (Pietro), Ital. 1524. Pérugin (Pierre), Ital. 1527. Maturino, Ital. 1528. Durer (Albert), Allemand. 1529. Matsys (Quintin) Mesius, Flamand. 1550. André del Sarto, Italien. 1553. Lucas de Leyde, Hollandais. 1534. Corrège (Le), Italien. 1540. Pordenone (J.-A. Licinio de), Italien. 1540. Parmesan (Le), Italien. 1541. Rosso (Le), maître Roux, It. 1543. Caravage (Polidore de), It. 1546. Romain (Jules), Italien. 1547. Buonacorsi ou Perrin del Vaga, Italien. 1554. Holbein (Jean), Allemand-Suisse. 1560. Abbate (Nicolo del), Italien. 1561. Pordenone le jeune (Jules Licinio de), Italien. 1563. Salviati (le Rossi ou Franc), Italien. 1564. Michel-Ange Buonarotti, Italien. 1564. Udine (Jean de), Italien. 1566. Zuccharo (Thadée), Italien. 1570. Primatice (Franc), Italien. 1570. Floris (Franc), Flamand. 1574. Hesmekerk, Hollandais. 1576. Titien (Le), Italien. 1582. Schiavone, Italien. 1585. Cangiage ou Cabiazi (Lucas), Italien. 1588. Veronese (Paul), Italien. 1589. Cousin (Jean), Français. 1590. Vargas (Louis de), Espag. 1590. Muziano (Jérôme), Italien. 1592. Tibaldi (Pelegrino), Ital. 1592. Bassan (Le), Italien. 1592. Sophonisbe de Crémone, Italien. 1594. Tintoret (Le), Italien. 1594. Schwartz (Christ), Allem. |
1526. Propertia de Rossi, Italien. 1528. Rustici (Jean-Franç), Ital. 1540. Marc-Antoine, Italien. 1546. Valerio Vincentini, Italien. 1548. Nassaro (Math. del), Ital. 1551. Caraglio (J.-J.), Italien. 1552. Anichini (Louis), Italien. 1555. Benardi (Jean), Italien. 1570. Cellini (Benvenuto), Ital. 1572. Goujon (Jean), Français. 1574. Ponce (Paul), Italien. 1578. Cort (Corneille), Holl. 1589. Biragne (Clément), Italien. 1590. Pilon (Germain), Français. 1590. Vico (Enée), Italien. 1598. Bry (Théod. de), Flamand. |
| XVIIe SIÈCLE DEPUIS JÉSUS-CHRIST. | |
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1606. Farinato (P.), Italien. 1607. Vermander (Ch.), Flam. 1612. Baroche (Frédéric), Italien. 1613. Civoli (Louis), Italien. 1617. Paduanino (Francesco), It. 1618. Carrache-Annibal.. 1619. Calvart (Denis), Flamand. 1619. Freminet (Martin), Franç. 1622. Porbus (Fr.), Flamand. 1624. Feti (Dominique), Italien. 1629. Bril (Paul), Flamand. 1629. Paggi (J.-J.), Italien. 1630. Carlone (Jean), Italien. 1630. Tempesta (Antoine), Ital. 1630. Gonelli (Jean), Italien. 1631. Scorza-Sinibaldo, Italien. 1632. Valentin, Français. 1634. Venius-Otto, Hollandais. 1635. Callot, (Jacques), Français. 1637. Romboutz (Théod.), Flam. 1638. Blanchart (Jacq.), Français. 1640. Rubens (Pierre-Paul), Flam. 1640. Baur ou Bawr (Guill.), All. 1640. Arpino (Jos. Ces. d'), Ital. 1641. Le Dominiquin, Italien. 1641. Van-Dyck (Ant.), Flamand. 1641. Vouet (Simon), Français. 1641. Le Guide, Italien. 1642. Breughel (Jean), Flamand. 1645. Toutin (Jean), peintre en émail, Français. 1647. Lanfranc (Jean), Italien. 1647. Blomaert (Abraham), Holl. 1647. Dobson (Guill.), Anglais. 1650. Pierre (François du), Fr. 1654. Légers (Gérard et Daniel), Flamands. 1654. Poter (Paul), Hollandais. 1655. Le Sueur (Eustache), Fr. 1655. Pierre (Guillaume du), Fr. 1655. Testelin (Louis), Français. 1656. Hire (Laurent de la), Fr. 1656. Espagnolet (L'), Espagnol. 1657. Stella (Jacques), Français. 1657. Snyders (François), Flam. 1658. Metzu (Gabriel), Holl. 1660. Van-Huden (Lucas), Holl. 1660. Albane (L'), Italien. 1660. Poelemburg (Corn.), Holl. 1660. Michel-Ange-des-Batailles, Italien. 1660. Cavedone (Jacques), Ital. 1660. Metelli (Augustin), Italien. 1660. Bréenberg (Barthol.), Holl. 1660. Veenin (J.-B.), Hollandais. 1660. Velasquez (Diego de), Esp. 1661. Sacchi (André), Italien. 1663. Dorigny (Michel), Français. 1664. Miel (Jean), Flamand. 1665. Poussin (Nicolas), Français. 1665. Dufresnoy (Ch. Alph.), Fr. 1666. Daniel de Volterre. 1667. Le Guerchin, Italien. 1668. Wouvermans (Phil.), Holl. 1670. Benedette (Benoît Castiglione le), Italien. 1670. Veronese (Alex.), Italien. 1671. Bourdon (Sébast.), Franç. 1673. Rosa (Salvator), Italien. 1673. Schurman (Anne-Marie de), Hollandais. 1673. Fiori (Mario di), Italien. 1674. Boullongne (Louis), Fr. 1674. Champagne (Phil.), Flam. 1674. Rembrandt (Paul), Holl. 1675. Diepenbeck (Abrah.), Flam. 1675. Fievre (Cl. le), Français. 1676. Chauveau (François), Fr. 1678. Nanteuil (Rob.), Français. 1678. Jordaens (Jacq.), Flamand. 1678. Dujardin (Karel), Holl. 1680. Grimaldi (Jean-François), surnommé le Bolognese, Italien. 1680. Bernini ou Bernin (Jean-Laurent), Italien. 1680. Dow (Gérard), Hollandais. 1680. Lely (Pierre), All.-Anglais. 1681. Mieris (François), Holl. 1681. Terburg (Girard), Holl. 1682. Gelée (Claude-Lorrain), Français. 1683. Sandrurt (Joachim), All. 1683. Berghem (Nicolas), Holl. 1684. Coquès-Gonzalès, Esp. 1684. Robert (Nicolas), Français. 1685. Murillo (Barthél.), Esp. 1685. Van-Ostade (Adrien), All. 1686. Dolci (Charles), Italien. 1687. Nestcher (Gasp.), Allemand. 1688. Mellun (Claude), dessinateur, Français. 1689. Ciro-Ferri, Italien. 1690. Brun (Charles le), Français. 1690. Vander-Meulen (Ant.-Fr.), Flamand. 1691. Slingeland (Jean-Pierre), Hollandais. 1691. Petitot (Jean), Genevois. 1693. Rousseau (Jacq.), Français. 1694. Teniers (David), Flamand. 1695. Félibien (And.), écrivain français. 1695. Mignard (Pierre), Français. 1699. Preti (Mathias), surnommé le Calabrois, Italien. |
1606. Bologne (Jean de), Italien. 1612. Thomassin (Phil.), Franç. 1629. Sadeler (Gilles), Belge. 1630. Gonnelli (Jean), Italien. 1635. Callot (Jacques), Français. 1639. Vosterman (Lucas), Holl. 1644. Quesnoy (Fr. le), Flamand. 1648. Villamène (François), Ital. 1654. Algari (Alexandre), Italien. 1658. Guillain (Simon), Français. 1660. Sarazin (Jacques), Franç. 1660. Bosse (Abraham), Français. 1666. Volterre (Daniel de), Ital. 1667. Lasne (Michel), Français. 1668. Obstal (Gerard van), Holl. 1671. Silvestre (Israël), Français. 1674. Marsy (Balthasar), Franç. 1676. Chauveau (François), Fr. 1678. Ballin (Claude), Français. 1678. Nanteuil (Rob.), Français. 1680. Bernini (Jean-Laurent), It. 1681. Marsy (Gaspard), Flamand. 1686. Anguier (Michel), Franç. 1690. Hongre (Etienne le), Fr. 1693. Poilly (François), Français. 1694. Desjardins (Martin Bogaert), Flamand. 1699. Anguier (François), Franç. 1699. Roullet (Jean-Louis), Fr. 1700. Zumbo (Gaétan-Jules). |
| XVIIIe SIÈCLE DEPUIS JÉSUS-CHRIST. | |
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1704. Parrocel (Joseph), Franç. 1705. Jordans (Lucas), Italien. 1707. Coypel (Noël), Français. 1709. Piles (Roger de), écrivain français. 1711. Chéron (Elisabeth-Sophie), Française. 1712. Vender-Heyden (Jean), Hollandais. 1713. Maratte (Carle), Italien. 1716. Fosse (Charles de la), Fr. 1717. Jouvenet (Jean), Français. 1717. Boullongne (Bon.) Franç. 1717. Merian (Marie-Sibylle), All. 1717. Santerre (J.-B), Français. 1721. Vatteau (Ant.), Français. 1722. Coypel (Ant.), Français. 1723. Kneller (Godefroy), All. 1724. Lutti (Benedetto), Italien. 1730. Troy (Franç. de), Français. 1733. Boullongne (Louis), Fr. 1733. Picart (Bernard), dessinateur, Français. 1734. Raoux (Jean), Français. 1734. Tournhill (Jacq.), Anglais. 1735. Rivalz (Ant.), Français. 1735. Vivien (Jean), Français. 1735. Ranc (Jean), Français. 1736. Hallé (Cl. Guy), Français. 1737. Moine (Franç. le), Français. 1739. Bianchi (Pierre), Italien. 1743. Arlaud (Jacq.-Ant.), Genev. 1743. Rigaud (Hyacinthe), Fr. 1743. Desportes (François), Fr. 1745. Vanloo (Jean-Baptiste), Fr. 1746. Largillière (Nic.), Français. 1747. Crespi (Jos.-Mar.), Italien. 1749. Subleyras (Pierre), Fr. 1749. Vanhuysum (Jean), Holl. 1752. Troy (Jean-Franç. de), Fr. 1752. Parrocel (Charles), Fr. 1754. Cases (P.-Jacq.), Français. 1754. Piazetta (J.-Bap.), Italien. 1755. Oudry (J.-Bap.), Français. 1757. Carriera (Rosa-Alba), Ital. 1760. Sylvestre (Louis), Français. 1761. Galloche (Louis), Français. 1761. Hogarth (Guill.), Anglais. 1763. Verdussen (J.-Pierre), Fr. 1765. Vanloo (Carle), Français. 1766. Servandoni (J.-N.), Italien. 1766. Nattier (Jean-Marc), Fr. 1767. Massé (J.-B.), Français. 1768. Restaut (Jean), Français. 1770. Boucher (François), Fr. 1771. Vanloo (Louis-Michel), Fr. 1779. Mengs (Ant.-Raphaël), All. 1786. Watelet (Cl.-Henri), Fr. 1789. Vernet (Joseph), Français. 1792. Reynolds (Josué), Anglais. |
1703. Smith (Jean), Anglais. 1703. Audran (Gérard), Français. 1707. Edelinck (Gerard), Franç. 1713. Théodon (Jean-Bapt.), Fr. 1714. Clerc (Sébast. le), Franç. 1715. Girardon (François), Fr. 1720. Coysevox (Antoine), Fr. 1721. Picart (Etienne), Holl. 1725. Reisen (Ch. Christ), Ang. 1728. Simonneau (Charles), Fr. 1733. Picart (Bernard), Français. 1733. Coustou (Nicol.), Français. 1733. Cléve (Joseph Van), Franç. 1737. Sirlet (Flavius), Français. 1739. Drevet (Pierre fils), Franç. 1741. Thomassin (Henri-Simon), Français. 1743. Lorrain (Robert le), Franç. 1743. Becker (Phil.-Christ.), All. 1744. Pautre (Pierre le), Franç. 1744. Frémin (René-Franç.), Esp. 1746. Barrier (Franç.-Julien), Fr. 1748. Germain (Thomas), Fr. 1749. Tardieu (Nicol.-Henri), Fr. 1754. Cochin (Ch.-Nicolas), Fr. 1754. Vinache (Jean-Joseph), Fr. 1754. Cochin (Ch.-Nicolas père), Français. 1755. Lépicié (Bernard), Fr. 1757. Duchange (Gaspard), Fr. 1759. Dassier (J.-Ant.), Genev. 1759. Adam (Lambert-Sigisbert), Français. 1761. Duvivier (Jean), Français. 1763. Slodtz (René-Michel), Fr. 1764. Dacier (Jean), Français. 1765. Balechou (Nicolas), Fr. 1769. François (Jacq.-Ch.), Fr. 1775. Schmidt (George-Frédéric), Prussien. 1777. Coustou (Guill.), Français. 1778. Piranési (Jean-Bapt.), Ital. 1784. Lépicié (Nic.-Bernard), Fr. 1785. Pigalle (Jean-Bapt.), Fr. 1790. Cochin (Ch.-Nicolas fils), Fr. |
| XIXe SIÈCLE DEPUIS JÉSUS-CHRIST. | |
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1805. Greuze (J.-B), Français. 1806. Barry (Jacques), Anglais. 1807. Vien, Français. 1807. Opie, Anglais. |
1809. Masquelier (Nic.-Fr.-Jos.), Français. 1810. Chaudet (François). 1816. Bossi (Giuseppe), Milanais. |
ARTISTES VIVANTS
- Canova (Antonio), marquis d'Ischia, né en 1757 à Possagno, près de Trévise.
- Appiani (André), peintre, né à Bosizio, dans le Milanais, vers 1750.
- Morghen-Raphaël, graveur à Florence.
- Longhi, graveur à Milan.
- Cammucini, peintre à Rome.
- Landi, idem à Rome.
- Thorwalsen, sculpteur danois, à Rome.
- Garavaglia, graveur à Milan.
- Anderloni, id.
- Raffaelli, mosaïste à Milan.
- Sabatelli, peintre et dessinateur, id.
- Demeulemeester, dessinateur et graveur, à Rome.
- Metz, dessinateur, à Rome.
- David, peintre français.
- Girodet, id.
- Guérin, id.
- Gros, id.
- Gérard, id.
- Prudhon, id.
- Isabey, peintre en miniature.
- Bervic, graveur.
- Ponce, id.
- Desnoyers, id.
- Massard.
- West, peintre, à Londres.
- Westall, id.
- Woolett, graveur, à Londres.
- Bartolozzi, graveur, en Portugal.
- Sanquirico, Landriani, Fuentès, Perego, peintres de décorations à Milan.
- Benvenuti, peintre, à Florence.
COMPOSITEURS CÉLÈBRES
| Pergolese | né en 1704 | mort en 1733 |
| Cimarosa | 1754 | 1801 |
| Mozart | 1756 | 1792 |
| Durante | 1693 | 1755 |
| Leo | 1694 | 1745 |
| Vinci | 1705 | 1732 |
| Hasse | 1705 | 1783 |
| Haendel | 1684 | 1759 |
| Galuppi | 1703 | 1785 |
| Jomelli | 1714 | 1774 |
| Porpora | 1685 | 1767 |
| Benda | 1714 | 1790 |
| Piccini | 1728 | 1800 |
| Sacchini | 1730 | 1786 |
| Paisiello | 1741 | 1816 |
| Guglielmi | 1727 | 1804 |
| Anfossi | 1736 | 1775 |
| Sarti | 1730 | 1802 |
| Traetta | 1738 | 1779 |
| Ch. Bach | 1735 | 1782 |
| Haydn | 1732 | 1809 |
COMPOSITEURS VIVANTS
- Rossini, né à Pezzaro en 1783.
- Mayer, né en 1765.
- Zingarelli, né en 1752.
- Paër.
- Beethowen.
LISTE DES GRANDS PEINTRES
Je sais ce que je perds à sortir du vague. Je prête le flanc aux critiques amères des gens qui savent la peinture, et aux critiques respectables des gens qui sentent autrement. Je n'écris pas pour eux; c'est pour toi seulement, noble Wilhelmine. Tu n'es plus et j'ose invoquer ton nom! Mais peut-être ton petit appartement dans le monastère, au milieu de la forêt, est-il échu en partage à quelque âme semblable à la tienne. Combien tu étais inconnue! Que de jours j'ai passés près de toi! Tu n'étais que la plus belle et la plus silencieuse des femmes! Le ciel si sévère envers moi m'a privé d'une consolation à tous mes malheurs, en ne permettant pas que je pusse lire avec toi cet ouvrage entrepris pour tâcher de t'oublier. Je placerai du moins ici la liste que je t'envoyais pour guider ton attention parmi cette foule de grands artistes dont le nombre t'effrayait.
CINQ ÉCOLES.
ÉCOLE DE FLORENCE.
| Michel-Ange (1474-1563). | |||
| Léonard, chef de l'école lombarde (1452-1519). | |||
| 2. | Le Frate. | ||
| 2. | André del Sarto. | ||
| 3. | Daniel de Volterre. | ||
| 4. | Le Bronzino. | ||
| 4. | Pontormo. | ||
| 4. | Le Rosso. | ||
| 4. | Le Cigoli. | ||
| Cimabue. | Intérêt historique. | ||
| Giotto. | |||
| Masaccio. | |||
| Ghirlandajo. | |||
| Lippi. | |||
| Vasari, écrivain. | |||
ÉCOLE ROMAINE.
| Raphaël (1483-1520). | |
| 2. | Jules Romain. |
| 2. | Le Poussin. |
| 3. | Le Fattore. |
| 3. | Perino del Vaga. |
| 3. | Salvator Rosa. |
| 3. | Le Lorrain. |
| 3. | Gaspard Poussin. |
| 3. | Polydore de Carravage. |
| 3. | Michel-Ange de Carravage. |
| 3. | Le Garofolo. |
| 4. | Frédéric Zuccari. |
| 4. | Pierre Perrugin. |
| 5. | Raffaellino da Reggio. |
| 5. | Le cavalier d'Arpin. |
| 2. | Le Baroche. |
| 4. | Andrea Sachi. |
| 4. | Carle Maratte. |
| 3. | Pierre de Cortone. |
| 3. | Raphaël Mengs. |
| 6. | Battoni. |
ÉCOLE LOMBARDE.
| Léonard de Vinci. |
Imitateurs de Léonard à Milan.
| 3. | Luini (Bernardino). |
| 4. | Cesare da Sesto. |
| 4. | Salaï. |
| 3. | Gaudenzio Ferrari. |
| 4. | Marco d'Oggione; duquel les meilleures copies de la Cène. |
| 5. | Le Morazzone. |
| 4. | Le Mantègne, probablement le maître du Corrége (1430-1506). |
| Le Corrège (1494-1534). | |
| 3. | Le Parmigianino. |
| 4. | Daniel Crespi. |
| 4. | Camille Procacini. |
| 4. | Hercule Procacini. |
| 5. | Jules César-Procacini. |
| 6. | Lomazzo, écrivain. |
ÉCOLE VÉNITIENNE.
| Giorgion, mort d'amour en 1511, à trente-quatre ans. Morto da Feltre, un de ses élèves, lui avait enlevé sa maîtresse. | |
| Le Titien (1477-1576). | |
| 2. | Paul Véronèse. |
| 2. | Le Tintoret. |
| 2. | Jacques Bassan. |
| 3. | Paris-Bordone. |
| 3. | Sébastien Fra del Piombo. |
| 4. | Palma vecchio. |
| 4. | Palma giovine. |
| 4. | Le Moretto. |
| 4. | Jean d'Udine. |
| 4. | Le Padovanino. |
| 5. | Le Liberi. |
| 6. | Les deux Bellin, maîtres du Giorgion et du Titien. |
ÉCOLE DE BOLOGNE.
| Annibal Carrache. | |
| Guido Reni (1575-1642). | |
| Le Dominiquin (1586-1614). | |
| Le Guerchin (1590-1666). | |
| 2. | Louis Carrache. |
| 2. | Augustin Carrache. |
| 2. | L'Albane (1578-1660). |
| 2. | Lanfranc, le peintre de coupoles (1581-1647). |
| 3. | Simon Cantarini, detto il Pesarèse, mort jeune. |
| 4. | Tiarini. |
| 4. | Lionello Spada. |
| 4. | Lorenzo Garbieri. |
| 4. | Le Cavedone. |
| 4. | Le Cignani. |
| 5. | Le Primatice. |
| 5. | Élisabeth Cirani. |
| 5. | Bagnacavallo. |
| 5. | Francia. |
| 5. | Inocenzo da Imola. |
| 5. | Melozzo. |
| 5. | Dosso Dossi. |
| 5. | Le Bonone. |
Un ami me donna les listes qui précèdent; j'y mis des numéros en parcourant l'Italie et le musée de Dresde; je n'en mis point à ces noms dont le rang changeait à mes yeux comme les dispositions de mon âme.
NOTE POUR LA PAGE 80 [Note 103].
L'éditeur aurait mis un carton, s'il n'avait trouvé dans le Gentlemen Magasine d'avril 1817, page 365, la bulle que N. S. P. le pape a adressée, le 29 juin 1816, au primat de Pologne.
Les lignes suivantes sont assez remarquables:
«Horruimus sane vaferrinum, inventum, quo vel ipsa religionis fondamenta labefactantur, adhibitisque in consilium...... vener. fratr. N. S. R. E. cardinalibus, quænam pontificiæ auctoritatis remedia ad eam pestem, quoad fieri posset curandam delendamque opportuniora futura sint...... cum tua jam sponte exarseris ad impias novatorum machinationes detegendas et opugnandas...... experimento autem manifestum esse, e sacris Scripturis, quæ vulgari lingua edantur, plus detrimenti quam utilitatis oriri ob hominum temeritatem, etc., etc.»
FIN.
TABLE
| Dédicace. | 5 |
| INTRODUCTION. | 7 |
| Les sauvages libres et pleins d'énergie. | Ib. |
| Sont corrompus par le despotisme. | 9 |
| En 900, les villes d'Italie essayent un peu de commerce. | Ib. |
| Les papes donnent la finesse. | Ib. |
| Le loisir, l'opulence et le climat donnent ce que l'on ne reverra jamais au monde, les mœurs du quatorzième siècle. | 11 |
| Anecdotes de la famille de Médicis. | 16 |
| Aventures de Bianca Capello. | 17 |
| Florence | 27 |
| Politique des Médicis. | 28 |
| Venise | 30 |
| Politique de Venise, seconde patrie de la peinture. | Ib. |
| Rome | 31 |
| Politique de Rome, la capitale des arts au quinzième siècle. | Ib. |
| Considérations générales sur les mœurs de ce siècle. | 35 |
| La peinture, après avoir donné tout ce qui était compatible avec la civilisation du seizième siècle, tombe dans le genre ennuyeux. | 38 |
| Cause de la misère actuelle; la vie est dans les idées et non dans les jouissances données par les beaux-arts. | 39 |
| Milan | 40 |
| Naples | Ib. |
| Le Piémont | Ib. |
| De la monarchie absolue et des arts. | 41 |
| De la monarchie constitutionnelle. | 42 |
| LIVRE PREMIER. RENAISSANCE ET PREMIERS PROGRÈS DES ARTS VERS L'AN 1300 (DE 450 A 1349) |
|
| Chap. I. Des plus anciens monuments de la peinture. | 46 |
| Chap. II. Nicolas Pisano voit la lumière, et il ose la suivre. | 48 |
| Chap. III. Premiers sculpteurs. | 50 |
| Chap. IV. Progrès de la mosaïque. | 51 |
| Chap. V. Premiers peintres. | Ib. |
| Chap. VI. Suite des premiers peintres vers 1230. | 54 |
| Chap. VII. Cimabue. | 57 |
| Chap. VIII. Giotto. | 59 |
| Chap. IX. Suite de Giotto. | 60 |
| Chap. X. Ôter le piédestal. | 61 |
| Chap. XI. Suite de Giotto. | 62 |
| Chap. XII. La beauté méconnue; les Toscans trouvent les vases étrusques et ne les imitent pas | 64 |
| LIVRE DEUXIÈME. PERFECTIONNEMENT DE LA PEINTURE, DE GIOTTO A LÉONARD DE VINCI (DE 1349 A 1466). |
|
| Chap. XIII. Circonstances générales. | 66 |
| Chap. XIV. Contemporains de Giotto. | 70 |
| Chap. XV. Du goût français dans les arts; voir des défauts dans ce que le public admire est sottise. | 72 |
| Chap. XVI. École de Giotto. Imitateurs plats; leur siècle leur demandait de peindre la Bible: ils n'y trouvent jamais sacrifice de l'intérêt propre à quelque sentiment généreux. | 77 |
| Chap. XVII. Esprit public à Florence; amour furieux pour la liberté. | 83 |
| Chap. XVIII. De la sculpture à Florence, Ghiberti et Donatello. | 86 |
| Chap. XIX. Paolo Ucello et la perspective. | 87 |
| Chap. XX. Masaccio, premier homme de génie. | 89 |
| Chap. XXI. Suite de Masaccio. | 91 |
| Chap. XXII. Définition. Ce que c'est que grandiose, style, ton général. | 92 |
| Chap. XXIII. De la peinture après Masaccio. | 95 |
| Chap. XXIV. Vie de frère Philippe, aventures romanesques. | 97 |
| Chap. XXV. L'huile remplace la peinture en détrempe. André del Castagno assassine le premier peintre à l'huile. | 100 |
| Chap. XXVI. Invention de la peinture à l'huile par Jean de Bruges, duquel il y a deux tableaux au Musée royal. | 101 |
| Chap. XXVII. La chapelle Sixtine. Sixte IV y appelle, en 1474, les meilleurs peintres de Florence. | 103 |
| Chap. XXVIII. Du Ghirlandajo et de la perspective aérienne. | 105 |
| Chap. XXIX. Prédécesseurs immédiats des grands hommes. | 108 |
| Chap. XXX. État des esprits en 1500; on appelait beau ce qui était fidèlement imité; le beau idéal eût passé pour incorrection.—Corruption triste et cruelle de l'Écosse, comparée à la corruption voluptueuse de la belle Italie. | 110 |
| Chap. XXXI. Revue. | 116 |
| Chap. XXXII. Les cinq grandes écoles. | Ib. |
| Chap. XXXIII. Épreuve sous la statue d'Isis. | 117 |
| Chap. XXXIV. Un artiste: Le véritable artiste toujours fou, souvent ridicule. | Ib. |
| Chap. XXXV. Caractères des peintres de Florence; bon dessin, style minutieux, peu de beauté, point d'expression. | 122 |
| Chap. XXXVI. La fresque à Florence. | 124 |
| Chap. XXXVII. Différence entre Florence et Venise. | 125 |
| LIVRE TROISIÈME. VIE DE LÉONARD DE VINCI. |
|
| Chap. XXXVIII. Ses premières années: Léonard, fils naturel d'un notaire de la république (1452). | 127 |
| Chap. XXXIX. Les époques de sa vie. | 129 |
| Chap. XL. Ses premiers ouvrages. | 130 |
| Chap. XLI. Des trois styles de Léonard. | 131 |
| Chap. XLII. Léonard à Milan. | 132 |
| Chap. XLIII. Vie privée de Léonard à la cour de Ludovic. | 133 |
| Chap. XLIV. Sa vie d'artiste. Il fait une révolution dans les arts, mais peint fort peu. | 136 |
| Chap. XLV. Léonard au couvent des Grâces. Il peint le dernier repas de Jésus avec les apôtres. | 137 |
| Chap. XLVI. Exécution de ce chef-d'œuvre. | 140 |
| Chap. XLVII. Noms des personnages. | 141 |
| Chap. XLVIII. Époque où le Cénacle fut fait. | 142 |
| Chap. XLIX. Vestiges des études de Léonard pour le tableau de la Cène. | Ib. |
| Chap. L. Bandello conte la manière de peindre de Vinci. | 146 |
| Chap. LI. Malheurs du tableau de la Cène. | 148 |
| Chap. LII. On le restaure; il n'en reste presque plus rien. | 150 |
| Chap. LIII. Extrait du journal de sir W. E. | 151 |
| Chap. LIV. De la vérité historique; triomphe des pédantesques. | 154 |
| Chap. LV. Chute de Ludovic, le protecteur de Léonard. | 155 |
| Chap. LVI. Léonard trouve en Toscane le jeune Michel-Ange. Carton de la bataille d'Anghiari. | 158 |
| Chap. LVII. Malheurs de Léonard. Ses trois grands ouvrages: le Cheval colossal, la Cène et la Bataille d'Anghiari, n'existent plus que dans l'histoire. | 161 |
| Chap. LVIII. Léonard à Rome. Madones de l'Ermitage. Le Vinci précurseur du Corrége dans le clair-obscur. | 164 |
| Chap. LIX. Léonard et Raphaël. | 167 |
| Chap. LX. Léonard bon sculpteur. | 168 |
| Chap. LXI. Études anatomiques de Léonard. Léonard voit les rapports du physique et du moral de l'homme, fondements de toute bonne philosophie. | 169 |
| Chap. LXII. Idéologie de Léonard. Pour être aussi célèbre que Bacon, il n'a manqué à Léonard que d'imprimer. | 171 |
| Chap. LXIII. Léonard suit François Ier en France. | 174 |
| Chap. LXIV. Testament et mort de Vinci. | 176 |
| Chap. LXV. L'on ne peut courir la chance d'être grand qu'en s'appliquant à une seule chose. | 177 |
| Chap. LXVI. Que dans ce qui plaît nous ne pouvons estimer que ce qui nous plaît. Les jugements des grands artistes, les uns sur les autres, ne sont que des certificats de ressemblance. | 178 |
| LIVRE QUATRIÈME. DU BEAU IDÉAL ANTIQUE. |
|
| Chap. LXVII. Histoire du beau. | 186 |
| Chap. LXVIII. Philosophie des Grecs qui ne sentaient pas que tout est relatif. | Ib. |
| Chap. LXIX. Moyen simple d'imiter la nature. | 187 |
| Chap. LXX. Où trouver les anciens Grecs? | Ib. |
| Chap. LXXI. De l'opinion publique chez les sauvages. | 188 |
| Chap. LXXII. Les sauvages, grossiers pour mille choses, raisonnent fort juste. | Ib. |
| Chap. LXXIII. Qualités des dieux. | 189 |
| Chap. LXXIV. Les dieux perdent l'air de la menace. | 190 |
| Chap. LXXV. De la règle relative à la quantité d'attention. Le spectateur n'a qu'une certaine quantité d'attention à donner. | 191 |
| Chap. LXXVI. Chose singulière, il ne faut pas copier exactement la nature. | Ib. |
| Chap. LXXVII. Influence des prêtres. | 192 |
| Chap. LXXVIII. Conclusion. | Ib. |
| Chap. LXXIX. Dieu est-il bon ou méchant? | Ib. |
| Chap. LXXX. Douleur de l'artiste. | 193 |
| Chap. LXXXI. Le prêtre le console. | 194 |
| Chap. LXXXII. L'artiste s'éloigne de plus en plus de la nature. | Ib. |
| LIVRE CINQUIÈME. SUITE DU BEAU ANTIQUE. |
|
| Chap. LXXXIII. Ce que c'est que le beau idéal. La beauté antique est l'expression d'un caractère utile. | 196 |
| Chap. LXXXIV. De la froideur de l'antique. | 197 |
| Chap. LXXXV. Le Torse, plus grandiose que le Laocoon. | 198 |
| Chap. LXXXVI. Défaut que n'a jamais l'antique. | Ib. |
| Chap. LXXXVII. Donner une physionomie aux muscles, tel est l'unique moyen de la sculpture. | 200 |
| Chap. LXXXVIII. Les différences de forme sont moindres que celles de couleur. L'Apollon serait beau dans plusieurs parties de l'Afrique. | 204 |
| Chap. LXXXIX. Un sculpteur. | 205 |
| Chap. XC. Difficulté de la peinture et de l'art dramatique. | 206 |
| Chap. XCI. Réfléchir l'habitude. De mémoire de rose, on n'a jamais vu mourir de jardinier. | 207 |
| Chap. XCII. Six classes d'hommes. | 210 |
| Chap. XCIII. Du tempérament sanguin. | 211 |
| Caractères physiques du tempérament sanguin. | 212 |
| Caractère moral. | 213 |
| Chap. XCIV. Du tempérament bilieux. | 214 |
| Caractère moral. | 215 |
| Chap. XCV. Les trois jugements. Une civilisation très-avancée ne permet pas de dire à un inconnu quelque chose qui décèle ou beaucoup d'esprit ou beaucoup d'âme. | 216 |
| Chap. XCVI. Le flegmatique. Du sens intérieur et de M. Schleghel. | 217 |
| Caractères physiques. | 218 |
| Caractère moral. | 220 |
| Chap. XCVII. Du tempérament mélancolique. | 224 |
| Caractère physique. | 225 |
| Caractère moral. | 226 |
| Chap. XCVIII. Tempéraments athlétiques et nerveux. Les saintes. | 228 |
| Tempérament nerveux. | Ib. |
| Esprit et faiblesse, ou la femme. | 229 |
| Tempérament nerveux, deuxième variété | 232 |
| Le tempérament athlétique. | 233 |
| Chap. XCIX. Suite de l'athlétique et du nerveux. | 234 |
| Chap. C. Influence des climats. | 236 |
| Influence du régime. | 237 |
| Chap. CI. Comment l'emporter sur Raphaël? Imogène. | 239 |
| Chap. CII. L'intérêt et la sympathie. Jusqu'à quel point l'homme peut-il oublier son intérêt direct pour se livrer aux charmes de la sympathie? | 242 |
| Chap. CIII. De la musique. | 243 |
| Chap. CIV. Lequel a raison? | Ib. |
| Chap. CV. De l'admiration. | 244 |
| Chap. CVI. En France, l'on sait toujours ce qu'il est ridicule de ne pas savoir. | 245 |
| Chap. CVII. Art de voir. | Ib. |
| Chap. CVIII. Du style dans le portrait. Plus un artiste a de style dans le portrait, moins il a de mérite aux yeux du physionomiste. | 247 |
| Chap. CIX. Que la vie active ôte la sympathie pour les arts. | 249 |
| Chap. CX. Objection très-forte. N'y a-t-il pas une différence entre la beauté et le bon air? | 251 |
| LIVRE SIXIÈME. DU BEAU IDÉAL MODERNE. |
|
| Chap. CXI. De l'homme aimable. Pour suivre ceci, il faut d'abord oublier. | 253 |
| Chap. CXII. De la décence, des mouvements chez les Grecs. | 258 |
| Chap. CXIII. De l'étourderie et de la gaieté dans Athènes. | 259 |
| Chap. CXIV. De la beauté des femmes. | 261 |
| Chap. CXV. Que la beauté antique est incompatible avec les passions modernes. | Ib. |
| Chap. CXVI. De l'amour. | 263 |
| Chap. CXVII. L'antiquité n'a rien de comparable à la Marianne de Marivaux. | 264 |
| Chap. CXVIII. Nous n'avons que faire des vertus antiques. | Ib. |
| Chap. CXIX. De l'idéal moderne. | 266 |
| Chap. CXX. Remarques. Dans nos mœurs, c'est l'esprit, accompagné d'un degré de force très-ordinaire, qui est la force. Wilkes, Beaumarchais, Mirabeau. | Ib. |
| Chap. CXXI. Exemple: la beauté anglaise. | 267 |
| Chap. CXXII. Les toiles successives. | 268 |
| Chap. CXXIII. Le beau antique convient aux Dieux. Nous aimons bien le courage, mais nous aimons bien aussi qu'il ne paraisse que dans le besoin. | 270 |
| Chap. CXXIV. Suite du même sujet. | 271 |
| Chap. CXXV. Révolution du vingtième siècle. | 272 |
| Chap. CXXVI. De l'amabilité antique. | 276 |
| Chap. CXXVII. La force en déshonneur. | 278 |
| Chap. CXXVIII. Que restera-t-il donc aux anciens? | 280 |
| Chap. CXXIX. Les Salons et le Forum. | Ib. |
| Chap. CXXX. De la retenue monarchique. | 283 |
| Chap. CXXXI. Dispositions des peuples pour le beau moderne. l'Italie, l'Allemagne, l'Espagne. | 285 |
| Chap. CXXXII. Le Français d'autrefois. | 291 |
| Chap. CXXXIII. Qu'arrivera-t-il du beau moderne, et quand arrivera-t-il? | 292 |
| LIVRE SEPTIÈME. VIE DE MICHEL-ANGE. |
|
| Chap. CXXXIV. Premières années. | 294 |
| Chap. CXXXV. Il voit l'antique. | 296 |
| Chap. CXXXVI. Bonheur unique de l'éducation de Michel-Ange. Laurent le Magnifique. | 297 |
| Chap. CXXXVII. Accidents de la monarchie. | 301 |
| Chap. CXXXVIII. Voyage à Venise, il est arrêté à Bologne. Générosité d'un Aldrovandi. | 302 |
| Chap. CXXXIX. Voulut-il imiter l'antique? | 304 |
| Chap. CXL. Il fait compter et non sympathiser avec ses personnages. | 306 |
| Chap. CXLI. Spectacle touchant. | 308 |
| Chap. CXLII. Contradiction. | 309 |
| Chap. CXLIII. Explications. | 310 |
| Chap. CXLIV. Qu'il n'y a point de vraie grandeur sans sacrifice. | 312 |
| Chap. CXLV. Michel-Ange, l'homme de son siècle. | 313 |
| Chap. CXLVI. Le David colossal. | 317 |
| Chap. CXLVII. L'art d'idéaliser reparaît après quinze siècles. | 319 |
| Chap. CXLVIII. Jules II. | 322 |
| Chap. CXLIX. Tombeau de Jules II. | 323 |
| Chap. CL. Disgrâce. | 325 |
| Chap. CLI. Réconciliation, statue colossale à Bologne. | 326 |
| Chap. CLII. Intrigue, malheur unique. | 328 |
| Chap. CLIII. Chapelle Sixtine. | 330 |
| Chap. CLIV. Suite de la Sixtine. | 333 |
| Chap. CLV. En quoi précisément il diffère de l'antique. | 335 |
| Chap. CLVI. Froideur des arts avant Michel-Ange. | 338 |
| Chap. CLVII. Suite de la Sixtine. Prophètes. | 339 |
| Chap. CLVIII. Effet de la Sixtine. L'expression de tout ce qui peut rassurer ne peut pas se trouver dans la peinture des épouvantements de la religion catholique. | 343 |
| Chap. CLIX. Sous Léon X, Michel-Ange est neuf ans sans rien faire. | 344 |
| Chap. CLX. Dernier soupir de la liberté et de la grandeur florentines. Jésus roi. | 346 |
| Chap. CLXI. Statues de saint Laurent. | 351 |
| Chap. CLXII. Fidélité de Michel-Ange au principe de la terreur. Époques de la découverte des statues antiques. | 352 |
| Chap. CLXIII. Malheur des relations avec les princes. | 355 |
| Chap. CLXIV. Le Moïse à San-Pietro-in-Vincoli. | 358 |
| Chap. CLXV. Suite du Moïse. | 359 |
| Chap. CLXVI. Le Christ de la Minerve.—la Vittoria de Florence. | Ib. |
| Chap. CLXVII. Mot de Michel-Ange sur la peinture à l'huile. | 361 |
| Chap. CLXVIII. Le Jugement dernier. | Ib. |
| Chap. CLXIX. Suite du Jugement dernier. Proportions, coloris, critiques. | 367 |
| Chap. CLXX. Suite du Jugement dernier. Les défauts de Michel-Ange sont l'opposé de ceux de l'école française. | 370 |
| Chap. CLXXI. Jugement des étrangers sur Michel-Ange. | 371 |
| Chap. CLXXII. Influence du Dante sur Michel-Ange. | 374 |
| Chap. CLXXIII. Fin du Jugement dernier. | 377 |
| Chap. CLXXIV. Fresques de la chapelle Pauline. | 378 |
| Chap. CLXXV. Manière de travailler. | 379 |
| Chap. CLXXVI. Tableaux de Michel-Ange. | 380 |
| Chap. CLXXVII. Michel-Ange architecte. | 383 |
| Chap. CLXXVIII. Histoire de Saint-Pierre. | 385 |
| Chap. CLXXIX. Un grand homme en butte à la médiocrité. | 388 |
| Chap. CLXXX. Caractère de Michel-Ange. | 393 |
| Chap. CLXXXI. Suite du caractère de Michel-Ange. | 395 |
| Chap. CXXXII. L'esprit, invention du dix-huitième siècle. | 397 |
| Chap. CLXXXIII. Honneurs rendus à la cendre de Michel-Ange. | 400 |
| Chap. CLXXXIV. Le goût pour Michel-Ange renaîtra. Révolution de la poésie anglaise; Pope et lord Byron. | 401 |
| ÉPILOGUE.—Cours de cinquante heures. | 407 |
| Auteurs qui traitent de la peinture: Vasari, Baldinucci, Ridolfi Malvasia, Lanzi, Zanetti, Condivi, Félibien, Mengs, Cochin, Reynolds, Richardson. | Ib. |
| Les meilleures estampes. | 409 |
| Il vaut infiniment mieux ne pas voir ce qui est que de voir sur parole. | 411 |
| Circonstances du traité de Tolentino. | 413 |
| APPENDICE. | |
| Table chronologique des artistes les plus célèbres. | 414 |
| Artistes vivants. | 421 |
| Compositeurs célèbres. | 422 |
| Compositeurs vivants. | 423 |
| Liste des grands peintres. | 423 |
| Cinq écoles. | 423 |
| École de Florence | Ib. |
| École Romaine | Ib. |
| École Lombarde | 425 |
| École Vénitienne | Ib. |
| École de Bologne | Ib. |
| Note pour la page 80. | 426 |
Au lecteur.
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