Partant pour la Syrie

Pierre LA MAZIÈRE
a publié à la même librairie

J’AURAI UN BEL ENTERREMENT !

Que les plus grands écrivains et les critiques les plus sévères de ce temps ont loué en ces termes :

Tout cela est fort, sain, net, hardi et comble de louange vivant. Seuls comptent ceux qui étreignent leur temps à bras le corps. Pierre La Mazière est du nombre. — Henri Béraud.

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Voilà un bon et franc bouquin, le meilleur que j’aie lu depuis longtemps parmi ceux de la nouvelle génération d’écrivains. Il y a là de la vérité, de l’émotion et de la puissance. Enfin, c’est de quelqu’un dont je me souviendrai. — Paul Brulat.

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C’est un beau roman, courageux, hardi, une œuvre que je place sur le rayon de Vallès et de Mirbeau. — Gaston Chérau.

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La satire de Pierre La Mazière atteint une sorte de fureur grandiose d’autant plus émouvante qu’elle s’exprime avec plus de sérénité dans la certitude. — J. Ernest-Charles (Le Quotidien).

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D’une ironie tour à tour féroce et attendrie qui eût enchanté Mirbeau, riche de pages pathétiques et brillantes, l’œuvre de Pierre La Mazière est d’une grande puissance. — Charles Derennes (Bonsoir).

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L’ouvrage de Pierre La Mazière est solidement pensé, parfaitement composé, admirablement écrit. J’en rapprocherais volontiers la manière de celle d’un Mirbeau qui se posséderait ou mieux qu’aurait retouché Jules Renard. Une vision aiguë et nette, des raccourcis d’une puissance singulière. — André Lichtenberger (La Victoire).

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Demain, peut-être, Pierre La Mazière méritera plus justement que beaucoup d’autres la grande notoriété. Il n’est, pour lui, qu’une chose à craindre, c’est que cette société si fidèlement dépeinte ne jette sur cette œuvre, qui durement la fouaille, le boisseau du silence. — Victor Margueritte (Le Peuple).

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Quel beau et bon livre, émouvant et fort !… — Georges Duhamel.

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C’est une très belle chose, d’une implacable vérité, d’une force critique lucide, d’un style net, d’un accent de vérité qui saisit ; une œuvre courageuse et pleine d’enseignements dans son amertume infinie. — Camille Mauclair.

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Cet admirable livre si émouvant m’a parlé avec le naturel et le pathétique d’une voix humaine. Voilà qui dépasse la littérature. — Comtesse de Noailles.

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Ce très remarquable roman est d’un ton à la fois pathétique et satirique. Dénonçant avec la désinvolture la plus âpre les mœurs d’aujourd’hui, il est inspiré par le sentiment le plus simple et le plus droit de l’honnêteté et de la justice. — Les qualités esthétiques du style sont les mêmes que les qualités morales de l’auteur. — Gaston Rageot (Le Gaulois).

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… Cet admirable J’aurai un bel enterrement… est une œuvre hardie et forte, quelque chose comme Le Feu démobilisé. — Paul Reboux.

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Un bien beau livre, poignant et âpre, qui, frôlant la haute comédie et le drame, est une énorme satire de ce triste monde. — Saint-georges de Bouhelier.

Établis. Busson, 23, rue Turgot, Paris. — 12/12/26.