Étude sur les maladies éteintes et les maladies nouvelles: pour servir à l'histoire des évolutions séculaires de la pathologie
ERRATA
Page 88, note 95, au lieu de: Thucydide, lisez: de Pongerville.
Page 125, ligne 8, au lieu de: manière irritante, lisez: matière irritante.
Ibid., ligne 19, au lieu de: érésipèle, lisez: érysipèle.
Page 340, note 455, ligne 1re, au lieu de: præfocante puero, lisez: pueros.
Page 474, note 637, au lieu de: p. 11, lisez: p. XI.
Page 503, note 679, ligne 1re, au lieu de: de abitis, lisez: de abditis.
Page 508, ligne 24, au lieu de: séparaton, lisez: séparation.
Page 576, ligne 31, au lieu de: hanc amen ipsam, lisez: hanc tamen ipsam.
TABLE DES MATIÈRES
| Dédicace. | V | ||||||
| Préface. | VII | ||||||
| Introduction. | 1 | ||||||
| Chapitre | Ier. | — | De la grande épidémie du Ve siècle avant l’ère chrétienne (peste d’Athènes). | 51 | |||
| —— | II. | — | De la grande épidémie du IIe siècle de l’ère chrétienne (peste Antonine). | 113 | |||
| —— | III. | — | De la grande épidémie du IIIe siècle après Jésus-Christ (peste sous Gallus). | 140 | |||
| —— | IV. | — | De la grande épidémie du VIe siècle (peste inguinale). | 158 | |||
| —— | V. | — | Des épidémies de fièvres éruptives nouvelles apparues au VIe siècle de l’ère chrétienne. | 215 | |||
| Section | Ire. | — | De la variole considérée comme maladie nouvelle. | 218 | |||
| —— | II. | — | De la rougeole considérée comme maladie nouvelle. | 278 | |||
| —— | III. | — | De la scarlatine considérée comme maladie nouvelle. | 304 | |||
| —— | VI. | — | De la grande épidémie gangréneuse du moyen âge (mal des ardents, feu Saint-Antoine). | 351 | |||
| —— | VII. | — | De la grande épidémie du XIVe siècle (peste noire). | 395 | |||
| —— | VIII. | — | De la grande épidémie du XVe siècle (suette anglaise). | 449 | |||
| —— | IX. | — | De la grande épidémie syphilitique du XVe siècle. | 535 | |||
| —— | X. | — | De la grande épidémie cholérique du XIXe siècle. | 591 | |||
| Notes. | NOTES | ||||||
| Errata. | 647 | ||||||
FIN DE LA TABLE DES MATIÈRES
IMPRIMERIE L. TOINON ET Ce, A SAINT-GERMAIN.
J.-B. BAILLIÈRE et FILS,
LIBRAIRES DE L’ACADÉMIE IMPÉRIALE DE MÉDECINE,
Rue Hautefeuille, 19, à Paris.
| LONDRES, Hippolyte Baillière. |
MADRID, C. Bailly-Baillière. |
NEW-YORK Baillière Brothers. |
Leipzig, E. Jung-Treuttel, Querstrasse, 10.
ŒUVRES COMPLÈTES
D’HIPPOCRATE
TRADUCTION NOUVELLE AVEC LE TEXTE EN REGARD
COLLATIONNÉ SUR LES MANUSCRITS ET TOUTES LES ÉDITIONS
ACCOMPAGNÉE D’UNE INTRODUCTION
de Commentaires médicaux, de Variantes et de Notes philologiques
SUIVIE
D’UNE TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES
Par É. LITTRÉ
Membre de l’Institut (Académie des inscriptions et belles-lettres),
de l’Académie impériale de médecine, de la Société de biologie de Paris,
et de la Société d’histoire naturelle de Halle.
OUVRAGE COMPLET, 10 forts volumes in-8o.—100 fr.
En publiant cet ouvrage, M. Littré a eu pour but de mettre les œuvres hippocratiques complétement à la portée des médecins de notre temps; il a voulu qu’elles pussent être lues et comprises comme un livre contemporain. Deux difficultés principales s’y opposaient: la première gisait dans des théories antiques qui, depuis longtemps, ont cessé d’être familières aux esprits, et dont l’intelligence est nécessaire pour l’interprétation d’une foule de passages; la seconde était dans l’emploi d’une ancienne langue médicale où les mots ont quelquefois une acception mal déterminée, et quelquefois aussi une acception trompeuse, attendu qu’ils ont changé de signification en passant dans le langage moderne. Pour remédier à ces difficultés, en tête de chaque traité, M. Littré a exposé dans un Argument ce qui est nécessaire à l’intelligence de ce traité; puis il a précisé, autant que la nature des choses le permettait, le langage antique, et, à cet effet, il a souvent essayé un diagnostic rétrospectif qui n’est pas entouré de moindres obscurités que le diagnostic au lit du malade. Ceci dit, nous croyons que la meilleure et la plus simple manière de faire connaître un ouvrage est d’exposer ce qu’il contient.
Le tome Ier est consacré presque entièrement à une Introduction (pages 1-478). Là sont traitées les questions préliminaires dont la solution importe à l’intelligence des livres hippocratiques. Le volume est terminé par le traité De l’Ancienne médecine, ouvrage important de philosophie scientifique, et où la collation des manuscrits a permis de combler une lacune considérable et de rétablir une mention d’Empédocle.
Le tome II renferme le traité Des Airs, des Eaux et des Lieux, le Pronostic, le livre Du Régime des maladies aiguës, et le premier livre Des Épidémies. La polémique d’Hippocrate contre les médecins de Cnide est trop importante pour n’être pas appréciée: l’école de Cos note surtout les symptômes généraux, l’école de Cnide surtout les symptômes particuliers; la première a pour doctrine une sorte de physiologie pathologique, la seconde est essentiellement descriptive. Voilà pour le système d’Hippocrate; voici pour un point considérable de sa médecine, la Pyrétologie. Les pays chauds sont affectés endémiquement de fièvres intermittentes, rémittentes et continues, marquées d’un caractère à peu près étranger aux régions tempérées non marécageuses. M. Littré a montré, dans un Argument, que les fièvres décrites par Hippocrate y devaient être rapportées. Cette remarque a jeté un jour tout nouveau sur la pyrétologie du vieux médecin grec, et donne un élément de plus à l’étude des maladies suivant leur distribution géographique.
Dans le tome III sont le troisième livre des Épidémies, le traité Des Plaies de tête, le livre De l’Officine du médecin et celui Des Fractures, un des traités les plus importants, le moins connu, qui par une révision des textes et une savante interprétation, en fait un livre que tous les chirurgiens doivent consulter. M. Littré, recherchant si Hippocrate avait connu la peste à bubons, a établi, à l’aide de textes irréfragables, que cette maladie, regardée jusqu’à présent comme récente, comparativement et comme datant du VIe siècle de l’ère chrétienne, devait être reportée plus haut et qu’elle avait sévi d’une manière épidémique dans le premier siècle au moins de cette ère et sans doute beaucoup plus tôt.
Le tome IV comprend le traité Des Articulations, le Mochlique, les Aphorismes, le Serment et la Loi. De nombreuses corrections dans le texte ont rendu très-facile à lire le grand et important traité Des Articulations. M. Littré a terminé le volume par des Remarques rétrospectives; là, il classe les livres qu’il regarde comme étant d’Hippocrate lui-même, suivant les objets qui y sont traités; là, enfin, sont appréciées les connaissances physiologiques d’Hippocrate, sa doctrine de la crase et la tentative de physiologie pathologique qu’il a faite dans le Pronostic.
Dans le tome V se trouvent les IIe, IVe, Ve, VIe et VIIe livres Des Épidémies, le traité Des Humeurs, le premier livre du Prorrhétique et les Prénotions de Cos. Ces cinq livres Des Épidémies donnent lieu à des études sur la pratique, la clientèle et le mode de travailler des médecins hippocratiques: ils donnent lieu aussi à un essai sur le caractère de plusieurs des grandes épidémies qui ont affligé l’antiquité.
Le tome VI renferme un grand nombre de traités relatifs à des objets différents: le traité De l’Art, destiné à combattre ceux qui prétendent que la médecine n’existe pas; De la Nature de l’homme; Du Régime salutaire, qui donne des préceptes hygiéniques; Des Vents, qui attribue toutes les maladies à une cause unique (le vent ou pneuma); De l’Usage des liquides; le livre premier Des Maladies, ouvrage dont le but est de donner au médecin des idées générales sur les nécessités pathologiques qui font qu’une maladie a telle ou telle issue, et sur les conditions que le médecin doit remplir pour exercer habilement; les livres Des Affections; Des Lieux dans l’homme, qui renferme une proposition dont l’homœopathie s’est emparée; De la Maladie sacrée, remarquable surtout par deux points de doctrine: le premier, c’est que toutes les maladies sont de cause naturelle; le second, c’est que toute fonction intellectuelle et morale appartient au cerveau; Des Plaies; Des Hémorrhoïdes et des Fistules, traités où il est parlé du spéculum de l’anus et de la membrane tapissant les trajets fistuleux; enfin le grand traité Du Régime et des Songes.
Tome VII. Des Maladies, livres II, III (162 pages). — Des Affections internes (140 pages). — De la nature de la Femme (50 pages). — Du Fœtus à sept, huit et neuf mois, de la Génération, de la nature de l’Enfant (80 pages). — Des Maladies, livre IV (70 pages), etc.
Tome VIII. Maladies des Femmes, des Femmes stériles, des Jeunes Filles, de la Superfétation, de l’Anatomie, de la Dentition, des Glandes, des Chairs, des Semaines, etc.
Tome IX. Prorrhétique. — Du Cœur. — De l’Aliment. — De la Vision. — De la nature des Os. — Du Médecin. — De la Bienséance. — Préceptes. — Des Crises, Jours critiques, Décrets, Harangues, Lettres et Discours. — Appendice.
Tome X et dernier. Dernières remarques. — Table générale alphabétique, travail considérable de 400 pages, complément indispensable dans une collection qui comprend, comme les Œuvres d’Hippocrate, 70 traités sur des sujets variés.
| Les Œuvres complètes d’Hippocrate forment dix forts volumes in-8 de 700 pages chacun. Prix de chaque volume | 10 fr. |
| Il a été tiré quelques exemplaires sur grand papier jésus vélin. Prix de chaque volume | 20 fr. |
On peut encore souscrire en retirant un volume à la fois.
| HISTOIRE DE LA MÉDECINE GRECQUE DEPUIS ESCULAPE, jusqu’à Hippocrate exclusivement, par le docteur M. S. Houdart. Paris, 1856, in-8 de 320 pages (6 fr.). | 3 fr. |
| ÉTUDES HISTORIQUES ET CRITIQUES sur la vie et la doctrine d’Hippocrate et sur l’état de la médecine avant lui, par le docteur Houdart, membre correspondant de l’Académie de médecine; 2e édition augmentée. Paris, 1840, in-8. | 4 fr. 50 |
| MOSCHIONIS. DE MULIERUM PASSIONIBUS. Libri græce et latine edente, F. Dewetz. Viennæ, 1793, in-8. | 3 fr. |
| ALBUCASIS. DE CHIRURGIA, arabice et latine cura J. Channing, Oxonii. 1778, 2 vol. in-4 avec figures. | 50 fr. |
| LA CHIRURGIE D’ALBUCASIS, traduite par le docteur Lucien Leclerc, médecin major, précédée d’une introduction. Paris, 1861, in-8, 342 pages avec pl. | 6 fr. |
| LA MÉDECINE DU PROPHÈTE, traduit de l’arabe par Perron, ancien directeur de l’école de médecine du Caire, directeur du collége français arabe à Alger, etc. 1860. In-8 de 228 pages. | 4 fr. |
| LA MÉDECINE A TRAVERS LES SIÈCLES. Histoire et philosophie, par J. M. Guardia, docteur en médecine et docteur ès lettres, bibliothécaire adjoint de l’Académie de médecine. 1 vol. in-8 de 800 pages. | 10 fr. |
Table des matières: Histoire. La tradition médicale. La médecine grecque avant Hippocrate. La légende hippocratique. Classification des écrits hippocratiques. Documents pour servir à l’histoire de l’art. — Philosophie. Questions de philosophie médicale. Nos philosophes naturalistes. Sciences anthropologiques. Buffon. La philosophie positive et ses représentants. La métaphysique médicale. Asclépiade, fondateur du méthodisme. Esquisse des progrès de la physiologie cérébrale. De l’enseignement de l’anatomie générale. La méthode expérimentale et la physiologie. Les vivisections à l’Académie de médecine. Les misères des animaux. Abus de la méthode expérimentale. Philosophie sociale.
ŒUVRES
ANATOMIQUES, PHYSIOLOGIQUES ET MÉDICALES
DE GALIEN
Traduites sur les textes imprimés et manuscrits
ACCOMPAGNÉES DE SOMMAIRES, DE NOTES, DE PLANCHES, ETC.
Par le Dr Ch. DAREMBERG
Bibliothécaire de la bibliothèque Mazarine, Bibliothécaire honoraire de l’Académie de médecine, etc.
Déjà M. Littré a fait revivre Hippocrate: le prenant pour guide, M. Daremberg a fait revivre Galien, le plus illustre médecin de l’antiquité après Hippocrate.
Galien était un grand anatomiste; il suffit, pour s’en convaincre, de suivre ses descriptions sur la nature dans le livre De l’Utilité des parties; — c’était un habile physiologiste, ses ingénieuses expériences sur les systèmes nerveux et sanguins en sont un irrécusable témoignage; — c’était un pathologiste éminent, son beau traité Des Lieux affectés ne laisse aucun doute à cet égard.
Le traité de l’Utilité des parties du corps, dont on ne paraît pas avoir compris le vrai caractère, se résume dans cette sentence d’Aristote: Que la nature ne fait rien en vain. Aussi Galien, loin d’y traiter les questions de physiologie proprement dite, ne s’y occupe qu’à découvrir et à démontrer que les parties ne pouvaient être mieux disposées qu’elles ne le sont, et qu’elles sont parfaitement adaptées aux fonctions qu’elles ont à remplir. — Une conception hardie, et jusqu’à un certain point nouvelle, de la parfaite harmonie entre les diverses parties du corps, est une des qualités qui distinguent cet ouvrage.
Dans le Traité des Lieux affectés, Galien a devancé l’école moderne, en démontrant, par la théorie et par les faits, combien il importe d’abord à la connaissance des maladies, puis à la thérapeutique, de savoir exactement le siége du mal, en d’autres termes, d’arriver au diagnostic local. Cet admirable ouvrage, l’un des plus beaux titres de gloire de Galien, est pour la première fois traduit en français, il figure tout entier dans le second volume.
Les traités Des Facultés naturelles, Du Mouvement des muscles, Des Sectes, aux étudiants, De la meilleure Secte à Thrasybule, nous présentent une idée à peu près complète de la physiologie théorique et expérimentale de Galien.
Le traité De la Méthode Thérapeutique à Glaucon donnera une idée de la manière dont il concevait et exposait les généralités sur la médecine.
Les Œuvres de Galien forment 2 forts volumes grand in-8 de 700 pages. Prix de chaque, 10 francs.
Envoi FRANCO, par la poste, contre un Mandat.
ŒUVRES
D’ORIBASE
TEXTE GREC, EN GRANDE PARTIE INÉDIT
COLLATIONNÉ SUR LES MANUSCRITS
Traduit pour la première fois en français, avec une Introduction, des Notes,
des Tables et des Planches,
PAR LES DOCTEURS
BUSSEMAKER et DAREMBERG.
6 forts vol. in-8, gr. papier, imprimé à l’Imprimerie impériale.
Les tomes I à IV, chacun de 750 pages, sont en vente. — Prix du vol.: 12 fr.
Les amis des lettres et de la médecine ancienne applaudiront à la publication des Œuvres complètes d’Oribase; c’est pour la première fois qu’elles ont été réunies avec de notables augmentations. — Une partie seulement de la Collection médicale, véritable encyclopédie de la médecine ancienne, avait été publiée en grec. Le Synopsis en neuf livres, et le traité Ad Eunapium en quatre livres, n’ont jamais été publiés qu’en latin.
Pour entreprendre un travail de cette importance, il fallait les longues études, les laborieuses recherches et le dévouement de MM. Daremberg et Bussemaker; il fallait, de plus, les heureuses circonstances où s’est trouvé M. Daremberg, qui a été chargé par le ministre de l’instruction publique de quatre missions littéraires dans les principales bibliothèques d’Allemagne, de Belgique, d’Angleterre et d’Italie, pour y recueillir de nombreux matériaux.
On sait qu’un des grands mérites des Œuvres d’Oribase est d’être formées d’extraits textuels de médecins et de chirurgiens anciens, dont plusieurs nous seraient à peu près inconnus, si ces précieux fragments n’avaient été sauvés par le médecin et l’ami de l’empereur Julien.
Les livres Chirurgicaux d’Oribase ont un intérêt tout particulier: cependant ils sont peu connus: cela tient à ce que les uns ne sont publiés qu’en grec, et que pour les autres la traduction latine est souvent aussi difficile à entendre que le texte.
Les livres publiés par Cocchi et par le cardinal Ang. Mai ont été revus sur les manuscrits de Florence et du Vatican par MM. Bussemaker et Daremberg.
Les fragments retrouvés par M. Bussemaker, trois livres de la Collection médicale entièrement inconnus et découverts par Dietz et par M. Daremberg, ajoutent un nouveau prix aux œuvres d’Oribase.
Les quatre volumes publiés comprennent:
Tome Ier. Plan de la collection des médecins grecs. — Les rapports de l’Académie des inscriptions et belles-lettres et de l’Académie impériale de médecine. — Collection médicale, livres comprenant les aliments, les boissons, les exercices (avec des notes sur la Gymnastique chez les anciens).
Tome IIe. Collection médicale, livres comprenant les émissions sanguines, les évacuations; de l’air et des localités; des médicaments externes; des bains; médication topique; médicaments simples, médicaments composés (avec des notes importantes).
Tome IIIe. Physiologie et Pathologie générales, physiologie de la Génération; hygiène, pathologie et symptomatologie générales; Splanchnologie; Nomenclature, os, muscles, nerfs, vaisseaux; Tumeurs contre nature (abcès, sinus, vésicules, fistules, gangrène, etc., du sphacèle, de l’érysipèle, des squirrhes, de l’herpès, de la phagédéenne, de l’œdème, des furoncles, etc.).
Tome IVe. Comprenant: des Tumeurs enkystées; des contractures de la langue; des varices, des scrofules, de l’emphysème, de l’anévrysme, du traitement de l’éléphantiasis, des dépôts, des fractures, des luxations, du déplacement des os du pied, des lacs, des bandages et des machines, du plinthium de Nilée, du glossocome de Nymphadore, machine de l’artisan, du ban d’Hippocrate, de l’hypospadias, de la hernie, des ulcères, etc.
PUBLICATIONS DE J.-B. BAILLIÈRE et FILS.
HISTOIRE GÉNÉRALE DES SCIENCES MÉDICALES. Résumé du cours fait au Collége de France par M. Ch. Daremberg, chargé du cours d’histoire de la médecine au Collége de France, membre de l’Académie de médecine. Paris, 1869, 1 vol. in-8 de 750 pages.
| RECHERCHES SUR L’ÉTAT DE LA MÉDECINE DURANT LA PÉRIODE PRIMITIVE de l’histoire des Indous, par le docteur Ch. Daremberg, professeur chargé du cours d’histoire de la médecine au Collége de France, bibliothécaire de la Bibliothèque Mazarine. Paris, 1867, in-8 de 24 pages. | 1 fr. 25 |
| NOTICES ET EXTRAITS DES MANUSCRITS MÉDICAUX GRECS, LATINS ET FRANÇAIS, des principales bibliothèques d’Europe, 1re partie, Bibliothèques d’Angleterre, par le docteur Ch. Daremberg. Paris, 1853, in-8. | 7 fr. |
| GLOSULÆ QUATUOR MAGISTRORUM SUPER CHIRURGIAM ROGERII ET ROLANDI, publiées pour la première fois par le docteur Ch. Daremberg. Napoli, 1854, in-8 de LXIV — 228 pages. | 4 fr. 50 |
| DE SECRETIS MULIERUM, De chirurgia, de modo medendi, libri septem. Poema medicum; nunc primum ad fidem codicis Mazarinæi, edidit C. Daremberg. Napoli, 1854, in-8 de 178 pages. | 3 fr. 50 |
| HISTOIRE DE LA MÉDECINE depuis son origine jusqu’au XIXe siècle, Paris, 1846, 2 vol. in-8. — LETTRES PHILOSOPHIQUES ET HISTORIQUES SUR LA MÉDECINE AU XIXe SIÈCLE, par le docteur P.-V. Renouard. Troisième édition, corrigée et considérablement augmentée. Paris, 1861. In-8 de 240 pages. | 15 fr. 50 |
| — Séparément, Lettres philosophiques et historiques. 3e édition. 1861, in-8. | 3 fr. 50 |
Ces lettres traitent: I. La médecine jugée par les médecins. — II. Est-il, en médecine, un moyen de discerner le vrai du faux, le certain de l’hypothèse? — III. Des causes qui engagèrent les médecins à quitter la voie primitive de l’observation pure. — IV. La physiologie pathologique peut-elle être, oui ou non, en totalité ou en partie, le fondement direct et immédiat de la thérapeutique? — V. De l’éclectisme en médecine. — VI. De l’homœopathie. — VII. Des méthodes thérapeutiques. — VIII. Réponse à quelques objections concernant la doctrine empiri-methodique. — IX. Du rang que la médecine doit occuper dans un système général des connaissances humaines, et du degré de certitude qu’elle peut atteindre. — X. Les doctrines médicales devant l’Académie impériale de médecine. — XI. Les doctrines médicales devant les Facultés de médecine de France.
| HISTOIRE DES SCIENCES NATURELLES AU MOYEN AGE, ou Albert le Grand et son époque considérés comme point de départ de l’école expérimentale, par F.-A. Pouchet, directeur du Muséum d’histoire naturelle de Rouen. Paris, 1853. 1 beau vol. in-8. | 9 fr. |
Table des matières: Introduction. — École scandinave. — École franco-gothique. — École bizantine. — École arabe. — École EXPÉRIMENTALE: Albert le Grand, St-Thomas d’Aquin, Roger Bacon, Alfred le Philosophe, Raymond de Lulle, Duns Scott, Trithème, Bazile Valentin, Nicolas Flamel, Vincent de Beauvais, Abélard, Barthélemy, Bruneto Latini, Richard de Furnival, Agricola, Platearius, Simon de Cordo, Leoniceno, J. de Dondis, P. Sanctinus, Leonard de Vinci, Arnaud de Villeneuve, P. d’Abano, Lanfranc, Guy de Chauliac, J. de Vigo, Mundinus, Béranger de Carpi, Achillini, Marco Polo, etc.
| L’ÉCOLE DE SALERNE. Traduction en vers français, par Ch. Meaux Saint-Marc, avec le texte latin en regard (1870 vers), précédée d’une introduction par M. le docteur Ch. Daremberg. — DE LA SOBRIÉTÉ, conseils pour vivre longtemps, par L. Cornaro, traduction nouvelle. Paris, 1861, 1 joli vol. in-18 jésus de LXXII-344, avec 5 vignettes. | 3 fr. 50 |
| LETTRES DE GUI PATIN. Nouvelle édition augmentée de lettres inédites, précédée d’une notice biographique, accompagnée de remarques scientifiques, historiques, philosophiques et littéraires, par Réveillé-Parise, membre de l’Académie impériale de médecine. Paris, 1846, 3 vol. in-8, avec le portrait et le fac-simile de Gui Patin. | 21 fr. |
Les lettres de Gui Patin sont de ces livres qui ne vieillissent jamais, et quand on les a lues, on en conçoit aussitôt la raison. Ces lettres sont en effet l’expression la plus pittoresque, la plus vraie, la plus énergique, non-seulement de l’époque où elles ont été écrites, mais du cœur humain, des sentiments et des passions qui l’agitent. — Tout à la fois savantes, érudites, spirituelles, profondes, enjouées, elles parlent de tout: mouvements des sciences, hommes et choses, passions sociales et individuelles, révolutions politiques, etc. C’est donc un livre qui s’adresse aux savants, aux médecins, aux érudits, aux gens de lettres, aux moralistes, etc.
| CELSI (A.-C.) DE RE MEDICA LIBRI OCTO, editio nova, curantibus P. Fouquier, in Facultate Parisiensi professore, et F.-S. Ratier, D. M. Parisiis, 1823, in-18. | 2 fr. |
| LA MÉDECINE ET LES MÉDECINS, philosophie, doctrines, institutions, critiques, mœurs et biographies médicales, par Louis Peisse. Paris, 1857. 2 vol. in-18 jésus. | 7 fr. |
Cet ouvrage comprend: Esprit, marche et développement des sciences médicales. — Découvertes et découvreurs. — Sciences exactes et sciences non exactes. — Vulgarisation de la médecine. — La méthode numérique. — Le microscope et les microscopistes. — Méthodologie et doctrines. — Comme on pense et ce qu’on fait en médecine à Montpellier. — L’encyclopédisme et le spécialisme en médecine. — Mission sociale de la médecine et du médecin. — Philosophie des sciences naturelles. — La philosophie et les philosophes par-devant les médecins. — L’aliénation mentale et les aliénistes. — Phrénologie: bonnes et mauvaises têtes, grands hommes et grands scélérats. — De l’esprit des bêtes. — Le feuilleton. — L’Académie de médecine. — L’éloquence et l’art à l’Académie de médecine. — Charlatanisme et charlatans. — Influence du théâtre sur la santé. — Médecins poëtes. — Biographie.
| ÉTUDES SUR LE TRAITÉ DE MÉDECINE D’ABOUJAFAR AH’MAD, intitulé: Zad Al-Mocafir, «La provision du voyageur», par G. Dugat, membre de la Société asiatique. Paris, 1853, in-8 de 64 pages (2 fr. 50). | 1 fr. |
| STORIA DELLA MEDICINA IN ITALIA, dell dott. Salvator Renzi, medico napolitano. Napoli, 1845 à 1848. 5 forts vol. in-8. | 40 fr. |
| FLOS MEDICINÆ, scholæ salertina, seconde édition entièrement refondue, comprenant les travaux inédits de Baudry de Balzac, et les vers nouvellement recueillis par Ch. Daremberg, et S. de Renzi, publié par les soins du docteur S. de Renzi. Naples, 1859, in-8 de LXVIII-128 pages. | 4 fr. |
| STORIA DOCUMENTA DELLA SCUOLA MEDICA DI SALERNO, seconda edizione. Napoli, 1857, in-8 de 608-CLXXXIV pages. | 12 fr. |
| MAGISTRI SALERNI. Tabulæ et Compendium, extraits des manuscrits de la Bibliothèque impériale de Paris, enrichis de notes et de notices bibliographiques et historiques de Baudry de Balzac. Naples, 1859, in-8 de 68 pages. | 2 fr. 50 |
| HISTOIRE DES FEMMES-MÉDECINS depuis l’antiquité jusqu’à nos jours, par H. Scoutetten, docteur et professeur en médecine, officier de la Légion d’honneur, etc. Paris, 1868, in-18 de 24 pages. | 75 c. |
| LE CHARLATANISME ET LES CHARLATANS EN MÉDECINE, étude psychologique, par le docteur Verdo. Paris, 1867, 1 vol. in-12 de 48 pages. | 1 fr. |
| ŒUVRES COMPLÈTES D’AMBROISE PARÉ, revues et collationnées sur toutes les éditions, avec les variantes; ornées de 217 figures et du portrait de l’auteur, accompagnées de notes historiques et critiques, et précédées d’une introduction sur l’origine et les progrès de la chirurgie en Occident du VIe au XVIe siècle, et sur la vie et les ouvrages d’Ambroise Paré, par J.-F. Malgaigne, chirurgien de l’hôpital de la Charité, professeur à la Faculté de médecine de Paris. Paris, 1840, 3 vol. grand in-8 à deux colonnes. | 36 fr. |
| ÉLOGES LUS DANS LES SÉANCES PUBLIQUES DE L’ACADÉMIE ROYALE DE CHIRURGIE DE 1750 A 1792, par A. Louis, recueillis et publiés pour la première fois, au nom de l’Académie impériale de médecine, et d’après les manuscrits originaux, avec une Introduction, des notes et des éclaircissements, par Fréd. Dubois (d’Amiens), secrétaire perpétuel de l’Académie impériale de médecine. Paris, 1859, 1 vol. in-8 de 548 pages. | 7 fr. 50 |
Cet ouvrage contient: Introduction historique par M. Dubois, 76 pages; Éloges de J.-L. Petit, Bassuel, Malaval, Verdier, Rœderer, Molinelli, Bertrandi, Foubert, Lecat, Ledran, Pibrac, Benomont, Morand, Van Swieten, Quesnay, Haller, Flurent, Willius, Lamartinière, Houstet, de la Faye, Bordenave, David, Faure, Caqué, Faguer, Camper, Hevin, Pipelet, et l’éloge de Louis, par Sue.
Embrassant tout un demi-siècle et renfermant, outre les détails historiques et biographiques, des appréciations et des jugements sur les faits, cette collection forme une véritable histoire de la chirurgie française au XVIIIe siècle.
| HISTOIRE DES MEMBRES DE L’ACADÉMIE ROYALE DE MÉDECINE, ou Recueil des éloges lus dans les séances publiques, par E. Pariset, secrétaire perpétuel de l’Académie de médecine, etc., édition complète, publiée sous les auspices de l’Académie, précédée de l’éloge de Pariset, par F. Dubois (d’Amiens), secrétaire perpétuel de l’Académie de médecine. Paris, 1850, 2 beaux vol. in-12. | 7 fr. |
Cet ouvrage comprend: Discours d’ouverture de l’Académie royale de médecine. — Éloge de Corvisart, — Cadet de Gassicourt, — Berthollet, — Pinel, — Beauchêne, — Bourru, — Percy, — Vauquelin, — G. Cuvier, — Portal, — Chaussier, — Dupuytren, — Scarpa, — Desgenettes, — Laennec, — Tessier, — Husard, — Marc, — Lodibert, — Bourdois de la Motte, — Esquirol, — Chevreul, — Larrey, — Lerminier, — A. Dubois, — Alibert, — Geoffroy Saint-Hilaire, — A. Paré, — Broussais, — Bichat, etc.
| CODE MÉDICAL, ou Recueil des Lois, Décrets et Règlements sur l’étude, l’enseignement et l’exercice de la médecine civile et militaire en France, par Amédée Amette, secrétaire de la Faculté de médecine de Paris. Troisième édition, revue et augmentée. Paris, 1859, 1 vol. in-12 de 560 pages. | 4 fr. |
Ouvrage traitant des droits et des devoirs des médecins. Il s’adresse à tous ceux qui étudient, enseignent ou exercent la médecine, et renferme dans un ordre méthodique toutes les dispositions législatives et réglementaires qui les concernent.
| TRAITÉ DE LA CONTAGION, pour servir à l’histoire des maladies contagieuses et des épidémies, par Ch. Anglada, professeur à la Faculté de médecine de Montpellier. Paris, 1853, 2 vol. in-8. | 12 fr. |
| DOCUMENTS INÉDITS SUR LA GRANDE PESTE DE 1348. (Consultation de la Faculté de Paris. — Consultation d’un praticien de Montpellier. — Description de G. de Machault), par le docteur Joseph Michon. Paris, 1860, in-8. | 2 fr. 50 |
| ÉTUDE PRATIQUE, RÉTROSPECTIVE ET COMPARÉE, SUR LE TRAITEMENT DES ÉPIDÉMIES au XVIIIe siècle. Appréciation des travaux et éloge de Lepecq de la Cloture, médecin épidémiographe de la Normandie, par le docteur Max Simon. Paris, 1853, in-8 de 348 pages. | 5 fr. |
ENVOI FRANCO CONTRE MANDAT SUR LA POSTE.
Paris. — Imp. de E. Martinet, rue Mignon, 2.
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