Histoire du Bas-Empire. Tome 03
[1071] Juxta Addense municipium. Amm. Marc. l. 29, c. 5. La position de ce lieu n'est pas plus connue que celle des autres villes déjà mentionnées.—S.-M.
[1072] Dissonas cultu et sermonum varietate nationes plurimas unum spirantibus animis. Amm. Marcell. l. 29, c. 5.—S.-M.
[1073] C'était plutôt un lieu appelé Mazucanum, du nom sans doute de Mazuca, frère de Firmus. Exinde Theodosius ad fundum venisset nomine Mazucanum. Amm. Marcell. l. 29, c. 5. Il est impossible d'en indiquer la position.—S.-M.
[1074] Le texte d'Ammien Marcellin, l. 29, c. 5, porte ici Tipata. Tipatam mense februario venit.—S.-M.
An 374.
LIX.
Il se remet en campagne.
Pendant qu'il donnait à ses soldats le temps de se reposer, il s'occupait lui-même des moyens de terminer la guerre. Une expédition si longue et si pénible lui avait appris, qu'il était impossible de réduire à force ouverte un ennemi accoutumé à la faim, à la soif, aux ardeurs de ces sables brûlants, courant sans cesse et échappant à toutes les poursuites. Il ne trouvait d'autre expédient que de lui enlever toutes ses ressources, en détachant de son parti les peuples de ces contrées[1075]. Dans ce dessein, avant que de se remettre en marche, il envoya de toutes parts des hommes adroits et intelligents, qui, par argent, par menaces, par promesses, vinrent à bout de gagner la plupart des Barbares. Firmus était toujours en course: mais les négociations secrètes de Théodose, et la défiance que lui inspirait l'infidélité naturelle de ses alliés, lui causaient de mortelles inquiétudes. Aussitôt qu'il apprit que le général romain approchait, il se crut trahi par les siens; et s'étant évadé pendant la nuit, il prit la fuite vers des montagnes éloignées et inaccessibles[1076]. La plupart de ses troupes, abandonnées de leur chef, se débandèrent. Les Romains, trouvant le camp presque désert, le pillèrent, tuèrent ceux qui y étaient restés, et marchèrent à la poursuite de Firmus, recevant à composition les Barbares dont ils traversaient le pays. Théodose y laissait des commandants[1077], dont la fidélité lui était connue. Le rebelle, qui n'était accompagné que d'un petit nombre d'esclaves, se voyant poursuivi avec tant d'opiniâtreté, jeta ses bagages et ses provisions pour fuir avec plus de vitesse[1078]. Ce fut un soulagement pour l'armée de Théodose qui manquait de subsistances. Il fit rafraîchir ses soldats, auxquels il distribua l'argent et les vivres, et défit sans peine un corps de montagnards[1079],qui s'étaient avancés à sa rencontre jusque dans la plaine[1080].
[1075] Ammien Marcellin donne les noms, l. 29, c. 5, de plusieurs de ces tribus barbares. Ils ne se rencontrent point ailleurs. Mittebat ad gentes circumsitas; Bajuras, Cantaurianos, Avastomates, Cafaves, Davaresque et finitimos alios. Les Baiuræ sont probablement les Baniuri, Βανίουροι, de Ptolémée, l. 4, c. 1, et de Pline, liv. 5, c. 2. On les retrouve aussi dans Silius Italicus, l. 3, v. 303. Pour les Cantauriani, ce sont les Banturari, Βαντουράροι de Ptolémée.—S.-M.
[1076] Ces montagnes sont appelées Caprarienses par Ammien Marcellin, l. 29, c. 5. Caprarienses montes longe remotos penetravit.—S.-M.
[1077] Ce n'étaient pas des commandants militaires choisis dans ses troupes, mais des chefs (præfecti) tirés de ces nations et tels que ceux dont parle St. Augustin. Voy. ci-devant, p. 473, note 1. Gentibus per quas transibat dux consultissimus adposuit fidei compertæ præfectos. Amm. Marc. l. 29, c. 5.—S.-M.
[1078] Il paraît même, d'après ce que dit Ammien Marcellin, qu'il abandonna sa femme.—S.-M.
[1079] Ces Barbares étaient les Caprariens et les Abanniens leurs voisins. Caprariensibus Abannisque eorum vicinis prælio levi sublatis. Amm. Marc. l. 29, c. 5. Il est question des Abanniens dans quelques autres auteurs, qui les nomment Abennæ, mais sans indiquer la situation de leur pays.—S.-M.
[1080] Ammien Marcellin rapportait, l. 29, c. 5, que Théodose s'était avancé jusqu'à une ville municipale de ces régions; mais il se trouve dans son texte une lacune qui a fait disparaître le nom de cette ville. Ad municipium properavit.....—S.-M.
LX.
Rencontre des Nègres.
Il approchait de l'Atlas, dont la cime semble toucher les nues. Ayant appris que les Barbares en avaient fermé tous les passages, d'ailleurs impraticables à tout autre qu'aux habitants du pays, il retourna sur ses pas; et s'étant campé à quelque distance, il laissa au rebelle le temps d'assembler les Nègres[1081], qui habitaient au-delà de ces montagnes, et que les anciens nommaient Éthiopiens, ainsi que les nations situées au midi de l'Égypte. Ces peuples traversèrent l'Atlas à la suite de Firmus, accourant en confusion avec des cris menaçants. Leur figure affreuse et leur innombrable multitude jetèrent d'abord l'épouvante dans le cœur des Romains, qui prirent la fuite. Théodose les rallia, les rassura, pilla quelques magasins où il trouva des vivres en abondance, et revint à l'ennemi. Ses soldats marchaient les rangs serrés, agitant leurs boucliers comme pour défier ces noirs[1082] sauvages qu'ils ne redoutaient plus. Ceux-ci annonçaient leur fureur par le cliquetis de leurs armes, et par le bruit de leur targes dont ils se frappaient les genoux[1083]. Toutes ces menaces ne furent suivies d'aucun effet. Théodose, content d'avoir rendu l'honneur et le cœur à ses troupes, ne voulut point hasarder la bataille contre un nombre si inégal: après s'être tenu quelque temps en présence, il fit sa retraite en bon ordre; et les ennemis effrayés de sa contenance, le laissèrent s'éloigner, et se dispersèrent dans leurs montagnes plus promptement qu'ils n'étaient venus. Le Romain alla s'emparer de la ville de Conté[1084], où Firmus avait renfermé les prisonniers, les croyant en sûreté dans une place, que son éloignement et sa situation sur une hauteur mettaient hors d'insulte. On y trouva aussi des déserteurs, que Théodose punit avec sa sévérité ordinaire.
[1081] Il est possible que Théodose ait eu à combattre les peuplades noires qui habitaient au-delà du mont Atlas, mais la chose ne résulte pas nécessairement du récit d'Ammien Marcellin. Cet auteur dit bien que les Éthiopiens aidèrent Firmus par de puissants secours, adminiculis maximis, mais il ne dit rien qui puisse faire supposer que ces Éthiopiens fussent noirs; le nom d'Éthiopien ne s'appliquant pas exclusivement aux hommes de cette couleur.—S.-M.
[1082] Cette indication ne se trouve pas dans Ammien Marcellin.—S.-M.
[1083] Quanquam igitur immite quiddam barbaricis concrepantibus armis manipuli furentium imminebant, ipsi quoque parmas genibus illidentes. Amm. Marcell. l. 29, c. 5.—S.-M.
[1084] Ad civitatem nomine Contensem flexit iter. Amm. Marc. l. 29, c. 5. C'est encore une ville dont la position est inconnue.—S.-M.
LXI.
Guerre contre les Isafliens.
Firmus, abandonné des Nègres, se réfugia avec Mazuca son frère, et le reste de sa famille, dans le pays des Isafliens[1085]. C'était le peuple le plus puissant de ces contrées[1086]. Le roi Igmazen était guerrier, et célèbre par ses victoires[1087]. Le commerce qu'il entretenait avec la province romaine lui avait procuré de grandes richesses[1088]. Théodose lui envoya demander le rebelle, et, sur son refus, il lui déclara la guerre. Il y eut une sanglante bataille, où les Romains, enveloppés, furent obligés de faire face de toutes parts, et malgré ce désavantage taillèrent les ennemis en pièces. Firmus chargea lui-même à la tête des troupes: il s'exposa sans ménagement; et ce ne fut qu'après les derniers efforts, qu'il se sauva par la force et la vitesse de son cheval, accoutumé à courir sur les rochers et au bord des précipices. Mazuca son frère, blessé à mort, fut fait prisonnier. Comme on le conduisait à Césarée, où il avait laissé des marques de sa fureur[1089], il s'arracha lui-même la vie en déchirant sa plaie. Sa tête fut portée dans la ville; elle y fut reçue avec cette joie cruelle que produit la vengeance. Théodose ravagea les terres des Isafliens. Plusieurs habitants de la province romaine[1090], qui s'étaient liés avec ces Barbares et retirés dans leur pays, tombèrent entre ses mains. Convaincus d'avoir, par de sourdes pratiques, favorisé la rébellion, ils furent condamnés au feu. De là Théodose s'avança jusque dans une contrée nommée la Jubalène[1091]: c'était la patrie de Nubel, père de Firmus[1092]; mais il fut arrêté dans sa marche par de hautes montagnes, et quoiqu'il s'en fût ouvert le passage malgré les naturels du pays qu'il tailla en pièces, cependant, craignant de s'engager dans ces défilés dangereux, il tourna vers la forteresse d'Audia[1093], où les Jésaliens[1094], nation féroce, vinrent lui offrir des secours de troupes et de vivres.
[1085] Verus indicat explorator, confugisse ad Isaflensium populum Firmum. Amm. Marc. l. 29, c. 5. Ammien Marcellin est le seul qui parle de ces Isaflenses.—S.-M.
[1086] Ammien Marcellin ne dit rien qui puisse faire croire que les Isafliens fussent effectivement plus puissants qu'aucun des peuples de ces régions.—S.-M.
[1087] Rex eorum Igmazen vincere antehac assuetus. Amm. Marc. l. 29, c. 5.—S.-M.
[1088] Rex Igmazen nomine, spectatus per eos tractus opibusque insignis. Amm. Marc. l. 29, c. 5.—S.-M.
[1089] Ubi sæva inusserat monumenta facinorum pessimorum. Ammien Marc. l. 29, c. 5.—S.-M.
[1090] C'étaient un magistrat appelé Évasius, Evasium potentem municipem, son fils Florus et quelques autres.—S.-M.
[1091] Exindeque pergens interius, nationem Iubalenam spiritu adgressus ingenti. Amm. Marc. l. 29, c. 5. Il serait possible que cette contrée intérieure dût son nom à sa disposition physique, ou à sa situation au milieu des montagnes. Djebal, en arabe et Gabal en hébreu, signifient montagne. Ce serait, s'il en était ainsi un sûr indice que la langue des Phéniciens ou des Carthaginois avait pénétré assez avant dans le pays. Ce qui semble venir à l'appui de cette conjecture, c'est que presqu'aussitôt Ammien Marcellin fait mention des montagnes difficiles qui se trouvaient dans ce canton et qui retardèrent la marche de Théodose: Repulsus altitudine montium et flexuosis angustiis stetit. Au reste, il n'est question de ce pays nulle part ailleurs que dans Ammien Marcellin.—S.-M.
[1092] Ubi natum Nubelem patrem didicerat Firmi. Amm. Marc. l. 29, c. 5.—S.-M.
[1093] Revertit ad Audiense castellum. Amm. Marc. l. 29, c. 5. Cette place est mentionnée dans la Notice de l'empire.—S.-M.
[1094] Iesalensium gens fera. Amm. Marc. l. 29, c. 5. Le pays occupé par cette nation n'est pas plus connu que les autres.—S.-M.
LXII.
Victoire remportée sur ces Barbares.
Toutes ces marches diverses avaient pour objet la poursuite de Firmus. Il fuyait de contrée en contrée sur cette frontière sauvage. Enfin, Théodose, voulant délasser ses troupes, campa près du château de Médianum[1095]: il y demeura quelques jours sans cesser d'agir auprès des Barbares, pour les engager à lui livrer le fugitif. Il apprit qu'il était retourné chez les Isafliens: il marcha aussitôt de ce côté-là. Comme il entrait dans le pays, le roi Igmazen vint hardiment à sa rencontre: Qui es-tu, dit-il à Théodose, et quel dessein t'amène ici? Le général romain le regardant avec fierté: Je suis, lui dit-il, un des officiers de Valentinien, maître de toute la terre: il m'envoie pour arrêter un brigand: si tu ne le remets entre mes mains sans différer, tu périras avec toute ta nation[1096]. Un discours si menaçant irrita le prince barbare: il ne répondit que par des injures, et se retira plein de colère. Le lendemain, dès que le jour parut, les Barbares vinrent avec une contenance assurée présenter la bataille. Le front de leur armée était composé de près de vingt mille hommes; la seconde ligne, encore plus nombreuse, devait peu à peu s'étendre pendant le combat, et enfermer les Romains qui n'étaient guère plus de trois mille[1097]. Les Jésaliens, malgré les promesses faites à Théodose, s'étaient joints à eux. Les Romains animés par le souvenir de leurs victoires, resserrant leurs bataillons, et se couvrant de toutes parts de leurs boucliers, soutinrent, sans s'ébranler, les efforts des ennemis. Le combat dura tout le jour. Vers le soir on vit paraître Firmus, qui monté à l'avantage, déployant son manteau de couleur de pourpre[1098], criait aux soldats romains que s'ils voulaient éviter une mort certaine, ils n'avaient point d'autre ressource que de livrer Théodose, ce tyran inhumain, cet inventeur de supplices cruels. Ces paroles n'inspirèrent que de l'indignation à la plupart des soldats, et redoublèrent leur courage. Mais il y en eut qui en furent effrayés, et qui cessèrent de combattre. Enfin la nuit sépara les deux armées; et Théodose, profitant des ténèbres retourna à la forteresse d'Audia[1099]. Il y passa ses troupes en revue, et punit ceux qui s'étaient déshonorés par leur lâcheté; il leur fit couper la main droite: quelques-uns furent brûlés vifs. Il s'arrêta quelques jours en ce lieu, veillant sans cesse pour éviter les surprises. Cette précaution n'était pas inutile. Quelques Barbares étant venus attaquer son camp pendant une nuit fort obscure, il les repoussa, et en fit prisonniers plusieurs qui avaient déjà forcé le retranchement. Il marcha ensuite en diligence vers les Jésaliens, et ayant pris pour pénétrer dans leur pays des routes détournées, par lesquelles on ne l'attendait pas, il se vengea de leur infidélité par le massacre et le ravage. Après avoir ainsi terminé l'expédition de cette année, il traversa la Mauritanie Césarienne et revint à Sitifis, où il fit mourir dans la torture, et brûler après leur mort, Castor et Martinianus, les principaux ministres des rapines et des forfaits du comte Romanus. Il attendait des ordres de l'empereur pour instruire le procès du comte même; mais Valentinien mourut avant la fin de cette affaire.
[1095] Propè munimentum nomine Medianum. Amm. Marc. l. 29, c. 5.—S.-M.
[1096] Comes, ait, Valentiniani sum, orbis terrarum domini, ad opprimendum latronem funereum missus: quem nisi statim reddideris, ut invictus statuit imperator, peribis funditùs cum gente quam regis. Amm. Marc. l. 29, c. 5.—S.-M.
[1097] Admodum pauci. Amm. Marc. l. 29, c. 5. Cet auteur ne détermine pas quel était le nombre des Romains.—S.-M.
[1098] Firmus equo celsiori insidens, sago puniceo porrectius panso, etc. Amm. Marc. l. 29, c. 5. Cette indication pourrait donner lieu de croire que Firmus avait pris effectivement la pourpre et qu'il s'était fait déclarer empereur, comme le pensent quelques auteurs, et comme je l'ai déja remarqué. Voyez ce qui est dit ci-devant § 51, p. 466, n. 4.—S.-M.
[1099] Le texte d'Ammien Marcellin, l. 29, c. 5, porte ad Duodiense castellum, mais il est évident qu'il y a une erreur et qu'il faut lire ad castellum Audiense; car c'est effectivement de ce fort que Théodose était parti pour marcher contre Igmazen.—S.-M.
LXIII.
Mort de Firmus.
L'année suivante[1100] Théodose retourna dans le pays des Isafliens, et les défit dans une bataille. Igmazen, accoutumé à vaincre, fut effrayé de ce changement de fortune, et voyant que, si la guerre continuait, l'interruption du commerce le priverait lui et ses sujets des choses les plus nécessaires à la vie[1101], il se détermina à satisfaire Théodose. Il eut assez de confiance en sa bonne foi et sa générosité, pour aller seul secrètement s'aboucher avec lui. Il le pria de lui envoyer Masilla, un des chefs des Maziques[1102], qui était fidèle aux Romains. Ce fut par l'entremise de ce Masilla, qu'Igmazen fit savoir à Théodose: Qu'il désirait sincèrement la paix, mais qu'il ne pouvait actuellement la conclure sans révolter ses sujets: que pour y parvenir, il fallait y forcer les Isafliens par la terreur des armes romaines et par des attaques continuelles; qu'ils étaient attachés au parti du rebelle, et qu'ils ne se lasseraient de l'assister, que quand il sentiraient que l'honneur de le défendre leur coûterait trop cher; qu'alors ils laisseraient à leur prince la liberté de traiter avec Théodose. Le Romain suivit ce conseil; il fatigua les Isafliens par tant de défaites et de ravages, que Firmus ne trouvant plus sa sûreté dans leur pays, songeait à la chercher ailleurs, lorsque le roi s'assura de sa personne. Firmus avait déja reçu quelques avis[1103], de la secrète intelligence établie entre Igmazen et les Romains. Quand il se vit arrêté, ne doutant plus que sa perte ne fût résolue, il voulut au moins disposer de sa vie. S'étant donc rempli de vin pour s'étourdir sur les craintes de la mort, il prit le moment de la nuit où ses gardes étaient endormis, et s'étrangla lui-même. Igmazen en fut affligé: il se faisait un mérite de conduire le rebelle au camp des Romains. Il voulut du moins le livrer mort. Après avoir reçu un sauf-conduit pour lui-même, il fit charger le corps de Firmus sur un chameau, et le conduisit à Théodose, qui s'était déjà rapproché de la mer, et qui campait près d'un château voisin de Rusibicari[1104]. Théodose s'étant assuré par le témoignage de ceux qui connaissaient le rebelle, que c'était véritablement le corps de Firmus, reprit la route de Sitifis. Il arriva comme en triomphe, au milieu des louanges et des acclamations de tout le peuple de la province, dont il était le libérateur.
[1100] C'est-à-dire en l'an 375, sous le règne de Gratien.—S.-M.
[1101] Terrore fluctuans mali præsentis, nihilque commerciis vetitis ad vitam spei sibi restare si obstinatius egerit arbitratus. Amm. Marc. l. 29, c. 5.—S.-M.
[1102] Masillam Mazicum optimatem.—S.-M.
[1103] C'est de Masilla lui-même qu'il tenait cet avis, selon Ammien Marcellin, l. 29. c. 5, obscuriùs gesta didicerat per Masillam.—S.-M.
[1104] Ad Subicarense castellum. Il faut lire dans cet endroit d'Ammien Marcellin, ad Rusibicarense castellum. Rusibicari était une ville maritime de la Mauritanie Césarienne à 61 milles à l'orient d'Icosium.—S.-M.
FIN DU LIVRE DIX-HUITIÈME ET DU TOME TROISIÈME.
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