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Le Pantalon Féminin

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[417] Derrière le rideau.—Paris, Casimir Pont, 1875; in-12, p. 66.

[418] Camille Lemonnier: Madame Lupar.—Paris, Charpentier, 1888; in-12, p. 38-39.

[419] Ernest Leblanc: Dépravée.—Paris, Charpentier, 1882; in-12, p. 271-273.

[420] Robert Caze: La Semaine d'Ursule.—Paris, Tresse, 1885; in-12, p. 256.

[421] Léo Trézenik: Cocquebins.—Paris, Monnier, 1887; in-12, p. 56.

[422] J.-K. Huysmans: Croquis Parisiens.—Paris, Henri Vaton, 1880; in-8, p. 105-108.

[423] L'Adorée.—Paris, Havard, 1887; in-12, p. 119.

[424] L'Adorée, p. 121.

[425] René Maizeroy: P'tit Mi.—Paris, Havard, 1889; in-12, p. 196.

[426] Willy: Les Égarements de Minne.—Paris, Ollendorff, 1905; in-12, p. 8.

[427] Les Égarements de Minne; p. 187.

[428] Willy: Le Roman d'un jeune homme beau.—Paris, Bibliothèque des Auteurs modernes, s. d.; in-12, p. 201.

[429] Willy (et Colette Willy): Claudine en ménage.—Paris, Mercure de France, 1902; in-12, p. 255.

[430] Claudine en ménage, p. 97.

[431] Jean Reibrach: La Gamelle, p. 190-192.

[432] La Vie Parisienne, 28 juillet 1894.

[433] Ginko-Biloba: Le Voluptueux Voyage (Mercure de France, 1er septembre 1906, p. 75-76).

[434] Fèvre-Desprez: Autour d'un clocher.—Bruxelles, Kistemaeckers, s. d.; in-12, p. 386.

[435] Heures de Villes d'eaux. Madame Monpalou. Paris, Ollendorff, 1906; in-12, p. 23.

[436] Gyp: Balancez vos Dames.—Paris, Per Lamm, s. d.; in-12, p. 215.

[437] Glim: Paradoxes sur les femmes. (Vie Parisienne, 23 mars 1889).

[438] Willy: La Maîtresse du Prince Jean.—Paris, Albin Michel, 1903; in-12, p. 87.

[439] Le Plaidoyer d'un fou; adaptation Georges Loiseau. Paris, Albert Laugen, 1895; in-12, p. 228-229.

[440] La Revue Blanche, 1er mai 1897, p. 495.

[441] Willy: Suzette veut me lâcher (Tropical Gigolo).—Paris, Per Lamm, s. d.; in-12, p. 242.

[442] Gavarni: Masques et Visages.—Paris, Paulin et Lechevalier, 1857; in-12, p. 59.

[443] Croquis Parisiens, p. 30 et 41.

[444] Rire et Galanterie, No 27, 19 décembre 1903; p. 321.

[445] L'Éclair, 8 mars 1895.

[446] Paris-oublié, Paris, Dentu, 1886; in-12, p. 205.

[447] La Vie Parisienne, 4 avril 1863. Cf.: H. Taine: Notes sur Paris.—Vie et opinion de M. Frédéric Thomas Graindorge.—Paris, G. Crès et Cie, 1914; in-12, p. 43.

[448] Journal des Goncourt, t. II, p. 87 (9 février 1863).

[449] Willy: Danseuses.—Paris, Albert Méricant, s. d.; in-12, p. 297.

[450] Journal amusant, 11 août 1866.

[451] Ce que voient MM. les étrangers à Mabille et au Jardin des Fleurs. (Vie Parisienne, 31 août 1867).

[452] Jean Ajalbert: Paysages de femmes.—Paris, Vanier, 1887; in-8, p. 69.

[453] Willy: La Môme Picrate.—Paris, Albin Michel, s. d.; in-12, p. 348.

[454] Pierre Louys: Les Aventures du roi Pausole, p. 81.

[455] Jean d'Arc (Courrier Français, 22 février 1891).

[456] Le Pantalon. (Courrier Français, 29 avril 1894).

[457] Le Gil Blas, 24 août 1891.

[458] Le Pantalon de la Goulue.Paris, 15 mars 1890.

[459] Paris, Dentu, 1888; in-12.

[460] Santillane: Demi-Pudeur (Gil Blas, 4 février 1898).

[461] La Vie à Montmartre.—Paris, G. Boudet, s. d.; in-8, p. 234-235.

[462] Edmond Leroy: Le Père la Pudeur et le Théâtre réaliste.—(Le Gil Blas, 1891).

[463] Courrier Français, 25 juin 1893.

[464] Les Excentricités de la Danse. (Gil Blas, numéro spécial, 10 mai 1891).

[465] Jules Roques.Courrier Français, 13 novembre 1887.

[466] L'Éclair, 5 avril 1894.

[467] Figaro, Gil Blas, Libre Parole, Temps, France, des 21, 22 et 23 juillet 1895.

[468] Courrier Français, 2 novembre 1890.

[469] Cf: Intermédiaire des Chercheurs et Curieux, LXIX (1914, c. 283, 359.)

[470] Rodolphe Darzens: Nuits à Paris.—Paris, Dentu, 1889, in-16, p. 59-60.

[471] La Gamelle, p. 181.

[472] Francueil, le Figaro, 1er décembre 1890.

[473] André Warnod: Bals, Cafés et Cabarets, p. 60-64.

[474] Pour tout ce qui concerne la Goulue et l'Élysée Montmartre, se reporter à l'intéressante monographie de M. Maurice Artus: L'Élysée Montmartre, 1807-1900. (Bulletin de la Société Le Vieux Montmartre, IV, 1906-1910; p. 269-332. Tirage à part; Paris, 1910; in-8).

[475] Revue de la Pépinière: Les Cabotins de l'année. (Courrier Français, 16 décembre 1894).

[476] Georges Montorgueil: L'Année féminine.—Les Déshabillés au Théâtre.—Paris, Floury, 1896; pet. in-8.

[477] Le Grand Pan.—Paris, Fasquelle, 1896; in-12.

[478] Les Déshabillés au Théâtre, p. 11-13.

[479] Courrier Français, 5 avril 1891.

[480] Courrier Français, 25 octobre 1891.

[481] Courrier Français, 14 décembre 1890.

[482] Courrier Français, 12 avril 1891.

[483] Les Déshabillés au Théâtre, p. 84-87.

[484] Les Déshabillés au Théâtre, p. 72-73.

[485] Nouveau Larousse illustré, t. VII.

[486] La Comédie de notre temps, p. 132.

[487] La Vie parisienne. Études sur la Toilette. Les Pantalons.

[488] La Danseuse, dessins de Guillaumot fils.—Paris, Marpon et Flammarion, 1885; in-8, p. 31-32.

[489] Les caleçons, non des contemporaines de M. de La Rochefoucauld, mais des ballerines du XVIIIe siècle; l'Académie royale de Musique d'Emile Campardon me fournit, alors que je corrige les épreuves de ce volume, deux notes dont il serait coupable de ne pas tenir compte.

Tout d'abord, la confirmation par la Camargo elle-même, de l'usage qu'elle avait importé des caleçons au théâtre:

«Il s'éleva au XVIIIe siècle une controverse curieuse au sujet de Mlle de Camargo. Les uns prétendaient qu'elle n'avait jamais porté de caleçons et que sa danse était tellement décente qu'elle n'en avait pas eu besoin; d'autres, au contraire, soutenaient qu'elle en avait toujours porté. Un pari s'engagea à ce sujet et c'est à la danseuse elle-même que l'on s'adressa pour résoudre cette question importante. Elle vivait alors fort retirée, et on la trouva entourée d'une demi-douzaine de chiens. Elle répondit que non seulement elle avait toujours porté des caleçons, mais encore que leur établissement au théâtre datait de ses plus brillants succès.» (Paris, Berger-Levrault, 1884; 2 in-8.—I, p.88.)

D'autre part, si le carnet de blanchissage de la demoiselle Eulalie Lalanne, dite Audinot, produit en 1788, devant le tribunal consulaire, ne contenait pas trace de pantalons, l'inventaire dressé le 5 janvier 1760, des «objets ayant appartenu à Mlle Louise Dalisse, dite Chevrier, et trouvés après son décès dans le domicile qu'elle occupait», mentionne, à côté de vingt chemises de toile de Hollande non garnies, de trois corsets de basin rayé garnis de mousseline, de six paires de bas de soie blanche, contre deux seulement de coton: «huit caleçons». (I, p. 129.)

La demoiselle Chevrier avait débuté vers 1747 à l'Académie royale de musique, où on la vit figurer dans nombre de ballets et mourut, rue Sainte-Anne, le 29 décembre 1759.

Les rapports de police la faisaient souper, le 7 février 1754 chez M. de La Poupelinière, la victime de la cheminée, qui lui aurait offert un louis... pour son dérangement (Camille Piton: Paris sous Louis XV.—Rapports des inspecteurs de police au roi. Paris, Mercure de France, 1914; p. 314.)

[490] Sur la Diane de Houdon et sa cicatrice que crut faire devoir boucher ce bon M. de La Rochefoucauld. Cf: Intermédiaire des Chercheurs et Curieux: T.G. 431, XLVIII: 228, 376, 434, 589, 645, 825, 929, 991; XLIX: 59, 144, 206, 259, 316, 485, 521; LV: 809; LVI: 690; LIX: 772; LX: 227, 929.

Le musée de Tours possède un bel exemplaire en bronze de la Diane de Houdon auquel, M. de La Rochefoucauld n'a pas eu le loisir de faire subir l'outrage de sa sénilité.

[491] L'Éclair, 21 avril 1894.

[492] Les Petits Mystères de l'Opéra.—Paris, Kugelmann et Bernard Lotte, 1844; in-8, p. 180.

[493] Mémoires d'un Bourgeois de Paris.—Paris, Librairie Nouvelle, 1856; in-12, t. III, p. 219.

[494] La Journée d'une Danseuse.Revue Illustrée, 1er décembre 1893.

[495] A huis-Clos.—Paris, Rouveyre et Blond, 1882; in-12, p. 21.—Miss Farfadet (Courrier Français, 26 août 1888).

[496] Le Figaro, 17 janvier 1894.

[497] Drs Witkowski et Nass: Le Nu au Théâtre, p. 140.

[498] Partout et nulle part (Bruxelles, Poulet Malassis), 1864; 2 in-8.

[499] C'est à tort, semble-t-il, que l'Histoire du Théâtre érotique de la rue de la Santé, qui précède le recueil, a été attribuée à Delvau. La signature de l'illustre Brizacier désigne clairement non Delvau, mais le poète Albert Glatigny, et son biographe Job-Lazare n'hésite pas à donner l'historique du curieux petit théâtre et les notices de chacune des pièces qui en composaient le répertoire, comme dues à la collaboration de Glatigny et de Poulet Malassis (Albert Glatigny, sa vie, son œuvre.—Paris, H. Bécus, 1878; in-16, p. 110).

[500] Le vicomte Sosthène de La Rochefoucauld s'était signalé, dès 1814, en proposant d'abattre la statue de Napoléon placée sur la colonne de la place Vendôme et avait pris part à l'exécution de cette mesure. Appelé, en 1824, à la direction des beaux-arts, il s'y rendit à jamais célèbre, par les feuilles de vigne qu'il imposa aux statues du Louvre et par l'allongement qu'il fit subir aux jupons des danseuses de l'Opéra.

M. de La Rochefoucauld qui, sans doute, avait une bien belle âme, s'était voué au ridicule et ces demoiselles de l'Opéra n'eurent pas longtemps à se plaindre de cette tracasserie à laquelle la Congrégation ne devait pas être étrangère. Avant même la Révolution de Juillet, leurs jupes s'étaient raccourcies et elles se raccourcirent bien plus encore, sous le règne du Roi-citoyen, témoin ce passage d'une lettre écrite, le 4 janvier 1834, par Mme de Souza à son vieil ami Le Roi:

«Mon fils (Charles de Flahaut, le père du duc de Morny) m'a menée hier à l'Opéra. Mon cher, j'ai été frappée du raccourci des jupons. Mais ces demoiselles montrent leurs jambes jusqu'à l'épaule! et on applaudit! Il y a bien des années que je n'avais vu tout cela. La jeunesse actuelle me fait croire que j'ai un ou deux siècles et, sans doute, elle le croit encore plus que moi».

(Cf: Baron de Maricourt: Mme de Souza et sa famille. Paris, Émile-Paul, 1907; in-8, p. 387).

[501] Les Lions du Jour. Physionomies parisiennes.—Paris, Dentu, 1867; in-12, p. 306-307.

[502] Les Lions du Jour, p. 307.

[503] Léo Trézenik: Proses décadentes.—Paris, Giraud, 1886; in-16, p. 13-15.

[504] Voir l'amusant dessin de Carlègle: Sports inter-scolaires :championnat mixte:

—Hein! tu vois! Je vais bien plus loin que toi... s'écrie, triomphalement, au sortir de l'école, un bambin de la classe la plus enfantine qu'on puisse imaginer.

Et la gosse, déjà plus grande, de répondre, tout en reboutonnant, sous sa jupe relevée, son pantalon qu'elle vient de remonter:

—Tu parles! C'est pas malin, toi, tu as un tuyau!

(Le Sourire, 27 juin 1908.)

[505] Antonin Reschal: Pierrette en pension.—Paris, Albin Michel, s. d.; in-8; p. 80-81.

[506] Si connues qu'elles soient, je ne puis me dispenser de reproduire en note l'aventure de Mme de Cavoye et celle de Mme de Choisy. Je cite Tallemant des Réaux, ce sera là mon excuse:

«Elle (Mme de Cavoye) est fort libre. Un jour, un garçon, c'est l'abbé Testu, l'aîné, la menoit chez Mme de Chavigny: «mon pauvre abbé, lui dit-elle en passant dans une grande salle, tourne la tête». Et après elle se met à pisser dans une cuvette».

(Les Historiettes, 2e édition; Paris, H. L. Delloye, 1840; in-12, t. VII, p. 18).

Chez Mme de Choisy, le verbe, sinon le geste, était plus libre encore:

«Elle disoit familièrement à M. de Candale: «Mais allez au moins faire un tour dans l'antichambre. Croyez-vous qu'on n'ait point envie de pisser?»

(Historiettes, t. II, p. 164).

Qu'on ne s'étonne pas de la brutalité de l'expression. Mme de Montglat, gouvernante du jeune Louis XIII, n'en employait pas d'autre, même en présence du Dauphin, qui, ce matin-là, refusait de s'habiller:

«Je m'en vais chausser; si vous n'êtes peigné quand je reviendrai, vous aurez le fouet.» Elle revint, ce n'était pas fait; elle lui dit encore: «Je m'en vais pisser; si vous n'êtes pas peigné et coiffé quand je reviendrai, vous aurez le fouet.» Il dit tout bas: «Ah! qu'elle est vilaine. Elle dit devant tout le monde qu'elle va pisser. Voilà qui est bien honnête, fi!»

(Journal sur l'enfance et la jeunesse de Louis XIII, 1601-1628.—Paris, Didot, 1868; 2 in-8, t. I, p. 242).

Le médecin Héroard auquel on doit cette anecdote fut un fort honnête homme, qui, en dehors de ses Mémoires, rédigea l'inscription qui se lisait, à Saint-Cosme, sur la tombe de Ronsard.

Quant à la Palatine dont la correspondance est si curieuse et fourmille de détails précieux sur l'agonie du règne de Louis XIV, employant et écrivant crûment le mot, elle aussi, elle raconte sans embarras, dans une de ses lettres à la princesse Louise, le contre-temps dont elle fut victime à la chasse et comment elle fut surprise dans une position, à laquelle il manquait la chaise du duc de Vendôme pour être protocolaire:

«Il m'est arrivé avant-hier une drôle d'aventure qu'il faut que je vous raconte. Comme nous étions arrivées au rendez-vous, il me prit une horrible envie de pisser; je me fis conduire d'un autre côté de la forêt, et je me mis derrière une haie épaisse; mais le diable voulait faire des siennes. J'avais à peine commencé à pisser qu'il envoie le cerf droit où j'étais; cela fut d'autant plus fâcheux pour moi que tous les chasseurs suivaient; et il me fallut remonter bien vite dans la calèche...» (11 novembre 1714).

Dans le Voyage sentimental de Sterne, Mme de Rambouillet y met encore moins de formes et ne cherche pas même à se cacher.

Ce n'est pas un accident de chasse, comme pour la mère du Régent, mais simplement un incident d'une promenade en carosse à la campagne:

«En revenant elle me pria de tirer le cordon.—Je lui demandai si elle avait besoin de quelque chose.—Rien que de pisser, répondit-elle.

«Ne vous alarmez pas, voyageur pudibond; laissez p.ss.. Mme de Rambouillet. Et vous, nymphes mystérieuses, allez cueillir vos roses et jonchez-en le sentier où vous vous arrêtez. Mme de Rambouillet ne fit rien autre chose. Je lui donnai la main pour l'aider à descendre...; et j'eusse été le prêtre de la chaste Castalie qu'il m'eut été impossible d'apporter plus de recueillement et de respect auprès de sa fontaine...»

Traduction Moreau-Christophe; Paris, J.-G. Dentu, 1828; in-12, p. 164-165.

Dans une note intéressante (p. 349-350), M. Paulin-Crassous, après avoir dit la délicatesse particulière des anglaises sur ce point—d'où l'étonnement de Sterne en présence d'un pareil sans-gêne—explique l'origine de l'expression «aller cueillir une rose», qui justifie les «nymphes mystérieuses» et le titre même de ce chapitre: «la Rose».

Il est des femmes des plus honnêtes qui ne peuvent aller à la campagne sans succomber à la tentation d'improviser dans l'herbe ou dans les feuilles mortes un murmure de source.

Ce retour à la nature les réjouit. Le sous-bois leur paraît préférable au ridicule de la porcelaine ou au confortable douteux de l'auberge. Elles sont de l'école de Mme Roland:

«On m'a souvent rappelé ma répugnance à me servir de ce qu'on appelle proprement un pot de chambre, parce que je ne connaissais qu'un coin de jardin pour certain usage, et l'air de moquerie avec lequel je demandais si les saladiers et les soupières que je montrais du doigt étaient faits aussi pour cela» (Mémoires, édition de 1823, p. 9. Cf. A. Franklin: La Civilité, la mode, et le bon ton du XIIIe au XIXe siècle.—2e édition. Paris, Émile-Paul, 1908; 2 in-8. II, appendice, p. 54.)

[507] Dans certains ordres ils sont autorisés.

[508] Sans jarretières n'exagérons rien. Toute cette théorie prête, d'ailleurs, aux plus extrêmes réserves. Je me suis laissé confesser, au contraire, la sensation peut être agréable, mais nullement recommandable, qui résulterait, pour certaines, du manque de pantalon.

[509] Toujours le cas de conscience posé par les casuistes et l'immodestie flétrie, dans les couvents de la pensionnaire en pantalon, «en garçon».

[510] Les Mystères de la Maison de Verveine, p. 32-33.

[511] Voir: supra, p. 327.

[512] ****Doctoresse Dresse M. Schultz: Hygiène générale de la Femme. Préface du Professeur Pouchet.—Paris, O. Doin, 1902; in-12, p. 185-186.

[513] La comédie de notre Temps, t. 1, p. 130.

[514] Études sur le Costume féminin, p. 16.

[515] La Mode pratique, mai 1893.

[516] Willy: La Môme Picrate, p. 357.

[517] L'Intermédiaire des Chercheurs et Curieux, 25 mars 1879.

[518] F. Haulnoi: La Chaussette (Le Chat Noir, 24 novembre 1888).

[519] Albert Bataille: Le Figaro, février 1891. Jean Lorrain: Vingt Femmes, Paris, Per Lamm, s. d., in-12, p. 115.

[520] Marc Stéphane: A toute volée, passim.

[521] L'Assommoir, p. 34-35.

[522] E. Zola: Nana.—Paris, Charpentier, 1880. in-12, p. 154.

[523] Victor Hugo: Les Misérables, 3e partie, Marius, livre III, chap. 1er.

[524] Frantz Funck-Brentano: La mort de la Reine.—Paris, Hachette et Cie, 1902; in-12, p. 224-225.

[525] Léo Trézenik: Cocquebins.—p. 24.

[526] Écho de Paris, 28 février 1895.

[527] Louis B. Richardière: Les Péchés de Marguerite.—Paris, Arnould, 1887; in-12, p. 62.

[528] Willy (et Colette Willy): Claudine s'en va.—Paris, Ollendorff, 1903; in-12, p. 226-229.

[529] Willy: Maugis amoureux.—Paris, Albin Michel, s. d.; in-12, p. 179.

[530] Saint-Georges de Bouhélier: Histoire de Lucie, fille perdue et criminelle.—Paris, Fasquelle, 1902; in-12, p. 214.

[531] Hugues Rebell: La Femme qui a connu l'Empereur. (Mercure de France, t. XXV, 1898, p. 194-195).

[532] Willy: Un petit Vieux bien propre.—Paris, Bibliothèque des Auteurs modernes, s. d.; in-12, p. 31-32.

[533] Un petit Vieux bien propre, p. 106-107.

[534] Mode illustrée, 31 mars 1863, ce numéro porte par erreur la date de 1862.

[535] Mode illustrée, 4 mars 1866.

[536] Paris, décembre 1796; (Racinet, France, dix-huitième siècle.—Types de la mode à l'époque du Directoire).

[537] L'Art de la Toilette, p. 48-49.

[538] Vie Parisienne, 23 octobre 1897.

[539] Figaro-Graphic, 28 novembre 1891.

[540] La Mode pratique, 11 décembre 1897.

[541] La Mode pratique, 11 décembre 1897.

[542] La Nouvelle Mode, 9 janvier 1898.

[543] La Femme en Allemagne, p. 60.

[544] André Ibels: La Traite des Chanteuses. Paris, Juven, s. d., in-12, p. 40.

[545] Reproduit dans La Comédie Parisienne (1re série). Paris, G. Charpentier et E. Fasquette, 1892; in-12, p. 79.

[546] Reproduit par Grand-Carteret: Images galantes et Esprit de l'Etranger.—Paris, Librairie mondiale, s. d.; in-8.

[547] Tous ces dessins ont été reproduits dans les Œuvres choisies de Willette (Paris, Simonis Empis, 1901; in-8.)

[548] Reproduit par J. Grand-Carteret: Art et Galanterie, t. I, p. 24.

[549] Grand-Carteret: Images galantes de l'étranger, p. 51.

[550] Grand-Carteret: Images galantes de l'Étranger, p. 156.

[551] Rire et Galanterie, t. VI, p. 334.

[552] Félix Castigat et Pierre Ridendo: Petit Musée de la Conversation. Paris, Mercure de France, 1911; in-12.

[553] Les Lundis de Caran d'Ache, album pour les enfants de quarante ans et au-dessus, Paris, Plon, s., d.; in-4.


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