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L'Ile et le voyage: petite odyssée d'un poète lointain
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SEPTIÈME CHANT
DANS L’ILE ENCHANTEE
Raise the light, my page, that I may see her.
Thou art come at last then, haughty Queen !
Long I’ve waited, long I’ve fought my fever ;
Late thou comest, cruel thou hast been.
(Tristan and Iseult)
Matthew Arnold.
Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant…
Verlaine.
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