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Émancipées

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DU MÊME AUTEUR


INSTITUTION DE DEMOISELLES

Un volume in-18. . . . 3 fr. 50

Institution de Demoiselles, par Albert Cim, est l’étude très dramatique et très scrupuleusement vraie d’un de ces grands pensionnats «de genre» où l’aristocratie, la haute finance et la haute cocotterie mêlent leurs filles, et où la dévotion, l’argot boulevardier, le piano, le cabotinage et le libertinage sont enseignés de front.

(La Nation.)

Institution de Demoiselles, par Albert Cim, est un roman-étude, très juste d’observation et qui doit être lu par tous ceux, qui se séparent de leurs filles pour les confier aux «institutions».

(Philippe Gille, Le Figaro.)

Institution de Demoiselles est un livre gros de révélations et qui est observé de très près. Incontestablement l’institution que M. Albert Cim nous décrit existe ou a existé ... Après avoir dépeint, sans omettre aucune crudité de détails, l’éducation qu’on reçoit chez Mme Dambreville, M. Albert Cim nous montre dans chacune des élèves les fruits de cette éducation. Il surveille l’état de perversion où la plupart des jeunes filles arrivent précocement, et révèle un à un les scandales qui ont précédé et suivent la sortie du pensionnat.

(Paul Perret, La Liberté.)

Dans son Institution de Demoiselles, M. Albert Cim a groupé fort habilement des turpitudes qui sont dans la réalité plus clairsemées. Mais il est exact que l’on trouve à Paris des pensionnats, où, avec les dehors de la tenue la plus sévère, les choses se passent à peu près comme M. Cim les a contées.

(Hugues Le Roux, Gil Blas.)

L’auteur d’Institution de Demoiselles a voulu montrer qu’à cette heure, l’éducation des jeunes filles, dans la plupart des institutions particulières, suit une voie des plus fausses et ne rend que des produits avariés.

(Charles Canivet, Le Soleil.)

Institution de Demoiselles, «mœurs parisiennes», affirme le sous-titre. S’il dit vrai, c’est à faire frémir, plus encore que la pension dépeinte par Daudet, où la folle Ida de Barancy mit son petit Jack. Et pourtant, si chargées qu’en soient les couleurs, elles finissent, à les mieux regarder, par devenir vraisemblables. Oui, certaines maisons d’éducation pour les jeunes filles doivent, en effet, être organisées ainsi. Et tel de nous, en recueillant ses souvenirs, peut se rappeler, aux environs de Paris, des établissements ressemblant à celui-là.

(Alfred Gassier, Le National.)


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