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Jeunesse
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TABLE ANALYTIQUE
DES MATIÈRES
LIVRE I L’HÉRITAGE  | ||
Pages  | ||
I.  | 
Les conquêtes du siècle. — Idée et plan du livre. | |
| Pour comprendre la jeunesse actuelle, il faut d’abord étudier le siècle dont elle sort. Caractéristique du siècle : La science inductive. Son but, ses labeurs, ses résultats bienfaisants. | ||
II.  | 
Les pertes du siècle. — L’envers de la médaille. La science spécialisée et matérialisée. Triomphe des sciences dites positives. | |
| Négations et conclusions hâtives : Matérialisme. L’homme diminué. | ||
| Conséquences de cet état de choses dans la philosophie, les arts, la littérature, la pédagogie, les relations sociales et internationales. | ||
III.  | 
Les contradictions du siècle. — Définition du Réalisme et de l’Esprit moderne. Leur incompatibilité. Leur coexistence dans les mêmes esprits. Crise qui en résulte, compliquée encore par le mouvement réactionnaire. | |
| Comment sortir de la crise ? Par le retour à la pensée normale et à la vie normale, c’est-à-dire à l’esprit moderne. Ce serait l’œuvre de la jeunesse. En a-t-elle conscience ? | ||
LIVRE II LES HÉRITIERS  | ||
I.  | 
Le monde de la jeunesse. — La jeunesse en général. Sa tendance à exagérer l’œuvre des prédécesseurs. Ses travers. L’éternelle querelle des vieux et des jeunes. | |
| La jeunesse, ce qu’il y a de pire et ce qu’il y a de meilleur. Jeune vie, espérance et douleur. Ceux qui souffrent des fautes des aînés et se disposent à les réparer. | ||
II.  | 
Orientation intellectuelle. — Sa difficulté actuelle résulte de l’absence d’idées générales et de l’amoncellement des connaissances de détail. | |
| Résultats de cet état de choses : Spécialisation à outrance. Rétrécissement de l’horizon. Incertitude et doute s’étendant à la science elle-même : on ne croit plus en elle comme les générations précédentes. Anarchie spirituelle, scepticisme, dilettantisme. | ||
| Orientation religieuse. | ||
III.  | 
Orientation morale. — Ruine des principes. Les romanciers et la jeunesse. Déterminisme, scepticisme, dilettantisme en morale. | |
| Affaiblissement du respect et de la volonté. | ||
IV.  | 
L’école de la vie. — Les livres et l’école sont une chose, la vie en est une autre. Influence de la vie sur l’orientation de la jeunesse. Préoccupations pratiques. | |
| Les Jeunes diplomates. | ||
| Les Utilitaires. | ||
| Le Bonheur passif et la jeunesse commode. | ||
| Inutiles. | ||
| Vie facile. Jeu. | ||
| Amour et chansons d’amour. | ||
| Le beau côté de l’influence de la vie. Notre vie nationale et notre jeunesse. | ||
| Le service militaire. | ||
V.  | 
Les moutons de Panurge. — L’esprit moutonnier dans la jeunesse. Effets de notre civilisation sur l’originalité de la pensée et de la vie. La mode, les ornières et les chemins battus. Difficulté de réagir. | |
VI.  | 
Quelques mots sur l’esprit de Parti. | |
VII.  | 
Comment on se porte et comment on s’amuse. Effets de la vie factice sur la santé et la joie de vivre. | |
VIII.  | 
La jeunesse populaire. — Sa situation particulière. Les sources de son orientation. L’école. L’église. L’atelier. Les champs. | |
| Le Réalisme dans le peuple. L’exemple d’en haut. Il y a toujours des classes dirigeantes. | ||
| Diminution du respect. Est-ce la faute à l’esprit moderne ? | ||
| Les vrais coupables. | ||
| Confiance ébranlée. Scepticisme du peuple. | ||
| L’Alcoolisme. | ||
| La vie du peuple est un trésor précieux et menacé : comment le préserver ? — en fraternisant. | ||
IX.  | 
La jeunesse réactionnaire. — But de la réaction. Sauver la société en supprimant trois siècles d’histoire. Motifs de l’entreprise. Son caractère gigantesque, mais illusoire. | |
| Critique de l’entreprise. | ||
X.  | 
Sentiers de demain. — Indices d’une orientation nouvelle. Le réalisme et la réaction également impuissants à nous faire vivre. L’esprit moderne essayant de se dégager des entraves des tendances exclusives pour chercher le bien et la vérité partout où il s’en trouve. Précurseurs de ce mouvement. Ses traces dans l’enseignement national. Un retour à la tradition dans un esprit nouveau. | |
| Fermentation de ces idées dans la jeunesse. Une élite qui se sépare du courant réaliste. Caractéristique de cette minorité. Son point de vue large et généreux, ses aspirations intellectuelles, morales, religieuses, sociales. | ||
| Comment s’expliquer l’origine de ces tendances ? | ||
| Pourront-elles avoir une prise sur le peuple ? Nécessité d’un idéal démocratique élevé et moyens de le propager. Part de la jeunesse dans cette œuvre. | ||
| Le grand organe de l’éducation nationale : l’École primaire. | ||
| Conclusion. | ||
LIVRE III VERS LES SOURCES ET LES SOMMETS  | ||
I.  | 
Le monde est-il vieux ? | |
II.  | 
La Vie. Comment il faut la prendre. — La vie est un fait, un résultat et une espérance. Elle est la grande affaire. Elle ne repose pas sur nos arguments, mais Sur la volonté qui est au fond des choses. Sa valeur. Il faut la prendre simplement, à l’exemple des êtres qui s’y attachent avec toute l’énergie de l’inconscience. | |
III.  | 
L’Idéal. — Des deux façons d’aimer la vie. L’amour inférieur et l’amour supérieur. La grande vie : l’Idéal. L’Idéal n’est pas la fantaisie. C’est la vive représentation des réalités dont nous portons en nous le germe. | |
| Grandes lignes de l’Idéal nouveau. | ||
IV.  | 
L’Action. — 1. Discipline. Dressage ou éducation ? Le but de la discipline est de rendre un homme maître de lui-même, Nécessité de la discipline. Passivité et activité. Entraînement de l’énergie. L’école de guerre. Le soldat préparé et la cause qu’il va défendre. Amour de la vie. Haine de tous ses ennemis. | |
| 2. Travail. Le travail est mal compris, méprisé même. Il faut le réhabiliter en l’honorant et en le pratiquant. Ne pas cacher le travail : le montrer, au contraire. | ||
| Travaux manuels. Leur influence salutaire et réparatrice. Aux champs ! Portée sociale du travail manuel exercé par les classes instruites et aisées. | ||
| 3. Peine. Du rôle de l’effort et de la souffrance dans la vie individuelle et générale. L’épreuve salutaire et la douleur libératrice. | ||
| 4. Recueillement et repos. Difficulté du recueillement dans notre monde enfiévré. La peur du tête-à-tête avec soi-même. Le recueillement salutaire. Son rôle dans toute activité féconde. Sta viator ! Examens de conscience. | ||
| Le repos nécessaire et sacré. | ||
V.  | 
Joie. — 1. Plaisirs et distractions. Les détracteurs du plaisir. Légitimité et nécessité des distractions. Le loisir dans la vie humaine. De l’importance de son emploi. On ne sait plus s’amuser. | |
| Un mot sur les distractions à diverses époques de l’histoire. A mesure qu’on approche de notre temps, elles prennent un caractère plus sédentaire. Nos plaisirs factices et excitants. | ||
| Une réforme s’impose. De la renaissance des distractions en plein air, des jeux de force et d’adresse. La marche. A la découverte de la terre natale. | ||
| Le chant et sa décadence dans la jeunesse et le peuple. Du besoin de chanter. Un rêve. | ||
| Du discrédit où les amusements sont tombés par l’abus. Guerre à l’abus ! Réhabilitation des plaisirs. Du rôle de tous les hommes sérieux dans cette œuvre. Vivons pour la jeunesse ! | ||
| 2. La Joie. Les sources de la joie. Hauts et bas de la vie intérieure. La tristesse. Ses formes et ses causes. Les dégoûtés. Tristesse qui vient de mal penser ou de mal vivre. | ||
| Il faut aimer la vie. La joie de vivre et les moyens de l’acquérir. | ||
VI.  | 
La Solidarité. — 1. La Famille. Elle est la grande école de solidarité et la base sociale par excellence. Son importance incalculable. La Jeunesse et la Famille. Honore ton père et ta mère. Le respect, condition première de la liberté. | |
| 2. L’Amitié. Les amitiés de jeunesse, leur beauté, leur solidité, leur vertu éducatrice. Des rapports affectueux entre l’âge mûr et la jeunesse. | ||
| 3. L’Amour. Notre incurie à l’endroit de l’amour. La jeunesse arrive à l’âge le plus critique sans boussole et sans direction. Comment le jeune homme doit-il se gouverner dans les choses de l’Amour ? Le respect de la vie et de soi-même est la meilleure sauvegarde et le meilleur conseiller. Il fait contrepoids aux sottises et aux maximes relâchées. La Chasteté. La condition difficile et intéressante des jeunes gens qui se respectent. Heures troubles. Défaites morales. Ne jamais cesser d’appeler le mal : le mal. | ||
| La place sacrée de la femme dans le cœur du jeune homme. Le culte de la femme. L’éternel Féminin. | ||
| Jeunes gens et jeunes filles. Leur isolement regrettable. Suites de cet isolement. Une jeunesse sans amour est comme un matin sans soleil, L’amour et l’enthousiasme. | ||
| La solidarité de la chair et du sang. | ||
| 4. Patrie, et rôle social de la Jeunesse. Définition de la patrie. De l’initiation au génie national. La meilleure manière d’aimer son pays est d’en cultiver en soi le génie. L’idéal national de la France se confondant avec l’idéal même du progrès humain. Vanité du cosmopolitisme. Pas d’humanité sans patrie. Notre façon à nous de servir l’humanité en faisant nos propres affaires. | ||
| De l’œuvre de concentration nationale à tenter par la jeunesse. L’émiettement social, divisions, partis. Remède à ce mal : Se rechercher entre jeunes gens d’opinions différentes. Fraterniser. Franchir les barrières sociales. | ||
| Vivre de la vie des humbles pour apprendre la justice en souffrant. | ||
| 5. Un mot sur le rôle international de la Jeunesse. | ||
VII.  | 
La Foi. — Pourquoi nous en parlons à la fin et non au commencement. Foi autoritaire et Foi libre. Soumission et conviction. L’Évangile et la Foi : Pour croire, il faut commencer par être des hommes. La foi naît de la vie et de l’expérience. Le sens religieux : Le Respect et la Piété, conditions indispensables de la Foi. | |
| La reconstitution de la Foi à travers la Piété envers le passé et envers le présent. La théologie historique et la place d’honneur qui lui revient. L’Évangile rapproche de la conscience du présent. | ||
| L’Évangile oublié. L’Évangile de Jésus et l’esprit moderne. L’Évangile est plus près de nous que nous ne le pensons. Pourquoi ? Le Dieu humain et l’humanité divine. Simplicité et hardiesse de l’Évangile. L’Évangile et les petits : Se confier, se donner. | ||
| L’Évangile et la Jeunesse. L’Évangile et tous ceux qui essaient de pratiquer la bonne vie. | ||
| De l’indépendance de la Foi. Il faut aimer sa pauvreté et se méfier de tout joug humain. | ||
| Le lien de confraternité religieuse et l’attachement aux traditions particulières. Leur nécessité. Se garder de l’esprit exclusif. Les petites Églises ne sont bonnes que pour nous préparer à la grande. L’Église universelle. Les sommets de la Foi. Notre Père qui es aux cieux. | ||
| Conclusion. | ||
IMPR. ALSACIENNE ANCt G. FISCHBACH, STRASBOURG. — 2555
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