Histoire de Marie-Antoinette, Volume 1 (of 2)
NOTES:
[1] Revue des questions historiques, avril 1874, p. 594.
[2] L'original du portrait placé en tête du 1er volume appartenait au duc de Choiseul, ministre de Louis XV et négociateur du mariage de Marie-Antoinette. Après lui, le tableau a passé à son neveu, le duc Gabriel de Choiseul, puis à la fille et à la petite-fille de ce dernier, Mme la duchesse de Marmier et Mme la duchesse de Fitz-James. C'est Mme la duchesse de Fitz-James qui a fait faire, pour Mgr Dupanloup, la copie que M. H. de Lacombe, à qui Mgr Dupanloup l'a léguée, a bien voulu nous autoriser à reproduire.
[3] Recueil des Instructions données aux ambassadeurs et ministres de France, Autriche, p. 382.
[4] Ibid., p. 394.
[5] Instructions données au comte de Stainville.—Recueil des Instructions données aux ambassadeurs et ministres de France, Autriche, p. 351.
[6] Voir le remarquable livre de M. A. Vandal: Une ambassade française en Orient sous Louis XV.
[7] Une ambassade française en Orient sous Louis XV, par Albert Vandal, 323.
[8] Considérations sur l'état présent du corps politique de l'Europe. Œuvres complètes, VIII, p. 16.
[9] Mémoires et lettres du cardinal de Bernis, I, 225.
[10] Recueil des Instructions données aux ambassadeurs de France, Autriche, p. 345.—Louis XV a toujours revendiqué l'alliance austro-française comme son œuvre personnelle. «Ayez toujours en vue l'union intime avec Vienne; c'est mon ouvrage; je le crois bon et le veux soutenir.»—Louis XV au comte de Broglie, 22 janvier 1759.—Correspondance secrète inédite de Louis XV sur la politique étrangère, publiée par M. Boutaric, I, 216.—«On savait l'attachement que Sa Majesté Louis XV avait réellement pour le système d'alliance avec la Cour de Vienne; on n'ignorait pas que ce monarque pacifique le regardait comme son ouvrage favori et qu'il s'en applaudissait comme du gage le plus précieux de la tranquillité publique.»—Mémoire du comte de Broglie aux comtes du Muy et de Vergennes, 1er mars 1775.—Ibid., II, 274.
[11] Instructions données au marquis d'Hautefort, 1750.—Recueil des Instructions, 316.—Voir sur ces ouvertures de la Cour de Vienne le beau livre M. le duc de Broglie, Marie-Thérèse Impératrice, t. II.
[12] Mémoires et lettres du cardinal de Bernis, I, 227.
[13] Instructions données au marquis d'Hautefort, 1750.—Recueil des Instructions, 315.
[14] Instructions données au marquis d'Aubeterre, 1753.—Ibid., 330.
[15] Instructions données au marquis d'Hautefort, 1750.—Recueil des Instructions, 316.
[16] Instructions données au comte de Stainville, 1759.—Ibid., 359.
[17] Corresp. secrète du comte de Mercy. Introduction, XXXII, note.
[18] Mémoires et lettres du cardinal de Bernis, I, 222.—Instructions au comte de Choiseul, 1759; Recueil des Instructions, 384.—C'était déjà à Mme de Pompadour que Kaunitz, pendant son ambassade, s'était adressé pour engager le Roi à s'allier à l'Impératrice.
[19] Mémoires et lettres du cardinal de Bernis, I, 222, 223.
[20] Mémoires et lettres du cardinal de Bernis, I, 226.
[21] Ibid., I, 228.
[22] Ibid., I, 226.
[23] _Voir_ Le Secret du Roi, par le duc de Broglie, I, 118.
[24] Mémoires du cardinal de Bernis, I, 210.
[25] Le 16 janvier 1756.
[26] Mémoires et lettres du cardinal de Bernis, I, 242.
[27] Ibid., I, 243.
[28] Ibid., I, 243.
[29] Ibid., I, 234.
[30] Mémoires et lettres du cardinal de Bernis, I, 270.
[31] Ibid.
[32] Mémoires et lettres du cardinal de Bernis, I, 274.
[33] Duc de Broglie, Le Secret du Roi, I, 152.
[34] Le roi et la reine de Portugal.
[35] Mémoires du comte de Kevenhuller, publiés par Wolf, cités par le comte de Reiset.—Lettres de la reine Marie-Antoinette à la landgrave Louise de Hesse-Darmstadt. Paris, Plon, 1865. pp. 48 et 49.
[36] Marie-Thérèse à Mercy, 31 juillet 1776.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 472.
[37] Marie-Thérèse à Caroline, reine de Naples, 9 août 1767.—Lettres de l'impératrice Marie-Thérèse à ses enfants et à ses amis, publiées par le chevalier d'Arneth. Vienne, 1881, III, p. 31.
[38] L'abbé de Vermond au comte de Mercy, 21 janvier 1769.—Maria-Theresia und Marie-Antoinette, leur correspondance, publiée par le chevalier d'Arneth. Vienne, 1866, p. 354.
Le même au même, 14 oct. 1769.—Ibid., p. 359.
[39] Marie-Thérèse à Marie-Antoinette, 30 mai 1776.—Corresp. secrète du comte de Mercy, II, 449.
[40] Marie-Thérèse à Mercy, 17 juin 1776.—Ibid., II, 460.
[41] Marie-Thérèse à Mercy, 17 juin 1776.—Corresp. secrète du comte de Mercy, II, 460.
[42] Marie-Thérèse à Marie-Antoinette, 30 mars 1776.—Ibid., II, 449.
[43] Mémoires de Weber. Didot, Paris, 1860, p. 11.
[44] Vermond à Mercy, 14 oct. 1769.—Maria-Theresia und Marie-Antoinette, p. 359.
[45] Ibid.
[46] Ibid.
[47] Marie-Thérèse à Mercy, 1er août 1770.—Corresp. secrète du comte de Mercy, I, 28.
[48] Mémoires de Weber, p. 12.
[49] Mémoires de Weber, p. 12.
[50] Lettre de Mme Geoffrin au financier Bautin, 12 juin 1766.—Mémoires du baron de Gleichen. Paris, 1868, p. 110.
[51] Mémoires de Weber, p. 2.
[52] Récit fait par Marie-Antoinette à la marquise de Tourzel.—Mémoires inédits de Mme la duchesse de Tourzel, gouvernante des Enfants de France, pendant les années 1789, 1790, 1791, 1792, 1793, 1795, publiés par le duc des Cars, ouvrage enrichi du dernier portrait de la Reine. Paris, Plon, 1883, I, 14.
[53] Instruction pour mes enfants, publiée pour la première fois, par le comte H. de Vielcastel—Marie-Antoinette et la Révolution française. Paris, Techener, 1859, p. III.
[54] Ibid., p. XXII.
[55] Instruction pour mes enfants, p. XXIX, XXX.
[56] Ibid., p. XXXIV.
[57] Instr. pour mes enfants, p. LXXVIII.
[58] Ibid.
[59] Instr. pour mes enfants, p. LXXIV.
[60] Ibid.
[61] Mémoires de Weber, p. 11.
[62] Mémoires sur la vie de Marie-Antoinette, reine de France et de Navarre, suivis de souvenirs et anecdotes historiques, sur les règnes de Louis XIV, Louis XV et Louis XVI, par Mme Campan, lectrice de Mesdames, première femme de chambre de la Reine, et depuis surintendante de la maison d'Ecouen, avec une notice et des notes par M. F. Barrière. Paris, Didot, 1858, p. 66.
[63] L'abbé de Vermond au comte de Mercy, 21 janvier 1769.—Maria-Theresia und Marie-Antoinette, p. 353.
[64] Vermond à Mercy, 21 juin 1769.—Maria-Theresia und Marie Antoinette, p. 357.
[65] Le même au même, 14 oct. 1769.—Ibid., p. 359.
[66] Le même au même, 14 oct. 1769.—Ibid., p. 358.
[67] Gazette de France, no 23.
[68] Vermond à Mercy, 14 mars 1770.—Maria-Theresia und Marie-Antoinette, p. 362.
[69] Ibid.
[70] Gazette de France de l'année 1770, no 32.
[71] Le Roi avait envoyé à sa future petite-fille un splendide cadeau. «C'était une grande boite d'or, surmontée du portrait du Dauphin, peint par Hall, et entourée d'un cercle de soixante-dix gros diamants. Elle coûtait le prix incroyable de 75,678 livres, sans le portrait payé en dehors 2,664 livres.» Le Livre des collectionneurs, par Alph. Maze Sencier. Paris, Renouard, 1885, p. 109.
[72] Gazette de France, année 1770, no 36. Correspondance de Vienne, du 18 avril.
[73] Gazette de France, année 1770, no 36.
[74] Gazette de France, année 1770, no 38.
[75] Mémoires de Weber, p. 13.
[76] Gazette de France, année 1770, no 38.
[77] On a publié une prétendue lettre de Marie-Thérèse au Dauphin. Cette lettre, qui d'ailleurs n'est nullement du style de l'Impératrice, n'est, suivant Grimm, qu'une fantaisie de bel esprit, qui n'a aucune authenticité.—Correspondance littéraire, philosophique et critique, adressée à un souverain d'Allemagne, depuis 1770 jusqu'en 1782, par le baron de Grimm et par Diderot. Paris, Buisson, 1812, tome I, p. 160.
[78] Marie-Thérèse à Marie-Antoinette, 21 avril 1770.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, p. 3-5.—C'était l'habitude de Marie-Thérèse, lorsqu'elle se séparait d'un de ses enfants, de lui tracer ainsi un règlement de vie détaillé et minutieux. On en trouve de semblables adressés à ses fils Ferdinand et Maximilien et à sa fille Caroline, dans la correspondance publiée par M. d'Arneth.
[79] Marie-Thérèse à Marie-Antoinette, 4 mai 1770.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 7.
[80] Gazette de France, année 1770, nos 38 et 39.
[81] Marie-Thérèse à Marie-Antoinette, 4 mai 1770.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 6.
[82] Mémoires de Weber, pp. 13 et 14.
[83] Gœthe, Mémoires de ma vie, p. 366.
[84] Mémoires de la baronne d'Oberkirch, publiés par le comte Léonce de Montbrison, son petit-fils, et dédiés à Sa Majesté Nicolas Ier, empereur de toutes les Russies. Paris, Charpentier, 1869, I, 32.
[85] Ibid., p. 33.
[86] Mémoires de la baronne d'Oberkirch, p. 33. On peut voir dans le Livre des collectionneurs, 109, la liste des magnifiques cadeaux faits au nom du Roi de France à la Maison allemande de Marie-Antoinette.
[87] Ibid., I, p. 200.
[88] Ibid., I, p. 33.
[89] Mémoires de la baronne d'Oberkirch, I, 31.
[90] Gazette de France, année 1770, no 41.
[91] Mémoires de la baronne d'Oberkirch, I, 31.
[92] Les quatre cardinaux de Rohan, évêques de Strasbourg, en Alsace, par le Roy de Sainte-Croix. Hagermann, 1881, p. 73.
[93] Gazette de France, année 1770, no 42.
[94] Mémoires de Weber, p. 14.
[95] Compliment de l'abbé Lambert, vicaire de Commercy, récité par Mlle Doublot. Mercure de France, juin 1770, p. 164.
[96] Mémoires de Weber, p. 15.
[97] Mercure de France, juin 1770, p. 165.
[98] Mercure de France, juin 1770, p. 165.
[99] Gazette de France, année 1770, no 42.
[100] Mémoires de Weber, p. 15.
[101] Gazette de France, année 1770, no 41.
[102] Le comte de Mercy au baron de Neny, 14 mai 1770.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 10 (note).
[103] Gazette de France, 1770, no 41.
[104] Ibid., no 42.
[105] Pendant ces présentations officielles, il y avait dans la ville des fêtes populaires. La foule se pressait autour de deux tables de six cents couverts, servies avec profusion, et l'on dansait jusqu'à cinq heures du matin, au son de deux orchestres. Les pauvres de l'hôpital et les prisonniers avaient leur part de la fête: le Corps de ville leur envoyait à souper. Gazette de France, année 1770, no 43.
[106] Mémoires secrets pour servir à l'histoire de la République des lettres, 23 mai 1770, t. V, p. 136, 137.
[107] Souvenirs de Mme Vigée Le Brun, Paris, Charpentier, 1869, I, 44.
[108] La Vie parisienne sous Louis XVI. Paris, Calmann Lévy, 1882, p. 59.
[109] Mémoires secrets, V, 136.
[110] Souvenirs de Mme Vigée Le Brun, I, 45.
[111] Mémoires de Mme Campan, p. 72.
[112] Ibid.
[113] La Vie parisienne sous Louis XVI, p. 84.
[114] Ibid., p. 159.
[115] Ibid., p. 84.
[116] Souvenirs de Mme Vigée Le Brun, I, p. 48.
[117] La Vie parisienne sous Louis XVI, p. 59.
[118] Walpole à la comtesse d'Ossory, 23 août 1775. Lettres d'Horace Walpole, écrites à ses amis pendant ses voyages en France (1739-1775), traduites et précédées d'une introduction par le comte de Baillon, 2e édition. Paris, Didier, 1873, p. 281.
[119] Le peintre s'appelait Vincent de Montpetit; il avait représenté la Dauphine «dans une rose accompagnée d'une fleur de lys, d'immortelles et d'autres fleurs qui formaient un bouquet sortant d'un vase de lapis, enrichi d'ornements avec différents attributs relatifs à l'alliance des augustes maisons de France et d'Autriche.»—Gazette de France, année 1770, no 78.
[120] Mercure de France, juin 1770, p. 181.
[121] Mémoires de Weber, p. 16.
[122] Lettre écrite par une carmélite de Saint-Denys au monastère de la rue Saint-Jacques, 23 mai 1770.—Archives du Carmel de Saint-Denys.—Citée par M. l'abbé Gillet dans son livre: La vénérable Louise de France, fille de Louis XV, en religion Marie-Thérèse de Saint-Augustin, avec portrait gravé et fac-simile d'autographe. Orléans, Herluison, 1881. Pièces justificatives, p. 543.
[123] Mémoires de Weber, pp. 16 et 17.
[124] Mémoires de Weber, p. 17.
[125] «La boîte d'or réservée à la Dauphine, ornée de son chiffre en diamants, coûtait 20.746 livres et le coffret à bijoux plus de 22.000. C'était un cabinet de six pieds de long sur trois pieds et demi de haut, couvert en partie de velours cramoisi, magnifiquement brodé. La broderie des cinq panneaux se montait à 8.000 livres et la sculpture faite par Bocciardi à 4.445 livres. L'ébéniste Evalde en avait fourni le corps, et Gouthière les cuivres ciselés. Le plus riche des éventails offrait, sur le montant, des brillants et des émeraudes. La montre en émail bleu et la chaîne garnies de diamants valaient 1.000 livres.—Le Livre des collectionneurs, 108. C'est le duc d'Aumont qui présenta à la Dauphine la clef de ce cabinet placé dans la chambre à coucher.—Journal de Papillon de la Ferté, p. 272.
[126] Mémoires de Mme Campan, p. 74.
[127] Gazette de France, année 1770, no 42.
[128] Ibid., no 41.—Les deux anneaux avaient été fournis par le célèbre Rœttiers; Guédon, brodeur, avait fait les deux poignées des cierges, brodées en argent sur velours blanc, Delanoue et Buffault, chacun un poèle de drap d'argent «les deux bouts très beaux».—Le Livre des collectionneurs, 111.
[129] Gazette de France, année 1770, no 40. Il y avait plus de deux ans déjà qu'on travaillait au programme des fêtes du mariage du Dauphin. Voir pour tous ces préparatifs le Journal de Papillon de la Ferté, intendant des Menus, publié en 1888.
[130] Mémoires de Weber, p. 17.
[131] Voir tous les détails de ces fêtes dans le Journal de Papillon de la Ferté, pp. 273 et suiv.—Mémoires de Weber, p. 17,—La marquise du Deffand à H. Walpole, 19 mai 1770.—Correspondance complète de la marquise du Deffand avec ses amis, suivie de ses œuvres diverses et éclairées de nombreuses notes, par M. de Lescure. Paris, Plon, 1865, t. II, p. 60.
[132] On peut consulter, sur cette représentation, la Correspondance littéraire de Grimm. Papillon de la Ferté prétend cependant que «Mme la Dauphine n'a pas paru y prendre goût».—Journal de Papillon de la Ferté, p. 274.
[133] Ces illuminations étaient si brillantes qu'un spectateur s'écriait: «O nuit plus belle qu'un beau jour!» Mercure de France, juin 1770, p. 177.—«Les gens même du peuple, dit de son côté Papillon de la Ferté, se servaient des termes de féerie et d'enchantement pour exprimer leur étonnement.»
[134] La marquise du Deffand à H. Walpole, 19 mai 1770.—Correspondance de la marquise du Deffand, II, 60.
[135] Réponse du Roi au Mémoire de la noblesse.—Correspondance de la marquise du Deffand, II, 62, 63.
[136] Réponse du Roi au Mémoire de la noblesse.—Correspondance de la marquise du Deffand, II, 62, 63.
[137] Correspondance de la marquise du Deffand, II, 60, 61.—Correspondance littéraire de Grimm, I, 144 et suiv.
[138] Voir le détail de toutes ces fêtes dans le Mercure de France, octobre 1770, pp. 127 et suiv.
[139] Mémoires secrets pour servir à l'histoire de la République des lettres, 24 mai 1770.
[140] Ibid., V. pp. 137, 138.
[141] Gazette de France, année 1770, no 45.
[142] Mémoires autographes de M. le prince de Montbarrey, ministre secrétaire d'État au département de la guerre, sous Louis XVI, avec fac-simile de son écriture. Paris, Eymery, 1826, I, II, p. 6.
[143] On trouvera des détails sur cette horrible catastrophe, dans les Mémoires du prince de Montbarrey, II, 6 et suiv.—Montbarre faillit lui-même en être victime. Tombé dans un fossé avec le maréchal de Biron, colonel général des gardes françaises, il ne put s'en tirer et en tirer son compagnon que grâce à un vigoureux effort.
[144] Correspondance littéraire de Grimm.
[145] Mémoires de Mme Campan, p. 72.
[146] Mémoires de Weber, pp. 19 et 20.—Correspondance littéraire de Grimm, I, 197-203.
[147] Voir, sur le caractère de Louis XV, deux remarquables articles de M. le marquis de Beaucourt, publiés dans la Revue des questions historiques, 1er juillet 1867, 1er janvier 1868.
[148] Voir la Correspondance de Louis XV et du maréchal de Noailles, publiée par M. C. Rousset.
[149] Portraits historiques de Louis XV et de Mme de Pompadour faisant partie des Œuvres posthumes de Ch.-Georges Leroy, p. 3.
[150] Mémoires du Marquis d'Argenson, II, 212.
[151] Il (M. d'Aguesseau) m'a rapporté que M. le duc d'Orléans, Régent, peu de temps avant sa mort avait dit en parlant du Roy: «Ce prince sera toujours de dix ans au-dessous de son âge.—Journal inédit de M. de Boynes, ancien ministre de la marine, 17 mars 1765.
[152] Dans un pamphlet du temps, le Roy loge à la Beauté couronnée.—Manuscrits français, 15362, p. 323, cité par M. de Beaucourt.
[153] Louis XV au comte de Broglie, 6 juin 1770. Correspondance de Louis XV et du comte de Broglie, publiée par M. Boutaric, I, 409.
[154] Journal et mémoires du Mle d'Argenson, t. I et II, passim.
[155] Mémoires de Mme du Hausset.
[156] Mémoires du marquis d'Argenson, V, 371.
[157] Michelet, Louis XV, p. 19.
[158] Mémoires du marquis d'Argenson.
[159] Walpole à John Chute, 3 octobre 1765.—Lettres d'Horace Walpole, p. 43.
[160] Mémoires de Mme Campan, p. 60.
[161] Le Roi l'appelait Coche.—Mémoires de Mme Campan, p. 49.
[162] Ibid., pp. 57 et 58.
[163] Mémoires de Mme Campan, p. 53.
[164] L'abbé Proyart.
[165] L'abbé Proyart: Louis XVI et ses vertus.
[166] Lettre du 4 septembre 1760, citée dans la Dauphine Marie-Josèphe de Saxe, mère de Louis XVI, par le père Emile Régnault, de la compagnie de Jésus. Paris, Lecoffre, 1875, p. 200.
[167] On peut lire dans la Correspondance de Grimm, t. VII, le pompeux billet de mort du duc de la Vauguyon. La Cour et la ville en firent des gorges chaudes.
[168] Lettre de M. de Sandoz-Rollin à Frédéric II, 25 avril 1782.—Histoire de l'action commune de la France et de l'Amérique pour l'indépendance des États-Unis, par Georges Bancroft, traduit et annoté par le comte de Circourt. Paris, Vieweg, 1876, t. III, p. 160.—Documents originaux inédits.
[169] Ibid.
[170] Le 26 décembre 1792, en se rendant à la Convention qui devait le juger ce jour-là, Louis XVI «prit part à la conversation qui a été assez soutenue sur la littérature et spécialement sur les auteurs latins, en particulier Tite-Live et Tacite». Rapport fait à la Commune sur la seconde translation de Louis XVI à la Convention nationale. Procès des Bourbons, I, 263, 264.
[171] La Vie parisienne sous Louis XVI, p. 59.
[172] Mercy à Marie-Thérèse, 15 juin 1770.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 12.
[173] Louis XVI, par le comte de Falloux. Paris, Sagnier et Bray, 1852, p. 7.
[174] Mémoires de M. le prince de Montbarrey, II, 30.—Voir, sur tout ce caractère et cette jeunesse du Dauphin, la belle Histoire de Louis XVI, par M. le comte de Falloux.
[175] Pour connaître les idées de Louis XVI sur le gouvernement, lire les Réflexions sur mes entretiens avec M. le duc de la Vauguyon, par Louis-Auguste, Dauphin (Louis XVI); précédées d'une introduction par M. le comte de Falloux, accompagnées d'un fac-simile du manuscrit. Paris, Aillaud, 1851.
[176] Mercy à Marie-Thérèse, 15 juin 1770.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 12.
[177] Vermond à Mercy, 23 mai 1770.—Maria-Theresia und Marie-Antoinette, p. 365.
[178] Mercy à Marie-Thérèse, 15 juin 1770.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 14.
[179] Vermond à Mercy, 23 mai 1770.—Maria-Theresia und Marie-Antoinette, p. 365.
[180] Voir sur toutes ces intrigues la lettre de Mercy à Marie-Thérèse en date du 25 juin 1770.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, pp. 11 et suiv.
[181] Mercy à Marie-Thérèse, 14 juillet 1770.—Ibid., I, 22.
[182] Marie-Antoinette à Marie-Thérèse, 9 juillet 1770.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 17.—Voir encore sur le rôle du duc de la Vauguyon les lettres de Mercy à Marie-Thérèse, des 15 juin, 14 juillet et 4 août 1770.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 11, 21, 32.
[183] Essais historiques sur la vie de Marie-Antoinette d'Autriche, 1re partie, p. 11 et 12.
[184] Mercy à Marie-Thérèse, 15 juin 1770.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 14.
[185] Le même à la même, 20 août 1770.—Ibid., I, 39.
[186] Le même à la même, 4 août 1770. Ibid., I, p. 29.
[187] Mercy à Marie-Thérèse, 16 novembre 1770.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 87, 89.
[188] Mémoires de Mme Campan, p. 74.
[189] Mercy à Marie-Thérèse, 14 juillet 1770.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 26.
[190] Le même à la même, 15 juin 1773.—Ibid., I, 14.
[191] Marie-Antoinette à Marie-Thérèse, 12 juillet 1770.—Correspondance secrète du comte de Mercy. I, 19, 20.
[192] Ibid.
[193] Mercy à Marie-Thérèse, 15 juin 1770;—Marie-Thérèse à Mercy, 24 mai 1770.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 15, 9.—Marie-Antoinette avait cependant, dans les premiers mois, été fidèle aux lectures que lui recommandait sa mère. Voir les lettres de Mercy, des 14 juillet et 4 août 1770.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 22, 31.
[194] Mercy à Marie-Thérèse, 20 octobre 1770.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 65.
[195] Mercy à Marie-Thérèse, 19 septembre 1770.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 55.
[196] Vermond à Mercy, octobre 1770.—Maria-Theresia und Marie-Antoinette, p. 366.
[197] Ibid., p. 367.
[198] Mercy à Marie-Thérèse, 20 août 1770.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 36.
[199] Le même à la même, 19 sept. 1770.—Ibid., I, 50.
[200] Vermond à Mercy, 15 octobre 1770.—Maria-Theresia und Marie-Antoinette, p. 367.—C'est par erreur que dans cet ouvrage cette lettre est datée novembre 1770. La lettre de Mercy à Marie-Thérèse, du 20 octobre 1770, permet de lui rendre sa vraie date, celle du 25 octobre.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 67.
[201] Mercy à Marie-Thérèse, 20 octobre 1770.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 67.—La Dauphine craignait même qu'on ne prît ses lettres dans ses poches pendant la nuit.—Vermond à Mercy, 15 octobre 1770.—Maria-Theresia und Marie-Antoinette, p. 369.
[202] Mercy à Marie-Thérèse, 14 juillet 1770.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 22.—Vermond à Mercy, 15 oct. 1770.—Maria-Theresia und Marie-Antoinette, p. 370.
[203] Vermond à Mercy, 15 octobre 1770.—Maria-Theresia und Marie-Antoinette, pp. 367, 368.
[204] Marie-Thérèse à Marie-Antoinette, 6 janvier 1771.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 116, 117.
[205] Vermond à Mercy, janvier 1771.—Maria-Theresia und Marie-Antoinette, 271, 272. Le peu de goût pour la lecture était commun à plusieurs autres enfants de Marie-Thérèse. On peut lire dans la Correspondance de Marie-Thérèse avec ses enfants et ses amis, publiée par M. d'Arneth, les mêmes conseils et les mêmes reproches adressés par l'Impératrice à Ferdinand, à Caroline de Naples, à Amélie de Parme, à Maximilien.
[206] Marie-Thérèse à Marie-Antoinette, 10 février 1771.—Correspondance secrète du comte de Mercy, 129, 130.—Cette mauvaise écriture de la Dauphine étonne moins quand on sait quelle difficulté elle avait pour écrire ses lettres. Elle ne les écrivait qu'à sa toilette, «par sauts et par bonds» et à la dernière heure, dans la crainte qu'elles ne fussent lues.—Voir la lettre déjà citée de Vermond à Mercy du 15 octobre 1770.—Maria-Theresia und Marie-Antoinette, p. 369.
[207] Marie-Thérèse à Mercy, 15 avril 1771.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 144.
[208] Mercy à Marie-Thérèse, 22 mai 1771.—Ibid., I, 163.
[209] Le même à la même, 22 juin 1771.—Ibid., I, 176.
[210] Mercy à Marie-Thérèse, 16 novembre 1770.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 91.
[211] Mercy à Marie-Thérèse, 19 septembre 1770.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 49.
[212] Mercy à Marie-Thérèse, 15 juin 1772.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 311.
[213] Mercy à Marie-Thérèse, 16 novembre 1771.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 238.
[214] Mercy à Marie-Thérèse, 19 déc. 1771.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 255.
[215] Mercy à Marie-Thérèse, 15 mai 1772.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 301.
[216] Le même à la même, 15 avril 1772.—Ibid., I, 292.
[217] Mercy à Marie-Thérèse, 15 mai 1772.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 301.
[218] Récit des événements arrivés au Temple, depuis le 13 août 1792, jusqu'à la mort du Dauphin Louis XVII (par Mme la duchesse d'Angoulême). Paris, Audot, 1823, p. 50.
[219] Mercy à Marie-Thérèse, 23 janvier 1772.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 265.—Le même à la même, 18 mars 1773.—Ibid., I, 554.
[220] Marie-Antoinette à Marie-Thérèse, 14 octobre 1772.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 315.
[221] Mercy à Marie-Thérèse, 17 juillet 1772.—Ibid., I, 322.
[222] Le même à la même, 15 mars 1773.—Ibid., I. 428.
[223] Marie-Thérèse à Marie-Antoinette, 1er novembre 1770.—Ibid., I, 84.
[224] Marie-Antoinette à Marie-Thérèse, 13 janvier 1773.—Ibid., I, 397.
[225] Mercy à Marie-Thérèse, 16 sept. 1772.—Ibid., I, 349.
[226] Le même à la même, même date. Ibid., I, 349.
[227] Mercy à Marie-Thérèse, 18 mai 1773.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 453, 454.
[228] Mercy à Marie-Thérèse, 14 août 1773.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 26.—Les lectures, cependant, même à ce moment, n'avaient pas complètement cessé; la Dauphine consacrait chaque jour une heure le matin à une lecture instructive, et un quart d'heure le soir à une lecture spirituelle.—Même lettre, même page.—Voir aussi: Mercy à Marie-Thérèse, 16 sept. 1773.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 43.
[229] Mercy à Marie-Thérèse, 16 sept. 1773.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 43.
[230] Le même à la même, 12 nov. 1773.—Ibid., II, 70, 74.
[231] Le même à la même, 18 déc. 1773.—Ibid., II, 81.
[232] Le même à la même, 19 janvier 1774.—Ibid., II, 98.
[233] Il en était de même d'ailleurs pour tous ses autres enfants.—Ses correspondances diverses publiées par M. d'Arneth le montrent pleinement.—Lettres de Marie-Thérèse à ses enfants et à ses amis.
[234] Mercy à Marie-Thérèse, 7 février 1778.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 422.
[235] Marie-Thérèse à Mercy, 1er octobre 1771.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 220.—Marie-Thérèse elle-même trouvait cette lettre tellement forte qu'elle laissait Mercy libre de ne pas la remettre.
[236] Mercy à Marie-Thérèse, 16 novembre 1770, 16 décembre 1772.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 98, 390.
[237] Le même à la même, 16 décembre 1772.—Ibid., I, 390.
[238] Le même à la même, 16 avril 1771.—Ibid., I, 135.
[239] Le même à la même, 20 août 1770.—Ibid., I, 45.
[240] Termes du brevet expédié par le Roi à l'abbé de Vermond, avant son départ de Vienne.—Vermond à Mercy, 1774.—Maria-Theresia und Marie-Antoinette, p. 380.
[241] Vermond à Mercy, janvier 1771.—Ibid., p. 372.
[242] Mémoires de Mme Campan, pp. 65-66.—Des reproches analogues sont formulés dans une des lettres saisies chez Fersen après le départ pour Varennes: «Le lord Dorcet est venu me voir. Il m'a parlé de la personne à qui vous êtes attaché (la Reine), avec attachement et respect, me disant que la seule chose qu'il lui reprochait et qu'il ne lui avait pas cachée à elle-même était son entier dévouement à l'abbé de Vermond, dont il ne m'a pas fait l'éloge. Il m'a assuré que lui seul avait du crédit sur son esprit et la gouvernait despotiquement.»—Lettres adressées d'Angleterre à M. le comte de Fersen.—Fuite de Louis XVI à Varennes, par Eug. Bimbenet, 2e édition. Pièces justificatives, p. 131.—On sait aujourd'hui que ces reproches, échos des bruits de la Cour, n'étaient pas fondés.
[243] Mercy à Marie-Thérèse, 16 juillet 1770.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 24. Voir aussi le même à la même, 20 août 1770.—Ibid., I, 43.
[244] Mercy à Marie-Thérèse, 14 juillet 1770.—Ibid., I, 24.
[245] Marie-Thérèse à Mercy, 1er septembre 1770.—Ibid., I, 46.
[246] Mercy à Marie-Thérèse, 20 octobre 1770, 17 décembre 1770, 28 février 1771.—Ibid., I, 65, 111, 137.
[247] Marie-Thérèse à Marie-Antoinette, 2 décembre 1770.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 104.
[248] Mercy à Marie-Thérèse, 19 septembre 1770.—Ibid., I, 49, 50.
[249] Le même à la même, 16 novembre 1770.—Ibid., I, 91.
[250] Le même à la même, 16 novembre 1770.—Ibid., I, 91.
[251] Mercy à Marie-Thérèse, 16 novembre 1771.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 241, 243.
[252] Marie-Thérèse à Marie-Antoinette, 4 mai 1770.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 7.—Marie-Thérèse avait même poussé la déférence jusqu'à envoyer à Mme Louise, par une ingénieuse flatterie, son propre portrait en habit de carmélite avec ces mots tracés de sa main: «Lorsqu'au pied des autels vous goûterez l'avantage du calme que vos vertus vous ont fait préférer au bruyant éclat de la Cour, jetez un regard sur ce portrait; il vous demandera, en mon nom, un souvenir de tendresse pour ma fille et pour moi.»—Et Mme Louise avait répondu en assurant l'Impératrice de «sa vive reconnaissance» et de «ses vœux pour la famille impériale et en particulier pour la Dauphine, sa très chère nièce».—La vénérable Louise de France, p. 340.
[253] Mercy à Marie-Thérèse, 19 septembre 1770.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 54.
[254] Le même à la même, 4 août 1770.—Ibid., I, 33.
[255] Le comte de Creutz à Gustave III, 12 août 1773.—Cité dans la Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 463 (note).
[256] Marie-Thérèse à Marie-Antoinette, 9 juin 1771.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 171.
[257] La même à la même, 13 février 1772.—Ibid., I, 272.
[258] La même à la même, 17 août 1771.—Ibid., I, 197.
[259] Mercy à Marie-Thérèse, 16 avril 1771.—Correspondance secrète du comte de Mercy., I, 152.
[260] Mémoires de Mme Campan, p. 71.
[261] Mercy à Marie-Thérèse, 16 avril 1771.—Marie-Thérèse à Marie-Antoinette, 5 mai 1771.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 151, 158.
[262] Portefeuille d'un talon-rouge contenant des anecdotes galantes et secrètes de la Cour de France.—A Paris, de l'imprimerie du comte de Paradès, page 10.
[263] Portefeuille d'un talon-rouge, p. 12.
[264] Mercy à Marie-Thérèse, 17 juillet 1775.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 354.
[265] Le même à la même, 19 oct. 1775.—Ibid., II, 391.
[266] Mercy à Marie-Thérèse, 15 septembre 1775, 19 octobre 1775.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 375 (note), 391.
[267] Mercy à Marie-Thérèse, 12 novembre 1773.—Ibid., II, 66.—Voir sur la duchesse de Chaulnes, née Bonnier de la Mosson, Les Bonnier ou une famille de financiers au XVIIIe siècle, par Grasset-Morel, Paris, Dentu, 1886.
[268] Mercy à Marie-Thérèse, 19 septembre 1770.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 55.
[269] Le même à la même, 14 juillet 1770.—Ibid., I, 24.
[270] Cérémonies observées à la prise d'habit de Mme Louise de France chez les Carmélites de Saint-Denys, en 1776.—Archives du Carmel.—La vénérable Louise de France, pp. 544-548.
[271] Mercy à Marie-Thérèse, 4 août 1770.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 30.
[272] Le même à la même, 16 avril 1771.—Ibid., I, 151.
[273] Marie-Thérèse à Marie-Antoinette, 17 août 1771.—Ibid., I, 197.
[274] Mercy à Marie-Thérèse, 25 février 1771.—Ibid., I, 135.
[275] Mercy à Marie-Thérèse, 14 juillet 1770.—Corresp. secrète du comte de Mercy, I, 23.
[276] Le même à la même, 19 septembre 1770.—Ibid., I, 50, 53.
[277] Le même à la même, 14 juillet 1770—Ibid., I, 26.
[278] Le même à la même, 19 septembre 1770.—Ibid., I, 56.
[279] Mercy à Marie-Thérèse, 22 mai 1771.—Corresp. secrète du comte de Mercy, p. 162.
[280] Le même à la même, 25 février 1771.—Ibid., I, 132.
[281] Le même à la même, 20 octobre 1770.—Ibid., 77, 78.
[282] Le même à la même, 22 juin 1771.—Ibid., I, 174.
[283] Mercy à Marie-Thérèse, 22 juin 1771. Corresp. secrète du comte de Mercy, I, 174.
[284] Marie-Thérèse à Mercy, 23 janvier 1771.—Ibid., I, 119.
[285] Ibid.
[286] Mercy à Marie-Thérèse, 20 octobre 1770.—Corresp. secrète du comte de Mercy, I, 68.
[287] Le même à la même, 14 août 1772.—Ibid., I, 237.
[288] Mercy à Marie-Thérèse, 23 janvier 1771.—Corresp. secrète du Comte de Mercy, I, 121, 122.
[289] Le même à la même, 2 septembre 1771.—Ibid., I, 206.
[290] Le même à la même, 22 mars 1771.—Ibid., I, 165.
[291] Mercy à Marie-Thérèse, 2 septembre 1771.—Corresp. secrète du comte de Mercy, I, 211.
[292] Ibid., I, 208.
[293] Marie-Thérèse à Marie-Antoinette, 30 septembre 1771.—Corresp. secrète du comte de Mercy, I, 217.—Marie-Thérèse avait déjà écrit le 17 août 1771: «Ne copiez pas des originaux qui n'ont jamais réussi dans le public.» Ibid., I, 198.
[294] Marie-Thérèse a Marie-Antoinette, 30 septembre 1774.—Correspondance secrète du comte du Mercy, I, 217.
[295] Mercy à Marie-Thérèse, 18 juillet 1772.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 327.
[296] Le même à la même, 14 novembre 1772.—Ibid., 369.
[297] Le même à la même, 16 décembre 1772.—Ibid., I, 387.
[298] Le même à la même, 14 août 1773.—Ibid., II, 18.
[299] Le même à la même, 16 juin 1773.—Ibid., I, 462.
[300] Mercy à Marie-Thérèse, 17 juillet 1773, 12 novembre 1773.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 5, 65.
[301] Un texte, tout différent de celui-ci, donné par Pidansat de Mayrobert, a été adopté par un grand nombre d'historiens. Le billet que nous reproduisons ici a été communiqué par M. le duc Gabriel de Choiseul à la Revue de Paris, en 1829. On peut donc regarder cette version comme authentique.
[302] Mercy à Marie-Thérèse, 23 janvier 1771.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 125.
[303] Souvenirs du baron de Gleichen, 40.
[304] Mercy à Marie-Thérèse, 23 janvier 1771.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 125.
[305] Souvenirs du baron de Gleichen, p. 20.
[306] Mémoires du baron de Besenval, avec avant-propos et notice par M. F. Barrière. Paris, Didot, 1857, p. 104.
[307] Histoire de la chute des Jésuites, par le vicomte de Saint Priest, p. 67.
[308] Mémoires du baron de Besenval, p. 124.
[309] Ibid., p. 123.
[310] Mme du Deffand à Horace Walpole, 2 novembre 1769.—Correspondance de la marquise du Deffand, II, 9.
[311] Lettre de Louis XV au duc de Choiseul, publiée par M. le duc G. de Choiseul en 1829. Revue de Paris, IV, 57.—Citée déjà mais incomplètement dans les Souvenirs du baron de Gleichen, p. 38.
[312] Ibid.
[313] Sénac de Meilhan.—Portraits et caractères de personnages distingués de la fin du XVIIIe siècle.
[314] Mercy à Marie-Thérèse, 23 janvier 1771.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 135.
[315] Voir, sur les intrigues qui amenèrent la chute de Choiseul, les Mémoires du baron de Besenval, pp. 126, 127.
[316] Marie-Thérèse à Mercy, 11 février 1771.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 131.
[317] Mémoire du Comte de Broglie aux comtes du Muy et de Vergennes.—Correspondance secrète inédite de Louis XV, II, 274.
[318] Marie-Thérèse à Mercy, 8 janvier 1771.—Mercy à Marie-Thérèse, 23 janvier 1771.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 116, 125.
[319] Marie-Thérèse à Mercy, 4 janvier 1771.—Ibid., I, 116.
[320] Mercy à Marie-Thérèse, 16 avril 1771.—Corresp. secrète du comte de Mercy, I, 154.
[321] Voir les lettres de Mme du Deffand à Walpole, des 9 janvier et 17 mars 1771.—Corresp. de la marquise du Deffand, II, 121, 151, 152.
[322] Ibid., II, 151.
[323] On avait prétendu qu'à la bataille de Saint-Cast contre les Anglais il s'était caché dans un moulin. «Si notre général ne s'est pas couvert de gloire, il s'est couvert de farine,» avait-on dit. Et, poursuivi par la Bretagne après sa révocation de gouverneur, il avait été déclaré, par le Parlement de Paris, «prévenu de faits qui entachaient son honneur». Il semble bien, d'après les recherches de M. Vatel, dans son curieux livre sur Mme du Barry—Histoire de Mme du Barry d'après les papiers personnels et les documents des archives publiques, précédé d'une introduction sur Mme de Pompadour, le Parc-au-Cerfs, et Mlle de Romans, par Ch. Vatel, Versailles, Bernard, 1883, 3 vol. in-12—que c'étaient là des calomnies.
[324] Mercy à Marie-Thérèse, 1 septembre 1771.—Corresp. secrète du comte de Mercy, I, 215.
[325] Lettre du Roi à Choiseul, déjà citée.
[326] Madame du Deffand à H. Walpole, 26 juin 1771.—Corresp. de la marquise du Deffand, II, 175.
[327] Mercy à Marie-Thérèse, 14 novembre 1772.—Corresp. secrète du comte de Mercy, I, 373.
[328] Le même à la même, 2 septembre 1771.—Ibid., I, 215.
[329] Marie-Antoinette à Marie-Thérèse, 9 juillet 1770.—Corresp. secrète du comte de Mercy, I, 17.
[330] Ibid.
[331] Mercy à Marie-Thérèse, 4 août 1770.—Ibid., I, 29.
[332] Le même à la même, 14 juillet 1770.—Ibid., I, 21.
[333] Le même à la même, 20 août 1770.—Ibid., I, 35.
[334] Le même à la même, 17 mars 1771.—Ibid., I, 143.
[335] Le même à la même, 20 octobre 1770.—Ibid., I, 91.
[336] Mercy à Marie-Thérèse, 17 mars 1771.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 143.
[337] Le duc d'Aiguillon ne pardonnait pas à la Dauphine de l'avoir accueilli froidement, quand il lui avait été présenté en qualité de ministre.
[338] Kaunitz à Mercy, annexe à la lettre de Mercy à Marie-Thérèse, du 24 juillet 1771.—Corresp. secrète du comte de Mercy, I, 192.
[339] Les chroniqueurs prétendaient que Mme du Barry, parlant de la Dauphine, l'avait appelée la petite rousse.
[340] Voir sur cette affaire la dépêche de Mercy du 2 septembre 1771.—Corresp. secrète du comte de Mercy, I, 200, 214.
[341] Sauf une allusion dans la lettre du 9 juillet 1771, Marie-Thérèse, dans sa correspondance avec Marie-Antoinette, n'avait jamais nommé Mme du Barry.
[342] Marie-Thérèse à Marie-Antoinette, 30 septembre 1771.—Corresp. secrète du comte de Mercy, I, 217, 218.
[343] Marie-Antoinette à Marie-Thérèse, 13 octobre 1771.—Corresp. secrète du comte de Mercy, I, 221, 223.
[344] Mercy à Marie-Thérèse, 16 septembre 1772.—Ibid.., I, 346, 347.
[345] Le même à la même, 14 novembre 1772.—Ibid., I, 368.
[346] Le même à la même, 20 avril 1773.—Ibid., I, 440.
[347] Le gouvernement de la Normandie aux XVIIe et XVIIIe siècles.—Documents inédits tirés des archives du château d'Harcourt, publiés par C. Hippeau, IV, 87.
[348] Pichler à Mercy, 4 décembre 1771; note de la dépêche de Mercy du 29 février 1772.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 283.
[349] Mercy à Marie-Thérèse, 19 décembre 1771.—Ibid., I, 250.
[350] Ibid.
[351] Mercy à Marie-Thérèse, 19 décembre 1771.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 256.
[352] Ibid., I, 252.
[353] Mercy à Marie-Thérèse, 28 janvier 1772.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 264.
[354] Marie-Antoinette à Marie-Thérèse, 21 janvier 1772.—Ibid., I, 261.
[355] Marie-Thérèse à Marie-Antoinette, 13 février 1772.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 272.
[356] «Je ne comprends pas la politique qui permet qu'en cas que deux se servent de leur supériorité pour opprimer un innocent, le troisième peut et doit, à titre de pure précaution pour l'avenir, et de convénience (sic) pour le présent, imiter et faire la même injustice, ce qui me paraît insoutenable. Un prince n'a d'autres droits que tout autre particulier, la grandeur et le soutien de son état n'entrera pas en ligne de compte, quand nous devrons tous comparaître à les rendre.» Opinion de S. M. l'Impératrice Reine, sur le parti à prendre en conséquence de la note du baron Van Swieten, du 5 février 1772.—Correspondance secrète du comte de Mercy. Introduction, XXVIII. Pourquoi Marie-Thérèse ne persévéra-t-elle pas jusqu'au bout dans ces nobles et religieux sentiments et céda-t-elle aux suggestions de son fils Joseph, qui fut en cette circonstance et en bien d'autres son mauvais génie?
[357] Voir Correspondance secrète de Louis XV, publiée par M. Boutaric. Introduction, I, 163 et suiv,. et II, 486. Mémoire du comte de Broglie aux comtes du Muy et de Vergennes.
[358] Marie-Thérèse à Ferdinand, 17 septembre 1772.—Lettres de Marie-Thérèse à ses enfants et à ses amis, I, 151.—Tout ce passage sur «ce malheureux partage de la Pologne, qui me coûte dix ans de ma vie», est très curieux et peint bien l'état d'âme tourmenté de l'Impératrice.
[359] Seconde note de l'Impératrice.—Correspondance secrète du comte de Mercy. Introduction, I, XXIX et Marie-Thérèse à Mercy, 2 août 1773.—Ibid., II, 15.
[360] Marie-Thérèse à Mercy, 18 mars 1772.—Ibid., I, 289, 290.
[361] Marie-Thérèse à Mercy, 2 juillet 1772.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 321.
[362] Mercy à Marie-Thérèse, 17 février 1773.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 414.
[363] Le même à la même, 16 juillet 1773.—Ibid., I, 399.
[364] Mercy avait plus d'une fois soupçonné Mesdames d'avoir sous mains «de petits ménagements pour Mme du Barry et de vouloir toujours mettre Mme la Dauphine à la brèche et la faire servir d'instrument à manifester une haine qu'on n'osait faire paraître soi-même». Mercy à Marie-Thérèse, 24 juillet 1771.—Correspondance, secrète du comte de Mercy, I, 192. En 1773 le rapprochement était tout à fait opéré.
[365] Mercy à Marie-Thérèse, 17 juillet 1773.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 5.
[366] Le même à la même, 14 août 1773.—Ibid., II, 27.
[367] Le même à la même, 17 octobre 1773.—Ibid., I, 56.
[368] Marie-Antoinette à Marie-Thérèse, 14 septembre 1773.—Ibid., II, 37.
[369] Mercy à Marie-Thérèse, 17 octobre 1773.—Ibid., II, 56.
[370] Le même à la même, 15 octobre 1771.—Ibid., I, 226.
[371] Le même à la même, 14 août 1772.—Ibid., I, 336.
[372] Le même à la même, 18 mai 1773.—Ibid., I, 452.
[373] Voir sur l'abbé Maudoux une très intéressante brochure faite d'après les papiers de l'abbé conservés au Grand séminaire de Saint-Sulpice à Paris: L'abbé Maudoux, confesseur de Louis XV, notice par Ant. de Lantenay, membre correspondant des Académies de Metz et de Dijon, Paris, Jules Vic, 1881.
[374] Mercy à Marie-Thérèse, 19 février 1774.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 111.
[375] Le même à la même, 12 novembre 1773, 18 décembre 1773,—Ibid., II, 68, 80.
[376] Le même à la même, 16 septembre 1773.—Ibid., II, 42.
[377] Le même à la même, 19 janvier 1774.—Ibid., II, 95.
[378] Le même à la même, 19 avril 1774.—Ibid., II, 129.
[379] Réflexions sur la Révolution de France, par Burke, traduit de l'anglais sur la 8e édition par Laurent fils; Londres, 1er novembre 1790, page 157.
[380] Mémoires historiques et militaires du Maréchal de Noailles, VI, 317.
[381] Mémoires du prince de Montbarrey, I, 376.
[382] Essais historiques sur la vie de Marie-Antoinette d'Autriche, 1re partie, p. 12.
[383] Mercy à Marie-Thérèse, 17 décembre 1770.—Corresp. secrète du comte de Mercy, I, 108.
[384] Mercy à Marie-Thérèse, 22 juin 1771.—Corresp. secrète du comte de Mercy, I, 176.
[385] Archives de la guerre.—La vie militaire sous l'ancien régime, par A. Babeau. Paris, Didot, 1889.
[386] Mercy à Marie-Thérèse, 2 septembre 1771.—Corresp. secrète du comte de Mercy, I, 206.
[387] Mercy à Marie-Thérèse, 17 décembre 1770.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 107.
[388] Le même à la même, 22 mai 1771.—Ibid., II, 163.
[389] Mémoires de Mme Campan, p. 75.
[390] Mercy à Marie-Thérèse, 2 septembre 1771.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 212.
[391] Mercy à Marie-Thérèse, 16 septembre 1772.—Corresp. secrète du comte de Mercy, I, 345.
[392] Voir la Gazette de France, 22 octobre 1773, no 85, p. 785.
[393] Mercy à Marie-Thérèse, 12 novembre 1773.—Ibid., II, 64.
[394] Ibid., 68.
[395] Ibid., 64.
[396] Mercy à Marie-Thérèse, 12 novembre 1773.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 64, note.
[397] Il s'est trouvé cependant des écrivains de l'école révolutionnaire pour accuser Marie-Antoinette de n'avoir pas eu de cœur!
[398] Marie-Antoinette à Marie-Thérèse, 13 janvier 1773.—Mercy à Marie-Thérèse, 17 février 1773.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 397, 416.
[399] Mercy à Marie-Thérèse, 17 février 1771.—Ibid., I, 416.
[400] Marie-Antoinette à Marie-Thérèse, 13 janvier 1773.—Ibid., I, 397.