Histoire de Marie-Antoinette, Volume 1 (of 2)
[799] Le même à la même, 18 septembre 1775.—Ibid., II, 381.
[800] Ibid., 381.
[801] Voir notamment, après bien d'autres, le rapport du 15 juin 1776.—Ibid., II, 454. En cette même année 1776, la Reine refusa d'aller au spectacle, même pour une première représentation, dont elle était très friande, avant d'avoir fait son jubilé.—Mémoires secrets pour servir à l'histoire de la République des lettres, 9 juin 1776, IX, 86.
[802] Mercy à Marie-Thérèse, 11 septembre 1774.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 232.
[803] Le même à la même, 18 septembre 1775.—Ibid., II, 381.
[804] Le même à la même, 16 avril 1771.—Ibid., I, 135.
[805] Mercy à Marie-Thérèse, 16 avril 1771.—Correspondance secrète du comte de Mercy. Introduction, I.
[806] Mémoires du prince de Ligne. Edition Didot, p. 27.
[807] Lettre inédite du baron d'Aubier au baron de Breteuil, bienveillamment communiquée par le savant directeur de la Revue de la Révolution, M. Gustave Bord.
[808] Le comte de Goltz à Frédéric II, 23 octobre 1777.—Bancroft, III, 113.
[809] Souvenirs et mélanges, par M. le comte d'Haussonville, de l'Académie française. Paris, Calmann Lévy, 1878, un vol. in-8, p. 19-21.
[810] Mercy à Marie-Thérèse, 16 avril 1777.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 42.
[811] Le même à la même, 17 mars 1771.—Ibid., I, 140.—Correspondance du comte de Mirabeau et du comte de la Marck, I, 30 et 31.
[812] Souvenirs de Mme Vigée le Brun.
[813] Le prince de Lamballe était mort au bout d'un an de mariage, épuisé par ses excès.
[814] Correspondance du comte de Mirabeau et du comte de la Marck, I, 31.
[815] Mémoires de Mme Campan, 118.
[816] Correspondance du comte de Mirabeau et du comte de la Marck, I, 31.
[817] Mémoires de la baronne d'Oberkirck, I, 280.
[818] Mercy à Marie-Thérèse, 9 juin 1774.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 161.
[819] Le même à la même, 28 septembre 1774.—Ibid., II, 238.
[820] Le même à la même, 15 janvier 1775.—Ibid., II, 281.
[821] Elle prêta serment le 18 septembre 1775.—Mémoires secrets pour servir à l'histoire de la République des lettres, 20 septembre 1775, VIII, 209. La princesse de Chimay devint alors dame d'honneur, la comtesse de Mailly, dame d'atours.
[822] Mercy à Marie-Thérèse, 17 juillet 1775.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 259.
[823] Il est curieux que, dès l'avènement de Marie-Antoinette, le bruit courait à Paris que Mme de Lamballe serait nommée surintendante. Voici ce qu'on lit dans l'abbé Baudeau à la date du 28 juin 1774 (Revue rétrospective, 3e série, tome III): «Il (Richelieu) aura pour successeur (à Bordeaux) Monseigneur le comte de Noailles. Madame sa pédante épouse se retire parce que Mme de Lamballe va être surintendante de la Maison de la Reine.»
[824] Marie-Antoinette au comte de Rosemberg, 13 juillet 1775.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 363.
[825] Mercy à Marie-Thérèse, 19 octobre 1775, 15 novembre 1775.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 387, 399. Mercy fait remarquer à cette occasion que le crédit de la Reine était alors tout-puissant à la Cour et que tout le monde s'inclinait devant ses désirs.
[826] Mercy à Marie-Thérèse, 28 février 1776.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 427.
[827] Le même à la même, 16 mai 1776, 15 juin 1776.—Ibid., II, 445, 456.
[828] Mercy à Marie-Thérèse, 16 août 1775.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 367.
[829] Mémoires du baron de Besenval.
[830] Il y eut cependant un retour momentané de faveur en 1780.—Mercy à Marie-Thérèse 15 et 18 février 1780.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 400, 401.
[831] Le même à la même, 19 octobre 1775.—Ibid., II, 390.
[832] Le même à la même, 28 février 1776.—Ibid., II, 427.
[833] Mercy à Marie-Thérèse, 28 février 1776.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 427.
[834] Le même à la même, 19 octobre 1775.—Ibid., II, 520.
[835] Le même à la même, 15 juin 1776, 15 juillet 1780.—Ibid., II, 456, III, 446.
[836] Mémoires de la baronne d'Oberkirck, I, 284.
[837] Souvenirs et portraits, par le duc de Lévis, 132.
[838] Mme Campan dit: bruns.—Mémoires, p. 124.—Mais la comtesse Diane de Polignac dit positivement: bleus.—Mémoires sur la vie de la duchesse de Polignac. Hambourg, 1796.
[839] Ibid., p. 1.
[840] Mémoires de la baronne d'Oberkirck, I, 284.
[841] Mémoires de Mme Campan, 124.—Mémoires sur la vie de la duchesse de Polignac.
[842] Correspondance du comte de Mirabeau et du comte de la Marck, I, 32.
[843] Souvenirs et portraits, par le duc de Lévis, 132.
[844] Mémoires sur la vie de la duchesse de Polignac, p. 8.
[845] Mémoires de Mme Campan, 123.
[846] Correspondance du comte de Mirabeau et du comte de la Marck, I, 37.
[847] Rapport du contrôleur général d'Ormesson. Archives nationales, O', 268.—Annuaire-bulletin de la Société de l'histoire de France, année 1876, p. 166.
[848] Mercy à Marie-Thérèse, 17 janvier 1780.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 391.
[849] Le même à la même, 28 mars 1780.—Ibid., III, 412.
[850] Le même à la même, 17 juin 1779.—Ibid., III, 321.
[851] Mercy à Marie-Thérèse, 17 novembre 1779.—Corresp. secrète du comte de Mercy, III, 381.
[852] Lettre du duc de Polignac à M. de Calonne, 14 mars 1791.—Mémoire de M. de Calonne, ministre d'État, contre le décret rendu le 14 février 1791 par l'Assemblée se disant nationale. Venise, 1791, p. 49.
[853] Cette pension de 80.000 livres n'était en réalité qu'une augmentation de 48.000: elle faisait cesser deux autres pensions s'élevant ensemble à 32.000 livres.—Pensions et dons aux Polignac, rapport d'Ormesson, 28 septembre 1783.—Archives nationales, O', 268.—Annuaire-bulletin de la Société de l'histoire de France, année 1876, p. 166.
[854] Lettre du duc de Polignac à M. de Calonne, op. citato, p. 52.
[855] Mercy à Marie-Thérèse, 17 décembre 1775, 19 janvier 1776.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 409, 419.—Le vicomte de Polignac ne fut nommé qu'en 1777.
[856] Mercy à Marie-Thérèse, 17 juin 1779.—Corresp. secrète du comte de Mercy, III, 321.
[857] La Reine ne voulait donner aux Polignac que 200.000 livres pour payer leurs dettes et 25.000 livres de rente pour la dot de leur fille. Ce fut Maurepas qui, faisant valoir un prétendu désir de la Reine, obtint du Roi les sommes indiquées plus haut.—Mercy à Marie-Thérèse, 17 janvier 1780.—Ibid., III, 391.
[858] Le même à la même, 17 décembre 1779.—Ibid., III, 382.—Une tante des Polignac, la comtesse d'Andlau, jadis renvoyée de la Cour pour avoir prêté des mauvais livres à Mme Adélaïde, reçut de même une pension de 6000 livres.—Mercy à Marie-Thérèse, 19 octobre 1775.—Ibid., II, 391.—Mercy écrivait plus tard: «Il n'y a pas d'exemple d'une faveur qui, en si peu de temps, soit devenue si utile à une famille.»—Mercy à Marie-Thérèse, 14 octobre 1780.—Ibid., III, 475.
[859] Mercy à Marie-Thérèse, 17 décembre 1776.—Corresp. secrète du comte de Mercy, II, 494.
[860] Le même à la même, 19 octobre 1778.—Ibid., III, 260.
[861] La marquise de Bombelles au marquis de Bombelles, 7 janvier 1778.—Archives de Versailles, E. 430.
[862] Correspondance du comte de Mirabeau et du comte de la Marck, I, 37.
[863] Mercy à Marie-Thérèse, 18 mars 1780, 17 avril 1780.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 412, 426.
[864] La galerie de tableaux du comte de Vaudreuil était renommée.—Mémoires secrets pour servir à l'histoire de la République des lettres, 15 décembre 1784, XXVII, 71. Après la prise de la Bastille, le comte de Vaudreuil partit pour l'étranger où il rejoignit les Polignac. Sa correspondance pendant l'émigration vient d'être publiée par M. Pingaud.
[865] Souvenirs de Félicie, cités dans les Mémoires de Mme Campan, 127.
[866] Mémoires de Mme Campan, 206.
[867] M. de Vaudreuil possédait des propriétés aux colonies. Privé de leur jouissance pendant la guerre d'Amérique, il se fit donner comme dédommagement par le Roi une pension de 30.000 livres et par le comte d'Artois un domaine d'égale valeur. La révolution de Saint-Domingue lui fit perdre toute sa fortune.—Mercy à Marie-Thérèse, 16 octobre 1779, 18 mars 1780.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 362, 412.
[868] Correspondance du comte de Mirabeau et du comte de la Marck, I, 35.
[869] Mercy à Marie-Thérèse, 3 novembre 1777.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 127.
[870] Le même à la même, 16 octobre 1779.—Ibid., III, 363.
[871] Mercy à Marie-Thérèse, 18 novembre 1780.—Corresp. secrète du comte de Mercy, III, 468.
[872] Mémoires secrets pour servir à l'histoire de la République des lettres, 17 février 1783, XXII, 102.
[873] Dépêche du comte de Creutz, citée en note dans la Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 389.
[874] Marie-Thérèse à Mercy, 5 octobre 1775.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 383.
[875] Mémoires de Mme Campan, 151.
[876] Mercy à Marie-Thérèse, 15 novembre 1775.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 396.
[877] Mercy à Marie-Thérèse, 17 décembre 1775, 19 janvier 1776, 13 avril 1776.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 407, 431, 436. On trouve un retour de faveur très momentané pour Besenval lorsque la Reine eut la rougeole à Trianon, en 1779.—Ibid., 10, 15 avril 1779, III, 404, 406, et lors du duel du comte d'Artois et du duc de Bourbon, en 1778. Encore doit-on se défier du récit de Besenval.—Mémoires du baron de Besenval, 243 et suiv.—Mme Campan donne de la disgrâce de Besenval une autre explication; suivant elle, Besenval aurait osé faire une déclaration d'amour à la Reine, et la Reine aurait laissé tomber sur la tête de l'audacieux, à genoux devant elle, ces paroles sévères: «Levez-vous, Monsieur, le Roi ignorera toujours un tort qui vous ferait disgracier pour toujours.» Comme le fait justement remarquer M. Flammermont—Bulletin mensuel de la Faculté des lettres de Poitiers, mars 1886—si Besenval avait eu cette impudence, Marie-Antoinette ne l'eût pas appelé près d'elle lors de sa rougeole à Trianon. Le récit de Mercy explique suffisamment le mécontentement de la Reine et la disgrâce du vieux courtisan.
[878] Mercy à Marie-Thérèse, 17 juillet 1778, 17 août 1778.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 222, 237.
[879] Mercy à Marie-Thérèse, 17 novembre 1779.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 369.
[880] Marie-Antoinette à Marie-Thérèse, 17 décembre 1774.—Ibid., II, 269.
[881] Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, IV, 18 (note).
[882] Mercy à Marie-Thérèse, 15 juillet 1777.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 94.
[883] Le même à la même, 17 août 1776.—Ibid., II, 479, 480.
[884] Souvenirs et portraits, par le duc de Lévis, 164, 165.
[885] Portefeuille d'un talon rouge, 23.
[886] Mercy à Marie-Thérèse, 15 novembre 1775.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 398.
[887] Mémoires du comte de Tilly, 262.—On sait quelle passion elle inspira jusqu'à sa mort au comte d'Artois.
[888] On avait prétendu que la comtesse de Châlons avait attiré les regards du Roi; le fait était faux.—Mercy à Marie-Thérèse, 14 juillet 1779.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 329.
[889] Correspondance littéraire de Grimm.
[890] Mercy à Marie-Thérèse, 18 mars 1777.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 32.—Les dettes de Lauzun durèrent longtemps. On peut lire dans la très intéressante publication de M. G. Pallain sur la Mission de Talleyrand à Londres—Plon, 1889—le curieux récit de la piquante mésaventure qu'elles lui valurent lorsqu'il accompagna l'évêque d'Autun en Angleterre en 1792.
[891] Mercy à Marie-Thérèse, 18 décembre 1776.—Corresp. secrète du comte de Mercy, II, 539, 540.
[892] Mémoires de Mme Campan, 139, 140.
[893] Mercy à Marie-Thérèse, 4 janvier 1776, 30 juin 1776.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 413, 461.
[894] Le même à la même, 13 avril 1776.—Ibid., II, 437.
[895] La marquise de Bombelles au marquis de Bombelles, 11 novembre 1778.—Archives de Versailles, E. 430.—Le marquis de Bombelles à la marquise de Bombelles, 8 et 22 novembre 1778.—Archives de Versailles, E. 423.
[896] Mercy à Marie-Thérèse, 15 juin 1776.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 456.
[897] Marie-Antoinette à Gustave III, 3 novembre 1780.—Gustave III et la Cour de France, I, 349, 350.
[898] Gustave III à Stedingk, 10 décembre 1781.—Ibid., 353.
[899] Stedingk à Gustave III.—Gustave III et la Cour de France, I, 356.
[900] On peut voir un beau portrait de Fersen, à 20 ans, en tête du 1er volume de la curieuse publication de M. de Klinckowstrom.—Le comte de Fersen et la Cour de France.
[901] Souvenirs et portraits, par le duc de Lévis, 130.—Le duc de Lévis est en général peu bienveillant pour Fersen.
[902] «Mme de Korff me mande que vous êtes parfait pour elle et que vous avez une âme brûlante sous une écorce de glace; je le pense comme elle.»—Lettre du 18 juin 1791, saisie chez M. de Fersen, après la fuite de Varennes.—La fuite de Louis XVI à Varennes, par Eug. Bimbenet.—Pièces justificatives, cotée 5, p. 140.
[903] Le comte de Creutz à Gustave III, 29 mai 1774.—Gustave III et la Cour de France, I, 350.
[904] Fersen à son père, 10 et 30 janvier 1774.—Le comte de Fersen et la Cour de France, Introduction, tome Ier, p. XV-XIX.
[905] Fersen à son père, 19 novembre 1778.—Le comte de Fersen et la Cour de France, Introduction, XXXIII.
On a même ajouté qu'en chantant au piano l'air de Didon:
la Reine avait jeté les regards sur Fersen sans pouvoir dissimuler son trouble.
M. Geffroy, qui raconte cette anecdote,—Gustave III et la Cour de France, I, 360,—a commis là une erreur, bien rare chez un critique aussi distingué et aussi scrupuleux. L'opéra de Didon a été représenté pour la première fois le 16 octobre 1783, cinq ans après l'époque où l'on place cette anecdote.—Voir G. Desjardins, Le Petit Trianon, Versailles, Bernard, 1885, p. 125.
[906] Fersen à son père, 26 août 1778.—Le comte de Fersen et la Cour de France, Introduction, XXXII.
[907] Fersen à son père, 19 novembre 1778.—Ibid., Introduction, XXXIII.
[908] «Il est difficile en voyant cette princesse,—la Dauphine,—de se refuser à un respect mêlé de tendresse.»—Mémoires secrets pour servir à l'histoire de la République des lettres.
[909] On lit dans une lettre du 14 juin 1791, saisie chez Fersen après le départ pour Varennes, cette phrase significative: «Le lord Dorcet est venu me voir. Il m'a parlé de la personne à laquelle vous êtes attaché,—la Reine,—avec attachement et respect... Il m'a assuré... que vous n'aviez aucun pouvoir sur elle, mais que vous ne vous occupiez que de vos intérêts et de votre régiment.» Fuite de Louis XVI à Varennes, par Eug. Bimbenet.—Pièces justificatives, p. 131.
[910] Le comte de Creutz à Gustave III, 10 avril 1779.—Gustave III et la Cour de France, I, 360, 361.—«Son départ,—de Fersen,—dit M. Geffroy, fit taire les bruits injurieux; il fallait bien qu'ils n'eussent guère de consistance.» Ibid., I, 362.
[911] M de Klinckowstrom apporte une nouvelle preuve de la parfaite innocence des relations de Marie-Antoinette et de Fersen: au moment où on les disait si épris l'un de l'autre, Fersen négociait un projet de mariage avec une jeune et noble suédoise, Mme de Leizel.—Le comte de Fersen et la Cour de France, Introduction, XXXVI.—Nous ajouterons nous-même un argument qui nous paraît décisif: nous avons, pendant tout le temps du séjour de Fersen en France, les rapports si consciencieux et si minutieux du comte de Mercy, or, dans aucun de ces rapports, l'ambassadeur ne fait même allusion à ces prétendus soupirs de la Reine pour le jeune Suédois.
[912] Correspondance du comte de Mirabeau et du comte de la Marck, I, 14.
[913] La marquise de Bombelles au marquis de Bombelles, 18 décembre 1781.—Archives de Versailles.
[914] Mercy à Marie-Thérèse, 15 novembre 1776.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 521.
[915] Ibid., II, 520.
[916] Mercy à Marie-Thérèse, 15 novembre 1775.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 520.
[917] Le même à la même, 12 septembre 1777.—Ibid., III, 115.
[918] Il y eut bien quelques retours de faveur, comme en 1776, lorsque Mme de Lamballe fut malade de la rougeole à Plombières; et l'année suivante, lorsqu'elle revint de cette ville où les médecins l'avaient renvoyée une seconde fois.—Mercy à Marie-Thérèse, 16 juillet 1776, 12 septembre 1777.—Ibid., II, 466, III, 115.—Mais ces retours duraient peu et devenaient de plus en plus rares. Il faut signaler néanmoins encore de vives marques d'affection données par la Reine à la surintendante lors de la mort de son père et de son frère.—Madame de Lamballe, d'après des documents inédits, par Georges Bertin, 94, 173.
[919] Mercy à Marie-Thérèse, 18 décembre 1776.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 537, 538.
[920] Le même à la même, 18 février 1778.—Ibid., III, 165.
[921] Le même à la même, 17 juillet 1778.—Ibid., III, 223.
[922] Le même à la même, 16 octobre 1779.—Ibid., III, 360.
[923] Mercy à Marie-Thérèse, 14 octobre 1780.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 495.—«La princesse de Lamballe paraît avoir extrêmement perdu les bonnes grâces de la Reine,» écrivait, le 8 septembre 1780, M. de Kageneck.—Lettres de M. de Kageneck au baron Alströmer, 180.
[924] Mercy à Marie-Thérèse, 17 juin 1779.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 321.
[925] Introduction des Mémoires de Lauzun, p. 7. Voir, sur les divers appartements occupés par les Polignac, la très savante étude de M. Pierre de Nolhac sur Le château de Versailles au temps de Marie-Antoinette. Versailles, Aubert. 1889.
[926] Mercy à Marie-Thérèse, 25 janvier 1779.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 290.
[927] Le même à la même, 15 novembre 1776.—Ibid., II, 526.
[928] Le même à la même, 15 juin 1776.—Ibid., II, 456.
[929] Le même à la même, 17 décembre 1779.—Ibid., III, 379.
[930] Le même à la même, 17 mai 1780.—Ibid., III, 427.—On allait en effet à la Muette; aux premiers symptômes de l'accouchement, la Reine accourait chez son amie, et, après ses couches, allait la voir tous les jours.—Mémoires pour servir à l'histoire de la République des lettres, 10 mai, 21 mai 1780, XV, 170, 183.
[931] Mercy à Marie-Thérèse, 17 janvier 1780.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 390.
[932] Le même à la même, 14 octobre 1780.—Ibid., III, 475.—Suivant M. de Kageneck, ces grâces auraient été le prix d'un raccommodement entre la Reine et son amie.—Lettres de M. de Kageneck au Baron Alströmer, 188.—Mercy, toujours bien informé, ne parle pas de cette brouille passagère.
[933] Lettre inédite du baron d'Aubier au baron de Breteuil, communiquée par M. G. Bord.
[934] Mercy à Marie-Thérèse, 18 juillet 1772.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 324.
[935] Le même à la même, 17 décembre 1776.—Ibid., II, 497.
[936] Mercy à Marie-Thérèse, 13 avril 1776.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 435.
[937] Vermond à Mercy, 1776.—Maria-Theresia und Marie-Antoinette, 395.
[938] Mercy à Marie-Thérèse, 18 décembre 1774.—Marie-Antoinette à Marie-Thérèse, 12 août 1775.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 274, 366.
[939] Mercy à Marie-Thérèse, 17 décembre 1775.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 409.
[940] Le même à la même, 18 mars 1775.—Ibid., II, 310.
[941] Voir sur cet amour de Marie-Antoinette pour les enfants les rapports de Mercy des 20 août 1770, 22 juin 1771, 17 août 1776.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 36, 176, II, 477. «Elle a toujours aimé beaucoup à s'entretenir avec des enfants,» écrivait Marie-Thérèse le 1er septembre 1770.—Ibid., I, 46.—Voir aussi Mémoires de Mme Campan, 109 et suiv.
[942] Chronique secrète de l'abbé Baudeau.—Revue rétrospective, 1re série, tome III, p. 66.
[943] Mercy à Marie-Thérèse, 7 juin 1774.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 162.
[944] Lettre de Linné à Claude Richard, citée par M. Le Roy.—Histoire de Versailles, II, 235.—Voir, sur les Richard, Le Petit Trianon, par Desjardins, 10 et suiv.
[945] Voir le récit de cette visite dans la Correspondance de Mme du Deffand, publiée par M. de Saint-Aulaire, II, 319, 320: «La Reine, dit la marquise, combla le père, la mère, et les enfants de toutes les marques de bonté et de toutes les grâces imaginables. Elle y resta une heure et demie, y fit la collation et charma tout le monde.»
[946] Le Roy, Histoire de Versailles, II, 288.—Un premier plan avait été demandé à Richard et n'avait point été accepté, il est encore conservé aux Archives, O' 1879.—Le Petit Trianon, 63 et suiv. Les travaux marchèrent lentement au début, faute d'argent.—Ibid., 69 et suiv.
[947] Le Petit Trianon, 314.
[948] Voyages d'Arthur Young en France.
[949] Mémoires secrets pour servir à l'histoire de la République des lettres, 17 août 1779. XIV, 174.
[950] La Reine aimait beaucoup les jacinthes. On trouve dans le compte général de Mique un mémoire de 1554 livres pour jacinthes de Hollande.—Le Petit Trianon, pièces justificatives, 407.—On comptait cent variétés de jacinthes à Trianon.—Ibid., 240.
[951] Mercy à Marie-Thérèse, 31 juillet 1774.—Correspondance secrète du comte de Mercy., II, 209.—«Le 26 juillet, l'architecte Gabriel dressa un plan pour l'agrandissement du jardin botanique dont la suppression fut décidée.» Archives nationales O', 1876-1877, 1880, cité dans Le Petit-Trianon, 61.
[952] De Lescure, Les Palais de Trianon, p. 107.
[953] Souvenirs d'un page, 242.
[954] Le Russe Karamsine, cité par Lescure, p. 155.
[955] G. Desjardins. Le Petit Trianon, 107 et suiv.—Il y avait eu un premier théâtre provisoire dans la galerie du Grand Trianon en 1775.—Ibid., 73.—Puis une nouvelle salle également provisoire dans l'orangerie, en 1756.
[956] C'était une aimable attention de la Reine, qui, par une allusion du même genre, avait fait placer dans le Temple l'Amour dérobant la massue d'Hercule.—Le Petit Trianon, 109.
[957] Cette salle, suivant M. Desjardins, coûta 141.200 livres 4 sous 8 deniers.—Le Petit Trianon, 107.
[958] Le temple fut bâti en 1778. Il coûta, suivant M. Desjardins, 51.593 livres 7 deniers.—Le Petit Trianon, 106.
[959] Le Petit Trianon, 202.
[960] Le plan de Mique pour le jardin anglais, dressé le 26 février 1777, comprenait un bien plus grand nombre de bâtiments et de fabriques. La Reine eut le bon goût d'en écarter plusieurs, comme le cabinet de treillage, le salon hydraulique et le temple en ruines.—Le Petit Trianon, 89-91.
[961] Souvenirs d'un page, 245.—Voir la description du jeu de bagues, dans M. Desjardins.—Le Petit Trianon, 76 et suiv.
[962] Quelques auteurs disent des autruches, mais les mémoires des ouvriers disent des paons.—Ibid., 78.
[963] Il fut achevé seulement en 1781, après avoir donné lieu à cinq modèles différents.—Ibid., 197.
[964] La Reine était dans cette grotte, le 5 octobre 1789, lorsqu'on vint la prévenir que les bandes dirigées par Maillard arrivaient à Versailles.
[965] Il y avait des choux de Milan, choux-fleurs, haricots, etc.—On avait acheté 800 touffes de fraisiers en 1784, avec 100 groseilliers et 100 framboisiers. On avait planté 50 noyers, 40 cerisiers, 200 pommiers, 500 poiriers, 100 pêchers, 200 abricotiers.—Le Petit Trianon, 287.
[966] On avait acheté 300 pieds de vigne vierge.—Ibid.
[967] Mémoires secrets pour servir à l'histoire de la République des lettres, 9 mars 1783, XXII, 149.
[968] Souvenirs d'un page, 248.
[969] Histoire de Marie-Antoinette, par Edmond et Jules de Goncourt, nouvelle édition. Paris, Charpentier, 1878, p. 161. Les peintures exécutées par les peintres Tolède et Dardignac, coûtèrent près de vingt-deux mille livres.—Le Petit Trianon, 246, note.
[970] Le Petit Trianon, 289.—Du 1er juillet 1785 au 1er octobre 1791, le produit de la ferme fut de 30.170 livres, la dépense de 36.523 livres 14 sous 6 deniers.—Ibid., 290.
[971] Le Petit Trianon, 313.
[972] Fragments sur Paris, par Meyer, traduits par Dumouriez. Hambourg, 1778.
[973] Cette fantaisie de la Reine ne lui fut pas personnelle; il y avait aussi un hameau à Chantilly. «Les Princesses s'amusaient à y faire la cuisine, après s'être revêtues de déshabillés de villageoises; elles aimaient aussi à y faire le beurre.» La vie parisienne sous Louis XVI, p. 110.—A Bellevue, Mesdames eurent également un hameau, des fermes, un lac, etc.—Ibid., 100.
[974] Les maisons furent faites pendant l'été 1783.—Le Petit Trianon, 245. Le hameau fut tout à fait achevé en 1788.
[975] Mémoires de Weber, 42.—M. Desjardins, dans son beau volume sur le Petit Trianon, conteste ce fait qu'il traite de légende.—Les raisons qu'il donne, basées surtout sur le silence de Mme Campan et de l'auteur d'un Cicerone de Versailles, publié en 1805, ne nous semblent pas détruire l'affirmation positive de Weber.—Le Petit Trianon, 291 et suiv.
[976] Delille, Les Jardins, chant 1er.
[977] Chronique secrète de l'abbé Baudeau.
[978] Mémoires de Mme Campan, 106
[979] Voyages d'Arthur Young, I, 199, 200.
[980] Karamsine, Lettres d'un voyageur russe en France, en Allemagne et en Suisse (1789-1790), traduites par M de Porochine. Paris, E. Mellier, 1867.—Cité par Lescure, les Palais de Trianon, 155.
[981] Mémoires de la baronne d'Oberkirch, I, 202, 203.
[982] Il paraît qu'en 1787 les murs étaient tapissés d'ouvrages de paille, relevés par des broderies en laine; les planchers étaient également couverts de paillassons imitant la marqueterie.—La vie parisienne sous Louis XVI, 83.
[983] Ces sculptures sont de Guibert.—Le Petit Trianon, par G. Desjardins, 41, note.
[984] Toute cette admirable menuiserie a été exécutée par Guesnon et Chicot.—Le Petit Trianon, par G. Desjardins, 41, note.
[985] Ibid., 191.
[986] Souvenirs d'un page, 241.
[987] «La bibliothèque du Petit Trianon, dit M. Desjardins, est une bibliothèque de campagne, où les sujets amusants dominent. Elle compte 2930 volumes: 1158 de sciences et arts, 1328 de belles lettres, 444 d'histoire. Il y a surtout des romans (536 volumes) et des pièces de théâtre (408 volumes).»—Le Petit Trianon, 136.—On a parlé de scandale à propos de cette bibliothèque et de celle du boudoir de Versailles. «Quel scandale, y a-t-il, dit encore M. Desjardins, à ce qu'une femme de trente ans, peu dévote, très mondaine, feuillette sans grand scrupule pour se distraire les livres à la mode, en prenant la précaution de les faire enfermer à part? Au XVIIIe siècle les allures de la société, le ton de la conversation, et par conséquent de la littérature courante, étaient plus légers, plus libres même que ne le comporte la pruderie moderne. En valait-on moins alors? sommes-nous meilleurs aujourd'hui? Je laisse aux moralistes le soin de décider. On aurait trouvé en ce temps-là dans toutes les bibliothèques des gens du monde, les livres du boudoir.» Le Petit Trianon, 136.
[988] Les dernières ornementations du boudoir et de la chambre à coucher datent de 1787.—La vie parisienne sous Louis XVI, 83.
[989] Marie-Thérèse à Marie-Antoinette, 5 janvier 1778.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III. 152.—Ces deux toiles étaient dans la salle à manger.—Le Petit Trianon, 191.
[990] Souvenirs d'un page, 241.—Le Petit Trianon, 192.
[991] M. Paul Lacroix raconte qu'un jour Gouttière présenta à la Reine une rose de bronze doré si brillante et si admirablement belle qu'on la prit pour de l'or.—Le XVIIIe siècle, p. 472.
[992] Ibid., 496.
[993] Ibid., 471.
[994] Voir, pour plus de détails, l'Inventaire et description des objets curieux qui sont déposés dans la maison des citoyens Laguerre et Lignereux, marchands bijoutiers, rue Saint-Honoré, 85, par les ordres de la ci-devant Reine, le 10 octobre 1780.—Gazette des Beaux-Arts, 1er novembre 1879.
[995] Mercy à Marie-Thérèse, 19 novembre 1777.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 130.
[996] Ibid.
[997] Lettre de novembre 1787.—Gustave III et la Cour de France, par M. Geffroy, I, 407.
[998] «Vous conviendrez que j'aurais assez mauvaise grâce auprès d'une forge: je n'y serais pas Vulcain, et le rôle de Vénus pourrait lui déplaire (au Roi) beaucoup plus que mes goûts, qu'il ne désapprouve pas.»—Marie-Antoinette au comte de Rosemberg, 17 avril 1775.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 361.
[999] Sept pour le jardin français, deux pour le potager et les pépinières, cinquante-six pour le jardin anglais.—Etat des superficies des différentes natures de cultures des jardins français et anglais de la Reine au Petit Trianon.—Le Petit Trianon, documents, 369.
[1000] Catalogue de lettres autographes appartenant au comte George Esterhazy. Paris, 1857.
[1001] Mémoires de Weber, 184.—Mémoires sur la vie et le caractère de Mme la duchesse de Polignac, par la comtesse Diane de Polignac, p. 14.
[1002] Mémoires de Mme Campan, 106.
[1003] Ibid.
[1004] Le Petit Trianon, 273, 319.
[1005] Ibid., 319, 339.
[1006] Souvenirs du comte de Vaublanc, p. 231.
[1007] Correspondance secrète inédite, 5 septembre 1777, I, 93.—Cette fête eut lieu le 8 septembre.
[1008] Mémoires de Besenval.
[1009] Mercy à Marie-Thérèse, 17 mai 1779.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 212.
[1010] Mémoires secrets pour servir à l'histoire de la République des lettres, 12 décembre 1779, XIV, 339.
[1011] Mémoires de Mme Campan, 128.
[1012] Le Petit Trianon, 301.
[1013] La Reine avait fait réunir pour ses enfants une petite troupe de chèvres à Trianon, et tracer un petit jardin par Richard.—Le Petit Trianon, 263. Elle fit peindre à plusieurs reprises, par Mme Lebrun, Madame Royale et le premier Dauphin dans les bosquets de Trianon. Les enfants logeaient dans le château, au 2e étage, sous la garde de Mme de Polignac.—Ibid., 264.
[1014] Mercy à Marie-Thérèse, 15 juillet 1780.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 446.
[1015] Delille, Les Jardins, chant 1er.
[1016] Mercy à Marie-Thérèse, 17 mai 1779.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 313.
[1017] Le même à la même, 18 juin 1780.—Ibid., III, 438.
[1018] Journal de la marquise de Sabran, 1er août 1787, 291.
[1019] Mercy à Marie-Thérèse, 18 juin 1780.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 438.
[1020] Le même à la même, 18 octobre 1776.—Ibid., II, 502.
[1021] Mémoires de Weber, 178.
[1022] Mémoires secrets pour servir à l'histoire de la République des lettres, 26 avril 1775, VIII, 14.
[1023] Métra, XI.
[1024] Mémoires secrets, etc., 22 juillet 1777, X, 237.
[1025] 13 février 1778.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, I, 105.
[1026] Mercy à Marie-Thérèse, 17 mai 1780.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 434.—Mémoires de Mme Campan, 133.
[1027] Mémoires de Weber, 179.
[1028] Discours de M. de Salvandy, en réponse au discours de réception de V. Hugo à l'Académie française.—Méléagre fut représenté le 29 février 1788.—L'auteur, Népomucène Lemercier, fils d'un secrétaire des commandements du duc de Penthièvre, avait alors 15 ans.—Mme de Lamballe, d'après des documents inédits, par Georges Bertin, 186, 187.
[1029] Mémoires de Weber, 178.—Mémoires de Mme Campan, 131.—Journal de Papillon de la Ferté, 401.
[1030] Marie-Thérèse à Mercy, 3 janvier 1774.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 89.
[1031] Mercy à Marie-Thérèse, 20 mars 1778.—Ibid., III, 181.
[1032] Mémoires de Weber, 178.
[1033] Mémoires de Mme Campan, 130, 131.
[1034] Mémoires secrets pour servir à l'histoire de la République des lettres, 28, 29 août, 1775, VII, 178, 179.
[1035] Ibid., 10 décembre 1782, XXI, 113.
[1036] Mémoires de Weber, 177.
[1037] Marie-Antoinette à Marie-Thérèse, 12 juillet 1770.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 19.
[1038] Mercy à Marie-Thérèse, 15 juin 1772.—Ibid., I, 312.
[1039] Ibid.
[1040] Le même à la même, 13 mars 1773.—Ibid., I, 433.
[1041] Le même à la même, 17 novembre 1774.—Ibid., II, 258.
[1042] Ce professeur de harpe se nommait Hinner. La Reine, après lui avoir fait donner 6000 livres pour payer ses dettes, ordonnait encore aux Menus de lui remettre 4800 livres pour «aller se perfectionner dans son art en Italie».—Journal de Papillon de la Ferté, 405, 409.
[1043] La musique française au XVIIIe siècle, Gluck et Piccini, 1774-1780, par Gust. Desnoiresterres. Paris, Didier, 1875, p. 92.
[1044] Mémoires secrets pour servir à l'histoire de la République des lettres, VII, 163.—On sait qu'un an après, ce fut à une représentation d'Iphigénie en Aulide que la Reine reçut du public, à l'Opéra, cet accueil enthousiaste qui fit couler ses larmes.
[1045] Archives nationales: Dépêches 01-416, fol. 556. Lettre du ministère à MM. les administrateurs et directeur de l'Opéra, 2 septembre 1776.
[1046] Armide fut représentée pour la première fois le 23 septembre 1777.
[1047] Mémoires secrets pour servir à l'histoire de la République des lettres, 12 août 1774, VII, 222.—Correspondance secrète de Métra, 7 août 1774.
[1048] Mémoires secrets pour servir à l'histoire de la République des lettres, 2 juillet 1782, XXI, 4.
[1049] Ibid., 9 octobre 1779, XV, 228.
[1050] Mémoires secrets pour servir à l'histoire de la République des lettres, 3 avril 1774.
[1051] Gluck et Piccini, par Desnoiresterres, p. 235.
[1052] Ibid., p. 397.—Piccini touchait encore ce traitement le 4 juillet 1791.
[1053] Pensées et lettres du prince de Ligne, 25.
[1054] Mes récapitulations, par Bouilly, première entrevue avec Grétry, p. 153.—Mme Campan rapporte, au sujet de Grétry, une piquante anecdote. Après son succès de Zémire et Azor, Marie-Antoinette le félicita avec tant de bonne grâce, que le compositeur saisit le bras de son collaborateur Marmontel, en s'écriant: «Ah! mon ami, voilà de quoi faire d'excellente musique!»—«Et de détestables paroles,» riposta Marmontel, à qui la Reine n'avait rien dit.—Mémoires de Mme Campan, 132.
[1055] La Cour et l'Opéra sous Louis XVI; Marie-Antoinette et Sacchini, Salieri, Favart et Gluck, d'après des documents inédits conservés aux Archives de l'État et de l'Opéra, par Adolphe Jullien. Paris, Didot, 1877, p. 56.
[1056] Ibid., 74.
[1057] La Cour et l'Opéra sous Louis XVI, par A. Jullien, p. 178.
[1058] A. Jullien, Marie-Antoinette musicienne. Correspondant du 10 novembre 1887, p. 435.
[1059] Journal de Papillon de la Ferté, 417.
[1060] Mémoires secrets pour servir à l'histoire de la République des lettres, 13 janvier 1783, XXII, 33.
[1061] Correspondance secrète de Métra, 5 février 1784.
[1062] Mémoires secrets pour servir à l'histoire de la République des lettres, 5 juin 1778.
[1063] Mémoires de Mme Campan, 135.
[1064] Ibid.
[1065] Mémoires secrets pour servir à l'histoire de la République des lettres, 12 octobre 1777, X, 322.
[1066] Ibid., 27 septembre 1779, XIV.—De même, à la représentation de Makoco.—Ibid., 26 avril 1778, XI, 134.
[1067] La comédie à la Cour de Louis XVI, par A. Jullien, p. 11.—Voir aussi les détails donnés par M. Ph. Le Duc, dans son Histoire de la Révolution dans l'Ain, sur le théâtre du comte de Montrevel à Challes et à Mâcon, t. I, p. 348, 354.
[1068] Collé, La Vérité dans le vin, avertissement. Edition Barrière, 390, 391.
[1069] La marquise de Bombelles au marquis de Bombelles, 3 décembre 1781. Archives de Versailles, E, 432. Le prince de Condé faisait Francollin, dans la Métromanie.
[1070] Ibid., 9 novembre 1778. Archives de Versailles, E, 430.—Mme Elisabeth, toute jeune encore, avait figuré dans une petite pièce composée probablement à la demande de Mme de Marsan pour l'amusement et l'instruction de Mme Clotilde, et intitulée: la Reine des Vertus.—Nous en avons parlé plus haut.
[1071] Mercy à Marie-Thérèse, 16 août 1780.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 486.
[1072] Mémoires de Mme Campan, p. 174.
[1073] Mercy à Marie-Thérèse, 16 août 1780.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 456.
[1074] Mémoires de Mme Campan, 175.
[1075] Mémoires secrets pour servir à l'histoire de la République des lettres, 20 novembre 1780, XVI, 32.
[1076] Correspondance littéraire de Grimm, XII, 427.
[1077] Mercy à Marie-Thérèse, 16 août 1780.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 456.—La Reine tenait beaucoup à ce qu'il n'y eût pas d'autres spectateurs que ces quelques invités. «La Reine, écrit Bonnefoy à Mique, défendant très expressément que qui que ce soit, entre mardi prochain à son spectacle, S. M. m'ordonne d'assurer l'exécution de ses volontés en faisant mettre des cadenas à toutes les portes quelconques, autre que celle de la conciergerie.» 31 juillet 1780.—Archives nationales, O', 1883.—Cité par M. Desjardins, Le Petit Trianon, 156, 157; note.
[1078] Mercy à Marie-Thérèse, 17 août 1780.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 456.
[1079] Le même à la même, 16 septembre 1780.—Ibid., III, 463.
[1080] Ibid.
[1081] Mercy à Marie-Thérèse, 14 octobre 1780.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 478.
[1082] Mémoires de Mme Campan, 174.
[1083] Mercy à Marie-Thérèse, 14 octobre 1780.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 478.
[1084] Mémoires secrets pour servir à l'histoire de la République des lettres, 20 septembre 1780.
[1085] Ibid., 5 octobre 1780, XVI, 16.
[1086] Ces anecdotes, insérées dans Bachaumont, ne peuvent évidemment, par la date même qu'elles portent, s'appliquer qu'aux représentations des 1er et 19 septembre. Or, les rapports si exacts de Mercy, qui assistait lui-même au dernier de ces spectacles et qui disait à Marie-Thérèse toute la vérité, n'en font aucune mention. Ils constatent au contraire l'empressement du Roi pour ce genre de divertissement et la fidélité de la Reine, à cette époque, à n'admettre que les princes et princesses de la famille royale.
[1087] Catalogue d'autographes du comte George Esterhazy.
[1088] Mercy à Marie-Thérèse, 16 septembre 1780.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 465.
[1089] Mémoires secrets pour servir à l'histoire de la République des lettres, 3 novembre 1780, XVI, 48.—Comment concilier cette anecdote, qui ne peut se rapporter qu'à la représentation du 19 septembre, avec l'opinion de Mercy qui y assistait et qui s'y connaissait en fait de théâtre?
[1090] Tableaux de genre et d'histoire, morceaux inédits, recueillis par Barrière, p. 257.
[1091] Voir sur toute cette question le livre si intéressant de M. de Lescure: Les Palais de Trianon. Paris, Plon, 1867.—Voir surtout M. G. Desjardins: Le Petit Trianon. Le compte total dressé par Mique, et arrêté le 31 août 1791, s'élève à 1.649,529 livres 13 sous 2 deniers, et comprend même quelques dépenses pour des fêtes et des représentations théâtrales. En y ajoutant encore quelques comptes liquidés pour des artistes et des entrepreneurs, M. Desjardins estime que le total ne dépasse certainement pas, en quinze ans, deux millions.—Le Petit Trianon, 351.—Le compte de Mique, aujourd'hui conservé aux Archives, O', 1886, est reproduit aux pièces justificatives, 405, 407.
[1092] Mercy à Marie-Thérèse, 17 septembre 1776.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 495.
[1093] Archives nationales, 01,267.211.—Annuaire-bulletin de la Société de l'Histoire de France, année 1879, p. 156.—Sous ce titre Jardin de Trianon, M. d'Angivillier comprend non seulement le parc proprement dit, mais les nombreuses fabriques qui s'élèvent dans le parc, c'est-à-dire, à cette époque, au moins le pavillon chinois, le belvédère, le théâtre, etc.
[1094] Jardin de Trianon, état des superficies des différentes natures de culture des jardins français et anglais de la Reine au Petit Trianon, pour servir à fixer l'entretien desdits jardins.—Archives nationales, O', 1886.—Reproduit dans le Petit Trianon par G. Desjardins. Pièces justificatives, 369-372.—Les ouvriers étaient payés 28 sous par jour.
[1095] Le Petit Trianon, 224, note.
[1096] Ibid., 199.
[1097] Voir le beau livre de M. A. Jullien: La comédie à la Cour.
[1098] Papillon de la Ferté remarque qu'après avoir fait le relevé de toutes les dépenses des fêtes de la Cour pendant seize ans, il a constaté que «les spectacles, tant de Versailles que de Fontainebleau, ont coûté, année commune, environ 250.000 livres; ce qui, ajoute-t-il, est très éloigné de tous les millions qu'on se plaît à mettre en avant.» Journal de Papillon de la Ferté, 421.
[1099] Mémoires de Mme Campan.
[1100] Ibid., p. 148.—M. Desjardins dit qu'on brûla en réalité 3.600 fagots et que cela coûta 522 livres.—Le Petit Trianon, 212.
[1101] Mercy à Marie-Thérèse, 16 septembre 1780.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 465.
[1102] Le même à la même, 14 novembre 1780.—Ibid., III, 479.
[1103] Souvenirs et portraits du duc de Lévis. Paris, Beaupré, 1815, p. 139.
[1104] Ibid.
[1105] Mercy à Marie-Thérèse, 16 septembre 1780.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 466.
[1106] Souvenirs et portraits du duc de Lévis, p. 140.
[1107] Mercy à Marie-Thérèse, 18 décembre 1773.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 85.
[1108] Mémoires de Weber, 75.
[1109] Souvenirs du baron de Gleichen, 74.
[1110] Voir la lettre de Marie-Thérèse à Mercy, du 4 mars 1775.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 329.
[1111] Mercy à Marie-Thérèse, 14 août 1773.—Ibid., II, 30.
[1112] Il y avait même eu un moment où, cédant aux suggestions du prince de Rohan, ambassadeur de France à Vienne et ennemi personnel de Marie-Antoinette, l'Empereur avait pris sa sœur «en guignon».—Marie-Thérèse à Mercy, 3 janvier 1775.—Ibid., II, 279.
[1113] Ibid.
[1114] Marie-Thérèse à Mercy, 1er septembre 1770.—Correspondance secrète du comte de Mercy, I, 48.
[1115] La même au même, 3 février 1774.—Ibid., II, 104.
[1116] Mercy à Marie-Thérèse, 18 décembre 1773.—Ibid., II, 84.
[1117] «Elle (Marie-Antoinette) en avait peur et sans raison: mais elle est devenue toute frivole, peureuse, grimacière.»—Marie-Thérèse à Ferdinand, 16 janvier 1777.—Lettres de Marie-Thérèse à ses enfants, II, 66.
[1118] Mercy à Marie-Thérèse, 18 décembre 1776.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 542.
[1119] Marie-Thérèse à Mercy, 31 juillet 1775.—Ibid., II, 360, 363.
[1120] Mercy à Marie-Thérèse, 18 octobre 1776.—Correspondance secrète du comte de Mercy, II, 504.
[1121] Le même à la même, 18 décembre 1773; Marie-Thérèse à Mercy, 5 avril 1774, 4 mars 1774, 1er avril 1775, 31 octobre 1776.—Ibid., II, 85, 125, 126, 305, 316, 509.—Marie-Thérèse à Ferdinand, 13 mars 1777.—Lettres de Marie-Thérèse à ses enfants, II, 74.
[1122] Marie-Thérèse à Ferdinand, 9 janvier 1777.—Ibid., II, 64.—Mercy à Marie-Thérèse, 24 janvier 1777.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 11.
[1123] Marie-Thérèse à Ferdinand, 27 mars, 3 avril 1777.—Lettres de Marie-Thérèse à ses enfants, II, 78.
[1124] Marie-Antoinette à Marie-Thérèse, 16 janvier 1777.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 3.
[1125] Marie-Thérèse à Marie-Antoinette, 3 janvier 1777.—Ibid., III, 2.
[1126] Joseph II à Mercy, 30 décembre 1776.—Ibid., II, 541.
[1127] Mercy à Marie-Thérèse, 17 janvier 1777.—Ibid., III, 6 et 7.
[1128] Mercy à Marie-Thérèse, 15 juin 1777.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 52.
[1129] Marie-Thérèse à Mercy, 3 janvier 1777.—Ibid., III, 2.
[1130] Joseph II à Mercy, 30 décembre 1776, cité en note de Mercy à Marie-Thérèse, 17 janvier 1777.—Ibid., III, 7.
[1131] Mercy à Marie-Thérèse, 15 juin 1777.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 50, 51.
[1132] Ibid., 53.
[1133] Mercy à Marie-Thérèse, 15 juin 1777.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 56.
[1134] Ibid., 56.
[1135] Ibid., 53.
[1136] Ibid., 67, 70
[1137] Ibid., 83.
[1138] Mercy à Marie-Thérèse, 15 juin 1777.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 79, 81.
[1139] Ibid., 79.
[1140] Ibid., 81.
[1141] Ibid., 71.
[1142] Ibid., 65.
[1143] Mémoires de Mme Campan, 148.
[1144] Maximilien, dont on se rappelle la gaucherie.
[1145] Mémoires pour servir à l'histoire de la République des lettres, 20 avril 1777, X, 146.
[1146] Mercy à Marie-Thérèse, 15 juin 1777.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 77.
[1147] L'Espion Anglais, cité par Le Roi, Histoire de Versailles, II, 276.—Correspondance secrète inédite, I, 50.
[1148] Mercy à Marie-Thérèse, 15 juin 1777.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 77.
[1149] Mémoires de Mme Campan, 144-146.
[1150] Mémoires secrets pour servir à l'histoire de la République des lettres, 23 mai 1777, X, 178.
[1151] Ibid., 17 mai 1777, X, 176.
[1152] Mercy à Marie-Thérèse, 15 juin 1777.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 68.
[1153] Ibid., 73.
[1154] Ibid., 58.
[1155] Ibid., 57.
[1156] Ibid., 72.
[1157] Certaines de ces critiques étaient étranges. Ainsi l'Empereur reprochait au gouvernement français d'avoir dépensé un argent immense pour mettre sa marine en état. Et cela au moment de la guerre d'Amérique!
[1158] Mercy à Marie-Thérèse, 15 juin 1777.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 77.
[1159] Ibid., 77, 83.
[1160] Ibid., 83.
[1161] Ibid., 51.
[1162] Ibid., 69.
[1163] Ibid., 70.
[1164] Joseph II à Léopold, 11 mars 1777.—Maria-Theresia und Joseph II, II, 134, 135.
[1165] Mercy à Marie-Thérèse, 15 juin 1777.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 57, 69.
[1166] Joseph II à Léopold, 9 juin 1777.—Maria-Theresia und Joseph II, II, 139.
[1167] Mercy à Marie-Thérèse, 15 juin 1777.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 78.
[1168] Ibid., 58.
[1169] Gustave III et la Cour de France, II, 390.
[1170] Joseph II à Léopold, 11 juillet 1777.—Maria-Theresia und Joseph II, II, 148, 149.
[1171] Correspondance secrète inédite, 26 mars 1777, I, 59.
[1172] Marie-Thérèse à Mercy, 31 juillet 1777.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 97.
[1173] La comtesse de la Marck à Gustave III, 7 août 1777.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 91, note.
[1174] Mercy à Marie-Thérèse, 15 août 1777.—Ibid., III, 101, 102.
[1175] Joseph II, à Léopold, 11 juillet 1777.—Maria Theresia und Joseph II, II, 149.
[1176] Le même à la même, 17 mai 1777.—Ibid., II, 146.
[1177] Mercy à Marie-Thérèse, 15 juin 1777.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 62.
[1178] Mercy à Marie-Thérèse, 15 juin 1777.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 76.
[1179] Vermond à Mercy, 1er juin 1777.—Maria-Theresia und Marie-Antoinette, 389.
[1180] Marie-Thérèse à Marie-Antoinette, 29 juin 1777.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 86.—Pendant tout ce séjour, il n'avait cessé de faire à sa mère les plus vifs éloges de sa sœur, car Marie-Thérèse écrivait le 8 mai 1777 à Ferdinand: «Les nouvelles de France sont toujours les plus consolantes et les plus brillantes. L'Empereur paraît très content de sa sœur.»—Lettres de Marie-Thérèse à ses enfants, II, 84.—Il fallait que ce contentement fût bien fort, car quelque temps auparavant, le 10 avril, elle écrivait: «Breteuil revient de France, il m'a bien rassuré sur les bruits qui depuis quelque temps courent sur la Reine.»—Ibid., 80.
[1181] Marie-Thérèse à Mercy, 3 janvier 1777.—Correspondance secrète du comte de Mercy, III, 2.
[1182] Mercy à Marie-Thérèse, 15 juin 1777.—Ibid., III, 57.—«Le départ de l'Empereur, écrivait de son côté la Reine, m'a laissé un vide dont je ne puis revenir; j'étais si heureuse, pendant ce peu de temps, que tout cela me paraît un songe dans ce moment-ci. Mais ce qui n'en sera jamais un pour moi, c'est tous les bons conseils et avis qu'il m'a donnés et qui sont à jamais gravés dans mon cœur.»
«J'avouerai à ma chère maman qu'il m'a donné une chose que je lui ai bien demandée et qui m'a fait le plus grand plaisir: c'est des conseils par écrit qu'il m'a laissés. Cela fait ma lecture principale dans le moment présent.»—Marie-Antoinette à Marie-Thérèse, 14 juin 1777.—Ibid., III, 48.