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Histoire de Marie-Antoinette, Volume 2 (of 2)

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NOTES:

[1] «Elle avait cette dignité, ce courage, cette vigueur d'élan dans des occasions dangereuses, qui prouvait une âme née forte; mais il manquait à cette âme de s'être exercée à l'usage de sa force.»—Lettre inédite du baron d'Aubier au baron de Breteuil, communiquée par M. Gustave Bord.

[2] Mémoire en forme de doléances des habitants de la paroisse de Dry, universellement accepté par le bailliage de Beaugency, présenté par les députés de ce bailliage à l'Assemblée des trois Etats à Orléans.—Archives nationales, B. III. 99.

[3] Ibid.

[4] Ibid.

[5] Cité par M. Th. Meignan, dans son très curieux article sur Les registres paroissiaux de l'état civil.—Revue des questions historiques, janvier 1879, p. 149.

[6] Mémoires de Mme Campan, 228, 229.

[7] Souvenirs d'un page, 287.

[8] Ibid. 288.

[9] Mémoires de Weber, 203.

[10] Ibid. 204, note.

[11] Le Roy, Histoire de Versailles, I, 227.

[12] On avait voulu lui donner un dais; il l'avait refusé, ne voulant pas, disait-il, d'un honneur réservé au Saint-Sacrement seul.—Souvenirs d'un page, 289.

[13] Ibid. 290.

[14] Souvenirs d'émigration, par la marquise de Lâge, LXXXVII.

[15] Mémoires du marquis de Ferrières, I, 19.

[16] Souvenirs d'un page, 288.

[17] Mémoires de Mme Campan, 227.

[18] Mémorial de Gouverneur Morris, I, 242.

[19] Mémoires du marquis de Ferrières, I, 20.

[20] Ibid., 21.

[21] Souvenirs d'un page, 290.—Mémoires du marquis de Ferrières, I, 21, note.

[22] Correspondance littéraire de Grimm.

[23] Souvenirs d'émigration par la marquise de Lâge.

[24] Mémorial de Gouverneur Morris, I, 243.

[25] Ibid.

[26] «Il règne dans son ton et dans ses manières toute la fierté que l'on doit attendre des Bourbons.» Ibid.

[27] Souvenirs d'un page, 291.

[28] Correspondance littéraire de Grimm.

[29] Louis XVI, par le comte de Falloux, 143.

[30] Mémorial de Gouverneur Morris, I, 244.

[31] Mémoires de Mme Campan, 227.

[32] Histoire de Marie-Antoinette, par Montjoye, 219, 220.

[33] Mémoires de Mme Campan, 228.

[34] Le Gouvernement de Normandie, IV, 384.

[35] Voir les détails de cette remise du Dauphin au duc d'Harcourt dans le Gouvernement de Normandie, IV, 384 et suiv.

[36] Marie-Antoinette à Joseph II, 25 février 1788.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 112.

[37] Marie-Antoinette à Joseph II, 27 février 1788.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 112.

[38] La même au même, 24 avril 1788.—Ibid., 116.

[39] La même au même, 16 juillet 1788.—Ibid., 118.

[40] Mémoires de Mme Campan, 230.

[41] Le Gouvernement de Normandie, IV, 385.

[42] Ibid., 386.

[43] Souvenirs d'émigration, par la marquise de Lâge, LXXXVIII.

[44] Mémoires de Mme Campan, 231.

[45] Mme Campan prétend que le Dauphin avait pris en grippe même sa mère. Mais la marquise de Lâge affirme positivement le contraire, et la marquise de Lâge, qui écrit à sa mère le 17 mai 1789, est plus croyable sur ce point que Mme Campan, qui n'a écrit que de souvenir.

[46] Souvenirs d'émigration, par la marquise de Lâge, LXXXIX.

[47] Souvenirs d'un page, 290.

[48] Récit de M. Lefèvre, secrétaire du duc d'Harcourt, gouverneur du Dauphin.—Le Gouvernement de Normandie, IV, 387.

[49] Lettres de Boullé, député de Nantes, à ses commettants sur l'ouverture des États généraux.—Revue de la Révolution, 1888, II, p. 8 et 11.

[50] Ibid., p. 34 et 35.—«A midi, raconte Boullé, la députation des Communes a été reçue; le doyen, accompagné de vingt députés choisis au sort parmi les commissaires et les adjoints, a prononcé à Sa Majesté le discours qui avait eu l'approbation de l'Assemblée, en y ajoutant seulement quelques expressions de regret et de douleur sur la perte qui vient d'affliger la France et son monarque.»

[51] Mémoires de Weber, 209, 210.—Weber se trompe en plaçant cette scène le 8, au retour de Meudon. C'est le 6 que la députation du Tiers fut reçue par le Roi «quoique Sa Majesté, encore dans les premiers instants d'une douleur trop juste, se fût refusé jusqu'ici à voir personne».—Lettres de Boullé.—Revue de la Révolution, 1888, II, 36.

[52] Mémoires de Malouet, 2e édition, I, 283, note.

[53] Notice historique sur la salle du Jeu de Paume de Versailles, par Ch. Vatel, p. 13.

[54] «On fit accroire au peuple qu'il se tramait mille conspirations dangereuses contre ses libertés; les meneurs de la foule virent bientôt que le moment était venu de mettre en branle les masses.» M. de Turckheim à ses commettants, 23 novembre 1789.—Revue d'Alsace, avril, mai, juin 1880, 202.

[55] Mémoires de Malouet, I, 285.—Malouet avait demandé qu'on plaçât dans l'arrêté ou la formule du serment un membre de phrase attestant que les prétentions de l'Assemblée se bornaient à «faire la Constitution de concert avec le Roi». Plusieurs députés se joignirent à lui pour réclamer un amendement analogue. «Cela est juste, leur répondit Bailly, mais je me garderai bien de mettre aux voix votre proposition, pour qu'elle ne soit pas rejetée.»—La chute de l'ancien Régime, par Aimé Chérest, III, 204. M. Chérest ajoute que Mirabeau «partageait les sentiments de Malouet», mais que «désespérant de les faire prévaloir ce jour-là», il «n'essaya même pas de les exprimer séance tenante.»—Ibid., 203.

[56] «La démarche des Communes, en se déclarant Assemblée nationale, indépendante des autres Ordres et du Roi lui-même, et en déclarant qu'aucun pouvoir ne la dissoudrait, est, dans le fait, s'emparer de toute l'autorité du royaume. Elles se sont, par un seul décret, rendues semblables au Long Parlement de Charles Ier... Une démarche aussi hardie et aussi désespérée, contraire à tous les autres intérêts du royaume, également funeste à l'autorité royale, au Parlement, à l'armée, ne peut être accordée.»—Voyages d'A. Young, I, 342.

[57] Mémoires de Malouet, I, 284.

[58] Mounier, Recherches sur les causes qui ont empêché les Français de devenir libres, Genève, 1792, I, 296.

[59] Mémoires de Weber, 213.

[60] Mémoires de Malouet, I, 283, 284.

[61] Louis XVI, par le comte de Falloux.

[62] Mémoires du marquis de Ferrières, I, 57.

[63] Un premier conseil avait été tenu le 19 à Marly, où la Cour s'était transportée après la mort du Dauphin. Le second conseil se tint le 21 à Versailles, où la Cour était revenue dans l'intervalle.

[64] De Larcy. Des vicissitudes de la France, 11.—Les députés de la commune de Strasbourg, très désappointés de l'évanouissement de leurs espérances et très froissés du maintien de la distinction des Ordres, avouaient cependant qu'il y avait dans la déclaration du Roi des «adoucissements réels», et ils écrivaient le soir même du 23 juin aux commissaires de la Bourgeoisie de Strasbourg: «Nous vous observons que si tous les objets annoncés par Sa Majesté, comme soulagement, sont accordés aux peuples, ceux-ci y trouveront des consolations puissantes pour le degré de liberté politique, dont ils attendaient le bienfait de la justice du monarque et des lumières du siècle et qui paraît leur échapper.»—L'Alsace pendant la Révolution française, par Rod. Reuss.—Revue d'Alsace, juillet, août, septembre 1879, 344.—L'un de ces députés, M. de Turckheim, écrivait plus tard, dans le rapport qu'il adressait à ses commettants, le 23 novembre 1789: «La séance royale du 23 juin, où nous entendîmes pour la dernière fois la voix du monarque, avait manifesté les meilleurs sentiments à l'égard du bonheur de son peuple. Tout ce que réclamaient nos cahiers de doléances était accordé, et si les paysans, si remuants aujourd'hui qu'ils ont été excités par l'artifice, avaient été consultés alors, ils auraient éclaté en protestations de joie et de reconnaissance.»—Ibid., avril, mai, juin 1780, p. 201.—A. Young écrivait de même: «Tout le monde connaît les propositions faites par le Roi; le plan était bon; on accordait beaucoup au peuple sur des points essentiels.»—Voyage en France, I, 349. «Les Communes, en refusant opiniâtrement ce qu'on leur propose, abandonnent au hasard des avantages certains et inconnus, à ce hasard qui fera peut-être que la postérité les maudira, au lieu de bénir leur mémoire comme celle de vrais patriotes.»—Ibid., 355.

[65] Paroles textuelles de Mirabeau, données par le marquis de Dreux-Brézé dans les séances de la Chambre des Pairs, des 9 et 15 mars 1833. Cité par le comte de Falloux.—Louis XVI. Pièces justificatives, 371.

[66] Lally-Tollendal. Biographie universelle, article Necker; cité dans les Mémoires de Malouet, I, 287.

[67] Le comte de Fersen et la Cour de France. Introduction, XLVII.

[68] «On fit venir des troupes de la province pour inspirer quelque peur aux conciliabules de l'émeute; mais ce n'était qu'un moyen d'intimidation; car la douceur extrême du Roi et son amour pour ses sujets ne lui permirent jamais de songer seulement à verser le sang, pour maintenir son autorité suprême.»—Mémoires de M. de Turckheim à ses commettants, 23 novembre 1789. Revue d'Alsace, avril, mai, juin 1880, 202.

[69] Mémoires de Gouverneur Morris, I, 255.

[70] Ferrières raconte qu'à la suite de la séance royale du 23 juin, les députes de la Noblesse, après avoir été chez le comte d'Artois, se présentèrent chez la Reine. «Ce n'était pas à elle, dit-il, qu'on avait le moins d'obligations. La Reine sortit dans le salon de jeu; elle tenait Madame par la main, elle portait le jeune Dauphin sur son bras. Tableau délicieux d'une mère: douce expression de la nature! La Reine présenta M. le Dauphin aux députés, leur disant, avec beaucoup de grâce, qu'elle le donnait à la Noblesse, qu'elle lui apprendrait à la chérir, à la regarder comme le plus ferme appui du trône.»—Mémoires du marquis de Ferrières, I, 59-60. Mais Ferrières ajoute plus loin que ce fut la Reine qui prit l'initiative des instances pour décider Necker à rester.—La démarche de la Noblesse près de la Reine et les paroles de celle-ci nous paraissent surtout dictées par la courtoisie. Si la Reine avait été le principal appui de la réaction aristocratique, les députés de la Noblesse n'auraient-ils pas été chez elle tout d'abord, au lieu de commencer par le comte d'Artois et Monsieur?

[71] Mémoires du comte de Ségur, II, 208. «Jamais je ne vis plus de dignité dans la douleur, plus de douceur dans l'affliction.»

[72] «Le Roi rappelait à M. Necker qu'il l'avait, à quatre reprises différentes, supplié de lui accorder l'autorisation de se retirer, et il disait que l'état actuel des circonstances lui permettait de lui accorder maintenant cette faveur; il l'autorisait donc à s'éloigner, sans retard et sans bruit, et il se réservait de lui donner plus tard des marques de sa faveur royale et de sa satisfaction.»—Mercy à Kaunitz, 23 juillet 1789.—Relations inédites de la prise de la Bastille, publiées par J. Flammermont.

[73] Histoire de Louis XVI, par Droz, II, 304, p. 23.

[74] S'il faut en croire Mercy, les gardes suisses même auraient refusé de servir contre le peuple. Mercy à Kaunitz, 23 juillet, 1789.—Relations inédites de la prise de la Bastille, publiées par J. Flammermont, p. 23.

[75] Voir pour plus de détails la Prise de la Bastille, par M. de Poncins (Brochures sur la Révolution française publiées par la Société biographique), et la Prise de la Bastille, par M. Gustave Bord, directeur de la Revue de la Révolution.

[76] Mémoires de Malouet, II, 9.

[77] Ibid., I, 290.

[78] Mémoires du marquis de Ferrières, I, 136.

[79] Mémoires de Mme Campan, 233.

[80] Ibid., 234.

[81] Mémoires sur la vie et le caractère de Mme la duchesse de Polignac, par la comtesse Diane de Polignac. Hambourg, 1796, 27, 28.

[82] Mémoires de Mme Campan, 234.

[83] Mémoires sur la vie et le caractère de Mme la duchesse de Polignac, 31, 33.—Il avait été question d'abord de rappeler Necker seul, sans les autres ministres, en particulier sans le comte de Montmorin et le comte de Saint-Priest contre lesquels on avait inspiré au Roi de vives préventions. La Reine, persuadée par Mercy que cette exclusion de deux ministres populaires aurait de graves inconvénients dans l'état de surexcitation de la foule, finit par déterminer le Roi à rappeler le ministère tout entier et à faire bon accueil à tous les ministres.—Mercy à Kaunitz, 23 juillet 1789.—Relations inédites de la prise de la Bastille, publiées par J. Flammermont, p. 25 et 28, 29, 30.

[84] Voir le récit de cette scène touchante dans les Mémoires du marquis de Ferrières, I, 141.

[85] Mémoires du comte Valentin Esterhazy, fragments.Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, IV, 35.

[86] Mercy à Kaunitz, 23 juillet 1789.—Relations inédites de la prise de la Bastille, publiées par J. Flammermont, p. 27.

[87] Evénements mémorables arrivés à Verdun au sujet du maréchal de Broglie et son arrivée à Metz. Paris, Lefèvre. 1789.

[88] Mémoires de Mme Campan, 236.

[89] Journal du comte de Fersen, 14 février 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 6.

[90] Ibid.Voir aussi Mercy à Kaunitz, 23 juillet 1789.—Relations inédites de la prise de la Bastille, publiées par J. Flammermont, p. 27.

[91] Quinzaine mémorable, 87.

[92] Ibid., 93.

[93] Mémorial de Gouverneur Morris, I, 263.—Voir également, sur ce voyage du Roi à Paris, une lettre du 18 juillet 1789, écrite par un député de Marseille à la marquise de Créquy. Ce député, dont le nom est inconnu, fait remarquer avec raison combien la vérité est difficile à établir, même pour les contemporains. «Les faits opposés, dit-il, sont attestés par des gens qui disent: «J'y étais».—Revue de la Révolution, septembre 1783, p. 73.

[94] «La voiture allait à tour de roue; en conséquence, il fut longtemps en présence de ces bons habitants de Paris.»—Souvenirs d'un basochien.Revue de la Révolution, mars 1885, 79.

[95] Histoire de la Révolution, par deux amis de la liberté.

«Je constate qu'il avait la figure bouleversée, attérée.»—Souvenirs d'un basochien.Revue de la Révolution, mars 1885, 79.

[96] Ibid.

[97] Histoire de France pendant trois mois, par le cousin Jacques, I, 116.—«Au lieu de Vive le Roi! on criait Vive la nation! Ce à quoi on ajoutait que le Roi serait acclamé plus tard, à son départ, si l'on était content de lui.» Rapport de M. de Simolin au comte Ostermann.—Revue de la Révolution, janvier 1886, p. 7.

[98] Mémoires de Bailly, II, 65.

[99] Histoire de France pendant trois mois, I, 116.

[100] Mercy à Kaunitz, 23 juillet 1789.—Relations inédites de la prise de la Bastille, publiées par J. Flammermont, p. 27.

[101] Mémorial de Gouverneur Morris, I, 205.—«M. le marquis de Lafayette défendit toute manifestation de joie et donna l'ordre que les arrondissements s'assemblassent comme à l'ordinaire pour organiser les rondes.»—Rapport de M. de Simolin au comte Osterman. Revue de la Révolution, janvier 1886, p. 7.

[102] Mémoires de Bailly, II, 61.

[103] Mémoires de Mme Campan, 239, 240.—Mme Campan donne le commencement du discours que, suivant elle, la Reine devait adresser à l'Assemblée: «Messieurs, je viens remettre entre vos mains l'épouse et la famille de votre souverain. Ne souffrez pas que l'on désunisse sur la terre ce qui a été uni dans le ciel.» Accompagnée de Monsieur, elle devait en même temps demander à l'Assemblée de transporter à quelque distance de Versailles le lieu de ses réunions. Mercy, qui donne ces détails, croit que l'Assemblée, qui commençait à s'effrayer de l'effervescence et de la prédominance de Paris, aurait accepté cette proposition.—Mercy à Kaunitz, 23 juillet 1789.—Relations inédites de la prise de la Bastille, publiées par J. Flammermont, p. 29.—La Reine avait projeté d'abord, dans le cas où le Roi eût été retenu prisonnier à Paris, de se retirer avec le Dauphin soit à Valenciennes, soit dans les Pays-Bas. Sur l'observation de Mercy que ce départ serait considéré par le pays, fortement surexcité, comme un enlèvement du Dauphin, elle avait renoncé à cette idée.—Ibid., 28.

[104] Souvenirs d'un page, 302.

[105] Mémoires de Mme Campan, 241.

[106] Histoire de France pendant trois mois, I, 118, 119.

[107] Journal de Versailles du 22 juillet, no 14, cité dans les Mémoires de Bailly, II, 69.

[108] Quinzaine mémorable, 134.

[109] Nous en exceptons l'électeur Etienne Larivière, qui, plus d'une fois, fit à Berthier un rempart de son corps.

[110] Vergniaud, plaidoyer pour Durieux.—Vergniaud, monuments, lettres et papiers, par Ch. Vatel, II, 68.—Voir, sur cette anarchie spontanée dans les provinces, le curieux volume de M. G. Bord: La prise de la Bastille, et les magistrales études de M. Taine sur la Révolution.

[111] Mémoires sur la vie et le caractère de la duchesse de Polignac.

[112] Joseph II à Léopold, 3 août 1789.—Joseph II und Léopold von Toscana, II, 265.

[113] Necker étant resté quelques jours sans revenir, et les courriers qui lui portaient son rappel ayant eu de la peine à le trouver, on avait fait courir le bruit que la Reine, par répulsion contre lui, l'avait fait partir pour Bruxelles, afin de «l'éloigner encore plus de la France».—Mercy à Kaunitz, 23 juillet 1789.—Relations inédites de la prise de la Bastille, publiées par J. Flammermont, p. 29.

[114] Correspondance secrète inédite sur Louis XVI, Marie-Antoinette, la Cour et la ville, de 1777 à 1792, 25 septembre 1789, II, 387.

[115] Procédure du Châtelet, Malouet, 3e témoin.—Lally-Tollendal, Lettre à ses commettants, 85.—On peut lire aussi dans la Revue d'Alsace,—octobre, novembre, décembre 1879—les lettres découragées d'un député de Strasbourg, le baron de Turckheim, à cette même époque. M. de Turckheim, très libéral mais très royaliste, ne tarda pas à donner sa démission et à se retirer en Alsace. Dans le rapport qu'il adressa à ses commettants sur sa conduite, le 23 novembre 1789, il écrivait: «Nous ne voulûmes pas au début prendre la parole sans nécessité en présence de quelques centaines d'avocats bavards qui répandaient plus de désordre que de lumières, en présence aussi du manque complet de liberté qui nous empêchait de le faire, depuis qu'une foule sans frein avait été introduite dans la salle de nos séances et que les clubs insolents qui siégeaient dans les cafés du Palais-Royal s'étaient érigés en juges et en vengeurs des affaires de la nation. Nous avons acquis la triste conviction que la voix de la modération ne serait point écoutée.» Revue d'Alsace, avril, mai, juin 1880, p. 200.—M. de Turckheim concluait ainsi: «Qui donc entrava la marche des affaires? Je le dis en toute franchise devant Dieu et mes concitoyens: ce ne fut pas la Noblesse qui expia d'une façon cruelle d'antiques et injustes abus; ce ne fut pas le Clergé qui s'offrit à supporter volontairement sa part proportionnelle des impôts, mais qu'on voulut dépouiller de toute propriété. Non, ce fut un petit nombre d'hommes qui s'étaient mis d'accord entre eux pour tout renverser et, sans souci de leurs mandats catégoriques, voulaient pousser à la révolte vingt-cinq millions d'hommes qui auraient pu suivre en repos nos travaux en les bénissant.»—Ibid., 203.

[116] Le comte de Fersen à son père, 3 septembre 1789. Le comte de Fersen et la Cour de France, I, XLIX. Introduction.

[117] Mémoires de Malouet, I, 303.

[118] Brouillon de lettre de M. le comte d'Estaing à la Reine.—Rapport de la procédure du Châtelet sur l'affaire des 5 et 6 octobre, fait à l'Assemblée nationale par M. Charles Chabroud, membre du Comité des rapports. Paris, Imprimerie Nationale, 1790.—Pièces justificatives. La lettre est du 14 septembre. Rapport de Chabroud, 49.

[119] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 3 et 4.

[120] Voir tous les détails de ce plan dans les Mémoires de Malouet, I, 393 et suiv.

[121] Droz, citant Molleville, II, 470, dit que cette démarche fut faite le 15 septembre. Mais Mallet du Pan, qui était en relations intimes avec Malouet et ses amis, donne la date du 29.—Mémoires et correspondance de Mallet du Pan, II, 485.

[122] Exposé de la conduite de M. Mounier, 55.

[123] Mémoires de Weber, 254.—Exposé de la conduite de M. Mounier, 66.

[124] Mounier. Appel au tribunal de l'opinion publique, 95.

[125] Exposé de la conduite de M. Mounier, 66.

[126] Procédure du Châtelet. Besson, 117e témoin.

[127] Procédure du Châtelet.—Blaisot, 24e témoin.

[128] Ibid.—Faydel, député, 148e témoin.

[129] Le Roy. Histoire de Versailles, II, 27.

[130] Le Roy. Histoire de Versailles, II, 29.

[131] Lettre des députés de Strasbourg au magistrat de la ville, 25 septembre 1789.—L'Alsace pendant la Révolution française, par Rod. Reuss.—Revue d'Alsace, octobre, novembre et décembre 1879, p. 480.

[132] Le Roy. Histoire de Versailles, II, 32, 33.

[133] Lettre du Roi écrite de la propre main de Sa Majesté à M. le comte d'Estaing, commandant général de la garde nationale de Versailles, par lui lue à l'Assemblée de l'Etat-major et des capitaines de la dite garde, le 24 septembre 1789 et qu'elle a consignée dans ses registres.—A Versailles, de l'Imprimerie Royale, 1789.

[134] Affaire Marie-Antoinette.—Déposition de Lecointre.—Armoire de fer, carton 13.

[135] «Ils résolurent, dit Mme de Tourzel, d'employer tous les moyens possibles pour empêcher la corruption du régiment de Flandre, le conserver fidèle au Roi, et ils se flattaient d'y réussir, en lui inspirant estime et confiance.» Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 5.

[136] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 4.

[137] Le Roy. Histoire de Versailles, II, 37.

[138] Voir notamment Mounier. Appel à la nation, p. 113.

[139] Mémoires de Mme Campan, 268.

[140] Premier interrogatoire de la Reine.—Marie-Antoinette à la Conciergerie, 217.

[141] Mounier. Appel au tribunal de l'opinion publique, 90.—Mounier ajoute: «Beaucoup d'étrangers, et les militaires, lorsqu'ils n'étaient pas en uniforme, avaient conservé l'usage d'une cocarde noire.»

[142] Réponse de la Reine. A Versailles, de l'Imprimerie royale, 1789.—Archives nationales. Armoire de fer, carton 13, coté 89.

[143] Il était resté environ quatre cents bouteilles de vin du banquet du 1er; c'est pour épuiser cette réserve qu'eut lieu le déjeuner du 3.—Exposé de la conduite des gardes du corps, à la suite des forfaits d'octobre, II, 235.

[144] Les pauvres n'avaient pas été oubliés dans ces réjouissances; il avait été décidé que chaque compagnie des gardes du corps fournirait une somme de 1500 livres et que les deux mille écus ainsi réunis seraient remis aux curés de Versailles pour être distribués aux indigents; la distribution devait commencer le 6 octobre.—Exposé fidèle de la conduite des gardes du corps, 236, 237.

[145] Au mois de juin, «un maréchal-des-logis, bas officier avec rang de lieutenant-colonel, est venu dire, au nom de la troupe, au duc de Guiche, capitaine du quartier, que leur devoir était de garder et de protéger la personne du Roi, mais non de monter à cheval pour se battre avec la canaille; qu'en conséquence ils ne feraient pas de patrouilles.»—Lettres d'un attaché de la légation de Saxe.Revue de la Révolution, août 1884, 36.—Voir aussi Mémorial de Gouverneur Morris, II, 16, 28.

[146] Procédure du Châtelet. Antoine, député, 220e témoin.

[147] Lettre de Lecointre au Roi, 5 novembre 1789.—Archives nationales, Armoire de fer, carton 13.

[148] Gorsas était maître de pension à Versailles.—Le Roy. Histoire de Versailles, II, 33.

[149] Gouverneur Morris à John Jay, 1er juillet 1789.—Le même à Washington, 31 juillet 1789.—Mémorial de Gouverneur Morris, II, 16, 28.

[150] Lally-Tollendal.—Lettre à ses commettants, 94. Les députés de Strasbourg écrivaient au magistrat de la ville, le 7 octobre 1789, cette phrase significative: «Depuis plusieurs jours la capitale était dans les plus vives inquiétudes sur ses approvisionnements; à peine pouvait-on y avoir du pain, quoique le jour même de l'insurrection il ait reparu en abondance.»—L'Alsace pendant la Révolution française, par Rod. Reuss. Revue d'Alsace, janvier, février, mars 1880.

[151] Procédure du Châtelet. Lefebvre, 62e témoin—de Foucault, 119e témoin—Tailhardat. 126e témoin.

[152] Taine. Origines de la France moderne; la Révolution, I, 128.

[153] Procédure du Châtelet. De Blois, 35e témoin.

[154] Mounier. Appel au tribunal de l'opinion publique, 123.

[155] Procédure du Châtelet. De Blois, 35me témoin.

[156] Procédure du Châtelet. De Blois, 35me témoin.

[157] Procédure du Châtelet. Brousse des Faucherets, avocat au Parlement, 30e témoin.

[158] Procédure du Châtelet. Fissour, représentant de la Commune, 30me témoin—Jean Pelletier, négociant. 1er témoin.

[159] Ibid. Brousse des Faucherets, 30e témoin.

[160] Ibid. Le même.

[161] Procédure du Châtelet. Marquis de Fournès, député, 185e témoin.

[162] Ibid. Maillard, 81e témoin.

[163] Procédure du Châtelet. Du Granger, garde du corps, 10me témoin;—Rabel, garçon de chambre du Roi, 387e témoin.

[164] Ibid. De Longuève, député, 15e témoin;—marquis de Virieu, député, 148e témoin;—Feydel, député, 148e témoin.

[165] Mémoires du marquis de Ferrières, I, 292.

[166] Procédure du Châtelet. Marquis de Digoine, député, 168e témoin.

[167] Ibid. Marquis de Raigecourt, député suppléant, 204e témoin.

[168] Ibid. Déposition de Mounier: information faite à Genève.

[169] Procéd. du Châtelet. De Cubières, cavalcadour du Roi, 269e témoin.

[170] Ibid. Basire, porte-manteau du Roi, 233e témoin.

[171] Souvenirs d'un page, 307.

[172] M. de Narbonne demandait qu'on lui donnât des troupes et des canons pour aller garder les ponts de Sèvres et de Saint-Cloud, assurant qu'il mettrait toutes ces bandes en fuite.—Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 7.—M. de Saint-Priest proposait que le Roi se mît lui-même à la tête de ces troupes.

[173] Journées des 5 et 6 octobre 1789, par le marquis de Paroy.—Revue de le Révolution, 5 janvier 1883.

[174] Mme de Tourzel prétend que Necker profita d'une absence momentanée de M. de Saint-Priest, qui était allé conduire à Saint-Cyr sa femme prête d'accoucher, pour peser sur la détermination du Roi, un instant ébranlée par MM. de Saint-Priest et de Narbonne.—Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 8.

[175] M. de Barante. Notice sur le comte de Saint-Priest.Etudes historiques et biographiques, I, 234. M. de Saint-Priest avait été fortement appuyé par le président de l'Assemblée, Mounier, qui, ce soir là, comme on le verra plus loin, passa cinq heures au Château et demanda instamment le départ de la famille royale.—Mémoires et correspondance de Mallet du Pan, I, 181, note.

[176] M. de Barante. Notice sur le comte de Saint-Priest.Etudes historiques et biographiques, I, 234.

[177] Il y avait deux quartiers à Versailles, le quartier Saint-Louis royaliste, le quartier Notre-Dame, révolutionnaire.

[178] M. de Barante. Notice sur le comte de Saint-Priest.

[179] Mémoires de Weber, 267.

[180] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 9.

[181] «Quelques personnes instruites, dit Rivarol, prétendent que si cette princesse,—la Reine,—était partie, elle n'eût jamais échappé aux assassins, dont toutes les rues qui aboutissent au Château étaient suffisamment garnies.»—Journal politique national, 2e série, no XIX.—Œuvres choisies de Rivarol, publiées avec une préface par M. de Lescure. Paris, Jouaust, 1880, II, 311.

[182] Voir, sur toutes ces indécisions, M. de Barante. Notice sur le comte de Saint-Priest.Etudes historiques et biographiques, I, 33 et suiv.

[183] Evénements de Paris et de Versailles, par une des dames qui a eu l'honneur d'être de la députation à l'Assemblée générale. Chez Garnery et Volland, p. 4.

[184] Procédure du Châtelet. Cavalier, chirurgien major du régiment de Flandre, 71e témoin.

[185] Ibid. Périer, avocat, 243e témoin—Galland, commis de la mairie, 272e témoin.

[186] Ibid. Girin de la Morte, capitaine d'infanterie, 48e témoin.

[187] Procédure du Châtelet. De Longuève, député, 155e témoin.

[188] Journées des 5 et 6 octobre 1789, par le marquis de Paroy.—Revue de la Révolution, 5 janvier 1883.

[189] Ibid.

[190] Lettre du comte de Maistre au marquis de Beauregard, citée dans Un homme d'autrefois par le marquis Costa de Beauregard, Paris, Plon, 1877, p. 89. M. de Maistre ajoute que les femmes qui avaient laissé voir qu'elles étaient touchées des bontés du Roi, furent maltraitées par leurs compagnes et fouettées en plein palais de Versailles.

[191] Procédure du Châtelet. Derosnet, 211e témoin.

[192] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 11 et 12.

[193] Procédure du Châtelet. De Frondeville, 177e témoin.

[194] Rivarol, Journal politique national, 2e série, no XX.—Œuvres choisies de Rivarol, II, 328.

[195] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 12.

[196] Procédure du Châtelet. De Frondeville, 177e témoin.

[197] Journal politique national, 2e série, no XX.—Œuvres choisies de Rivarol, II, 327, 328.

[198] «Je vis les banquettes où devaient siéger les députés du pays occupées par des femmes ivres et repoussantes.»—Rapport de M. de Turckheim à ses commettants. Revue d'Alsace, avril, mai, juin 1880, 210.

[199] De Larcy. Louis XVI et les États généraux.Correspondant, 25 août 1868.

[200] Journal politique national, 2e série, no XX.—Œuvres choisies de Rivarol, II, 324.

[201] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 12.

[202] Journées des 5 et 6 octobre 1789, par le marquis de Paroy.—Revue de la Révolution, janvier 1883.

[203] Journal politique national, 2e série, no XX.—Œuvres choisies de Rivarol, II, 325.

[204] «Sur les une heure après minuit, M. de Lafayette sortit du cabinet du Roi et dit que le Roi et la Reine allaient se coucher, qu'il allait en faire autant et qu'il conseillait à tout le monde de se retirer chez soi et de dormir tranquille, que personne n'avait rien à craindre.»—Marquis de Paroy. Copie de la lettre que j'ai écrite à ma femme le 5 octobre au soir après le départ du Roi pour Paris.Revue de la Révolution, janvier 1883.

[205] Procédure du Châtelet. Bernardy, 225e témoin.—Mme de Tourzel raconte un fait étrange. D'après elle, les brigands auraient fait dire une messe au curé de Saint-Louis, probablement pour le succès de leur entreprise, y auraient assisté, et ce ne serait qu'après avoir entendu cette messe qu'ils se seraient rués sur le Château.—Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 13.

[206] Procédure du Châtelet. De Frondeville, 177e témoin.

[207] Ibid. Marquis de Digoine, député, 168e témoin.

[208] Ibid. Gallemand, secrétaire du Comité de Constitution, 373e témoin.

[209] Mounier. Appel au tribunal de l'opinion publique, 173.

[210] Procédure du Châtelet. Mme Thibaut, première femme de la Reine, 86e témoin.

[211] Ibid. Veytard, 91e témoin.

[212] Procédure du Châtelet. Comte de la Châtre, député, 139e témoin.

[213] M. de Varicourt fut égorgé avec des raffinements de cruauté horribles. Nous nous permettons de renvoyer pour ces détails à l'étude plus complète publiée par nous sous ce titre: Les journées des 5 et 6 octobre 1789.—Revue des questions historiques, octobre 1873.

[214] Procédure du Châtelet. Chauchard, 101e témoin.

[215] Ibid. François Dupont, suisse de la vicomtesse de Talaru, 131e témoin.—Ce misérable assassin était modèle dans les ateliers de peintres et s'appelait Jourdan. Il fut désigné dans la suite par le surnom de Coupe-tête.—M. de Maistre affirme que Mounier a vu des femmes qui venaient prendre du pain dans les cuisines du Roi, le tremper dans le sang des gardes du corps et le manger ensuite.—Lettre du comte de Maistre au marquis de Beauregard.—Un homme d'autrefois, 89.

[216] Procédure du Châtelet. Borg, 346e témoin.

[217] Lettre du comte de Maistre au marquis de Beauregard.—Un homme d'autrefois, 88.

[218] Procédure du Châtelet. Marquis de Paroy, député, 246e témoin.

[219] Ibid. Marguerite Andelle, 236e témoin.

[220] Ibid. De Forget, capitaine de cavalerie, 370e témoin.

[221] Ibid. Bercy, valet de chambre de la Reine, 100e témoin.

[222] Ibid. De Miomandre, 18e témoin.

[223] Journal politique national, 2e série, no XXI.—Œuvres choisies de Rivarol, II, 332.

[224] Procédure du Châtelet. Rabel, garçon de chambre du Roi, 387e témoin.

[225] Mme Campan dit qu'il est faux que les brigands aient percé le lit de la Reine à coups de piques, comme le bruit s'en est accrédité; le comte d'Hésecques, dans ses Souvenirs d'un page, dit la même chose. Mais le comte de La Châtre, 139e témoin, affirme avoir vu, dans la matinée du 6, le lit de la Reine «bouleversé» par les envahisseurs. Mme de Tourzel le raconte également.—Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 14.

[226] L'Espion de la Révolution, I, 90.

[227] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 14.

[228] Ibid., I, 15.

[229] Procédure du Châtelet. Derosnet, 211e témoin.

[230] Ibid. Marquis de Digoine, 168e témoin.

[231] Journées des 5 et 6 octobre 1789, par le marquis de Paroy.—Revue de la Révolution, janvier 1883, p. 5.

[232] Mémoires de Weber.

[233] Procédure du Châtelet. De Saint-Aulaire, 158e témoin.

[234] Mme de Staël. Considérations sur la Révolution française, I, 272.

[235] Marquis de Paroy. Copie de la lettre que j'ai écrite à ma femme.Revue de la Révolution, janvier 1883, p. 5.

[236] Procédure du Châtelet. Jeanne Bessons, femme Tillet, 365e témoin.

[237] Journal politique national, 2e série, no XXI.—Œuvres choisies de Rivarol, II, 339.

[238] Il en sera de même au 20 juin et jusqu'au tribunal révolutionnaire.

[239] Mme de Staël. Considérations sur la Révolution française, I, 272.

[240] Marquis de Paroy. Copie de la lettre que j'ai écrite à ma femme.Revue de la Révolution, janvier 1883, p. 6.

[241] Marquis de Paroy. Copie de la lettre que j'ai écrite à ma femme.Revue de la Révolution, janvier 1883, p. 6.

[242] Mémoires de Lafayette.

[243] Procédure du Châtelet. Derosnet, 211e témoin.

[244] Souvenirs d'un page, 314.

[245] Procédure du Châtelet. Madier de Montjau, député, 170e témoin.

[246] Ibid. De Montmorin, 182e témoin;—de Montardat, garde du corps de M. le comte d'Artois, 349e témoin.

[247] Procédure du Châtelet. Dufraisse-Duché, député, 120e témoin.

[248] Mme de Staël, Considérations sur la Révolution française, I, 272.

[249] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 20. Avec un incroyable sang-froid, la Reine, reconnaissant, dans la foule qui entourait la voiture, un officier des gardes de corps déguisé, le baron de Ros, lui dit tout haut: «Vous irez savoir de ma part des nouvelles de M. de Savonnières et lui direz toute la part que je prends à son état.»—Mémoires de la marquise de La Rochejacquelein, édition originale, Paris, Bourloton, 1889, p. 57.

[250] Bertrand de Molleville.

[251] Lally-Tollendal prétend qu'un coup de feu fut tiré dans le carrosse de la Reine.—Seconde lettre de Lally-Tollendal à ses amis.

[252] Burke. Réflexions sur la Révolution de France, 155.

[253] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 21, 22.

[254] Mme Elisabeth à Mme de Bombelles, 13 octobre 1789.—Correspondance de Mme Elisabeth, 121.

[255] Ibid.

[256] Joseph II à Léopold II, 19 octobre 1789.—Joseph II und Leopold von Toscana, II, 281.

[257] Souvenirs de quarante ans, 47.

[258] Ibid.

[259] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 23.

[260] Mémoires de Weber, 282.

[261] Mme de Staël. Considérations sur la Révolution française, I, 274.

[262] Mme Elisabeth à la marquise de Bombelles, 13 octobre 1789.—Correspondance de Mme Elisabeth. 121.—Lettres d'un attaché de la légation de Saxe.—Revue de la Révolution, septembre 1884, p. 67.

[263] Projet de fête nationale, par Gonchon, le futur orateur révolutionnaire du faubourg Saint-Antoine.—Fourcade et Gonchon, les orateurs du faubourg Saint-Antoine, d'après des documents inédits, par V. Fournel.—Revue de la Révolution, août 1887, p. 83, 84.

[264] Mémoires de Mme Campan, 257.

[265] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 26.

[266] Histoire de Marie-Antoinette, par Montjoye, 252. Weber donne une autre version de cette anecdote. Selon lui, ce serait Lafayette qui aurait dit à la Reine: «Voyez, Madame, comme le peuple est bon quand on va au-devant de lui.»—«Oui, Monsieur, aurait répondu la Reine; mais vous savez bien qu'il n'en est pas tout à fait de même quand il vient au devant de vous.» Weber ajoute: «M. de Lafayette sentit l'application et ne répliqua rien.»—Mémoires de Weber, 290.

[267] Histoire de Marie-Antoinette, par Montjoye, 255, 256.

[268] Registre des cérémonies de l'année 1789, cité par M. de Beauchesne, Vie de Mme Elisabeth, pièces justificatives, I, 354.

[269] Mémoires de Weber, 282.

[270] Mémoires du marquis de Ferrières, I, 339.

[271] Souvenirs de quarante ans, 51.

[272] Voici les paroles de Fréteau: «Madame, le premier désir de l'Assemblée nationale, à son arrivée dans la capitale, a été de présenter au Roi le tribut de son respect et de son amour; elle n'a pu résister à l'occasion si naturelle de vous offrir ses sentiments et ses vœux. Recevez-les, Madame, tels que nous les formons, vifs, empressés, sincères. Ce serait avec une véritable satisfaction que l'Assemblée nationale contemplerait dans vos bras cet illustre enfant, le rejeton de tant de Rois tendrement chéris de leur peuple, l'héritier de Louis IX, de Henri IV, de celui dont les vertus sont l'espoir de la France. Jamais ni lui ni les auteurs de ses jours ne jouiront d'autant de prospérité que nous leur en souhaitons.»

La Reine répondit: «Je suis touchée, comme je dois l'être, des sentiments que m'exprime l'Assemblée nationale. Si j'avais été prévenue de ses intentions je l'aurais reçue d'une manière plus digne d'elle.»—Cité par Beauchesne, Louis XVII, I, 54, 55.

[273] Le marquis de Nantouillet.

[274] Registre des cérémonies de l'année 1789.—Vie de Mme Elisabeth, I, 558.

[275] Voir sur toutes ces réceptions le Registre dès cérémonies de l'année 1789.—Ibid., 554, 561.

[276] Mme Elisabeth à la marquise de Bombelles, 13 octobre 1789.—Correspondance de Mme Elisabeth, 121. Elle écrivait encore â l'abbé de Lubersac: «La Reine, qui a eu un courage incroyable, commence à être mieux vue par le peuple. J'espère donc qu'avec le temps, une conduite soutenue, nous pourrons regagner l'amour des Parisiens, qui n'ont été que trompés.» Mme Elisabeth à l'abbé Lubersac, 16 octobre 1789.—Ibid., 123.

[277] Lettre inédite du Dauphin; vente Polignac.

[278] Mme Elisabeth à la marquise de Bombelles, 13 octobre 1789.—Correspondance de Mme Elisabeth, 121.—Lettres d'un attaché de la légation de Saxe.—Revue de la Révolution, septembre 1884, 67.

[279] Dernières années de la vie et du règne de Louis XVI, par François Hue. 3e édition, 178.

[280] Rue Saint-Honoré, 85.

[281] Ce transfert ne fut effectué que sous le Consulat. Un certain nombre d'objets avaient été vendus, le reste est aujourd'hui au Musée du Louvre, soit dans la galerie d'Apollon,—matières dures,—soit dans des armoires vitrées de l'ancien Musée des souverains,—laques japonaises et porcelaines de Chine.—Voir sur ce sujet un curieux article de M. Charles Ephrussi, contenant reproduction de l'inventaire des citoyens Nitot et Besson et le dessin de quelques objets de cette collection. L'article a été publié dans la Gazette des beaux-arts du 1er novembre 1879 sous ce titre: Inventaire de la collection de la Reine Marie-Antoinette, 389-408.

[282] Mme Elisabeth à la marquise de Bombelles, 13 octobre 1789.—Correspondance de Mme Elisabeth, 120.

[283] Lettre de Mme Elisabeth à la duchesse de Polignac.—Vente Polignac.

[284] Mémoires sur la vie et le caractère de la duchesse de Polignac, 40.

[285] Lettre de Mme Elisabeth à la duchesse de Polignac.—Vente Polignac.

[286] Quelques gardes nationaux, tout étonnés de leur nouveau rôle, se familiarisaient avec les souverains. Un capitaine, nommé Gendret, marchand de dentelles de la Reine, vint un jour proposer à cette princesse de lui faire donner un concert par la musique de son bataillon. La Reine refusa cette proposition insolite.—Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 30.

[287] Lettres d'un attaché à la légation de Saxe.—Revue de la Révolution, septembre 1884, 67.

[288] Ibid.

[289] Lettre de M. Schwendt, député, au Magistrat de Strasbourg, 21 octobre 1789.—Revue d'Alsace, janvier, février, mars 1880, p. 71.—M. Schwendt écrit: «Ce matin, en sortant de chez moi, j'ai vu porter sur une pique la tête d'un boulanger.»—Voir aussi, même Revue, même numéro, la lettre de M. Levrault, délégué de la garde nationale de Strasbourg, du 22 octobre 1789, et une lettre de Boullé, député de Nantes, du 23 octobre 1789.—Revue de la Révolution, décembre 1889, 72, 73.

[290] Mémoires du marquis de Ferrières, I, 341, 342.

[291] Mémoires de Weber.

[292] L'Espion de la Révolution, par M. C., membre de plusieurs Académies, Paris, Huit, 1797, I, 106.

[293] Beaumarchais au semainier du Théâtre-Français.—Beaumarchais et son temps, par Loménie, II, 346, 347.—Voir aussi, sur cette représentation de Charles IX, Le Théâtre révolutionnaire, par Jauffret, Paris, Furne, 1869, p. 41 et suiv.—Le Théâtre de la Révolution, 1789-1799, avec des documents inédits par Henri Welschinger, 2me édition. Paris, Charavay, 1881, p. 47-48 et 195-197.—La comédie satirique au XVIIIe siècle, par G. Desnoiresterres. Paris, Perrin, 1885, 308, 311.

[294] Mémoires du marquis de Ferrières, I, 351.

[295] Le Théâtre de la Révolution, par H. Welschinger, 197.

[296] Mémoires de Mme Campan, 257.

[297] On avait prétendu qu'un complot contre la famille royale devait recevoir son exécution pendant la messe de minuit de Noël 1789, et on avait pressé le Roi et la Reine de n'y point aller, quoiqu'elle dût être dite dans la chapelle du Château; mais ils refusèrent d'écouter ce conseil de prudence, «trouvant que cet air d'inquiétude ne pouvait que produire un mauvais effet.»—Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 43.

[298] Le château des Tuileries, par P. J. A. R. D. E. (Roussel), I, 51.

[299] Millin. Magasin encyclopédique, année 1792, p. 169, cité dans la Bibliothèque de Marie-Antoinette aux Tuileries, et aussi dans la Bibliothèque de la Reine Marie-Antoinette au Petit-Trianon, par Paul Lacroix, XVIII. Le publiciste ajoute: «Ce qui nous a étonnés, ça été de n'y voir que très peu de livres écrits en allemand, langue du pays de Marie-Antoinette.»

[300] Bibliothèque de la Reine Marie-Antoinette aux Tuileries; catalogue authentique publié d'après le manuscrit de la Bibliothèque nationale, par L. Q. B. Paris, Morgand, 1884. La plupart des livres de cette bibliothèque sont aujourd'hui à la Bibliothèque Nationale, dans la Réserve. C'est le Roi lui-même qui en avait fait le classement.—Ibid. Avertissement, V.

[301] Le château des Tuileries, par P. J. A. R. D. E., I, 51-53.

[302] Souvenirs de quarante ans, 49-50.

[303] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 27-28.

[304] Ibid., I, 30, 31.

[305] Mme Elisabeth à la marquise de Bombelles, 18 octobre 1789.—Correspondance de Mme Elisabeth, 421.

[306] Souvenirs d'un page, 322.

[307] Souvenirs d'un page, 321.

[308] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 34.

[309] Ibid., I, 38.

[310] Mémoires de Mme Campan, 260.—M. le comte de Reiset raconte de son côté avoir vu chez un de ses amis, M. le marquis de Besplat, au château de la Garenne-Randon près Meulan, une des dernières tapisseries faites par la Reine à Versailles. Cette tapisserie, qui portait encore l'aiguille de la Reine passée entre les fils du canevas, représentait «des attributs de chasse, de guerre, de jardinage dans des médaillons de fil blanc entourés de guirlandes de roses sur un fond de soie amarante». Elle se composait d'un immense canapé, de six grands fauteuils et de deux causeuses.—Lettres inédites de Marie-Antoinette et de Marie Clotilde de France, publiées par le comte de Reiset. Appendice, 148.—Après les journées d'octobre le dessin devient plus simple. M. le comte de Reiset a reproduit dans son grand et bel ouvrage sur le Livre-journal de Mme Eloffe le fac-simile d'un morceau de tapisserie fait par la Reine et Mme Elisabeth aux Tuileries et au Temple. Ce sont des fleurs de diverses couleurs, roses et liserons, jetées sur un fond vert olive, très facile à exécuter. Livre-journal de Mme Eloffe, II, 395, 397.

[311] Marie-Antoinette à la duchesse de Polignac, 12 août 1789.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, III, 186.

[312] Lettre du Dauphin à la duchesse de Polignac.—Vente Polignac.

[313] Souvenirs d'un page, 323.

[314] Lettre du Dauphin à la duchesse de Polignac.—Vente Polignac.

[315] Ibid.

[316] Mémoires historiques, par Eckard, 11.

[317] Cette admirable instruction a été publiée pour la première fois par MM. de Goncourt dans leur belle Histoire de Marie-Antoinette. 2e édition, 1860.

[318] Notamment pour Brunier.—Voir les Mémoires de la duchesse de Tourzel.

[319] Histoire de Marie-Antoinette, par MM. de Goncourt. Nouvelle édition, 293, 294.

[320] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 37.

[321] Mémoires de Weber, 284, 285.

[322] Souvenirs de quarante ans, 53, 54.

[323] Le château des Tuileries, I, 54.

[324] Montjoye, Histoire de Marie-Antoinette, 252, 253.

[325] Etrennes de la vertu pour l'année 1792. Paris, Savoye, cité par MM. de Goncourt. Histoire de Marie-Antoinette. Nouvelle édition, 297.

[326] Montjoye, Histoire de Marie-Antoinette, 254.

[327] Lettre inédite de Marie-Antoinette du 20 mars 1790.—Catalogue des lettres autographes, etc., composant le cabinet de M. le baron de Girardot. Paris, Charavay, 1879.

[328] Mme Elisabeth à la marquise de Bombelles, 31 janvier 1790.—Correspondance de Mme Elisabeth, 145.

[329] Journal d'un prêtre parisien, 1789-1792, publié par la Revue de la Révolution, juin 1883, p. 166.—Ce prêtre était l'abbé Rudemare, qui mourut sous la Restauration, curé des Blancs-Manteaux.

[330] Souvenirs de quarante ans, 56, 57.

[331] Ibid.

[332] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 84.

[333] Journal d'un prêtre parisien.Revue de la Révolution, juin 1883, p. 166.—L'abbé Rudemare était alors vicaire de Saint-Germain-l'Auxerrois.

[334] Ibid.

[335] Mémoires du marquis de Ferrières, I, 398.

[336] Mémoires de Mme Campan, 264.

[337] Mémoires du marquis de Ferrières, I, 378.

[338] Mme Elisabeth à Mme de Bombelles, 23 février 1790.—Correspondance de Mme Elisabeth, 150.

[339] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 72.

[340] Mémoires du marquis de Ferrières, I, 382, 385.

[341] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 72.

[342] Mémoires d'Augeard, 197 et suiv.

[343] Ibid., 230.

[344] Discours prononcé par le Roi et la Reine, assistés de Monseigneur le Dauphin, à la séance mémorable du jeudi 4 février 1790.—Marseille, imprimerie Favet.

[345] Mémoires du marquis de Ferrières, I, 387.—Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 53, 56.

[346] Discours prononcé par le Roi et la Reine, etc., p. 5.

[347] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 37.

[348] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 58, 59.

[349] Mémorial de Gouverneur Morris, I, 289.

[350] Mémoires de Mme Campan, 266.

[351] De Beauchesne: Vie de Mme Elisabeth, I, 322, note.

[352] Joseph II à Léopold II, 10 décembre 1789.—Joseph II und Léopold von Toscana, II, 296.

[353] Joseph II à Léopold, 8 octobre 1789.—Joseph II und Léopold von Toscana, II, 218.

[354] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 81.

[355] Mémoires de Mme Campan, 272.

[356] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 80. L'Assemblée envoya néanmoins une députation faire ses compliments de condoléance à la Reine. L'abbé de Montesquiou, qui la présidait, «profita de cette occasion pour rendre au caractère de la Reine l'hommage qui lui était dû, et termina son discours par cette phrase remarquable: «L'Assemblée place son espoir, Madame, dans cette force de caractère qui élève Votre Majesté au-dessus de tous les revers.»—Ibid.

[357] Lettre de la Reine à la duchesse de Polignac; texte exact, vérifié à la vente Polignac. Il y a quelques erreurs dans le texte donné par les Mémoires sur la vie et le caractère de la duchesse de Polignac, p. 40.

[358] Ibid.

[359] Le Livre rouge. Paris, Beaudouin, imprimeur de l'Assemblée nationale, rue du Four-Saint-Jacques, no 31, 1790. L'avertissement, signé par les membres du Comité des pensions, est daté du 1er avril 1790.

[360] Voir notamment, Le Livre rouge, ou Liste des pensions secrètes sur le trésor royal, contenant les noms et qualités des pensionnaires, l'état de leurs services et des observations sur les motifs qui leur ont mérité ces traitements. De l'Imprimerie Royale, 1790. Imprimé en rouge.

[361] Mémoires de Mme Campan, 268.

[362] Anecdotes du règne de Louis XVI; cité en note dans les Mémoires de Mme Campan, 269.

[363] Marie-Antoinette à Léopold II, 29 mai 1790.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 126, 127.

[364] Mme Elisabeth à la marquise de Bombelles, 1er juin 1790.—Correspondance de Mme Elisabeth, 164. Mme de Tourzel dit que la Cour partit pour Saint-Cloud le 24 mai, le lendemain de la Fête-Dieu.—Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 108. C'est évidemment une erreur; la Fête-Dieu était le 3 juin; d'ailleurs les lettres de la Reine et de Mme Elisabeth sont formelles.

[365] Mme Elisabeth à la marquise de Bombelles, 9 juin 1790.—Correspondance de Mme Elisabeth, 166.

[366] Souvenirs de quarante ans, 61.

[367] Mme Elisabeth à la marquise de Raigecourt, 29 août 1799.—Correspondance de Mme Elisabeth, 178.

[368] Ibid.

[369] Mémoires de Mme Campan, 273.

[370] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 109.

[371] Mme Elisabeth à la marquise de Bombelles, 9 juin 1790.—Correspondance de Mme Elisabeth, 165.

[372] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 110.

[373] Souvenirs de quarante ans, 64.

[374] Mme Elisabeth à la marquise de Bombelles, 2 août 1790.—Correspondance de Mme Elisabeth, 173.

[375] Souvenirs de quarante ans, 60.

[376] Mémoires de Mme Campan, 277.

[377] Le premier Dauphin, mort à Meudon le 4 juin 1789.

[378] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 110.

[379] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 111.

[380] Mémoires sur la vie et le caractère de la duchesse de Polignac, 43.

[381] Marie-Antoinette à Mercy, 5 octobre 1790.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 139.

[382] Mémoires inédits du comte Valentin Esterhazy.Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth.

[383] Marie-Antoinette à Mercy, 5 octobre 1790.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 139.

[384] Mémoires de Weber, 294.

[385] Mémoires inédits du comte Valentin Esterhazy.Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, IV, 45.

[386] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 139.

[387] La Marck à Mirabeau, 10 juillet 1790. Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, II, 99.—Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 138.

[388] Marie-Antoinette à Mercy, 12 juin 1790.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 130, 131.

[389] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 142.

[390] Mémoires du marquis de Ferrières, II, 94.

[391] Mme Elisabeth à Mme de Bombelles, 10 juillet 1790.—Correspondance de Mme Elisabeth, 170.

[392] Souvenirs d'un page, 336.

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