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Histoire de Marie-Antoinette, Volume 2 (of 2)

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[797] Marie-Antoinette à Mercy, 12 septembre 1791.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold, II, 209.

[798] Marie-Antoinette à Mercy, 12 septembre 1791.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 210.

[799] Le comte de Stedingk à Gustave III, 21 octobre 1791.—Gustave III et la Cour de France, II, 458.

[800] Marie-Antoinette à Mercy, 21 août 1791.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 204.

[801] Mercy à Marie-Antoinette, 28 juillet 1791.—Ibid., 186.

[802] Marie-Antoinette à Mercy, 7 août 1791.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 197.

[803] Fersen à Taube, 26 juillet 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 151.

[804] Le même au même, 21 septembre 1791.—Ibid., I, 188.

[805] Journal de Fersen, 3 sept. 1791.—Ibid., I, 23.

[806] Marie-Antoinette à Mercy, 7 août 1791.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 196.—Mallet du Pan rapporte que lui et Malouet avaient fait proposer au Roi, par Montmorin, un plan dans le sens indiqué ici par la Reine: Louis XVI serait allé à l'Assemblée, et là, montrant les dépêches des Puissances, aurait déclaré que, ces Puissances ne le croyant pas libre, il fallait constater sa liberté; qu'en conséquence il demandait à aller à Compiègne ou à Fontainebleau avec sa garde propre et à y choisir un nouveau ministère, qui n'eût coopéré en rien à la Constitution.

«Ou l'Assemblée nationale eût refusé, et elle constatait la servitude du Roi; ou elle eût accepté, et le Roi se délivrait des traîtres de son Conseil; il s'en faisait un vigoureux et royaliste affectionné. M. de Montmorin a insisté à trois reprises; il s'est jeté aux genoux de la Reine; tout a été inutile. On s'est effrayé des conséquences et de la crainte d'une insurrection.»—Mémoires et correspondance de Mallet du Pan, I, 248.

Quoi qu'en dise Mallet, il nous paraît probable que la Reine avait raison; l'Assemblée n'eût pas accepté et certainement la populace n'eût pas laissé exécuter ce plan; tout au moins eût-on gardé le Dauphin comme otage, ce à quoi sa mère ne pouvait consentir.

[807] Réflexions de Burke, envoyées à la Reine de France, 20 août 1791.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, II, 246, 247.

[808] Marie-Antoinette à Mercy, 7 août 1791.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, II, 196.

[809] Mercy à Marie-Antoinette, 20 août 1791.—Ibid., II, 244.

[810] Marie-Antoinette à Mercy, 26 août 1791.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 205.

[811] Marie-Antoinette à Léopold, 8 septembre 1791.—Ibid., 207.

[812] Journal d'une bourgeoise pendant la Révolution, 51.

[813] Staël à Gustave III, 28 août, 4 septembre 1791.—Correspondance diplomatique du baron de Staël-Holstein, 228, 231.

[814] Le même au même, 28 août 1791.—Ibid., 228.

[815] Le même au même, 4 septembre 1791.—Ibid., 231.

[816] Le même au même, 28 septembre 1791.—Ibid., 228.

[817] Le comte de Stedingk à Gustave III, 21 octobre 1791.—Gustave III et la Cour de France, II, 458.

[818] Staël à Gustave III, 28 août 1791.—Correspondance diplomatique du baron de Staël-Holstein, 228.

[819] «Il se confirme dans les diverses conversations du Roi et de la Reine que, convaincus l'un et l'autre de l'impossibilité de mettre la Constitution en pratique et appréciés (?) dans cette opinion par ses fondateurs mêmes, ils semblent vouloir attendre le retour de l'opinion publique vers l'autorité royale et ne tenter aucun moyen violent, mais s'occuper uniquement à captiver l'affection du peuple.»—Staël à Gustave III, 1er septembre 1791.—Correspondance diplomatique du baron de Staël-Holstein, 230.

[820] Mémoires de Malouet, II, 161.—Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 381.

[821] Marie-Antoinette à Fersen, 26 septembre 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 192.

[822] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 383.

[823] Histoire de Louis XVI, par Droz, III, 509.

[824] Staël à Gustave III, 13 septembre 1791.—Correspondance diplomatique du baron de Staël-Holstein, 234.

[825] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 392.

[826] Staël à Gustave III, 15 septembre 1791.—Correspondance diplomatique du baron de Staël-Holstein, 235.

[827] Ibid.Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 390.—Mme Elisabeth à Mme de Raigecourt, 14 septembre 1791.—Correspondance de Mme Elisabeth, 338.

[828] Mémoires de Mme Campan, 305.

[829] Staël à Gustave III, 13 septembre 1791.—Correspondance diplomatique du baron de Staël-Holstein, 234.

[830] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 392.

[831] Mémoires de Mme Campan, 306.

[832] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 392.

[833] Mme Elisabeth à la marquise de Raigecourt, 25 septembre 1791.—Correspondance de Mme Elisabeth, 339.

[834] Mémoires de Mme Campan, 307.

[835] Staël à Gustave III, 29 septembre 1791.—Correspondance diplomatique du baron de Staël-Holstein, 239.

[836] Mme Elisabeth à la marquise de Raigecourt, 12 octobre 1791.—Correspondance de Mme Elisabeth, 353.

[837] Mémoires du marquis de Ferrières, II, 200.

[838] Lettre de Monsieur et de M. le comte d'Artois au Roi, leur frère, brochure imprimée à Pillnitz, 1791.

[839] Staël à Gustave III, 22 septembre 1791.—Correspondance diplomatique du baron de Staël-Holstein, 236.

[840] Louis XVI à ses frères, septembre 1791.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, II, 335, 336.

[841] Mémoires du marquis de Ferrières, III, 17.

[842] Papiers trouvés dans le secrétaire du Roi.

[843] Dans le langage figuré de Mme Elisabeth, le Père veut dire le Roi; la Belle-mère la Reine; le Fils ou le Futur, le comte d'Artois.

[844] Mme Elisabeth à la marquise de Raigecourt, 12 septembre 1791.—Correspondance de Mme Elisabeth.

[845] Le marquis de Raigecourt au marquis de Bombelles, 16 novembre 1791.—Papiers de famille de M. le marquis de Raigecourt.

[846] Le comte d'Artois.

[847] La marquise de Bombelles à la marquise de Raigecourt, 3 novembre 1791.—Papiers de famille de M. le marquis de Raigecourt.

[848] Voir sur toute cette double politique de la Reine et de l'émigration la Correspondance intime du comte de Vaudreuil et Coblentz, par M. E. Daudet. Voir aussi notre étude sur Marie-Antoinette et l'Emigration, publiée dans le Correspondant, en 1875. Les dissentiments avaient commencé dès la sortie de France du comte d'Artois.

[849] Fersen à Taube, 21 septembre 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 190.

[850] Marie-Antoinette à Fersen, 31 octobre 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 209.

[851] Taube à Fersen, 21 octobre 1791.—Ibid., I, 201.

[852] Fersen à Taube, 26 septembre 1791.—Ibid., I, 191.

[853] Léopold à Marie-Christine, 17 octobre 1791.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, V, 37.

[854] Le même à la même, 11 novembre 1791.—Marie-Christine, archiduchesse d'Autriche, par A. Wolf, III, 143.

[855] Gustave III et la Cour de France, II, 200.

[856] Fersen à Taube, 36 septembre 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 191.

[857] Marie-Antoinette à Fersen, 26 septembre 1791.—Ibid., I, 192.

[858] Ibid., I, 193.

[859] Fersen à Marie-Antoinette, 10 octobre 1791.—Ibid., I, 195.

[860] Marie-Antoinette à Fersen, 19 octobre 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 199.

[861] Le même au même, 2 et 7 novembre 1791.—Ibid., I, 213.

[862] Marie-Antoinette à Mercy, 28 septembre 1791.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, II, 384.

[863] «Le Roi (de France) persiste à croire que... l'action des émigrés ne ferait qu'irriter par l'imprudence qu'ils ont eue de présenter dans tous leurs écrits et déclarations le désir d'une vengeance sans bornes.»—Fersen à Gustave III, 4 mars 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 195.—Voir aussi une lettre de Fersen à Simolin du 28 mars 1792.—Ibid., II, 218.

[864] Ce projet de Congrès, qui immobilisait les émigrés, exaspérait Calonne. Il écrivait au cardinal de Bernis: «Je ne suis pas étonné que l'intrigant Breteuil, qui ne s'occupe qu'à traverser les projets des Princes et à les réduire à l'inaction, ait enfanté le projet d'un Congrès; mais je m'étonne qu'il ait pu parvenir, comme on le prétend, à le faire adopter par le cabinet de Vienne et peut-être aussi par celui de Madrid.» Calonne à Bernis, 2, 6 septembre 1791. Archives de Bernis.—Le cardinal de Bernis depuis son ministère, 518-519, note.

[865] Fersen à Taube, 4 novembre 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 216, 217.

[866] Marie-Antoinette à Léopold, 8 septembre 1791.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, II, 289.

[867] Ibid.

[868] Journal de Fersen, 14 février 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 6.

[869] Marie-Antoinette à Léopold, 8 septembre 1791.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, II, 290.

[870] Mercy à Marie-Antoinette, 6 novembre 1791.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 220.

[871] Le même à la même, 26 octobre 1791.—Ibid., 219.

[872] Marie-Antoinette à Catherine II, 3 décembre 1791.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, IV, 281.

[873] Fersen à Gustave III, 27 novembre 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 261.

[874] Marie-Antoinette à Mercy, 16 décembre 1791.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 232.—Fersen à Stedingk, 19 janvier 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 134, 135.

[875] Marie-Antoinette à Mercy, 28 septembre 1791.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, II, 385.

[876] Fersen à Gustave III, 29 février 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 181.

[877] Simolin à Catherine II, 1er mars 1792.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, V, 259.

[878] Fersen à Marie-Antoinette, 2 juin 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 386.—«Il est certain, dit Malouet, que Louis XVI, non plus que M. de Bouillé, n'a jamais eu la pensée de terminer la Révolution autrement que par une constitution raisonnable et libre.»—Mémoires de Malouet, II, 122.—A Coblentz, on reprochait à la Reine d'avoir dit qu'elle aimait mieux être la mère d'un roi constitutionnel que la femme d'un roi pourvu d'une tutelle.—Coblentz, 151.

[879] «Il ne faut pas de guerre civile, dit encore la Reine; il ne faut point, s'il est possible, de guerre étrangère.» Marie-Antoinette à Léopold, 8 septembre 1791.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, II, 309.—Voir sur le plan de la Reine toute cette lettre du 8 septembre 1791.—Ibid., 289 et suite,—et Marie-Antoinette à Catherine II, 3 décembre 1791.—Ibid., V, 276 et suiv.

[880] La Reine exposait son plan à l'impératrice de Russie, le 3 décembre 1791; à la reine d'Espagne, le 4 janvier 1792; un peu plus tard à la reine de Portugal. Elle ne recevait guère que des réponses vagues. Catherine II, qui n'aimait pas Marie-Antoinette,—Stedingk au duc de Sudermanie, 26 avril 1793,—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 415,—lui envoyait une note peu bienveillante. Voir cette note: Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, IV, 276.

[881] Le Roi de son côté recommandait ce plan à Breteuil, le 25 novembre 1791; au roi de Prusse, le 3 décembre 1791; au roi de Suède, le 10 décembre, et au roi d'Espagne vers la même époque.—Voir ces lettres dans les papiers de Fersen et le recueil de M. Feuillet de Conches.

[882] Mercy à Marie-Antoinette, 26 octobre 1791.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 218.

[883] Fersen à Marie-Antoinette, 25 octobre 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 202.

[884] Fersen à Gustave III, 19 décembre 1791.—Ibid., I, 277.

[885] Journal de Fersen, 31 octobre 1791.—Ibid., I, 33.

[886] Journal de Fersen, 14 février 1792.—Ibid., II, 7.

[887] Mounier à l'Empereur, 13 octobre 1791.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, IV, 196.

[888] Staël à Gustave III, 6 octobre 1791.—Correspondance diplomatique du baron de Staël-Holstein, 240.—La garde nationale parisienne appelait ces députés nouveaux des va-nus-pieds. «Il est vrai, ajoute la Marck, qui raconte ce fait, que plus des dix-neuf vingtièmes des membres de cette Législature n'ont d'autre équipage que des galoches et des parapluies. On a calculé que tous ces nouveaux députés ensemble n'ont pas, en biens-fonds, trois cent mille livres de revenu.»—La Marck à Mercy, 10 octobre 1791.—Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, III, 246.

[889] Staël à Gustave III, 8 octobre 1791.—Correspondance diplomatique du baron de Staël-Holstein, 241.

[890] Mémoires d'un avocat au Parlement de Paris, député à l'Assemblée législative (Hua), p. 70.

[891] La Marck à Mercy, 10 octobre 1791.—Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, III, 247.

[892] Mémoires de la duchesse de Tourzel, II, 16.

[893] Mémoires de Mme Campan, 309, 310.

[894] Marie-Antoinette à Fersen, 31 octobre 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 209.

[895] Journal de Fersen, 20 octobre 1791.—Ibid., I, 53.

[896] Le comte de Vaudreuil au comte d'Artois, 28 octobre 1791.—Correspondance intime du comte de Vaudreuil, II, 36, 38.

[897] La Reine avait dit que ce plan s'exécuterait du 15 au 20 novembre, et c'est le 23 novembre que le bruit de l'évasion s'était répandu à Coblentz. Voir à ce sujet une curieuse lettre du marquis de Raigecourt à la marquise de Bombelles, citée par nous dans notre étude sur Marie-Antoinette et l'émigration.—Correspondant du 10 avril 1875.—Le même bruit s'était répandu en Suisse.—Voir aussi une lettre de Fersen à Marie-Antoinette, du 26 novembre 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 258.

[898] Marie-Antoinette au comte de Fersen, 31 octobre 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 209.

[899] Mercy à Marie-Antoinette, 6 novembre 1791.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 220.

[900] Marie-Antoinette au comte de Fersen, 19 octobre 1791. Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 199.

[901] La Marck à Mercy, 30 octobre 1791.—Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, III, 259.

[902] Marie-Antoinette au comte de Fersen, 19 octobre 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 199.

[903] La Marck à Mercy, 10 octobre 1791.—Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, III, 249.

[904] La Marck à Mercy, 30 octobre 1791.—Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, III, 259.

[905] Staël à Gustave III, 8 octobre 1791.—Correspondance diplomatique du baron de Staël-Holstein, 241. Marie-Antoinette au comte de Fersen, 31 octobre 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 219. Le comte de Vaudreuil à l'empereur Léopold, 31 octobre 1791.—Correspondance intime du comte de Vaudreuil, II, 42.

[906] Marie-Antoinette au comte de Fersen, 19 octobre 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 199, 200.

[907] Le prince de Nassau à Catherine II, 16 décembre 1791.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, IV, 321.

[908] Mme Elisabeth à la marquise de Raigecourt, 17 novembre 1791.—Correspondance de Mme Elisabeth, 366.

[909] Mémoires de Mme Campan.

[910] Le prince de Nassau à Catherine II, 16 décembre 1791.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, IV, 317.

[911] Marie-Antoinette au comte de Fersen, 31 octobre 1791. Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 209.

[912] C'était la Reine qui avait empêché M. et Mme de Lescure, la future marquise de la Rochejacquelein, d'émigrer. «Les défenseurs du trône sont toujours bien, quand ils sont auprès du Roi,» avait-elle fait dire à Mme de Lescure.—Voir le récit de cette scène dans les Mémoires de la marquise de la Rochejacquelein. Edition originale. Paris, Bourloton, 1889, p. 66 et suiv.

[913] Marie-Antoinette au comte de Fersen, 31 octobre 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 207.

[914] Marie-Antoinette au comte de Fersen, 7 décembre 1791, I, 269.—Le comte de Fersen et la Cour de France.

[915] Marie-Antoinette au comte de Fersen, 31 octobre 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 207.

[916] Le baron de Taube au comte de Fersen, 28 février 1792.—Ibid., II, 178.

[917] Note autographe de l'impératrice sur la lettre de la Reine de France.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, IV, 282.

[918] Le comte de Fersen au comte de Stedingk, 19 janvier 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 135.

[919] Journal du comte de Fersen, 6 octobre 1791.—Ibid., I, 31.

[920] Marie-Antoinette à Mercy, 25 novembre 1791.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 226.

[921] Mercy à Marie-Antoinette, 21 novembre 1791.—Ibid., 224.

[922] Mercy à Marie-Antoinette, 30 novembre 1791.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 227.

[923] Ibid.

[924] Journal de Fersen, 2 novembre 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 33.

[925] Marie-Antoinette à Mercy, 16 décembre 1791.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 233 et suiv.

[926] Marie-Antoinette au comte de Fersen, 7 décembre 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 270.

[927] Mémoires de la duchesse de Tourzel, II, 107, 108.

[928] Citée et donnée en fac-simile par Beauchesne.—Louis XVII, I, 172.

[929] Réponse aux reproches qu'on nous a fait de n'avoir rien dit à Marie-Antoinette pour l'année 1792.Révolutions de Paris, no 131, p. 52.

[930] Marie-Antoinette au comte de Fersen. 31 octobre 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 208.

[931] La même au même, 19 octobre 1791.—Ibid., I, 199.

[932] La même au même, 31 octobre 1791.—Ibid., I, 208.

[933] Monsieur, le 3 décembre, le comte d'Artois, le 5 décembre.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, IV, 260, 261.

[934] Fragments de mémoires de M. le baron de Goguelat.—Mémoires de tous, III, 398, 405.

[935] Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck.

[936] Marie-Antoinette au comte de Fersen, 9 décembre 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 271.

[937] Mercy à Marie-Antoinette, 2 janvier 1792.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 239.

[938] Le comte de Fersen à Marie-Antoinette, 6 janvier 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 114.

[939] Journal du comte de Fersen, 21 janvier 1792.—Ibid., II, 3.

[940] Le comte de Fersen à Marie-Antoinette, 6 février 1792.—Ibid., II, 166.

[941] Frédéric-Guillaume au Roi de France, 14 janvier 1792.—Ibid., II, 129.

[942] Le comte de Fersen à Gustave III, 15 janvier 1792.—Ibid., II, 131.

[943] «On craint beaucoup ici que l'Empereur n'adopte l'idée d'un Congrès. Je crois qu'on aime mieux ici avoir la guerre.»—Staël à Gustave III, 8 janvier 1792.—Corresp. diplom. du baron de Staël-Holstein, 247.

[944] Cependant Mme de Tourzel raconte que M. de Narbonne, ministre de la guerre, avait demandé à la Reine de le faire nommer premier ministre, promettant «d'occuper la nation d'une guerre, qu'on lui ferait regarder comme nationale, pour parvenir, par ce moyen, à rendre au Roi l'autorité nécessaire pour le bonheur de la France». La Reine n'avait fait que rire de cette proposition, n'ayant point confiance en M. de Narbonne, qu'elle savait fort ambitieux.—Mémoires de la duchesse de Tourzel, II, 30 et 31.

[945] Le comte de Fersen au baron de Taube, 21 mars 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 215.—Voir, sur toutes ces relations de la Reine avec les Constitutionnels, cette lettre de Fersen à Taube et une autre du même jour à Gustave III.

[946] Marie-Antoinette à Léopold II, janvier 1792.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 240.

[947] Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, I, 266.

[948] Simolin à Catherine II, 11 février 1792.—-Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, V, 169.

[949] Le même à la même, même date.—Ibid., V, 165 et suiv.

[950] Journal du comte de Fersen, 9 février 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 4.

[951] Ibid.—Simolin à Catherine II, 11 février 1792.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, V, 171.

[952] Simolin à Catherine II, 11 février 1792.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, V, 170.

[953] Marie-Antoinette au comte de Mercy, février 1792.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 244, 245.

[954] Le comte de Fersen au baron d'Ehrenswaerdt, 12 janvier 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 115.

[955] Le comte de Fersen à Marie-Antoinette, 24 janvier 1792.—Ibid., II, 145.

[956] Mémoire du roi de Suède au Roi de France.—II, 288 et suiv.

[957] Le baron de Taube au comte de Fersen, 16 décembre 1791.—Ibid., I, 275.

[958] Une note du marquis de Bombelles est ainsi conçue: «De Compiègne on peut, par une suite non interrompue de forêts, se rendre à la frontière sans passer par un seul village; il n'y a qu'un moulin qu'il serait aisé de garnir à temps, et quant à un ou deux passages de rivières, on se servirait de nacelles de cuir, dont les contrebandiers font un usage aussi fréquent que sûr.»—Note du marquis de Bombelles à Catherine II.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, V, 191. Le comte de Vaudreuil parle aussi, dans sa correspondance, d'un inspecteur de chasses nommé Brou, «homme plein d'intelligence, de courage et de fidélité, qui, avec l'aide de gardes bien montés et aussi sûrs que braves» promettait, sur sa tête, de faire évader la famille Royale. Ce Brou était-il un des auteurs et futurs acteurs du plan d'évasion par les forêts?—Le comte de Vaudreuil au comte d'Artois, 20 octobre 1791.—Correspondance intime du comte de Vaudreuil, II, 32.

[959] Le comte de Fersen à Gustave III, 29 février 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 179, 180.

[960] Le baron de Taube au comte de Fersen, 16 février 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 168. Les Princes avaient, à la même époque, un autre plan d'évasion de la famille royale tout entière. Ce plan avait une certaine analogie avec celui de Fersen, en ce qu'il passait par les forêts et évitait les villages; il aboutissait sur le territoire autrichien, à Marquenoise, à 47 ou 48 lieues de Paris.—En voir les détails dans Coblentz, par C. Daudet. Pièces justificatives, 357 et suiv.

[961] Mémorial de Gouverneur Morris, note, I, 350.

[962] Journal du comte de Fersen, 29 janvier 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 4.

[963] Même journal, 20 janvier 1792.—Ibid., II, 3.

[964] Le comte de Fersen et la Cour de France. Extrait d'une dépêche de la Cour de Saint-Pétersbourg à M. de Zinowief.—Ibid., II, 174.

[965] Journal de Fersen, 3 février 1792. Le comte de Fersen à Gustave III, 5 février 1792.—Ibid., 163.

[966] Malgré l'avis de Fersen. Le comte de Fersen à Marie-Antoinette, 8 février 1792.—Ibid., II, 167.

[967] Journal du comte de Fersen, 12 février 1792.—Ibid., II, 5.

[968] Même journal, même date.—Ibid., II, 5.

[969] Le comte de Fersen au baron de Taube, 26 février 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 177.

[970] Le comte de Fersen à Gustave III, 29 février 1792.—Ibid., II, 179.

[971] Le comte de Fersen au baron de Taube, 26 février 1792.—Ibid., II, 177.

[972] Le comte de Fersen à Gustave III, 29 février 1792.—Ibid., II, 179.

[973] Le comte de Fersen au baron de Taube, 26 février 1792.—Ibid., II, 177.

[974] Journal du comte de Fersen, 14 février 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 6 et 7.

[975] Journal du comte de Fersen, 14 février 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 6 et 7.

[976] Le comte de Fersen à Gustave III, 29 février 1792.—Ibid., II, 182.

[977] Marie-Antoinette au comte de Fersen.

[978] Journal du comte de Fersen, 14 février 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 7.

[979] Le comte de Fersen à Gustave III, 29 février 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 182.

[980] Le comte de Fersen au baron de Taube, 26 février 1792.—Ibid., II, 177.

[981] Le même au même, même date.—Ibid., II, 177.

[982] Mémoires de Mme Campan, 308.

[983] Mme Elisabeth à la marquise de Bombelles, 22 février 1792.—Correspondance de Mme Elisabeth, 392.—Voir aussi une lettre de la même date à la marquise de Raigecourt.

[984] Mémoires de Mme Campan, 308.

[985] Le comte de Fersen au baron de Taube, 27 février 1793.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 177.

[986] Simolin à Catherine II, 1er mars 1792.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, V, 259.

[987] Le comte de Fersen à Gustave III, 11 mars 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 205.—Voir aussi le comte de Vaudreuil au comte d'Artois, 7 mars 1792.—Correspondance intime du comte de Vaudreuil, II, 58, 59.

[988] Simolin à Catherine II, 1er mars 1792.—Louis XVI, Marie-Antoinette, e t Mme Elisabeth, V, 263.

[989] Le comte de Fersen à Gustave III, 11 mars 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 205.

[990] Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, V, 313.

[991] Mémoires de Mme Campan, 317. Le comte de Vaudreuil au comte d'Artois, 7 mars 1792.—Correspondance intime du comte de Vaudreuil, II, 62.

[992] Dépêche du marquis de Noailles, du 6 mars 1792.

[993] La marquise de Raigecourt au marquis de Raigecourt, 12 avril 1792.—Papiers de famille à M. le marquis de Raigecourt.

[994] Simolin à Catherine II, 17 mars 1792.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, V, 312.

[995] Le comte de Fersen à Gustave III, 24 mars 1792.—Ibid., V, 362.

[996] Marie-Antoinette au comte de Mercy, 2 mars 1792.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 255.

[997] C'est l'opinion de l'éditeur des Papiers de Fersen. On voit également, dans les Papiers du marquis de Raigecourt, que la mort de Gustave était annoncée à Paris quinze jours avant l'attentat d'Ankarstroëm. C'est ce que Prudhomme appelait cyniquement: «une épizootie de têtes couronnées.»—Révolutions de Paris, no 145, p. 108.

[998] Gustave III et la Cour de France, II, 294.

[999] Révolutions de Paris, no 143, p. 5 et 7.

[1000] Révolutions de Paris, no 143, p. 6.

[1001] Mémoires de la duchesse de Tourzel, II, 75.

[1002] Ibid., II, 73.

[1003] Le 3 mars, Simonneau, maire d'Etampes, avait été assassiné dans une émeute causée par la cherté des grains.

[1004] Marie-Antoinette au comte de Mercy, 2 mars 1792.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 255.

[1005] Mémoires de Mme Campan, 328.

[1006] Mémoires de la duchesse de Tourzel, II, 46.

[1007] Mémoires de Mme Campan, 328.

[1008] Le comte de Fersen à M. de Simolin, 28 mars 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 219.

[1009] Mémoires de Mallet du Pan, I, 261.

[1010] Le comte de Fersen à M. de Simolin, 28 mars 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 219.

[1011] Mémoires de la duchesse de Tourzel, II, 109.

[1012] Le baron de Breteuil à François II, 20 mars 1792.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, V, 356.

[1013] Mémoires de la duchesse de Tourzel, II, 110.

[1014] Ibid., II, 109.—Mme Campan avait même la précaution d'emporter chez elle une partie de ces papiers afin qu'il n'y eût pas chez la Reine trace d'un trop grand nombre de papiers brûlés.

[1015] Mme Elisabeth à la marquise de Raigecourt,—25 mars 1792.—Correspondance de Mme Elisabeth, 401.

[1016] La Révolution, par E. Quinet, II,38.

[1017] Mémoires de Dumouriez.Mémoires de Mme Campan, 335.

[1018] Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, V, 330, 331.

[1019] Etude sur Mme Roland et sur son temps, par M. Dauban, Paris, Plon, 1863, p. LXXXIX. Mme Rolland écrivait encore le 1er juillet 1791, à Bancal des Issarts: «Le Roi est tombé au dernier degré de l'avilissement et il n'inspire que du mépris... Sa personne n'a plus d'autre dénomination que celle de Louis le Faux ou de gros cochon.» Ibid., CIII.

[1020] Mémoires de Mme Campan, 325.

[1021] Mme Elisabeth à la marquise de Raigecourt, 18 avril 1792.—Correspondance de Mme Elisabeth, 404.

[1022] Numéros 120 et 123 du Père Duchesne.—Le 1er est intitulé: «Les grands préparatifs du P. Duchesne pour recevoir les Suisses de Châteauvieux. La grande Ribotte qu'il leur prépare pour les consoler de tous les tourments qu'ils ont endurés pour la liberté. Sa grande joie de voir Madame Veto manger du fromage le jour où ces braves b... seront conduits en triomphe dans Paris. Invitations à tous les sans-culottes, à tous les bonnets de laine de l'armée des Piques, de profiter de cette occasion pour purifier le Champ-de-Mars.»

Le second est intitulé: «Contre les Valets et les Mouchards de Madame Veto qui veulent empêcher la fête que les bons citoyens préparent pour recevoir les Suisses de Châteauvieux. La grande consigne à tous les sans-culottes pour qu'ils aiguisent leurs piques, pour f... le tour aux Aristocrates qui veulent troubler cette fête.»

[1023] Marie-Antoinette au comte de Mercy, 2 mars 1792.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 257.

[1024] Marie-Antoinette au comte de Fersen, 7 décembre 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 270.

[1025] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 372.—Mme de Tourzel dit encore: «Ce jeune prince était charmant pour la Reine et ne perdait pas une occasion de lui dire des choses tendres et aimables. Aussi l'aimait-elle passionnément, mais d'une tendresse éclairée, ne le gâtant jamais, et le reprenant toutes les fois qu'elle le trouvait en faute.»—Ibid., II, 17.

[1026] Louis XVII, I, 161.

[1027] Mémoires de Bertrand de Molleville, II, 97.

[1028] «Je suis bien tourmentée dans ce moment pour le gouverneur de mon fils. Nous nous sommes décidés pour M. de Fleurieu, mais nous ne savons pas encore le moment où nous le dirons.» Marie-Antoinette au comte de Fersen, 30 mars 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 220.

[1029] Le Roi, pour couvrir sa responsabilité dans une mesure si grave et à laquelle il répugnait extrêmement, avait tenu à se faire remettre par chaque ministre son avis motivé et signé. Ces avis ne se retrouvèrent pas dans l'armoire de fer. Servan accuse Roland de les avoir fait disparaître.—Servan à Mallet du Pan, 11 mai 1795.—Mémoires de Malouet, II, 429.

[1030] Marie-Antoinette au comte de Fersen, 15 avril 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 230.

[1031] La même au même, 30 mars 1792.—Ibid., II, 221.

[1032] La répugnance de la Reine pour les émigrés était plus vive que jamais. Lorsque le marquis de Jaucourt fut nommé à la Législative, il se fit excuser par sa sœur, la comtesse du Cayla, d'avoir cessé de paraître à la Cour. «Mon frère craint de déplaire à Votre Majesté,» disait Mme du Cayla à Marie-Antoinette.—«Dites bien à M. de Jaucourt, répondit la Reine, que je l'aime infiniment mieux à l'Assemblée qu'à Coblentz.»—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, V, 428, note.

[1033] Marie-Antoinette au comte de Mercy, 30 avril 1792.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 263, 264.

[1034] Sur ces deux derniers points, Mallet réussit pleinement: «On me déclare positivement, dit-il dans ses notes sur les conférences qu'il avait eues avec les ministres de Prusse et d'Autriche, qu'aucune vue d'ambition, d'intérêt personnel, de démembrement n'entre dans le but de la guerre. On m'en donne la certitude, ainsi que, loin d'imposer un gouvernement, on laissera le Roi absolument maître de se concerter là-dessus avec son peupleMémoires de Mallet du Pan, I, 308.—La Reine de Naples écrivait un peu plus tard de son côté que son frère Léopold «avait fait le vœu de ne pas faire de conquêtes et l'aurait tenu.» Journal du comte de Fersen, 30 août 1793.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 91.

[1035] Voir sur toute cette mission de Mallet du Pan ses Mémoires, I, 280 et suiv.

[1036] Marie-Antoinette au comte de Mercy, 26 mars 1792.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 259.

[1037] Le comte de Fersen à Gustave III, 8 mars 1792. Le comte de Fersen à Marie-Antoinette, 24 avril 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 210, 242.

[1038] Le comte de Fersen au roi de Suède, 29 avril 1790.—Ibid., II, 252.

[1039] Après la déclaration de guerre même, Royal-Allemand déserta le 6 mai, les hussards de Berchiny, le 12.—Répertoire de la Révolution.

[1040] Mémoires du comte de Vaublanc.

[1041] Mémoires de Malouet, II, 216 et suiv.

[1042] Pellenc à la Marck, 11 mars 1792.—Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, III, 297.

[1043] Mémoires de Lafayette, III, 346.

[1044] Lettres de Coray au Protopsalte de Smyrne, Dimitrios Lotos, sur les événements de la Révolution française, 145.

[1045] Lettres de Coray au Protopsalte de Smyrne, 145.

[1046] La Reine craignant, si Mme de Lamballe ne rentrait pas en France, d'être contrainte de lui enlever sa place de surintendante, l'avait rappelée. La princesse était revenue; son appartement n'était séparé de celui de la Reine que par un palier d'escalier.—Mémoires de la duchesse de Tourzel, II, 105.

[1047] Le comte de Fersen au roi de Suède, 13 juin 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 299.

[1048] Louis XVI au Président de l'Assemblée, 20 mai 1792.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, VI, 56.

[1049] Louis XVI à la municipalité, 23 mai 1792.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, VI, 62.

[1050] Lettres de Coray au Protopsalte de Smyrne, 146.

[1051] Malouet prétend qu'on aurait pu réunir en ce moment, pour la défense de la famille royale, un corps de six mille hommes.

[1052] Voir sur les bonnes dispositions de la garde constitutionnelle, son dévouement au Roi et son désir d'éviter les conflits avec la garde nationale, les Mémoires de la duchesse de Tourzel, II, 49 et suiv.

[1053] Mme Elisabeth à la marquise de Raigecourt, 3 juin 1792.—Correspondance de Mme Elisabeth, 410.

[1054] Malouet dit douze cents; mais le chiffre exact, donné aussi d'ailleurs par Mme de Tourzel, est de dix-huit cents.

[1055] Mémoires de la duchesse de Tourzel, II, 118, 119.—Mémoires de Malouet, II, 211, 212.

[1056] Mémoires de Mme Campan, 327.

[1057] Mémoires de Dumouriez, I, 459.

[1058] Etude sur Mme Roland, par M. Dauban, 356, note.

[1059] Mémoires de Dumouriez, I, 459.

[1060] Histoire de la Terreur, par Mortimer-Ternaux, I, 125.

[1061] Mémoires de Dumouriez, I, 450-476.

[1062] Louis XVI, par le comte de Falloux, 268.

[1063] Dernières années du règne et de la vie de Louis XVI, par Hue, 282.

[1064] Malouet à Mallet du Pan, 29 juin 1792.—Mémoires de Malouet, II, 351.

[1065] Journal d'une bourgeoise pendant la Révolution, p. 133.

[1066] Ibid., 132.

[1067] La salle du Manège occupait remplacement d'une partie de la rue de Rivoli, à l'endroit où elle se croise avec la rue de Castiglione.

[1068] Le Journal d'une bourgeoise de Paris, avec son emphase révolutionnaire, l'appelle «un nouveau Cicéron».—Journal d'une bourgeoise de Paris, 137.

[1069] Journal d'une bourgeoise pendant la Révolution, 138.

[1070] Bulletin de ce qui s'est passé aux Tuileries, le 20 juin 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 307.

[1071] Mémoires de la duchesse de Tourzel, II, 139.

[1072] Ibid., II, 140.

[1073] Bulletin avec détails sur ce qui s'est passé aux Tuileries le 20 juin 1792, par Bergstedt, chargé d'affaires de Suède.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 304.

[1074] Ibid., II, 303.

[1075] Bulletin avec détails de ce qui s'est passé aux Tuileries le 20 juin 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 304.

[1076] Lettres de Coray au Protopsalte de Smyrne, 151.

[1077] Certains témoins disent 5 heures; les autres disent 6 heures.

[1078] Bulletin avec détails de ce qui s'est passé aux Tuileries le 20 juin 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 304.

[1079] Bulletin de ce qui s'est passé aux Tuileries.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 307.

[1080] Ibid., II, 304.—Les dernières années du règne de Louis XVI, par Hue, 272.

[1081] Ibid., 273, 274.—Mme Elisabeth à la marquise de Raigecourt, 3 juillet 1792.—Correspondance de Mme Elisabeth, 419.—Mémoires de la duchesse de Tourzel, II, 143.

[1082] Mémoires de la duchesse de Tourzel, II, 146.

[1083] Souvenirs d'émigration, par la marquise de Lâge, 32.

[1084] Bulletin de ce qui s'est passé aux Tuileries.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 304.

[1085] Mémoires de la duchesse de Tourzel, II, 147.

[1086] Mémoires de Mme Campan, 331.

[1087] Souvenirs d'émigration, par la marquise de Lâge, 33.

[1088] Souvenirs d'émigration, par la marquise de Lâge, 33.

[1089] Mémoires de Mme Campan, 332.

[1090] Dernières années du règne de Louis XVI, par Hue, p.

[1091] Souvenirs d'émigration, par la marquise de Lâge, 32.

[1092] Dernières années du règne de Louis XVI, par Hue, 275.—Mémoires de Weber, 292.

[1093] Mémoires de la duchesse de Tourzel, II, 149.—Les appartements du Roi, du Dauphin et de Madame Royale étaient ravagés; les portes et les panneaux brisés; les serrures emportées. L'appartement seul de la Reine avait été épargné, parce que les bandes n'y étaient point entrées. La Reine tint à montrer ces dégâts aux députés avant leur départ.

[1094] Billet sans date, mais sur lequel Fersen a écrit: reçu le 9 juillet.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 319.

[1095] Mémoires de la duchesse de Tourzel, II, 154.

[1096] Lettres de Coray au Protopsalte de Smyrne, 155.

[1097] Mémoires de Malouet, II, 113.

[1098] Lettre de Lafayette à l'Assemblée.—Mémoires de Lafayette, III, 339.

[1099] Lafayette, dans ses Mémoires, fort hostiles à Marie-Antoinette, accuse la Cour et en particulier la Reine de lui avoir fait mauvais accueil et d'avoir fait échouer ses projets. Ceci est démenti formellement par Mme de Tourzel. «M. de Lafayette, dit-elle, s'était présenté au Roi comme défenseur de l'autorité royale, n'ayant d'autre but que de chasser les Jacobins et d'employer pour y parvenir l'ascendant qu'il croyait avoir conservé sur la garde nationale. On demanda à tout ce qui était attaché au Roi d'avoir pour lui beaucoup d'égards, et comme son expédition devait avoir lieu le jour même, on avait établi une grande surveillance dans le Château et engagé tous ceux qui l'habitaient à n'en pas sortir ou à être rentrés à huit heures du soir. M. de Lafayette fit la triste expérience du peu de crédit qu'il avait conservé; il ne put retenir qu'une douzaine de gardes nationaux et vit évanouir en quelques heures les espérances qu'il avait fait concevoir sur le succès de sa démarche.»—Mémoires de la duchesse de Tourzel, II, 161.

[1100] Marie-Antoinette au comte de Mercy, 4 juillet 1792.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 265.

[1101] Cité par Beauchesne, Vie de Mme Elisabeth, I, 450.

[1102] Marie-Antoinette au comte de Fersen, 1er août 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 340.

[1103] Le Journal d'une bourgeoise de Paris (p. 210) attribue ce fait à une dame.

[1104] Marie-Antoinette au comte de Fersen, 21 juillet 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 330.

[1105] Hue, 300-302.—Mémoires de Mme Campan, 341, 342.—La dernière fois que la Reine parut dans le jardin, sur la terrasse, elle fut brutalement insultée par les fédérés. Cette fois la garde nationale,—c'était le brave bataillon des Filles-Saint-Thomas,—intervint et força les fédérés à se taire. Comme la Reine rentrait au Château, un violent orage éclata; le tonnerre tomba à plusieurs reprises aux environs des Tuileries. Peu de jours après, d'Eprémesnil, s'étant hasardé sur la terrasse des Feuillants, fut reconnu, frappé et eût été massacré sans l'arrivée de la garde nationale.—Mémoires de la duchesse de Tourzel, II, 188-190.

[1106] Hue, Dernières années du règne de Louis XVI, 284.

[1107] G. Morris à Jefferson, 10 juillet 1792.—Mémorial de G. Morris, II, 155.

[1108] Le même au même, 1er août 1792.—Ibid., II, 159.

[1109] Mémoires de Mme Campan, 337.

[1110] Mémoires de la duchesse de Tourzel, II, 199.

[1111] Souvenirs de quarante ans, 117.

[1112] Mémoires de Mme Campan, 140.

[1113] Mémoires de la duchesse de Tourzel, II, 195.

[1114] Mémoires de la duchesse de Tourzel.

[1115] Mémoires de Mme Campan, 333, 384.

[1116] Mme Elisabeth à la marquise de Raigecourt, 18 juillet 1792.—Correspondance de Mme Elisabeth, 425.

[1117] Le comte de Montmorin au comte de la Marck, 13 juillet 1792.—Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, III, 324.

[1118] Marie-Antoinette au comte de Fersen, 11 et 15 juillet 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 326, 327.

[1119] La même au même, 6 juillet 1792.—Ibid., II, 318.

[1120] Elle y consentit cependant un peu plus tard, s'il faut en croire Mme de Tourzel: «M. de Paroy, craignant pour les jours de Leurs Majestés et ceux de monseigneur le Dauphin, me pria d'offrir de sa part à la Reine trois cuirasses de douze doubles de taffetas, impénétrables à la balle et au poignard, qu'il avait fait faire pour elle, pour le Roi et pour monseigneur le Dauphin, et me remit un poignard pour en faire l'essai. Je les portai chez la Reine qui essaya sur-le-champ celle qui lui était destinée et, me voyant le poignard entre les mains, elle me dit du plus grand sans-froid: «Frappez-moi pour en faire l'essai.» Je ne pus soutenir une pareille idée qui me fit frémir et je lui déclarai que rien ne me déterminerait à un pareil geste. Elle ôta sa cuirasse dont je me saisis, je la mis sur ma robe et la frappai du poignard, qui, comme l'avait dit M. de Paroy, la trouva impénétrable à ses coups. La Reine convint alors avec le Roi que chacun d'eux s'en revêtirait, à la première apparence de danger, ce qui fut exécuté.»—Mémoires de la duchesse de Tourzel, II, 204, 205.

[1121] Dernières années du règne de Louis XVI, 371.—Mémoires de Mme Campan, 334.

[1122] Marie-Antoinette à la landgrave de Hesse-Darmstadt, juillet 1792.—Lettres de la Reine Marie-Antoinette à la landgrave Louise de Hesse-Darmstadt, 47.

[1123] Mémoires de la duchesse de Tourzel, II, 108, 109.

[1124] Mémoires de Malouet, II, 221-223.

[1125] Mémoires de Malouet, II, 224-226.—Mémoires de la duchesse de Tourzel, II, 178, 179.

[1126] Lettre de Lally-Tolendal au Roi, 9 juillet 1792.—Histoire de la Révolution, par Thiers, II, 440, note.

[1127] Un ministre de Louis XVI, Terrier de Montciel par Pingaud, Correspondant du 25 août 1879, p. 590.

[1128] Journal du comte de Fersen, 30 août 1793.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 43.

[1129] Mémoires de la duchesse de Tourzel, II, 179.

[1130] Mémorial de Gouverneur Morris, I, 345.

[1131] Note de Lally-Tolendal, citée par Malouet.—Mémoires de Malouet, II, 232, note.

[1132] Marie-Antoinette au comte de Fersen, 11 juillet 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 326.

[1133] Mémoires de Mme Campan, 336.

[1134] Le comte de la Marck au comte de Mercy, 9 novembre 1790.—Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, II, 300.

[1135] Journal du comte de Fersen, 9 juillet 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 21.—Le comte de Fersen à Marie-Antoinette, 10 juillet, 26 juillet 1791.—Ibid., II, 323,336.—Le comte de Mercy à Marie-Antoinette, 9 juillet 1772.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 266.

[1136] Mémorial de Gouverneur Morris, I, 345.

[1137] Le comte de Montmorin au comte de la Marck, 13 juillet 1792.—Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, III, 325.

[1138] Mme de Staël. Considérations sur la France, I, 382.

[1139] Ibid., I, 381.

[1140] Mémoires de la duchesse de Tourzel, II, 177, 178.

[1141] Mme de Staël. Considérations sur la France, I, 381.

[1142] Mémoires de Weber, 413.

[1143] Mme Elisabeth à la marquise de Raigecourt, 18 juillet 1792.—Correspondance de Mme Elisabeth, 425.

[1144] Marie-Antoinette au comte de Fersen, 21 juillet 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 330.

[1145] La même au même, 15 juillet 1792.—Ibid., II, 228.—Mme Elisabeth à la marquise de Raigecourt, 18 juillet 1772.—Correspondance de Mme Elisabeth, 42.

[1146] Mémoires de la duchesse de Tourzel, II, 187, 188.

[1147] Mémoires de Mme Campan, 337, 338.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, VI, 231, 232.

[1148] Mémoires de Mme Campan, 340, 341.

[1149] Souvenirs d'émigration, de la marquise de Lâge, 40.—La marquise de Lâge prétend, sur la foi de l'abbé de Montesquiou, qu'à un certain moment le Roi, convaincu par la Reine et Mme Elisabeth que sa faiblesse avait singulièrement favorisé les factieux, s'était tracé à lui-même un plan de conduite, rempli de sagesse et d'énergie. Quel était ce plan et pourquoi le Roi, après l'avoir arrêté, ne le suivit-il pas? La marquise de Lâge ne le dit pas.

[1150] «Mon père me presse de revenir et de tout abandonner; c'est ce que je ne ferai jamais, dussé-je être réduit à la misère.»—Le comte de Fersen à Marie-Antoinette, 24 avril 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 242, 243.

[1151] Ibid. Introduction, I, LXVI.

[1152] Marie-Antoinette au comte de Fersen, 24 juillet 1792.—II, 332, 333.

[1153] Rœderer. Chronique de cinquante jours, 265, 266.

[1154] Le réveil d'alarme, par Blanc Gilly, cité par Mortimer-Ternaux.—Histoire de la Terreur, II, 143.

[1155] Ils n'étaient que 166.

[1156] Marie-Antoinette au comte de Fersen, 1er août 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 340, 341.

[1157] Le comte de Fersen à Marie-Antoinette, 28 juillet 1792.—Ibid., II, 338.

[1158] Ibid.

[1159] Le même à la même, 30 juin 1792.—Ibid., II, 315.

[1160] Journal du comte de Fersen, 29 juillet 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 25, note.—Le comte de Fersen à Marie-Antoinette, 7 et 10 août 1792.—Ibid., II, 343, 345.

[1161] Le comte de Fersen à Marie-Antoinette, 7 août 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 343.

[1162] Le même à la même, 10 août 1792.—Ibid., II, 345.

[1163] Le comte de Fersen au baron de Taube, 29 juillet 1792. Ibid., II, 339.—Voir également le comte de Fersen à Marie-Antoinette, 28 juillet, 8 et 10 août 1792.—Ibid., II, 337, 343, 345.

[1164] Le comte de Fersen à Marie-Antoinette, 10 août 1792.—Ibid., II, 345.

[1165] Il faut dire qu'à Paris, même parmi des hommes éclairés, cette même croyance avait cours: «Comme l'opinion générale parmi les citoyens, écrivait G. Morris à la date du 10 juin, est qu'aucune opposition sérieuse ne sera faite aux troupes autrichiennes et prussiennes, s'approchant de la capitale, ils,—les gardes nationaux,—regardent la personne de Louis XVI comme la protection la plus efficace qu'ils puissent garder contre le pillage et les insultes.» G. Morris à Jefferson, 10 juin 1792. Voir aussi le même au même, 10 juillet 1792.—Mémorial de G. Morris, II, 145, 146.

[1166] Mercy à Marie-Antoinette, 9 juillet 1792.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 266.

[1167] Le comte de Fersen à Marie-Antoinette, 26 juillet 1793.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 336.

[1168] Mémoires de Mme Campan, 340.

[1169] Le comte de Fersen à Marie-Antoinette, 26 juillet 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 336.

[1170] Dépêche du comte de Mercy au cabinet de Vienne, 3 octobre 1792.—Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, III, 349.—Mercy avait été si mécontent du manifeste, qu'il aurait voulu que le cabinet de Vienne en fit un autre pour détruire le mauvais effet du premier. G. Morris avait la même impression que Mercy: «La déclaration du duc de Brunswick, écrivait-il, peut se traduire ainsi en peu de mots: soyez tous contre moi, car je suis contre vous tous, et faites bonne résistance, car vous n'avez pas d'espoir.»—G. Morris à Mme Dubourg, 7 août 1792. Mémorial de G. Morris, II, 174. Le manifeste avait été connu à Paris le 31 juillet.—Lettres de Coray au Protopsalte de Smyrne, 160.

[1171] G. Morris à Jefferson, 1er août 1792.—Mémorial de G. Morris, II, 160.

[1172] Ibid.

[1173] Histoire de la Terreur, par Mortimner-Ternaux, II, 173.—Histoire de la Révolution française, par Thiers, II, 222.

[1174] Dernières années du règne de Louis XVI, par Hue, 310.

[1175] Histoire de la conspiration du 10 août, par Bigot de Sainte-Croix, 16.

[1176] Histoire de la Terreur, par Mortimer-Ternaux, II, 196.

[1177] Mémoires de la duchesse de Tourzel, III, 206.

[1178] Dernières années du règne de Louis XVI, par Hue, 305.

[1179] Malouet à Mallet du Pan, 28 juillet 1792.—Mémoires de Malouet, II, 357.

[1180] Lettre de M. de Forestier, publiée par Nettement. Critique des Girondins, citée par Beauchesne.—Louis XVII, 211.—Détails particuliers sur la journée du 10 août par un bourgeois de Paris. Mémoires de Weber. Pièces justificatives, 486.

[1181] Mémoires de la duchesse de Tourzel, II, 170.

[1182] Détails particuliers sur la journée du 10 août par un bourgeois de Paris et Récit de la conduite du régiment des gardes suisses à la journée du 10 août. Mémoires de Weber, 485, 496.

[1183] Arrêté de la section des Quinze-Vingts.—Histoire de la Terreur, par Mortimer-Ternaux, II, 182.

[1184] Dernières années du règne de Louis XVI, par Hue, 154.

[1185] Histoire de la conspiration du 10 août, par Bigot de Sainte-Croix, 20, 21.

[1186] Mémoires de la duchesse de Tourzel, II, 201.

[1187] Journal d'une bourgeoise de Paris, 213.

[1188] Mémoires de Lafayette, III, 376.

[1189] Journal du comte de Fersen, 30 août 1793.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 43.

[1190] Ibid.

[1191] Mémoires de Malouet, 231-233.—Mémoires de Mme Campan, 242. Voir sur toutes ces négociations les Mémoires de la duchesse de Tourzel, II, 201-204.—Mme de Tourzel dit que les huit cent mille livres étaient pour Pétion et ses amis.

[1192] G. Morris à Jefferson, 10 juin 1792.—Mémorial de G. Morris, II, 145.

[1193] Histoire de la Terreur, par Mortimer-Ternaux, II, 192.

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