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Histoire de Marie-Antoinette, Volume 2 (of 2)

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[393] Détail de tout ce qui s'est passé au Champ-de-Mars, à la cérémonie de la Fédération, le 14 juillet 1790. Brochure in-8 de huit pages.

[394] Ibid.

[395] Mémoires du marquis de Ferrières.

[396] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 148.

[397] Détail de tout ce qui s'est passé au Champ-de-Mars, etc.

[398] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 156.

[399] Le comte de Fersen au baron de Taube, 22 juillet 1790.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 78.

[400] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 150, 151.

[401] Mémoires de Mme Campan, 276.

[402] Mémoires de Mme Campan, 276.

[403] Mémoires de Weber, 296.

[404] Rapport de Chabroud, 117.

[405] Marie-Antoinette à Léopold, 3 octobre 1790.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 137.

[406] Mémoires de Malouet, I, 264.

[407] «Il est peut être le seul dans l'Assemblée qui ait vu, dès le commencement, la révolution dans son véritable esprit, celui d'une submersion totale, et comme il était loin de la désirer, on ne peut expliquer que par une éclipse de sens moral qu'il ait concouru à des mesures violentes dont il sentait le péril et l'iniquité.»—Ibid.

[408] Mémoires de Malouet, I, 277.

[409] Ibid., I, 282.

[410] Ibid., I, 364.

[411] Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, I, 103, 104.

[412] Ibid., I, 127.

[413] Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, I, 94.

[414] Ibid., I, 112.

[415] Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, I, 107.

[416] Journal de Fersen, 18 octobre 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 32.

[417] Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, I, 124, 125.

[418] La Marck à Mirabeau, 13 octobre 1789.—Ibid., I, 361.

[419] Mirabeau à la Marck, 23 décembre 1789.—Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, I, 436.

[420] «La Reine traite Monsieur comme un petit poulet qu'on aime bien à caresser à travers les barreaux d'une mue, mais que l'on se garde d'en laisser sortir, et le duc de Lévis, qui a voulu brusquer l'aventure, s'est fait refuser une audience. On lui a répondu qu'on l'avertirait.»—Mirabeau à la Marck, 31 décembre 1789.—Ibid., I, 442.

[421] Mirabeau à la Marck, 27 janvier 1790.—Ibid., I, 460.

[422] Mirabeau à la Marck, 27 janvier 1790.—Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck. Introduction, 150.

[423] Mirabeau au Roi, 10 mai 1790.—Ibid., II, 13.

[424] Mirabeau au Roi, 10 mai 1790.—Ibid., I, 156, 157.

[425] Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, 157.

[426] Première note de Mirabeau, 1er juin 1790.—Ibid., II, 25.

[427] Seconde note de Mirabeau, 20 juin 1790.—Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, II, 41.

[428] Mirabeau à la Marck, 26 juin 1790.—Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, II, 55.

[429] Ibid., I, 189.

[430] La Marck à Mirabeau, 27 juin 1790.—Ibid., II, 61.

[431] Marie-Antoinette à Mercy, 29 juin 1790.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold, II, 133.

[432] Ibid.

[433] L'archevêque de Toulouse au comte de la Marck, 1er juillet 1790.—Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, II, 72.

[434] L'archevêque de Toulouse au comte de la Marck, 1er juillet 1790.—Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, I, 188.

[435] Ibid., II, 80, note.

[436] Récit du comte de Saillant, neveu de Mirabeau.—Marie-Antoinette et la Révolution française, par le comte de Viel-Castel, Paris, Techener, 1859, p. 296.

[437] Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, I, 189.

[438] Ibid., I, 191.

[439] Mémoires de Mme Campan, 289.

[440] Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck., Introduction, I.

[441] Mémoires de Weber, 302, note de Barrière.—Mirabeau et la Constituante, par H. Raynald, 348.

[442] Mémoires de Mme Campan, 280.

[443] Marie-Antoinette et la Révolution française, 299.

[444] La Marck à Mirabeau, 29 juin 1790.—Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, II, 62.

[445] Le 22 mai, lors de la discussion sur le droit de paix et de guerre.—Voir les Mémoires du marquis de Ferrières, II, 33.

[446] Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, I, 190.

[447] Mirabeau à la Marck, 26 juillet 1790.—Ibid., II, 113.

[448] Le même au même, 18 octobre 1790.—Ibid., II, 237.

[449] Dixième note, 9 juillet 1790.—Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, II, 95, 96.

[450] Seizième note, vendredi 13 août 1790.—Ibid., II, 126 et suiv.

[451] Marie-Antoinette à Mercy, 15 août 1790.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 134. Mme Elisabeth était plus résolue, elle acceptait franchement la guerre civile: «Tu es bien plus parfaite que moi, écrivait-elle à son amie Mme de Bombelles, tu crains la guerre civile; moi je t'avoue que je la regarde comme nécessaire: premièrement je crois qu'elle existe, parce que toutes les fois qu'un royaume est divisé en deux partis et que le parti le plus faible n'obtient la vie sauve qu'en se laissant dépouiller, il m'est impossible de ne pas appeler cela une guerre civile. De plus jamais l'anarchie ne pourra finir sans cela, et je crois que plus on retardera, plus il y aura de sang répandu. Voilà mon principe, il peut être faux; cependant, si j'étais roi, il serait mon guide et peut-être éviterait-il de grands malheurs.» Mme Elisabeth à la marquise de Bombelles, 1er mai 1790.—Correspondance de Mme Elisabeth, 159. La Reine n'avait point cette même détermination et peut-être sentait-elle l'impossibilité d'une pareille résolution, étant donné le caractère du Roi.

[452] Marie-Antoinette à Léopold, 3 octobre 1790.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 137.

[453] Dix-huitième note de Mirabeau, 17 août 1790.—Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, II, 136, 139.

[454] Vingt-huitième note, 28 septembre 1790.—Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, II, 196, 197.

[455] Ibid., I, 211. Introduction.

[456] Mirabeau à la Marck, 1er septembre 1790.—Ibid., II, 158.

[457] Le même au même, 18 octobre 1790.—Ibid., II, 237.

[458] Le même au même, 29 septembre 1790.—Ibid., II, 198, 199.

[459] L'archevêque de Toulouse à la Marck, 23 octobre 1790.—Ibid., II, 252.

[460] Ibid. Introduction, I, 132.

[461] Le 21 octobre, dans l'affaire du pavillon de la marine.

[462] Trente-sixième note de Mirabeau, 24 octobre 1790.—Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, II, 266.

[463] Les Mirabeau, par M. de Loménie, II, 374.

[464] Ibid., II, 625.

[465] Marie-Antoinette à Mercy, 5 octobre 1790.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 139.

[466] A propos du duel du duc de Castries avec Charles de Lameth.

[467] L'archevêque de Toulouse à la Marck, 15 novembre 1790.—Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, II, 323.

[468] Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, Introduction, I, 229.

[469] Mirabeau à la Marck, 13 novembre 1790.—Ibid., II, 317.

[470] Fersen à Gustave III, 5 septembre 1790.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 79.

[471] Duport du Tertre aux sceaux le 22 septembre; Fleurieu à la marine, le 27 octobre; du Portail à la guerre, le 16 novembre; de Lessart aux finances, le 30 novembre.

[472] Mémoires de Mme Campan, 259, 260.

[473] Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck. Introduction, I, 229, 230.—La Marck à Mercy, 30 décembre 1790.—Ibid., II, 525.—Ce bruit s'était répandu aussi à l'étranger. Voir la lettre du comte de Vaudreuil au comte d'Artois, du 21 octobre 1790.—Correspondance intime du comte de Vaudreuil, I, 350.

[474] La Marck à Mercy, 9 novembre 1790.—Correspondance du comte de Mirabeau et du comte de la Marck, II, 300.—Mirabeau fait allusion dans sa 40e note à ce qu'il appelle «l'inconcevable insolence de M. de Lafayette à Saint-Cloud».—Ibid., II, 307.

[475] La Marck à Mercy, 9 novembre 1790.—Ibid., Introduction, I, 231.

[476] Quarantième note de Mirabeau, 11 novembre 1790.—Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, II, 311.

[477] Quarante et unième note de Mirabeau, 12 novembre 1790.—Ibid., II, 320, 326.

[478] Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck. Introduction, I, 231.

[479] A propos du pillage de l'hôtel de Castries après le duel du duc avec Ch. de Lameth.

[480] La Marck à Mercy, 12 novembre 1790.—Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, II, 313.

[481] L'archevêque de Toulouse à la Marck, 15 novembre 1790.—Ibid., II, 333.

[482] Mirabeau à la Marck, 26 novembre 1790.—Ibid., II, 361.

[483] Le même au même, 5 janvier 1791.—Ibid., II, 364.

[484] La Marck à Mercy, 6 décembre 1790.—Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, II, 395.

[485] Quarante-septième note de Mirabeau, 23 décembre 1790.—Ibid., II, 434.

[486] Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, II, 429.

[487] Quarante-septième note de Mirabeau, 23 décembre 1790.—Ibid., II, 475.

[488] Ibid., 468 et suiv.

[489] Ibid., 477.

[490] Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, 462, 463.

[491] Quarante-septième note de Mirabeau, 23 décembre 1790.—Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, II, 485, 486.

[492] La Marck à Marie-Antoinette, décembre 1790.—Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, II, 513.

[493] La Marck à Mercy, 26 janvier 1791.—Ibid., III, 24.

[494] Ibid., III, 30.

[495] Ibid., 24.

[496] La Marck à Mercy, 23 février 1791.—Ibid., III, 68.

[497] La Marck à Marie-Antoinette, 19 février 1791.—Ibid., III, 62.

[498] La Marck à Mercy, 26 janvier 1791.—Ibid., III, 31.

[499] Mercy à la Marck, 14 janvier 1791.—Ibid., III, 6 et 7.

[500] Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, Introduction, I, 236.

[501] La Marck à Mercy, 26 janvier 1791.—Ibid., III, 30.

[502] Ibid.

[503] Le même au même, 30 décembre 1790.—Ibid., II, 532.

[504] La Marck à Mercy, 30 décembre 1790.—Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, II, 524.

[505] Le même au même, 26 janvier, 23 février 1791.—Ibid., III, 27, 28, 70.

[506] Fersen à Gustave III, 8 mars 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 86.

[507] Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck. Introduction, I, 233.

[508] Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck. Introduction, I, 251.—Ces paroles, contestées par Cabanis, sont affirmées par la Marck.

[509] Mme Elisabeth à la marquise de Raigecourt, 3 avril 1791.—Correspondance de Mme Elisabeth, 264.

[510] Mémoires de Malouet, II, 9.

[511] Mémoires du marquis de Ferrières, II, 143.

[512] Ibid., II, 222, 223.

[513] Mme Elisabeth à la marquise de Raigecourt, 5 février 1791.—Correspondance de Mme Elisabeth, 232.

[514] Mme Elisabeth à la marquise de Raigecourt, 24 février 1791.—La même à la marquise de Bombelles, 28 février 1791.—Correspondance de Mme Elisabeth, 240, 241.

[515] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 242.

[516] Mémoires du marquis de Ferrières, II, 235.—Mme Elisabeth à la marquise de Bombelles, 28 février 1791.—Correspondance de Mme Elisabeth, 241.

[517] Mme Elisabeth à la marquise de Raigecourt, 2 mars 1791.—Correspondance de Mme Elisabeth, 244.

[518] Dernières années du règne de Louis XVI, 210.

[519] Mme Elisabeth à la marquise de Raigecourt, 2 mars 1791.—Correspondance de Mme Elisabeth, 244.

[520] Ibid.

[521] Souvenirs d'un page, 347.

[522] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 253.—Voir dans ces Mémoires la réponse des ducs de Villequier et de Duras à l'ordre du jour de Lafayette.—Ibid., I, 254 et suiv.

[523] Mme Elisabeth à la marquise de Raigecourt, 2 mars 1791.—Correspondance de Mme Elisabeth, 245.

[524] Le 24 août 1790.

[525] Le 26 décembre 1790.

[526] Montmorin à la Marck, 18 et 20 mars 1791.—Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, III, 88 et 97.

[527] Mémoires de Weber, 309.

[528] Mme Elisabeth à la marquise de Raigecourt, 19 avril 1791.—Correspondance de Mme Elisabeth, 266.

[529] Fersen à Taube, 18 avril 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 102.

[530] Hue. Dernières années du règne de Louis XVI, 214.

[531] Ibid.

[532] Fersen à Taube, 18 avril 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 103.

[533] Hue. Dernières années du règne de Louis XVI, 214.

[534] On traitait le Roi de b... d'aristocrate et de gros cochon. M. de Gougenot, maître d'hôtel, s'étant approché de la voiture pour prendre les ordres de la Reine, les gardes nationaux l'en arrachèrent. La Reine s'avança pour dire de le laisser: «Voilà une plaisante b... pour donner des ordres,» répondirent les gardes nationaux. Fersen à Taube, 18 avril 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 404.

[535] Mémoires du marquis de Ferrières, II, 266.—Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 273.

[536] Mme Elisabeth à la marquise de Bombelles, 21 avril 1791.—Correspondance de Mme Elisabeth, 267.

[537] Fersen à Taube, 18 avril 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 104.

[538] Mémoires de Mme Campan, 286.—Mémoires de Weber, 311.

[539] Fersen à Taube, 18 avril 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 104.

[540] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 273, 274.

[541] Fersen à Taube, 18 avril 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 105.

[542] Hue. Dernières années du règne de Louis XVI, 215.

[543] Fersen à Taube, 18 avril 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 105.

[544] Hue. Dernières années du règne de Louis XVI, 217.

[545] Ibid., 219.

[546] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 283.

[547] Mémoires de Mme Campan, 267, 268.

[548] Ibid., 273, 274.

[549] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 203.

[550] Mme Elisabeth à la marquise de Raigecourt, 29 août 1790.—Correspondance de Mme Elisabeth, 178. Est-ce à la suite de cette proposition que le bruit se répandit à cette époque chez les émigrés que le Roi devait aller en Flandre? M. de Vaudreuil, qui s'était fait l'écho de ces bruits, n'y croyait pas. «J'ai de la peine à croire, écrivait-il à M. le comte d'Artois, qu'on puisse décider le Roi à sortir de Paris, à moins qu'on ne l'enlève par force.» Le comte de Vaudreuil au comte d'Artois, 9 septembre 1790.—Correspondance intime du comte de Vaudreuil, I, 287.

[551] Mémoires de Mme Campan, 269.

[552] Fragments de Mémoires du comte Valentin Esterhazy.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, IV, 47, 48.

[553] Note du 15 octobre 1789.—Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, I, 369.—Mirabeau ne reculait pas cependant devant une intervention diplomatique des Puissances étrangères: «Il me semble qu'un autre point des plus raisonnables du plan de M..., est, si la paix entre la Prusse et l'Autriche se contient, d'engager ces deux Puissances, sous prétexte des dangers qu'elles peuvent courir elles-mêmes, si jamais ceci se consolide, à paraître non plus pour faire une contre-révolution ou entrer en armes ici, mais comme garants de tous les traités, de l'Alsace, de la Lorraine et comme trouvant fort mauvais la manière dont on traite un Roi. Elles pourraient alors parler le ton qu'on a, quand on se sent le plus fort, en bonne cause et en troupes.»—Marie-Antoinette à Mercy, juin 1790.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 130.

[554] Mirabeau à la Marck, 4 juin 1790.—Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, II, 34.

[555] Note du 15 octobre 1789.—Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck, I, 743.

[556] Douzième note, 17 juillet 1790.—Ibid., II, 104 et suiv.

[557] Treizième note, 26 juillet 1790.—Ibid., II, 114.

[558] Journal de Fersen, 18 octobre 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, 1, 32.

[559] Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck. Introduction, I, 245.

[560] Mémoires de Mme Campan, 268.

[561] Mme Elisabeth à la marquise de Raigecourt, 24 octobre 1790.—Correspondance de Mme Elisabeth, 199.

[562] Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck. Introduction. I, 238.

[563] Mémoires du marquis de Bouillé, 214.

[564] Ibid., 215 et suiv.

[565] Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck. Introduction, I, 244, 245.—Mémoires du marquis de Bouillé, 228.

[566] Ibid.

[567] Ibid., 229.

[568] Marie-Antoinette à Mercy, 20 avril 1791.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 156, 157.

[569] Le baron de Breteuil à l'Empereur, 3 mai 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 114.—Le baron de Breteuil était, à l'étranger, l'agent accrédité du Roi et de la Reine.

[570] A la mi-mai, on n'avait encore que quatre millions.—Fersen à Breteuil, 16 mai 1791.—Ibid., I, 123.

[571] Marie-Antoinette à Mercy, 1790.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 130.

[572] Fersen à Taube, 1er avril 1791.—Le même à Breteuil, 2 avril 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 90, 97.

[573] Fersen à Taube, 7 mars 1791.—Ibid., I, 93.

[574] Marie-Antoinette à Mercy, 20 avril 1791.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 156.

[575] Mémoires du marquis de Bouillé, 243, 244.

[576] Ibid., 245.

[577] Fersen à Breteuil, 16 mai 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 123.—On leur demandait vingt ou trente mille hommes environ.

[578] Marie-Antoinette à Léopold, 1er juin 1791.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 167.

[579] Marie-Antoinette à Mercy, 12 juin 1790.—Ibid., 130.

[580] Bouillé à Fersen, 18 avril 1791.—Le même au même, 9 mai 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France.

[581] Correspondance entre le comte de Mirabeau et le comte de la Marck. Introduction, I, 244.

[582] Marie-Antoinette à Mercy, 5 juin 1791.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 172.

[583] Manifeste du Roi, 20 juin 1791.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, II, 25, 119.

[584] La marquise de Bombelles à la marquise de Raigecourt, 12 juillet 1791.—Archives de M. le marquis de Raigecourt.—Plusieurs émigrés des plus notables pensaient comme le marquis de Bombelles: «Croyez-vous qu'on soit revenu à désirer absolument l'ancien régime?—Non», écrivait, le 9 octobre 1790, le comte de Vaudreuil au comte d'Artois.—Correspondance intime du comte de Vaudreuil, I, 327, 328.

[585] Journal de Fersen, 13 septembre 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 27.

[586] Staël à Gustave III, 28 août 1791.—Correspondance diplomatique du baron de Staël, 228.

[587] Le prince de Condé écrivait le 27 février: «Le comte d'Artois a reçu par une occasion une lettre du Roi et de la Reine.... celle de la Reine est encore plus forte en faiblesse—que celle du Roi.—Après toutes les mauvaises raisons que vous pouvez imaginer, elle lui demande le sacrifice de toute idée de contre-révolution. Voilà la femme que la Queuille et tant d'autres présentent comme un modèle d'énergie.»—Histoire de l'Emigration: Coblentz, par Ernest Daudet. Paris, Kolb, 1889, p. 23.

[588] Marie-Antoinette à Mercy, 12 juin 1790.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 130.

[589] La même au même, 13 février 1791.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, I, 467.

[590] Marie-Antoinette à Léopold, 7 novembre 1791.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 141.

[591] Marie-Antoinette à Léopold, 7 novembre 1791.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 140, 141.

[592] Entre autres l'absence d'un relais de poste dans la ville.—Mémoires du marquis de Bouillé, 222, 228.

[593] Ibid., 251.

[594] Fersen à Bouillé, 26 mai 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 130.

[595] Mémoires de Mme Campan, 287 et suiv.

[596] Ibid., 289.

[597] Fersen à Breteuil, 2 avril 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 96.

[598] «Il ne faudrait pas passer le 1er juin,» écrivait M. de Bouillé à Fersen, 9 mai 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 122. Il avait déjà écrit le 18 avril: «Tout est impossible si l'on passe l'époque du mois de mai.»—Le même au même, 18 avril 1791.—Ibid., I, 107.

[599] Fersen à Bouillé, 29 mai 1791.—Ibid., 132.

[600] Fersen à Breteuil, 30 mai 1791.—Ibid., 132.

[601] Le même au même, 10 juin 1791.—Ibid., I, 137.

[602] Fersen à Bouillé, 13 juin 1791.—Ibid., I, 137.

[603] Marie-Antoinette à Léopold, 22 mai 1791.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 165. Mme de Tourzel prétend qu'il y avait une quatrième personne dans la confidence, le chevalier de Coigny.—Mémoires de la duchesse de Tourzel.

[604] Fersen à son père, février 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France. Introduction, LIX.

[605] La berline avait été commandée par la baronne de Korff.—Fuite de Louis XVI à Varennes, par M. Bimbenet. Pièces justificatives, déposition du carrossier Louis, p. 51.

[606] Mémoires du comte Louis de Bouillé, 39.

[607] M. de Bouillé aurait voulu d'abord que M. d'Agout allât s'installer à Châlons avec trente gardes du corps déterminés, sous un prétexte quelconque, en réalité pour escorter le Roi de Châlons à Sainte-Ménehould.—Bouillé à Fersen, 9 mai 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 122.—Le Roi ne le voulut pas, dans la crainte d'exciter les méfiances et de faire du mouvement.—Fersen à Bouillé, 26 mai 1791.—Ibid., I, 130.

[608] Breteuil à Fersen, 24 mai 1791.—Ibid., I, 128. M. de Breteuil ne se souciait pas de M. de Saint-Priest, en qui il voyait un rival.—Ibid., et Breteuil à Fersen, 29 mai 1791.—Ibid., I, 131.

[609] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 308.

[610] Fersen à Bouillé, 29 mai 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 132. On avait prétendu que c'était Mme de Tourzel, qui par entêtement de ses prérogatives de gouvernante des Enfants de France avait refusé de céder sa place dans la voiture royale et empêché par là d'emmener M. d'Agout. Mme de Tourzel s'en défend vivement dans ses Mémoires: «La Reine, dit-elle, qui fut la seule qui me fit part de ce voyage, ne m'a jamais dit qu'il en fût question et ne parla que de l'obstacle de ma santé,—elle venait d'être fort souffrante;—je n'aurais certainement pas insisté, si elle m'eût témoigné un pareil désir. J'avais d'ailleurs la ressource de prendre la place d'une des deux femmes qui accompagnaient la famille royale dans la voiture de suite. En pareil cas, l'attachement ne consulte ni la convenance ni les droits, et j'aurais alors concilié le devoir, que m'imposait ma place, de ne jamais quitter Monseigneur le Dauphin, avec le désir que Leurs Majestés auraient manifesté de se faire accompagner par une personne dont les services eussent pu leur être plus utiles que les miens.»—Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 302, note.

[611] Fersen à Bouillé, 9 mai 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 130.

[612] Fersen à Breteuil, 16 mai 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 123.

[613] Mémoires de Mme Campan, 288.

[614] «Le major du Royal-Allemand était venu le voir pour prendre ses instructions sur la nouvelle formation. M. de Bouillé lui parla de l'esprit du régiment, et le major ne lui cacha pas que dans le cas où l'on viendrait au secours de notre malheureuse patrie, le régiment serait plutôt disposé à s'y joindre qu'à marcher contre. «Tant mieux, lui répondit M. de Bouillé, tant mieux, Monsieur; j'espère qu'il ne sera pas le seul... Malgré ces bonnes dispositions, il ne faudrait pourtant pas compter sur lui—Bouillé,—dans le cas où l'on ne ferait qu'un simple coup de tête, et l'on craint ici et à Metz que M. le prince de Condé ne veuille agir seul; il ferait une mauvaise besogne.»—Le marquis de Raigecourt au marquis de Gain-Montagnac, 21 avril 1791.—Archives de M. le marquis de Raigecourt.

[615] Lettre saisie chez M. de Fersen, du 17 juin 1791. Bimbenet, La fuite de Louis XVI à Varennes. Pièces justificatives, 137.

[616] Fragments de mémoires du comte Valentin Esterhazy, Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, IV, 55.—Voir aussi, sur tous ces bruits du départ de la famille royale répandus chez les émigrés, la Correspondance intime du comte de Vaudreuil. Paris, Plon, 1889.

[617] Bimbenet, La fuite de Louis XVI à Varennes. Pièces justificatives, 38.

[618] Journal de Fersen.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 1.

[619] Bimbenet. La fuite de Louis XVI à Varennes, 40, 41.

[620] Journal de Fersen.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 2.

[621] Récit de Madame Royale, dans les Mémoires de Weber, 314.—Déclaration de Raffy, commissaire du Comité civil de la section Lepelletier, citée par A. Vitu dans son livre sur la Maison mortuaire de Molière. Figaro du 11 novembre 1882, supplément.—«La ci-devant Reine, la veille de son départ pour Varennes, a été goûter dans son beau jardin (de Boutin) à la barrière Blanche, avec ses enfants, pour faire voir qu'elle n'avait point envie de partir.»—Raffy ne se trompe que sur un point: ce n'est pas la veille, mais le jour même de son départ que la Reine alla à Tivoli.

[622] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 303.

[623] Madame Royale dit sept heures (Weber, 314); Desclaux, garçon de chambre de la Reine, dit huit heures.—Bimbenet.—Pièces justificatives, 45.

[624] Bimbenet. La fuite de Louis XVI à Varennes, 41.

[625] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 307.—Récit de Madame Royale. Mémoires de Weber, 315.

[626] Journal du comte de Fersen.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 308.

[627] Bimbenet. La fuite de Louis XVI à Varennes, 25. Pièces justificatives, 33, 35.

[628] Bimbenet. La fuite de Louis XVI à Varennes, 56 et suiv.

[629] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 307.

[630] Ibid., I, 303.—Récit de Madame Royale. Mémoires de Weber, 315.

[631] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 304.—Récit de Madame Royale. Mémoires de Weber, 315.

[632] Récit de Madame Royale. Mémoires de Weber, 315.

[633] Le duc de Villequier avait émigré.

[634] Journal de Fersen.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 2.

[635] Journal de Fersen.—Ibid., I, 3.

[636] Récit de Madame Royale. Mémoires de Weber, 415.

[637] «M. de Fersen, dit Mme de Tourzel, jouait parfaitement le rôle de cocher de fiacre, sifflant, causant avec un soi-disant camarade qui se trouvait là par hasard et prenant du tabac dans sa tabatière.»—Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 306.

[638] Journal de Fersen.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 2.

[639] Ibid.

[640] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 306.

[641] Récit de Madame Royale. Mémoires de Weber, 315.

[642] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 307.

[643] Récit de Madame Royale. Mémoires de Weber, 315.

[644] Déposition de Balthazar Sapel.—Bimbenet. La fuite de Louis XVI à Varennes. Pièces justificatives, 60.—Fersen dit qu'on arriva à Bondy à une heure et demi, Sapel dit à trois heures.

[645] Ibid., 62.

[646] Journal de Fersen.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 2.

[647] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 312.

[648] On arriva à Châlons à quatre heures de l'après-midi.—Procès-verbal de ce qui s'est passé à Châlons, relativement au départ du Roi vers la frontière, à son arrestation à Varennes, à son retour à Paris et à son séjour à Châlons. Châlons, Le Roy, 1876, p. 5.

[649] Mme de Tourzel affirme que le Roi ne descendit qu'une seule fois dans la route, entra dans une écurie où il n'y avait personne et remonta sur-le-champ dans la voiture. Les enfants descendirent seulement deux fois, dans les moments où les postillons montaient au pas de grandes côtes; «mais cette petite promenade ne causa aucun retard.»—Mémoires de la duchesse de Tourzel, 219.—Mais ce témoignage de Mme de Tourzel, si formel qu'il soit, ne nous semble pas pouvoir détruire les témoignages non moins formels des trois gardes du corps et de Mme Brunier.—Bimbenet. La fuite de Louis XVI à Varennes. Pièces justificatives, interrogatoires de MM. de Maldent, de Moustier et de Valori et de Mme Brunier, p. 79, 100, 111, 121.—On donnait d'ailleurs aux postillons des pourboires dont la générosité excitait les soupçons.

[650] Récit de Madame Royale. Mémoires de Weber, 116.

[651] Récit fait par la Reine à Fersen.—Journal de Fersen.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 8.

[652] Récit de Madame Royale. Mémoires de Weber, 116.—Mémoires du marquis de Bouillé, 262.

[653] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 316.

[654] Ibid.

[655] Lettre de la municipalité de Sainte Menehould à l'Assemblée.

[656] Louis Bonneville de Marsangy.—Journal d'un volontaire de 1791, Paris, Perrin, 1888, p. 19.

[657] M. de Damas avait aussitôt envoyé un officier à toute bride pour avertir de ce contre-temps MM. de Bouillé et de Raigecourt qui étaient à Varennes. Malheureusement, l'officier ne connaissait pas le pays; il prit la route de Verdun au lieu de celle de Varennes où, par suite de cette erreur, il arriva trop tard.—Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 317.

[658] Le Journal d'un volontaire de 1791 décrit ainsi ce passage: «Varennes est à trois lieues de Clermont. Je n'y ai rien remarqué que l'endroit où le Roi fut arrêté. Il semble qu'il ait été fait exprès, par l'impossibilité qu'il y a de passer deux voitures à la fois. C'est une espèce de porte ou d'arcade fort basse, et très étroite. Le pont vient ensuite.» Page 21.

[659] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 318.

[660] Second procès-verbal de la municipalité de Varennes.—La municipalité de Varennes, après l'arrestation du Roi, rédigea deux procès-verbaux, fort différents de ton; le premier est respectueux encore de l'autorité royale; le second ne l'est plus.—Voir ces procès-verbaux dans Bimbenet, La fuite de Louis XVI à Varennes; Pièces justificatives; et dans l'abbé Gabriel, Louis XVI, le marquis de Bouillé et Varennes.

[661] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 319.

[662] Ibid., I, 320.

[663] La fuite de Louis XVI, par V. Fournel.—Revue des questions historiques, octobre 1868.—M. Fournel a publié dans la Revue des questions historiques, juillet et octobre 1868, deux articles très étudiés et très remarquables qui semblent donner le récit le plus exact de ce grave événement.

[664] Premier et second procès-verbaux de la commune de Varennes.

[665] Premier procès-verbal.

[666] Second procès-verbal.

[667] Mémoires de Mme Campan, 475.

[668] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 325.

[669] Lettre de la municipalité de Sainte-Menehould au président de l'Assemblée nationale, citée dans Gabriel, 313.

[670] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 327.—Mme de Tourzel place par erreur cette scène entre Clermont et Sainte-Menehould.

[671] Ce dernier détail a été contesté, mais il a été raconté par la Reine elle-même à Fersen. Journal de Fersen.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 8.

[672] Procès-verbal de ce qui s'est passé à Châlons, etc., 16.

[673] Il existait encore, suivant Mme de Tourzel, des personnes qui avaient été témoins de la première réception et qui fondaient en larmes, en songeant au chemin parcouru depuis lors.—Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 329.

[674] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 329.

[675] On en était au Sanctus.

[676] Procès-verbal de ce qui s'est passé à Châlons, p. 23.

[677] Ibid., 24.—Après le départ du Roi, il y eut des troubles à Châlons; la vie du maire, M. Chorez, fut menacée.—Ibid., 25, 26.

[678] Gabriel. Louis XVI, le marquis de Bouillé à Varennes, 315.

[679] Procès-verbal de ce qui s'est passé à Châlons, etc., 36.

[680] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 332.

[681] Récit de la Reine. Journal de Fersen.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 8.

[682] Procès-verbal de tout ce qui s'est passé à Châlons, etc., 37.

[683] Journal de Fersen.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 8.

[684] Barnave eut de longues conversations avec la Reine et avec Mme Elisabeth. Ces conversations sont relatées dans les Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 335 et suiv.

[685] Ce récit a été publié par M. Mortimer-Ternaux.—Histoire de la Terreur. Pièces justificatives, I, 353 et suiv.

[686] Journal de Fersen.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 8.

[687] Mémoires de Mme Campan, 295.—Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 339.

[688] Récit de Pétion.—Histoire de la Terreur. Pièces justificatives, I, 361.

[689] Récit de Pétion.—Histoire de la Terreur. Pièces justificatives, I, 361.

[690] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 334.

[691] Récit de Pétion.—Histoire de la Terreur. Pièces justificatives, I, 362.

[692] Ibid.

[693] Louis XVII, I, 131.

[694] Récit de Pétion.—Histoire de la Terreur. Pièces justificatives, I, 365.

[695] Louis XVII, I, 135.

[696] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 340.—Journal de Fersen.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 8.

[697] Récit de Pétion.—Histoire de la Terreur. Pièces justificatives, I, 368.

[698] Mémoires du marquis de Ferrières, II, 367.

[699] Mémoires de Weber, 367.

[700] Récit de Pétion.—Histoire de la Terreur. Pièces justificatives, I, 370.

[701] Staël à Gustave III, 25 juin 1791.—Correspondance diplomatique du baron de Staël-Holstein, 211.

[702] Marie-Antoinette à Fersen, 28 juin 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 142.—Mme Campan prétend (Mémoires, 293, 294) que les cheveux de la Reine avaient blanchi subitement pendant les angoisses du voyage de Varennes. Montjoye, dans son Histoire de Marie-Antoinette, rapporte le même fait aux journées d'octobre. Nous adoptons plutôt cette dernière version, d'abord parce que Montjoye a écrit son Histoire à une date plus rapprochée des événements que celle où Mme Campan a rédigé ses Mémoires, ensuite et surtout parce que Fersen, qui revit la famille royale en février 1792 et qui a laissé le journal de son voyage a gardé le silence sur ce fait qui n'aurait pu manquer de le frapper vivement et qu'il aurait certainement consigné. Ajoutons que Staël, dans sa correspondance écrite au moment même, n'en parle pas non plus.

[703] Mémoires du marquis de Ferrières, II, 360, 361.

[704] Staël à Gustave III, 6 juillet 1791.—Correspondance diplomatique du baron de Staël-Holstein, 213.

[705] Mme Elisabeth à la marquise de Bombelles, 10 juillet 1791.—Correspondance de Mme Elisabeth, 307.

[706] Journal de Fersen.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 8.

[707] Mme Elisabeth à Mme de Bombelles, 10 juillet 1791.—Correspondance de Mme Elisabeth, 307.

[708] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 348.

[709] Journal de Fersen.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 5.

[710] Mémoires de Malouet, II, 149.

[711] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 348.

[712] Mémoires de Weber, 367.

[713] Mémoires de Mme Campan, 293.—Mme Campan rapporte que l'acteur Saint-Prix avait par dévouement demandé à monter la garde dans le corridor qui séparait l'appartement du Roi de celui de la Reine, afin de permettre aux malheureux époux de communiquer entre eux.

[714] Journal de Fersen.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 8.

[715] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 347.

[716] Souvenirs de quarante ans.

[717] Mémoires de Weber, 370.

[718] «On ne laisse au Roi que la vie végétale, on admire qu'il s'en contente.» Lettre de Bernis à M. de Flavigny, 22 juin 1791.—Archives de Bernis.—Le cardinal de Bernis depuis son ministère, 516.

[719] Mme Elisabeth à Mme de Raigecourt, septembre 1791.—Correspondance de Mme Elisabeth, 446.—Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 359, 360.

[720] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 360.

[721] Mémoires de Malouet, II, 159.

[722] Bimbenet. La fuite de Louis XVI à Varennes, 140, 141.

[723] Staël à Gustave III, 17 juillet 1791.—Correspondance diplomatique du baron de Staël-Holstein.

[724] Mémoires de la duchesse de Tourzel, I, 358.

[725] Staël à Gustave III, 6 juillet 1791.—Correspondance diplomatique du baron de Staël-Holstein, 213.

[726] Gouverneur Morris à Robert Morris, 20 juillet 1791.—Mémorial de Gouverneur Morris, II, 83.

[727] Droz. Histoire de Louis XVI, III, 466.

[728] Mémoires de Mme Campan, 294.

[729] Mémoires et correspondance de Mallet du Pan, II, 487, 488. Mallet range parmi les premiers d'André, Chapelier, Baumetz, Lafayette; parmi les seconds, Barnave, Duport et les Lameth. Mallet nous semble sévère et même injuste pour Barnave.

[730] Léopold à Marie-Antoinette, 5 juillet 1791.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 182. Le même bruit avait été accrédité à Rome.—Voir Le cardinal de Bernis depuis son ministère, 506 et suiv.—Voir, sur la joie de l'Empereur, à la nouvelle fausse du succès de l'évasion de la famille Royale, les lettres du comte de Vaudreuil des 29 juin et 3 juillet 1791. Vaudreuil était alors avec les Polignac à Padoue où se trouvait l'Empereur.—Correspondance intime du comte de Vaudreuil, II, 4 et suiv.

[731] Léopold à Marie-Antoinette, 5 juillet 1791.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 183.

[732] Léopold à Marie-Christine, 5 juillet 1791.—Marie-Christine, archiduchesse d'Autriche, par Adam Wolf, traduit par L. V. III, 136.

[733] Le comte de Vaudreuil au comte d'Artois, sans date, juillet 1791.—Correspondance intime du comte de Vaudreuil, II, 13.

[734] L'Empereur ne s'était point adressé à la Suède; Gustave III en fut très froissé.

[735] Projet de circulaire de l'Empereur, 6 juillet 1791.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, III, 389.

[736] Rambaud. Les Français sur le Rhin, 147.

[737] Léopold à Marie-Christine, 6 juillet 1791.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, III, 387.

[738] Staël à Gustave III, 14 août 1791.—Correspondance diplomatique du baron de Staël-Holstein, 223.

[739] Gustave III à Louis XVI, 30 juin 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 143.

[740] Fersen à Marie-Antoinette, 27 juin 1791.—Ibid., 141.—Staël à Gustave III, 8 juillet 1791.—Correspondance diplomatique du baron de Staël-Holstein, 214.

[741] Mémoire adressé à l'Impératrice de Russie par le roi de Suède, 9 juillet 1791.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, III, 391 et suiv.

[742] Mémoire lu par le roi de Suède, à la conférence tenue à Aix-la-Chapelle, dans sa chambre, entre Sa Majesté, Monsieur, le comte d'Artois et l'évêque d'Arras, 5 juillet 1791.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, III, 382.

[743] Journal de mon émigration, par un garde du corps de la compagnie de Luxembourg.—«Le Roi, arrêté à six lieues des frontières, écrivait Vaudreuil, a dit à l'univers: «J'étais prisonnier: j'ai voulu rompre mes fers;» à tous les bons Français: «Délivrez-moi;» à tous les rois: «Vengez-moi.» On ne peut rien opposer à cela et la force de ces motifs doit retentir dans toutes les âmes.»—Le comte de Vaudreuil au comte d'Artois, sans date, juillet 1791.—Correspondance intime du comte de Vaudreuil, II, 4.

[744] Voir, sur l'évasion de Monsieur, la Relation d'un voyage de Paris à Bruxelles et à Coblentz, en 1791. Paris, 1823, Urbain Canel.

[745] Gustave III à Monsieur, 5 juillet 1791.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, III, 382.

[746] Marie-Antoinette à Mme de Lamballe, commencement de juillet 1791.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, II, 148.

[747] Journal de Fersen, 24 juillet 1799.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 7.

[748] Ibid.

[749] «Monsieur ferait mieux seul, mais est entièrement subjugué par l'autre». Ibid.

[750] Souvenirs et portraits du duc de Lévis, 371.

[751] Journal de Fersen, 23 juillet 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 6.

[752] Il ne faut pas confondre le baron de Bombelles, agent des Princes, avec son frère, le marquis de Bombelles, mari de l'amie de Mme Elisabeth et agent de Breteuil et de la Reine.

[753] Le cardinal de Bernis, qui de Rome observait tous ces mouvements et était au courant des plans des émigrés, ne croyait pas à cette coalition effective des Puissances, rêvée par Calonne et son parti: «J'ai toujours cru, écrivait-il à un ami, que la France pouvait seule rompre ses chaînes et reprendre son niveau. Les Puissances étrangères ont leurs embarras et leurs vues; le plus court pour elles, c'est d'envoyer à nos princes quelques belles lettres et des secours insuffisants; elles nous laisseront bientôt nous déchirer et nous dévorer nous-mêmes, et quand la Pologne, la Bavière seront arrangées selon leurs convenances, alors elles se partageront nos lambeaux. Je souhaite de me tromper.» Bernis à Flavigny, 4 janvier 1792.—Le cardinal de Bernis depuis son ministère, 520, note.

[754] Journal de Fersen, 14 juillet 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 5.

[755] La Reine avait et eut jusqu'à la fin des moyens secrets de correspondance avec l'Empereur; si elle écrivait cette phrase, c'était pour que les Constitutionnels ne soupçonnassent pas ces moyens, et ne les contrecarrassent pas.

[756] Marie-Antoinette à Léopold, 30 juillet 1791.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 118 et suiv.

[757] Ce mémoire ne fut montré qu'à M. de Vaudreuil. «Dans ce mémoire, il (Montmorin) prouve que le comte d'Artois n'a rien fait contre la Constitution, qu'il est encore tout entier, qu'il est encore sans danger; fait un tableau charmant de ce moment et du bonheur de la France, quand toute la famille sera réunie; ajoute que, si le comte d'Artois ne revient pas, il sera déclaré traître à la patrie et encourra toutes les peines de la proscription.» Journal de Fersen, 19 août 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 18.

[758] Journal de Fersen, 19 août 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 13.

[759] Il était parti de Paris le 2 août. Staël à Gustave III, 4 août 1791.—Correspondance diplomatique du baron de Staël-Holstein.

[760] Fersen à Gustave III, 20 août 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 162.

[761] Mercy à Kaunitz, 12 août 1791.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, II, 208.

[762] Staël à Gustave III, 25 août 1791.—Correspondance diplomatique du baron de Staël-Holstein, 226, 227.

[763] Marie-Antoinette à Mercy, 29 juillet 1791.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 187.

[764] La même au même, 7 août 1791.—Ibid., 197.

[765] Marie-Antoinette à Mercy, 31 juillet 1791.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 194.

[766] La même au même, 1er août 1791.—Ibid., 194.

[767] Staël à Gustave III, 25 août 1791.—Correspondance diplomatique du baron de Staël-Holstein, 226. Staël jugeait très sévèrement ces diverses mesures: «Ce manque de respect, écrivait-il, est d'autant plus répréhensible, qu'ayant beaucoup à réparer avec le Roi, l'Assemblée aurait dû sentir que ce n'est pas en outrageant qu'elle peut ramener la confiance et l'union.»

[768] Marie-Antoinette à Mercy, 31 juillet 1791.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 193.

[769] La même au même, 1er août 1791.—Ibid., 194.

[770] Mercy à Kaunitz, 12 août 1791.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, II, 208.

[771] Fersen au baron de Taube, 17 juin 1792.—Le comte de Fersen et la Cour de France, II, 300.

[772] Le même au même, 21 mars 1792.—Fersen à Gustave III, même date.—Ibid., 215, 216.

[773] Marie-Antoinette à Fersen, 8 juillet 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 147, 148.

[774] Les meilleurs amis du comte d'Artois, comme le comte de Vaudreuil, avaient tout fait pour l'empêcher d'appeler Calonne près de lui: «Un objet sur lequel je n'ai pas varié, écrivait Vaudreuil au prince, et sur lequel vous avez pris un parti contraire à mon avis, c'est relativement à M. de Calonne. Personne au monde ne l'aime plus que moi, personne n'est plus convaincu de la supériorité de ses talents, de ses ressources, de son génie et de sa loyauté; mais ici il faut considérer que l'opinion a tout fait et qu'on ne peut avoir de succès qu'en ramenant l'opinion et les esprits égarés, en suivant un plan sage mais lent. Est-ce donc l'homme que la calomnie a attaqué, ainsi que vous, qu'il faut mettre en avant lorsqu'il s'agit de parler à l'opinion? Les préventions du Roi et de la Reine ne seraient-elle pas un obstacle éternel à ce qu'ils approuvent tout ce qui viendrait de lui?» Et Vaudreuil ajoute: «Prendre précisément pour guide celui que la Reine hait, que le Roi a sacrifié, n'est-ce pas donner l'occasion à vos ennemis de publier, d'accréditer que vous prenez parti contre le Roi?» Le comte de Vaudreuil au comte d'Artois, 28 nov. 1789.—Correspondance intime du comte de Vaudreuil et du comte d'Artois pendant l'émigration (1789-1815), publiée avec introduction, notes et appendices, par M. Léonce Pingaud. Paris, Plon, 1889, I, 39, 40. Voir encore lettre du 9 septembre 1790 du comte de Vaudreuil au comte d'Artois, Ibid., I, 286, et lettre du 7 juillet 1792 du comte de Vaudreuil au comte d'Entraigues, où se trouve cette phrase: «La haine de la Reine—contre Calonne—est implacable.»—Ibid., II, 104.

[775] Journal de Fersen, 26 juillet 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 8.

[776] «Si la Reine a l'air d'écarter les enragés, c'est à coup sûr pour les endormir. Elle est mère et elle est femme; serons-nous assez barbares pour ne pas lui pardonner des erreurs que ses ennemis n'ont que trop justifiées?... D'ailleurs, c'est Louis XVI et Marie-Antoinette que nous voulons replacer sur le trône; il faut donc dissimuler leurs torts, et nous les exagérons.» M. de Vaudreuil au comte d'Entraigues, 22 août 1791.—Correspondance intime du comte de Vaudreuil, II, 22. Vaudreuil avait eu plus d'une fois à défendre la Reine contre les préventions du comte d'Artois lui-même.—Voir notamment les lettres du 13 février et des 14 et 21 août 1790.—Correspondance intime du comte de Vaudreuil, I, 101, 102, 265, 270, 273. Voir aussi Coblentz, par Ernest Daudet, passim.

[777] Journal de Fersen, 10 et 23 juillet 1791.—Le comte de Fersen et la Cour de France, I, 4, 6.

[778] Ibid., I, 4.—Mémoires secrets d'Augeard, 270. Il y avait eu en revanche de sincères accès de joie à la nouvelle prématurée du succès de l'évasion royale. Voir les lettres de Vaudreuil des 29 juin et 3 juillet 1791.—Correspondance intime du comte de Vaudreuil, II, 4 et suiv.

[779] Mémoires secrets d'Augeard, 278.

[780] Madame Swetchine, sa vie et ses œuvres, publiées par le comte de Falloux, II, 82.

[781] Bernis à Flavigny.—Le cardinal de Bernis depuis son ministère, 520.

[782] Gustave III à Stedingk, 6 juillet 1791, cité par M. Geffroy.—Gustave III et la Cour de France, II, 174.

[783] Mémoires et correspondance de Mallet du Pan, I, 356.

[784] Note du marquis de Bombelles au comte Ostermann, 31 janvier 1792.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, V, 182. Un peu plus tard, la veille même du départ pour Varennes, Vaudreuil, habituellement sage pourtant à cette époque, engageait le comte d'Artois à agir sur le Roi par intimidation et à le menacer d'un abandon total de la noblesse, s'il ne voulait pas lui donner le plein pouvoir qu'il avait confié à Breteuil.—Le comte de Vaudreuil au comte d'Artois, 19 juin 1791.—Correspondance intime du comte de Vaudreuil, I, 398, 399.

[785] La marquise de Bombelles à la marquise de Raigecourt, 26 juillet 1791.—Papiers de famille de M. le marquis de Raigecourt.

[786] M. de Simolin au comte Ostermann, 19 août 1791.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, II, 233. Mme Campan raconte de son côté que la Reine lui disait souvent: «Si les émigrés réussissent, ils feront longtemps la loi; il sera impossible de leur rien refuser. C'est contracter avec eux une trop grande obligation que de leur devoir la couronne.»—Mémoires de Mme Campan, 270.

[787] Marie-Antoinette à Mercy, 7 août 1791.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 197.

[788] Marie-Antoinette à Mercy, 16 août 1791.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, II, 223.

[789] La même au même, 21 août 1794.—Marie-Antoinette, Joseph II und Léopold II, 204.

[790] Marie-Christine, archiduchesse d'Autriche, par A. Wolf, III, 138.

[791] Léopold à Marie-Christine, 30 juillet 1791.—Ibid., III, 139, 140.

[792] Le même à la même, 5 septembre 1791.—Ibid., III, 141.

[793] Ibid.

[794] Le même à la même, 26 août 1791.—Ibid., 206.

[795] Mémoires et correspondance de Mallet du Pan, I, 254.

[796] Léopold à Marie-Christine, 1er septembre 1791. Marie-Christine, archiduchesse d'Autriche, par A. Wolf, III, 141.—Le duc de Polignac, agent des Princes à Vienne, écrivait de son côté: «Spielmann s'est vanté d'avoir été plus fin que M. de Calonne, parce qu'il l'avait forcé de mettre ou de laisser mettre dans cette déclaration les mots: Alors et dans ce cas qui, selon lui, l'annulent entièrement.»—Le duc de Polignac au comte d'Artois, 13 septembre 1791.—Louis XVI, Marie-Antoinette et Mme Elisabeth, II, 321.

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