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Le fameux chevalier Gaspard de Besse : $b ses dernières aventures
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TABLE DES CHAPITRES
| Chapitre I. — Le prisonnier Gaspard, qui a tout le loisir de méditer sur sa vie passée et de songer à de nouveaux projets, pressent que, dans la gorgerette d’une chaste pucelle, il trouvera la clef des champs. | |
| Chapitre II. — Sainte Roseline, patronne des prisonniers, étend sur Gaspard sa protection miraculeuse par l’intermédiaire d’un pauvre ermite. | |
| Chapitre III. — Dom Pablo, avec des arguments frappants, démontre à Castagne que l’esprit vient toujours à bout de la force. | |
| Chapitre IV. — Bons cœurs, lorsque j’étais prisonnnier, vous m’êtes venus voir. | |
| Chapitre V. — Où, après s’être étonné de la pratique singulière inventée par un vigneron pour remédier à la maladie de ses vignes, on verra une mère dévote apprécier sans indulgence les joies du paradis, ce qui pousse l’incrédule dom Pablo à révéler son inattendu dégoût des hypocrisies humaines. | |
| Chapitre VI. — Gaspard, hôte de Mme Lizerolles, met à profit le temps qu’il doit passer au château pour compléter son éducation politique | |
| Chapitre VII. — Le chevalier Gaspard reçoit, à Lizerolles, un présent digne du sultan Saladin. Réveillé d’un beau rêve par les sourdes menaces de sa petite armée, il se voit forcé de reprendre la vie active du partisan. | |
| Chapitre VIII. — Pour être un gouvernement, il faut connaître la science ou l’art de gouverner ; pour monter à cheval il faut avoir appris ; les démocraties ignorantes courent à leur perte ; toutes vérités que démontre un apologue en action, imaginé par le malin Gaspard. | |
| Chapitre IX. — Où l’on verra Mlle Clairon, de la Comédie-Française, honorée comme une sainte et comment, à la suite d’une conversation à la fois populaire et hautement métaphysique, Gaspard annonça, sur la foi d’un livre qu’il venait de lire, la fin des guerres, à jamais assurée par l’entente des peuples, au nom du sens commun. | |
| Chapitre X. — Pablo raconte un miracle qu’il a lui-même accompli, et Bernard pense à Thérèse. | |
| Chapitre XI. — L’oie de frère Anselme. | |
| Chapitre XII. — La visite extraordinaire de Gaspard au château de Fontblanche ; — et comment la peur des voleurs jeta dans les bras de Gaspard une jeune et belle marquise ; et comment l’infortune du marquis fut, à bon droit, imputée à l’abbé de Chaulieu. | |
| Chapitre XIII. — Pablo redevient ermite. | |
| Chapitre XIV. — Où l’on verra comment Thérèse découvrit que Gaspard était un voleur, mais que, étant voleur sans l’être, il se montrait sévère envers ceux qui méritent ce nom méprisable ; et comment cette découverte impressionna l’intéressante fiancée de Bernard. | |
| Chapitre XV. — Gaspard invite un évêque à bénir les fiançailles de Thérèse et de Bernard. | |
| Chapitre XVI. — La mémorable entrevue de l’évêque de Castries et du faux moine dom Pablo. | |
| Chapitre XVII. — Le diable se sert subtilement d’un innocent évêque pour encourager un amour profane ; et Gaspard, avec la femme qu’il aime, contemple les pierres, encore vivantes, qui furent l’Arc de Triomphe de Marius. | |
| Chapitre XVIII. — En attendant la chute du Parlement, Gaspard, usurpant les fonctions de cette haute assemblée, rend, à sa façon, et à l’exemple de saint Louis, la justice sinon sous un chêne, du moins sous un pin parasol. | |
| Chapitre XIX. — M. de Paulac, représentant du lieutenant général de police et envoyé de Paris, par ordre royal, pour informer aussi bien sur les agissements du Parlement que sur les actes de Gaspard de Besse, est arrêté et conduit en prison sur l’ordre non moins royal du bandit populaire. | |
| Chapitre XX. — Où l’on verra M. Marin devenu président à deux mortiers, le mortier populaire étant l’ustensile sans lequel on ne saurait confectionner un des deux plats nationaux de Provence : l’aïoli. | |
| Chapitre XXI. — M. de Paulac, ayant pris des libertés avec les soubrettes et avec les conseillers au Parlement, s’élève avec vivacité contre l’enjouement que montrent les femmes du beau monde en faveur du bandit Gaspard. | |
| Chapitre XXII. — Où l’on assistera à la deuxième rencontre de Gaspard avec Séraphin Cocarel et aux remontrances royales de M. de Paulac au Parlement d’Aix-en-Provence. | |
| Chapitre XXIII. — Comme quoi M. de Paulac, tout représentant qu’il fût de M. le lieutenant de la police royale, n’hésita pas à recevoir de Séraphin Cocarel une somme fort honorable, en échange d’un service qui ne l’était pas. | |
| Chapitre XXIV. — Le poète Jean Lecor fait recevoir une pièce en un acte et en vers par la troupe de Gaspard de Besse. | |
| Chapitre XXV. — Jean Lecor, prince des poètes, prince des conteurs, prince des acteurs, — conquiert le droit d’être proclamé prince des avocats. | |
| Chapitre XXVI. — Gaspard, en prononçant son réquisitoire contre le Parlement, n’échappe pas à ce défaut chéri des orateurs, qui est d’être prolixe, tandis que Sanplan, au contraire, motive l’arrêt com-pen-di-eu-se-ment. | |
| Chapitre XXVII. — Le dernier acte du bandit gentilhomme. | |
| Chapitre XXVIII. — La fin de la grande galégeade et les prodromes de la Révolution française. | |
| La Postérité. |
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